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Auteur Michela MARZANO |
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trié(s) par (Pertinence décroissant(e), Titre croissant(e)) Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheÉthique et consentement : la place de l’autonomie au sein des relations médicales / Michela MARZANO in Contraste : enfance et handicap / Cairn.info, n° 50 (2ème semestre 2019)
Titre : Éthique et consentement : la place de l’autonomie au sein des relations médicales Type de document : texte imprimé Auteurs : Michela MARZANO, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : 39-54 Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique Mots-clés : AUTONOMIE CONFIANCE CONSENTEMENT LIBERTE MEDECINE VULNERABILITE Résumé : La modernité se flatte de n’avoir gardé, comme critère départageant les actes licites et illicites, que le consentement des individus. Mais qu’entend-on par consentement ? Suffit-il, à lui seul, pour déterminer la légitimité d’un acte ou d’une conduite ? Peut-on fonder l’éthique uniquement sur ce concept ? Est-il, au contraire, possible de continuer à défendre une conception paternaliste de la morale, selon laquelle il existerait une conception déterminée du bien qu’il faudrait imposer, bon gré mal gré, à tout le monde indépendamment de désirs et de souhaits individuels ? Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=250000
in Contraste : enfance et handicap / Cairn.info > n° 50 (2ème semestre 2019) . - 39-54[article] Éthique et consentement : la place de l’autonomie au sein des relations médicales [texte imprimé] / Michela MARZANO, Auteur . - 2019 . - 39-54.
Langues : Français (fre)
in Contraste : enfance et handicap / Cairn.info > n° 50 (2ème semestre 2019) . - 39-54
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique Mots-clés : AUTONOMIE CONFIANCE CONSENTEMENT LIBERTE MEDECINE VULNERABILITE Résumé : La modernité se flatte de n’avoir gardé, comme critère départageant les actes licites et illicites, que le consentement des individus. Mais qu’entend-on par consentement ? Suffit-il, à lui seul, pour déterminer la légitimité d’un acte ou d’une conduite ? Peut-on fonder l’éthique uniquement sur ce concept ? Est-il, au contraire, possible de continuer à défendre une conception paternaliste de la morale, selon laquelle il existerait une conception déterminée du bien qu’il faudrait imposer, bon gré mal gré, à tout le monde indépendamment de désirs et de souhaits individuels ? Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=250000 
