Titre : |
Une planète trop peuplée ? : le mythe populationniste, l'immigration et la crise écologique / SUDOC et ScholarVox (Cyberlibris) |
Titre original : |
Too many people ? : population, immigration, and the environmental crisis |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Ian Angus (1945-...), Auteur ; Simon Butler, Auteur ; Marianne Champagne, Traducteur ; Serge Mongeau (1937-...), Préfacier, etc. |
Editeur : |
Montréal [Québec] : Les Éditions Écosociété |
Année de publication : |
2014 |
Importance : |
301 p. |
Présentation : |
graph., couv. ill. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-89719-165-8 |
Prix : |
20 € |
Note générale : |
La population mondiale devrait dépasser les neuf milliards d'individus en 2050, soit trois fois plus qu'en 1950, et certains voient dans cet accroissement démographique l'une des causes principales de la destruction environnementale. Mais y a-t-il véritablement trop de monde sur Terre? La crise écologique actuelle est-elle effectivement attribuable à une surpopulation? Que se cache-t-il derrière cette idée malthusienne qui divise le mouvement écologiste depuis le début des années 1960? Dans cet ouvrage extrêmement bien documenté, Ian Angus et Simon Butler déboulonnent de façon magistrale ce mythe populationniste qui a réussi à séduire autant des conservateurs de droite que des écologistes sincères. Chiffres à l'appui, les auteurs renversent cette grave erreur de diagnostic et démontrent avec rigueur et limpidité que les moyens prônés par les populationnistes - à savoir un meilleur contrôle des naissances (principalement dans les pays du Sud) et une réduction substantielle de l'immigration (dans les pays du Nord) - sont de fausses pistes pour protéger l'environnement. Rejeter la responsabilité des changements climatiques et des dégâts environnementaux sur les plus démunis de la planète participe tout simplement d'une écologisation de la haine. S'inscrivant dans une perspective écosocialiste, Ian Angus et Simon Butler estiment que la cause première des problèmes écologiques actuels n'est donc ni la taille de la population ni l'immigration, mais le système économique et social qui repose sur une croissance perpétuelle et une consommation excessive. En niant cette réalité, les populationnistes masquent les vraies solutions, dédouanent les véritables vandales de l'environnement et font obstacle à la construction de mouvements écologistes forts. |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Mots-clés : |
mythe populationniste critique néo-malthusianisme Environnement / L'environnement et l'activité humaine / Migration des populations Surpopulation, sous-peuplement Surpopulation Population -- Aspect de l'environnement Politique démographique Émigration et immigration -- Politique gouvernementale Émigration et immigration -- Aspect environnemental -- 1990-2020
Population -- Aspect environnemental -- 1990-2020
Société de consommation -- Aspect environnemental -- 1990-2020
Émigration et immigration -- Aspect environnemental -- 1990-2020
Population -- Aspect environnemental -- 1990-2020
Société de consommation -- Aspect environnemental -- 1990-2020 |
Résumé : |
La population mondiale devrait dépasser les neuf milliards d’individus en 2050, soit trois fois plus qu’en 1950, et certains voient dans cet accroissement démographique l’une des causes principales de la destruction environnementale. Mais y a-t-il véritablement trop de monde sur Terre? La crise écologique actuelle est-elle effectivement attribuable à une surpopulation? Que se cache-t-il derrière cette idée malthusienne qui divise le mouvement écologiste depuis le début des années 1960? Dans cet ouvrage extrêmement bien documenté, Ian Angus et Simon Butler déboulonnent de façon magistrale ce mythe populationniste qui a réussi à séduire autant des conservateurs de droite que des écologistes sincères. Chiffres à l’appui, les auteurs renversent cette grave erreur de diagnostic et démontrent avec rigueur et limpidité que les moyens prônés par les populationnistes – à savoir un meilleur contrôle des naissances (principalement dans les pays du Sud) et une réduction substantielle de l’immigration (dans les pays du Nord) – sont de fausses pistes pour protéger l'environnement. Rejeter la responsabilité des changements climatiques et des dégâts environnementaux sur les plus démunis de la planète participe tout simplement d’une écologisation de la haine. S’inscrivant dans une perspective écosocialiste, Ian Angus et Simon Butler estiment que la cause première des problèmes écologiques actuels n’est donc ni la taille de la population ni l’immigration, mais le système économique et social qui repose sur une croissance perpétuelle et une consommation excessive. En niant cette réalité, les populationnistes masquent les vraies solutions, dédouanent les véritables vandales de l’environnement et font obstacle à la construction de mouvements écologistes forts. (Présentation de l'éditeur) |
Note de contenu : |
Notes bibliogr. Bibliogr. et webliogr. p. [280]-301 |
En ligne : |
http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/catalog/boo [...] |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=271598 |
Une planète trop peuplée ? : le mythe populationniste, l'immigration et la crise écologique / SUDOC et ScholarVox (Cyberlibris) = Too many people ? : population, immigration, and the environmental crisis [document électronique] / Ian Angus (1945-...), Auteur ; Simon Butler, Auteur ; Marianne Champagne, Traducteur ; Serge Mongeau (1937-...), Préfacier, etc. . - Montréal (Québec) : Les Éditions Écosociété, 2014 . - 301 p. : graph., couv. ill. ; 22 cm. ISBN : 978-2-89719-165-8 : 20 € La population mondiale devrait dépasser les neuf milliards d'individus en 2050, soit trois fois plus qu'en 1950, et certains voient dans cet accroissement démographique l'une des causes principales de la destruction environnementale. Mais y a-t-il véritablement trop de monde sur Terre? La crise écologique actuelle est-elle effectivement attribuable à une surpopulation? Que se cache-t-il derrière cette idée malthusienne qui divise le mouvement écologiste depuis le début des années 1960? Dans cet ouvrage extrêmement bien documenté, Ian Angus et Simon Butler déboulonnent de façon magistrale ce mythe populationniste qui a réussi à séduire autant des conservateurs de droite que des écologistes sincères. Chiffres à l'appui, les auteurs renversent cette grave erreur de diagnostic et démontrent avec rigueur et limpidité que les moyens prônés par les populationnistes - à savoir un meilleur contrôle des naissances (principalement dans les pays du Sud) et une réduction substantielle de l'immigration (dans les pays du Nord) - sont de fausses pistes pour protéger l'environnement. Rejeter la responsabilité des changements climatiques et des dégâts environnementaux sur les plus démunis de la planète participe tout simplement d'une écologisation de la haine. S'inscrivant dans une perspective écosocialiste, Ian Angus et Simon Butler estiment que la cause première des problèmes écologiques actuels n'est donc ni la taille de la population ni l'immigration, mais le système économique et social qui repose sur une croissance perpétuelle et une consommation excessive. En niant cette réalité, les populationnistes masquent les vraies solutions, dédouanent les véritables vandales de l'environnement et font obstacle à la construction de mouvements écologistes forts. Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng) |  |