
Détail de l'auteur
Auteur Delphine Roy
Commentaire :
Delphine Roy, administratrice de l'Insee, division Redistribution et politiques sociales, auteure de l’article "Tout ce qui est à moi est à toi ? Mise en commun des revenus et transferts d’argent dans le couple" en 2005 dans la revue Terrain,
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1423 - novembre 2012 - Le travail domestique : 60 milliards d’heures en 2010 (Bulletin de Insee Première / Insee) / Delphine Roy
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Titre : 1423 - novembre 2012 - Le travail domestique : 60 milliards d’heures en 2010 Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Roy, Auteur Année de publication : 2012 Note générale : Voir aussi la note de lecture "La vraie valeur du travail domestique" de Renaud Chartoire, dans Sciences Humaines n°246, mars 2013, p. 12, en ligne sur http://www.scienceshumaines.com/la-vraie-valeur-du-travail-domestique_fr_30232.html Langues : Français (fre) Résumé : Chaque jour, en moyenne, nous consacrons plus de 3 heures à des tâches domestiques (cuisine, ménage, courses, soins aux enfants, etc.). Ce faisant, nous produisons des services dont nos proches et nous-mêmes pouvons profiter. Mais ces services ne sont pas comptabilisés dans le produit intérieur brut (PIB), alors qu’ils le seraient si nous les achetions, sous la forme par exemple d’heures de ménage. Dans une optique de mesure élargie des niveaux de vie, il importe de connaître la valeur de cette production. Selon les activités que l’on retient comme productives, le temps consacré à la production domestique sur une année en France représente une à deux fois le temps de travail rémunéré. Avec des choix intermédiaires de champ et de valorisation, cette production est évaluée à 33 % du PIB. Ce travail est majoritairement réalisé par les femmes (64 % des heures de travail domestique). Note de contenu : Sommaire :
Le travail domestique augmente le niveau de vie des ménages
Le « halo » du travail domestique
Pour les mères en couple, une semaine de 34 heures de travail domestique
Une à deux fois le temps de travail rémunéré
33 % du PIB selon une valorisation intermédiaire
Un enjeu pour les comparaisons internationales
Encadré
Définition du travail domestique : critères admis et points en suspensEn ligne : http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1423 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=21712 [n° ou bulletin] 1423 - novembre 2012 - Le travail domestique : 60 milliards d’heures en 2010 [texte imprimé] / Delphine Roy, Auteur . - 2012.
Voir aussi la note de lecture "La vraie valeur du travail domestique" de Renaud Chartoire, dans Sciences Humaines n°246, mars 2013, p. 12, en ligne sur http://www.scienceshumaines.com/la-vraie-valeur-du-travail-domestique_fr_30232.html
Langues : Français (fre)
Résumé : Chaque jour, en moyenne, nous consacrons plus de 3 heures à des tâches domestiques (cuisine, ménage, courses, soins aux enfants, etc.). Ce faisant, nous produisons des services dont nos proches et nous-mêmes pouvons profiter. Mais ces services ne sont pas comptabilisés dans le produit intérieur brut (PIB), alors qu’ils le seraient si nous les achetions, sous la forme par exemple d’heures de ménage. Dans une optique de mesure élargie des niveaux de vie, il importe de connaître la valeur de cette production. Selon les activités que l’on retient comme productives, le temps consacré à la production domestique sur une année en France représente une à deux fois le temps de travail rémunéré. Avec des choix intermédiaires de champ et de valorisation, cette production est évaluée à 33 % du PIB. Ce travail est majoritairement réalisé par les femmes (64 % des heures de travail domestique). Note de contenu : Sommaire :
Le travail domestique augmente le niveau de vie des ménages
Le « halo » du travail domestique
Pour les mères en couple, une semaine de 34 heures de travail domestique
Une à deux fois le temps de travail rémunéré
33 % du PIB selon une valorisation intermédiaire
Un enjeu pour les comparaisons internationales
Encadré
Définition du travail domestique : critères admis et points en suspensEn ligne : http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1423 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=21712 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire 37 - juillet 2019 - Les disparités d’APA à domicile entre départements (Bulletin de Les Dossiers de la Drees) / Mathieu Brunel
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est un bulletin de Les Dossiers de la Drees / France. Ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville. Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques
Titre : 37 - juillet 2019 - Les disparités d’APA à domicile entre départements Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathieu Brunel, Auteur ; Julie Latourelle, Auteur ; Delphine Roy, Auteur Année de publication : 2019 Importance : 38 p. Format : Langues : Français (fre) Résumé : En 2015, environ 5 % des seniors de 60 ans ou plus vivant à domicile bénéficient de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). Ce taux est plus élevé dans certains territoires que dans d’autres : c’est globalement le cas de la partie Sud de la France, de la Corse, ainsi que de quelques départements de la partie Nord (Pas-de-Calais, Aisne, Ardennes, Seine-Maritime). Les départements où la part de bénéficiaires de l’APA en GIR 1 et 2 (ceux qui ont le plus besoin d’aide dans la vie quotidienne) parmi les seniors à domicile est la plus faible sont également ceux qui présentent une offre plus abondante de places en hébergement pour personnes âgées. L’enquête Vie quotidienne et santé (VQS) conduite en 2014 a permis de mesurer pour la première fois la prévalence de la dépendance à domicile, au niveau départemental. Elle montre que les départements où la part de seniors en perte d’autonomie est élevée sont globalement les départements où davantage de seniors bénéficient de l’APA (tous GIR confondus). Ce résultat reste vrai quel que soit l’indicateur de dépendance considéré. Une analyse économétrique, introduisant trois types de facteurs (prévalence départementale de la dépendance, sociodémographiques, offres de soins), ouvre la discussion quant aux variables influentes dans les disparités d’APA à domicile entre départements. La régression du taux d’allocataires de l’APA d’un département sur ce taux de seniors "dépendants" permet d’expliquer à elle seule 38 % de la variabilité du taux d’allocataires. En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dd37.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=53101 [n° ou bulletin]37 - juillet 2019 - Les disparités d’APA à domicile entre départements [texte imprimé] / Mathieu Brunel, Auteur ; Julie Latourelle, Auteur ; Delphine Roy, Auteur . - 2019 . - 38 p. ; PDF.
est un bulletin de Les Dossiers de la Drees / France. Ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville. Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques
Langues : Français (fre)
Résumé : En 2015, environ 5 % des seniors de 60 ans ou plus vivant à domicile bénéficient de l’allocation personnalisée d’autonomie (APA). Ce taux est plus élevé dans certains territoires que dans d’autres : c’est globalement le cas de la partie Sud de la France, de la Corse, ainsi que de quelques départements de la partie Nord (Pas-de-Calais, Aisne, Ardennes, Seine-Maritime). Les départements où la part de bénéficiaires de l’APA en GIR 1 et 2 (ceux qui ont le plus besoin d’aide dans la vie quotidienne) parmi les seniors à domicile est la plus faible sont également ceux qui présentent une offre plus abondante de places en hébergement pour personnes âgées. L’enquête Vie quotidienne et santé (VQS) conduite en 2014 a permis de mesurer pour la première fois la prévalence de la dépendance à domicile, au niveau départemental. Elle montre que les départements où la part de seniors en perte d’autonomie est élevée sont globalement les départements où davantage de seniors bénéficient de l’APA (tous GIR confondus). Ce résultat reste vrai quel que soit l’indicateur de dépendance considéré. Une analyse économétrique, introduisant trois types de facteurs (prévalence départementale de la dépendance, sociodémographiques, offres de soins), ouvre la discussion quant aux variables influentes dans les disparités d’APA à domicile entre départements. La régression du taux d’allocataires de l’APA d’un département sur ce taux de seniors "dépendants" permet d’expliquer à elle seule 38 % de la variabilité du taux d’allocataires. En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dd37.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=53101 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire n° 1767 - juillet 2019 - 4 millions de seniors seraient en perte d’autonomie en 2050 (Bulletin de Insee Première / Insee) / Khaled Larbi
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Titre : n° 1767 - juillet 2019 - 4 millions de seniors seraient en perte d’autonomie en 2050 Type de document : texte imprimé Auteurs : Khaled Larbi, Auteur ; Delphine Roy, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Résumé : En 2015, en France hors Mayotte, selon une définition large englobant domicile et établissement, 2,5 millions de seniors sont en perte d’autonomie, soit 15,3 % des 60 ans ou plus. Parmi eux, 700 000 peuvent être considérés en perte d’autonomie sévère. Les taux de prévalence de la perte d’autonomie sont plus élevés dans les départements du Massif central, alors qu’ils sont plus faibles dans la région francilienne et à l’Ouest. Les seniors des DOM sont plus fréquemment en perte d’autonomie que ceux du reste de la France, alors qu’ils sont en moyenne plus jeunes.
Parmi les seniors de 75 ans ou plus, 8,8 % vivent en institution. Ceux des DOM, de Paris et de la Corse vivent plus souvent à domicile que ceux des départements de l’Ouest ou du Massif central.
Si les tendances démographiques et l’amélioration de l’état de santé se poursuivaient, la France hors Mayotte compterait 4 millions de seniors en perte d’autonomie en 2050, soit 16,4 % des seniors. Les taux de prévalence de la perte d’autonomie augmenteraient fortement dans les DOM et dans le Sud-Est de la France, en raison des effets de structure démographique, alors qu’ils resteraient stables dans les Hauts-de-Seine ou dans la Creuse.
Pour maintenir constant le pourcentage de personnes en établissement par département, sexe, tranche d’âge et degré de perte d’autonomie, il faudrait que le nombre de places en hébergement permanent en établissements pour personnes âgées augmente de 20 % d’ici à 2030 et de plus de 50 % à l’horizon 2050.Note de contenu : "Une étude de l’Insee rappelle les enjeux du vieillissement à l’horizon 2050
Alors que le gouvernement se penchera, à l’automne sur le projet de loi « Autonomie », une étude de l’Insee, publiée le 25 juillet, fait la radiographie du vieillissement de la population et de la perte d’autonomie des personnes âgées à l’horizon 2050.
Dans une étude publiée le 25 juillet, l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) brosse le portrait démographique de la France en 2050. « Si les tendances démographiques récentes et l’amélioration de l’état de santé se poursuivaient, la France hors Mayotte compterait 4 millions de seniors en perte d’autonomie en 2050, soit 16,4 % des personnes âgées de 60 ans ou plus (contre 15,3 % en 2015) », note l’étude. Les personnes âgées en perte d’autonomie sévère représenteraient alors 4,3 % de la population des seniors contre 3,7 % en 2015.
Le Sud-Est et les Dom, principaux concernés
D’ici 2050, le taux de prévalence de la perte d’autonomie évoluerait « en deux phases ». Au niveau national, de 2015 à 2027, le pourcentage de seniors en perte d’autonomie diminuerait très légèrement, passant de 15,3 % à 14,8 %, essentiellement du fait de l’arrivée des baby-boomers dans les âges seniors. Néanmoins, à partir de 2021, la part de « jeunes » seniors (moins de 75 ans) parmi les 60 ans ou plus commencera à diminuer. Elle sera inférieure à son niveau de 2015 à partir de 2024. Ensuite, à partir de 2027, le taux de prévalence national augmenterait, passant de 14,8 % à 16,4 % en 2050, du fait de l’arrivée des baby-boomers aux grands âges.
Les départements d'outre-mer (Dom) et la région Sud-Est (Gard, Hautes-Alpes, Ardèche) seraient les zones géographiques les plus concernées par cette prévalence de la perte d’autonomie. « Dans les Dom, compte tenu d’un état de santé moins favorable, la croissance du nombre de personnes en perte d’autonomie serait plus intense », explique l’étude. Pour exemple, la part des seniors guadeloupéens en perte d’autonomie passerait ainsi de 20,6 % à 26,7 %
Besoins massifs de places en Ehpad
À l’avenir, en considérant que la répartition de la prise en charge entre domicile et établissement resterait la même pour un âge et un degré de perte d’autonomie donnés dans les départements, le nombre de personnes hébergées de façon permanente en établissement, qui est d’environ 600 000 en 2015, s’accroîtrait de 0,8 % par an en moyenne jusqu’en 2021, puis entre 1,5 % et 2,0 % par an de 2023 à 2040. Il dépasserait les 700 000 en 2030, soit + 20 %, et s’élèverait à 900 000 en 2045, soit une augmentation de plus de 50 % entre 2015 et 2045. L’Insee rappelle que si la politique publique de maintien à domicile des personnes âgées en perte d’autonomie reste inchangée, les besoins de places en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) seraient alors massifs. « Pour maintenir constant le pourcentage de personnes en établissement par département, sexe, tranche d’âge et degré de perte d’autonomie, il faudrait que le nombre de places en hébergement permanent en établissements pour personnes âgées augmente de 20 % d’ici à 2030 et de plus de 50 % à l’horizon 2050 », explique l’Insee.
Alors que le gouvernement se penchera cet automne sur le projet de loi « autonomie », l’Insee rappelle que dans les prochaines années, la France devra choisir « entre ouvrir massivement des places en EHPAD et modifier le partage de la prise en charge entre domicile et établissement »."
NADIA GRARADJI (PRESSE SCRIPTUM, La lettre d'info du site ASH - N° 2252 – 26/07/2019)En ligne : https://www.ash.tm.fr/une-etude-de-linsee-rappelle-les-enjeux-du-vieillissement- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=52710 [n° ou bulletin] n° 1767 - juillet 2019 - 4 millions de seniors seraient en perte d’autonomie en 2050 [texte imprimé] / Khaled Larbi, Auteur ; Delphine Roy, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Résumé : En 2015, en France hors Mayotte, selon une définition large englobant domicile et établissement, 2,5 millions de seniors sont en perte d’autonomie, soit 15,3 % des 60 ans ou plus. Parmi eux, 700 000 peuvent être considérés en perte d’autonomie sévère. Les taux de prévalence de la perte d’autonomie sont plus élevés dans les départements du Massif central, alors qu’ils sont plus faibles dans la région francilienne et à l’Ouest. Les seniors des DOM sont plus fréquemment en perte d’autonomie que ceux du reste de la France, alors qu’ils sont en moyenne plus jeunes.
Parmi les seniors de 75 ans ou plus, 8,8 % vivent en institution. Ceux des DOM, de Paris et de la Corse vivent plus souvent à domicile que ceux des départements de l’Ouest ou du Massif central.
Si les tendances démographiques et l’amélioration de l’état de santé se poursuivaient, la France hors Mayotte compterait 4 millions de seniors en perte d’autonomie en 2050, soit 16,4 % des seniors. Les taux de prévalence de la perte d’autonomie augmenteraient fortement dans les DOM et dans le Sud-Est de la France, en raison des effets de structure démographique, alors qu’ils resteraient stables dans les Hauts-de-Seine ou dans la Creuse.
Pour maintenir constant le pourcentage de personnes en établissement par département, sexe, tranche d’âge et degré de perte d’autonomie, il faudrait que le nombre de places en hébergement permanent en établissements pour personnes âgées augmente de 20 % d’ici à 2030 et de plus de 50 % à l’horizon 2050.Note de contenu : "Une étude de l’Insee rappelle les enjeux du vieillissement à l’horizon 2050
Alors que le gouvernement se penchera, à l’automne sur le projet de loi « Autonomie », une étude de l’Insee, publiée le 25 juillet, fait la radiographie du vieillissement de la population et de la perte d’autonomie des personnes âgées à l’horizon 2050.
Dans une étude publiée le 25 juillet, l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) brosse le portrait démographique de la France en 2050. « Si les tendances démographiques récentes et l’amélioration de l’état de santé se poursuivaient, la France hors Mayotte compterait 4 millions de seniors en perte d’autonomie en 2050, soit 16,4 % des personnes âgées de 60 ans ou plus (contre 15,3 % en 2015) », note l’étude. Les personnes âgées en perte d’autonomie sévère représenteraient alors 4,3 % de la population des seniors contre 3,7 % en 2015.
Le Sud-Est et les Dom, principaux concernés
D’ici 2050, le taux de prévalence de la perte d’autonomie évoluerait « en deux phases ». Au niveau national, de 2015 à 2027, le pourcentage de seniors en perte d’autonomie diminuerait très légèrement, passant de 15,3 % à 14,8 %, essentiellement du fait de l’arrivée des baby-boomers dans les âges seniors. Néanmoins, à partir de 2021, la part de « jeunes » seniors (moins de 75 ans) parmi les 60 ans ou plus commencera à diminuer. Elle sera inférieure à son niveau de 2015 à partir de 2024. Ensuite, à partir de 2027, le taux de prévalence national augmenterait, passant de 14,8 % à 16,4 % en 2050, du fait de l’arrivée des baby-boomers aux grands âges.
Les départements d'outre-mer (Dom) et la région Sud-Est (Gard, Hautes-Alpes, Ardèche) seraient les zones géographiques les plus concernées par cette prévalence de la perte d’autonomie. « Dans les Dom, compte tenu d’un état de santé moins favorable, la croissance du nombre de personnes en perte d’autonomie serait plus intense », explique l’étude. Pour exemple, la part des seniors guadeloupéens en perte d’autonomie passerait ainsi de 20,6 % à 26,7 %
Besoins massifs de places en Ehpad
À l’avenir, en considérant que la répartition de la prise en charge entre domicile et établissement resterait la même pour un âge et un degré de perte d’autonomie donnés dans les départements, le nombre de personnes hébergées de façon permanente en établissement, qui est d’environ 600 000 en 2015, s’accroîtrait de 0,8 % par an en moyenne jusqu’en 2021, puis entre 1,5 % et 2,0 % par an de 2023 à 2040. Il dépasserait les 700 000 en 2030, soit + 20 %, et s’élèverait à 900 000 en 2045, soit une augmentation de plus de 50 % entre 2015 et 2045. L’Insee rappelle que si la politique publique de maintien à domicile des personnes âgées en perte d’autonomie reste inchangée, les besoins de places en établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) seraient alors massifs. « Pour maintenir constant le pourcentage de personnes en établissement par département, sexe, tranche d’âge et degré de perte d’autonomie, il faudrait que le nombre de places en hébergement permanent en établissements pour personnes âgées augmente de 20 % d’ici à 2030 et de plus de 50 % à l’horizon 2050 », explique l’Insee.
Alors que le gouvernement se penchera cet automne sur le projet de loi « autonomie », l’Insee rappelle que dans les prochaines années, la France devra choisir « entre ouvrir massivement des places en EHPAD et modifier le partage de la prise en charge entre domicile et établissement »."
NADIA GRARADJI (PRESSE SCRIPTUM, La lettre d'info du site ASH - N° 2252 – 26/07/2019)En ligne : https://www.ash.tm.fr/une-etude-de-linsee-rappelle-les-enjeux-du-vieillissement- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=52710 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
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Données complémentaires (xls, 61 Ko)URL![]()
Version imprimable (875 Ko)URLQui sont les proches aidants et les aidés ? / Delphine Roy in ADSP, Actualité et dossier en santé publique / HCSP, 109 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Qui sont les proches aidants et les aidés ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Roy, Auteur ; Joël ANKRI, Auteur ; S CHAMBARETAUD, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : 11-26 Langues : Français (fre) Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Vieillissement ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Santé Mots-clés : AIDANT FAMILIAL AIDANT RELATION AIDANT-AIDE CARACTERISTIQUE SOCIO-DEMOGRAPHIQUE Résumé : Ce dossier contient:
- Qu'est-ce qu'un "proche aidant"?
- Valoriser la contribution des proches aidants
- Qui sont les proches aidants des personnes de 60 ans ou plus vivant à domicile ?
- L’implication des femmes seniors dans l’aide à un proche
- La santé des aidants
- Des effets négatifs sur la santé perçus plus fréquemment par les conjoints
- Vieillissement démographique et besoins des proches aidantsPermalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=250109
in ADSP, Actualité et dossier en santé publique / HCSP > 109 (Décembre 2019) . - 11-26[article] Qui sont les proches aidants et les aidés ? [texte imprimé] / Delphine Roy, Auteur ; Joël ANKRI, Auteur ; S CHAMBARETAUD, Auteur . - 2019 . - 11-26.
Langues : Français (fre)
in ADSP, Actualité et dossier en santé publique / HCSP > 109 (Décembre 2019) . - 11-26
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Vieillissement ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Santé Mots-clés : AIDANT FAMILIAL AIDANT RELATION AIDANT-AIDE CARACTERISTIQUE SOCIO-DEMOGRAPHIQUE Résumé : Ce dossier contient:
- Qu'est-ce qu'un "proche aidant"?
- Valoriser la contribution des proches aidants
- Qui sont les proches aidants des personnes de 60 ans ou plus vivant à domicile ?
- L’implication des femmes seniors dans l’aide à un proche
- La santé des aidants
- Des effets négatifs sur la santé perçus plus fréquemment par les conjoints
- Vieillissement démographique et besoins des proches aidantsPermalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=250109