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Titre : Agronomes et paysans : un dialogue fructueux Type de document : texte imprimé Auteurs : André Pochon, Auteur Editeur : Versailles : Éditions Quae Année de publication : 2008 Collection : Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490 Importance : 50 p. Présentation : ill. en noir et blanc Format : 19 x 12 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7592-0171-6 Prix : 8,60 € Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Agriculture Forêts Pêche Agronomie Agriculture durable Écologie agricole agricole Agriculteurs France Côtes-d'Armor (France) Récits personnels agriculture agriculture biologique agronomie développement durable écologie Index. décimale : S-50 Connaissances scientifiques et techniques Résumé : Ardent défenseur de l'agriculture durable, l'auteur s'est engagé dès les années 1960 dans la lutte des jeunes organisations paysannes sur la voie du progrès. Aujourd'hui retraité, il revient sur son combat et celui de son groupe (mouvement Cedapa) en faveur d'une conduite d'élevage saine et sur l'histoire de ses rapports avec les scientifiques de l'INRA. Note de contenu : 4e de couv. : "Dans cet ouvrage, Sciences en questions change de ton pour donner la parole à un petit agriculteur breton. Ardent promoteur et défenseur de l'agriculture durable, l'auteur s'est engagé dès les années 1960 dans la lutte des jeunes organisations paysannes sur la voie du progrès. Précurseur en matière de respect de l'environnement, il a appliqué avec succès l'adage « gagner plus en travaillant moins ». Le secret de sa réussite ? Pour ceux qui l'auraient oublié : le plat principal au menu d'une vache, c'est l'herbe ! Et l'exploitant qui s'en souvient n'est pas perdant, au contraire ! Chiffres en main, il le démontre. Aujourd'hui retraité mais toujours militant, André Pochon revient sur son combat et celui de son groupe en faveur d'une conduite d'élevage saine et sur l'histoire de ses rapports avec les scientifiques de l'Inra. Il relate avec passion les relations contrastées mais toujours fécondes que son mouvement a entretenues pendant quarante ans avec le monde agronomique. Ses anciens partenaires - jeunes chercheurs à l'époque - reviennent également sur leur expérience commune, faite d'échanges et d'enrichissement mutuels. Ils argumentent sur les motifs de brouille ou d'incompréhension et analysent ensemble la situation actuelle. « L'avenir sera tel que nous le ferons. Tout est possible, mais il faut y croire ! » dit l'auteur en conclusion." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=5098 Agronomes et paysans : un dialogue fructueux [texte imprimé] / André Pochon, Auteur . - Versailles (c/o Inra, RD 10, 78026) : Éditions Quae, 2008 . - 50 p. : ill. en noir et blanc ; 19 x 12 cm. - (Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490) .
ISBN : 978-2-7592-0171-6 : 8,60 €
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Agriculture Forêts Pêche Agronomie Agriculture durable Écologie agricole agricole Agriculteurs France Côtes-d'Armor (France) Récits personnels agriculture agriculture biologique agronomie développement durable écologie Index. décimale : S-50 Connaissances scientifiques et techniques Résumé : Ardent défenseur de l'agriculture durable, l'auteur s'est engagé dès les années 1960 dans la lutte des jeunes organisations paysannes sur la voie du progrès. Aujourd'hui retraité, il revient sur son combat et celui de son groupe (mouvement Cedapa) en faveur d'une conduite d'élevage saine et sur l'histoire de ses rapports avec les scientifiques de l'INRA. Note de contenu : 4e de couv. : "Dans cet ouvrage, Sciences en questions change de ton pour donner la parole à un petit agriculteur breton. Ardent promoteur et défenseur de l'agriculture durable, l'auteur s'est engagé dès les années 1960 dans la lutte des jeunes organisations paysannes sur la voie du progrès. Précurseur en matière de respect de l'environnement, il a appliqué avec succès l'adage « gagner plus en travaillant moins ». Le secret de sa réussite ? Pour ceux qui l'auraient oublié : le plat principal au menu d'une vache, c'est l'herbe ! Et l'exploitant qui s'en souvient n'est pas perdant, au contraire ! Chiffres en main, il le démontre. Aujourd'hui retraité mais toujours militant, André Pochon revient sur son combat et celui de son groupe en faveur d'une conduite d'élevage saine et sur l'histoire de ses rapports avec les scientifiques de l'Inra. Il relate avec passion les relations contrastées mais toujours fécondes que son mouvement a entretenues pendant quarante ans avec le monde agronomique. Ses anciens partenaires - jeunes chercheurs à l'époque - reviennent également sur leur expérience commune, faite d'échanges et d'enrichissement mutuels. Ils argumentent sur les motifs de brouille ou d'incompréhension et analysent ensemble la situation actuelle. « L'avenir sera tel que nous le ferons. Tout est possible, mais il faut y croire ! » dit l'auteur en conclusion." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=5098 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11081 S-50 POC Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Disponible L'analyse des risques : l'expert, le décideur et le citoyen ; une conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions, Paris, Ina P-G, 15 janvier 2001 / Bernard Chevassus-au-Louis
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Titre : L'analyse des risques : l'expert, le décideur et le citoyen ; une conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions, Paris, Ina P-G, 15 janvier 2001 Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Chevassus-au-Louis (1949-...), Auteur ; Benoît Fauconneau, Préfacier, etc. Editeur : Versailles : Éditions Quae Année de publication : 2007 Collection : Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490 Importance : 95 p. Présentation : ill. Format : 19 x 12 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7592-0034-4 Prix : 8,50 € Note générale : Voir aussi, en hyperlien, le rapport "Expertise et démocratie : faire avec la défiance" (PDF, 194 p.) / Daniel Agacinski, professeur agrégé de philosophie et chef de projet à France Stratégie : "Pour éviter qu’elle ne fragilise l’action publique, il faut apprendre à « faire avec » la défiance. Il s’agit de rendre l’expertise plus lisible et transparente, de rapprocher les cultures et surtout de répondre aux questions des citoyens, telles qu’ils se les posent.
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« Les citoyens de ce pays en ont marre des experts » affirmait Michael Gove, chef de file des Brexiters, en 2016, reprenant à son compte quelques-uns des reproches récurrents adressés aux experts. On entendrait toujours les mêmes dans les médias, ils seraient liés au pouvoir, industriel ou politique, et leurs chiffres ne diraient pas la réalité vécue. Dont acte. Le rapport de Daniel Agacinski, préparé à partir des enseignements du séminaire « Paroles d’experts, pour quoi faire ? », n’a pas pour objet de dénoncer ces critiques mais bien au contraire de comprendre « ce qui, dans la façon dont l’expertise est produite, mobilisée et diffusée, est de nature à produire de la défiance ». L’enjeu n’est pas mince : il s’agit d’imaginer des initiatives qui permettent, non pas d’abolir la défiance, mais de « faire avec » pour éviter qu’elle ne fragilise l’action publique.
Un expert, c’est quoi ?
Parce que l’action publique repose de plus en plus sur des considérations « techniques » qui nécessitent le recours à des « spécialistes », l’expert est devenu une figure omniprésente, y compris sur la scène médiatique. Or, il ne dispose ni de la légitimité du politique, ni de la liberté de parole de l’intellectuel ou de l’autorité du savant « pur ». Une position intermédiaire qui pourrait expliquer la défiance que lui témoignent les citoyens – au-delà du discrédit qui touche plus généralement la parole institutionnelle.
Pour qualifier cet entre-deux, Daniel Agacinski propose de ne pas considérer l’expertise comme un métier mais comme « une situation » : celle de la personne consultée pour apporter une connaissance présumée utile à la décision ou propre à éclairer une question. Dans cette perspective, chercher à comprendre la défiance, c’est analyser « ce qui fonctionne et dysfonctionne » dans les relations entre les experts et ceux qui les consultent : décideurs, journalistes et citoyens. D’où l’intérêt de commencer par recueillir leurs témoignages et leurs réflexions, objectif assigné au séminaire « Paroles d’experts, pour quoi faire ? » piloté entre mai 2017 et juillet 2018 à France Stratégie par Daniel Agacinski, Virginie Gimbert et Béligh Nabli.
D’où vient la défiance ?
Si la défiance envers l’expertise n’est pas un phénomène nouveau, « elle prend cependant une forme inédite » aujourd’hui, constate l’auteur. Pourquoi ?
S’il y a doute, c’est d’abord parce qu’il est possible de douter. L’augmentation tendancielle du niveau d’éducation de la population s’accompagne d’un développement de l’esprit critique. Instruits, les citoyens s’intéressent davantage aux débats publics... avec parfois une bonne dose de remise en cause. Un exemple parmi d’autres : la polémique autour du calcul de l’indice des prix à la consommation après le passage à l’euro.
Ensuite, le doute a pu être alimenté par un constat d’inefficacité : pourquoi les mesures préconisées par les experts, les économistes en particulier, ne tiennent-elles plus leur promesse (implicite) en termes de croissance ou de progrès social ? Plus contingents, les nombreux scandales sanitaires – sang contaminé, amiante, Levothyrox… – ont aussi entamé la confiance des Français, moins dans la science que dans ses usages et dans la capacité de l’État à prévenir les conflits d’intérêts. Des crises successives qui ont sans doute pavé la voie à la défiance vaccinale.
Enfin – en témoigne le phénomène fake news –, l’avènement des réseaux sociaux comme canal d’information signe une crise d’autorité. Celle des institutions et des médias traditionnels s’émousse tandis que s’institue sur le web une hiérarchie des contenus validée par un algorithme, nos « amis » et/ou la viralité d’une (supposée) information. Or, sur les 1,7 milliard d’abonnés Facebook, 44 % l’utilisent d’abord pour s’informer, selon le Pew Research Center. [...]"Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : RISQUE Société Comportement et vie sociale Sécurité Insécurité SHS Programmes de sécurité publique Principe de précaution Évaluation du risque gestion du risque ANALYSE SCIENCES RECHERCHE INNOVATION CHERCHEUR AGRICULTURE BIOLOGIE ETHIQUE SOCIETE CIVILE expert expertise Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Réflexion sur l'organisation de l'expertise scientique et la construction d'une nouvelle interface scientifiques-décideurs-citoyens. Note de contenu : Bibliogr. 4e de couv. : "Le principe de précaution a été proposé comme nouveau fil conducteur pour répondre au scepticisme développé depuis une vingtaine d'années par les citoyens et les scientifiques de plusieurs pays à l'égard de la valeur du modèle « standard » d'analyse des risques. Les problèmes rencontrés en appliquant ce principe à la gestion puis à l'évaluation des risques incitent à diversifier les outils de caractérisation de ces risques , en outre, face aux limites d'une communication conçue comme l'explication au public des avis des experts, la participation de la société civile et la prise en compte des approches « profanes » des risques semblent à même d'améliorer à la fois la qualité et l'acceptabilité de l'analyse du risque. L'application du principe de précaution a donc des conséquences non pas sur une seule, mais sur les trois phases de l'analyse du risque. Ainsi conduit-elle à proposer un modèle alternatif, dit « constructiviste », qu'il s'agit de mettre à l'épreuve concrètement." En ligne : https://www.strategie.gouv.fr/publications/expertise-democratie-faire-defiance Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11648 L'analyse des risques : l'expert, le décideur et le citoyen ; une conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions, Paris, Ina P-G, 15 janvier 2001 [texte imprimé] / Bernard Chevassus-au-Louis (1949-...), Auteur ; Benoît Fauconneau, Préfacier, etc. . - Versailles (c/o Inra, RD 10, 78026) : Éditions Quae, 2007 . - 95 p. : ill. ; 19 x 12 cm. - (Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490) .
ISBN : 978-2-7592-0034-4 : 8,50 €
Voir aussi, en hyperlien, le rapport "Expertise et démocratie : faire avec la défiance" (PDF, 194 p.) / Daniel Agacinski, professeur agrégé de philosophie et chef de projet à France Stratégie : "Pour éviter qu’elle ne fragilise l’action publique, il faut apprendre à « faire avec » la défiance. Il s’agit de rendre l’expertise plus lisible et transparente, de rapprocher les cultures et surtout de répondre aux questions des citoyens, telles qu’ils se les posent.
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« Les citoyens de ce pays en ont marre des experts » affirmait Michael Gove, chef de file des Brexiters, en 2016, reprenant à son compte quelques-uns des reproches récurrents adressés aux experts. On entendrait toujours les mêmes dans les médias, ils seraient liés au pouvoir, industriel ou politique, et leurs chiffres ne diraient pas la réalité vécue. Dont acte. Le rapport de Daniel Agacinski, préparé à partir des enseignements du séminaire « Paroles d’experts, pour quoi faire ? », n’a pas pour objet de dénoncer ces critiques mais bien au contraire de comprendre « ce qui, dans la façon dont l’expertise est produite, mobilisée et diffusée, est de nature à produire de la défiance ». L’enjeu n’est pas mince : il s’agit d’imaginer des initiatives qui permettent, non pas d’abolir la défiance, mais de « faire avec » pour éviter qu’elle ne fragilise l’action publique.
Un expert, c’est quoi ?
Parce que l’action publique repose de plus en plus sur des considérations « techniques » qui nécessitent le recours à des « spécialistes », l’expert est devenu une figure omniprésente, y compris sur la scène médiatique. Or, il ne dispose ni de la légitimité du politique, ni de la liberté de parole de l’intellectuel ou de l’autorité du savant « pur ». Une position intermédiaire qui pourrait expliquer la défiance que lui témoignent les citoyens – au-delà du discrédit qui touche plus généralement la parole institutionnelle.
Pour qualifier cet entre-deux, Daniel Agacinski propose de ne pas considérer l’expertise comme un métier mais comme « une situation » : celle de la personne consultée pour apporter une connaissance présumée utile à la décision ou propre à éclairer une question. Dans cette perspective, chercher à comprendre la défiance, c’est analyser « ce qui fonctionne et dysfonctionne » dans les relations entre les experts et ceux qui les consultent : décideurs, journalistes et citoyens. D’où l’intérêt de commencer par recueillir leurs témoignages et leurs réflexions, objectif assigné au séminaire « Paroles d’experts, pour quoi faire ? » piloté entre mai 2017 et juillet 2018 à France Stratégie par Daniel Agacinski, Virginie Gimbert et Béligh Nabli.
D’où vient la défiance ?
Si la défiance envers l’expertise n’est pas un phénomène nouveau, « elle prend cependant une forme inédite » aujourd’hui, constate l’auteur. Pourquoi ?
S’il y a doute, c’est d’abord parce qu’il est possible de douter. L’augmentation tendancielle du niveau d’éducation de la population s’accompagne d’un développement de l’esprit critique. Instruits, les citoyens s’intéressent davantage aux débats publics... avec parfois une bonne dose de remise en cause. Un exemple parmi d’autres : la polémique autour du calcul de l’indice des prix à la consommation après le passage à l’euro.
Ensuite, le doute a pu être alimenté par un constat d’inefficacité : pourquoi les mesures préconisées par les experts, les économistes en particulier, ne tiennent-elles plus leur promesse (implicite) en termes de croissance ou de progrès social ? Plus contingents, les nombreux scandales sanitaires – sang contaminé, amiante, Levothyrox… – ont aussi entamé la confiance des Français, moins dans la science que dans ses usages et dans la capacité de l’État à prévenir les conflits d’intérêts. Des crises successives qui ont sans doute pavé la voie à la défiance vaccinale.
Enfin – en témoigne le phénomène fake news –, l’avènement des réseaux sociaux comme canal d’information signe une crise d’autorité. Celle des institutions et des médias traditionnels s’émousse tandis que s’institue sur le web une hiérarchie des contenus validée par un algorithme, nos « amis » et/ou la viralité d’une (supposée) information. Or, sur les 1,7 milliard d’abonnés Facebook, 44 % l’utilisent d’abord pour s’informer, selon le Pew Research Center. [...]"
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : RISQUE Société Comportement et vie sociale Sécurité Insécurité SHS Programmes de sécurité publique Principe de précaution Évaluation du risque gestion du risque ANALYSE SCIENCES RECHERCHE INNOVATION CHERCHEUR AGRICULTURE BIOLOGIE ETHIQUE SOCIETE CIVILE expert expertise Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Réflexion sur l'organisation de l'expertise scientique et la construction d'une nouvelle interface scientifiques-décideurs-citoyens. Note de contenu : Bibliogr. 4e de couv. : "Le principe de précaution a été proposé comme nouveau fil conducteur pour répondre au scepticisme développé depuis une vingtaine d'années par les citoyens et les scientifiques de plusieurs pays à l'égard de la valeur du modèle « standard » d'analyse des risques. Les problèmes rencontrés en appliquant ce principe à la gestion puis à l'évaluation des risques incitent à diversifier les outils de caractérisation de ces risques , en outre, face aux limites d'une communication conçue comme l'explication au public des avis des experts, la participation de la société civile et la prise en compte des approches « profanes » des risques semblent à même d'améliorer à la fois la qualité et l'acceptabilité de l'analyse du risque. L'application du principe de précaution a donc des conséquences non pas sur une seule, mais sur les trois phases de l'analyse du risque. Ainsi conduit-elle à proposer un modèle alternatif, dit « constructiviste », qu'il s'agit de mettre à l'épreuve concrètement." En ligne : https://www.strategie.gouv.fr/publications/expertise-democratie-faire-defiance Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11648 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12440 S-40 CHE Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Disponible 5436 S-60 CHE Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Disponible Documents numériques
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Télécharger le dossier de présentation du rapport "Expertise et démocratie. Faire avec la défiance" (PDF, 12 p.)URLBiotechnologie, nanotechnologie, écologie : entre science et idéologie ; conférences-débats organisées par le groupe Sciences en questions, Lyon et Paris, Inra, Engref, respectivement les 2 et 4 décembre 2008 / Marie-Hélène Parizeau
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Titre : Biotechnologie, nanotechnologie, écologie : entre science et idéologie ; conférences-débats organisées par le groupe Sciences en questions, Lyon et Paris, Inra, Engref, respectivement les 2 et 4 décembre 2008 Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Hélène Parizeau (1959-....), Auteur ; Raphaël Larrère (1942-...), Préfacier, etc. Editeur : Versailles : Éditions Quae Année de publication : 2010 Collection : Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490 Importance : 86 p. Format : 19 x 12 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7592-0881-4 Prix : 8,50 € Note générale : Comment débusquer les idéologies au cœur des nouvelles disciplines scientifiques ? Les idéologies scientifiques s'entremêlent au commencement même des nouvelles disciplines scientifiques – biotechnologies, écologie, nanotechnologies – et développent une idée récurrente : les modifications de l’être humain sur lui-même et sur l’environnement par la technique. Craintes ou espoirs sont générées par ces idéologies de la modernité occidentale. Lorsqu’elles se latéralisent puis s’éloignent de la discipline à laquelle elles étaient entremêlées, elles se manifestent dans la sphère publique comme des idéologies parées du prestige de la science et de sa prétention à la vérité scientifique. Marie-Hélène Parizeau illustre ce processus au sujet de la génétique et des biotechnologies, puis de la biologie de la conservation. Elle s’applique enfin à mettre ses thèses à l’épreuve de la science en train de se faire au sujet des nanotechnologies. Partant de la cybernétique, en lien avec l’intelligence artificielle et la robotique, les nanotechnologies se sont alimentées de l’idéologie scientifique de l’hybridité être humain-machine – le cyborg – en tant que fruit d’une co-évolution de l’espèce humaine et de la technique, modifiant le processus de l’évolution naturelle. L’exemple des nanotechnologies permet de dégager une idéologie scientifique entrelacée avec les débuts d’une nouvelle discipline scientifique Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Sciences et découverte de l'Univers et de la nature Sciences du vivant (biologie) STM Sciences de la vie Biologie Biotechnologie Écologie idéologie sciences éthique biomédicale biotechnologie sciences de la vie nanotechnologie écologie Index. décimale : S-30 Epistémologie - Politique de la science Résumé : Les nouvelles disciplines scientifiques suscitent craintes et espoirs pour la modernité occidentale. Elles se manifestent dans la sphère publique comme des idéologies parées du prestige de la science et de sa prétention à la vérité scientifique. Ce processus est exploré au sujet de la génétique, des biotechnologies et de la biologie de la conservation. Note de contenu : Bibliogr. Table des matières : Préface ; Biotechnologie, nanotechnologie, écologie : entre science et idéologie : introduction ; Clarifications conceptuelles ; Le concept d'idéologie : d'une définition politique à une définition philosophique ; L'idéologie de la science et l'idéologie dans la science ; Le concept d'idéologie scientifique ou comment se constitue une nouvelle discipline scientifique ; L'idéologie scientifique : la définition de Canguilhem ; Le réductionnisme génétique : «tout est dans le gène» ; Mise en situation ; Prééminence du gène ; Évolution de la génétique ; Réductionnisme génétique et scientificité ; Génétique et eugénisme ; Vers un eugénisme libéral ? ; Une idéologie à l'origine de la biologie moléculaire ; De l'écologie à la biologie de la conservation : l'appel à l'argument de l'évolution naturelle du vivant ; Première mise en situation ; Deuxième mise en situation ; Émergence de l'écologie ; Vers une discipline autonome ; Pour une écologie militante ; La biologie de la conservation : une nouvelle discipline ; De la crise de la biologie de la conservation à l'émergence d'une écologie de la «co-évolution» ; Les nanotechnologies et l'idéologie scientifique de l'hybridité être humain machine ; Mise en situation ; À la convergence de plusieurs disciplines ; La biologie synthétique ; La cybernétique ou l'être humain comme machine complexe ; L'hybridité humain-machine ou la renaissance de l'homme ; Éléments de conclusion ; Discussion ; Références bibliographiques En ligne : http://www.cairn.info/biotechnologie-nanotechnologie-ecologie--9782759208814.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=37631 Biotechnologie, nanotechnologie, écologie : entre science et idéologie ; conférences-débats organisées par le groupe Sciences en questions, Lyon et Paris, Inra, Engref, respectivement les 2 et 4 décembre 2008 [texte imprimé] / Marie-Hélène Parizeau (1959-....), Auteur ; Raphaël Larrère (1942-...), Préfacier, etc. . - Versailles (c/o Inra, RD 10, 78026) : Éditions Quae, 2010 . - 86 p. ; 19 x 12 cm. - (Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490) .
ISBN : 978-2-7592-0881-4 : 8,50 €
Comment débusquer les idéologies au cœur des nouvelles disciplines scientifiques ? Les idéologies scientifiques s'entremêlent au commencement même des nouvelles disciplines scientifiques – biotechnologies, écologie, nanotechnologies – et développent une idée récurrente : les modifications de l’être humain sur lui-même et sur l’environnement par la technique. Craintes ou espoirs sont générées par ces idéologies de la modernité occidentale. Lorsqu’elles se latéralisent puis s’éloignent de la discipline à laquelle elles étaient entremêlées, elles se manifestent dans la sphère publique comme des idéologies parées du prestige de la science et de sa prétention à la vérité scientifique. Marie-Hélène Parizeau illustre ce processus au sujet de la génétique et des biotechnologies, puis de la biologie de la conservation. Elle s’applique enfin à mettre ses thèses à l’épreuve de la science en train de se faire au sujet des nanotechnologies. Partant de la cybernétique, en lien avec l’intelligence artificielle et la robotique, les nanotechnologies se sont alimentées de l’idéologie scientifique de l’hybridité être humain-machine – le cyborg – en tant que fruit d’une co-évolution de l’espèce humaine et de la technique, modifiant le processus de l’évolution naturelle. L’exemple des nanotechnologies permet de dégager une idéologie scientifique entrelacée avec les débuts d’une nouvelle discipline scientifique
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Sciences et découverte de l'Univers et de la nature Sciences du vivant (biologie) STM Sciences de la vie Biologie Biotechnologie Écologie idéologie sciences éthique biomédicale biotechnologie sciences de la vie nanotechnologie écologie Index. décimale : S-30 Epistémologie - Politique de la science Résumé : Les nouvelles disciplines scientifiques suscitent craintes et espoirs pour la modernité occidentale. Elles se manifestent dans la sphère publique comme des idéologies parées du prestige de la science et de sa prétention à la vérité scientifique. Ce processus est exploré au sujet de la génétique, des biotechnologies et de la biologie de la conservation. Note de contenu : Bibliogr. Table des matières : Préface ; Biotechnologie, nanotechnologie, écologie : entre science et idéologie : introduction ; Clarifications conceptuelles ; Le concept d'idéologie : d'une définition politique à une définition philosophique ; L'idéologie de la science et l'idéologie dans la science ; Le concept d'idéologie scientifique ou comment se constitue une nouvelle discipline scientifique ; L'idéologie scientifique : la définition de Canguilhem ; Le réductionnisme génétique : «tout est dans le gène» ; Mise en situation ; Prééminence du gène ; Évolution de la génétique ; Réductionnisme génétique et scientificité ; Génétique et eugénisme ; Vers un eugénisme libéral ? ; Une idéologie à l'origine de la biologie moléculaire ; De l'écologie à la biologie de la conservation : l'appel à l'argument de l'évolution naturelle du vivant ; Première mise en situation ; Deuxième mise en situation ; Émergence de l'écologie ; Vers une discipline autonome ; Pour une écologie militante ; La biologie de la conservation : une nouvelle discipline ; De la crise de la biologie de la conservation à l'émergence d'une écologie de la «co-évolution» ; Les nanotechnologies et l'idéologie scientifique de l'hybridité être humain machine ; Mise en situation ; À la convergence de plusieurs disciplines ; La biologie synthétique ; La cybernétique ou l'être humain comme machine complexe ; L'hybridité humain-machine ou la renaissance de l'homme ; Éléments de conclusion ; Discussion ; Références bibliographiques En ligne : http://www.cairn.info/biotechnologie-nanotechnologie-ecologie--9782759208814.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=37631 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01877 S-30 PAR Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Disponible 2805 S-30 PAR Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Disponible Des choses de la nature et de leurs droits : Conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions au centre-siège INRAE Paris, le 21 janvier 2019 / BU de Droit et ScholarVox (Cyberlibris) / Sarah Vanuxem
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Titre : Des choses de la nature et de leurs droits : Conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions au centre-siège INRAE Paris, le 21 janvier 2019 / BU de Droit et ScholarVox (Cyberlibris) Type de document : document électronique Auteurs : Sarah Vanuxem (19..-...) , Auteur ; Groupe Sciences en questions (France), Directeur de publication, rédacteur en chef
Editeur : Versailles : Éditions Quae Année de publication : 2020 Collection : Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490 Importance : 115 p. Présentation : couv. ill. Format : 19 x 12 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7592-3236-9 Prix : 12,50 € Note générale : Le droit de l'environnement est souvent perçu comme un instrument de marchandisation de la nature. Sarah Vanuxem en expose ici une autre vision : une conception « a-moderne », qui ne repose pas sur la division entre des choses-objets et des personnes-sujets. Colonne vertébrale de notre droit moderne, cette division n'est peut-être pas sans rapport avec la dégradation des milieux naturels. Le pari de l'auteure est d'amener le droit de l'environnement par-delà les objets et les sujets de droit, par-delà la conception juridique occidentale moderne. S'appuyant sur les travaux de Philippe Descola et, en particulier, sur l'analogisme comme alternative à la modernité ou au naturalisme, et sur certains des principes de l'ancien droit, Sarah Vanuxem précise ses réflexions en étudiant l'obligation réelle environnementale, la notion de service écologique, le principe de solidarité écologique, la compensation écologique ou bien encore la réparation du préjudice écologique.
Cet ouvrage s'adresse autant aux juristes, de l'environnement notamment, qu'à tout chercheur ou étudiant des sciences du vivant. Sa lecture interpellera aussi toute personne intéressée par les évolutions actuelles de nos sociétés sur les questions environnementales.Langues : Français (fre) Mots-clés : Droit et justice / Droit social et du travail / Droit de l'environnement SHS Protection de l'environnement Environnement Droit Protection Réparation (droit)
Compensation écologique Environnement -- Droit Réparation (droit) Compensation écologiqueRésumé : Le droit de l'environnement concerne la protection de la nature, la lutte contre les pollutions et les nuisances ainsi que l'amélioration de la qualité de la vie et de la santé publique. Il a fait l'objet de récentes innovations juridiques que l'auteure prend en compte lorsqu'elle étudie les conséquences de ce droit sur la tradition civiliste. Note de contenu : Sommaire :
Remerciements 5
Préface 7
Des choses de la nature et de leurs droits 11
Introduction 11
Les servitudes prédiales, un droit des choses voisines 27
Les servitudes environnementales, un droit des choses jumelées 39
La compensation écologique, un droit des choses analogues 56
Les communautés d'habitants, un droit des choses amies 76
Conclusion 99
Références bibliographiques 102
Notes 113
Bibliographie p. 102-112. Notes bibliographiques en fin d'ouvrageEn ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/book/889049 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=273427 Des choses de la nature et de leurs droits : Conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions au centre-siège INRAE Paris, le 21 janvier 2019 / BU de Droit et ScholarVox (Cyberlibris) [document électronique] / Sarah Vanuxem (19..-...), Auteur ; Groupe Sciences en questions (France), Directeur de publication, rédacteur en chef . - Versailles (c/o Inra, RD 10, 78026) : Éditions Quae, 2020 . - 115 p. : couv. ill. ; 19 x 12 cm. - (Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490) .
ISBN : 978-2-7592-3236-9 : 12,50 €
Le droit de l'environnement est souvent perçu comme un instrument de marchandisation de la nature. Sarah Vanuxem en expose ici une autre vision : une conception « a-moderne », qui ne repose pas sur la division entre des choses-objets et des personnes-sujets. Colonne vertébrale de notre droit moderne, cette division n'est peut-être pas sans rapport avec la dégradation des milieux naturels. Le pari de l'auteure est d'amener le droit de l'environnement par-delà les objets et les sujets de droit, par-delà la conception juridique occidentale moderne. S'appuyant sur les travaux de Philippe Descola et, en particulier, sur l'analogisme comme alternative à la modernité ou au naturalisme, et sur certains des principes de l'ancien droit, Sarah Vanuxem précise ses réflexions en étudiant l'obligation réelle environnementale, la notion de service écologique, le principe de solidarité écologique, la compensation écologique ou bien encore la réparation du préjudice écologique.
Cet ouvrage s'adresse autant aux juristes, de l'environnement notamment, qu'à tout chercheur ou étudiant des sciences du vivant. Sa lecture interpellera aussi toute personne intéressée par les évolutions actuelles de nos sociétés sur les questions environnementales.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Droit et justice / Droit social et du travail / Droit de l'environnement SHS Protection de l'environnement Environnement Droit Protection Réparation (droit)
Compensation écologique Environnement -- Droit Réparation (droit) Compensation écologiqueRésumé : Le droit de l'environnement concerne la protection de la nature, la lutte contre les pollutions et les nuisances ainsi que l'amélioration de la qualité de la vie et de la santé publique. Il a fait l'objet de récentes innovations juridiques que l'auteure prend en compte lorsqu'elle étudie les conséquences de ce droit sur la tradition civiliste. Note de contenu : Sommaire :
Remerciements 5
Préface 7
Des choses de la nature et de leurs droits 11
Introduction 11
Les servitudes prédiales, un droit des choses voisines 27
Les servitudes environnementales, un droit des choses jumelées 39
La compensation écologique, un droit des choses analogues 56
Les communautés d'habitants, un droit des choses amies 76
Conclusion 99
Références bibliographiques 102
Notes 113
Bibliographie p. 102-112. Notes bibliographiques en fin d'ouvrageEn ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/book/889049 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=273427 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Climatiser le monde : conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions à l'INRA de Paris le 21 juin 2018 / BU de Droit et ScholarVox (Cyberlibris) / Stefan Cihan Aykut
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Titre : Climatiser le monde : conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions à l'INRA de Paris le 21 juin 2018 / BU de Droit et ScholarVox (Cyberlibris) Type de document : document électronique Auteurs : Stefan Cihan Aykut, Auteur ; Groupe Sciences en questions (France), Organisateur de réunion, de conférence ; Catherine Donnars, Préfacier, etc. Editeur : Versailles : Éditions Quae Année de publication : 2020 Collection : Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490 num. 1269-8490 Importance : 81 p. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7592-3093-8 Prix : 9.50 € Note générale : Le politiste analyse « la climatisation du monde » ou comment le changement climatique agrège et connecte des problématiques auparavant distinctes, telles que la sécurité alimentaire, la finance ou les sols. Il décrypte la gouvernance climatique instaurée notamment dans les Conferences of Parties (COP) pour révéler la complexité, les ambiguïtés et les contradictions de l’élaboration des politiques climatiques. Langues : Français (fre) Mots-clés : Climat -- Changements -- Adaptation
Politique de l'environnement -- Coopération internationaleRésumé : La 4e de couverture indique : "La question climatique s'est diffusée dans de nombreuses sphères de la vie publique, forçant des acteurs parfois assez éloignés des enjeux écologiques à s'y intéresser. Un nombre croissant de firmes, d'associations et d'institutions se voient désormais contraints à repenser leurs orientations stratégiques, leurs routines organisationnelles et leurs pratiques économiques. L'auteur propose de saisir les évolutions en cours comme le résultat d'une "climatisation" du monde. Cette expression traduit la capacité du changement climatique à connecter et à agréger toutes sortes de sujets aussi divers que la sécurité alimentaire, la finance ou les sols. Paradoxalement, cette force d'attraction rend la formation des politiques climatiques de plus en plus complexe. En décryptant la gouvernance climatique instaurée notamment dans les Conferences of Parties, les COP, Stefan C. Aykut aide également à en cerner les effets ambigus et contradictoires." Note de contenu : Bibliogr. p. 73 -77. Notes bibliogr. En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/book/888804 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=268640 Climatiser le monde : conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions à l'INRA de Paris le 21 juin 2018 / BU de Droit et ScholarVox (Cyberlibris) [document électronique] / Stefan Cihan Aykut, Auteur ; Groupe Sciences en questions (France), Organisateur de réunion, de conférence ; Catherine Donnars, Préfacier, etc. . - Versailles (c/o Inra, RD 10, 78026) : Éditions Quae, 2020 . - 81 p. ; 19 cm. - (Sciences en questions (Paris), ISSN 1269-8490; 1269-8490) .
ISBN : 978-2-7592-3093-8 : 9.50 €
Le politiste analyse « la climatisation du monde » ou comment le changement climatique agrège et connecte des problématiques auparavant distinctes, telles que la sécurité alimentaire, la finance ou les sols. Il décrypte la gouvernance climatique instaurée notamment dans les Conferences of Parties (COP) pour révéler la complexité, les ambiguïtés et les contradictions de l’élaboration des politiques climatiques.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Climat -- Changements -- Adaptation
Politique de l'environnement -- Coopération internationaleRésumé : La 4e de couverture indique : "La question climatique s'est diffusée dans de nombreuses sphères de la vie publique, forçant des acteurs parfois assez éloignés des enjeux écologiques à s'y intéresser. Un nombre croissant de firmes, d'associations et d'institutions se voient désormais contraints à repenser leurs orientations stratégiques, leurs routines organisationnelles et leurs pratiques économiques. L'auteur propose de saisir les évolutions en cours comme le résultat d'une "climatisation" du monde. Cette expression traduit la capacité du changement climatique à connecter et à agréger toutes sortes de sujets aussi divers que la sécurité alimentaire, la finance ou les sols. Paradoxalement, cette force d'attraction rend la formation des politiques climatiques de plus en plus complexe. En décryptant la gouvernance climatique instaurée notamment dans les Conferences of Parties, les COP, Stefan C. Aykut aide également à en cerner les effets ambigus et contradictoires." Note de contenu : Bibliogr. p. 73 -77. Notes bibliogr. En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/book/888804 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=268640 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Complexité aléatoire et complexité organisée (conférence-débat organisée par le groupe Sciences en question, Inra, Centre de Paris, 19 octobre 2006) / Jean Delahaye
PermalinkL'écologie des autres : l'anthropologie et la question de la nature ; conférences-débats organisées par le groupe Sciences en questions, Paris et Dijon, Inra, respectivement les 29 novembre 2007 et 31 janvier 2008 / Philippe Descola
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PermalinkPermalinkEntre savoir et décision, l'expertise scientifique : une conférence-débat, Paris, 9 avril 1996 organisée par le groupe Sciences en questions, INRA / Philippe Roqueplo
PermalinkEthique et recherche, un dialogue à construire : conférence-débat, Paris, AgroParisTech, le 7 février 2008 organisée par le groupe Sciences en questions / Jean-François Théry
PermalinkL'évaluation du travail à l'épreuve du réel : critique des fondements de l'évaluation / Christophe Dejours
PermalinkPermalinkPermalinkLa fin du "tout génétique" ? : vers de nouveaux paradigmes en biologie : une conférence-débat organisée par le groupe Sciences en questions Paris, INRA, 28 mai 1998 / Henri Atlan
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