[article]
Titre : |
Vade retro virus. Numéricité et vitalité |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Thierry Bardini , Auteur |
Année de publication : |
2015 |
Article en page(s) : |
pp. 104-121 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
virus, cyberculture, transduction, évolution, vie informatique |
Résumé : |
Avec l’aide de récents résultats de la virologie, le présent article se concentre sur les virus en tant que participants d’une possible redéfinition de la frontière inférieure de la vie, en tant que vie minimale. À l’heure du triomphe de la viralité dans la cyberculture contemporaine, l’auteur avance que l’on devrait considérer les virus comme les premières formes d’entités convergentes, c’est-à-dire existant par-delà la division du monde en deux phases distinctes et incompatibles, numérique et analogique. En considérant les virus comme des agents fondamentaux de l’évolution du vivant, il insiste sur le fait qu’il est grand temps de dépasser une conception purement négative de ces formes de vie, jusqu’à il y a peu uniquement regardées en tant que parasites ou agents infectieux. |
Note de contenu : |
Plan :
φXtwist : la première entité convergente
Les bons vieux virus ne sont plus ce qu’ils étaient
Des formes de vie artificielles, réellement
Le virus, entité princeps du capitalisme génétique
Vitalité et numéricité |
En ligne : |
https://journals.openedition.org/terrain/15640 |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=241562 |
in Terrain : revue d'ethnologie de l'Europe / journals.openedition.org > 64 (mars 2015) . - pp. 104-121
[article] Vade retro virus. Numéricité et vitalité [texte imprimé] / Thierry Bardini  , Auteur . - 2015 . - pp. 104-121. Langues : Français ( fre) in Terrain : revue d'ethnologie de l'Europe / journals.openedition.org > 64 (mars 2015) . - pp. 104-121
Mots-clés : |
virus, cyberculture, transduction, évolution, vie informatique |
Résumé : |
Avec l’aide de récents résultats de la virologie, le présent article se concentre sur les virus en tant que participants d’une possible redéfinition de la frontière inférieure de la vie, en tant que vie minimale. À l’heure du triomphe de la viralité dans la cyberculture contemporaine, l’auteur avance que l’on devrait considérer les virus comme les premières formes d’entités convergentes, c’est-à-dire existant par-delà la division du monde en deux phases distinctes et incompatibles, numérique et analogique. En considérant les virus comme des agents fondamentaux de l’évolution du vivant, il insiste sur le fait qu’il est grand temps de dépasser une conception purement négative de ces formes de vie, jusqu’à il y a peu uniquement regardées en tant que parasites ou agents infectieux. |
Note de contenu : |
Plan :
φXtwist : la première entité convergente
Les bons vieux virus ne sont plus ce qu’ils étaient
Des formes de vie artificielles, réellement
Le virus, entité princeps du capitalisme génétique
Vitalité et numéricité |
En ligne : |
https://journals.openedition.org/terrain/15640 |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=241562 |
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