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Quand la puissance publique délègue l'égalité : ethnographie de la politique de développement du football féminin en France (2011 - 2017) / Martin Camille
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Titre : Quand la puissance publique délègue l'égalité : ethnographie de la politique de développement du football féminin en France (2011 - 2017) Titre original : When public authorities delegate equality : ethnography of the development policy of women's football in France (2011 - 2017) Type de document : document électronique Auteurs : Martin Camille (1987-...) , Auteur ; Stéphane Beaud (1958-...)
, Directeur de thèse
Editeur : Paris cedex 06 : Éditions de l'EHESS, École des Hautes Études en Sciences Sociales Année de publication : 2017 Note générale : Thèse de doctorat : Sociologie : Paris, EHESS : 2017 soutenue le 01-12-2017 à Paris, EHESS , dans le cadre de École doctorale de l'École des hautes études
Le président du jury était Valérie Boussard.
Le jury était composé de Stéphane Beaud, Valérie Boussard, Anne-Marie Arborio, Matthieu Hély, Christine Mennesson, Florence Weber.Langues : Français (fre) Mots-clés : Football féminin -- Sociologie -- France -- Thèses et écrits académiques
Associations -- Sociologie -- France -- Thèses et écrits académiques
Sports -- Politique publique -- Sociologie -- France -- Thèses et écrits académiques
Égalité des sexes -- Sociologie -- France -- Thèses et écrits académiques
Travail associatif
GenreRésumé : Le fonctionnement du secteur associatif ne peut être compris sans envisager le lien qu'il entretient aux pouvoirs publics et cette intrication entre secteurs public et privé non lucratif s’avère particulièrement structurante dans le domaine du sport. En effet, ces activités sont largement administrées par des structures associatives mais la reconnaissance de l'utilité publique est ancienne et invite à leur encadrement public. L'action publique dans le domaine du sport est alors largement déléguée aux associations et fédérations sportives, lesquelles se voient attribuer dans ce cadre des ressources matérielles, humaines et symboliques qui assurent le pouvoir de prescription de l'Etat sur leur fonctionnement. C'est dans un tel contente que je propose d'envisager la politique de féminisation du football engagée par la Fédération Française de Football comme une politique publique sectorielle en faveur de l'égalité entre les femmes et les hommes, déléguée par l’État. Ainsi, ce travail propose une réflexion sur les effets de la délégation de politiques publiques vers le secteur associatif, en réalisant un détour par l’observation du travail concret des salarié-e-s de droit privé à qui incombent ces missions de service public, pour rendre compte des rapports de domination dans lesquelles ils et elles se voient pris-e-s et qui constituent autant de contraintes sur leur activité. Cette démarche permet ainsi d'envisager conjointement les conséquences de cette délégation sur les modalités de réalisation de ces missions (les effets sur les usager-e-s) et sur le travail de celles et ceux à qui incombent leur définition et leur mise en œuvre (effet sur les prestataires, salarié-e-s et bénévoles). Cette présentation s'adosse ainsi à un travail ethnographique de plusieurs années au sein des instances gestionnaires de la FFF, lequel s'est construit en partie autour de ma participation aux activités fédérales. Après avoir proposé une évaluation quantitative des modalités de diffusion du football féminin depuis le début des années 1990, je montre qu’en dépit du caractère hautement ambigu de la position de salarié-e associatif-ve – contractuellement rémunéré-e-s dans des organisations structurées par une éthique de désintéressement – celles et ceux qui sont chargé-e-s de la mise en œuvre de la féminisation à la FFF construisent leur activité autour de la vocation de service public qui la justifie et orientent en conséquence le contenu de leur activité. J’envisage ensuite la manière dont les rapports de genre dans lesquels sont prises les salariées chargées du développement du football féminin informent les orientations qu’elles donnent aux dispositifs de diffusion de cette pratique, au gré d’un travail de naturalisation des dispositions féminines, et de qualification individualisée des rapports sociaux de sexe. Ainsi, c'est en articulant des questionnements propres à la sociologie du travail (associatif), du genre et de l'action publique qu'il s'est agi de proposer une réflexion sur les enjeux de la recomposition de l'action publique, au travers des effets sociaux de sa délégation au secteur associatif. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-de-lhistoire/histoire-du-foot [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=218094 Quand la puissance publique délègue l'égalité : ethnographie de la politique de développement du football féminin en France (2011 - 2017) = When public authorities delegate equality : ethnography of the development policy of women's football in France (2011 - 2017) [document électronique] / Martin Camille (1987-...), Auteur ; Stéphane Beaud (1958-...)
, Directeur de thèse . - Paris cedex 06 (54, bvd Raspail, 75270) : Éditions de l'EHESS, École des Hautes Études en Sciences Sociales, 2017.
Thèse de doctorat : Sociologie : Paris, EHESS : 2017 soutenue le 01-12-2017 à Paris, EHESS , dans le cadre de École doctorale de l'École des hautes études
Le président du jury était Valérie Boussard.
Le jury était composé de Stéphane Beaud, Valérie Boussard, Anne-Marie Arborio, Matthieu Hély, Christine Mennesson, Florence Weber.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Football féminin -- Sociologie -- France -- Thèses et écrits académiques
Associations -- Sociologie -- France -- Thèses et écrits académiques
Sports -- Politique publique -- Sociologie -- France -- Thèses et écrits académiques
Égalité des sexes -- Sociologie -- France -- Thèses et écrits académiques
Travail associatif
GenreRésumé : Le fonctionnement du secteur associatif ne peut être compris sans envisager le lien qu'il entretient aux pouvoirs publics et cette intrication entre secteurs public et privé non lucratif s’avère particulièrement structurante dans le domaine du sport. En effet, ces activités sont largement administrées par des structures associatives mais la reconnaissance de l'utilité publique est ancienne et invite à leur encadrement public. L'action publique dans le domaine du sport est alors largement déléguée aux associations et fédérations sportives, lesquelles se voient attribuer dans ce cadre des ressources matérielles, humaines et symboliques qui assurent le pouvoir de prescription de l'Etat sur leur fonctionnement. C'est dans un tel contente que je propose d'envisager la politique de féminisation du football engagée par la Fédération Française de Football comme une politique publique sectorielle en faveur de l'égalité entre les femmes et les hommes, déléguée par l’État. Ainsi, ce travail propose une réflexion sur les effets de la délégation de politiques publiques vers le secteur associatif, en réalisant un détour par l’observation du travail concret des salarié-e-s de droit privé à qui incombent ces missions de service public, pour rendre compte des rapports de domination dans lesquelles ils et elles se voient pris-e-s et qui constituent autant de contraintes sur leur activité. Cette démarche permet ainsi d'envisager conjointement les conséquences de cette délégation sur les modalités de réalisation de ces missions (les effets sur les usager-e-s) et sur le travail de celles et ceux à qui incombent leur définition et leur mise en œuvre (effet sur les prestataires, salarié-e-s et bénévoles). Cette présentation s'adosse ainsi à un travail ethnographique de plusieurs années au sein des instances gestionnaires de la FFF, lequel s'est construit en partie autour de ma participation aux activités fédérales. Après avoir proposé une évaluation quantitative des modalités de diffusion du football féminin depuis le début des années 1990, je montre qu’en dépit du caractère hautement ambigu de la position de salarié-e associatif-ve – contractuellement rémunéré-e-s dans des organisations structurées par une éthique de désintéressement – celles et ceux qui sont chargé-e-s de la mise en œuvre de la féminisation à la FFF construisent leur activité autour de la vocation de service public qui la justifie et orientent en conséquence le contenu de leur activité. J’envisage ensuite la manière dont les rapports de genre dans lesquels sont prises les salariées chargées du développement du football féminin informent les orientations qu’elles donnent aux dispositifs de diffusion de cette pratique, au gré d’un travail de naturalisation des dispositions féminines, et de qualification individualisée des rapports sociaux de sexe. Ainsi, c'est en articulant des questionnements propres à la sociologie du travail (associatif), du genre et de l'action publique qu'il s'est agi de proposer une réflexion sur les enjeux de la recomposition de l'action publique, au travers des effets sociaux de sa délégation au secteur associatif. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-de-lhistoire/histoire-du-foot [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=218094 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Que reste-t-il de la jeunesse populaire ? / Stéphane Beaud in Revue Projet. Éclairer l’avenir / Cairn.info, 320 (février-mars 2011)
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[article]
Titre : Que reste-t-il de la jeunesse populaire ? Type de document : document électronique Auteurs : Stéphane Beaud (1958-...) , Auteur
Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 64-70 Langues : Français (fre) Résumé : Affaiblie par les politiques actuelles, l’école est devenue une fabrique de relégation. Le défi est de taille, car la question sociale se double à présent d’une fracture ethnique. Note de contenu : [PLAN DE L'ARTICLE : Décrochages et relégation ; Réparer un marquage scolaire négatif ; Jeunes de cité : agir sur un monde divisé ; Relever le défi de la « fracture ethnique »] En ligne : http://www.cairn.info/revue-projet-2011-1-page-64.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=34845
in Revue Projet. Éclairer l’avenir / Cairn.info > 320 (février-mars 2011) . - p. 64-70[article] Que reste-t-il de la jeunesse populaire ? [document électronique] / Stéphane Beaud (1958-...), Auteur . - 2011 . - p. 64-70.
Langues : Français (fre)
in Revue Projet. Éclairer l’avenir / Cairn.info > 320 (février-mars 2011) . - p. 64-70
Résumé : Affaiblie par les politiques actuelles, l’école est devenue une fabrique de relégation. Le défi est de taille, car la question sociale se double à présent d’une fracture ethnique. Note de contenu : [PLAN DE L'ARTICLE : Décrochages et relégation ; Réparer un marquage scolaire négatif ; Jeunes de cité : agir sur un monde divisé ; Relever le défi de la « fracture ethnique »] En ligne : http://www.cairn.info/revue-projet-2011-1-page-64.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=34845
Titre : Race et sciences sociales. Essai sur les usages publics d'une catégorie Titre original : Race et sciences sociales : une socio-histoire de la raison identitaire Type de document : document électronique Auteurs : Stéphane Beaud (1958-...) , Auteur ; Gérard Noiriel (1950-...)
, Auteur
Editeur : Marseille : Agone éditeur Année de publication : 2021 Collection : Épreuves sociales Importance : 448 p. Format : 12 x 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7489-0450-5 Prix : 22 € Langues : Français (fre) Résumé : « Ce livre aborde une question sensible dans les sciences sociales contemporaines. Sur le terrain de la “race”, toute prise de position est perçue comme une concession à l’adversaire, voire à l’ennemi. L’urgence d’y voir clair n’en est que plus grande. D’abord parce que le langage identitaire est devenu incontrôlable et peut servir toutes les manipulations. Ensuite parce que dans les discours publics, la “race” fonctionne désormais comme une variable bulldozer qui écrase toutes les autres. Enfin parce que le langage identitaire prive le combat anti-raciste de son référent universaliste. Notre ambition est d’éclairer comment les sciences sociales d’aujourd’hui peuvent subir cette évolution ou y contribuer, et de rappeler qu’on ne peut rien comprendre au monde dans lequel nous vivons si l’on oublie que la classe sociale reste le facteur déterminant auquel s’arriment les autres dimensions de l’identité des personnes. » Stéphane Beaud et Gérard Noiriel montrent comment l’explosion du langage racialisant s’enracine dans une longue histoire, qui commence à l’époque du premier empire colonial et aboutit à une rupture dans les années 1980. Le clivage qui opposait une droite associée à la nation à une gauche centrée sur la classe s’effondre alors, et des élites de tous bords convergent pour placer les polémiques identitaires au centre du débat public, qu’elles ne quitteront plus.s convergent pour placer les polémiques identitaires au centre du débat public, qu’elles ne quitteront plus. En ligne : https://agone.org/livres/9782748904505/raceetsciencessociales Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=235399 Race et sciences sociales. Essai sur les usages publics d'une catégorie = Race et sciences sociales : une socio-histoire de la raison identitaire [document électronique] / Stéphane Beaud (1958-...), Auteur ; Gérard Noiriel (1950-...)
, Auteur . - Marseille : Agone éditeur, 2021 . - 448 p. ; 12 x 21 cm. - (Épreuves sociales) .
ISBN : 978-2-7489-0450-5 : 22 €
Langues : Français (fre)
Résumé : « Ce livre aborde une question sensible dans les sciences sociales contemporaines. Sur le terrain de la “race”, toute prise de position est perçue comme une concession à l’adversaire, voire à l’ennemi. L’urgence d’y voir clair n’en est que plus grande. D’abord parce que le langage identitaire est devenu incontrôlable et peut servir toutes les manipulations. Ensuite parce que dans les discours publics, la “race” fonctionne désormais comme une variable bulldozer qui écrase toutes les autres. Enfin parce que le langage identitaire prive le combat anti-raciste de son référent universaliste. Notre ambition est d’éclairer comment les sciences sociales d’aujourd’hui peuvent subir cette évolution ou y contribuer, et de rappeler qu’on ne peut rien comprendre au monde dans lequel nous vivons si l’on oublie que la classe sociale reste le facteur déterminant auquel s’arriment les autres dimensions de l’identité des personnes. » Stéphane Beaud et Gérard Noiriel montrent comment l’explosion du langage racialisant s’enracine dans une longue histoire, qui commence à l’époque du premier empire colonial et aboutit à une rupture dans les années 1980. Le clivage qui opposait une droite associée à la nation à une gauche centrée sur la classe s’effondre alors, et des élites de tous bords convergent pour placer les polémiques identitaires au centre du débat public, qu’elles ne quitteront plus.s convergent pour placer les polémiques identitaires au centre du débat public, qu’elles ne quitteront plus. En ligne : https://agone.org/livres/9782748904505/raceetsciencessociales Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=235399 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Raconter l’histoire d’une famille algérienne en France. Retour réflexif sur une enquête hybride / Stéphane Beaud in Idées, Idées économiques et sociales : la revue des sciences économiques et sociales / Cairn.info, 189 (09/2017)
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[article]
Titre : Raconter l’histoire d’une famille algérienne en France. Retour réflexif sur une enquête hybride Type de document : document électronique Auteurs : Stéphane Beaud (1958-...) , Auteur
Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 11-19 Langues : Français (fre) Résumé : Comment saisir les effets contrastés d’une expérience migratoire sur plusieurs générations ? Sans se substituer aux données statistiques, les enquêtes ethnographiques s’avèrent particulièrement révélatrices, y compris sur les conditions de leur réalisation. C’est ce que montre Stéphane Beaud en revenant sur celles d’une enquête au long cours auprès d’une famille dont les parents sont venus d’Algérie en France, révélant au passage la subtilité des relations entre le sociologue et « ses » enquêtés ainsi que les effets de la recherche sur ces derniers.
Note de contenu : Sommaire :
Le « pacte d’enquête » noué avec les trois sœurs
Frères et sœurs inégaux face à l’enquête
Un article qui « passe mal » pour Amel
Entre restitution du passé et enquête ethnographique
Comment retracer l’histoire d’un père immigré en France ?
ConclusionEn ligne : Raconter l’histoire d’une famille algérienne en France Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=213801
in Idées, Idées économiques et sociales : la revue des sciences économiques et sociales / Cairn.info > 189 (09/2017) . - pp. 11-19[article] Raconter l’histoire d’une famille algérienne en France. Retour réflexif sur une enquête hybride [document électronique] / Stéphane Beaud (1958-...), Auteur . - 2017 . - pp. 11-19.
Langues : Français (fre)
in Idées, Idées économiques et sociales : la revue des sciences économiques et sociales / Cairn.info > 189 (09/2017) . - pp. 11-19
Résumé : Comment saisir les effets contrastés d’une expérience migratoire sur plusieurs générations ? Sans se substituer aux données statistiques, les enquêtes ethnographiques s’avèrent particulièrement révélatrices, y compris sur les conditions de leur réalisation. C’est ce que montre Stéphane Beaud en revenant sur celles d’une enquête au long cours auprès d’une famille dont les parents sont venus d’Algérie en France, révélant au passage la subtilité des relations entre le sociologue et « ses » enquêtés ainsi que les effets de la recherche sur ces derniers.
Note de contenu : Sommaire :
Le « pacte d’enquête » noué avec les trois sœurs
Frères et sœurs inégaux face à l’enquête
Un article qui « passe mal » pour Amel
Entre restitution du passé et enquête ethnographique
Comment retracer l’histoire d’un père immigré en France ?
ConclusionEn ligne : Raconter l’histoire d’une famille algérienne en France Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=213801 REMARQUES SUR LES RAPPORTS ENTRE GENERATIONS OUVRIERES. OUVRIERISATION ET POLITISATION / Stéphane Beaud in Empan : Prendre la mesure de l’humain / Cairn.info, n° 50 (juin 2003)
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Une rencontre avec Christian Baudelot et Stéphane Beaud / Christian Baudelot in Idées, Idées économiques et sociales : la revue des sciences économiques et sociales / Cairn.info, 154 (12/2008)
PermalinkRetour sur la condition ouvrière : enquête aux usines Peugeot de Sochaux-Montbéliard / Stéphane Beaud
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PermalinkPermalinkLe temps d'écouter. Enquêtes sur les métamorphoses de la classe ouvrière / BU de Lettres / Michel Pialoux
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PermalinkUn temps élastique. Etudiants des "cités" et examens universitaires / Stéphane Beaud in Terrain : revue d'ethnologie de l'Europe / journals.openedition.org, 29 (septembre 1997 (1997/2))
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PermalinkPermalinkVoir les jeunes autrement. / François de Singly in LSP, Lien social et Politiques : revue internationale d'action communautaire / Erudit.org, N° 43 (printemps 2000)
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Stéphane Beaud est professeur de sociologie à l’Université de Poitiers. Diplômé d’un doctorat de l’EHESS, il s’intéresse aux enfants d’origine populaire, notamment immigrée. Il a consacré plusieurs livres à ce sujet, parmi lesquels :
Retour sur la condition ouvrière : enquêtes aux usines Peugeot de Sochaux-Montbéliard
(Fayard, 1999) avec le sociologue Michel Pialoux.
80 % au Bac et après ? Les enfants de la démocratisation scolaire
(La Découverte, 2002).
Affreux, riches et méchants ? Un autre regard sur les Bleus
(La Découverte, 2014) avec Philippe Guimard.
La France des Belhoumi. Portraits de familles
(La Découverte, 2018).