
|
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements


Accès inéquitable aux soins de santé au Canada / M. Ben ammar sghari in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Accès inéquitable aux soins de santé au Canada Auteurs : M. Ben ammar sghari, Auteur ; Sarah HAMMAMI, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 115-120 Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Ensembles économiques:Pays de l'OCDE:Canada Mots-clés : ACCES AUX SOINS INEGALITE DE SANTE INEGALITE DEVANT LES SOINS SYSTEME DE SANTE Résumé : L’accessibilité aux soins est l’un des principes fondamentaux du système canadien de soins de santé. En fait, même si le Canada se situe parmi les nations les plus avancées en termes de niveau de santé, ce niveau élevé ne s’applique pas également à tous les secteurs de la société canadienne. En 1999, la Division des systèmes de santé de Santé Canada a entrepris l’exploration de la question de l’équité et de la sensibilisation en matière d’accès aux services de soins de santé au Canada. À l’heure actuelle, le Canada se classe bien au-dessus de la plupart des autres pays en ce qui a trait à la plupart des indicateurs de santé de la population. Son système d’assurance-santé universelle n’est plus en proie aux difficultés de financement qui nuisent à l’accessibilité de tous les citoyens aux services de santé. L’objectif du présent document est de présenter une analyse détaillée des iniquités troublantes qui perdurent au chapitre de l’état de santé. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186098
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 115-120[article] Accès inéquitable aux soins de santé au Canada [] / M. Ben ammar sghari, Auteur ; Sarah HAMMAMI, Auteur . - 2016 . - p. 115-120.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 115-120
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Ensembles économiques:Pays de l'OCDE:Canada Mots-clés : ACCES AUX SOINS INEGALITE DE SANTE INEGALITE DEVANT LES SOINS SYSTEME DE SANTE Résumé : L’accessibilité aux soins est l’un des principes fondamentaux du système canadien de soins de santé. En fait, même si le Canada se situe parmi les nations les plus avancées en termes de niveau de santé, ce niveau élevé ne s’applique pas également à tous les secteurs de la société canadienne. En 1999, la Division des systèmes de santé de Santé Canada a entrepris l’exploration de la question de l’équité et de la sensibilisation en matière d’accès aux services de soins de santé au Canada. À l’heure actuelle, le Canada se classe bien au-dessus de la plupart des autres pays en ce qui a trait à la plupart des indicateurs de santé de la population. Son système d’assurance-santé universelle n’est plus en proie aux difficultés de financement qui nuisent à l’accessibilité de tous les citoyens aux services de santé. L’objectif du présent document est de présenter une analyse détaillée des iniquités troublantes qui perdurent au chapitre de l’état de santé. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186098 Débat sur la fin de vie : quelle place pour les personnes souffrant de pathologies mentales ? / G. Huguet in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Débat sur la fin de vie : quelle place pour les personnes souffrant de pathologies mentales ? Auteurs : G. Huguet, Auteur ; P. Brunault, Auteur ; Béatrice BIRMELE, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 198-201 Langues : Français (fre) Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Droits de l'homme:Droits du citoyen:Droit à la vie:Euthanasie ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Suicide ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie:Psychopathologie Mots-clés : FIN DE VIE Résumé : Le débat sur la fin de vie fait émerger de manière prégnante la question de la légalisation du suicide médicalement assisté. Une telle évolution législative constituerait un bouleversement du cadre de la pratique médicale, particulièrement en psychiatrie. Bien que la législation des pays ayant légalisé ou dépénalisé l’euthanasie et le suicide médicalement assisté exclut encore aujourd’hui de cet accès à la mort volontaire, les patients souffrant de maladies mentales, des évolutions récentes des pratiques font apparaître qu’ils ont pu y avoir recours. On peut voir en cette évolution, une non-discrimination l’extension de ce droit aux personnes souffrant de maladie mentale. L’exclusion des personnes souffrant de troubles mentaux du débat actuel sur la fin de vie nous semble témoigner du rapport que notre société entretient vis-à-vis de la vulnérabilité. La rencontre avec un patient souffrant d’une maladie mentale sévère est toujours l’occasion d’une confrontation avec les fragilités propres du patient et avec l’impuissance du soignant face à la complexité et la sévérité de la pathologie. C’est seulement au prix de cette expérience partagée de la vulnérabilité que le soignant pourra quitter la position d’expertise dans laquelle il risque d’être enfermé s’il ne veut répondre qu’à la question de la rationalité ou l’irrationalité de l’intentionnalité de mourir. Elle l’oblige alors à s’engager aux côtés du patient, à maintenir un lien qui garantit la continuité du soin et le respect de sa dignité. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186115
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 198-201[article] Débat sur la fin de vie : quelle place pour les personnes souffrant de pathologies mentales ? [] / G. Huguet, Auteur ; P. Brunault, Auteur ; Béatrice BIRMELE, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p. 198-201.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 198-201
Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Droits de l'homme:Droits du citoyen:Droit à la vie:Euthanasie ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Suicide ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie:Psychopathologie Mots-clés : FIN DE VIE Résumé : Le débat sur la fin de vie fait émerger de manière prégnante la question de la légalisation du suicide médicalement assisté. Une telle évolution législative constituerait un bouleversement du cadre de la pratique médicale, particulièrement en psychiatrie. Bien que la législation des pays ayant légalisé ou dépénalisé l’euthanasie et le suicide médicalement assisté exclut encore aujourd’hui de cet accès à la mort volontaire, les patients souffrant de maladies mentales, des évolutions récentes des pratiques font apparaître qu’ils ont pu y avoir recours. On peut voir en cette évolution, une non-discrimination l’extension de ce droit aux personnes souffrant de maladie mentale. L’exclusion des personnes souffrant de troubles mentaux du débat actuel sur la fin de vie nous semble témoigner du rapport que notre société entretient vis-à-vis de la vulnérabilité. La rencontre avec un patient souffrant d’une maladie mentale sévère est toujours l’occasion d’une confrontation avec les fragilités propres du patient et avec l’impuissance du soignant face à la complexité et la sévérité de la pathologie. C’est seulement au prix de cette expérience partagée de la vulnérabilité que le soignant pourra quitter la position d’expertise dans laquelle il risque d’être enfermé s’il ne veut répondre qu’à la question de la rationalité ou l’irrationalité de l’intentionnalité de mourir. Elle l’oblige alors à s’engager aux côtés du patient, à maintenir un lien qui garantit la continuité du soin et le respect de sa dignité. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186115 Donneur décédé en arrêt circulatoire Maastricht 3 : début encourageants dans un centre pilote / D. Dorez in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Donneur décédé en arrêt circulatoire Maastricht 3 : début encourageants dans un centre pilote Auteurs : D. Dorez, Auteur ; S. Gay, Auteur ; C. Vernay, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 134-142 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.40 Famille:Famille Mots-clés : DON D'ORGANE PRELEVEMENT D'ORGANE DECES ARRET CARDIAQUE ARRET DU TRAITEMENT FIN DE VIE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Résumé : Le don d’organes après détermination circulatoire du décès, DDAC, connaît un nouveau développement avec le protocole Maastricht 3, DDACM3, autorisé depuis décembre 2014 en France. Les principes des limitations et arrêts des traitements sont bien posés mais doivent encore gagner dans la formalisation et donner lieu à une préoccupation de qualité et d’humanité autour de la fin de vie. Après arrêt des traitements invasifs de réanimation, après la certification du décès et si telle est la volonté du patient le décès peut conduire à un don d’organes et de tissus, dans certaines conditions. Les DDACM3 offrent une opportunité d’augmenter le nombre de greffons disponibles et représentent un des axes d’amélioration de l’accès à la transplantation. Le suivi psychologique des proches ne montrent aucune interrogation éthique d’éventuel conflit d’intérêt entre décision d’arrêt des traitements et opportunité d’inscrire le don d’organes dans les soins de fin de vie. Les premiers résultats, très préliminaires, sont encourageants en termes de qualité des greffons et très rassurants pour le ressenti des proches et des équipes. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186123
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 134-142[article] Donneur décédé en arrêt circulatoire Maastricht 3 : début encourageants dans un centre pilote [] / D. Dorez, Auteur ; S. Gay, Auteur ; C. Vernay, Auteur . - 2016 . - p. 134-142.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 134-142
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.40 Famille:Famille Mots-clés : DON D'ORGANE PRELEVEMENT D'ORGANE DECES ARRET CARDIAQUE ARRET DU TRAITEMENT FIN DE VIE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Résumé : Le don d’organes après détermination circulatoire du décès, DDAC, connaît un nouveau développement avec le protocole Maastricht 3, DDACM3, autorisé depuis décembre 2014 en France. Les principes des limitations et arrêts des traitements sont bien posés mais doivent encore gagner dans la formalisation et donner lieu à une préoccupation de qualité et d’humanité autour de la fin de vie. Après arrêt des traitements invasifs de réanimation, après la certification du décès et si telle est la volonté du patient le décès peut conduire à un don d’organes et de tissus, dans certaines conditions. Les DDACM3 offrent une opportunité d’augmenter le nombre de greffons disponibles et représentent un des axes d’amélioration de l’accès à la transplantation. Le suivi psychologique des proches ne montrent aucune interrogation éthique d’éventuel conflit d’intérêt entre décision d’arrêt des traitements et opportunité d’inscrire le don d’organes dans les soins de fin de vie. Les premiers résultats, très préliminaires, sont encourageants en termes de qualité des greffons et très rassurants pour le ressenti des proches et des équipes. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186123 Entre patience et inquiétude : ce qui fonde l’éthique au lit du patient / M. Geoffroy in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Entre patience et inquiétude : ce qui fonde l’éthique au lit du patient Auteurs : M. Geoffroy, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 166-170 Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences de l'espace:Temps Mots-clés : SOINS PALLIATIFS RELATION SOIGNANT SOIGNE RELATION MEDECIN MALADE PHENOMENOLOGIE Résumé : L’exemple des soins palliatifs et la prise de conscience qu’ils permettent – la temporalité des divers protagonistes (malade, famille, soignant) se structure différemment pour chacun d’eux – montrent que la pratique du soin nécessite la patience, vertu que l’on peut définir comme « attente du temps de l’autre ». Cette patience du soignant rétablit une symétrie entre le patient (celui qui souffre) et le Patient (doué de la vertu de patience) et constitue, grâce à l’in-quiétude (non-adéquation de soi à soi) qui en est la condition, le fondement même de l’interrogation éthique. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186128
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 166-170[article] Entre patience et inquiétude : ce qui fonde l’éthique au lit du patient [] / M. Geoffroy, Auteur . - 2016 . - p. 166-170.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 166-170
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences de l'espace:Temps Mots-clés : SOINS PALLIATIFS RELATION SOIGNANT SOIGNE RELATION MEDECIN MALADE PHENOMENOLOGIE Résumé : L’exemple des soins palliatifs et la prise de conscience qu’ils permettent – la temporalité des divers protagonistes (malade, famille, soignant) se structure différemment pour chacun d’eux – montrent que la pratique du soin nécessite la patience, vertu que l’on peut définir comme « attente du temps de l’autre ». Cette patience du soignant rétablit une symétrie entre le patient (celui qui souffre) et le Patient (doué de la vertu de patience) et constitue, grâce à l’in-quiétude (non-adéquation de soi à soi) qui en est la condition, le fondement même de l’interrogation éthique. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186128 Fin de vie et temps ultime : qu'en disent les malades ? / Isabelle Chazot in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Fin de vie et temps ultime : qu'en disent les malades ? Auteurs : Isabelle Chazot, Auteur ; J. Henry, Auteur ; G. CHVETZOFF, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 149-155 Langues : Français (fre) Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Politique et bien-être social:Service de santé:Patient ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences de l'espace:Temps Mots-clés : FIN DE VIE SOINS PALLIATIFS VECU RELATION SOIGNANT SOIGNE ACCOMPAGNEMENT AU MOURANT Résumé : « D’après vous, docteur, j’en ai pour combien de temps ? » : à partir de cette question prononcée par des malades parvenus en fin de vie, nous avons exploré ce temps en conduisant des entretiens auprès de patients hospitalisés en unité de soins palliatifs. L’idée majeure était d’analyser qualitativement le temps à partir de leur vécu. Sur fond d’homogénéité, apparaît une grande hétérogénéité : il existe une grande variabilité exprimée dans les propos, mais également selon les moments de la journée. Cette dualité résonne avec les fondements anthropologiques et philosophiques de l’homme et fait également écho avec le caractère incertain de nos vies : si le temps est compté, incertaines sont les modalités, ouvrant ainsi le travail de la pensée. Les malades disent que ne pas souffrir et vivre relié leur permettent de trouver du sens à ce temps de vie ; alors le défi à relever pour les soignants doit être de penser le soin. Ceci en sortant du balancier : d’un extrême – le biomédical – à l’autre – l’accompagnement – et de rouvrir la réflexion sur le rapport entre technique et « humanité » dans les pratiques. Enfin, les patients ont exprimé une temporalité au présent, reliée au passé et tournée vers l’avenir. Ainsi en élaborant un récit, le sujet se réapproprie une « identité narrative » : singularité conjuguée à la relation soignante qui se cherche au quotidien dans une éthique formulée sous le mode d’un questionnement non résolu, entre limites du savoir et du pouvoir, ceci jusqu’au dernier souffle de vie. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186134
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 149-155[article] Fin de vie et temps ultime : qu'en disent les malades ? [] / Isabelle Chazot, Auteur ; J. Henry, Auteur ; G. CHVETZOFF, Auteur . - 2016 . - p. 149-155.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 149-155
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Politique et bien-être social:Service de santé:Patient ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences de l'espace:Temps Mots-clés : FIN DE VIE SOINS PALLIATIFS VECU RELATION SOIGNANT SOIGNE ACCOMPAGNEMENT AU MOURANT Résumé : « D’après vous, docteur, j’en ai pour combien de temps ? » : à partir de cette question prononcée par des malades parvenus en fin de vie, nous avons exploré ce temps en conduisant des entretiens auprès de patients hospitalisés en unité de soins palliatifs. L’idée majeure était d’analyser qualitativement le temps à partir de leur vécu. Sur fond d’homogénéité, apparaît une grande hétérogénéité : il existe une grande variabilité exprimée dans les propos, mais également selon les moments de la journée. Cette dualité résonne avec les fondements anthropologiques et philosophiques de l’homme et fait également écho avec le caractère incertain de nos vies : si le temps est compté, incertaines sont les modalités, ouvrant ainsi le travail de la pensée. Les malades disent que ne pas souffrir et vivre relié leur permettent de trouver du sens à ce temps de vie ; alors le défi à relever pour les soignants doit être de penser le soin. Ceci en sortant du balancier : d’un extrême – le biomédical – à l’autre – l’accompagnement – et de rouvrir la réflexion sur le rapport entre technique et « humanité » dans les pratiques. Enfin, les patients ont exprimé une temporalité au présent, reliée au passé et tournée vers l’avenir. Ainsi en élaborant un récit, le sujet se réapproprie une « identité narrative » : singularité conjuguée à la relation soignante qui se cherche au quotidien dans une éthique formulée sous le mode d’un questionnement non résolu, entre limites du savoir et du pouvoir, ceci jusqu’au dernier souffle de vie. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186134 La personne de confiance : analyse de sa posture dans notre pratique / M. Khetta in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : La personne de confiance : analyse de sa posture dans notre pratique Auteurs : M. Khetta, Auteur ; E. Guedon, Auteur ; D. MARTIN, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 171-176 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE DE CONFIANCE SAVOIR FIN DE VIE VECU RESPONSABILITE AUTONOMIE DROITS DU PATIENT Résumé : Le cadre législatif français permet à tout patient de désigner une personne de confiance, qui sera amenée à soutenir et à accompagner le malade tout au long de son parcours médical. Elle a également un rôle consultatif majeur si le patient ne peut s’exprimer. Cette fonction soulève la question de l’autonomie du patient inconscient, et implique des responsabilités potentiellement importantes, que les personnes désignées sous-estiment. Ce travail a pour but de comparer les rôles théoriques aux rôles exercés en pratique quotidienne par les personnes désignées, au sein de plusieurs services hospitaliers et à domicile. Les objectifs secondaires sont d’évaluer les connaissances des textes par les patients et leurs personnes de confiance, et de faire le point sur le vécu de la personne désignée. Les résultats des 129 questionnaires révèlent une grande discordance entre la loi et la pratique, en lien avec une mauvaise connaissance des textes législatifs, aussi bien par les malades que par les personnes désignées. Cette carence est probablement en partie due à un manque d’informations de la part des soignants (61 % des patients et 56 % des personnes de confiance disent ne pas avoir reçu d’information). Les conditions de désignation ne sont peut-être pas propices à un choix éclairé, beaucoup d’informations médicales et administratives étant demandées à l’arrivée du patient, fragilisé par une situation imposant une hospitalisation... Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186156
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 171-176[article] La personne de confiance : analyse de sa posture dans notre pratique [] / M. Khetta, Auteur ; E. Guedon, Auteur ; D. MARTIN, Auteur ; et al., Auteur . - 2016 . - p. 171-176.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 171-176
Mots-clés : PERSONNE DE CONFIANCE SAVOIR FIN DE VIE VECU RESPONSABILITE AUTONOMIE DROITS DU PATIENT Résumé : Le cadre législatif français permet à tout patient de désigner une personne de confiance, qui sera amenée à soutenir et à accompagner le malade tout au long de son parcours médical. Elle a également un rôle consultatif majeur si le patient ne peut s’exprimer. Cette fonction soulève la question de l’autonomie du patient inconscient, et implique des responsabilités potentiellement importantes, que les personnes désignées sous-estiment. Ce travail a pour but de comparer les rôles théoriques aux rôles exercés en pratique quotidienne par les personnes désignées, au sein de plusieurs services hospitaliers et à domicile. Les objectifs secondaires sont d’évaluer les connaissances des textes par les patients et leurs personnes de confiance, et de faire le point sur le vécu de la personne désignée. Les résultats des 129 questionnaires révèlent une grande discordance entre la loi et la pratique, en lien avec une mauvaise connaissance des textes législatifs, aussi bien par les malades que par les personnes désignées. Cette carence est probablement en partie due à un manque d’informations de la part des soignants (61 % des patients et 56 % des personnes de confiance disent ne pas avoir reçu d’information). Les conditions de désignation ne sont peut-être pas propices à un choix éclairé, beaucoup d’informations médicales et administratives étant demandées à l’arrivée du patient, fragilisé par une situation imposant une hospitalisation... Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186156 Le débat bioéthique sur le don d'organes : est-ce que tout s'arrête lorsque le coeur cesse de battre ? / I. Ortega-Deballon in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Le débat bioéthique sur le don d'organes : est-ce que tout s'arrête lorsque le coeur cesse de battre ? Auteurs : I. Ortega-Deballon, Auteur ; D. Rodriguez-Arias, Auteur ; Anne-Marie Lagace, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 156-165 Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Biologie:Bioéthique Study of social and ethical questions raised by development in biology and medicine.; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Mort ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Sciences médicales:NeurologieMots-clés : DON D'ORGANE REANIMATION ARRET CARDIAQUE URGENCE ACHARNEMENT THERAPEUTIQUE Résumé : Déterminer le moment exact où se produit la mort humaine a été un défi constant tout au long de l’Histoire. Hélas, généralement la mort ne survient pas de manière abrupte, à un moment précis ni à toutes les parties de l’organisme de façon simultanée. La résistance des cellules humaines à la dégradation due à une privation d’oxygène varie en fonction du type de cellule. Il est possible, par exemple, de greffer avec succès les cornées d’un défunt jusqu’à sept jours après qu’il soit déclaré mort. En fait, l’absence absolue de toute activité résiduelle dans l’organisme ne pourrait se confirmer que beaucoup plus de temps après la perte du pouls, une fois que le processus de putréfaction est généralisé. Naturellement, il est peu souhaitable d’attendre jusqu’à ce moment-là pour pouvoir enfin déclarer la mort d’un individu. Nous, les personnes, avons des raisons pour déclarer la mort beaucoup plus tôt. Par exemple, nous avons besoin de faire le deuil et de ne pas repousser les rites funéraires en excès. Traditionnellement, pour s’assurer que la mort des malades était bien réelle, on attendait plusieurs jours avant de procéder à l’inhumation. De telles mesures de précaution s’avéraient un peu risquées en périodes d’épidémie, parce que les cadavres sont un vecteur dans la transmission de maladies. D’après Winslow, la peur d’être enterré vivant augmentait pendant ces périodes. De nos jours, il y a d’autres raisons qui nous poussent à déclarer la mort plus tôt. Par exemple, l’accès à des lits de soins de santé pour des patients avec pronostic de récupération qui attendent la ressource rare et la possibilité de sauver des vies grâce au don d’organes. D’un côté, il n’est pas permis d’extraire des organes vitaux à des personnes en vie, mais, de l’autre, attendre trop longtemps pourrait compromettre la qualité des organes à extraire et les probabilités de succès du greffon. Les problèmes théoriques et pratiques issus de la déclaration de la mort dans le contexte du don d’organes ont leur origine dans le défi d’obtenir des organes en conditions optimales sans que cela n’affecte la fin de vie des donneurs potentiels. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186161
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 156-165[article] Le débat bioéthique sur le don d'organes : est-ce que tout s'arrête lorsque le coeur cesse de battre ? [] / I. Ortega-Deballon, Auteur ; D. Rodriguez-Arias, Auteur ; Anne-Marie Lagace, Auteur . - 2016 . - p. 156-165.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 156-165
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Biologie:Bioéthique Study of social and ethical questions raised by development in biology and medicine.; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Mort ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Sciences médicales:NeurologieMots-clés : DON D'ORGANE REANIMATION ARRET CARDIAQUE URGENCE ACHARNEMENT THERAPEUTIQUE Résumé : Déterminer le moment exact où se produit la mort humaine a été un défi constant tout au long de l’Histoire. Hélas, généralement la mort ne survient pas de manière abrupte, à un moment précis ni à toutes les parties de l’organisme de façon simultanée. La résistance des cellules humaines à la dégradation due à une privation d’oxygène varie en fonction du type de cellule. Il est possible, par exemple, de greffer avec succès les cornées d’un défunt jusqu’à sept jours après qu’il soit déclaré mort. En fait, l’absence absolue de toute activité résiduelle dans l’organisme ne pourrait se confirmer que beaucoup plus de temps après la perte du pouls, une fois que le processus de putréfaction est généralisé. Naturellement, il est peu souhaitable d’attendre jusqu’à ce moment-là pour pouvoir enfin déclarer la mort d’un individu. Nous, les personnes, avons des raisons pour déclarer la mort beaucoup plus tôt. Par exemple, nous avons besoin de faire le deuil et de ne pas repousser les rites funéraires en excès. Traditionnellement, pour s’assurer que la mort des malades était bien réelle, on attendait plusieurs jours avant de procéder à l’inhumation. De telles mesures de précaution s’avéraient un peu risquées en périodes d’épidémie, parce que les cadavres sont un vecteur dans la transmission de maladies. D’après Winslow, la peur d’être enterré vivant augmentait pendant ces périodes. De nos jours, il y a d’autres raisons qui nous poussent à déclarer la mort plus tôt. Par exemple, l’accès à des lits de soins de santé pour des patients avec pronostic de récupération qui attendent la ressource rare et la possibilité de sauver des vies grâce au don d’organes. D’un côté, il n’est pas permis d’extraire des organes vitaux à des personnes en vie, mais, de l’autre, attendre trop longtemps pourrait compromettre la qualité des organes à extraire et les probabilités de succès du greffon. Les problèmes théoriques et pratiques issus de la déclaration de la mort dans le contexte du don d’organes ont leur origine dans le défi d’obtenir des organes en conditions optimales sans que cela n’affecte la fin de vie des donneurs potentiels. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186161 Le soin entre sollicitude et responsabilité. Une lecture croisée de Ricœur et de Levinas / Philippe Svandra in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Le soin entre sollicitude et responsabilité. Une lecture croisée de Ricœur et de Levinas Auteurs : Philippe Svandra, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 121-126 Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Philosophie ; L DROIT:Systèmes juridiques:Théorie juridique:Justice Mots-clés : SOIN SOLLICITUDE RESPONSABILITE RELATION SOIGNANT SOIGNE Résumé : Philosophes de la même génération, inspirés tous deux par la phénoménologie husserlienne, Ricœur et Levinas apparaissent aujourd’hui comme des références incontournables lorsqu’il s’agit de penser le soin. À partir des trois moments de « la petite éthique » ricœurienne – visée de la vie bonne, avec et pour les autres, dans des institutions justes – nous chercherons à montrer qu’il existe des différences notables dans l’approche de ces deux philosophes. L’hypothèse que nous défendrons pourrait se résumer ainsi : Si Ricœur nous permet de penser la relation de soin comme essentiellement sollicitude, Levinas nous incite à la voir d’abord comme responsabilité. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186167
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 121-126[article] Le soin entre sollicitude et responsabilité. Une lecture croisée de Ricœur et de Levinas [] / Philippe Svandra, Auteur . - 2016 . - p. 121-126.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 121-126
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Philosophie ; L DROIT:Systèmes juridiques:Théorie juridique:Justice Mots-clés : SOIN SOLLICITUDE RESPONSABILITE RELATION SOIGNANT SOIGNE Résumé : Philosophes de la même génération, inspirés tous deux par la phénoménologie husserlienne, Ricœur et Levinas apparaissent aujourd’hui comme des références incontournables lorsqu’il s’agit de penser le soin. À partir des trois moments de « la petite éthique » ricœurienne – visée de la vie bonne, avec et pour les autres, dans des institutions justes – nous chercherons à montrer qu’il existe des différences notables dans l’approche de ces deux philosophes. L’hypothèse que nous défendrons pourrait se résumer ainsi : Si Ricœur nous permet de penser la relation de soin comme essentiellement sollicitude, Levinas nous incite à la voir d’abord comme responsabilité. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186167 Les directives anticipées : un analyseur privilégié d'un rapport social inédit à la mort / H. Marchal in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Les directives anticipées : un analyseur privilégié d'un rapport social inédit à la mort Auteurs : H. Marchal, Auteur ; J. Biaudet, Auteur ; T. Godfroid, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 143-148 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.05 Sciences sociales:Sociologie ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.10 Psychologie:Personnalité:Identité ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Culture ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Histoire ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Mort Mots-clés : DIRECTIVES ANTICIPEES FIN DE VIE INDIVIDU Résumé : L’article vise à interroger les directives anticipées du point de vue de leur ancrage social, culturel et historique. Autrement dit, il s’agit ici de considérer les directives anticipées comme un analyseur privilégié permettant de saisir notre rapport actuel à la mort. Celui-ci se révèle en effet indissociable d’un processus historique de déritualisation de la mort allant de pair avec des dynamiques sociales de fond comme l’individualisation de l’existence et la subjectivation de sa propre finitude. C’est dire si les directives anticipées ne prennent sens dans un contexte social autorisant chacun à être l’auteur de sa vie et, par extension, de sa mort. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186171
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 143-148[article] Les directives anticipées : un analyseur privilégié d'un rapport social inédit à la mort [] / H. Marchal, Auteur ; J. Biaudet, Auteur ; T. Godfroid, Auteur . - 2016 . - p. 143-148.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 143-148
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.05 Sciences sociales:Sociologie ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.10 Psychologie:Personnalité:Identité ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Culture ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Histoire ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Mort Mots-clés : DIRECTIVES ANTICIPEES FIN DE VIE INDIVIDU Résumé : L’article vise à interroger les directives anticipées du point de vue de leur ancrage social, culturel et historique. Autrement dit, il s’agit ici de considérer les directives anticipées comme un analyseur privilégié permettant de saisir notre rapport actuel à la mort. Celui-ci se révèle en effet indissociable d’un processus historique de déritualisation de la mort allant de pair avec des dynamiques sociales de fond comme l’individualisation de l’existence et la subjectivation de sa propre finitude. C’est dire si les directives anticipées ne prennent sens dans un contexte social autorisant chacun à être l’auteur de sa vie et, par extension, de sa mort. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186171 Les directives anticipées : un semi-échec transitoire ? / M. Zeisser in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Les directives anticipées : un semi-échec transitoire ? Auteurs : M. Zeisser, Auteur ; J.-C. Weber, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 156-163 Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Amériques et Caraïbes:Amérique du Nord ; A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Mathématiques et statistiques:Statistique Use when referring to the science of statistics. For collections of statistics, use "statistical data", or more specific descriptor, e.g. "educational statistics", etc.Mots-clés : FIN DE VIE DIRECTIVES ANTICIPEES AUTONOMIE RELATION MEDECIN MALADE Résumé : Dans nos sociétés occidentales, les conditions du mourir sont de plus en plus le résultat d’un choix revendiqué au nom du principe d’autonomie. De nombreux pays occidentaux ont légiféré sur la fin de vie, notamment en inscrivant dans leur corpus la possibilité pour toute personne de rédiger des directives anticipées exprimant ses volontés sur sa fin de vie. Celles-ci ne s’appliqueront que si le patient ne peut plus les exprimer directement. Paradoxalement, ce dispositif juridique, qui prend appui sur l’autonomie, est accueilli favorablement par un public qui cependant ne se l’approprie pas. Seulement 2,5 % de français ont rédigé des directives anticipées ! Cet article tente d’analyser ce que nous pouvons qualifier d’échec partiel de ce mouvement. Faut-il alors reléguer les directives anticipées aux oubliettes ou tenter de tirer les leçons de cet échec partiel et remédier à leurs failles pour les intégrer dans un processus d’accompagnement plus souple, plus évolutif, moins normatif mais peut être plus facile d’accès aux patients et s’appuyant sur une relation médecin/patient partenariale ? Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186172
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 156-163[article] Les directives anticipées : un semi-échec transitoire ? [] / M. Zeisser, Auteur ; J.-C. Weber, Auteur . - 2016 . - p. 156-163.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 156-163
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Amériques et Caraïbes:Amérique du Nord ; A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Mathématiques et statistiques:Statistique Use when referring to the science of statistics. For collections of statistics, use "statistical data", or more specific descriptor, e.g. "educational statistics", etc.Mots-clés : FIN DE VIE DIRECTIVES ANTICIPEES AUTONOMIE RELATION MEDECIN MALADE Résumé : Dans nos sociétés occidentales, les conditions du mourir sont de plus en plus le résultat d’un choix revendiqué au nom du principe d’autonomie. De nombreux pays occidentaux ont légiféré sur la fin de vie, notamment en inscrivant dans leur corpus la possibilité pour toute personne de rédiger des directives anticipées exprimant ses volontés sur sa fin de vie. Celles-ci ne s’appliqueront que si le patient ne peut plus les exprimer directement. Paradoxalement, ce dispositif juridique, qui prend appui sur l’autonomie, est accueilli favorablement par un public qui cependant ne se l’approprie pas. Seulement 2,5 % de français ont rédigé des directives anticipées ! Cet article tente d’analyser ce que nous pouvons qualifier d’échec partiel de ce mouvement. Faut-il alors reléguer les directives anticipées aux oubliettes ou tenter de tirer les leçons de cet échec partiel et remédier à leurs failles pour les intégrer dans un processus d’accompagnement plus souple, plus évolutif, moins normatif mais peut être plus facile d’accès aux patients et s’appuyant sur une relation médecin/patient partenariale ? Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186172 Quelle autonomie pour le majeur sous tutelle dans le domaine médical, et plus particulièrement en situation de fin de vie ? / L. Ouassin in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
[article]
Titre : Quelle autonomie pour le majeur sous tutelle dans le domaine médical, et plus particulièrement en situation de fin de vie ? Auteurs : L. Ouassin, Auteur ; Alain de Broca (1956-...), Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 127-133 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Répartition par âge:Groupe d'âge:Adulte ; L DROIT:Systèmes juridiques:Droit:Législation ; L DROIT:Systèmes juridiques:Droit Use for works concerning the science of law. For individual laws, use "legislation", "environmental legislation", etc.Mots-clés : TUTELLE FIN DE VIE DIRECTIVES ANTICIPEES AUTONOMIE Résumé : En France, les soins aux majeurs sous tutelle posent la question du décideur. Après avoir illustré les tensions qui peuvent exister à l’aide de trois cas cliniques, nous confronterons les différents textes juridiques sur le sujet. Jusqu’à récemment, l’avis du majeur sous tutelle avait simplement à être entendu. Mais depuis la loi du 2 février 2016 – Loi relative à la fin de vie – l’avis du majeur protégé peut lier le médecin dans certaines situations. Le majeur sous tutelle s’est en effet vu reconnaître le droit de rédiger des directives anticipées avec l’accord du juge des tutelles ou du conseil de famille. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186198
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 127-133[article] Quelle autonomie pour le majeur sous tutelle dans le domaine médical, et plus particulièrement en situation de fin de vie ? [] / L. Ouassin, Auteur ; Alain de Broca (1956-...), Auteur . - 2016 . - p. 127-133.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 127-133
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Répartition par âge:Groupe d'âge:Adulte ; L DROIT:Systèmes juridiques:Droit:Législation ; L DROIT:Systèmes juridiques:Droit Use for works concerning the science of law. For individual laws, use "legislation", "environmental legislation", etc.Mots-clés : TUTELLE FIN DE VIE DIRECTIVES ANTICIPEES AUTONOMIE Résumé : En France, les soins aux majeurs sous tutelle posent la question du décideur. Après avoir illustré les tensions qui peuvent exister à l’aide de trois cas cliniques, nous confronterons les différents textes juridiques sur le sujet. Jusqu’à récemment, l’avis du majeur sous tutelle avait simplement à être entendu. Mais depuis la loi du 2 février 2016 – Loi relative à la fin de vie – l’avis du majeur protégé peut lier le médecin dans certaines situations. Le majeur sous tutelle s’est en effet vu reconnaître le droit de rédiger des directives anticipées avec l’accord du juge des tutelles ou du conseil de famille. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186198