
Détail de l'auteur
Auteur Pierre-Henri Gouyon (1953-...)
Commentaire :
professeur au Muséum national d’histoire naturelle, à AgroParisTech et à l’École nationale supérieure
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Titre : Biodiversité : un nouveau récit à écrire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Blondel (1936-...), Auteur ; Pierre-Henri Gouyon (1953-...), Préfacier, etc. Mention d'édition : La couv. porte en plus : "Habiter autrement la Terre" Editeur : Versailles : Éditions Quæ Année de publication : 2020 Importance : 207 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 23 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7592-3209-3 Prix : 24 € Note générale : Même si l’Anthropocène est l’ère de prouesses techniques qui améliorent et embellissent la vie, il est aussi celle d’une dévastation sans précédent de la biodiversité. Mais pour l’auteur de cet ouvrage, la science et l’éthique peuvent encore lui porter secours.
Jacques Blondel rappelle d’abord les fondements écologiques des habitats de tout être vivant, en observant que les humains en ont poussé très loin l’aménagement. Il analyse ensuite les mécanismes du déclin de la biodiversité. Puis, au rebours d’une vision catastrophiste du monde et d’une « nature confisquée », il plaide pour une pacification de nos rapports au vivant non-humain et démontre les chemins à emprunter pour y parvenir.
Dans cet ouvrage, l’auteur convoque à la fois les acquis les plus récents de la recherche scientifique dont, écrit-il, le rôle est de révéler ce qui est inaccessible à nos sens, et ceux d’une éthique environnementale empreinte de spiritualité pour montrer qu’il est parfaitement possible de rétablir un pacte du vivre ensemble avec un environnement enfin respecté, autrement dit « de prendre à cœur le monde » selon une expression de Hannah Arendt.
Nous guidant peu à peu vers des options d’écologie intégrative, où « tout est lié », il soulève la question de la légitimité d’un anthropocentrisme conquérant au détriment de cette autre composante de la vie qu’est le vivant non humain, sachant que ce dernier doit être valorisé et respecté pour ce qu’il nous rapporte mais aussi pour ce qu’il estLangues : Français (fre) Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Biodiversité Sciences et découverte de l'Univers et de la nature / Nature / Biologie et écologie des milieux Écologie Éthique de l'environnement Ecologie -- Réseaux d'interactions éthique Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : L'auteur analyse l'évolution de la biodiversité au cours de l'histoire avant d'aborder les mécanismes de son effondrement. Il encourage les hommes à respecter l'environnement afin de ralentir ce processus de dévastation. S'opposant à une vision catastrophiste, son approche allie les derniers acquis de la recherche scientifique et une éthique environnementale laissant la place à la spiritualité.
Alors que l'Anthropocène est l'ère de prouesses techniques qui améliorent et embellissent la vie, il est aussi celle d'une dévastation sans précédent de la biodiversité. Mais pour l'auteur, la science et l'éthique peuvent encore lui porter secours. Jacques Blondel rappelle d'abord les fondements écologiques de l'aménagement de son habitat par tout être vivant, soulignant qu'aucun n'est allé aussi loin que les humains dans sa construction. Il analyse ensuite les mécanismes du déclin de la biodiversité. Puis, au rebours d'une vision catastrophiste du monde et d'une « nature confisquée », il plaide pour une pacification de nos rapports au vivant non humain et propose les chemins à emprunter pour y parvenir. L'auteur convoque à la fois les acquis les plus récents de la recherche scientifique dont, écrit-il, le rôle est de révéler ce qui est inaccessible à nos sens, et ceux d'une éthique environnementale empreinte de spiritualité pour montrer qu'il est parfaitement possible de rétablir un pacte du vivre ensemble avec un environnement enfin respecté, autrement dit « de prendre à coeur le monde » selon une expression de Hannah Arendt.
Nous guidant peu à peu vers des options d'écologie intégrative, où « tout est lié », il soulève la question de la légitimité d'un anthropocentrisme conquérant au détriment de cette autre composante de la vie qu'est le vivant non humain, sachant que ce dernier doit être valorisé et respecté pour ce qu'il nous rapporte mais aussi pour ce qu'il est.
Note de contenu : Sommaire :
Remerciements
Préface de Pierre-Henri Gouyon
1.De l’émergence à la saturation
1.1 Construction de niche, l’exophénotype
1.2 La dialectique Malthus – Darwin
1.3 Le moteur du « progrès » et la grande accélération
1.4 L’emballement
1.5 Le syndrome des références glissantes ou l’amnésie intergénérationnelle
1.6 L’Anthropocène
1.7 La nature confisquée par l’économie
1.8 L’Anthropocène sur la flèche du temps long
2.Où allons-nous ?
2.1 Les racines du désastre
2.2 Basculement des trajectoires écologiques
2.3 La question des limites
2.4 Un monde déboussolé
2.5 De la révolte au déni puis à l’espoir
2.6 La fin des dualismes
2.7 Éloge du vivant non-humain
3.Habiter autrement la Terre
3.1 Retour au passé ? décroître ?
3.2 Un nouveau récit pour la conservation
3.3 Le retour du sauvage : partager ou séparer ?
3.4 Ethique et valeurs
3.5 Exophénotype et spiritualité
3.6 Ne pas désespérer, les signes des temps
3.7 Tout est lié : l’écologie intégrale
3.8 Construire sa niche autrement
Épilogue
Références bibliographiques.- Bibliogr. p. 191-207. Notes bibliogr.En ligne : https://www.quae.com/extract/3260 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=260704 Biodiversité : un nouveau récit à écrire [texte imprimé] / Jacques Blondel (1936-...), Auteur ; Pierre-Henri Gouyon (1953-...), Préfacier, etc. . - La couv. porte en plus : "Habiter autrement la Terre" . - Versailles (c/o Inra, RD 10, 78026) : Éditions Quæ, 2020 . - 207 p. : couv. ill. en coul. ; 23 x 15 cm.
ISBN : 978-2-7592-3209-3 : 24 €
Même si l’Anthropocène est l’ère de prouesses techniques qui améliorent et embellissent la vie, il est aussi celle d’une dévastation sans précédent de la biodiversité. Mais pour l’auteur de cet ouvrage, la science et l’éthique peuvent encore lui porter secours.
Jacques Blondel rappelle d’abord les fondements écologiques des habitats de tout être vivant, en observant que les humains en ont poussé très loin l’aménagement. Il analyse ensuite les mécanismes du déclin de la biodiversité. Puis, au rebours d’une vision catastrophiste du monde et d’une « nature confisquée », il plaide pour une pacification de nos rapports au vivant non-humain et démontre les chemins à emprunter pour y parvenir.
Dans cet ouvrage, l’auteur convoque à la fois les acquis les plus récents de la recherche scientifique dont, écrit-il, le rôle est de révéler ce qui est inaccessible à nos sens, et ceux d’une éthique environnementale empreinte de spiritualité pour montrer qu’il est parfaitement possible de rétablir un pacte du vivre ensemble avec un environnement enfin respecté, autrement dit « de prendre à cœur le monde » selon une expression de Hannah Arendt.
Nous guidant peu à peu vers des options d’écologie intégrative, où « tout est lié », il soulève la question de la légitimité d’un anthropocentrisme conquérant au détriment de cette autre composante de la vie qu’est le vivant non humain, sachant que ce dernier doit être valorisé et respecté pour ce qu’il nous rapporte mais aussi pour ce qu’il est
Langues : Français (fre)
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Biodiversité Sciences et découverte de l'Univers et de la nature / Nature / Biologie et écologie des milieux Écologie Éthique de l'environnement Ecologie -- Réseaux d'interactions éthique Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : L'auteur analyse l'évolution de la biodiversité au cours de l'histoire avant d'aborder les mécanismes de son effondrement. Il encourage les hommes à respecter l'environnement afin de ralentir ce processus de dévastation. S'opposant à une vision catastrophiste, son approche allie les derniers acquis de la recherche scientifique et une éthique environnementale laissant la place à la spiritualité.
Alors que l'Anthropocène est l'ère de prouesses techniques qui améliorent et embellissent la vie, il est aussi celle d'une dévastation sans précédent de la biodiversité. Mais pour l'auteur, la science et l'éthique peuvent encore lui porter secours. Jacques Blondel rappelle d'abord les fondements écologiques de l'aménagement de son habitat par tout être vivant, soulignant qu'aucun n'est allé aussi loin que les humains dans sa construction. Il analyse ensuite les mécanismes du déclin de la biodiversité. Puis, au rebours d'une vision catastrophiste du monde et d'une « nature confisquée », il plaide pour une pacification de nos rapports au vivant non humain et propose les chemins à emprunter pour y parvenir. L'auteur convoque à la fois les acquis les plus récents de la recherche scientifique dont, écrit-il, le rôle est de révéler ce qui est inaccessible à nos sens, et ceux d'une éthique environnementale empreinte de spiritualité pour montrer qu'il est parfaitement possible de rétablir un pacte du vivre ensemble avec un environnement enfin respecté, autrement dit « de prendre à coeur le monde » selon une expression de Hannah Arendt.
Nous guidant peu à peu vers des options d'écologie intégrative, où « tout est lié », il soulève la question de la légitimité d'un anthropocentrisme conquérant au détriment de cette autre composante de la vie qu'est le vivant non humain, sachant que ce dernier doit être valorisé et respecté pour ce qu'il nous rapporte mais aussi pour ce qu'il est.
Note de contenu : Sommaire :
Remerciements
Préface de Pierre-Henri Gouyon
1.De l’émergence à la saturation
1.1 Construction de niche, l’exophénotype
1.2 La dialectique Malthus – Darwin
1.3 Le moteur du « progrès » et la grande accélération
1.4 L’emballement
1.5 Le syndrome des références glissantes ou l’amnésie intergénérationnelle
1.6 L’Anthropocène
1.7 La nature confisquée par l’économie
1.8 L’Anthropocène sur la flèche du temps long
2.Où allons-nous ?
2.1 Les racines du désastre
2.2 Basculement des trajectoires écologiques
2.3 La question des limites
2.4 Un monde déboussolé
2.5 De la révolte au déni puis à l’espoir
2.6 La fin des dualismes
2.7 Éloge du vivant non-humain
3.Habiter autrement la Terre
3.1 Retour au passé ? décroître ?
3.2 Un nouveau récit pour la conservation
3.3 Le retour du sauvage : partager ou séparer ?
3.4 Ethique et valeurs
3.5 Exophénotype et spiritualité
3.6 Ne pas désespérer, les signes des temps
3.7 Tout est lié : l’écologie intégrale
3.8 Construire sa niche autrement
Épilogue
Références bibliographiques.- Bibliogr. p. 191-207. Notes bibliogr.En ligne : https://www.quae.com/extract/3260 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=260704 Réservation
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Faut-il avoir peur des aliments transgéniques ? / Dorothée Benoit-Browaeys in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses, 530 (05/1998)
[article]
Titre : Faut-il avoir peur des aliments transgéniques ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Dorothée Benoit-Browaeys, Auteur ; Pierre-Henri Gouyon (1953-...), Auteur Année de publication : 05/1998 Article en page(s) : p.26 Langues : Français (fre) Mots-clés : Monde industrie agroalimentaire manipulation génétique sélection végétale 1990- Résumé : Si les plantes génétiquement modifiées couvrent d'ores et déjà des millions d'hectares aux Etats-Unis, les Européens, pour leur part, rechignent à "cultiver et manger transgénique". Pourtant, pour la première fois en Europe, le gouvernement français a autorisé, le 27 novembre 1997, la mise en culture d'une variété de maïs manipulé. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=70535
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses > 530 (05/1998) . - p.26[article] Faut-il avoir peur des aliments transgéniques ? [texte imprimé] / Dorothée Benoit-Browaeys, Auteur ; Pierre-Henri Gouyon (1953-...), Auteur . - 05/1998 . - p.26.
Langues : Français (fre)
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses > 530 (05/1998) . - p.26
Mots-clés : Monde industrie agroalimentaire manipulation génétique sélection végétale 1990- Résumé : Si les plantes génétiquement modifiées couvrent d'ores et déjà des millions d'hectares aux Etats-Unis, les Européens, pour leur part, rechignent à "cultiver et manger transgénique". Pourtant, pour la première fois en Europe, le gouvernement français a autorisé, le 27 novembre 1997, la mise en culture d'une variété de maïs manipulé. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=70535 Les harmonies de la Nature à l'épreuve de la biologie : évolution et biodiversité / Pierre-Henri Gouyon in Sciences en questions, 2001 ([01/08/2001])
[article]
Titre : Les harmonies de la Nature à l'épreuve de la biologie : évolution et biodiversité : une conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions, Paris, INRA, 23 mars 2000 Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Henri Gouyon (1953-...) Année de publication : 2001 Article en page(s) : 91 p. Note générale : bibliogr. Résumé : La vision actuelle du biologiste est bien éloignée de la représentation souvent idéalisée de la nature qui prévaut encore dans la société. Les débats concernant notamment les biotechnologies et la gestion de la planète exigent que scientifiques et citoyens partagent acquis et incertitudes dans les domaines de la génétique, de l'écologie ou de l'éthologie. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=172031
in Sciences en questions > 2001 [01/08/2001] . - 91 p.[article] Les harmonies de la Nature à l'épreuve de la biologie : évolution et biodiversité : une conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions, Paris, INRA, 23 mars 2000 [texte imprimé] / Pierre-Henri Gouyon (1953-...) . - 2001 . - 91 p.
bibliogr.
in Sciences en questions > 2001 [01/08/2001] . - 91 p.
Résumé : La vision actuelle du biologiste est bien éloignée de la représentation souvent idéalisée de la nature qui prévaut encore dans la société. Les débats concernant notamment les biotechnologies et la gestion de la planète exigent que scientifiques et citoyens partagent acquis et incertitudes dans les domaines de la génétique, de l'écologie ou de l'éthologie. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=172031
Titre : Manuel d'écologie urbaine Type de document : texte imprimé Auteurs : Audrey Muratet (1978-...), Auteur ; François Chiron, Auteur ; Marc Barra (1984-...), Collaborateur ; Gilles Lecuir, Collaborateur ; Myr Muratet , Photographe ; Pierre-Henri Gouyon (1953-...), Postfacier, auteur du colophon, etc.
Mention d'édition : Conception graphique : Marie Pellaton Editeur : Dijon : Les Presses du réel Année de publication : 2019 Collection : Al dante Importance : 120 p. Présentation : illustrations en couleur, couv. ill. Format : 13 x 20 cm Accompagnement : broché, couv. à rabats ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37896-087-2 Prix : 15 € Note générale : Ce manuel propose un état des connaissances actuelles sur le fonctionnement de la nature en milieu urbain : son écologie.
Les villes sont des structures complexes qui abritent une disparité de conditions de vie. Elles peuvent générer des viviers de biodiversité comme elles peuvent les détruire. Elles sont elles-mêmes des organismes qui se développent, mutent, périclitent. Ce manuel analyse ces phénomènes. Il affirme quelques principes afin de pallier la cécité écologique des citadins, et parer à l'agonie des écosystèmes urbains.
Ce manuel entend provoquer une prise de conscience. Elle est nécessaire, insuffisante et pourtant indispensable. Chaque être vivant dépend des interactions entretenues avec les milieux et le vivant qui l'entourent, quels qu'ils soient. L'ouvrage souligne par là même les dimensions sociologiques, urbanistiques et politiques induites.
Audrey Muratet explore et étudie la composition et la dynamique de la biodiversité des villes. Elle étend ses travaux d'écologue et de botaniste en associant à sa recherche l'approche de géographes, de sociologues, d'anthropologues, de gestionnaires et la pratique d'artistes. Docteure en écologie de l'université Pierre et Marie Curie et botaniste formée au Conservatoire botanique du Bassin parisien, elle a mené ses premiers travaux en écologie urbaine au Muséum national d'histoire naturelle. Depuis 2015, elle travaille à l'Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France au sein de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme d'Île-de-France. Hors ses publications scientifiques, elle a publié de nombreux guides naturalistes dont la Flore des friches urbaines, avec Myr Muratet et Marie Pellaton, éd. Xavier Barral, 2017.
Écologue, spécialiste des oiseaux et des mammifères, François Chiron parcourt et étudie les paysages les plus transformés par l'Homme : urbains et agricoles. Il se passionne pour les capacités de la nature à s'adapter et à évoluer dans ces environnements bouleversés et mouvants. Ses travaux permettent de repenser la place d'espèces jugées indésirables (nuisibles, invasives) et d'imaginer des solutions pour une meilleure conciliation entre activités humaines et conservation de la nature. Après plusieurs expériences dans des laboratoires français et étrangers, il est depuis 2013, Maître de conférences. Il enseigne à AgroParisTech et mène ses recherches à l'Université Paris-Saclay.
Le travail photographique de Myr Muratet implique la ville – celle où il vit –, mené depuis ses crans, multipliant les allers et retours dans des lieux occupés et au gré des rencontres avec les personnes photographiées, des années durant. Ainsi réalise-t-il Paris-Nord, une série de photographies sur un groupe polyconsomateurs et occupants de la gare du Nord, ses alentours et les dispositifs mis en place pour les contraindre ; Wasteland, une recherche autour des notions d'occupation, d'invasion, d'enclosure menée dans les friches urbaines de Seine-Saint- Denis ; ou CityWalk, sur quelques conséquences de l'avancée du Grand-Paris. Déjà paru : Flore des friches urbaines, op. cit., éd. Xavier Barral, 2017 ; La Sécurité des personnes et des biens, avec le poète Manuel Joseph, éd. P.O.L, 2010.
En hyperlien : "À l’échelle de la ville ou de l’habitation, la question de l’hospitalité - qui fut longtemps considérée comme un devoir -, est un thème régulièrement abordé en architecture. Moins courante et moins discutée est celle de l’inhospitalité programmée. Quatre photographes, Geoffroy Mathieu en tandem avec Jordi Ballesta, Sandrine Marc et Myr Muratet s’en sont emparé, en observant les « dispositifs anti-installation » présents en périphérie urbaine ou au cœur des villes. Ces dispositifs, dont on ne comprend pas la fonction au premier abord, révèlent une ingéniosité parfois spectaculaire dans la composition de lieux pensés pour dissuader l’installation humaine. Pascale Joffroy, architecte spécialiste des habitats précaires, porte sur ce phénomène un regard dont elle discutera avec les photographes. Projection-débat en présence de Sandrine Marc, Geoffroy Mathieu, Jordi Ballesta et Myr Muratet, photographes, et de Pascale Joffroy, architecte, journaliste, enseignante à l’école d’architecture de la Ville et des Territoires de Marne-la-Vallée et fondatrice de l’association Système B comme bidonvilles." (1h03'24)Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Architecture, urbanisme Sciences et découverte de l'Univers et de la nature / Nature / Biologie et écologie des milieux STM Écologie urbaine Aménagement du territoire -- Aspect environnemental -- 1990-... biodiversité, ville, écologie urbaine, politique de l'environnement, protection de l'environnement Biodiversité urbaine Nature -- Effets de l'homme Urbanisme durable Index. décimale : F-63 Habitat - sociologie de l'habitat Résumé : Une analyse du fonctionnement de la nature en milieu urbain. Structures complexes, les villes peuvent tout aussi bien créer des viviers de biodiversité que les détruire. Elles-mêmes sont des organismes abritant une multitude de conditions de vie et pouvant se développer comment péricliter. Les auteurs étudient ces phénomènes et montrent comment empêcher la fin des écosystèmes urbains. Note de contenu : Sommaire :
Avertissement
CONTEXTE
Les villes évoluent
La biodiversité s'affaiblit
L'écologie urbaine
DES ÉCOSYSTÈMES URBAINS SINGULIERS
Une diversité insoupçonnée
Des sols bétonnés, bitumés, asphaltés
Des terres surpeuplées
Des mutations
Des espèces qui s'adaptent
Des communautés homogènes
Des aires urbaines connectées
PRINCIPES ET PROPOSITIONS
Extension du domaine de la nature
Préserver le passé
Accroître les liaisons naturelles
Affirmer la diversité
Contextualiser plutôt que répéter
Réduire la consommation
Expérimenter
CONCLUSION
POSTFACE
BibliographieEn ligne : http://www.lespressesdureel.com/ouvrage.php?id=7214 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228691 Manuel d'écologie urbaine [texte imprimé] / Audrey Muratet (1978-...), Auteur ; François Chiron, Auteur ; Marc Barra (1984-...), Collaborateur ; Gilles Lecuir, Collaborateur ; Myr Muratet, Photographe ; Pierre-Henri Gouyon (1953-...), Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Conception graphique : Marie Pellaton . - Dijon : Les Presses du réel, 2019 . - 120 p. : illustrations en couleur, couv. ill. ; 13 x 20 cm + broché, couv. à rabats. - (Al dante) .
ISBN : 978-2-37896-087-2 : 15 €
Ce manuel propose un état des connaissances actuelles sur le fonctionnement de la nature en milieu urbain : son écologie.
Les villes sont des structures complexes qui abritent une disparité de conditions de vie. Elles peuvent générer des viviers de biodiversité comme elles peuvent les détruire. Elles sont elles-mêmes des organismes qui se développent, mutent, périclitent. Ce manuel analyse ces phénomènes. Il affirme quelques principes afin de pallier la cécité écologique des citadins, et parer à l'agonie des écosystèmes urbains.
Ce manuel entend provoquer une prise de conscience. Elle est nécessaire, insuffisante et pourtant indispensable. Chaque être vivant dépend des interactions entretenues avec les milieux et le vivant qui l'entourent, quels qu'ils soient. L'ouvrage souligne par là même les dimensions sociologiques, urbanistiques et politiques induites.
Audrey Muratet explore et étudie la composition et la dynamique de la biodiversité des villes. Elle étend ses travaux d'écologue et de botaniste en associant à sa recherche l'approche de géographes, de sociologues, d'anthropologues, de gestionnaires et la pratique d'artistes. Docteure en écologie de l'université Pierre et Marie Curie et botaniste formée au Conservatoire botanique du Bassin parisien, elle a mené ses premiers travaux en écologie urbaine au Muséum national d'histoire naturelle. Depuis 2015, elle travaille à l'Agence régionale de la biodiversité en Île-de-France au sein de l'Institut d'aménagement et d'urbanisme d'Île-de-France. Hors ses publications scientifiques, elle a publié de nombreux guides naturalistes dont la Flore des friches urbaines, avec Myr Muratet et Marie Pellaton, éd. Xavier Barral, 2017.
Écologue, spécialiste des oiseaux et des mammifères, François Chiron parcourt et étudie les paysages les plus transformés par l'Homme : urbains et agricoles. Il se passionne pour les capacités de la nature à s'adapter et à évoluer dans ces environnements bouleversés et mouvants. Ses travaux permettent de repenser la place d'espèces jugées indésirables (nuisibles, invasives) et d'imaginer des solutions pour une meilleure conciliation entre activités humaines et conservation de la nature. Après plusieurs expériences dans des laboratoires français et étrangers, il est depuis 2013, Maître de conférences. Il enseigne à AgroParisTech et mène ses recherches à l'Université Paris-Saclay.
Le travail photographique de Myr Muratet implique la ville – celle où il vit –, mené depuis ses crans, multipliant les allers et retours dans des lieux occupés et au gré des rencontres avec les personnes photographiées, des années durant. Ainsi réalise-t-il Paris-Nord, une série de photographies sur un groupe polyconsomateurs et occupants de la gare du Nord, ses alentours et les dispositifs mis en place pour les contraindre ; Wasteland, une recherche autour des notions d'occupation, d'invasion, d'enclosure menée dans les friches urbaines de Seine-Saint- Denis ; ou CityWalk, sur quelques conséquences de l'avancée du Grand-Paris. Déjà paru : Flore des friches urbaines, op. cit., éd. Xavier Barral, 2017 ; La Sécurité des personnes et des biens, avec le poète Manuel Joseph, éd. P.O.L, 2010.
En hyperlien : "À l’échelle de la ville ou de l’habitation, la question de l’hospitalité - qui fut longtemps considérée comme un devoir -, est un thème régulièrement abordé en architecture. Moins courante et moins discutée est celle de l’inhospitalité programmée. Quatre photographes, Geoffroy Mathieu en tandem avec Jordi Ballesta, Sandrine Marc et Myr Muratet s’en sont emparé, en observant les « dispositifs anti-installation » présents en périphérie urbaine ou au cœur des villes. Ces dispositifs, dont on ne comprend pas la fonction au premier abord, révèlent une ingéniosité parfois spectaculaire dans la composition de lieux pensés pour dissuader l’installation humaine. Pascale Joffroy, architecte spécialiste des habitats précaires, porte sur ce phénomène un regard dont elle discutera avec les photographes. Projection-débat en présence de Sandrine Marc, Geoffroy Mathieu, Jordi Ballesta et Myr Muratet, photographes, et de Pascale Joffroy, architecte, journaliste, enseignante à l’école d’architecture de la Ville et des Territoires de Marne-la-Vallée et fondatrice de l’association Système B comme bidonvilles." (1h03'24)
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Architecture, urbanisme Sciences et découverte de l'Univers et de la nature / Nature / Biologie et écologie des milieux STM Écologie urbaine Aménagement du territoire -- Aspect environnemental -- 1990-... biodiversité, ville, écologie urbaine, politique de l'environnement, protection de l'environnement Biodiversité urbaine Nature -- Effets de l'homme Urbanisme durable Index. décimale : F-63 Habitat - sociologie de l'habitat Résumé : Une analyse du fonctionnement de la nature en milieu urbain. Structures complexes, les villes peuvent tout aussi bien créer des viviers de biodiversité que les détruire. Elles-mêmes sont des organismes abritant une multitude de conditions de vie et pouvant se développer comment péricliter. Les auteurs étudient ces phénomènes et montrent comment empêcher la fin des écosystèmes urbains. Note de contenu : Sommaire :
Avertissement
CONTEXTE
Les villes évoluent
La biodiversité s'affaiblit
L'écologie urbaine
DES ÉCOSYSTÈMES URBAINS SINGULIERS
Une diversité insoupçonnée
Des sols bétonnés, bitumés, asphaltés
Des terres surpeuplées
Des mutations
Des espèces qui s'adaptent
Des communautés homogènes
Des aires urbaines connectées
PRINCIPES ET PROPOSITIONS
Extension du domaine de la nature
Préserver le passé
Accroître les liaisons naturelles
Affirmer la diversité
Contextualiser plutôt que répéter
Réduire la consommation
Expérimenter
CONCLUSION
POSTFACE
BibliographieEn ligne : http://www.lespressesdureel.com/ouvrage.php?id=7214 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228691 Réservation
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Quelle est la différence entre l'homme et l'animal ? / Pierre-Henri Gouyon in L'Ecologiste (Paris) / BM de Tours et SUDOC, vol. 18, n°50 (10/2017)
[article]
Titre : Quelle est la différence entre l'homme et l'animal ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Henri Gouyon (1953-...), Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.20-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : relation homme-animal Résumé : Réflexion de Pierre-Henri Gouyon, biologiste, professeur au Muséum national d'histoire naturelle et spécialiste de l'écologie et de l'évolution, sur la question de la différence entre les humains et les autres animaux : ses interrogations sur la pertinence de cette question ; la place de l’humain dans l’arbre du vivant ; la spécificité des humains liée selon lui à leur langage et leurs compétences informationnelles ; son appel à étendre la notion de "respect de l’autre" à d’autres êtres vivants que les humains. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=195712
in L'Ecologiste (Paris) / BM de Tours et SUDOC > vol. 18, n°50 (10/2017) . - p.20-22[article] Quelle est la différence entre l'homme et l'animal ? [texte imprimé] / Pierre-Henri Gouyon (1953-...), Auteur . - 2017 . - p.20-22.
Langues : Français (fre)
in L'Ecologiste (Paris) / BM de Tours et SUDOC > vol. 18, n°50 (10/2017) . - p.20-22
Mots-clés : relation homme-animal Résumé : Réflexion de Pierre-Henri Gouyon, biologiste, professeur au Muséum national d'histoire naturelle et spécialiste de l'écologie et de l'évolution, sur la question de la différence entre les humains et les autres animaux : ses interrogations sur la pertinence de cette question ; la place de l’humain dans l’arbre du vivant ; la spécificité des humains liée selon lui à leur langage et leurs compétences informationnelles ; son appel à étendre la notion de "respect de l’autre" à d’autres êtres vivants que les humains. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=195712 Quelle prise en compte du concept de biodiversité dans les programmes français de sciences et technologie et de sciences de la vie et de la Terre ? / Marco Barroca-Paccard in Recherches en didactique des sciences et des technologies (RDST) / openedition.org, n° 18/2018 (2018)
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