
Détail de l'auteur
Documents disponibles écrits par cet auteur



Anthropocène / Catherine Larrère in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, 420 (décembre 2015)
[article]
Titre : Anthropocène : le nouveau grand récit Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Larrère (1944-...) , Auteur
Année de publication : 2015 Article en page(s) : p. 46-55 Langues : Français (fre) Résumé : Le récit de l’anthropocène nous confronte au problème d’une action collective à laquelle il est difficile d’assigner des responsabilités. Selon la géo-ingénierie, il est possible de contrer les effets du changement climatique par la technique. Selon la lecture catastrophiste, il faut cesser de fabriquer avec prévision pour piloter avec précaution. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=161794
in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor > 420 (décembre 2015) . - p. 46-55[article] Anthropocène : le nouveau grand récit [texte imprimé] / Catherine Larrère (1944-...), Auteur . - 2015 . - p. 46-55.
Langues : Français (fre)
in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor > 420 (décembre 2015) . - p. 46-55
Résumé : Le récit de l’anthropocène nous confronte au problème d’une action collective à laquelle il est difficile d’assigner des responsabilités. Selon la géo-ingénierie, il est possible de contrer les effets du changement climatique par la technique. Selon la lecture catastrophiste, il faut cesser de fabriquer avec prévision pour piloter avec précaution. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=161794
Titre : Les arbres doivent-ils pouvoir plaider ? Titre original : Should trees have standing ? : law, morality and the environment ; Should trees have standing ? : and other essays on law, morals and the environment, 2010 l (c1972) Type de document : texte imprimé Auteurs : Christopher D. Stone, Auteur ; Catherine Larrère (1944-...) , Préfacier, etc.
Mention d'édition : Disponible sur libgen.io Editeur : Neuvy-en-Champagne (Sarthe) : Éditions le Passager clandestin Année de publication : 2017 Importance : 130 p. Format : 18 x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36935-087-3 Prix : 12 € Note générale : Chap. 1 publié pour la première fois en 1972. Recension SH n°305, p. 66 / Thomas Lepeltier : "À la fin des années 1960, l’entreprise Walt Disney lance un projet de construction d’une station de ski dans une vallée de Californie, célèbre pour ses séquoias. Une association de protection de la nature s’y oppose et engage une action en justice. En 1970, elle est déboutée au motif que ce ne sont pas ses membres qui sont menacés par le projet. Elle fait néanmoins appel. Avant qu’elle arrive devant la Cour suprême des États-Unis, un professeur de droit, Christopher Stone, a vent de l’affaire et rédige un article où il défend l’idée d’accorder des droits aux arbres et à toute entité naturelle. Ce dernier est lu, un peu par hasard, par certains membres de la Cour suprême. En 1972, l’appel est rejeté, mais l’article fait date. Il devient un des textes fondateurs de l’écologie dite profonde. D’où l’intérêt de voir cet article ici traduit, publié et précédé d’une longue préface de la philosophe Catherine Larrère.
L’argument principal de C. Stone consiste à dire qu’il n’y a aucune raison de ne pas étendre l’attribution de droits au-delà du cercle de l’humanité. Certes, les arbres ne peuvent plaider eux-mêmes leur cause. Mais, comme C. Stone le fait remarquer, c’est aussi le cas de beaucoup d’humains (enfants, handicapés, etc.). Il suffit de nommer des tuteurs capables de faire valoir leurs droits. Si certains estiment qu’il suffirait de mettre en avant les préjudices subis par les humains quand on détruit des arbres, C. Stone soutient qu’attribuer des droits à ces derniers est la façon la plus efficace de les protéger. Enfin, on pourrait objecter que, pour se voir reconnaître des droits, il faudrait pouvoir exhiber des caractéristiques particulières. Non, répond C. Stone. Il n’est pas ici question de « droits naturels ». Sur un plan juridique, il suffit d’accorder des droits à une entité… pour qu’elle ait des droits. Reste à savoir si, au-delà de la simple procédure juridique, l’attribution de droits aux arbres a vraiment un sens. C’est un débat toujours actif…"Catégories : L DROIT Mots-clés : Nature, Ecologie, Climat, Energie, Terre, agroalimentaire Géographie Sciences Droit et justice / Droit social et du travail / Droit de l'environnement Protection de l'environnement Protection droit, protection de l'environnement Éthique de l'environnement Environnement -- Conservation des ressources naturelles Environnement Index. décimale : L-62 Institutions administratives Résumé : Article publié en 1972 par le juriste à l'occasion de l'affaire Sierra club contre Morton, initiée par des opposants à un projet de la Walt Disney company menaçant les séquoias d'une vallée de Californie. Il y démontre la pertinence de la reconnaissance de la nature comme sujet de droit et de l'accord de droits juridiques à l'environnement naturel.
Originally published in 1972, Should Trees Have Standing? was a rallying point for the then burgeoning environmental movement, launching a worldwide debate on the basic nature of legal rights that reached the U.S. Supreme Court. Now, in the 35th anniversary edition of this remarkably influential book, Christopher D. Stone updates his original thesis and explores the impact his ideas have had on the courts, the academy, and society as a whole. At the heart of the book is an eminently sensible, legally sound, and compelling argument that the environment should be granted legal rights. For the new edition, Stone explores a variety of recent cases and current events--and related topics such as climate change and protecting the oceans--providing a thoughtful survey of the past and an insightful glimpse at the future of the environmental movement. This enduring work continues to serve as the definitive statement as to why trees, oceans, animals, and the environment as a whole should be bestowed with legal rights, so that the voiceless elements in nature are protected for future generations.Note de contenu : 4e de couv. : "En 1972, pour contrer un projet de la Walt Disney Company qui menaçait une forêt de séquoias en Californie, le juriste Christopher Stone proposa, dans cet article pionnier, d'accorder des droits aux arbres et « à l'environnement naturel dans son ensemble ». Par ce texte (jusqu'ici inédit en français), Stone a contribué de façon décisive, aux côtés d'auteurs comme Rachel Carson, Lynn White Jr, Peter Singer ou Arne Naess, à la prise de conscience de la valeur intrinsèque de la nature. L'originalité de sa position tient à son caractère juridique : en conférant aux entités naturelles le droit, dans certaines situations, de se défendre en justice par l'intermédiaire de représentants, il ouvrait la voie au primat de leur préservation sur le pur calcul économique.
Cette idée a fait son chemin. En 2008, la Constitution de l'Équateur faisait expressément de la nature un sujet de droit. En 2016, en Nouvelle-Zélande et en Inde, des fleuves se sont vu reconnaître une personnalité juridique. Depuis quelques années, un peu partout dans le monde, un débat philosophique et juridique intense interroge les liens qui unissent humains et non-humains sur notre planète.
Dans une ample préface, après avoir replacé l'article de Stone dans son époque, Catherine Larrère éclaire l'état de la controverse actuelle et livre sa réflexion sur les positions des mouvements contemporains de revendication de droits pour la nature. « Tout ne se résout pas juridiquement », estime-t-elle. Face aux visions holistiques, comme celles qui réclament la reconnaissance pénale d'un crime d'« écocide », elle invoque la nécessité d'une approche plus directement politique. Les voies pour résoudre les conflits opposant humains et non-humains sont diverses, suivant les échelles et les domaines concernés. C'est pourquoi « Christopher Stone, ce défenseur du pluralisme, mérite hier comme aujourd'hui, d'être lu attentivement »."En ligne : https://www.scienceshumaines.com/les-arbres-doivent-ils-pouvoir-plaider_fr_39818 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186684 Les arbres doivent-ils pouvoir plaider ? = Should trees have standing ? : law, morality and the environment ; Should trees have standing ? : and other essays on law, morals and the environment, 2010 l (c1972) [texte imprimé] / Christopher D. Stone, Auteur ; Catherine Larrère (1944-...), Préfacier, etc. . - Disponible sur libgen.io . - Neuvy-en-Champagne (Sarthe) (Le Pré-Saint-Gervais, 72240) : Éditions le Passager clandestin, 2017 . - 130 p. ; 18 x 13 cm.
ISBN : 978-2-36935-087-3 : 12 €
Chap. 1 publié pour la première fois en 1972. Recension SH n°305, p. 66 / Thomas Lepeltier : "À la fin des années 1960, l’entreprise Walt Disney lance un projet de construction d’une station de ski dans une vallée de Californie, célèbre pour ses séquoias. Une association de protection de la nature s’y oppose et engage une action en justice. En 1970, elle est déboutée au motif que ce ne sont pas ses membres qui sont menacés par le projet. Elle fait néanmoins appel. Avant qu’elle arrive devant la Cour suprême des États-Unis, un professeur de droit, Christopher Stone, a vent de l’affaire et rédige un article où il défend l’idée d’accorder des droits aux arbres et à toute entité naturelle. Ce dernier est lu, un peu par hasard, par certains membres de la Cour suprême. En 1972, l’appel est rejeté, mais l’article fait date. Il devient un des textes fondateurs de l’écologie dite profonde. D’où l’intérêt de voir cet article ici traduit, publié et précédé d’une longue préface de la philosophe Catherine Larrère.
L’argument principal de C. Stone consiste à dire qu’il n’y a aucune raison de ne pas étendre l’attribution de droits au-delà du cercle de l’humanité. Certes, les arbres ne peuvent plaider eux-mêmes leur cause. Mais, comme C. Stone le fait remarquer, c’est aussi le cas de beaucoup d’humains (enfants, handicapés, etc.). Il suffit de nommer des tuteurs capables de faire valoir leurs droits. Si certains estiment qu’il suffirait de mettre en avant les préjudices subis par les humains quand on détruit des arbres, C. Stone soutient qu’attribuer des droits à ces derniers est la façon la plus efficace de les protéger. Enfin, on pourrait objecter que, pour se voir reconnaître des droits, il faudrait pouvoir exhiber des caractéristiques particulières. Non, répond C. Stone. Il n’est pas ici question de « droits naturels ». Sur un plan juridique, il suffit d’accorder des droits à une entité… pour qu’elle ait des droits. Reste à savoir si, au-delà de la simple procédure juridique, l’attribution de droits aux arbres a vraiment un sens. C’est un débat toujours actif…"
Catégories : L DROIT Mots-clés : Nature, Ecologie, Climat, Energie, Terre, agroalimentaire Géographie Sciences Droit et justice / Droit social et du travail / Droit de l'environnement Protection de l'environnement Protection droit, protection de l'environnement Éthique de l'environnement Environnement -- Conservation des ressources naturelles Environnement Index. décimale : L-62 Institutions administratives Résumé : Article publié en 1972 par le juriste à l'occasion de l'affaire Sierra club contre Morton, initiée par des opposants à un projet de la Walt Disney company menaçant les séquoias d'une vallée de Californie. Il y démontre la pertinence de la reconnaissance de la nature comme sujet de droit et de l'accord de droits juridiques à l'environnement naturel.
Originally published in 1972, Should Trees Have Standing? was a rallying point for the then burgeoning environmental movement, launching a worldwide debate on the basic nature of legal rights that reached the U.S. Supreme Court. Now, in the 35th anniversary edition of this remarkably influential book, Christopher D. Stone updates his original thesis and explores the impact his ideas have had on the courts, the academy, and society as a whole. At the heart of the book is an eminently sensible, legally sound, and compelling argument that the environment should be granted legal rights. For the new edition, Stone explores a variety of recent cases and current events--and related topics such as climate change and protecting the oceans--providing a thoughtful survey of the past and an insightful glimpse at the future of the environmental movement. This enduring work continues to serve as the definitive statement as to why trees, oceans, animals, and the environment as a whole should be bestowed with legal rights, so that the voiceless elements in nature are protected for future generations.Note de contenu : 4e de couv. : "En 1972, pour contrer un projet de la Walt Disney Company qui menaçait une forêt de séquoias en Californie, le juriste Christopher Stone proposa, dans cet article pionnier, d'accorder des droits aux arbres et « à l'environnement naturel dans son ensemble ». Par ce texte (jusqu'ici inédit en français), Stone a contribué de façon décisive, aux côtés d'auteurs comme Rachel Carson, Lynn White Jr, Peter Singer ou Arne Naess, à la prise de conscience de la valeur intrinsèque de la nature. L'originalité de sa position tient à son caractère juridique : en conférant aux entités naturelles le droit, dans certaines situations, de se défendre en justice par l'intermédiaire de représentants, il ouvrait la voie au primat de leur préservation sur le pur calcul économique.
Cette idée a fait son chemin. En 2008, la Constitution de l'Équateur faisait expressément de la nature un sujet de droit. En 2016, en Nouvelle-Zélande et en Inde, des fleuves se sont vu reconnaître une personnalité juridique. Depuis quelques années, un peu partout dans le monde, un débat philosophique et juridique intense interroge les liens qui unissent humains et non-humains sur notre planète.
Dans une ample préface, après avoir replacé l'article de Stone dans son époque, Catherine Larrère éclaire l'état de la controverse actuelle et livre sa réflexion sur les positions des mouvements contemporains de revendication de droits pour la nature. « Tout ne se résout pas juridiquement », estime-t-elle. Face aux visions holistiques, comme celles qui réclament la reconnaissance pénale d'un crime d'« écocide », elle invoque la nécessité d'une approche plus directement politique. Les voies pour résoudre les conflits opposant humains et non-humains sont diverses, suivant les échelles et les domaines concernés. C'est pourquoi « Christopher Stone, ce défenseur du pluralisme, mérite hier comme aujourd'hui, d'être lu attentivement »."En ligne : https://www.scienceshumaines.com/les-arbres-doivent-ils-pouvoir-plaider_fr_39818 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186684 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 140101 L-62 STO Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Droit-Gestion Disponible Documents numériques
Titre : Du bon usage de la nature : pour une philosophie de l'environnement Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Larrère (1944-...) , Auteur ; Raphaël Larrère (1942-...), Auteur
Editeur : Paris : Aubier Année de publication : 1997 Collection : Alto (Paris), ISSN 1264-4838 Importance : 355 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7007-3662-5 Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : ENVIRONNEMENT HUMANISME ECOLOGIE PROTECTION DE LA NATURE RISQUE POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT PHILOSOPHIE HISTOIRE Nature -- Protection -- Aspect moral Écologie humaine Éthique de l'environnement Philosophie de la nature Environnement -- Protection Nature conservation -- Moral and ethical aspects Human ecology Environmental ethics Philosophy of nature Environmental protection Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Une approche philosophique des rapports de l'homme à la nature depuis l'Antiquité. Note de contenu : Notes bibliogr. 4e de couv. : ""Du bon usage de la nature" est un essai de philosophie et d'éthique à l'environnement qui se présente en deux parties. La première, s'appuyant sur des courants philosophiques allant du naturalisme au darwinisme, traite du rapport de l'homme à la nature, des notions d'écologie des populations et propose une réflexion sur l'appréhension de l'environnement, de la nature et des écosystèmes par la société moderne. La seconde partie s'intéresse quant à elle au principe de responsabilité dont s'est doté l'homme vis-à-vis de la nature et de l'environnement qui l'entoure : la protection de la nature, le rapport au facteur risque au coeur d'une construction sociale et enfin la notion d'harmonie entre l'habitant et son habitat, entre l'homme et la nature." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6888 Du bon usage de la nature : pour une philosophie de l'environnement [texte imprimé] / Catherine Larrère (1944-...), Auteur ; Raphaël Larrère (1942-...), Auteur . - Paris : Aubier, 1997 . - 355 p.. - (Alto (Paris), ISSN 1264-4838) .
ISBN : 978-2-7007-3662-5
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : ENVIRONNEMENT HUMANISME ECOLOGIE PROTECTION DE LA NATURE RISQUE POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT PHILOSOPHIE HISTOIRE Nature -- Protection -- Aspect moral Écologie humaine Éthique de l'environnement Philosophie de la nature Environnement -- Protection Nature conservation -- Moral and ethical aspects Human ecology Environmental ethics Philosophy of nature Environmental protection Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Une approche philosophique des rapports de l'homme à la nature depuis l'Antiquité. Note de contenu : Notes bibliogr. 4e de couv. : ""Du bon usage de la nature" est un essai de philosophie et d'éthique à l'environnement qui se présente en deux parties. La première, s'appuyant sur des courants philosophiques allant du naturalisme au darwinisme, traite du rapport de l'homme à la nature, des notions d'écologie des populations et propose une réflexion sur l'appréhension de l'environnement, de la nature et des écosystèmes par la société moderne. La seconde partie s'intéresse quant à elle au principe de responsabilité dont s'est doté l'homme vis-à-vis de la nature et de l'environnement qui l'entoure : la protection de la nature, le rapport au facteur risque au coeur d'une construction sociale et enfin la notion d'harmonie entre l'habitant et son habitat, entre l'homme et la nature." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6888 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7349 S-40 LAR Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Sorti jusqu'au 01/03/2021 La distinction entre le naturel et l’artificiel à l’épreuve des nouvelles technologies / Bernadette Bensaude-Vincent
![]()
![]()
Titre : La distinction entre le naturel et l’artificiel à l’épreuve des nouvelles technologies Type de document : document électronique Auteurs : Bernadette Bensaude-Vincent (1949-...) , Auteur ; Catherine Larrère (1944-...)
, Auteur ; Raphaël Larrère (1942-...), Auteur
Mention d'édition : 11 mai 2005 Editeur : Lyon Cedex 07 : Ecole Nationale Supérieure (ENS) de Lyon éditions Année de publication : 2005 Autre Editeur : Paris : Inserm, Institut national de la santé et de la recherche médicale (France) Importance : 1h16'21" Langues : Français (fre) Mots-clés : Philosophie , Biologie vivant, bioéthique, technoscience Résumé :
Une interrogation éthique, entre expertise scientifique et décision politique. Cette conférence permet de se demander si les technologies contemporaines remettent en cause la distinction entre le naturel et l'artificiel. Celle-ci s'organise en trois temps :
Biotechnologies et manipulations génétiques : de la dissémination d’agrostis au drame de Lucifer (Raphaël Larrère)
Accompagner ou évaluer les nanotechnologies ? (Bernadette Bensaude-Vincent)
La portée éthique de la distinction entre le naturel et l’artificiel (Catherine Larrère)
Note de contenu : Éthique à l’ENS, avec le comité d’éthique de l’INSERM En ligne : http://savoirs.ens.fr/expose.php?id=307 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=138872 La distinction entre le naturel et l’artificiel à l’épreuve des nouvelles technologies [document électronique] / Bernadette Bensaude-Vincent (1949-...), Auteur ; Catherine Larrère (1944-...)
, Auteur ; Raphaël Larrère (1942-...), Auteur . - 11 mai 2005 . - Lyon Cedex 07 (15, parvis René-Descartes, BP 7000, 69342) : Ecole Nationale Supérieure (ENS) de Lyon éditions : Paris : Inserm, Institut national de la santé et de la recherche médicale (France), 2005 . - 1h16'21".
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Philosophie , Biologie vivant, bioéthique, technoscience Résumé :
Une interrogation éthique, entre expertise scientifique et décision politique. Cette conférence permet de se demander si les technologies contemporaines remettent en cause la distinction entre le naturel et l'artificiel. Celle-ci s'organise en trois temps :
Biotechnologies et manipulations génétiques : de la dissémination d’agrostis au drame de Lucifer (Raphaël Larrère)
Accompagner ou évaluer les nanotechnologies ? (Bernadette Bensaude-Vincent)
La portée éthique de la distinction entre le naturel et l’artificiel (Catherine Larrère)
Note de contenu : Éthique à l’ENS, avec le comité d’éthique de l’INSERM En ligne : http://savoirs.ens.fr/expose.php?id=307 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=138872 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
L’écoféminisme : féminisme écologique ou écologie féministe / Catherine Larrère in Tracés. Revue de sciences humaines / journals.openedition.org, 22 (mai 2012)
![]()
[article]
Titre : L’écoféminisme : féminisme écologique ou écologie féministe Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Larrère (1944-...) , Auteur
Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 105-121 Langues : Français (fre) Mots-clés : féminisme, écologie, éthique environnementale, éthique du , domination Résumé : L’écoféminisme met en relation deux formes de domination : celle des hommes sur les femmes, et celle des humains sur la nature. S’agit-il d’avoir une vision plus écologique du féminisme, ou, en introduisant la question des femmes dans l’éthique environnementale, s’agit-il de mettre en question la nature à laquelle cette éthique se réfère ? Plusieurs variantes d’écoféminisme sont examinées : un écoféminisme culturel, qui se réclame d’une éthique du care, et un écoféminisme plus social et politique, qui, localisé au Sud, apporte, dans l’analyse, un troisième type de domination, la domination coloniale et post-coloniale qui pèse plus spécifiquement sur les femmes. L’idée qui se dégage est que l’écoféminisme développe un nouveau type d’attention aux questions environnementales (liées à la santé et à la vulnérabilité) et met en question une autonomie de l’économie qui occulte sa double dépendance vis-à-vis du foyer et vis-à-vis de l’environnement terrestre. C’est l’articulation de ces deux attachements que l’écoféminisme fait apparaître. Note de contenu : PLAN :
Entre nature et culture : où sont les femmes ?
Les femmes et le Tiers-Monde : une autre écologie ?
Mère ou marâtre ?
Ce que nous apprend l’écoféminismeEn ligne : https://journals.openedition.org/traces/5454 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=243464
in Tracés. Revue de sciences humaines / journals.openedition.org > 22 (mai 2012) . - pp. 105-121[article] L’écoféminisme : féminisme écologique ou écologie féministe [texte imprimé] / Catherine Larrère (1944-...), Auteur . - 2012 . - pp. 105-121.
Langues : Français (fre)
in Tracés. Revue de sciences humaines / journals.openedition.org > 22 (mai 2012) . - pp. 105-121
Mots-clés : féminisme, écologie, éthique environnementale, éthique du , domination Résumé : L’écoféminisme met en relation deux formes de domination : celle des hommes sur les femmes, et celle des humains sur la nature. S’agit-il d’avoir une vision plus écologique du féminisme, ou, en introduisant la question des femmes dans l’éthique environnementale, s’agit-il de mettre en question la nature à laquelle cette éthique se réfère ? Plusieurs variantes d’écoféminisme sont examinées : un écoféminisme culturel, qui se réclame d’une éthique du care, et un écoféminisme plus social et politique, qui, localisé au Sud, apporte, dans l’analyse, un troisième type de domination, la domination coloniale et post-coloniale qui pèse plus spécifiquement sur les femmes. L’idée qui se dégage est que l’écoféminisme développe un nouveau type d’attention aux questions environnementales (liées à la santé et à la vulnérabilité) et met en question une autonomie de l’économie qui occulte sa double dépendance vis-à-vis du foyer et vis-à-vis de l’environnement terrestre. C’est l’articulation de ces deux attachements que l’écoféminisme fait apparaître. Note de contenu : PLAN :
Entre nature et culture : où sont les femmes ?
Les femmes et le Tiers-Monde : une autre écologie ?
Mère ou marâtre ?
Ce que nous apprend l’écoféminismeEn ligne : https://journals.openedition.org/traces/5454 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=243464 PermalinkÉcologie, éthique et confiance / Catherine Larrère in Après-demain : journal mensuel de documentation politique / BU de Droit et Cairn.info, 53 (2020/1)
![]()
Permalink"Environnement : ne pas ignorer les conflits" / Catherine Larrère in Revue Projet. Éclairer l’avenir / Cairn.info, 347 (août 2015)
PermalinkL'ETHIQUE APPLIQUEE / Catherine Larrère ; MARIE FAGOT LARGEAULT ; Florence Burgat in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info, 002 (03/2006)
PermalinkPermalinkPermalinkL'invention de l'économie au XVIIIe siècle : du droit naturel à la physiocratie / BU de Lettres / Catherine Larrère
![]()
PermalinkLes OGM entre hostilité de principe et principe de précaution / Catherine Larrère in Le courrier de l'environnement de l'INRA / INRA, n. 43 (2001/05)
![]()
PermalinkOuvrage en débat : La grande adaptation. Climat, capitalisme et catastrophe, Romain Felli, Seuil, 2016, 240 p / Catherine Larrère in Natures, Sciences, Sociétés / Cairn.info et NSS-Journal.org, 25/1 (2017/1)
PermalinkPermalink