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Titre : La domination masculine n'existe pas / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Peggy Sastre (1981-...) , Auteur
Editeur : Paris : Éditions Anne Carrière Année de publication : 2015 Collection : Essai Importance : 274 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84337-781-5 Prix : 18 € Langues : Français (fre) Mots-clés : Relations hommes-femmes
Domination
Rôle selon le sexe
Différences entre sexes (psychologie)Résumé : L'homme (avec un petit h et un pénis de taille variable) est une pourriture : c'est lui qui vole, viole, tape, tue, refuse de laver ses slips et préférerait crever plutôt qu'avoir à supporter un monde où ses bonniches peuvent devenir PDG. Voici la «version officielle» de notre histoire, celle de la domination masculine.
Sauf que cette histoire est fausse. Du moins en partie.
Si les hommes ont le pouvoir, c'est parce que les femmes l'ont bien voulu, tout au long des 99,98 % de l'histoire de notre espèce. Durant ces millions d'années, elles ont frétillé au moindre indice de force, de puissance et de brutalité. Le mâle violent et dominateur est le produit évolutif d'une sélection sexuelle où les femelles sont actives, et non passives.
Mauvaise nouvelle pour qui voudrait émanciper les femmes malgré elles : elles furent les premières à favoriser la petite brute. Un paradoxe ancestral qui s'incarne toujours là où la phallocratie semble la plus flagrante : les inégalités scolaires et professionnelles, le harcèlement, les violences familiales et conjugales, le viol et les violences sexuelles, la culture de l'honneur, l'agressivité, la guerre, le fanatisme religieux ou encore le terrorisme.
En d'autres termes, la domination masculine n'existe pas. Ce qui existe, c'est une histoire évolutive conflictuelle qui aura poussé les deux sexes à développer des stratégies reproductives distinctes et où, en fin de compte, les femmes sont vraiment loin d'être perdantes.
présentation de l'éditeur -En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/signes-des-temps/societes-patriarcales-vs [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=213238 La domination masculine n'existe pas / SUDOC [document électronique] / Peggy Sastre (1981-...), Auteur . - Paris : Éditions Anne Carrière, 2015 . - 274 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Essai) .
ISBN : 978-2-84337-781-5 : 18 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Relations hommes-femmes
Domination
Rôle selon le sexe
Différences entre sexes (psychologie)Résumé : L'homme (avec un petit h et un pénis de taille variable) est une pourriture : c'est lui qui vole, viole, tape, tue, refuse de laver ses slips et préférerait crever plutôt qu'avoir à supporter un monde où ses bonniches peuvent devenir PDG. Voici la «version officielle» de notre histoire, celle de la domination masculine.
Sauf que cette histoire est fausse. Du moins en partie.
Si les hommes ont le pouvoir, c'est parce que les femmes l'ont bien voulu, tout au long des 99,98 % de l'histoire de notre espèce. Durant ces millions d'années, elles ont frétillé au moindre indice de force, de puissance et de brutalité. Le mâle violent et dominateur est le produit évolutif d'une sélection sexuelle où les femelles sont actives, et non passives.
Mauvaise nouvelle pour qui voudrait émanciper les femmes malgré elles : elles furent les premières à favoriser la petite brute. Un paradoxe ancestral qui s'incarne toujours là où la phallocratie semble la plus flagrante : les inégalités scolaires et professionnelles, le harcèlement, les violences familiales et conjugales, le viol et les violences sexuelles, la culture de l'honneur, l'agressivité, la guerre, le fanatisme religieux ou encore le terrorisme.
En d'autres termes, la domination masculine n'existe pas. Ce qui existe, c'est une histoire évolutive conflictuelle qui aura poussé les deux sexes à développer des stratégies reproductives distinctes et où, en fin de compte, les femmes sont vraiment loin d'être perdantes.
présentation de l'éditeur -En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/signes-des-temps/societes-patriarcales-vs [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=213238 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Titre : No sex : avoir envie de ne pas faire l'amour / BM de Tours et SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Peggy Sastre (1981-...) , Auteur
Mention d'édition : Extraits en hyperlien Editeur : Paris : La Musardine Année de publication : 2010 Collection : L'Attrape-corps, ISSN 1299-5754 Importance : 139 p. Format : 19 x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84271-392-8 Prix : 13 € Mots-clés : Abstinence sexuelle Chasteté sexualité révolution sexuelle désir psychologie sexologie Société / Amour et sexualité / Pratiques sexuelles Pratiques sexuelles et connexes Vie sexuelle Enquêtes Relation homme femme Résumé : Enquête historique, sociologique et scientifique autour de l'asexualité interrogeant le phénomène comme l'expression d'une profonde mutation de la société. Alors qu'à l'heure actuelle une libido faible voire inexistante est jugée négativement, l'auteure montre que les asexuels ne font que, comme d'autres, se battre pour leur droit à l'indifférence. Note de contenu : Si, depuis la révolution sexuelle, tout le monde peut faire ce qu'il veut de son cul, quel danger y aurait-il à ne rien en faire du tout ? Il y a encore peu de temps, la disette sexuelle n'était pas jugée négativement. Au contraire : haro sur les fornicateurs, les masturbateurs, sur tous ceux qui séparaient sexe et procréation. Si la révolution sexuelle peut avoir quelques ratés, son influence ne fait aucun doute sur un point précis : désormais, c'est une libido faible, voire inexistante, que l'on montre du doigt. Manifester un goût peu prononcé pour la chose prend des allures de tare à soigner. Au centre du soupçon, une poignée d'individus se revendiquant asexuels et qui, autour du site Internet asexuality.org, conquiert peu à peu une visibilité sociale et médiatique. Pour quelles raisons peut-on être dépourvu de libido ? L'asexualité est-elle une autre de ces modes made in USA ou l'expression d'une profonde mutation de notre société ? Faut-il obligatoirement avoir envie de faire l'amour ? C'est ici que commence la passionnante enquête historique, sociologique et scientifique que Peggy Sastre a choisi de mener. Avec un unique préjugé : l'asexualité n'a rien d'une maladie. En ligne : https://www.amazon.fr/No-sex-Avoir-envie-lamour/dp/2842713923#reader_2842713923 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=169780 No sex : avoir envie de ne pas faire l'amour / BM de Tours et SUDOC [document électronique] / Peggy Sastre (1981-...), Auteur . - Extraits en hyperlien . - Paris : La Musardine, 2010 . - 139 p. ; 19 x 13 cm. - (L'Attrape-corps, ISSN 1299-5754) .
ISBN : 978-2-84271-392-8 : 13 €
Mots-clés : Abstinence sexuelle Chasteté sexualité révolution sexuelle désir psychologie sexologie Société / Amour et sexualité / Pratiques sexuelles Pratiques sexuelles et connexes Vie sexuelle Enquêtes Relation homme femme Résumé : Enquête historique, sociologique et scientifique autour de l'asexualité interrogeant le phénomène comme l'expression d'une profonde mutation de la société. Alors qu'à l'heure actuelle une libido faible voire inexistante est jugée négativement, l'auteure montre que les asexuels ne font que, comme d'autres, se battre pour leur droit à l'indifférence. Note de contenu : Si, depuis la révolution sexuelle, tout le monde peut faire ce qu'il veut de son cul, quel danger y aurait-il à ne rien en faire du tout ? Il y a encore peu de temps, la disette sexuelle n'était pas jugée négativement. Au contraire : haro sur les fornicateurs, les masturbateurs, sur tous ceux qui séparaient sexe et procréation. Si la révolution sexuelle peut avoir quelques ratés, son influence ne fait aucun doute sur un point précis : désormais, c'est une libido faible, voire inexistante, que l'on montre du doigt. Manifester un goût peu prononcé pour la chose prend des allures de tare à soigner. Au centre du soupçon, une poignée d'individus se revendiquant asexuels et qui, autour du site Internet asexuality.org, conquiert peu à peu une visibilité sociale et médiatique. Pour quelles raisons peut-on être dépourvu de libido ? L'asexualité est-elle une autre de ces modes made in USA ou l'expression d'une profonde mutation de notre société ? Faut-il obligatoirement avoir envie de faire l'amour ? C'est ici que commence la passionnante enquête historique, sociologique et scientifique que Peggy Sastre a choisi de mener. Avec un unique préjugé : l'asexualité n'a rien d'une maladie. En ligne : https://www.amazon.fr/No-sex-Avoir-envie-lamour/dp/2842713923#reader_2842713923 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=169780 Exemplaires
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