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Dépouillements


Les salariés déclarant avoir interrompu ou refusé une tâche pour préserver leur santé ou leur sécurité / ELISABETH ALGAVA in Dares Analyses, n° 023 (avril 2013)
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[article]
Titre : Les salariés déclarant avoir interrompu ou refusé une tâche pour préserver leur santé ou leur sécurité : les enseignements de l'enquête Sumer Type de document : texte imprimé Auteurs : ELISABETH ALGAVA ; Nicolas SANDRET ; Thomas Coutrot (1956-...) Année de publication : avril 2013 Article en page(s) : 12 p. Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Occupational health Mots-clés : ERHEBUNG SUMER SUMER SURVEY ENCUESTA SUMER ENQUETE SUMER GESUNDHEIT AM ARBEITSPLATZ SALUD EN EL TRABAJO SANTE AU TRAVAIL ARBEITSBEDINGUNG WORKING CONDITION CONDICION DE TRABAJO CONDITION DE TRAVAIL FRANKREICH FRANCIA Résumé : « Au cours des douze derniers mois, vous est-il arrivé d’interrompre ou de refuser une tâche pour préserver votre santé ou votre sécurité ? » 12 % des salariés ont répondu par l’affirmative à cette question dans l’enquête Sumer 2010. Par rapport aux autres salariés, ils sont exposés à davantage de risques professionnels, et ont eu plus d’accidents de travail. Certains contextes de travail mettent plus souvent les salariés en position d’interrompre ou de refuser une tâche. Cela tient à la nature du poste de travail, mais aussi à l’organisation du travail et aux relations sociales avec les collègues, les supérieurs ou le public. Sept profils distincts ont été dégagés, qui rassemblent entre 8 % et 22 % des salariés ayant interrompu ou refusé une tâche.
Au-delà des conditions de travail, d’autres facteurs rendent plus probable la décision d’interrompre ou de refuser une tâche : être en mauvaise santé et, dans une moindre mesure, travailler dans un établissement où sont présentes des institutions représentatives du personnel.
La moitié des salariés ayant refusé ou interrompu une tâche disent qu’ils ne l’ont pas fait de manière isolée et que d’autres collègues « ont fait la même chose en même temps ». Ces interruptions ou refus qui s’inscrivent dans une démarche collective sont plutôt le fait de salariés en bonne santé. (résumé : Dares)En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2013-023.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=129343
in Dares Analyses > n° 023 (avril 2013) . - 12 p.[article] Les salariés déclarant avoir interrompu ou refusé une tâche pour préserver leur santé ou leur sécurité : les enseignements de l'enquête Sumer [texte imprimé] / ELISABETH ALGAVA ; Nicolas SANDRET ; Thomas Coutrot (1956-...). - avril 2013 . - 12 p.
Langues : Français (fre)
in Dares Analyses > n° 023 (avril 2013) . - 12 p.
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Occupational health Mots-clés : ERHEBUNG SUMER SUMER SURVEY ENCUESTA SUMER ENQUETE SUMER GESUNDHEIT AM ARBEITSPLATZ SALUD EN EL TRABAJO SANTE AU TRAVAIL ARBEITSBEDINGUNG WORKING CONDITION CONDICION DE TRABAJO CONDITION DE TRAVAIL FRANKREICH FRANCIA Résumé : « Au cours des douze derniers mois, vous est-il arrivé d’interrompre ou de refuser une tâche pour préserver votre santé ou votre sécurité ? » 12 % des salariés ont répondu par l’affirmative à cette question dans l’enquête Sumer 2010. Par rapport aux autres salariés, ils sont exposés à davantage de risques professionnels, et ont eu plus d’accidents de travail. Certains contextes de travail mettent plus souvent les salariés en position d’interrompre ou de refuser une tâche. Cela tient à la nature du poste de travail, mais aussi à l’organisation du travail et aux relations sociales avec les collègues, les supérieurs ou le public. Sept profils distincts ont été dégagés, qui rassemblent entre 8 % et 22 % des salariés ayant interrompu ou refusé une tâche.
Au-delà des conditions de travail, d’autres facteurs rendent plus probable la décision d’interrompre ou de refuser une tâche : être en mauvaise santé et, dans une moindre mesure, travailler dans un établissement où sont présentes des institutions représentatives du personnel.
La moitié des salariés ayant refusé ou interrompu une tâche disent qu’ils ne l’ont pas fait de manière isolée et que d’autres collègues « ont fait la même chose en même temps ». Ces interruptions ou refus qui s’inscrivent dans une démarche collective sont plutôt le fait de salariés en bonne santé. (résumé : Dares)En ligne : http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/2013-023.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=129343