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Éduquer, orienter ou punir ? Les professionnels du soin face à la mise en œuvre des stages de sensibilisation aux dangers de l'usage de stupéfiants / Ivana Obradovic in Revue française des affaires sociales, RFAS / Cairn.info, n° 3 (juillet-septembre 2013)
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[article]
Titre : Éduquer, orienter ou punir ? Les professionnels du soin face à la mise en œuvre des stages de sensibilisation aux dangers de l'usage de stupéfiants Auteurs : Ivana Obradovic , Auteur
Année de publication : juillet-septembre 2013 Article en page(s) : pp. 6-23 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Dépendance:Toxicomanie ; L DROIT:Systèmes juridiques:Administration de la justice:Sanction pénale Mots-clés : STAGE DANGER RISQUE Résumé : Présentation de l'éditeur :
À partir des données d’une enquête menée en 2010-2011, cet article propose une analyse des stages « de sensibilisation aux dangers de l’usage de produits stupéfiants », centrée sur les conditions de mise en œuvre de cette mesure. Créés par la loi de 2007, ces stages constituent une nouvelle modalité de réponse pénale, visant à faire prendre conscience, particulièrement aux usagers occasionnels de cannabis, non dépendants et socialement insérés, des risques sanitaires et sociaux qu’ils courent. L’article montre une offre et des conditions d’exécution du stage différenciées selon le type de structure porteuse (médico-sociale ou socio-judiciaire) et met en perspective la place des professionnels du soin dans ce dispositif. Cependant, quelle que soit la structure, une proportion importante du public concerné estime que le stage aura une incidence limitée sur son comportement d’usage. Ce résultat interroge l’efficacité de la sanction comme levier de motivation au changement. Le stage de « sensibilisation » reste avant tout une sanction pénale, peu individualisée et insuffisante pour impulser un processus de transformation chez les personnes qui n’envisageaient pas, déjà avant le stage, de modifier leur consommation de cannabis.En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RFAS_126_0005 Format de la ressource électronique : Site Cairn, consulté le 13/01/2014 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=89984
in Revue française des affaires sociales, RFAS / Cairn.info > n° 3 (juillet-septembre 2013) . - pp. 6-23[article] Éduquer, orienter ou punir ? Les professionnels du soin face à la mise en œuvre des stages de sensibilisation aux dangers de l'usage de stupéfiants [] / Ivana Obradovic, Auteur . - juillet-septembre 2013 . - pp. 6-23.
Langues : Français (fre)
in Revue française des affaires sociales, RFAS / Cairn.info > n° 3 (juillet-septembre 2013) . - pp. 6-23
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Dépendance:Toxicomanie ; L DROIT:Systèmes juridiques:Administration de la justice:Sanction pénale Mots-clés : STAGE DANGER RISQUE Résumé : Présentation de l'éditeur :
À partir des données d’une enquête menée en 2010-2011, cet article propose une analyse des stages « de sensibilisation aux dangers de l’usage de produits stupéfiants », centrée sur les conditions de mise en œuvre de cette mesure. Créés par la loi de 2007, ces stages constituent une nouvelle modalité de réponse pénale, visant à faire prendre conscience, particulièrement aux usagers occasionnels de cannabis, non dépendants et socialement insérés, des risques sanitaires et sociaux qu’ils courent. L’article montre une offre et des conditions d’exécution du stage différenciées selon le type de structure porteuse (médico-sociale ou socio-judiciaire) et met en perspective la place des professionnels du soin dans ce dispositif. Cependant, quelle que soit la structure, une proportion importante du public concerné estime que le stage aura une incidence limitée sur son comportement d’usage. Ce résultat interroge l’efficacité de la sanction comme levier de motivation au changement. Le stage de « sensibilisation » reste avant tout une sanction pénale, peu individualisée et insuffisante pour impulser un processus de transformation chez les personnes qui n’envisageaient pas, déjà avant le stage, de modifier leur consommation de cannabis.En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RFAS_126_0005 Format de la ressource électronique : Site Cairn, consulté le 13/01/2014 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=89984 La prise en charge des usagers d'opiacés par les médecins généralistes : état des lieux et tendances récentes / Adeline GALLINI ; Renaud LEGAL ; Florence TABOULET in Revue française des affaires sociales, RFAS / Cairn.info, n° 3 (juillet-septembre 2013)
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[article]
Titre : La prise en charge des usagers d'opiacés par les médecins généralistes : état des lieux et tendances récentes Auteurs : Adeline GALLINI, Auteur ; Renaud LEGAL, Auteur ; Florence TABOULET, Auteur Année de publication : juillet-septembre 2013 Article en page(s) : pp. 24-41 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Dépendance:Toxicomanie ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Profession médicale:Personnel médical:Médecin Mots-clés : PRISE EN CHARGE TRAITEMENT DE SUBSTITUTION Résumé : Présentation de l'éditeur :
En France, le nombre d’usagers problématiques d’opiacés, cocaïne, amphétamines et autres drogues injectables est estimé à environ 280 000 personnes. Face aux consommateurs d’opiacés, le rôle et les pratiques des médecins généralistes dans la prévention et la prise en charge apparaissent disparates et peu structurés. L’enquête Baromètre santé médecins généralistes, menée par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) en 1998, 2003 et 2009, permet de retracer l’évolution de ces pratiques. L’élargissement du cadre de prescription de traitements de substitution aux opiacés s’est accompagné d’une progression du nombre d’usagers d’opiacés rencontrés en médecine de ville. Le suivi des usagers dépendants aux opiacés est plus fréquemment assuré par des médecins de sexe masculin, exerçant dans des communes de moins de 20 000 habitants, et dont la patientèle est importante et socialement diversifiée (au moins 10 % de bénéficiaires de la CMU). Les pratiques de prescription ont évolué dans deux directions : la diversification des stratégies de substitution à l’héroïne, qui est allée de pair avec un recentrage des traitements sur la méthadone, dans un contexte où la buprénorphine haut dosage reste majoritairement prescrite. Ces évolutions illustrent l’écart entre les recommandations cliniques des pouvoirs publics et les pratiques effectivement mises en œuvre.En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RFAS_126_0024 Format de la ressource électronique : Site Cairn, consulté le 13/01/2014 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=90048
in Revue française des affaires sociales, RFAS / Cairn.info > n° 3 (juillet-septembre 2013) . - pp. 24-41[article] La prise en charge des usagers d'opiacés par les médecins généralistes : état des lieux et tendances récentes [] / Adeline GALLINI, Auteur ; Renaud LEGAL, Auteur ; Florence TABOULET, Auteur . - juillet-septembre 2013 . - pp. 24-41.
Langues : Français (fre)
in Revue française des affaires sociales, RFAS / Cairn.info > n° 3 (juillet-septembre 2013) . - pp. 24-41
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Dépendance:Toxicomanie ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Profession médicale:Personnel médical:Médecin Mots-clés : PRISE EN CHARGE TRAITEMENT DE SUBSTITUTION Résumé : Présentation de l'éditeur :
En France, le nombre d’usagers problématiques d’opiacés, cocaïne, amphétamines et autres drogues injectables est estimé à environ 280 000 personnes. Face aux consommateurs d’opiacés, le rôle et les pratiques des médecins généralistes dans la prévention et la prise en charge apparaissent disparates et peu structurés. L’enquête Baromètre santé médecins généralistes, menée par l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) en 1998, 2003 et 2009, permet de retracer l’évolution de ces pratiques. L’élargissement du cadre de prescription de traitements de substitution aux opiacés s’est accompagné d’une progression du nombre d’usagers d’opiacés rencontrés en médecine de ville. Le suivi des usagers dépendants aux opiacés est plus fréquemment assuré par des médecins de sexe masculin, exerçant dans des communes de moins de 20 000 habitants, et dont la patientèle est importante et socialement diversifiée (au moins 10 % de bénéficiaires de la CMU). Les pratiques de prescription ont évolué dans deux directions : la diversification des stratégies de substitution à l’héroïne, qui est allée de pair avec un recentrage des traitements sur la méthadone, dans un contexte où la buprénorphine haut dosage reste majoritairement prescrite. Ces évolutions illustrent l’écart entre les recommandations cliniques des pouvoirs publics et les pratiques effectivement mises en œuvre.En ligne : http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=RFAS_126_0024 Format de la ressource électronique : Site Cairn, consulté le 13/01/2014 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=90048