
Détail de l'auteur
Auteur Georges Perec (1936-1982)
Commentaire :
Georges Perec (1936-1982) est l'auteur de nombreux romans, dont les Choses (1965), la Disparition (1969) où la Vie mode d'emploi (1978). Membre de l'OuLiPo, il a également exercé ses talents à concocter des jeux de mots ou de logique, qui régaleront tous les amateurs.
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Documents disponibles écrits par cet auteur



Titre : La disparition Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Perec (1936-1982), Auteur Mention d'édition : [c1969, Denoël] Editeur : Paris Cedex 07 : Éditions Gallimard Année de publication : 1989 Collection : L'Imaginaire, ISSN 0151-7090 num. 215 Importance : 319 p. Format : 19 x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-071523-7 Prix : 8,5 € Catégories : K LINGUISTIQUE - EXPRESSION - LITTERATURE Index. décimale : K-40 Oeuvres d'auteurs Résumé : "Jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus brillants ni si purs. Jamais plus fol alibi n'accoucha d'avatars si mirobolants." Note de contenu : 4e de couv. : "Trahir qui disparut, dans La disparition, ravirait au lisant subtil tout plaisir. Motus donc, sur l'inconnu noyau manquant - «un rond pas tout à fait clos finissant par un trait horizontal» -, blanc sillon damnatif où s'abîma un Anton Voyl, mais d'où surgit aussi la fiction. Disons, sans plus, qu'il a rapport à la vocalisation. L'aiguillon paraîtra à d'aucuns trop grammatical. Vain soupçon : contraint par son savant pari à moult combinaisons, allusions, substitutions ou circonclusions, jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus brillants ni si purs. Jamais plus fol alibi n'accoucha d'avatars si mirobolants. Oui, il fallait un grand art, un art hors du commun, pour fourbir tout un roman sans ça !" B. Pingaud
Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=28142 La disparition [texte imprimé] / Georges Perec (1936-1982), Auteur . - [c1969, Denoël] . - Paris Cedex 07 : Éditions Gallimard, 1989 . - 319 p. ; 19 x 13 cm. - (L'Imaginaire, ISSN 0151-7090; 215) .
ISBN : 978-2-07-071523-7 : 8,5 €
Catégories : K LINGUISTIQUE - EXPRESSION - LITTERATURE Index. décimale : K-40 Oeuvres d'auteurs Résumé : "Jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus brillants ni si purs. Jamais plus fol alibi n'accoucha d'avatars si mirobolants." Note de contenu : 4e de couv. : "Trahir qui disparut, dans La disparition, ravirait au lisant subtil tout plaisir. Motus donc, sur l'inconnu noyau manquant - «un rond pas tout à fait clos finissant par un trait horizontal» -, blanc sillon damnatif où s'abîma un Anton Voyl, mais d'où surgit aussi la fiction. Disons, sans plus, qu'il a rapport à la vocalisation. L'aiguillon paraîtra à d'aucuns trop grammatical. Vain soupçon : contraint par son savant pari à moult combinaisons, allusions, substitutions ou circonclusions, jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus brillants ni si purs. Jamais plus fol alibi n'accoucha d'avatars si mirobolants. Oui, il fallait un grand art, un art hors du commun, pour fourbir tout un roman sans ça !" B. Pingaud
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Titre : Espèces d'espaces / BU de Lettres Type de document : document électronique Auteurs : Georges Perec (1936-1982), Auteur Mention d'édition : Nouv. éd. revue et corrigée Editeur : Paris : Éditions Galilée Année de publication : 2000, cop. 1992 Collection : L'espace critique, ISSN 0335-3095 Importance : 185 p. Format : 22 x 13 cm Accompagnement : 1 f. de prière d'insérer ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0550-0 Prix : 24 € Langues : Français (fre) Mots-clés : Histoire et critique (France) Écriture -- Théorie Résumé : Ce journal d'un usager de l'espace part de constatations élémentaires : "L'espace de notre vie n'est ni continu, ni infini, ni homogène, ni isotrope. Mais sait-on précisément où il se brise, où il se courbe, où il se déconnecte et où il se rassemble ?" Note de contenu : Index En ligne : https://issuu.com/noaraquintana/docs/esp__ces_d_espaces_georges_perec_ga Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=262654 Espèces d'espaces / BU de Lettres [document électronique] / Georges Perec (1936-1982), Auteur . - Nouv. éd. revue et corrigée . - Paris : Éditions Galilée, 2000, cop. 1992 . - 185 p. ; 22 x 13 cm + 1 f. de prière d'insérer. - (L'espace critique, ISSN 0335-3095) .
ISBN : 978-2-7186-0550-0 : 24 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Histoire et critique (France) Écriture -- Théorie Résumé : Ce journal d'un usager de l'espace part de constatations élémentaires : "L'espace de notre vie n'est ni continu, ni infini, ni homogène, ni isotrope. Mais sait-on précisément où il se brise, où il se courbe, où il se déconnecte et où il se rassemble ?" Note de contenu : Index En ligne : https://issuu.com/noaraquintana/docs/esp__ces_d_espaces_georges_perec_ga Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=262654 Exemplaires
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Lire : esquisse socio-physiologique / Georges Perec in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, N°453 (janv.1976)
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[article]
Titre : Lire : esquisse socio-physiologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Perec (1936-1982), Auteur Année de publication : 1976 Note générale : Lire est un acte. Je voudrais parler de cet acte, et cet acte seulement, de ce qui le constitue, de ce qui
l’entoure, non de ce qu’il produit (la lecture, le texte lu), ni de ce qui le précède (l’écriture et ses choix, l’édition et
ses choix, l’impression et ses choix, la diffusion et ses choix, etc.), quelque chose, en somme, comme une
économie de la lecture sous ses aspects ergologiques (physiologie, travail musculaire) et socio-écologiques (son
environnement spatio-temporel).
Toute une école moderne de critique a, depuis plusieurs décennies déjà, mis précisément l’accent sur le
comment de l’écriture, le faire, le poiétique. Non pas la maïeutique sacrée, l’inspiration saisie aux cheveux, mais le
noir sur blanc, la texture du texte, l’inscription, la trace, le pied de la lettre, le travail minuscule, l’organisation
spatiale de l’écriture, ses matériaux (la plume ou le pinceau, la machine à écrire), ses supports (Valmont à la
Présidente de Tourvel : « la table même sur laquelle je vous écris, consacrée pour la première fois
à cet usage, devient pour moi l’autel sacré de l’amour... »), ses codes (ponctuation, alinéa, tirades, etc.), son
autour (l’écrivain écrivant, les lieux, ses rythmes ; ceux qui écrivent au café, ceux qui travaillent la nuit, ceux qui
travaillent à l’aube, ceux qui travaillent le dimanche, etc.).
Un travail équivalent reste à faire, me semble-t-il, sur l’aspect efférent de cette production : la prise en charge
du texte par le lecteur. Ce qu’il s’agit d’envisager, ce n’est pas le message saisi, mais la saisie du message, à son
niveau élémentaire, ce qui se passe quand on lit : les yeux qui se posent sur les lignes, et leur parcours, et tout ce
qui accompagne ce parcours : la lecture ramenée à ce qu’elle est d’abord une précise activité du corps, la mise en
jeu de certains muscles, diverses organisations posturales, des décisions séquentielles, des choix temporels, tout
un ensemble de stratégies insérées dans le continuum de la vie sociale, et qui font qu’on ne lit pas n’importe
comment, ni n’importe quand, ni n’importe où, même si on lit n’importe quoi.Langues : Français (fre) Mots-clés : LECTURE APPRENTISSAGE SOCIETE Résumé : Lire est un acte. Je voudrais parler de cet acte, et de cet acte seulement, de ce qui le constitue, de ce qui l'entoure, non de ce qu'il produit (la lecture, le texte lu), ni de ce qui le précède (l'écriture et ses choix, l'édition et ses choix, l'impression et ses choix, la diffusion et ses choix, etc.), quelque chose, en somme, comme une économie de la lecture sous ses aspects ergologiques (physiologie, travail musculaire) et socio-écologiques (son environnement spatio-temporel). Note de contenu : Les pages qui suivent ne sauraient être autre chose que des notes : un rassemblement, plus intuitif
qu’organisé de faits dispersés ne renvoyant qu’exceptionnellement à des savoirs constitués ; ils appartiendraient
plutôt à ces domaines mal partagés, ces terres en friche de l’ethnologie descriptive que Marcel Mauss évoque
dans son introduction aux « techniques du corps » (voir Sociologie et anthropologie, Paris, P.U.F., 1950,
p. 365 sq.) et qui, rangés sous la rubrique « divers », constituent des zones d’urgence dont on sait seulement qu’on
ne sait pas grand-chose, mais dont on pressent qu’on pourrait beaucoup y trouver si l’on s’avisait d’y prêter
quelque attention : faits banals, passés sous silence, non pris en charge, allant d’eux-mêmes : ils nous décrivent
pourtant, même si nous croyons pouvoir nous dispenser de les décrire ; ils renvoient, avec beaucoup plus d’acuité
et de présence que la plupart des institutions et des idéologies dont les sociologues font habituellement leur
nourriture, à l’histoire de notre corps, à la culture qui a modelé nos gestes et nos postures, à l’éducation qui a
façonné nos actes moteurs au moins autant que nos actes mentaux. Il en va ainsi, précise Mauss, de la marche et
de la danse, de la course à pied et du saut, des modes de repos, des techniques de portage et de lancer, des
manières de table et des manières de lit, des formes extérieures de respect, de l’hygiène corporelle, etc. Il en va
ainsi, aussi, de la lectureEn ligne : https://esprit.presse.fr/article/georges-perec/lire-esquisse-socio-physiologique [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=15045
in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor > N°453 (janv.1976)[article] Lire : esquisse socio-physiologique [texte imprimé] / Georges Perec (1936-1982), Auteur . - 1976.
Lire est un acte. Je voudrais parler de cet acte, et cet acte seulement, de ce qui le constitue, de ce qui
l’entoure, non de ce qu’il produit (la lecture, le texte lu), ni de ce qui le précède (l’écriture et ses choix, l’édition et
ses choix, l’impression et ses choix, la diffusion et ses choix, etc.), quelque chose, en somme, comme une
économie de la lecture sous ses aspects ergologiques (physiologie, travail musculaire) et socio-écologiques (son
environnement spatio-temporel).
Toute une école moderne de critique a, depuis plusieurs décennies déjà, mis précisément l’accent sur le
comment de l’écriture, le faire, le poiétique. Non pas la maïeutique sacrée, l’inspiration saisie aux cheveux, mais le
noir sur blanc, la texture du texte, l’inscription, la trace, le pied de la lettre, le travail minuscule, l’organisation
spatiale de l’écriture, ses matériaux (la plume ou le pinceau, la machine à écrire), ses supports (Valmont à la
Présidente de Tourvel : « la table même sur laquelle je vous écris, consacrée pour la première fois
à cet usage, devient pour moi l’autel sacré de l’amour... »), ses codes (ponctuation, alinéa, tirades, etc.), son
autour (l’écrivain écrivant, les lieux, ses rythmes ; ceux qui écrivent au café, ceux qui travaillent la nuit, ceux qui
travaillent à l’aube, ceux qui travaillent le dimanche, etc.).
Un travail équivalent reste à faire, me semble-t-il, sur l’aspect efférent de cette production : la prise en charge
du texte par le lecteur. Ce qu’il s’agit d’envisager, ce n’est pas le message saisi, mais la saisie du message, à son
niveau élémentaire, ce qui se passe quand on lit : les yeux qui se posent sur les lignes, et leur parcours, et tout ce
qui accompagne ce parcours : la lecture ramenée à ce qu’elle est d’abord une précise activité du corps, la mise en
jeu de certains muscles, diverses organisations posturales, des décisions séquentielles, des choix temporels, tout
un ensemble de stratégies insérées dans le continuum de la vie sociale, et qui font qu’on ne lit pas n’importe
comment, ni n’importe quand, ni n’importe où, même si on lit n’importe quoi.
Langues : Français (fre)
in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor > N°453 (janv.1976)
Mots-clés : LECTURE APPRENTISSAGE SOCIETE Résumé : Lire est un acte. Je voudrais parler de cet acte, et de cet acte seulement, de ce qui le constitue, de ce qui l'entoure, non de ce qu'il produit (la lecture, le texte lu), ni de ce qui le précède (l'écriture et ses choix, l'édition et ses choix, l'impression et ses choix, la diffusion et ses choix, etc.), quelque chose, en somme, comme une économie de la lecture sous ses aspects ergologiques (physiologie, travail musculaire) et socio-écologiques (son environnement spatio-temporel). Note de contenu : Les pages qui suivent ne sauraient être autre chose que des notes : un rassemblement, plus intuitif
qu’organisé de faits dispersés ne renvoyant qu’exceptionnellement à des savoirs constitués ; ils appartiendraient
plutôt à ces domaines mal partagés, ces terres en friche de l’ethnologie descriptive que Marcel Mauss évoque
dans son introduction aux « techniques du corps » (voir Sociologie et anthropologie, Paris, P.U.F., 1950,
p. 365 sq.) et qui, rangés sous la rubrique « divers », constituent des zones d’urgence dont on sait seulement qu’on
ne sait pas grand-chose, mais dont on pressent qu’on pourrait beaucoup y trouver si l’on s’avisait d’y prêter
quelque attention : faits banals, passés sous silence, non pris en charge, allant d’eux-mêmes : ils nous décrivent
pourtant, même si nous croyons pouvoir nous dispenser de les décrire ; ils renvoient, avec beaucoup plus d’acuité
et de présence que la plupart des institutions et des idéologies dont les sociologues font habituellement leur
nourriture, à l’histoire de notre corps, à la culture qui a modelé nos gestes et nos postures, à l’éducation qui a
façonné nos actes moteurs au moins autant que nos actes mentaux. Il en va ainsi, précise Mauss, de la marche et
de la danse, de la course à pied et du saut, des modes de repos, des techniques de portage et de lancer, des
manières de table et des manières de lit, des formes extérieures de respect, de l’hygiène corporelle, etc. Il en va
ainsi, aussi, de la lectureEn ligne : https://esprit.presse.fr/article/georges-perec/lire-esquisse-socio-physiologique [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=15045 Documents numériques
Titre : La vie mode d'emploi : romans / BU de Lettres Type de document : document électronique Auteurs : Georges Perec (1936-1982), Auteur Editeur : Paris : Librairie Arthème Fayard Année de publication : 2011, cop. 2007 Importance : 657 p. Présentation : illustrations en noir et blanc Format : 23 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-213-66309-8 Prix : 24,30 € Note générale : Le peintre Serge Valène a l'idée d'un tableau rassemblant toute son expérience : savoirs, souvenirs, sensations, rêves, passions, haines... Un roman-somme qui obtint le prix Médicis en 1978.
C'est dans les derniers mois de sa vie que le peintre Serge Valène conçut l'idée d'un tableau qui rassemblerait toute son expérience :tout ce que sa mémoire avait enregistré, toutes les sensations qui l'avaient parcouru, toutes ses rêveries, ses passions, ses haines viendraient s'y inscrire, somme d'éléments minuscules dont le total serait sa vie.
Il représenterait l'immeuble parisien dans lequel il vivait depuis plus de cinquante-cinq ans. La façade en serait enlevée et l'on verrait en coupe toutes les pièces du devant, la cage de l'ascenseur, les escaliers, les portes palières. Et comme dans ces maisons de poupées dans lesquelles tout est reproduit en miniature, les carpettes, les gravures, les horloges, les bassinoires, il y aurait dans chaque pièce les gens qui y avaient vécu et les gens qui y vivaient encore et tous les détails de leur vie, leurs chats, leurs bouillottes, leur histoire...Langues : Français (fre) Index. décimale : 843 Résumé : La Vie mode d'emploi est un livre extraordinaire, d'une importance capitale non seulement dans la création de l'auteur, mais dans notre littérature, par son ampleur, son organisation, la richesse de ses informations, la cocasserie de ses inventions, par l'ironie qui le travaille de bout en bout sans en chasser la tendresse, par sa forme d'art enfin : un réalisme baroque qui confine au burlesque. Jacqueline Piatier, Le Monde. L'ironie, très douce, imperceptible, fantomatique, moirée, faite d'un détachement extrême, d'une méticulosité et d'une patience qui deviennent de l'amour... En résumé, c'est un prodigieux livre-brocante, qu'on visite sans se presser, à la fois livre fourre-tout, livre promenade. Jacques-Pierre Amette, Le Point. Et cela donne des romans exotiques, extravagants, des crimes parfaits, des fables érudites, des catalogues, des affaires de moeurs, de sombres histoires de magie noire, des confidences de coureurs cyclistes... Jeux de miroirs et tables gigognes, entrez dans cet immeuble et vous ferez le tour du monde. Un vertige majuscule. Quand on en sort, on est léger comme une montgolfière. Catherine David, Le Nouvel Observateur. Note de contenu : TdM :
Préambule
Première partie
Chapitre I : Dans l’escalier, 1
Chapitre II : Beaumont, 1
Chapitre III : Troisième droite, 1
Chapitre IV : Marquiseaux, 1
Chapitre V : Foulerot, 1
Chapitre VI : Chambres de bonne, 1
Chapitre VII : Chambres de bonne, 2
Chapitre VIII : Winckler, 1
Chapitre IX : Chambres de bonne, 3
Chapitre X : Chambres de bonne, 4
Chapitre XI : L’atelier de Hutting, 1
Chapitre XII : Réol, 1
Chapitre XIII : Rorschash, 1
Chapitre XIV : Dinteville, 1
Chapitre XV : Chambres de bonne, 5
Chapitre XVI : Chambres de bonne, 6
Chapitre XVII : Dans l’escalier, 2
Chapitre XVIII : Rorschash, 2
Chapitre XIX : Altamont, 1
Chapitre XX : Moreau, 1
Chapitre XXI : Dans la chaufferie, 1
Deuxième partie
Chapitre XXII : Le hall d’entrée, 1
Chapitre XXIII : Moreau, 2
Chapitre XXIV : Marcia, 1
Chapitre XXV : Altamont, 2
Chapitre XXVI : Bartlebooth, 1
Chapitre XXVII : Rorschash, 3
Chapitre XXVIII : Dans l’escalier, 3
Chapitre XXIX : Troisième droite, 2
Chapitre XXX : Marquiseaux, 2
Chapitre XXXI : Beaumont, 3
Chapitre XXXII : Marcia, 2
IndexEn ligne : https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&cad=rja&uact=8&ve [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=262655 La vie mode d'emploi : romans / BU de Lettres [document électronique] / Georges Perec (1936-1982), Auteur . - Paris : Librairie Arthème Fayard, 2011, cop. 2007 . - 657 p. : illustrations en noir et blanc ; 23 x 14 cm.
ISBN : 978-2-213-66309-8 : 24,30 €
Le peintre Serge Valène a l'idée d'un tableau rassemblant toute son expérience : savoirs, souvenirs, sensations, rêves, passions, haines... Un roman-somme qui obtint le prix Médicis en 1978.
C'est dans les derniers mois de sa vie que le peintre Serge Valène conçut l'idée d'un tableau qui rassemblerait toute son expérience :tout ce que sa mémoire avait enregistré, toutes les sensations qui l'avaient parcouru, toutes ses rêveries, ses passions, ses haines viendraient s'y inscrire, somme d'éléments minuscules dont le total serait sa vie.
Il représenterait l'immeuble parisien dans lequel il vivait depuis plus de cinquante-cinq ans. La façade en serait enlevée et l'on verrait en coupe toutes les pièces du devant, la cage de l'ascenseur, les escaliers, les portes palières. Et comme dans ces maisons de poupées dans lesquelles tout est reproduit en miniature, les carpettes, les gravures, les horloges, les bassinoires, il y aurait dans chaque pièce les gens qui y avaient vécu et les gens qui y vivaient encore et tous les détails de leur vie, leurs chats, leurs bouillottes, leur histoire...
Langues : Français (fre)
Index. décimale : 843 Résumé : La Vie mode d'emploi est un livre extraordinaire, d'une importance capitale non seulement dans la création de l'auteur, mais dans notre littérature, par son ampleur, son organisation, la richesse de ses informations, la cocasserie de ses inventions, par l'ironie qui le travaille de bout en bout sans en chasser la tendresse, par sa forme d'art enfin : un réalisme baroque qui confine au burlesque. Jacqueline Piatier, Le Monde. L'ironie, très douce, imperceptible, fantomatique, moirée, faite d'un détachement extrême, d'une méticulosité et d'une patience qui deviennent de l'amour... En résumé, c'est un prodigieux livre-brocante, qu'on visite sans se presser, à la fois livre fourre-tout, livre promenade. Jacques-Pierre Amette, Le Point. Et cela donne des romans exotiques, extravagants, des crimes parfaits, des fables érudites, des catalogues, des affaires de moeurs, de sombres histoires de magie noire, des confidences de coureurs cyclistes... Jeux de miroirs et tables gigognes, entrez dans cet immeuble et vous ferez le tour du monde. Un vertige majuscule. Quand on en sort, on est léger comme une montgolfière. Catherine David, Le Nouvel Observateur. Note de contenu : TdM :
Préambule
Première partie
Chapitre I : Dans l’escalier, 1
Chapitre II : Beaumont, 1
Chapitre III : Troisième droite, 1
Chapitre IV : Marquiseaux, 1
Chapitre V : Foulerot, 1
Chapitre VI : Chambres de bonne, 1
Chapitre VII : Chambres de bonne, 2
Chapitre VIII : Winckler, 1
Chapitre IX : Chambres de bonne, 3
Chapitre X : Chambres de bonne, 4
Chapitre XI : L’atelier de Hutting, 1
Chapitre XII : Réol, 1
Chapitre XIII : Rorschash, 1
Chapitre XIV : Dinteville, 1
Chapitre XV : Chambres de bonne, 5
Chapitre XVI : Chambres de bonne, 6
Chapitre XVII : Dans l’escalier, 2
Chapitre XVIII : Rorschash, 2
Chapitre XIX : Altamont, 1
Chapitre XX : Moreau, 1
Chapitre XXI : Dans la chaufferie, 1
Deuxième partie
Chapitre XXII : Le hall d’entrée, 1
Chapitre XXIII : Moreau, 2
Chapitre XXIV : Marcia, 1
Chapitre XXV : Altamont, 2
Chapitre XXVI : Bartlebooth, 1
Chapitre XXVII : Rorschash, 3
Chapitre XXVIII : Dans l’escalier, 3
Chapitre XXIX : Troisième droite, 2
Chapitre XXX : Marquiseaux, 2
Chapitre XXXI : Beaumont, 3
Chapitre XXXII : Marcia, 2
IndexEn ligne : https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&cad=rja&uact=8&ve [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=262655 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques