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'Una storia' de décomposition psychique, corporelle et institutionnelle / TESU ROLLIER Doïna Diana in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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[article]
Titre : 'Una storia' de décomposition psychique, corporelle et institutionnelle Auteurs : TESU ROLLIER Doïna Diana, Auteur ; ABURTO BROM Paola, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 533-536 Note générale : 9 réf. bibliogr. Mots-clés : HISTOIRE FAMILIALE CAS CLINIQUE HOSPITALISATION PSYCHIATRIE DE LIAISON PATHOLOGIE PSYCHIATRIQUE CORONAVIRUS HANDICAP Résumé : Nous avons choisi une patiente présentant une prise en charge complexe pluridisciplinaire et ayant un passé carcéral et toxicomaniaque, se retrouvant dans un service de médecine somatique classique. Nous sommes sollicitées en binôme psychiatre–psychologue dans le cadre de la psychiatrie de liaison et de l’unité de psychologique clinique. Nous rencontrons beaucoup de difficultés associées à ses multiples handicaps, sa paraplégie ainsi qu’à des éléments douloureux de l’histoire familiale qui s’entrecroisent avec des éléments délirants. La décomposition symbolique intervient dans ces moments d’absence de la réalité, associés à des troubles de la conscience de soi et de la maladie. Cette situation clinique ouvre des questionnements multiples sur la psychopathologie, les conditions d’hospitalisation faute de structures adaptées puis la prise en charge des malades COVID souffrant des troubles psychiatriques. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451096 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287854
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 533-536[article] 'Una storia' de décomposition psychique, corporelle et institutionnelle [] / TESU ROLLIER Doïna Diana, Auteur ; ABURTO BROM Paola, Auteur . - 2021 . - 533-536.
9 réf. bibliogr.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 533-536
Mots-clés : HISTOIRE FAMILIALE CAS CLINIQUE HOSPITALISATION PSYCHIATRIE DE LIAISON PATHOLOGIE PSYCHIATRIQUE CORONAVIRUS HANDICAP Résumé : Nous avons choisi une patiente présentant une prise en charge complexe pluridisciplinaire et ayant un passé carcéral et toxicomaniaque, se retrouvant dans un service de médecine somatique classique. Nous sommes sollicitées en binôme psychiatre–psychologue dans le cadre de la psychiatrie de liaison et de l’unité de psychologique clinique. Nous rencontrons beaucoup de difficultés associées à ses multiples handicaps, sa paraplégie ainsi qu’à des éléments douloureux de l’histoire familiale qui s’entrecroisent avec des éléments délirants. La décomposition symbolique intervient dans ces moments d’absence de la réalité, associés à des troubles de la conscience de soi et de la maladie. Cette situation clinique ouvre des questionnements multiples sur la psychopathologie, les conditions d’hospitalisation faute de structures adaptées puis la prise en charge des malades COVID souffrant des troubles psychiatriques. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451096 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287854 Edgar Degas, le peintre contemporain du rapport homme–femme / SKRIABINE Joëlle in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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[article]
Titre : Edgar Degas, le peintre contemporain du rapport homme–femme Auteurs : SKRIABINE Joëlle, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 524-528 Note générale : 5 réf. bibliogr. Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Prostitution ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Arts du spectacle:Danse ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Arts visuels:Beaux-arts:Peinture ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Littérature:Forme et genre littéraire:Prose:Biographie Mots-clés : RELATION FAMILIALE IDENTITE SEXUEE SOCIETE RELATION FEMME HOMME DEGAS Edgar Résumé : Edgar Degas (1834–1917) n’est pas simplement un peintre impressionniste quand il peint la société de son époque. Il témoigne du rapport homme–femme, en famille d’abord, en société, puis à l’opéra et dans les maisons closes. Ce ne sont plus des scènes domestiques et familiales où la retenue est de mise, mais ce qui est à l’origine de ces drames et les sous-tend. Et au XXIe siècle, que peut-on dire de ce rapport ? Comment trouve-t-il à s’exprimer encore et encore dans notre société ? [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451094 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287899
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 524-528[article] Edgar Degas, le peintre contemporain du rapport homme–femme [] / SKRIABINE Joëlle, Auteur . - 2021 . - 524-528.
5 réf. bibliogr.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 524-528
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Prostitution ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Arts du spectacle:Danse ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Arts visuels:Beaux-arts:Peinture ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Littérature:Forme et genre littéraire:Prose:Biographie Mots-clés : RELATION FAMILIALE IDENTITE SEXUEE SOCIETE RELATION FEMME HOMME DEGAS Edgar Résumé : Edgar Degas (1834–1917) n’est pas simplement un peintre impressionniste quand il peint la société de son époque. Il témoigne du rapport homme–femme, en famille d’abord, en société, puis à l’opéra et dans les maisons closes. Ce ne sont plus des scènes domestiques et familiales où la retenue est de mise, mais ce qui est à l’origine de ces drames et les sous-tend. Et au XXIe siècle, que peut-on dire de ce rapport ? Comment trouve-t-il à s’exprimer encore et encore dans notre société ? [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451094 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287899 Factors associated to subjective well-being and TB infection in South Africa [Interview] / MATALIELE Motladi in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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[article]
Titre : Factors associated to subjective well-being and TB infection in South Africa [Interview] Auteurs : MATALIELE Motladi, Auteur ; STIEGLER Nancy, Auteur ; BOUCHARD Jean-Pierre, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 553-562 Note générale : 58 réf. bibliogr. / fig. / article en anglais Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Afrique:Afrique australe:Afrique du Sud Mots-clés : VIH TUBERCULOSE CORONAVIRUS SATISFACTION PSYCHOGENESE QUALITE DE VIE BIEN ETRE SANTE PUBLIQUE ECHELLE DE SATISFACTION DE VIE Résumé : Quatre-vingt-cinq pour cent des nouveaux cas de tuberculose dans le monde se trouvent dans trente pays, dont l’un d’eux est l’Afrique du Sud. L’Afrique du Sud est un des huit pays qui, à eux seuls, regroupent les deux-tiers des nouveaux cas de tuberculose. L’épidémie de tuberculose, due à de piètres conditions de vie, tant sanitaires que sociales, est le résultat d’un fossé entre les riches et les pauvres et d’une prise en charge médicale parfois trop tardive de ces derniers. Toutefois, année après année, les programmes sanitaires ont eu un impact positif sur l’identification des patients souffrant de tuberculose. Un rapport global sur la maladie montre que quelques soixante millions de vies ont été sauvées grâce aux diagnostics et traitements entre les années 2000 et 2019. Un tel progrès a encouragé les Nations Unies à établir comme objectif médical l’éradication de l’épidémie de tuberculose à l’horizon de 2030. Afin d’atteindre ce but, les stratégies de modifications des comportements à risques doivent rester la première priorité. Dans le contexte sud-africain, il est primordial de prendre en compte la diversité des expériences individuelles qui est ancrée dans l’histoire sociopolitique du pays (l’Apartheid) et dont ont résulté de hauts niveaux d’inégalités socioéconomiques parmi les différents groupes de populations. Cette histoire est un facteur des plus signifiants lorsqu’on s’intéresse à la qualité de vie des Sud-Africains atteints de tuberculose. Dans cet entretien, la statisticienne Motladi Matatiele et la démographe Nancy Stiegler de l’University of the Western Cape font part de leur recherche, dont l’objectif était de comprendre la diversité des facteurs associés au bien-être des personnes souffrant de tuberculose en Afrique du Sud, considérant des patients appartenant à divers groupes et statuts socioéconomiques. La discussion prend en compte les variables les plus influentes sur la qualité de vie, en utilisant les données de l’enquête 'National Income Dynamic Study' de 2017. L’accent a été mis sur la sous-population souffrant de tuberculose disséminée dans les neuf provinces du pays. L’échantillon consiste en quarante-quatre individus dont on a considéré les variables suivantes : l’âge, le sexe, le groupe ethnique, le lieu de résidence en 1994 (date de fin officielle du régime ségrégationniste), l’activité, l’éducation, la santé, la santé mentale, le bien-être et la cohésion sociale. L’étude a employé l’Analyse des correspondances multiples pour identifier les variables associées au bien-être des individus souffrant de tuberculose. Les résultats montrent que les répondants de descendance africaine rapportaient les plus bas niveaux de bien-être, suivis des participants métis, qui avaient, d’autre part, plus de chances de fumer, ce qui décroissait d’autant leur niveau ressenti de bien-être. Le sexe s’est révélé être un facteur signifiant dans la mesure où les femmes ont déclaré un niveau subjectif de bien-être systématiquement plus bas que celui déclaré par leurs homologues masculins. Les participants souffrant de co-infections de tuberculose et du VIH, aussi les plus touchés par la grande pauvreté, présentaient le niveau le plus bas possible de bien-être ressenti. Ces derniers étaient les plus déprimés à cause des stigmates perçus, de la peur induite par leurs systèmes immunitaires affaiblis et de la prise aléatoire de leurs prescriptions pharmaceutiques. L’Organisation mondiale de la santé, dans ses bulletins mensuels, a noté que l’accès aux traitements préventifs et curatifs de la tuberculose en Afrique du Sud s’est effondré de plus de cinquante pour cent entre mars et juin 2020. Il est regrettable que l’Afrique du Sud n’ait pas tenu les objectifs « 90-90-90 » fixés par son plan global d’éradication de la tuberculose en 2016. Dans le même temps, l’Organisation mondiale de la santé estime une augmentation de vingt pour cent des cas ces dernières années. Les résultats de l’étude permettent de déduire qu’une augmentation des cas de tuberculose est corrélée avec une augmentation de la pauvreté, des co-infections, d’une éducation à la santé médiocre et d’une accentuation du sentiment de rejet. Il est alors possible de penser qu’entre 2017 et 2020, le degré de satisfaction et de bien-être des populations souffrant de tuberculose a décru, décroissance à laquelle l’épidémie de COVID-19 a pu largement contribuer. Les institutions en charge des questions de santé publique doivent contrôler les tendances des épidémies avec la plus grande attention, dans la mesure où une réponse rapide est nécessaire pour corriger les effets néfastes de la COVID-19 sur l’éradication de la tuberculose en Afrique du Sud. Enfin, durant cette période de crise sanitaire exceptionnelle, le département (ministère) de la Santé sud-africain doit sans tarder soutenir les services de santé communautaires en charge des tests de tuberculose et de VIH, afin qu’ils deviennent plus performants dans les diagnostics, et soient partie prenante dans les nouvelles stratégies d’amélioration de la prise en charge et du contrôle des épidémies de tuberculose, de VIH et de COVID-19. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451099 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287910
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 553-562[article] Factors associated to subjective well-being and TB infection in South Africa [Interview] [] / MATALIELE Motladi, Auteur ; STIEGLER Nancy, Auteur ; BOUCHARD Jean-Pierre, Auteur . - 2021 . - 553-562.
58 réf. bibliogr. / fig. / article en anglais
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 553-562
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Afrique:Afrique australe:Afrique du Sud Mots-clés : VIH TUBERCULOSE CORONAVIRUS SATISFACTION PSYCHOGENESE QUALITE DE VIE BIEN ETRE SANTE PUBLIQUE ECHELLE DE SATISFACTION DE VIE Résumé : Quatre-vingt-cinq pour cent des nouveaux cas de tuberculose dans le monde se trouvent dans trente pays, dont l’un d’eux est l’Afrique du Sud. L’Afrique du Sud est un des huit pays qui, à eux seuls, regroupent les deux-tiers des nouveaux cas de tuberculose. L’épidémie de tuberculose, due à de piètres conditions de vie, tant sanitaires que sociales, est le résultat d’un fossé entre les riches et les pauvres et d’une prise en charge médicale parfois trop tardive de ces derniers. Toutefois, année après année, les programmes sanitaires ont eu un impact positif sur l’identification des patients souffrant de tuberculose. Un rapport global sur la maladie montre que quelques soixante millions de vies ont été sauvées grâce aux diagnostics et traitements entre les années 2000 et 2019. Un tel progrès a encouragé les Nations Unies à établir comme objectif médical l’éradication de l’épidémie de tuberculose à l’horizon de 2030. Afin d’atteindre ce but, les stratégies de modifications des comportements à risques doivent rester la première priorité. Dans le contexte sud-africain, il est primordial de prendre en compte la diversité des expériences individuelles qui est ancrée dans l’histoire sociopolitique du pays (l’Apartheid) et dont ont résulté de hauts niveaux d’inégalités socioéconomiques parmi les différents groupes de populations. Cette histoire est un facteur des plus signifiants lorsqu’on s’intéresse à la qualité de vie des Sud-Africains atteints de tuberculose. Dans cet entretien, la statisticienne Motladi Matatiele et la démographe Nancy Stiegler de l’University of the Western Cape font part de leur recherche, dont l’objectif était de comprendre la diversité des facteurs associés au bien-être des personnes souffrant de tuberculose en Afrique du Sud, considérant des patients appartenant à divers groupes et statuts socioéconomiques. La discussion prend en compte les variables les plus influentes sur la qualité de vie, en utilisant les données de l’enquête 'National Income Dynamic Study' de 2017. L’accent a été mis sur la sous-population souffrant de tuberculose disséminée dans les neuf provinces du pays. L’échantillon consiste en quarante-quatre individus dont on a considéré les variables suivantes : l’âge, le sexe, le groupe ethnique, le lieu de résidence en 1994 (date de fin officielle du régime ségrégationniste), l’activité, l’éducation, la santé, la santé mentale, le bien-être et la cohésion sociale. L’étude a employé l’Analyse des correspondances multiples pour identifier les variables associées au bien-être des individus souffrant de tuberculose. Les résultats montrent que les répondants de descendance africaine rapportaient les plus bas niveaux de bien-être, suivis des participants métis, qui avaient, d’autre part, plus de chances de fumer, ce qui décroissait d’autant leur niveau ressenti de bien-être. Le sexe s’est révélé être un facteur signifiant dans la mesure où les femmes ont déclaré un niveau subjectif de bien-être systématiquement plus bas que celui déclaré par leurs homologues masculins. Les participants souffrant de co-infections de tuberculose et du VIH, aussi les plus touchés par la grande pauvreté, présentaient le niveau le plus bas possible de bien-être ressenti. Ces derniers étaient les plus déprimés à cause des stigmates perçus, de la peur induite par leurs systèmes immunitaires affaiblis et de la prise aléatoire de leurs prescriptions pharmaceutiques. L’Organisation mondiale de la santé, dans ses bulletins mensuels, a noté que l’accès aux traitements préventifs et curatifs de la tuberculose en Afrique du Sud s’est effondré de plus de cinquante pour cent entre mars et juin 2020. Il est regrettable que l’Afrique du Sud n’ait pas tenu les objectifs « 90-90-90 » fixés par son plan global d’éradication de la tuberculose en 2016. Dans le même temps, l’Organisation mondiale de la santé estime une augmentation de vingt pour cent des cas ces dernières années. Les résultats de l’étude permettent de déduire qu’une augmentation des cas de tuberculose est corrélée avec une augmentation de la pauvreté, des co-infections, d’une éducation à la santé médiocre et d’une accentuation du sentiment de rejet. Il est alors possible de penser qu’entre 2017 et 2020, le degré de satisfaction et de bien-être des populations souffrant de tuberculose a décru, décroissance à laquelle l’épidémie de COVID-19 a pu largement contribuer. Les institutions en charge des questions de santé publique doivent contrôler les tendances des épidémies avec la plus grande attention, dans la mesure où une réponse rapide est nécessaire pour corriger les effets néfastes de la COVID-19 sur l’éradication de la tuberculose en Afrique du Sud. Enfin, durant cette période de crise sanitaire exceptionnelle, le département (ministère) de la Santé sud-africain doit sans tarder soutenir les services de santé communautaires en charge des tests de tuberculose et de VIH, afin qu’ils deviennent plus performants dans les diagnostics, et soient partie prenante dans les nouvelles stratégies d’amélioration de la prise en charge et du contrôle des épidémies de tuberculose, de VIH et de COVID-19. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451099 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287910 Honoré Saury (1854-1924) : membre de la Société Médico-Psychologique (1886) et médecin directeur à la maison de santé de Suresnes fondée par Gustave Bouchereau (1835-1900), Gustave Lolliot (1835-1882) et Valentin Magnan (1833-1916) en 1875 / TIBERGHIEN Denis in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
[article]
Titre : Honoré Saury (1854-1924) : membre de la Société Médico-Psychologique (1886) et médecin directeur à la maison de santé de Suresnes fondée par Gustave Bouchereau (1835-1900), Gustave Lolliot (1835-1882) et Valentin Magnan (1833-1916) en 1875 Auteurs : TIBERGHIEN Denis, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 563-572 Note générale : 52 réf. bibliogr. / 19 notes / photogr. Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Littérature:Forme et genre littéraire:Prose:Biographie ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie:Psychopathologie:Maladie mentale:Psychose Mots-clés : HISTOIRE DE LA PSYCHIATRIE SOCIETE MEDICO PSYCHOLOGIQUE Résumé : Originaire des Pyrénées-Orientales comme Valentin Magnan (1833-1916), Honoré Saury (1854-1924) est docteur en médecine en 1879. Après avoir échoué au concours de l’adjuvat (1882), il devient le médecin directeur de la maison de santé de Suresnes fondée par Gustave Bouchereau (1835-1916), Gustave Lolliot (1837-1882) et Valentin Magnan (1933-1916). Avec Joseph Jean Pierre Tarrius (1854-1922), Saury rachète en 1893 les parts de Pierre Saint-Clair de Monribot (1833-1905) qui détient une maison de santé à Epinay-sur-Seine appartenant de nos jours à Noble Âge Groupe. Au bout d’un an, il quitte cet établissement pour s’installer à Paris. En 1898, il invente un appareil d’électrothérapie médicale, le Voltaphore, qu’il utilise dans le traitement des névralgies. Tout en ayant une activité en libéral à Paris, il exerce dans un établissement thermal à Enghien-les-Bains. Médecin des Conseils de prud’hommes du département de la Seine, il est membre de la Société Médico-Psychologique en 1886. La même année, il publie un ouvrage sur la folie héréditaire où il étudie l’état mental des dégénérés, les syndromes épisodiques et les délires aiguës dit 'd’emblée' selon la doctrine de Magnan. Saury donne la première description en France de la psychose induite par la cocaïne. Il est décoré des ordres du Christ, de Charles II d’Espagne et de la Légion d’honneur. Membre du conseil municipal de Suresnes (1913), il décède à Enghien-les bains en 1924. [Résumé d'auteur] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287921
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 563-572[article] Honoré Saury (1854-1924) : membre de la Société Médico-Psychologique (1886) et médecin directeur à la maison de santé de Suresnes fondée par Gustave Bouchereau (1835-1900), Gustave Lolliot (1835-1882) et Valentin Magnan (1833-1916) en 1875 [] / TIBERGHIEN Denis, Auteur . - 2021 . - 563-572.
52 réf. bibliogr. / 19 notes / photogr.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 563-572
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Littérature:Forme et genre littéraire:Prose:Biographie ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie:Psychopathologie:Maladie mentale:Psychose Mots-clés : HISTOIRE DE LA PSYCHIATRIE SOCIETE MEDICO PSYCHOLOGIQUE Résumé : Originaire des Pyrénées-Orientales comme Valentin Magnan (1833-1916), Honoré Saury (1854-1924) est docteur en médecine en 1879. Après avoir échoué au concours de l’adjuvat (1882), il devient le médecin directeur de la maison de santé de Suresnes fondée par Gustave Bouchereau (1835-1916), Gustave Lolliot (1837-1882) et Valentin Magnan (1933-1916). Avec Joseph Jean Pierre Tarrius (1854-1922), Saury rachète en 1893 les parts de Pierre Saint-Clair de Monribot (1833-1905) qui détient une maison de santé à Epinay-sur-Seine appartenant de nos jours à Noble Âge Groupe. Au bout d’un an, il quitte cet établissement pour s’installer à Paris. En 1898, il invente un appareil d’électrothérapie médicale, le Voltaphore, qu’il utilise dans le traitement des névralgies. Tout en ayant une activité en libéral à Paris, il exerce dans un établissement thermal à Enghien-les-Bains. Médecin des Conseils de prud’hommes du département de la Seine, il est membre de la Société Médico-Psychologique en 1886. La même année, il publie un ouvrage sur la folie héréditaire où il étudie l’état mental des dégénérés, les syndromes épisodiques et les délires aiguës dit 'd’emblée' selon la doctrine de Magnan. Saury donne la première description en France de la psychose induite par la cocaïne. Il est décoré des ordres du Christ, de Charles II d’Espagne et de la Légion d’honneur. Membre du conseil municipal de Suresnes (1913), il décède à Enghien-les bains en 1924. [Résumé d'auteur] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287921 Incidences psychiques de la transidentité d’un adolescent sur la paternité et l’identité masculine : Étude exploratoire / CAYLA Sophie in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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[article]
Titre : Incidences psychiques de la transidentité d’un adolescent sur la paternité et l’identité masculine : Étude exploratoire Auteurs : CAYLA Sophie, Auteur ; MAZOYER Anne-Valérie, Auteur ; BOURDET LOUBERE Sylvie, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 545-552 Note générale : 35 réf. bibliogr. / 6 notes Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie:Psychologie clinique:Psychanalyse Mots-clés : PARENTALITE PATERNITE MASCULINITE TRANSGENRE ADOLESCENT CAS CLINIQUE Résumé : Cet article s’intéresse aux répercussions psychiques de la 'transidentité' d’un adolescent sur son père. Son objectif est d’explorer le vécu psychique de ce dernier, notamment au niveau de son identité masculine et de sa parentalité. Face au peu de recherches nationales et internationales consacrées à ce thème, contrastant avec le nombre d’études s’intéressant à la 'transidentité', nous avons construit une méthodologie composée d’un entretien clinique semi-directif et d’une épreuve projective, le TAT (Thematic Apperception Test). Suite aux rencontres avec notre participant, surnommé Michel, les résultats cliniques mettent en évidence une relation père/fils dégradée. La sphère de la dimension affective semble être la plus perturbée puisque nous repérons, chez notre participant, un mouvement dépressif important. Ces données cliniques nous laissent alors penser que l’exposition d’un père à la transidentité de son fils peut provoquer des perturbations à des niveaux conscients et inconscients, tant au niveau de sa parentalité que de son éprouvé personnel. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451098 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287925
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 545-552[article] Incidences psychiques de la transidentité d’un adolescent sur la paternité et l’identité masculine : Étude exploratoire [] / CAYLA Sophie, Auteur ; MAZOYER Anne-Valérie, Auteur ; BOURDET LOUBERE Sylvie, Auteur . - 2021 . - 545-552.
35 réf. bibliogr. / 6 notes
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 545-552
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Psychiatrie:Psychologie clinique:Psychanalyse Mots-clés : PARENTALITE PATERNITE MASCULINITE TRANSGENRE ADOLESCENT CAS CLINIQUE Résumé : Cet article s’intéresse aux répercussions psychiques de la 'transidentité' d’un adolescent sur son père. Son objectif est d’explorer le vécu psychique de ce dernier, notamment au niveau de son identité masculine et de sa parentalité. Face au peu de recherches nationales et internationales consacrées à ce thème, contrastant avec le nombre d’études s’intéressant à la 'transidentité', nous avons construit une méthodologie composée d’un entretien clinique semi-directif et d’une épreuve projective, le TAT (Thematic Apperception Test). Suite aux rencontres avec notre participant, surnommé Michel, les résultats cliniques mettent en évidence une relation père/fils dégradée. La sphère de la dimension affective semble être la plus perturbée puisque nous repérons, chez notre participant, un mouvement dépressif important. Ces données cliniques nous laissent alors penser que l’exposition d’un père à la transidentité de son fils peut provoquer des perturbations à des niveaux conscients et inconscients, tant au niveau de sa parentalité que de son éprouvé personnel. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451098 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287925 L’activité clown : outil thérapeutique au sein d’un service de psychiatrie adulte fermé ? : Etude pilote de faisabilité / CHAMMAS F in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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[article]
Titre : L’activité clown : outil thérapeutique au sein d’un service de psychiatrie adulte fermé ? : Etude pilote de faisabilité Auteurs : CHAMMAS F, Auteur ; THOMAS Maxence, Auteur ; MOULIER Virginie, Auteur ; POTYRCHA Anna, Auteur ; BOUAZIZ Noomane, Auteur ; JANUEL Dominique, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 487-491 Note générale : 30 réf. bibliogr. Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Enseignement et formation:Méthode pédagogique:Enseignement de groupe:Jeu de rôle Mots-clés : HOSPITALISATION PSYCHIATRIQUE HUMOUR EXPRESSION DE L'EMOTION RIRE MEDIATION THERAPEUTIQUE CLOWNOTHERAPIE Résumé : Le personnage du clown a fait sa première apparition à l’hôpital au sein des unités pédiatriques où les effets positifs de son action sont largement reconnus. Cette 'activité clown' est néanmoins encore très peu répandue dans les services de psychiatrie où les patients, qui parfois ont du mal à accéder à l’humour, ou qui sont aux prises avec des émotions fortes qu’ils ne parviennent pas à exprimer, pourraient bénéficier de ses vertus cathartiques. Dans cet article, nous présentons dans un premier temps les résultats d’une mini-revue de la littérature portant sur la place et le rôle du clown dans la démarche de soins en psychiatrie. Dans la seconde partie de l’article, nous présentons les résultats de notre étude dont l’objectif était de mesurer le sentiment de bien-être des patients psychiatriques par une échelle visuelle analogique (EVA) après deux semaines de participation à l’atelier clown. Matériel et méthode : Il s’agit d’une étude pilote de faisabilité ouverte, prospective et monocentrique qui s’est déroulée de juin 2015 à décembre 2016 à l’Unité d’Hospitalisation Temps Plein (UHTP) du site de l’EPS Ville-Evrard à Saint-Denis, Pôle 93G03. Cinquante-neuf patients ont été inclus dans l’étude après recrutement par un médecin investigateur chargé de vérifier les critères d’inclusion et de non-inclusion. Résultats : L’analyse des articles recensés dans la mini-revue souligne les gains des patients en termes de capacité de communication et de gestion des émotions. Par ailleurs, les résultats de notre étude n’ont pas montré de différence statistiquement significative (p <0,7). Conclusion : Bien que notre étude n’ait pas montré de différence significative, elle a mis en évidence la faisabilité de ce type d’atelier au sein d’un service de psychiatrie et fournit des arguments en faveur de la poursuite de cette activité sur une plus longue période et au sein de structures telles que l’HDJ ou le CATTP. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451088 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287940
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 487-491[article] L’activité clown : outil thérapeutique au sein d’un service de psychiatrie adulte fermé ? : Etude pilote de faisabilité [] / CHAMMAS F, Auteur ; THOMAS Maxence, Auteur ; MOULIER Virginie, Auteur ; POTYRCHA Anna, Auteur ; BOUAZIZ Noomane, Auteur ; JANUEL Dominique, Auteur . - 2021 . - 487-491.
30 réf. bibliogr.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 487-491
Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Enseignement et formation:Méthode pédagogique:Enseignement de groupe:Jeu de rôle Mots-clés : HOSPITALISATION PSYCHIATRIQUE HUMOUR EXPRESSION DE L'EMOTION RIRE MEDIATION THERAPEUTIQUE CLOWNOTHERAPIE Résumé : Le personnage du clown a fait sa première apparition à l’hôpital au sein des unités pédiatriques où les effets positifs de son action sont largement reconnus. Cette 'activité clown' est néanmoins encore très peu répandue dans les services de psychiatrie où les patients, qui parfois ont du mal à accéder à l’humour, ou qui sont aux prises avec des émotions fortes qu’ils ne parviennent pas à exprimer, pourraient bénéficier de ses vertus cathartiques. Dans cet article, nous présentons dans un premier temps les résultats d’une mini-revue de la littérature portant sur la place et le rôle du clown dans la démarche de soins en psychiatrie. Dans la seconde partie de l’article, nous présentons les résultats de notre étude dont l’objectif était de mesurer le sentiment de bien-être des patients psychiatriques par une échelle visuelle analogique (EVA) après deux semaines de participation à l’atelier clown. Matériel et méthode : Il s’agit d’une étude pilote de faisabilité ouverte, prospective et monocentrique qui s’est déroulée de juin 2015 à décembre 2016 à l’Unité d’Hospitalisation Temps Plein (UHTP) du site de l’EPS Ville-Evrard à Saint-Denis, Pôle 93G03. Cinquante-neuf patients ont été inclus dans l’étude après recrutement par un médecin investigateur chargé de vérifier les critères d’inclusion et de non-inclusion. Résultats : L’analyse des articles recensés dans la mini-revue souligne les gains des patients en termes de capacité de communication et de gestion des émotions. Par ailleurs, les résultats de notre étude n’ont pas montré de différence statistiquement significative (p <0,7). Conclusion : Bien que notre étude n’ait pas montré de différence significative, elle a mis en évidence la faisabilité de ce type d’atelier au sein d’un service de psychiatrie et fournit des arguments en faveur de la poursuite de cette activité sur une plus longue période et au sein de structures telles que l’HDJ ou le CATTP. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451088 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287940 La prescription des psychotropes en médecine générale / TABRIL Toufik in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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Titre : La prescription des psychotropes en médecine générale Auteurs : TABRIL Toufik, Auteur ; AARAB Chadya, Auteur ; RAMMOUZ Ismail, Auteur ; AALOUANE Rachid, Auteur ; HAMMANI Zakaria, Auteur ; CHEKIRA Asmae, Auteur ; QASSIMI Ferdaousse, Auteur ; BOUT Amine, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 514-518 Note générale : 6 réf. bibliogr. / Fig. / Tabl. Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Afrique:Afrique du Nord:Maroc ; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Enseignement et formation:Formation Systematic educative process by which one learns new skills.Mots-clés : BESOIN OFFRE DE SOINS PATHOLOGIE PSYCHIATRIQUE PRESCRIPTION MEDICALE ATTITUDE DU PROFESSIONNEL PSYCHOTROPE MEDECIN GENERALISTE PSYCHIATRE Résumé : L’offre de soins au Maroc se caractérise par une diminution du nombre des psychiatres, la collaboration entre psychiatres et médecins généralistes s’avère nécessaire vu l’augmentation de la demande des soins et de la prévalence des pathologies psychiatriques. La présente étude a pour objectif d’analyser la prescription des psychotropes chez les médecins généralistes. Méthodologie : Il s’agit d’une enquête descriptive et analytique à l’échelle nationale au Maroc, durant l’année 2017, auprès des médecins généralistes à travers un autoquestionnaire anonyme comportant 23 items. Résultats : Au total, 402 médecins ont participé à cette enquête ; les consultations psychiatriques représentent 17,3 % en moyenne des consultations médicales par jour. Selon la perception des médecins, leurs rôles consistent à prescrire les psychotropes dans 55,5 % des cas et à faire la psychothérapie dans 31,4 %. Les médecins prescrivent les antidépresseurs dans 67,2 % des cas et les anxiolytiques dans 52,9 %, alors que les neuroleptiques ne sont prescrits que par 7,1 % des médecins. Plusieurs freins à la prescription des psychotropes ont été mentionnés ; parmi eux, la difficulté du suivi du traitement (58,1 %), de manipuler la prescription (57,6 %), de gestion des effets indésirables (34,9 %) et aussi la crainte d’une dépendance (43,4 %). Conclusion : Les résultats de notre étude ont montré qu’il y a une réticence à prendre en charge les troubles mentaux au niveau des services des soins primaires, surtout lorsqu’il y a manque de collaboration avec les psychiatres et de formation dans le domaine de santé mentale. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451092 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287953
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 514-518[article] La prescription des psychotropes en médecine générale [] / TABRIL Toufik, Auteur ; AARAB Chadya, Auteur ; RAMMOUZ Ismail, Auteur ; AALOUANE Rachid, Auteur ; HAMMANI Zakaria, Auteur ; CHEKIRA Asmae, Auteur ; QASSIMI Ferdaousse, Auteur ; BOUT Amine, Auteur . - 2021 . - 514-518.
6 réf. bibliogr. / Fig. / Tabl.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 514-518
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Afrique:Afrique du Nord:Maroc ; G ENSEIGNEMENT - EDUCATION:Enseignement et formation:Formation Systematic educative process by which one learns new skills.Mots-clés : BESOIN OFFRE DE SOINS PATHOLOGIE PSYCHIATRIQUE PRESCRIPTION MEDICALE ATTITUDE DU PROFESSIONNEL PSYCHOTROPE MEDECIN GENERALISTE PSYCHIATRE Résumé : L’offre de soins au Maroc se caractérise par une diminution du nombre des psychiatres, la collaboration entre psychiatres et médecins généralistes s’avère nécessaire vu l’augmentation de la demande des soins et de la prévalence des pathologies psychiatriques. La présente étude a pour objectif d’analyser la prescription des psychotropes chez les médecins généralistes. Méthodologie : Il s’agit d’une enquête descriptive et analytique à l’échelle nationale au Maroc, durant l’année 2017, auprès des médecins généralistes à travers un autoquestionnaire anonyme comportant 23 items. Résultats : Au total, 402 médecins ont participé à cette enquête ; les consultations psychiatriques représentent 17,3 % en moyenne des consultations médicales par jour. Selon la perception des médecins, leurs rôles consistent à prescrire les psychotropes dans 55,5 % des cas et à faire la psychothérapie dans 31,4 %. Les médecins prescrivent les antidépresseurs dans 67,2 % des cas et les anxiolytiques dans 52,9 %, alors que les neuroleptiques ne sont prescrits que par 7,1 % des médecins. Plusieurs freins à la prescription des psychotropes ont été mentionnés ; parmi eux, la difficulté du suivi du traitement (58,1 %), de manipuler la prescription (57,6 %), de gestion des effets indésirables (34,9 %) et aussi la crainte d’une dépendance (43,4 %). Conclusion : Les résultats de notre étude ont montré qu’il y a une réticence à prendre en charge les troubles mentaux au niveau des services des soins primaires, surtout lorsqu’il y a manque de collaboration avec les psychiatres et de formation dans le domaine de santé mentale. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451092 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287953 Les Consignes Médicales en Psychiatrie, définition législative et état des lieux bibliographiques / BROUWER Hélène de in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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Titre : Les Consignes Médicales en Psychiatrie, définition législative et état des lieux bibliographiques Auteurs : BROUWER Hélène de, Auteur ; DUPOUY Sylvain, Auteur ; SALLES Juliette, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 508-513 Note générale : 27 réf. bibliogr. / 18 notes Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Jurisprudence ; L DROIT:Systèmes juridiques:Droit:Législation Mots-clés : PSYCHIATRE HOPITAL PSYCHIATRIQUE PRESCRIPTION MEDICALE PRATIQUE PROFESSIONNELLE GUIDE DE BONNES PRATIQUES REVUE DE LA LITTERATURE ORGANISATION DES SOINS PSYCHIATRIQUES RELATION SOIGNANT SOIGNE CONTROLEUR GENERAL DES LIEUX DE PRIVATION DE LIBERTE Résumé : La pratique psychiatrique hospitalière comprend la prescription de consignes médicales de façon à la fois fréquente et protéiforme, et à priori non homogène. Objectif : D’une description des pratiques ordinaires des consignes médicales, nous proposons une définition opératoire de ce que l’on peut qualifier de consignes médicales. De cette base nous ferons une revue de littérature des consignes médicales dans les champs législatifs, des recommandations de bonnes pratiques, et de la littérature scientifique. Méthode : La recherche a porté sur le Code de Santé Publique français, le traité de déontologie médicale de l’Ordre des Médecins, la jurisprudence française, et les rapports du Contrôleur Général des Lieux de Privation de Liberté. Sur le plan médical, la bibliographie regroupe les recommandations de la Haute Autorité de Santé, et la littérature scientifique. Résultats : Sur le plan juridique, les consignes médicales ne relèvent pas de prescription au sens législatif, mais de pratiques de soins, dont le médecin est 'le seul maître' (il peut seul en décider, et il doit s’assurer de leur bonne exécution). La jurisprudence délimite clairement les restrictions de libertés possibles dans le contexte de la prévention du risque suicidaire. Les rapports du CGPL relèvent des restrictions de libertés ou des atteintes à la dignité sous couvert de 'cadre' ou 'contrat' de soin, sans raison médicale. Les textes de recommandations de leur côté, relèvent les problématiques en jeu dans la pratique des consignes médicales, sans avancer de solution 'clef en main'. La revue de la littérature scientifique ne nous fournit pas d’études centrées sur la pratique des consignes médicales. Elle fait remonter différentes mentions de leur utilisation, notamment de la part de différents acteurs du soins (infirmiers, éducateur, ergothérapeute). Discussion : Les consignes médicales sont peu accessibles aux études méthodologiques de l’Evidence Based Medicine, puisque difficilement quantifiables. Un travail épistémologique serait plus à même de nous éclairer sur cette pratique contemporaine essentielle à la psychiatrie hospitalière. Par ailleurs, des études suivant la méthodologie du case report pourraient approcher les problématiques qu’elle soulèvent tant dans le système médecin-équipe, que médecin-patient que patient-équipe. Notre revue de littérature montre que les CM sont un objet singuliers, nécessitant et permettant à la fois une cohérence d’équipe, un « cadre de soin » plus général. Conclusion : Nous avons circonscrit une définition opératoire des consignes médicales : ce sont des ordres psychiatriques, à visée thérapeutique individuelle, que l’équipe paramédicale doit tout faire pour mettre en oeuvre, mais que le patient peut refuser (comme toute thérapeutique). Les CM peuvent restreindre la liberté d’aller et venir des patients par nécessité médicale, mais ne peuvent porter atteinte à la dignité des patients. Les CM ne sont ni des lois (elles n’ouvrent pas à sanction si transgressées), ni un règlement (ne sont pas générales mais particulières), ni un simple conseil (l’équipe paramédicale est dans l’obligation de tenter de l’appliquer). La question des CM est un point d’entrée pratique, objectif, pour étudier les questions de 'cadre de soins' qui sont vastes et parfois intangibles. La bonne pratique des consignes, en tant qu’elle doit s’évaluer au cas par cas, avec l’équipe paramédicale et le médecin, nécessite des temps institutionnels pour évaluer la nécessité et la modalité de leur prescription. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451091 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287979
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 508-513[article] Les Consignes Médicales en Psychiatrie, définition législative et état des lieux bibliographiques [] / BROUWER Hélène de, Auteur ; DUPOUY Sylvain, Auteur ; SALLES Juliette, Auteur . - 2021 . - 508-513.
27 réf. bibliogr. / 18 notes
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 508-513
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Jurisprudence ; L DROIT:Systèmes juridiques:Droit:Législation Mots-clés : PSYCHIATRE HOPITAL PSYCHIATRIQUE PRESCRIPTION MEDICALE PRATIQUE PROFESSIONNELLE GUIDE DE BONNES PRATIQUES REVUE DE LA LITTERATURE ORGANISATION DES SOINS PSYCHIATRIQUES RELATION SOIGNANT SOIGNE CONTROLEUR GENERAL DES LIEUX DE PRIVATION DE LIBERTE Résumé : La pratique psychiatrique hospitalière comprend la prescription de consignes médicales de façon à la fois fréquente et protéiforme, et à priori non homogène. Objectif : D’une description des pratiques ordinaires des consignes médicales, nous proposons une définition opératoire de ce que l’on peut qualifier de consignes médicales. De cette base nous ferons une revue de littérature des consignes médicales dans les champs législatifs, des recommandations de bonnes pratiques, et de la littérature scientifique. Méthode : La recherche a porté sur le Code de Santé Publique français, le traité de déontologie médicale de l’Ordre des Médecins, la jurisprudence française, et les rapports du Contrôleur Général des Lieux de Privation de Liberté. Sur le plan médical, la bibliographie regroupe les recommandations de la Haute Autorité de Santé, et la littérature scientifique. Résultats : Sur le plan juridique, les consignes médicales ne relèvent pas de prescription au sens législatif, mais de pratiques de soins, dont le médecin est 'le seul maître' (il peut seul en décider, et il doit s’assurer de leur bonne exécution). La jurisprudence délimite clairement les restrictions de libertés possibles dans le contexte de la prévention du risque suicidaire. Les rapports du CGPL relèvent des restrictions de libertés ou des atteintes à la dignité sous couvert de 'cadre' ou 'contrat' de soin, sans raison médicale. Les textes de recommandations de leur côté, relèvent les problématiques en jeu dans la pratique des consignes médicales, sans avancer de solution 'clef en main'. La revue de la littérature scientifique ne nous fournit pas d’études centrées sur la pratique des consignes médicales. Elle fait remonter différentes mentions de leur utilisation, notamment de la part de différents acteurs du soins (infirmiers, éducateur, ergothérapeute). Discussion : Les consignes médicales sont peu accessibles aux études méthodologiques de l’Evidence Based Medicine, puisque difficilement quantifiables. Un travail épistémologique serait plus à même de nous éclairer sur cette pratique contemporaine essentielle à la psychiatrie hospitalière. Par ailleurs, des études suivant la méthodologie du case report pourraient approcher les problématiques qu’elle soulèvent tant dans le système médecin-équipe, que médecin-patient que patient-équipe. Notre revue de littérature montre que les CM sont un objet singuliers, nécessitant et permettant à la fois une cohérence d’équipe, un « cadre de soin » plus général. Conclusion : Nous avons circonscrit une définition opératoire des consignes médicales : ce sont des ordres psychiatriques, à visée thérapeutique individuelle, que l’équipe paramédicale doit tout faire pour mettre en oeuvre, mais que le patient peut refuser (comme toute thérapeutique). Les CM peuvent restreindre la liberté d’aller et venir des patients par nécessité médicale, mais ne peuvent porter atteinte à la dignité des patients. Les CM ne sont ni des lois (elles n’ouvrent pas à sanction si transgressées), ni un règlement (ne sont pas générales mais particulières), ni un simple conseil (l’équipe paramédicale est dans l’obligation de tenter de l’appliquer). La question des CM est un point d’entrée pratique, objectif, pour étudier les questions de 'cadre de soins' qui sont vastes et parfois intangibles. La bonne pratique des consignes, en tant qu’elle doit s’évaluer au cas par cas, avec l’équipe paramédicale et le médecin, nécessite des temps institutionnels pour évaluer la nécessité et la modalité de leur prescription. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451091 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287979 Prise en charge des signalements de personnes non connues par des équipes de secteur en psychiatrie adulte / LAUNAY Corinne in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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Titre : Prise en charge des signalements de personnes non connues par des équipes de secteur en psychiatrie adulte Auteurs : LAUNAY Corinne, Auteur ; MUTABESHA Dunia, Auteur ; GOUREVITCH Raphaël, Auteur ; MAITRE Elsa, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 537-544 Note générale : 6 réf. bibliogr. / Fig. Mots-clés : SIGNALEMENT ACCES AUX SOINS DROIT HOSPITALIER INTERVENTION TROUBLE DU COMPORTEMENT PRATIQUE DU SOIN PREVENTION MEDICALE Résumé : Les professionnels des équipes de secteur de psychiatrie générale sont régulièrement saisis de signalements sur des personnes dont la situation semble préoccupante à leur auteur (trouble du voisinage, comportement inquiétant, repli, discours suicidaire, agressivité, etc.). Bien qu’il s’agisse d’une activité bien ancrée dans les pratiques des équipes de secteur, peu de littérature existe sur ce sujet. Pourtant, elle soulève régulièrement des questions cliniques, légales, éthiques et aussi organisationnelles. Une enquête menée pendant six mois a permis d’étudier 61 signalements de personnes non connues du secteur. On note qu’il y a à peu près autant d’hommes que de femmes signalés dont l’âge est le plus souvent compris entre 31 et 60 ans et que 80 % sont sans activité. C’est un membre de la famille qui est le plus fréquemment l’auteur du signalement. Les motifs du signalement sont essentiellement des troubles du comportement, des idées délirantes ou un repli sur soi. Dix pour cent de situations ont été réorientées d’emblée vers des services d’urgence. Les réponses apportées au signalement sont variables selon les critères de gravité recueillis. Elles sont : la proposition de consultation au centre médicopsychologique (48 %), l’organisation d’une visite à domicile (35 %) suivie d’une hospitalisation (9 %), la non-intervention (17 %). Dans 5 % des cas, il a été proposé un suivi en consultation à la personne à l’origine du signalement. Au total, la pratique du traitement des signalements a permis d’évaluer 40 % des situations non urgentes et de mettre en place les soins adéquats. Dans cet article sont décrits les travaux d’un groupe pluriprofessionnel réunissant plusieurs secteurs parisiens. Le partage des pratiques a conduit à élaborer un guide des prises en charge des signalements et un dossier de recueil d’information dans le but de donner aux équipes des repères pour faire face à ce type de demande d’intervention. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451097 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287999
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 537-544[article] Prise en charge des signalements de personnes non connues par des équipes de secteur en psychiatrie adulte [] / LAUNAY Corinne, Auteur ; MUTABESHA Dunia, Auteur ; GOUREVITCH Raphaël, Auteur ; MAITRE Elsa, Auteur . - 2021 . - 537-544.
6 réf. bibliogr. / Fig.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 537-544
Mots-clés : SIGNALEMENT ACCES AUX SOINS DROIT HOSPITALIER INTERVENTION TROUBLE DU COMPORTEMENT PRATIQUE DU SOIN PREVENTION MEDICALE Résumé : Les professionnels des équipes de secteur de psychiatrie générale sont régulièrement saisis de signalements sur des personnes dont la situation semble préoccupante à leur auteur (trouble du voisinage, comportement inquiétant, repli, discours suicidaire, agressivité, etc.). Bien qu’il s’agisse d’une activité bien ancrée dans les pratiques des équipes de secteur, peu de littérature existe sur ce sujet. Pourtant, elle soulève régulièrement des questions cliniques, légales, éthiques et aussi organisationnelles. Une enquête menée pendant six mois a permis d’étudier 61 signalements de personnes non connues du secteur. On note qu’il y a à peu près autant d’hommes que de femmes signalés dont l’âge est le plus souvent compris entre 31 et 60 ans et que 80 % sont sans activité. C’est un membre de la famille qui est le plus fréquemment l’auteur du signalement. Les motifs du signalement sont essentiellement des troubles du comportement, des idées délirantes ou un repli sur soi. Dix pour cent de situations ont été réorientées d’emblée vers des services d’urgence. Les réponses apportées au signalement sont variables selon les critères de gravité recueillis. Elles sont : la proposition de consultation au centre médicopsychologique (48 %), l’organisation d’une visite à domicile (35 %) suivie d’une hospitalisation (9 %), la non-intervention (17 %). Dans 5 % des cas, il a été proposé un suivi en consultation à la personne à l’origine du signalement. Au total, la pratique du traitement des signalements a permis d’évaluer 40 % des situations non urgentes et de mettre en place les soins adéquats. Dans cet article sont décrits les travaux d’un groupe pluriprofessionnel réunissant plusieurs secteurs parisiens. Le partage des pratiques a conduit à élaborer un guide des prises en charge des signalements et un dossier de recueil d’information dans le but de donner aux équipes des repères pour faire face à ce type de demande d’intervention. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451097 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=287999 Séance du lundi 18 janvier 2021 / VERMEERSCH Sylvie in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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Traduction et étude de validation de la version française de l’échelle 'Specific Loss of Interest and Pleasure Scale, SLIPS' (Échelle de Perte Spécifique de l’Intérêt et du Plaisir, EPSIP) / DEKEULENEER François-Xavier in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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Titre : Traduction et étude de validation de la version française de l’échelle 'Specific Loss of Interest and Pleasure Scale, SLIPS' (Échelle de Perte Spécifique de l’Intérêt et du Plaisir, EPSIP) Auteurs : DEKEULENEER François-Xavier, Auteur ; HENNEBERT Olivier, Auteur ; MUNGO Anaïs, Auteur ; ROTSAERT Marianne, Auteur ; LE BON Olivier, Auteur ; LOAS Gwenolé, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 492-497 Note générale : 19 réf. bibliogr. / Echelle de la perte spécifique de l'intérêt de du plaisir Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Suicide ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Linguistique:Traduction Mots-clés : VALIDATION DEPRESSION ANHEDONIE ECHELLE D'EVALUATION RISQUE SUICIDAIRE Résumé : L’échelle de perte spécifique de l’intérêt et du plaisir ou EPSIP (Specific Loss of Interest and Pleasure Scale, SLIPS) est une échelle anglophone créée par le Dr E. Samuel Winer et son équipe (département de psychologie, Mississippi State University) évaluant des changements récents (moins de 15jours) en matière d’anhédonie. L’objet de l’étude est de mettre au point une version française de l’échelle et d’effectuer une première étude de validation. Méthode : Un total de 108 sujets atteints d’un trouble dépressif majeur selon les critères du DSM-5 et ayant au moins un score de 12 à l’échelle de dépression de Beck (BDI-II) ont été inclus ainsi que 50 sujet sains. Les sujets remplissaient 7 échelles : la version française du SLIPS, l’échelle de plaisir de Snaith et d’Hamilton (SHAPS), l’échelle d’Expérience Temporelle du Plaisir (TEPS) évaluant le plaisir anticipatoire (TEPS-ANT) et consommatoire (TEPS-CONS), le BDI-II, la sous-échelle d’anhédonie du BDI-II (ANH-BDI) et la version courte de l’échelle d’anhédonie physique de Chapman (PAS) comprenant 26 items. La validité externe a été appréciée en déterminant la validité concourante, la validité discriminante et la validité incrémentale. La cohérence interne a été mesurée par le coefficient alpha de Cronbach et la validité interne par une analyse en composantes principales. Résultats et Conclusion : La valeur du coefficient alpha de Cronbach était de 0,92. Les coefficients de corrélation entre le score à l’échelle SLIPS et aux échelles de référence sont tous significatifs à p <0,05 : SLIPS et PAS : 0,57 ; SLIPS et BDI-II : 0,53 ; SLIPS et TEPS : -0,45 ; SLIPS et TEPS-ANT : -0,45 ; SLIPS et TEPS-CONS : -0,31 ; SLIPS et SHAPS : 0,52 ; SLIPS et BDI-ANH : 0,54. Les 106 déprimés étaient comparés aux 50 sujets contrôles par un test non paramétrique U de Mann et Whitney avec une moyenne de 28,15 (SD=12,76) et 0 (SD=0) pour les déprimés et contrôles respectivement (U=0 ; Z=10,09, p <0,001). L’analyse en composantes principales a montré une structure unidimensionnelle. La version française de l’échelle SLIPS présente des paramètres métrologiques satisfaisants ce qui recommandent son utilisation notamment pour l’étude du risque suicidaire chez le déprimé. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451089 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288034
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 492-497[article] Traduction et étude de validation de la version française de l’échelle 'Specific Loss of Interest and Pleasure Scale, SLIPS' (Échelle de Perte Spécifique de l’Intérêt et du Plaisir, EPSIP) [] / DEKEULENEER François-Xavier, Auteur ; HENNEBERT Olivier, Auteur ; MUNGO Anaïs, Auteur ; ROTSAERT Marianne, Auteur ; LE BON Olivier, Auteur ; LOAS Gwenolé, Auteur . - 2021 . - 492-497.
19 réf. bibliogr. / Echelle de la perte spécifique de l'intérêt de du plaisir
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 492-497
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Suicide ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Linguistique:Traduction Mots-clés : VALIDATION DEPRESSION ANHEDONIE ECHELLE D'EVALUATION RISQUE SUICIDAIRE Résumé : L’échelle de perte spécifique de l’intérêt et du plaisir ou EPSIP (Specific Loss of Interest and Pleasure Scale, SLIPS) est une échelle anglophone créée par le Dr E. Samuel Winer et son équipe (département de psychologie, Mississippi State University) évaluant des changements récents (moins de 15jours) en matière d’anhédonie. L’objet de l’étude est de mettre au point une version française de l’échelle et d’effectuer une première étude de validation. Méthode : Un total de 108 sujets atteints d’un trouble dépressif majeur selon les critères du DSM-5 et ayant au moins un score de 12 à l’échelle de dépression de Beck (BDI-II) ont été inclus ainsi que 50 sujet sains. Les sujets remplissaient 7 échelles : la version française du SLIPS, l’échelle de plaisir de Snaith et d’Hamilton (SHAPS), l’échelle d’Expérience Temporelle du Plaisir (TEPS) évaluant le plaisir anticipatoire (TEPS-ANT) et consommatoire (TEPS-CONS), le BDI-II, la sous-échelle d’anhédonie du BDI-II (ANH-BDI) et la version courte de l’échelle d’anhédonie physique de Chapman (PAS) comprenant 26 items. La validité externe a été appréciée en déterminant la validité concourante, la validité discriminante et la validité incrémentale. La cohérence interne a été mesurée par le coefficient alpha de Cronbach et la validité interne par une analyse en composantes principales. Résultats et Conclusion : La valeur du coefficient alpha de Cronbach était de 0,92. Les coefficients de corrélation entre le score à l’échelle SLIPS et aux échelles de référence sont tous significatifs à p <0,05 : SLIPS et PAS : 0,57 ; SLIPS et BDI-II : 0,53 ; SLIPS et TEPS : -0,45 ; SLIPS et TEPS-ANT : -0,45 ; SLIPS et TEPS-CONS : -0,31 ; SLIPS et SHAPS : 0,52 ; SLIPS et BDI-ANH : 0,54. Les 106 déprimés étaient comparés aux 50 sujets contrôles par un test non paramétrique U de Mann et Whitney avec une moyenne de 28,15 (SD=12,76) et 0 (SD=0) pour les déprimés et contrôles respectivement (U=0 ; Z=10,09, p <0,001). L’analyse en composantes principales a montré une structure unidimensionnelle. La version française de l’échelle SLIPS présente des paramètres métrologiques satisfaisants ce qui recommandent son utilisation notamment pour l’étude du risque suicidaire chez le déprimé. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451089 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288034 Trouble anxiété généralisée chez une patiente atteinte de sclérose en plaques : prise en charge par thérapie cognitivo-comportementale et émotionnelle / FEKIH-ROMDHANE Feten in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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Titre : Trouble anxiété généralisée chez une patiente atteinte de sclérose en plaques : prise en charge par thérapie cognitivo-comportementale et émotionnelle Auteurs : FEKIH-ROMDHANE Feten, Auteur ; CHEOUR Majda, Auteur ; OUALI Uta, Auteur ; OUMAYA M, Auteur ; BOUZID R, Auteur ; RIDHA Rim, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 498-507 Note générale : 25 réf. bibliogr. / Fig. Mots-clés : CAS CLINIQUE TROUBLE ANXIEUX GENERALISE SCLEROSE EN PLAQUES PSYCHOEDUCATION THERAPIE COGNITIVE EVITEMENT EMOTION Résumé : Parmi les moyens thérapeutiques proposés pour les troubles anxieux, les thérapies cognitives et comportementales ont un effet anxiolytique prouvé. L’objectif de notre travail était d’illustrer la prise en charge cognitive et comportementale d’une patiente souffrant d’un trouble d’anxiété généralisée sévère comorbide d’une sclérose en plaques. Méthodes : Nous présentons le cas d’une patiente âgée de 42 ans, suivie depuis 2007 à la consultation externe de l’Institut National de Neurologie pour une sclérose en plaques rémittente-récurrente sévère sous immunosuppresseurs. Le diagnostic de Trouble Anxiété Généralisé sévère a été établi chez elle. La thérapie cognitivo-comportementale de ce trouble s’est déroulée sur quinze séances. Les évaluations initiales, intermédiaires et finales comprenaient les échelles 'Penn State Worry Questionnaire' et 'Hamilton Anxiety Scale'. Résultats : Après une phase d’analyse fonctionnelle et d’évaluation initiale, les différentes parties de la prise en charge étaient comme suit : psychoéducation, identification de ses sujets d’inquiétude, recherche des comportements d’évitement et de réassurance, exposition à l’inquiétude, exposition aux situations redoutées et prévention des comportements d’évitement et de réassurances, identification des émotions évitées ou vécues en situation anxieuse, et une exposition à ses émotions. Nous avons pu constater assez rapidement une amélioration clinique avec diminution de l’intensité de l’inquiétude, de la fréquence de ses sujets d’inquiétude ainsi que l’amélioration des plaintes somatiques. L’évaluation finale a montré que les objectifs formulés avec la patiente ont été atteints et qu’il y a eu une amélioration de plus de 50 % pour les différentes échelles d’évaluation. Conclusion : Conformément aux données de la littérature, le suivi de notre patiente montre que la thérapie cognitive et comportementale constitue une option intéressante dans le traitement de l’anxiété généralisée, y compris dans la forme sévère et comorbide d’une maladie neurologique invalidante telle que la sclérose en plaques. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451090 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288038
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 498-507[article] Trouble anxiété généralisée chez une patiente atteinte de sclérose en plaques : prise en charge par thérapie cognitivo-comportementale et émotionnelle [] / FEKIH-ROMDHANE Feten, Auteur ; CHEOUR Majda, Auteur ; OUALI Uta, Auteur ; OUMAYA M, Auteur ; BOUZID R, Auteur ; RIDHA Rim, Auteur . - 2021 . - 498-507.
25 réf. bibliogr. / Fig.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 498-507
Mots-clés : CAS CLINIQUE TROUBLE ANXIEUX GENERALISE SCLEROSE EN PLAQUES PSYCHOEDUCATION THERAPIE COGNITIVE EVITEMENT EMOTION Résumé : Parmi les moyens thérapeutiques proposés pour les troubles anxieux, les thérapies cognitives et comportementales ont un effet anxiolytique prouvé. L’objectif de notre travail était d’illustrer la prise en charge cognitive et comportementale d’une patiente souffrant d’un trouble d’anxiété généralisée sévère comorbide d’une sclérose en plaques. Méthodes : Nous présentons le cas d’une patiente âgée de 42 ans, suivie depuis 2007 à la consultation externe de l’Institut National de Neurologie pour une sclérose en plaques rémittente-récurrente sévère sous immunosuppresseurs. Le diagnostic de Trouble Anxiété Généralisé sévère a été établi chez elle. La thérapie cognitivo-comportementale de ce trouble s’est déroulée sur quinze séances. Les évaluations initiales, intermédiaires et finales comprenaient les échelles 'Penn State Worry Questionnaire' et 'Hamilton Anxiety Scale'. Résultats : Après une phase d’analyse fonctionnelle et d’évaluation initiale, les différentes parties de la prise en charge étaient comme suit : psychoéducation, identification de ses sujets d’inquiétude, recherche des comportements d’évitement et de réassurance, exposition à l’inquiétude, exposition aux situations redoutées et prévention des comportements d’évitement et de réassurances, identification des émotions évitées ou vécues en situation anxieuse, et une exposition à ses émotions. Nous avons pu constater assez rapidement une amélioration clinique avec diminution de l’intensité de l’inquiétude, de la fréquence de ses sujets d’inquiétude ainsi que l’amélioration des plaintes somatiques. L’évaluation finale a montré que les objectifs formulés avec la patiente ont été atteints et qu’il y a eu une amélioration de plus de 50 % pour les différentes échelles d’évaluation. Conclusion : Conformément aux données de la littérature, le suivi de notre patiente montre que la thérapie cognitive et comportementale constitue une option intéressante dans le traitement de l’anxiété généralisée, y compris dans la forme sévère et comorbide d’une maladie neurologique invalidante telle que la sclérose en plaques. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451090 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288038 Trouble psychotique partagé ou trouble délirant induit ? : Étude d’un cas clinique / CEOARA Bénédicte in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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Titre : Trouble psychotique partagé ou trouble délirant induit ? : Étude d’un cas clinique Auteurs : CEOARA Bénédicte, Auteur ; LITINETSKAIA Marina, Auteur ; AMIOT O, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 481-486 Note générale : 30 réf. bibliogr. Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Génétique:Évolution Mots-clés : CAS CLINIQUE DIAGNOSTIC DELIRE A DEUX DELIRE DE FILIATION THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSE REVUE DE LA LITTERATURE HISTORIQUE CIM 11 DSM 5 Résumé : Le trouble délirant induit (CIM 10) ou trouble psychotique partagé (DSM-IV) est un trouble à part entière décrit depuis le XIXe siècle. Il s’agit d’un trouble psychotique au cours duquel un des sujets, dit inducteur, propage son délire à une autre personne, souvent plus vulnérable, dite induite. Ce trouble rare a fait l’objet de nombreuses publications à son sujet, divisant à la fois sur son épidémiologie, ses critères diagnostiques, et le traitement spécifique à proposer. Les deux définitions récentes issues des classifications actuelles peuvent d’ailleurs illustrer cette dichotomie sur certains critères, au-delà de la sémantique même qui oppose ici les termes 'délirant induit' et 'psychose partagée'. De plus, ce trouble a la particularité de questionner sur sa réelle existence puisqu’elle est remise en cause actuellement dans les nouvelles classifications du DSM-5 et de la CIM-11. Pourtant, ce trouble continue d’être observé. Quel avenir imaginer alors pour cette pathologie ? À travers le cas clinique d’un 'délire à deux' concernant deux personnes issues de deux familles différentes partageant un délire de filiation, nous avons étudié les enjeux actuels autour de ce trouble. Nous avons effectué pour cela une revue récente de la littérature. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451087 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288039
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 481-486[article] Trouble psychotique partagé ou trouble délirant induit ? : Étude d’un cas clinique [] / CEOARA Bénédicte, Auteur ; LITINETSKAIA Marina, Auteur ; AMIOT O, Auteur . - 2021 . - 481-486.
30 réf. bibliogr.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 481-486
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Génétique:Évolution Mots-clés : CAS CLINIQUE DIAGNOSTIC DELIRE A DEUX DELIRE DE FILIATION THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSE REVUE DE LA LITTERATURE HISTORIQUE CIM 11 DSM 5 Résumé : Le trouble délirant induit (CIM 10) ou trouble psychotique partagé (DSM-IV) est un trouble à part entière décrit depuis le XIXe siècle. Il s’agit d’un trouble psychotique au cours duquel un des sujets, dit inducteur, propage son délire à une autre personne, souvent plus vulnérable, dite induite. Ce trouble rare a fait l’objet de nombreuses publications à son sujet, divisant à la fois sur son épidémiologie, ses critères diagnostiques, et le traitement spécifique à proposer. Les deux définitions récentes issues des classifications actuelles peuvent d’ailleurs illustrer cette dichotomie sur certains critères, au-delà de la sémantique même qui oppose ici les termes 'délirant induit' et 'psychose partagée'. De plus, ce trouble a la particularité de questionner sur sa réelle existence puisqu’elle est remise en cause actuellement dans les nouvelles classifications du DSM-5 et de la CIM-11. Pourtant, ce trouble continue d’être observé. Quel avenir imaginer alors pour cette pathologie ? À travers le cas clinique d’un 'délire à deux' concernant deux personnes issues de deux familles différentes partageant un délire de filiation, nous avons étudié les enjeux actuels autour de ce trouble. Nous avons effectué pour cela une revue récente de la littérature. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451087 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288039 Version française de l’échelle d’alliance thérapeutique entre le supervisé et le superviseur (BSWAI-fr) : une étude pilote / JULIEN SWEERTS Sabrina in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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Titre : Version française de l’échelle d’alliance thérapeutique entre le supervisé et le superviseur (BSWAI-fr) : une étude pilote Auteurs : JULIEN SWEERTS Sabrina, Auteur ; ROMO Lucia, Auteur ; BOUDOUKHA Abdel-Halim, Auteur ; FOUQUES Damien, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 519-523 Note générale : 18 réf. bibliogr. Mots-clés : PREVENTION VALIDATION QUALITE DES SOINS SUPERVISION ECHELLE D'EVALUATION THERAPIE COMPORTEMENTALE ET COGNITIVE BIEN ETRE PSYCHOTHERAPEUTE ALLIANCE THERAPEUTIQUE EMPATHIE SUPERVISION WORKING ALLIANCE INVENTORY Résumé : La supervision dans le champ des thérapies comportementales et cognitives a longtemps été négligée en France. Pourtant, le peu de recherches sur ce sujet mettent en évidence l’effet positif de la supervision chez le psychothérapeute (amélioration de ses compétences, diminution de la fatigue de compassion), et chez le patient (amélioration de son bien-être). Elle semblerait augmenter l’efficacité de la thérapie. L’alliance de travail en supervision pourrait être un ingrédient majeur de ces effets positifs. Aussi, avons-nous adapté et validé en version française un outil à 6 items, le questionnaire d’alliance de travail en supervision (QATS), pour augmenter les recherches sur ce sujet et permettre une évaluation rapide et systématique de l’alliance en supervision. Après avoir procédé à une rétro-traduction, nous avons effectué une analyse factorielle exploratoire et une analyse factorielle confirmatoire. Ces analyses valident la conception bifactorielle du modèle avec la 'relation' et le 'focus patient'. Ce modèle explique près de 73 % de la variance totale. Les indices d’ajustement SMRM, TLI et CLI sont très bons. L’analyse de la consistance interne de chaque sous-échelle est excellente. Une des principales limites de cette validation en langue française est la population composée uniquement de thérapeutes d’orientation comportementale et cognitive. En revanche, elle ouvre des perspectives de recherche dans ce champ peu étudié qu’est la supervision, malgré les risques psychosociaux évidents présents chez les psychothérapeutes. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451093 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288050
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 519-523[article] Version française de l’échelle d’alliance thérapeutique entre le supervisé et le superviseur (BSWAI-fr) : une étude pilote [] / JULIEN SWEERTS Sabrina, Auteur ; ROMO Lucia, Auteur ; BOUDOUKHA Abdel-Halim, Auteur ; FOUQUES Damien, Auteur . - 2021 . - 519-523.
18 réf. bibliogr.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 519-523
Mots-clés : PREVENTION VALIDATION QUALITE DES SOINS SUPERVISION ECHELLE D'EVALUATION THERAPIE COMPORTEMENTALE ET COGNITIVE BIEN ETRE PSYCHOTHERAPEUTE ALLIANCE THERAPEUTIQUE EMPATHIE SUPERVISION WORKING ALLIANCE INVENTORY Résumé : La supervision dans le champ des thérapies comportementales et cognitives a longtemps été négligée en France. Pourtant, le peu de recherches sur ce sujet mettent en évidence l’effet positif de la supervision chez le psychothérapeute (amélioration de ses compétences, diminution de la fatigue de compassion), et chez le patient (amélioration de son bien-être). Elle semblerait augmenter l’efficacité de la thérapie. L’alliance de travail en supervision pourrait être un ingrédient majeur de ces effets positifs. Aussi, avons-nous adapté et validé en version française un outil à 6 items, le questionnaire d’alliance de travail en supervision (QATS), pour augmenter les recherches sur ce sujet et permettre une évaluation rapide et systématique de l’alliance en supervision. Après avoir procédé à une rétro-traduction, nous avons effectué une analyse factorielle exploratoire et une analyse factorielle confirmatoire. Ces analyses valident la conception bifactorielle du modèle avec la 'relation' et le 'focus patient'. Ce modèle explique près de 73 % de la variance totale. Les indices d’ajustement SMRM, TLI et CLI sont très bons. L’analyse de la consistance interne de chaque sous-échelle est excellente. Une des principales limites de cette validation en langue française est la population composée uniquement de thérapeutes d’orientation comportementale et cognitive. En revanche, elle ouvre des perspectives de recherche dans ce champ peu étudié qu’est la supervision, malgré les risques psychosociaux évidents présents chez les psychothérapeutes. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451093 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288050