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Accumulation de fer dans le cerveau et déclin moteur et cognitif dans le vieillissement normal / Grégoria Kalpouzos in Revue de neuropsychologie / Bibl. d'Orthophonie et John Libbey, Volume 10 n°3 (juillet-août-septembre 2018)

Public ISBD Aucun avis sur cette notice. [article]  inRevue de neuropsychologie / Bibl. d'Orthophonie et John Libbey > Volume 10 n°3 (juillet-août-septembre 2018) . - p. 205-212 Titre : Accumulation de fer dans le cerveau et déclin moteur et cognitif dans le vieillissement normal Type de document : texte imprimé Auteurs : Grégoria Kalpouzos, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 205-212 Langues : Français (fre) Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Matériaux et produits:Métal:Fer ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.10 Psychologie:Cognition The mental action or process of acquiring knowledge through thought, experience and senses. ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Anatomie:Système nerveux:Cerveau ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Vieillissement Mots-clés : motricité Résumé : Le fer est un minéral essentiel impliqué dans une multitude de mécanismes biologiques, allant de l’oxygénation des tissus à des processus intracellulaires spécifiques. Une surcharge en fer, notamment dans le cerveau, a été démontrée non seulement dans les maladies neurodégénératives, mais aussi dans le vieillissement normal. Cet excès de fer est toxique, car il est en partie responsable du stress oxydatif et de mécanismes inflammatoires, qui, à terme, détruisent les cellules. Les méthodes de neuro-imagerie permettant la quantification de fer cérébral in vivo sont relativement récentes. De ce fait, les études sur le sujet ne sont pas encore très nombreuses, mais déjà, elles permettent de dresser un bilan préliminaire des effets d’une surcharge en fer liée au vieillissement sur l’intégrité du cerveau et les performances motrices et cognitives. Une concentration élevée en fer, notamment dans les noyaux de la base, a été liée à de l’atrophie, à une activité neurale perturbée et à des déficits moteurs et cognitifs. Par ailleurs, les facteurs qui modulent la concentration cérébrale en fer ne sont que très peu étudiés. Identifier ces facteurs, notamment ceux qui sont modifiables, permettrait d’établir des recommandations favorisant la santé cérébrale et prévenir les processus neurodégénératifs liés à une accumulation accrue de fer. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=259801 [article] Accumulation de fer dans le cerveau et déclin moteur et cognitif dans le vieillissement normal [texte imprimé] / Grégoria Kalpouzos, Auteur . - 2018 . - p. 205-212. Langues : Français (fre) in Revue de neuropsychologie / Bibl. d'Orthophonie et John Libbey > Volume 10 n°3 (juillet-août-septembre 2018) . - p. 205-212 Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Matériaux et produits:Métal:Fer ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.10 Psychologie:Cognition The mental action or process of acquiring knowledge through thought, experience and senses. ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Anatomie:Système nerveux:Cerveau ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Vieillissement Mots-clés : motricité Résumé : Le fer est un minéral essentiel impliqué dans une multitude de mécanismes biologiques, allant de l’oxygénation des tissus à des processus intracellulaires spécifiques. Une surcharge en fer, notamment dans le cerveau, a été démontrée non seulement dans les maladies neurodégénératives, mais aussi dans le vieillissement normal. Cet excès de fer est toxique, car il est en partie responsable du stress oxydatif et de mécanismes inflammatoires, qui, à terme, détruisent les cellules. Les méthodes de neuro-imagerie permettant la quantification de fer cérébral in vivo sont relativement récentes. De ce fait, les études sur le sujet ne sont pas encore très nombreuses, mais déjà, elles permettent de dresser un bilan préliminaire des effets d’une surcharge en fer liée au vieillissement sur l’intégrité du cerveau et les performances motrices et cognitives. Une concentration élevée en fer, notamment dans les noyaux de la base, a été liée à de l’atrophie, à une activité neurale perturbée et à des déficits moteurs et cognitifs. Par ailleurs, les facteurs qui modulent la concentration cérébrale en fer ne sont que très peu étudiés. Identifier ces facteurs, notamment ceux qui sont modifiables, permettrait d’établir des recommandations favorisant la santé cérébrale et prévenir les processus neurodégénératifs liés à une accumulation accrue de fer. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=259801

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