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DE L'ECOLE MATERNELLE A L'ECOLE PRIMAIRE : FLUCTUATIONS JOURNALIERES DE L'ATTENTION / MARTINE ALCORTA ; Corinne PONCE in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS, VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011)
[article]
Titre : DE L'ECOLE MATERNELLE A L'ECOLE PRIMAIRE : FLUCTUATIONS JOURNALIERES DE L'ATTENTION Auteurs : MARTINE ALCORTA, Auteur ; Corinne PONCE, Auteur Année de publication : OCTOBRE-DECEMBRE 2011 Article en page(s) : PP.445-464 Langues : Français (fre) Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Etablissements d'enseignement:École:École maternelle Institutions providing education for preschool children.; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Etablissements d'enseignement:École:École primaire ; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:G.12 Sciences de l'éducation et environnement:Apprentissage:Processus d'apprentissage:AttentionMots-clés : RYTHME SCOLAIRE ADAPTATION Résumé : Présentation de l'éditeur :
Cette étude s'inscrit dans le cadre des travaux menés dans le domaine de la chrono-psychologie scolaire. Elle avait pour objectif de préciser l'évolution des fluctuations journalières de l'attention chez des élèves entre 5 et 7 ans au sein de la transition entre l'école maternelle et le primaire. 68 élèves de grande section de maternelle ont été suivis en première année primaire en utilisant une approche différentielle qui permet d'établir des profils différents de fluctuations journalières de l'attention : un profil classique semblable à celui d'adultes au travail (les performances progressent le matin, chutent en début d'après-midi et progressent de nouveau en fin d'après-midi) dans 45% des cas, un profil classique uniquement l'après-midi dans 22% des cas et un profil sans fluctuation et de bas niveau attentionnel dans 33% des cas. On note que les élèves de grande section avec un profil classique adoptent l'année suivante soit un profil classique soit un profil attentionnel élevé sans fluctuation. Pour les élèves qui ont un niveau attentionnel faible et sans fluctuation, nous ne pouvons pas prédire leurs profils l'année suivante. Tous les profils des élèves des écoles primaires ont été examinés en les associant aux caractéristiques de l'adaptation psychosociale évaluée par les enseignants sur six dimensions (compétences académiques, prosociales, sociales, problèmes extériorisés, intériorisés retrait social ou anxiété). L'analyse de variance ne montre pas de différenciation globale des profils attentionnels en fonction des dimensions de l'adaptation psychosociale.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=89961
in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS > VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011) . - PP.445-464[article] DE L'ECOLE MATERNELLE A L'ECOLE PRIMAIRE : FLUCTUATIONS JOURNALIERES DE L'ATTENTION [] / MARTINE ALCORTA, Auteur ; Corinne PONCE, Auteur . - OCTOBRE-DECEMBRE 2011 . - PP.445-464.
Langues : Français (fre)
in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS > VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011) . - PP.445-464
Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Etablissements d'enseignement:École:École maternelle Institutions providing education for preschool children.; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Etablissements d'enseignement:École:École primaire ; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:G.12 Sciences de l'éducation et environnement:Apprentissage:Processus d'apprentissage:AttentionMots-clés : RYTHME SCOLAIRE ADAPTATION Résumé : Présentation de l'éditeur :
Cette étude s'inscrit dans le cadre des travaux menés dans le domaine de la chrono-psychologie scolaire. Elle avait pour objectif de préciser l'évolution des fluctuations journalières de l'attention chez des élèves entre 5 et 7 ans au sein de la transition entre l'école maternelle et le primaire. 68 élèves de grande section de maternelle ont été suivis en première année primaire en utilisant une approche différentielle qui permet d'établir des profils différents de fluctuations journalières de l'attention : un profil classique semblable à celui d'adultes au travail (les performances progressent le matin, chutent en début d'après-midi et progressent de nouveau en fin d'après-midi) dans 45% des cas, un profil classique uniquement l'après-midi dans 22% des cas et un profil sans fluctuation et de bas niveau attentionnel dans 33% des cas. On note que les élèves de grande section avec un profil classique adoptent l'année suivante soit un profil classique soit un profil attentionnel élevé sans fluctuation. Pour les élèves qui ont un niveau attentionnel faible et sans fluctuation, nous ne pouvons pas prédire leurs profils l'année suivante. Tous les profils des élèves des écoles primaires ont été examinés en les associant aux caractéristiques de l'adaptation psychosociale évaluée par les enseignants sur six dimensions (compétences académiques, prosociales, sociales, problèmes extériorisés, intériorisés retrait social ou anxiété). L'analyse de variance ne montre pas de différenciation globale des profils attentionnels en fonction des dimensions de l'adaptation psychosociale.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=89961 LE CORPS EN ACTION : UN INDICE CLEF POUR COMPRENDRE LE DEVELOPPEMENT DES INTERACTIONS SOCIALES / Laurie CENTELLES ; Christine ASSAIANTE ; Christina SCHMITZ in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS, VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011)
[article]
Titre : LE CORPS EN ACTION : UN INDICE CLEF POUR COMPRENDRE LE DEVELOPPEMENT DES INTERACTIONS SOCIALES Auteurs : Laurie CENTELLES, Auteur ; Christine ASSAIANTE, Auteur ; Christina SCHMITZ, Auteur Année de publication : OCTOBRE-DECEMBRE 2011 Article en page(s) : PP.407-420 Langues : Français (fre) Catégories : E PSYCHOLOGIE - PHILOSOPHIE:Enfant Mots-clés : INTERACTION GESTE CORPS LANGAGE Résumé : Présentation de l'éditeur :
Comprendre une interaction sociale que l'on observe nécessite d'interpréter les actions réalisées, parfois uniquement sur la base d'une analyse subtile du langage corporel. L'objectif de cette étude a été de déterminer le décours développemental de l'aptitude à utiliser les informations portées par le corps en action pour comprendre une interaction sociale. Afin d'isoler les indices sociaux issus de la cinématique du corps en action, le modèle minimaliste de Johansson (1973) a été utilisé. Des animations silencieuses de 3 secondes en points lumineux animés illustrant deux acteurs engagés ou non dans une interaction sociale ont été proposés à 36 enfants, âgés de 4 à 10 ans. Nos résultats montrent que dès l'âge de 4 ans, le corps en action se révèle un indice clef dans la compréhension des interactions sociales, avec une amélioration notable aux alentours de 7-8 ans. En conclusion, cette étude comportementale montre l'existence d'une capacité précoce à extraire du langage corporel un contenu social qui s'accompagne d'un perfectionnement au cours de l'enfance. Cette capacité serait intimement liée au développement des représentations de l'action et vraisemblablement à rapprocher du développement du mécanisme miroir.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=90064
in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS > VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011) . - PP.407-420[article] LE CORPS EN ACTION : UN INDICE CLEF POUR COMPRENDRE LE DEVELOPPEMENT DES INTERACTIONS SOCIALES [] / Laurie CENTELLES, Auteur ; Christine ASSAIANTE, Auteur ; Christina SCHMITZ, Auteur . - OCTOBRE-DECEMBRE 2011 . - PP.407-420.
Langues : Français (fre)
in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS > VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011) . - PP.407-420
Catégories : E PSYCHOLOGIE - PHILOSOPHIE:Enfant Mots-clés : INTERACTION GESTE CORPS LANGAGE Résumé : Présentation de l'éditeur :
Comprendre une interaction sociale que l'on observe nécessite d'interpréter les actions réalisées, parfois uniquement sur la base d'une analyse subtile du langage corporel. L'objectif de cette étude a été de déterminer le décours développemental de l'aptitude à utiliser les informations portées par le corps en action pour comprendre une interaction sociale. Afin d'isoler les indices sociaux issus de la cinématique du corps en action, le modèle minimaliste de Johansson (1973) a été utilisé. Des animations silencieuses de 3 secondes en points lumineux animés illustrant deux acteurs engagés ou non dans une interaction sociale ont été proposés à 36 enfants, âgés de 4 à 10 ans. Nos résultats montrent que dès l'âge de 4 ans, le corps en action se révèle un indice clef dans la compréhension des interactions sociales, avec une amélioration notable aux alentours de 7-8 ans. En conclusion, cette étude comportementale montre l'existence d'une capacité précoce à extraire du langage corporel un contenu social qui s'accompagne d'un perfectionnement au cours de l'enfance. Cette capacité serait intimement liée au développement des représentations de l'action et vraisemblablement à rapprocher du développement du mécanisme miroir.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=90064 LES DECISIONS D'ORIENTATION SCOLAIRE A L'ADOLESCENCE : AVEC QUI PARTAGER SES EXPERIENCES EMOTIONNELLES, COMMENT ET POURQUOI ? / Emmanuelle VIGNOLI in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS, VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011)
[article]
Titre : LES DECISIONS D'ORIENTATION SCOLAIRE A L'ADOLESCENCE : AVEC QUI PARTAGER SES EXPERIENCES EMOTIONNELLES, COMMENT ET POURQUOI ? Auteurs : Emmanuelle VIGNOLI, Auteur Année de publication : OCTOBRE-DECEMBRE 2011 Article en page(s) : PP.465-496 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Répartition par âge:Groupe d'âge:Adolescence Mots-clés : ORIENTATION SCOLAIRE EMOTION RELATION ENFANT/PARENTS AMITIE Résumé : Présentation de l'éditeur :
Les recherches en psychologie du développement depuis une trentaine d'années soulignent l'importance accordée par les garçons et les filles tout au long de l'adolescence aux relations avec les parents et les amis. C'est avec eux en priorité qu'ils partagent leurs expériences émotionnelles. L'une de ces expériences "normatives" pour les adolescents français en classe de seconde est l'avis que le conseil de classe rend concernant leurs voeux d'orientation. Dans une enquête par questionnaire, 200 adolescents ont indiqué avec qui, avec quelle fréquence, dans quel délai et pour quels motifs ils ont parlé de cet épisode scolaire. Les résultats montrent que les parents, plus que l'ami, sont des destinataires privilégiés après un avis favorable, la mère disposant d'un statut particulier. L'ami est le destinataire privilégié après un avis défavorable. Ces résultats sont discutés en référence aux fonctions psychologiques du partage social des émotions et au rôle des personnes significatives au cours de l'adolescence.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=90095
in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS > VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011) . - PP.465-496[article] LES DECISIONS D'ORIENTATION SCOLAIRE A L'ADOLESCENCE : AVEC QUI PARTAGER SES EXPERIENCES EMOTIONNELLES, COMMENT ET POURQUOI ? [] / Emmanuelle VIGNOLI, Auteur . - OCTOBRE-DECEMBRE 2011 . - PP.465-496.
Langues : Français (fre)
in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS > VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011) . - PP.465-496
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Répartition par âge:Groupe d'âge:Adolescence Mots-clés : ORIENTATION SCOLAIRE EMOTION RELATION ENFANT/PARENTS AMITIE Résumé : Présentation de l'éditeur :
Les recherches en psychologie du développement depuis une trentaine d'années soulignent l'importance accordée par les garçons et les filles tout au long de l'adolescence aux relations avec les parents et les amis. C'est avec eux en priorité qu'ils partagent leurs expériences émotionnelles. L'une de ces expériences "normatives" pour les adolescents français en classe de seconde est l'avis que le conseil de classe rend concernant leurs voeux d'orientation. Dans une enquête par questionnaire, 200 adolescents ont indiqué avec qui, avec quelle fréquence, dans quel délai et pour quels motifs ils ont parlé de cet épisode scolaire. Les résultats montrent que les parents, plus que l'ami, sont des destinataires privilégiés après un avis favorable, la mère disposant d'un statut particulier. L'ami est le destinataire privilégié après un avis défavorable. Ces résultats sont discutés en référence aux fonctions psychologiques du partage social des émotions et au rôle des personnes significatives au cours de l'adolescence.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=90095 LES ENFANTS AVEC RETARD SONT PLUS EXPOSES A LA MALTRAITANCE ET RELEVENT DAVANTAGE DES SERVICES DE LA PROTECTION DE LA JEUNESSE / Jacinthe DION ; Célia MATTE GAGNE ; Marc TOURIGNY ; et al. in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS, VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011)
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Titre : LES ENFANTS AVEC RETARD SONT PLUS EXPOSES A LA MALTRAITANCE ET RELEVENT DAVANTAGE DES SERVICES DE LA PROTECTION DE LA JEUNESSE Auteurs : Jacinthe DION, Auteur ; Célia MATTE GAGNE, Auteur ; Marc TOURIGNY, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : OCTOBRE-DECEMBRE 2011 Article en page(s) : PP.421-444 Langues : Français (fre) Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Politique et bien-être social:Bien-être social:Protection de l'enfance ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Défavorisé:Handicapé:Enfant handicapé ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie:Psychopathologie:Déficience mentale Mots-clés : ENFANT MALTRAITE MALTRAITANCE Résumé : Présentation de l'éditeur :
Les enfants ayant un retard sont plus à risques d'être victimes de maltraitance et d'être impliqués dans les mandats de la protection de la jeunesse en comparaison avec les autres enfants. Dans ce contexte, la présenté étude vise à distinguer les enfants qui présentent un retard de ceux n'en présentant pas sur le plan des caractéristiques individuelles, familiales et liées aux services. Ces deux groupes sont comparés à deux étapes décisionnelles du processus d'évaluation et d'orientation d'un signalement à la protection judiciaire de la jeunesse, soit lorsque le signalement est retenu, et lorsque la sécurité et le développement de l'enfant sont compromis. L'étude a été réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 4 474 enfants dont le signalement a été retenu à la protection de la jeunesse, et d'un échantillon représentatif de 2 278 enfants dont la sécurité et le développement ont été jugés compromis. Les analyses de régressions logistiques révèlent que plusieurs caractéristiques individuelles, familiales et liées aux services distinguent les deux groupes d'enfants (avec un retard et sans retard) dans les deux échantillons, notamment la présence de négligence, le jeune âge de l'enfant, des parents vivant de l'aide sociale ou qui ne coopèrent pas avec les intervenants de la protection de la jeunesse. Chez les enfants en retard, les intervenants considèrent plus souvent que les faits fondés impliquent que le développement et la sécurité sont compromis. La prise en charge est plus souvent judiciarisée ou volontaire et les intervenants identifient davantage de besoins de services. La discussion porte sur les facteurs pouvant expliquer ces différences.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=90102
in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS > VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011) . - PP.421-444[article] LES ENFANTS AVEC RETARD SONT PLUS EXPOSES A LA MALTRAITANCE ET RELEVENT DAVANTAGE DES SERVICES DE LA PROTECTION DE LA JEUNESSE [] / Jacinthe DION, Auteur ; Célia MATTE GAGNE, Auteur ; Marc TOURIGNY, Auteur ; et al., Auteur . - OCTOBRE-DECEMBRE 2011 . - PP.421-444.
Langues : Français (fre)
in Enfance / Cairn.info, Persée et ITS > VOL.63, N.4 (OCTOBRE-DECEMBRE 2011) . - PP.421-444
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Politique et bien-être social:Bien-être social:Protection de l'enfance ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Défavorisé:Handicapé:Enfant handicapé ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie:Psychopathologie:Déficience mentale Mots-clés : ENFANT MALTRAITE MALTRAITANCE Résumé : Présentation de l'éditeur :
Les enfants ayant un retard sont plus à risques d'être victimes de maltraitance et d'être impliqués dans les mandats de la protection de la jeunesse en comparaison avec les autres enfants. Dans ce contexte, la présenté étude vise à distinguer les enfants qui présentent un retard de ceux n'en présentant pas sur le plan des caractéristiques individuelles, familiales et liées aux services. Ces deux groupes sont comparés à deux étapes décisionnelles du processus d'évaluation et d'orientation d'un signalement à la protection judiciaire de la jeunesse, soit lorsque le signalement est retenu, et lorsque la sécurité et le développement de l'enfant sont compromis. L'étude a été réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 4 474 enfants dont le signalement a été retenu à la protection de la jeunesse, et d'un échantillon représentatif de 2 278 enfants dont la sécurité et le développement ont été jugés compromis. Les analyses de régressions logistiques révèlent que plusieurs caractéristiques individuelles, familiales et liées aux services distinguent les deux groupes d'enfants (avec un retard et sans retard) dans les deux échantillons, notamment la présence de négligence, le jeune âge de l'enfant, des parents vivant de l'aide sociale ou qui ne coopèrent pas avec les intervenants de la protection de la jeunesse. Chez les enfants en retard, les intervenants considèrent plus souvent que les faits fondés impliquent que le développement et la sécurité sont compromis. La prise en charge est plus souvent judiciarisée ou volontaire et les intervenants identifient davantage de besoins de services. La discussion porte sur les facteurs pouvant expliquer ces différences.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=90102