Titre : |
Les vies qu'on mène |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Jérôme Sessini, Photographe ; Nicolas Mathieu (1978-...) , Auteur ; Patrick Tourneboeuf (1966-....), Photographe ; Tendance Floue (1991-...) , Collectivité éditrice |
Editeur : |
Marseille : le Bec en l'air éditions |
Année de publication : |
2022 |
Importance : |
248 p. |
Présentation : |
illustrations en noir et en couleur ; 26 x 18 cm |
Format : |
26 x 18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-84394-674-5 |
Prix : |
23 € |
Note générale : |
Partons sur les routes de France avec l’écrivain Nicolas Mathieu et le photographe Patrick Tourneboeuf qui collaborent à l’exposition "Les Vies qu’on mène" du collectif Tendance Floue, présentée à la Cité internationale des arts du 1er mars au 19 mai 2022.- Les photographes de Tendance Floue associés à l’écrivain Nicolas Mathieu racontent la manière dont les Français se déplacent au quotidien.- une réflexion photographique sur les mobilités et les incidences sociales, politiques et économiques qu’elles induisent. Caméra à la main, les photographes rendent compte d’une France qui a subi de plein fouet la hausse des carburants et s’est investie dans le mouvement des Gilets jaunes. La mise en scène d'un nous qui « correspond à une radiographie de France, réduite certes mais qui résume bien la France telle qu’elle est aujourd’hui » selon Patrick Tourneboeuf. Que nous raconte alors cette France ? Que nous apprennent les photographes de ce mode de vie où les mobilités sont un enjeu majeur du quotidien ? Patrick Tourneboeuf, membre du collectif Tendance Floue, s’intéresse à l’importance des lieux et des liens qui les relient. Pour lui, par exemple, « la voiture fait partie de ce sentiment de liberté mais en même temps, on sent qu’il y a une forme de refus de la part d’une certaine partie de la population ». Présentant une double série dans l’exposition, il questionne la dimension spatio-temporelle des mobilités : « Jean-Pierre [un des sujets de ses photographies] ce qui étonnant chez lui et attrayant, c'est qu'il délivre de l’essence qui permet le déplacement des autres alors que lui est immobile ».
Nicolas Mathieu est né en 1978 à Epinal. Son roman Leurs enfants après eux, Prix Goncourt 2018, concentre son attention sur une jeunesse française de Lorraine coincée entre ses premiers amours, le poids des fermetures d’usine et la nécessité de se mouvoir dans l’espace géographique et social. En bref, comprendre « comment ça marche ce qui nous meut mais aussi ce qui nous émeut ». C’est à ce titre que le collectif Tendance Floue l’a invité à participer à l’exposition. De cette collaboration est né un texte qui recentre son attention sur les mobilités qui lui permet de souligner que « ce qui est surprenant, c’est sous l’homogénéité de surface, la variété des modes de vie » mais, à chaque fois, « le mouvement était synonyme de liberté ». |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
17 récits photographiques présentant la diversité des modes de vie des Français au regard de leurs déplacements. Avec des portraits de femmes et d'hommes suivis dans leur quotidien. Ils sont accompagnés d'un texte de N. Mathieu qui livre ici une histoire personnelle de ses errances.-
Notre dépendance aux énergies carbonées, mise en lumière en France par le mouvement des Gilets jaunes et à l’échelle de l’humanité par la pandémie, révèle l’ampleur de nos contradictions et nous met au défi de repenser nos mobilités. Dans ce contexte, Forum Vies Mobiles, institut de recherche en sciences humaines et sociales sur la mobilité, a lancé une mission photographique visant à documenter la diversité des modes de vie des Français au regard de leurs déplacements. Confiée aux photographes de Tendance Floue, dont on connaît le goût pour les projets collectifs, cette mission fait aujourd’hui l’objet d’une publication.
Rassemblant 19 récits photographiques, ce livre éclaire de manière sensible Les Vies qu’on mène en suivant des hommes et des femmes de tous âges et origines sociales, reliant ou parcourant une pluralité de territoires (métropoles, petites villes, zones périurbaines, villages enclavés…), par différentes voies (chemins, routes, autoroutes…) et divers moyens (camion, auto- mobile, transport en commun, deux-roues, à pied…). Ces récits racontent aussi, à travers des histoires qui nous ressemblent, la manière dont on organise aujourd’hui nos vies au quotidien pour aller travailler, se divertir, s’occuper des enfants, rendre visite aux proches, se soigner, faire ses courses…
Pour prolonger ces chroniques en images, l’écrivain Nicolas Mathieu, dont on connaît le goût pour la description d’une France périurbaine, se livre à une histoire personnelle de ses déplacements, depuis son plus jeune âge jusqu’à aujourd’hui.
Un tableau subjectif et inédit de nos mobilités qui s’adresse au grand public, véritable outil de réflexion sur un aspect essentiel de l’avenir de nos sociétés. |
Note de contenu : |
Missionnés par le Forum Vies Mobiles, think tank sur la mobilité du futur, 16 photographes du collectif Tendance Floue et un photographe de l’agence Magnum Photos ont parcouru les quatre coins du territoire français et posé leurs regards singuliers (étonnés, empathiques, distants...) sur ses habitants.
Résultat de ce décryptage acéré du quotidien où la mobilité est omniprésente, l’exposition Les vies qu’on mène présente à la Cité internationale des arts plus de 400 photographies qui offrent une incursion sensible dans la vie des jeunes, des familles et des vieux habitants de notre pays, des pauvres, des citadins, des personnes isolées, des riches et des ruraux, été comme hiver, de jour et de nuit, avant et pendant la crise sanitaire.
Les photographies présentées proposent au visiteur une immersion dans des modes de vie extrêmement variés tout en lui donnant l’occasion d’une réflexion sur son propre quotidien. Autant de questions de rythme, de pugnacité, de maîtrise, de plaisir, d’abandon, de conquête, de compositions quotidiennes.
Trois soirées de nocturne seront organisées par le Forum Vies Mobiles et la Cité internationale des arts pour permettre au public de visiter l’exposition jusqu’à 21h et d’assister à une série de conférences et de performances, avec les artistes en résidence, les 10 mars, 7 avril et 5 mai. |
En ligne : |
https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-culture/sur-les-routes-de [...] |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=280628 |
Les vies qu'on mène [document électronique] / Jérôme Sessini, Photographe ; Nicolas Mathieu (1978-...)  , Auteur ; Patrick Tourneboeuf (1966-....), Photographe ; Tendance Floue (1991-...)  , Collectivité éditrice . - Marseille : le Bec en l'air éditions, 2022 . - 248 p. : illustrations en noir et en couleur ; 26 x 18 cm ; 26 x 18 cm. ISBN : 978-2-84394-674-5 : 23 € Partons sur les routes de France avec l’écrivain Nicolas Mathieu et le photographe Patrick Tourneboeuf qui collaborent à l’exposition "Les Vies qu’on mène" du collectif Tendance Floue, présentée à la Cité internationale des arts du 1er mars au 19 mai 2022.- Les photographes de Tendance Floue associés à l’écrivain Nicolas Mathieu racontent la manière dont les Français se déplacent au quotidien.- une réflexion photographique sur les mobilités et les incidences sociales, politiques et économiques qu’elles induisent. Caméra à la main, les photographes rendent compte d’une France qui a subi de plein fouet la hausse des carburants et s’est investie dans le mouvement des Gilets jaunes. La mise en scène d'un nous qui « correspond à une radiographie de France, réduite certes mais qui résume bien la France telle qu’elle est aujourd’hui » selon Patrick Tourneboeuf. Que nous raconte alors cette France ? Que nous apprennent les photographes de ce mode de vie où les mobilités sont un enjeu majeur du quotidien ? Patrick Tourneboeuf, membre du collectif Tendance Floue, s’intéresse à l’importance des lieux et des liens qui les relient. Pour lui, par exemple, « la voiture fait partie de ce sentiment de liberté mais en même temps, on sent qu’il y a une forme de refus de la part d’une certaine partie de la population ». Présentant une double série dans l’exposition, il questionne la dimension spatio-temporelle des mobilités : « Jean-Pierre [un des sujets de ses photographies] ce qui étonnant chez lui et attrayant, c'est qu'il délivre de l’essence qui permet le déplacement des autres alors que lui est immobile ».
Nicolas Mathieu est né en 1978 à Epinal. Son roman Leurs enfants après eux, Prix Goncourt 2018, concentre son attention sur une jeunesse française de Lorraine coincée entre ses premiers amours, le poids des fermetures d’usine et la nécessité de se mouvoir dans l’espace géographique et social. En bref, comprendre « comment ça marche ce qui nous meut mais aussi ce qui nous émeut ». C’est à ce titre que le collectif Tendance Floue l’a invité à participer à l’exposition. De cette collaboration est né un texte qui recentre son attention sur les mobilités qui lui permet de souligner que « ce qui est surprenant, c’est sous l’homogénéité de surface, la variété des modes de vie » mais, à chaque fois, « le mouvement était synonyme de liberté ». Langues : Français ( fre)
Résumé : |
17 récits photographiques présentant la diversité des modes de vie des Français au regard de leurs déplacements. Avec des portraits de femmes et d'hommes suivis dans leur quotidien. Ils sont accompagnés d'un texte de N. Mathieu qui livre ici une histoire personnelle de ses errances.-
Notre dépendance aux énergies carbonées, mise en lumière en France par le mouvement des Gilets jaunes et à l’échelle de l’humanité par la pandémie, révèle l’ampleur de nos contradictions et nous met au défi de repenser nos mobilités. Dans ce contexte, Forum Vies Mobiles, institut de recherche en sciences humaines et sociales sur la mobilité, a lancé une mission photographique visant à documenter la diversité des modes de vie des Français au regard de leurs déplacements. Confiée aux photographes de Tendance Floue, dont on connaît le goût pour les projets collectifs, cette mission fait aujourd’hui l’objet d’une publication.
Rassemblant 19 récits photographiques, ce livre éclaire de manière sensible Les Vies qu’on mène en suivant des hommes et des femmes de tous âges et origines sociales, reliant ou parcourant une pluralité de territoires (métropoles, petites villes, zones périurbaines, villages enclavés…), par différentes voies (chemins, routes, autoroutes…) et divers moyens (camion, auto- mobile, transport en commun, deux-roues, à pied…). Ces récits racontent aussi, à travers des histoires qui nous ressemblent, la manière dont on organise aujourd’hui nos vies au quotidien pour aller travailler, se divertir, s’occuper des enfants, rendre visite aux proches, se soigner, faire ses courses…
Pour prolonger ces chroniques en images, l’écrivain Nicolas Mathieu, dont on connaît le goût pour la description d’une France périurbaine, se livre à une histoire personnelle de ses déplacements, depuis son plus jeune âge jusqu’à aujourd’hui.
Un tableau subjectif et inédit de nos mobilités qui s’adresse au grand public, véritable outil de réflexion sur un aspect essentiel de l’avenir de nos sociétés. |
Note de contenu : |
Missionnés par le Forum Vies Mobiles, think tank sur la mobilité du futur, 16 photographes du collectif Tendance Floue et un photographe de l’agence Magnum Photos ont parcouru les quatre coins du territoire français et posé leurs regards singuliers (étonnés, empathiques, distants...) sur ses habitants.
Résultat de ce décryptage acéré du quotidien où la mobilité est omniprésente, l’exposition Les vies qu’on mène présente à la Cité internationale des arts plus de 400 photographies qui offrent une incursion sensible dans la vie des jeunes, des familles et des vieux habitants de notre pays, des pauvres, des citadins, des personnes isolées, des riches et des ruraux, été comme hiver, de jour et de nuit, avant et pendant la crise sanitaire.
Les photographies présentées proposent au visiteur une immersion dans des modes de vie extrêmement variés tout en lui donnant l’occasion d’une réflexion sur son propre quotidien. Autant de questions de rythme, de pugnacité, de maîtrise, de plaisir, d’abandon, de conquête, de compositions quotidiennes.
Trois soirées de nocturne seront organisées par le Forum Vies Mobiles et la Cité internationale des arts pour permettre au public de visiter l’exposition jusqu’à 21h et d’assister à une série de conférences et de performances, avec les artistes en résidence, les 10 mars, 7 avril et 5 mai. |
En ligne : |
https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-culture/sur-les-routes-de [...] |
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