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[article]
Titre : L'apprentissage en 2011 : hausse des entrées, surtout dans les entreprises d'au moin 50 salariés Type de document : texte imprimé Auteurs : Ruby Sanchez Année de publication : novembre 2012 Article en page(s) : 8 p. Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Economie:Système économique:Secteur public ; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:G.12 Sciences de l'éducation et environnement:Apprentissage ; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Systèmes et niveaux d'enseignement:Niveau d'enseignement:Enseignement supérieur Stage following secondary education, regardless of course duration or certificate awarded.Mots-clés : LEHRAUSBILDUNGSGESETZ APPRENTICESHIP LEGISLATION LEGISLACION DEL APRENDIZAJE LEGISLATION DE L'APPRENTISSAGE OFFENTLICHER SEKTOR PUBLIC SECTOR SECTOR PUBLICO LEHRAUSBILDUNG APPRENTICESHIP APRENDIZAJE AUSBILDUNGSSTUFE TRAINING LEVEL NIVEL DE FORMACION NIVEAU DE FORMATION WIRTSCHAFTSZWEIG ECONOMIC SECTOR SECTOR ECONOMICO SECTEUR ECONOMIQUE HOCHSCHULWESEN HIGHER EDUCATION ENSENANZA SUPERIOR FRANKREICH FRANCIA Résumé : En 2011, 295 000 nouveaux contrats d’apprentissage ont été comptabilisés dans le secteur marchand, soit une hausse de 2,5 % en un an. Cette hausse tient essentiellement aux entreprises d’au moins 50 salariés dans lesquelles les entrées augmentent de 11 % et qui concentrent désormais 23 % des nouveaux contrats. La hausse des entrées s’accompagne d’un moindre recours à des contrats longs d’une durée de 2 ans ou plus et d’un plus fort accès aux formations de l’enseignement supérieur, auxquelles préparent désormais 29 % des nouveaux contrats (+3 points par rapport à 2010). Se former à un métier des services est de plus en plus fréquent, mais préparer un métier dans les domaines de la production industrielle ou de la construction reste le principal objectif des nouveaux contrats (57 %). Les embauches d’apprentis dans le secteur public continuent d’afficher une forte croissance : elles ont augmenté de 10 % en 2011 pour atteindre 9 200. (source : Dares) En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2012-080-2.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=129272
in Dares Analyses > n° 080 (novembre 2012) . - 8 p.[article] L'apprentissage en 2011 : hausse des entrées, surtout dans les entreprises d'au moin 50 salariés [texte imprimé] / Ruby Sanchez . - novembre 2012 . - 8 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses > n° 080 (novembre 2012) . - 8 p.
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Economie:Système économique:Secteur public ; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:G.12 Sciences de l'éducation et environnement:Apprentissage ; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Systèmes et niveaux d'enseignement:Niveau d'enseignement:Enseignement supérieur Stage following secondary education, regardless of course duration or certificate awarded.Mots-clés : LEHRAUSBILDUNGSGESETZ APPRENTICESHIP LEGISLATION LEGISLACION DEL APRENDIZAJE LEGISLATION DE L'APPRENTISSAGE OFFENTLICHER SEKTOR PUBLIC SECTOR SECTOR PUBLICO LEHRAUSBILDUNG APPRENTICESHIP APRENDIZAJE AUSBILDUNGSSTUFE TRAINING LEVEL NIVEL DE FORMACION NIVEAU DE FORMATION WIRTSCHAFTSZWEIG ECONOMIC SECTOR SECTOR ECONOMICO SECTEUR ECONOMIQUE HOCHSCHULWESEN HIGHER EDUCATION ENSENANZA SUPERIOR FRANKREICH FRANCIA Résumé : En 2011, 295 000 nouveaux contrats d’apprentissage ont été comptabilisés dans le secteur marchand, soit une hausse de 2,5 % en un an. Cette hausse tient essentiellement aux entreprises d’au moins 50 salariés dans lesquelles les entrées augmentent de 11 % et qui concentrent désormais 23 % des nouveaux contrats. La hausse des entrées s’accompagne d’un moindre recours à des contrats longs d’une durée de 2 ans ou plus et d’un plus fort accès aux formations de l’enseignement supérieur, auxquelles préparent désormais 29 % des nouveaux contrats (+3 points par rapport à 2010). Se former à un métier des services est de plus en plus fréquent, mais préparer un métier dans les domaines de la production industrielle ou de la construction reste le principal objectif des nouveaux contrats (57 %). Les embauches d’apprentis dans le secteur public continuent d’afficher une forte croissance : elles ont augmenté de 10 % en 2011 pour atteindre 9 200. (source : Dares) En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2012-080-2.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=129272
[article]
Titre : L'apprentissage en 2012 : quasi-stabilité des entrées, hausse de la part des contrats courts Type de document : document électronique Auteurs : Ruby Sanchez ; Elise Pesonel ; Annie Delort, Collaborateur Année de publication : juin 2014 Article en page(s) : 12 p. Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Gestion du personnel:Gestion du personnel:Salaire Payment made for work performed.; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:G.12 Sciences de l'éducation et environnement:ApprentissageMots-clés : LEHRAUSBILDUNGSGESETZ APPRENTICESHIP LEGISLATION LEGISLACION DEL APRENDIZAJE LEGISLATION DE L'APPRENTISSAGE LEHRAUSBILDUNG APPRENTICESHIP APRENDIZAJE AUSBILDUNGSSTUFE TRAINING LEVEL NIVEL DE FORMACION NIVEAU DE FORMATION LOHN WAGE SALARIO FRANKREICH FRANCIA Résumé : En 2012, plus de 297 000 nouveaux contrats d’apprentissage ont été comptabilisés dans le secteur privé, soit une hausse de 0,8 % en un an, après +2,5 % entre 2010 et 2011. La hausse est surtout liée à la progression enregistrée dans les entreprises de plus de 250 salariés (+12 %), qui concentrent 16 % des entrées en 2012. Le niveau de formation des jeunes recrutés continue de s’élever : désormais 39 % d’entre eux ont au moins le baccalauréat ou un diplôme équivalent (+8 points en deux ans). Cette évolution s’accompagne d’une augmentation de la part des contrats d’au plus un an (25 % en 2012). Dans le secteur privé, les entrées en apprentissage sont affectées par le cycle économique. La crise de 2008 a notamment mis un coup d’arrêt à une hausse assez dynamique débutée en 2004. Les entrées en apprentissage dans le secteur public restent peu nombreuses mais continuent d’afficher une forte croissance : elles augmentent de 6 % en 2012 pour atteindre près de 9 800.(source : Dares) En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/etudes-recherches-statistiques-de,76/etudes-et-rec [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=129116
in Dares Analyses > n° 042 (juin 2014) . - 12 p.[article] L'apprentissage en 2012 : quasi-stabilité des entrées, hausse de la part des contrats courts [document électronique] / Ruby Sanchez ; Elise Pesonel ; Annie Delort, Collaborateur . - juin 2014 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses > n° 042 (juin 2014) . - 12 p.
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Gestion du personnel:Gestion du personnel:Salaire Payment made for work performed.; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:G.12 Sciences de l'éducation et environnement:ApprentissageMots-clés : LEHRAUSBILDUNGSGESETZ APPRENTICESHIP LEGISLATION LEGISLACION DEL APRENDIZAJE LEGISLATION DE L'APPRENTISSAGE LEHRAUSBILDUNG APPRENTICESHIP APRENDIZAJE AUSBILDUNGSSTUFE TRAINING LEVEL NIVEL DE FORMACION NIVEAU DE FORMATION LOHN WAGE SALARIO FRANKREICH FRANCIA Résumé : En 2012, plus de 297 000 nouveaux contrats d’apprentissage ont été comptabilisés dans le secteur privé, soit une hausse de 0,8 % en un an, après +2,5 % entre 2010 et 2011. La hausse est surtout liée à la progression enregistrée dans les entreprises de plus de 250 salariés (+12 %), qui concentrent 16 % des entrées en 2012. Le niveau de formation des jeunes recrutés continue de s’élever : désormais 39 % d’entre eux ont au moins le baccalauréat ou un diplôme équivalent (+8 points en deux ans). Cette évolution s’accompagne d’une augmentation de la part des contrats d’au plus un an (25 % en 2012). Dans le secteur privé, les entrées en apprentissage sont affectées par le cycle économique. La crise de 2008 a notamment mis un coup d’arrêt à une hausse assez dynamique débutée en 2004. Les entrées en apprentissage dans le secteur public restent peu nombreuses mais continuent d’afficher une forte croissance : elles augmentent de 6 % en 2012 pour atteindre près de 9 800.(source : Dares) En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/etudes-recherches-statistiques-de,76/etudes-et-rec [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=129116 Des CDD moins bien rémunérés que les CDI : d’où vient l’écart ? / Ruby Sanchez in Dares Analyses, n° 060 (décembre 2018)
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[article]
Titre : Des CDD moins bien rémunérés que les CDI : d’où vient l’écart ? Type de document : document électronique Auteurs : Ruby Sanchez Année de publication : 2018 Article en page(s) : 11 p. Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Economie:Revenu et richesse:Répartition du revenu:Revenu Income of an individual or an organization. Otherwise use "national income".; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Economie:Système économique:Secteur privé ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Gestion du personnel:Gestion du personnel:SalairePayment made for work performed.Mots-clés : EINKOMMENSUNGLEICHHEIT WAGE INEQUALITY DESIGUALDAD SALARIAL INEGALITE SALARIALE LOHN WAGE SALARIO EINKOMMEN INCOME INGRESO BEFRISTETE ARBEIT FIXED TERM EMPLOYMENT TRABAJO DE DURACION DETERMINADA TRAVAIL A DUREE DETERMINEE UNBEFRISTETE ARBEIT PERMANENT EMPLOYMENT TRABAJO DE DURACION INDETERMINADA TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE PRIVATER SEKTOR PRIVATE SECTOR SECTOR PRIVADO FRANKREICH FRANCIA Résumé : Dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé, la rémunération horaire brute moyenne des salariés en CDD est, en 2014, inférieure de 14,4 % à celle des salariés en CDI. En CDD, les compléments du salaire de base – heures supplémentaires, primes (dont la prime de précarité), épargne salariale – représentent 11 % de cette rémunération, contre 19 % pour les salariés en CDI ; 70 % des salariés en CDD perçoivent ces éléments variables de rémunération, contre 93 % des salariés en CDI, et pour des montants horaires moindres. L’écart de rémunération entre CDD et CDI est plus faible parmi les salariés de moins de 30 ans (3,1 %) et parmi ceux ayant moins de deux ans d’ancienneté dans l’entreprise (2,8 %). Au contraire, cet écart est fort dans les entreprises de 500 salariés ou plus, où les salariés sont mieux rémunérés et ont plus de chances de percevoir des éléments variables de rémunération quand ils sont employés en CDI. Parmi les 10 % de salariés les moins bien rémunérés, l’écart de rémunération au détriment du CDD est de 2,3 %, les salariés en CDD sont surreprésentés et ils perçoivent une rémunération horaire brute moyenne très légèrement supérieure au Smic horaire (9,90 € contre 9,53 €). L’écart de rémunération en défaveur des salariés en CDD s’explique par les différences de caractéristiques entre salariés et postes occupés. En effet, plus jeunes et moins anciens dans leur entreprise, les salariés en CDD occupent des postes moins qualifiés que les salariés en CDI, ou dans des secteurs moins rémunérateurs. Les différences de caractéristiques « expliquent » 15,3 % d’écart de rémunération en défaveur des CDD, soit davantage que l’écart observé (14,4 %). À caractéristiques moyennes voisines, l’écart de rémunération entre les salariés en CDI et CDD serait donc légèrement en faveur des salariés en CDD. (Dares) En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2018-060.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=214511
in Dares Analyses > n° 060 (décembre 2018) . - 11 p.[article] Des CDD moins bien rémunérés que les CDI : d’où vient l’écart ? [document électronique] / Ruby Sanchez . - 2018 . - 11 p.
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Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Economie:Revenu et richesse:Répartition du revenu:Revenu Income of an individual or an organization. Otherwise use "national income".; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Economie:Système économique:Secteur privé ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Gestion du personnel:Gestion du personnel:SalairePayment made for work performed.Mots-clés : EINKOMMENSUNGLEICHHEIT WAGE INEQUALITY DESIGUALDAD SALARIAL INEGALITE SALARIALE LOHN WAGE SALARIO EINKOMMEN INCOME INGRESO BEFRISTETE ARBEIT FIXED TERM EMPLOYMENT TRABAJO DE DURACION DETERMINADA TRAVAIL A DUREE DETERMINEE UNBEFRISTETE ARBEIT PERMANENT EMPLOYMENT TRABAJO DE DURACION INDETERMINADA TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE PRIVATER SEKTOR PRIVATE SECTOR SECTOR PRIVADO FRANKREICH FRANCIA Résumé : Dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé, la rémunération horaire brute moyenne des salariés en CDD est, en 2014, inférieure de 14,4 % à celle des salariés en CDI. En CDD, les compléments du salaire de base – heures supplémentaires, primes (dont la prime de précarité), épargne salariale – représentent 11 % de cette rémunération, contre 19 % pour les salariés en CDI ; 70 % des salariés en CDD perçoivent ces éléments variables de rémunération, contre 93 % des salariés en CDI, et pour des montants horaires moindres. L’écart de rémunération entre CDD et CDI est plus faible parmi les salariés de moins de 30 ans (3,1 %) et parmi ceux ayant moins de deux ans d’ancienneté dans l’entreprise (2,8 %). Au contraire, cet écart est fort dans les entreprises de 500 salariés ou plus, où les salariés sont mieux rémunérés et ont plus de chances de percevoir des éléments variables de rémunération quand ils sont employés en CDI. Parmi les 10 % de salariés les moins bien rémunérés, l’écart de rémunération au détriment du CDD est de 2,3 %, les salariés en CDD sont surreprésentés et ils perçoivent une rémunération horaire brute moyenne très légèrement supérieure au Smic horaire (9,90 € contre 9,53 €). L’écart de rémunération en défaveur des salariés en CDD s’explique par les différences de caractéristiques entre salariés et postes occupés. En effet, plus jeunes et moins anciens dans leur entreprise, les salariés en CDD occupent des postes moins qualifiés que les salariés en CDI, ou dans des secteurs moins rémunérateurs. Les différences de caractéristiques « expliquent » 15,3 % d’écart de rémunération en défaveur des CDD, soit davantage que l’écart observé (14,4 %). À caractéristiques moyennes voisines, l’écart de rémunération entre les salariés en CDI et CDD serait donc légèrement en faveur des salariés en CDD. (Dares) En ligne : https://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2018-060.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=214511
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Titre : Le contrat de professionnalisation : l'insertion des bénéficiaires varie surtout selon le métier préparé Type de document : texte imprimé Auteurs : Ruby Sanchez Année de publication : Décembre 2012 Article en page(s) : 12 p. Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Approche scientifique:Travail de recherche:Recherche sur le terrain:Enquête ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Mathématiques et statistiques:Statistique:Donnée statistique Mots-clés : ARBEITSMARKTPOLITISCHE MASSNAHMEN EMPLOYMENT SCHEME MEDIDA PARA EL EMPLEO MESURE POUR L'EMPLOI ERHEBUNG SURVEY ENCUESTA BERUFLICHER WERDEGANG OCCUPATIONAL PATHS RECORRIDO PROFESIONAL CHEMINEMENT PROFESSIONNEL STATISTISCHE DATEN STATISTICAL DATA DATO ESTADISTICO FRANKREICH FRANCIA Résumé : Âgés de moins de 26 ans dans leur grande majorité, les bénéficiaires d’un contrat de professionnalisation ont une expérience limitée sur le marché du travail. Si 85 % d’entre eux ont déjà travaillé, même de façon occasionnelle, leur durée cumulée d’emploi entre la fin de leur scolarité et l’entrée en contrat n’a le plus souvent pas dépassé un an. Pour près des trois quarts des bénéficiaires, le désir de préparer une qualification par alternance est l’un des deux principaux motifs d’entrée en contrat de professionnalisation. Dans 9 cas sur 10, l’alternance entre travail et formation n’a pas posé de problème. 18 % des contrats ont néanmoins été rompus de manière anticipée. La qualification préparée est validée dans 69 % des cas ; le taux de réussite aux épreuves est plus élevé pour les bénéficiaires entrés en contrat à plus de 25 ans.À l’issue du contrat, les deux tiers des bénéficiaires restent en emploi, chez le même employeur dans les trois quarts des cas. Il s’agit d’un CDI pour 60 % d’entre eux. La très grande majorité des personnes passées par un contrat de professionnalisation en a une opinion favorable et 9 sur 10 considèrent que c’est une expérience professionnelle valable sur le marché du travail. (source : Dares) En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2012-100_-_Le_contrat_de_professionnalisat [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=129302
in Dares Analyses > n° 100 (Décembre 2012) . - 12 p.[article] Le contrat de professionnalisation : l'insertion des bénéficiaires varie surtout selon le métier préparé [texte imprimé] / Ruby Sanchez . - Décembre 2012 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses > n° 100 (Décembre 2012) . - 12 p.
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Approche scientifique:Travail de recherche:Recherche sur le terrain:Enquête ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Mathématiques et statistiques:Statistique:Donnée statistique Mots-clés : ARBEITSMARKTPOLITISCHE MASSNAHMEN EMPLOYMENT SCHEME MEDIDA PARA EL EMPLEO MESURE POUR L'EMPLOI ERHEBUNG SURVEY ENCUESTA BERUFLICHER WERDEGANG OCCUPATIONAL PATHS RECORRIDO PROFESIONAL CHEMINEMENT PROFESSIONNEL STATISTISCHE DATEN STATISTICAL DATA DATO ESTADISTICO FRANKREICH FRANCIA Résumé : Âgés de moins de 26 ans dans leur grande majorité, les bénéficiaires d’un contrat de professionnalisation ont une expérience limitée sur le marché du travail. Si 85 % d’entre eux ont déjà travaillé, même de façon occasionnelle, leur durée cumulée d’emploi entre la fin de leur scolarité et l’entrée en contrat n’a le plus souvent pas dépassé un an. Pour près des trois quarts des bénéficiaires, le désir de préparer une qualification par alternance est l’un des deux principaux motifs d’entrée en contrat de professionnalisation. Dans 9 cas sur 10, l’alternance entre travail et formation n’a pas posé de problème. 18 % des contrats ont néanmoins été rompus de manière anticipée. La qualification préparée est validée dans 69 % des cas ; le taux de réussite aux épreuves est plus élevé pour les bénéficiaires entrés en contrat à plus de 25 ans.À l’issue du contrat, les deux tiers des bénéficiaires restent en emploi, chez le même employeur dans les trois quarts des cas. Il s’agit d’un CDI pour 60 % d’entre eux. La très grande majorité des personnes passées par un contrat de professionnalisation en a une opinion favorable et 9 sur 10 considèrent que c’est une expérience professionnelle valable sur le marché du travail. (source : Dares) En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2012-100_-_Le_contrat_de_professionnalisat [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=129302 Les emplois du privé rémunérés sur la base du Smic / Ruby Sanchez in Dares Analyses, n° 014 (mars 2016)
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Titre : Les emplois du privé rémunérés sur la base du Smic Type de document : texte imprimé Auteurs : Ruby Sanchez Année de publication : 2016 Article en page(s) : 9 p. Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France Mots-clés : UNSELBSTANDIGE ERWERBSTATIGKEIT SALARIED EMPLOYMENT TRABAJO ASALARIADO TRAVAIL SALARIE SMIC VERGUTUNG REMUNERATION REMUNERACION EINKOMMENSUNGLEICHHEIT WAGE INEQUALITY DESIGUALDAD SALARIAL INEGALITE SALARIALE TPE - KLEINSTUNTERNEHMEN TPE - VERY SMALL BUSINESS TPE - MUY PEQUENA EMPRESA TPE - TRES PETITE ENTREPRISE FRANKREICH FRANCIA Résumé : En 2013, les emplois rémunérés sur la base du Smic concernent plus de 8 % des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé. Ils sont moins souvent que les autres en CDI et à temps complet. Ils concernent surtout des postes d’employés et d’ouvriers non qualifiés, et sont plus fréquents dans le commerce et l’hébergement-restauration. Toutes choses égales par ailleurs, les jeunes de moins de 25 ans et les femmes sont plus souvent rémunérés sur la base du Smic. Les salariés rémunérés sur la base du Smic perçoivent moins souvent des compléments de salaire que les autres salariés. Néanmoins, une fois pris en compte tous les éléments de rémunération (salaire de base, primes et autres compléments de salaires, heures supplémentaires), 10,7 % des salariés rémunérés sur la base du Smic dans une entreprise de 10 salariés ou plus gagnent au total 1,3 Smic ou plus. À l’inverse, 15,1 % des salariés non rémunérés sur la base du Smic ont, de fait, une rémunération horaire inférieure à 1,3 Smic. Ils ont davantage d’ancienneté que les salariés rémunérés sur la base du Smic gagnant moins de 1,3 Smic, occupent plus souvent des emplois en CDI et à temps complet et sont plus fréquemment employés dans les grandes entreprises (Source : Dares) En ligne : http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2016-014.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=158566
in Dares Analyses > n° 014 (mars 2016) . - 9 p.[article] Les emplois du privé rémunérés sur la base du Smic [texte imprimé] / Ruby Sanchez . - 2016 . - 9 p.
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in Dares Analyses > n° 014 (mars 2016) . - 9 p.
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France Mots-clés : UNSELBSTANDIGE ERWERBSTATIGKEIT SALARIED EMPLOYMENT TRABAJO ASALARIADO TRAVAIL SALARIE SMIC VERGUTUNG REMUNERATION REMUNERACION EINKOMMENSUNGLEICHHEIT WAGE INEQUALITY DESIGUALDAD SALARIAL INEGALITE SALARIALE TPE - KLEINSTUNTERNEHMEN TPE - VERY SMALL BUSINESS TPE - MUY PEQUENA EMPRESA TPE - TRES PETITE ENTREPRISE FRANKREICH FRANCIA Résumé : En 2013, les emplois rémunérés sur la base du Smic concernent plus de 8 % des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé. Ils sont moins souvent que les autres en CDI et à temps complet. Ils concernent surtout des postes d’employés et d’ouvriers non qualifiés, et sont plus fréquents dans le commerce et l’hébergement-restauration. Toutes choses égales par ailleurs, les jeunes de moins de 25 ans et les femmes sont plus souvent rémunérés sur la base du Smic. Les salariés rémunérés sur la base du Smic perçoivent moins souvent des compléments de salaire que les autres salariés. Néanmoins, une fois pris en compte tous les éléments de rémunération (salaire de base, primes et autres compléments de salaires, heures supplémentaires), 10,7 % des salariés rémunérés sur la base du Smic dans une entreprise de 10 salariés ou plus gagnent au total 1,3 Smic ou plus. À l’inverse, 15,1 % des salariés non rémunérés sur la base du Smic ont, de fait, une rémunération horaire inférieure à 1,3 Smic. Ils ont davantage d’ancienneté que les salariés rémunérés sur la base du Smic gagnant moins de 1,3 Smic, occupent plus souvent des emplois en CDI et à temps complet et sont plus fréquemment employés dans les grandes entreprises (Source : Dares) En ligne : http://dares.travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2016-014.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=158566 L'enseignement professionnel. Thème 1. in Éducation & formations / Les publications de la Depp, n° 75 (octobre 2007)
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PermalinkSix mois après un contrat de professionnalisation arivé à échéance en 2011 / Ruby Sanchez in Dares Analyses, n° 033 (Avril 2014)
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PermalinkLa structure des rémunérations dans le secteur privé en 2012 / Ruby Sanchez in Dares Analyses, n° 101 (Décembre 2014)
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PermalinkLa structure des rémunérations dans le secteur privé en 2014 / Ruby Sanchez in Dares Analyses, n° 074 (décembre 2016)
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PermalinkLa structure des rémunérations dans le secteur privé en 2016 / Ruby Sanchez in Dares Analyses, n° 063 (décembre 2019)
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