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207 - dernier trimestre 2020 - La LPPR et la réforme de l’enseignement supérieur et de la recherche : analyses critiques (Bulletin de Revue française de pédagogie / Persée, Cairn.info et OpenEdition) / Françoise F. Laot
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[n° ou bulletin]
Titre : 207 - dernier trimestre 2020 - La LPPR et la réforme de l’enseignement supérieur et de la recherche : analyses critiques Titre original : Hommage à Viviane Isambert-Jamati : Éducations militantes, formations aux militantismes ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise F. Laot (1958-....) , Directeur de la recherche ; Emmanuel de Lescure
, Directeur de la recherche
Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Résumé : La Revue française de pédagogie : recherches en éducation, revue scientifique de référence dans le champ de l’éducation publiée par l’Institut Français d’Éducation – ENS de Lyon, publie des articles issus de travaux de recherche originaux. Accueillant des contributions émanant de diverses disciplines, elle a vocation à couvrir ce champ de manière large en envisageant par conséquent différents espaces d’éducation et de formation.
La question éducative est tout de suite apparue comme un enjeu crucial pour le mouvement ouvrier naissant. Tout au long du XIXe siècle, les finalités de l’éducation vont être l’objet de discussions animées et se trouver au centre de conflits politiques. Fallait-il laisser l’instruction des membres des classes laborieuses aux mains des philanthropes, des religieux ou des pouvoirs publics ou bien instaurer un système autonome d’éducation du peuple par le peuple (Duveau, 1948) ? La défiance envers une école – qu’elle soit confessionnelle, communale ou étatique – jugée tantôt oppressive, abêtissante (Laot, 2018), normalisatrice voire, ennemi de classe (Hamelin, 2011 ; Brucy, 2001) a généré nombre de projets d’auto-éducation ou d’éducation par les pairs au sein de collectifs divers (associations fraternelles, sociétés mutuelles, comités de quartier, Bourses du travail, mouvements de jeunesse, centres d’éducation ouvrière…), ou des écrits et une presse dédiés. Commune à ces expériences, l’idée qu’une éducation qui rend lucide sur la place socialement assignée, ou qui enseigne la « science de son malheur » selon le mot de Fernand Pelloutier (Hamelin, 2018) ne pourrait que convaincre de la nécessité d’agir pour changer l’ordre des choses : l’affranchissement des classes laborieuses comme celui d’autres groupes sociaux, en particulier les femmes exclues de la citoyenneté.
Inciter à s’engager durablement dans l’action pour la défense d’une cause, telle pourrait être la définition d’une éducation militante comprise, donc, comme poussant au militantisme1. Aujourd’hui encore, les questions initialement posées gardent leur pertinence lorsqu’il s’agit de sensibiliser à la nécessité d’une lutte collective ou encore d’organiser une résistance en concurrence ou en parallèle aux grandes institutions éducatives. Ces questions s’inscrivent toutefois dans des contextes bien différents, dans lesquels l’éducation ouvrière, muée en formation syndicale, s’est institutionnalisée au fil du temps (Ethuin & Yon, 2014 ; Brucy, Laot & Lescure, 2015), dans lesquels tout un secteur autour de l’éducation populaire s’est progressivement professionnalisé et installé dans des institutions socio-culturelles parallèles à l’École. Pourtant, il existe aujourd’hui un renouveau d’une éducation populaire notamment politique (Morvan, 2011 ; Lescure & Porte, 2017 ; Brusadelli, 2018), comme il existe de nouvelles formes alternatives d’action revendicative qui renouvellent également les réflexions sur l’éducation militante.
Le dossier proposé s’intéresse tout autant à la formation au militantisme qu’à la formation par le militantisme.
Il souhaite interroger la formation des militant·es à la fois dans des cadres institués (politiques, syndicaux, associatifs ou religieux), comme les instances associatives de formation, les centres de formation syndicale, les écoles de partis politiques, dont la vocation est de former les militant·es pour les préparer (ou les perfectionner) à l’action collective et/ou à devenir les propres cadres des associations militantes dont la relève s’avère souvent difficile à assurer (Meletta, 2004). Il s’agira ainsi de comprendre comment la formation contribue à instituer un « travail militant » (Nicourd, 2009) et à en stabiliser les formes dans ce qui relève du mouvement ouvrier traditionnel ou ce qu’il a été convenu d’appeler les « nouveaux mouvements sociaux » (Neveux, 2019) dont les modalités d’organisation sont moins centralisées ou plus éphémères. Ces formations peuvent s’inscrire dans un projet d’émancipation sociale, de contestation radicale ou relever simplement d’un objectif de pacification sociale.En ligne : https://journals.openedition.org/rfp/8814 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=56324 [n° ou bulletin] 207 - dernier trimestre 2020 - La LPPR et la réforme de l’enseignement supérieur et de la recherche : analyses critiques = Hommage à Viviane Isambert-Jamati : Éducations militantes, formations aux militantismes ? [texte imprimé] / Françoise F. Laot (1958-....), Directeur de la recherche ; Emmanuel de Lescure
, Directeur de la recherche . - 2020.
Langues : Français (fre)
Résumé : La Revue française de pédagogie : recherches en éducation, revue scientifique de référence dans le champ de l’éducation publiée par l’Institut Français d’Éducation – ENS de Lyon, publie des articles issus de travaux de recherche originaux. Accueillant des contributions émanant de diverses disciplines, elle a vocation à couvrir ce champ de manière large en envisageant par conséquent différents espaces d’éducation et de formation.
La question éducative est tout de suite apparue comme un enjeu crucial pour le mouvement ouvrier naissant. Tout au long du XIXe siècle, les finalités de l’éducation vont être l’objet de discussions animées et se trouver au centre de conflits politiques. Fallait-il laisser l’instruction des membres des classes laborieuses aux mains des philanthropes, des religieux ou des pouvoirs publics ou bien instaurer un système autonome d’éducation du peuple par le peuple (Duveau, 1948) ? La défiance envers une école – qu’elle soit confessionnelle, communale ou étatique – jugée tantôt oppressive, abêtissante (Laot, 2018), normalisatrice voire, ennemi de classe (Hamelin, 2011 ; Brucy, 2001) a généré nombre de projets d’auto-éducation ou d’éducation par les pairs au sein de collectifs divers (associations fraternelles, sociétés mutuelles, comités de quartier, Bourses du travail, mouvements de jeunesse, centres d’éducation ouvrière…), ou des écrits et une presse dédiés. Commune à ces expériences, l’idée qu’une éducation qui rend lucide sur la place socialement assignée, ou qui enseigne la « science de son malheur » selon le mot de Fernand Pelloutier (Hamelin, 2018) ne pourrait que convaincre de la nécessité d’agir pour changer l’ordre des choses : l’affranchissement des classes laborieuses comme celui d’autres groupes sociaux, en particulier les femmes exclues de la citoyenneté.
Inciter à s’engager durablement dans l’action pour la défense d’une cause, telle pourrait être la définition d’une éducation militante comprise, donc, comme poussant au militantisme1. Aujourd’hui encore, les questions initialement posées gardent leur pertinence lorsqu’il s’agit de sensibiliser à la nécessité d’une lutte collective ou encore d’organiser une résistance en concurrence ou en parallèle aux grandes institutions éducatives. Ces questions s’inscrivent toutefois dans des contextes bien différents, dans lesquels l’éducation ouvrière, muée en formation syndicale, s’est institutionnalisée au fil du temps (Ethuin & Yon, 2014 ; Brucy, Laot & Lescure, 2015), dans lesquels tout un secteur autour de l’éducation populaire s’est progressivement professionnalisé et installé dans des institutions socio-culturelles parallèles à l’École. Pourtant, il existe aujourd’hui un renouveau d’une éducation populaire notamment politique (Morvan, 2011 ; Lescure & Porte, 2017 ; Brusadelli, 2018), comme il existe de nouvelles formes alternatives d’action revendicative qui renouvellent également les réflexions sur l’éducation militante.
Le dossier proposé s’intéresse tout autant à la formation au militantisme qu’à la formation par le militantisme.
Il souhaite interroger la formation des militant·es à la fois dans des cadres institués (politiques, syndicaux, associatifs ou religieux), comme les instances associatives de formation, les centres de formation syndicale, les écoles de partis politiques, dont la vocation est de former les militant·es pour les préparer (ou les perfectionner) à l’action collective et/ou à devenir les propres cadres des associations militantes dont la relève s’avère souvent difficile à assurer (Meletta, 2004). Il s’agira ainsi de comprendre comment la formation contribue à instituer un « travail militant » (Nicourd, 2009) et à en stabiliser les formes dans ce qui relève du mouvement ouvrier traditionnel ou ce qu’il a été convenu d’appeler les « nouveaux mouvements sociaux » (Neveux, 2019) dont les modalités d’organisation sont moins centralisées ou plus éphémères. Ces formations peuvent s’inscrire dans un projet d’émancipation sociale, de contestation radicale ou relever simplement d’un objectif de pacification sociale.En ligne : https://journals.openedition.org/rfp/8814 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=56324 Contient
- La LPPR et la réforme de l’enseignement supérieur et de la recherche : analyses critiques. Dossier / Sylvain Doussot in Revue française de pédagogie / Persée, Cairn.info et OpenEdition, 207 (dernier trimestre 2020)
- Penser une réussite alternative à l’université. Requalifier les expériences enseignantes et étudiantes à partir de l’auto-socioanalyse / Frédérique Letourneux in Revue française de pédagogie / Persée, Cairn.info et OpenEdition, 207 (dernier trimestre 2020)
- Quels impacts du recours à l’analogie sur la mémorisation, la compréhension et le transfert d’un concept nouveau ? Étude expérimentale dans les classes de sciences / Dylan Dachet in Revue française de pédagogie / Persée, Cairn.info et OpenEdition, 207 (dernier trimestre 2020)
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Apprendre dans les collectifs solidaires. Le cas de l'éducation sociale des adultes en France à la fin du 19e siècle. / Françoise F. Laot in Savoirs : Revue internationale de recherches en éducation et formation des adultes, n° 9 (2005)
Le CUCES-INFA ou « Complexe de Nancy », creuset d’innovations pour l’éducation permanente (1954-1973) / Françoise F. Laot in Education permanente / SCD et Cairn, 198 (mars 2014)
[article]
Titre : Le CUCES-INFA ou « Complexe de Nancy », creuset d’innovations pour l’éducation permanente (1954-1973) Auteurs : Françoise F. Laot (1958-....) , Auteur
Année de publication : mars 2014 Article en page(s) : pp. 199-217 Langues : Français (fre) Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Systèmes et niveaux d'enseignement:Éducation non formelle:Éducation permanente ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Histoire Mots-clés : FORMATION DES ADULTES Résumé : Présentation de l'éditeur :
L’article retrace l’histoire du Complexe de Nancy sur la période 1954-1973, en tant que vaste entreprise d’imagination institutionnelle. En effet, ses promoteurs se mobilisent dans un acharnement quasi obsessionnel à tenter de forger un statut qui puisse encourager et asseoir l’innovation en matière de formation d’adultes. Cinq périodes ont été distinguées. La première (1954-1959) est celle des antécédents du Complexe, marquée par un Centre universitaire de coopération économique et sociale (CUCES) qui se veut déjà innovant. La deuxième (1960-1961) est celle de la refonte du projet, avec l’arrivée de Bertrand Schwartz. La troisième (1962-1967) est celle où se déploie l’essentiel des innovations. La quatrième (1968-1969) est celle des remises en question. Enfin la cinquième période (1970-1973) est celle du démantèlement, qui se traduit par la disparition de l’Institut national pour la formation des adultes et la séparation, sous la contrainte, du CUCES et de l’Association du CUCES (ACUCES). S’intéresser aux conditions institutionnelles de l’action du CUCES-INFA permet non seulement de mieux appréhender sa portée et ses limites, mais également de mieux identifier les choix qui ont été opérés – et donc les options qui ont été écartées – au moment de la consolidation de la politique de formation en 1971. Cette histoire particulière apporte un éclairage complémentaire sur la construction du système français de formation.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=97704
in Education permanente / SCD et Cairn > 198 (mars 2014) . - pp. 199-217[article] Le CUCES-INFA ou « Complexe de Nancy », creuset d’innovations pour l’éducation permanente (1954-1973) [] / Françoise F. Laot (1958-....), Auteur . - mars 2014 . - pp. 199-217.
Langues : Français (fre)
in Education permanente / SCD et Cairn > 198 (mars 2014) . - pp. 199-217
Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Systèmes et niveaux d'enseignement:Éducation non formelle:Éducation permanente ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Histoire Mots-clés : FORMATION DES ADULTES Résumé : Présentation de l'éditeur :
L’article retrace l’histoire du Complexe de Nancy sur la période 1954-1973, en tant que vaste entreprise d’imagination institutionnelle. En effet, ses promoteurs se mobilisent dans un acharnement quasi obsessionnel à tenter de forger un statut qui puisse encourager et asseoir l’innovation en matière de formation d’adultes. Cinq périodes ont été distinguées. La première (1954-1959) est celle des antécédents du Complexe, marquée par un Centre universitaire de coopération économique et sociale (CUCES) qui se veut déjà innovant. La deuxième (1960-1961) est celle de la refonte du projet, avec l’arrivée de Bertrand Schwartz. La troisième (1962-1967) est celle où se déploie l’essentiel des innovations. La quatrième (1968-1969) est celle des remises en question. Enfin la cinquième période (1970-1973) est celle du démantèlement, qui se traduit par la disparition de l’Institut national pour la formation des adultes et la séparation, sous la contrainte, du CUCES et de l’Association du CUCES (ACUCES). S’intéresser aux conditions institutionnelles de l’action du CUCES-INFA permet non seulement de mieux appréhender sa portée et ses limites, mais également de mieux identifier les choix qui ont été opérés – et donc les options qui ont été écartées – au moment de la consolidation de la politique de formation en 1971. Cette histoire particulière apporte un éclairage complémentaire sur la construction du système français de formation.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=97704 Dossier Jacky Beillerot, 1939-2004. / Gérard Jean-Montcler in Savoirs : Revue internationale de recherches en éducation et formation des adultes, n° 10 (2006)
[article]
Titre : Dossier Jacky Beillerot, 1939-2004. Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Jean-Montcler, Editeur scientifique ; Bernard Charlot (1944-...) ; Nicole Mosconi (1942-2021) ; Philippe Carré (1952-...)
; Jacky Beillerot ; Jean-Marie Barbier (1946-...) ; Claudine Blanchard-Laville ; Francine Best (1931-2022)
; DOMINIQUE FABLET ; Françoise F. Laot (1958-....)
; Christine Marzolf ; Gérard Fourneau
Année de publication : 2006 Article en page(s) : pp. 7-74 Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Pedagogy Mots-clés : PADAGOGIK PEDAGOGIA PEDAGOGIE WISSEN KNOWLEDGE SABER SAVOIR ZEUGENBERICHT TESTIMONIAL TESTIMONIO TEMOIGNAGE FRANKREICH FRANCIA Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=128776
in Savoirs : Revue internationale de recherches en éducation et formation des adultes > n° 10 (2006) . - pp. 7-74[article] Dossier Jacky Beillerot, 1939-2004. [texte imprimé] / Gérard Jean-Montcler, Editeur scientifique ; Bernard Charlot (1944-...); Nicole Mosconi (1942-2021) ; Philippe Carré (1952-...)
; Jacky Beillerot ; Jean-Marie Barbier (1946-...) ; Claudine Blanchard-Laville ; Francine Best (1931-2022)
; DOMINIQUE FABLET ; Françoise F. Laot (1958-....)
; Christine Marzolf ; Gérard Fourneau . - 2006 . - pp. 7-74.
Langues : Français (fre)
in Savoirs : Revue internationale de recherches en éducation et formation des adultes > n° 10 (2006) . - pp. 7-74
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Pedagogy Mots-clés : PADAGOGIK PEDAGOGIA PEDAGOGIE WISSEN KNOWLEDGE SABER SAVOIR ZEUGENBERICHT TESTIMONIAL TESTIMONIO TEMOIGNAGE FRANKREICH FRANCIA Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=128776 Les formateurs ont-ils jamais existé ? / Françoise F. Laot in Education permanente / SCD et Cairn, 164 (2005)
[article]
Titre : Les formateurs ont-ils jamais existé ? Type de document : enregistrement sonore non musical Auteurs : Françoise F. Laot (1958-....) Résumé : Cet article cherche à montrer comment on a pu répondre différemment à cette question dans l'histoire récente selon les périodes et les contextes de formation. La présentation de quelques figures de " formateurs d'adultes " vient illustrer deux idées. D'une part, pendant longtemps, les spécificités de l'adulte en tant qu'apprenant n'ont pas été prises en compte. D'autre part, et en conséquence, aucune spécialisation du formateur n'était requise. Concevoir une formation et un " métier " de formateur tend à se généraliser en France après la Deuxième Guerre mondiale, non sans hésitations ni quelques revirements.
Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=47930
in Education permanente / SCD et Cairn > 164 (2005)[article] Les formateurs ont-ils jamais existé ? [enregistrement sonore non musical] / Françoise F. Laot (1958-....).
in Education permanente / SCD et Cairn > 164 (2005)
Résumé : Cet article cherche à montrer comment on a pu répondre différemment à cette question dans l'histoire récente selon les périodes et les contextes de formation. La présentation de quelques figures de " formateurs d'adultes " vient illustrer deux idées. D'une part, pendant longtemps, les spécificités de l'adulte en tant qu'apprenant n'ont pas été prises en compte. D'autre part, et en conséquence, aucune spécialisation du formateur n'était requise. Concevoir une formation et un " métier " de formateur tend à se généraliser en France après la Deuxième Guerre mondiale, non sans hésitations ni quelques revirements.
Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=47930 Formation de formateurs d'adultes. Approche historique. / Françoise F. Laot in Recherche & formation / Cairn et OpenEdition, n° 53 (2006)
PermalinkHistoire de l'éducation / Françoise F. Laot in dse, Dossiers des sciences de l’éducation, Les / journals.openedition.org, 042 (12/2019)
PermalinkHistoire de la recherche en formation d’adultes en France, 1960-2000 / Françoise F. Laot in Education permanente / SCD et Cairn, 177 (décembre 2008)
PermalinkPermalinkUn modèle universitaire et régional de formation d’adultes dans les années 1960. L’épisode oublié des AUREFA et leur échec face à la loi de 1971 / Françoise F. Laot in Education et sociétés : revue internationale de sociologie de l'éducation / Cairn.info, n°24 (2009)
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PermalinkMouvement ouvrier et formation : genèses, de la fin du XIXe siècle à l'après-Seconde Guerre mondiale / Guy Brucy
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Permalinkn°156 - 2021/2 - L'éducation des femmes adultes au XXe siècle, travailleuses, épouses et mères, citoyennes (Bulletin de Histoire de l'éducation / Cairn.info, OpenEdition et Persée) / Françoise F. Laot
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Permalinkn°2015 - 2022/2 - décembre 22 - Éducations militantes, formations au militantisme (Bulletin de Revue française de pédagogie / Persée, Cairn.info et OpenEdition) / Françoise F. Laot
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PermalinkN.C. : La formation des adultes. Histoire d'une utopie en acte / Françoise F. Laot in Revue française de pédagogie / Persée, Cairn.info et OpenEdition, n°129 (oct/nov/déc 1999)
PermalinkPour une histoire de la formation [Groupe d'Etude Histoire de la formation des adultes, Lyon, 14 avril 2006] : actes du colloque / Françoise F. Laot
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