
Détail d'une collection
Documents disponibles dans la collection



Titre : Les grand-remplacés : enquête sur une fracture française / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Paul Conge, Auteur Mention d'édition : Extrait en hyperlien Editeur : Paris : les Editions Arkhê Année de publication : 2020 Collection : Vox' (Paris. 2017), ISSN 2554-9448 Importance : 251 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-918682-66-0 Note générale : Enquête dans le ventre des droites radicales Langues : Français (fre) Mots-clés : Nationalisme -- FranceExtrême droite -- FranceAttitude (psychologie) Résumé : Votre voisin de bureau s’est mis à clasher les bobos serviles, à dévorer les livres d’Alain Soral ou de Papacito, à s’épancher sur la virilité perdue de l’homme post-moderne ? Bienvenue chez les grand-remplacés : ceux qui haïssent les hommes-soja, leur mode de vie de « tantouzes » et qui redoutent une immigration de masse.
Des « petits Blancs de banlieue » aux cadres des métropoles, une lame de fond identitaire se propage. Elle s’appuie sur la peur du déclassement, l’absence de réponse des élites, et une forte réticence face à une société de plus en plus métissée. De fait, aujourd’hui, un Français sur deux croit au grand remplacement.
De ces angoisses contemporaines, des idéologues font commerce : ils se reconvertissent dans le coaching en séduction, le jeu vidéo, l’édition, le porno, les sciences alternatives ou le tuning. Les plus radicaux s’exilent dans les pays de l’Est pour régénérer la « race blanche »… Cette nébuleuse prend la tête du débat public, irrigue de ses punchlines nos conversations et remplit un vide idéologique. Déboussolés, leurs adversaires à gauche accusent plusieurs trains de retard.
Cette poussée des droites radicales prospère sur les faiblesses de nos sociétés. Elle est l’affaire de tous.Note de contenu : Sommaire :
UNE FRACTURE FRANÇAISE
I.
LA REVANCHE DES « PETITS BLANCS »
II.
LES RENÉGATS DU « CAUCHEMAR MULTIRACIAL »
III.
DES SKINHEADS À « L’HOMME INTÉGRAL »: LA FRANCE DES CONTRE-CULTURES
IV.
LA RECONQUÊTE AU MASCULIN
V.
LA CROISADE IDENTITAIRE DES GAMERS
VI.
ATLANTES, OVNIS ET PATCHS ANTI-ONDES : OPA SUR LES « SCIENCES ALTERNATIVES »
VII.
DE LA « NOUVELLE DROITE « AUX MÈMES
VIII.
LES NOUVEAUX MARCHANDS DE PEUR
POUR COMBIEN DE TEMPS…
Notes bibliogr. p. 243-[252]En ligne : https://www.arkhe-editions.com/livre/les-grands-remplaces/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258505 Les grand-remplacés : enquête sur une fracture française / SUDOC [document électronique] / Paul Conge, Auteur . - Extrait en hyperlien . - Paris : les Editions Arkhê, 2020 . - 251 p. ; 21 cm. - (Vox' (Paris. 2017), ISSN 2554-9448) .
ISBN : 978-2-918682-66-0
Enquête dans le ventre des droites radicales
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Nationalisme -- FranceExtrême droite -- FranceAttitude (psychologie) Résumé : Votre voisin de bureau s’est mis à clasher les bobos serviles, à dévorer les livres d’Alain Soral ou de Papacito, à s’épancher sur la virilité perdue de l’homme post-moderne ? Bienvenue chez les grand-remplacés : ceux qui haïssent les hommes-soja, leur mode de vie de « tantouzes » et qui redoutent une immigration de masse.
Des « petits Blancs de banlieue » aux cadres des métropoles, une lame de fond identitaire se propage. Elle s’appuie sur la peur du déclassement, l’absence de réponse des élites, et une forte réticence face à une société de plus en plus métissée. De fait, aujourd’hui, un Français sur deux croit au grand remplacement.
De ces angoisses contemporaines, des idéologues font commerce : ils se reconvertissent dans le coaching en séduction, le jeu vidéo, l’édition, le porno, les sciences alternatives ou le tuning. Les plus radicaux s’exilent dans les pays de l’Est pour régénérer la « race blanche »… Cette nébuleuse prend la tête du débat public, irrigue de ses punchlines nos conversations et remplit un vide idéologique. Déboussolés, leurs adversaires à gauche accusent plusieurs trains de retard.
Cette poussée des droites radicales prospère sur les faiblesses de nos sociétés. Elle est l’affaire de tous.Note de contenu : Sommaire :
UNE FRACTURE FRANÇAISE
I.
LA REVANCHE DES « PETITS BLANCS »
II.
LES RENÉGATS DU « CAUCHEMAR MULTIRACIAL »
III.
DES SKINHEADS À « L’HOMME INTÉGRAL »: LA FRANCE DES CONTRE-CULTURES
IV.
LA RECONQUÊTE AU MASCULIN
V.
LA CROISADE IDENTITAIRE DES GAMERS
VI.
ATLANTES, OVNIS ET PATCHS ANTI-ONDES : OPA SUR LES « SCIENCES ALTERNATIVES »
VII.
DE LA « NOUVELLE DROITE « AUX MÈMES
VIII.
LES NOUVEAUX MARCHANDS DE PEUR
POUR COMBIEN DE TEMPS…
Notes bibliogr. p. 243-[252]En ligne : https://www.arkhe-editions.com/livre/les-grands-remplaces/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258505 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire No fake© : contre-histoire de notre quête d'authenticité / SUDOC et BM de Tours / Jean-Laurent Cassely
![]()
Titre : No fake© : contre-histoire de notre quête d'authenticité / SUDOC et BM de Tours Titre original : No fake© Type de document : document électronique Auteurs : Jean-Laurent Cassely (1980-...), Auteur Mention d'édition : La couv. porte en plus la mention : "Une enquête 100% vraie" Editeur : Paris : les Editions Arkhê Année de publication : 2019 Collection : Vox' (Paris. 2017), ISSN 2554-9448 Importance : 188 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-918682-55-4 Prix : 18 € Note générale : Extrait : "Un monde où tout sonne trop vrai
Lorsque j’écrivais les dernières lignes de ce livre, mon attention fut attirée par un communiqué de presse reçu dans ma boîte mail, dont l’entête annonçait : « Jean Imbert ouvre un restaurant avec sa grand-mère : Mamie, le 15 mars 2019. » « Toute la carte sera élaborée à quatre mains par Jean et sa grand-mère », détaillait le texte du communiqué, « et sera composée uniquement de plats qu’elle a l’habitude de réaliser et qui ont marqué le chef, de son enfance à aujourd’hui (blanquette de veau, œufs à la neige) »…
Sur son compte Instagram suivi par plus de 352 000 abonnés, le chef « star » avait posté un mois plus tôt une émouvante photo en compagnie de ladite aïeule. Sur ce selfie de famille « liké » par plus de 40 000 personnes, on apprenait que ce projet était pour lui « une évidence, un rêve d’enfant ». Cette grand-mère, ajoutait Jean Imbert, « est la raison pour laquelle j’ai toujours voulu faire ce métier et c’est le sens que je veux donner à ma vie qui soi-disant se passe entre les stars et les USA mais qui n’a plus aucune saveur sans mes racines ». En cliquant sur le lien mentionné à la fin du texte, on accédait à la page d’accueil du site du futur établissement, sur laquelle s’affichait sobrement la mention : « Mamie, par Jean Imbert ». Quiconque se penche sur la question de la quête d’authenticité tombe rapidement sur son pôle opposé, le « faux ». Or ce soupçon de fausseté́, cette accusation d’être fake est très souvent reliée au caractère mercantile d’une entreprise, d’une activité ou d’un individu dont on questionne la sincérité. Les critiques portant sur l’inauthenticité de l’existence moderne rejettent avant tout des biens, des services, des expériences qui s’inscrivent dans l’économie de marché, sont produits ou proposés par des entreprises, endossés par des marques commerciales, distribués par des grandes surfaces ou par des sites marchands et, bien entendu, qui s’obtiennent moyennant une somme d’argent définie, en échange d’un abonnement ou à l’issue de tout autre type de transaction économique réglée en cash, par virement ou en transfert de données personnelles.
Dans un monde où tout s’achète et tout se vend, la grand-mère n’est-elle pas l’ultime gisement d’authenticité, le dernier safe space non-marchand accessible en ville ? Par son âge avancé, elle personnifie la nostalgie vintage d’une époque qui n’arrive pas à se représenter son présent, sans même parler d’un possible futur alternatif aux sombres prédictions des collapsologues. Supposément à la retraite après une vie qu’on imagine simple et heureuse, la grand-mère ne cuisine pas pour se remplir les poches, impressionner la critique gastronomique ou alimenter Instagram en bons petits plats photogéniques. Elle fait les choses de manière pure, simple et vraie… comme elle l’a toujours fait. De fait, il est tentant de voir dans cette invocation de la grand-mère, ce point mamie, un nouveau label d’authenticité, voire un gage de désintéressement. Notons que si la figure de l’aïeule avait déjà été mise à contribution par le marketing avec les « Bonne Maman » ou autres « Mamie Nova », il s’agissait encore d’une représentation générique et largement stéréotypée ; personne n’était encore allé́ jusqu’à débaucher sa propre grand-mère […]"Langues : Français (fre) Mots-clés : Vérité et mensonge Objectivité CONSOMMATION MODERNITE QUALITE DE LA VIE Résumé : La 4e de couv. indique : "Vous adorez les destinations touristiques de masse ? Vous rêvez d'habiter un lotissement pavillonnaire ? Les grandes surfaces ? Non ? C'est normal. Après plusieurs décennies d'uniformisation des paysages et de standardisation de l'imaginaire, l'heure est aux expériences authentiques. Chacun d'entre nous aspire à rencontrer de "vraies personnes" , à s'installer dans un quartier qui a une "âme" , à voyager "hors des sentiers battus" ... Mais alors qu'Airbnb, Instagram, les restaurants à la mode et le marketing de la ville cool s'imposent sur le marché du vrai et industrialisent notre aspiration à vivre des expériences "uniques" , comment faire la part des choses entre la promesse d'un nouveau monde - où tout serait authentique - et le spectre d'un nouvel âge du fake ? Ce livre tente de répondre au malaise qui touche des générations entières, tiraillées entre l'appel de la modernité et cette course effrénée à l'authenticité. Il aborde la question sous un jour libérateur et décomplexé : et si une identité parodique, ironique et instagrammable était préférable à pas d'identité du tout ?" Note de contenu : Sommaire :
Presse
Sommaire
Extrait
Un monde où tout sonne trop vrai
I. Astérix chez les hipsters
• Le passé gentrifié
• L’HyperFrance pour les nuls
• Vers un disneyland de l’authenticité ?
• Les exclus du village Astérix
II. Comment la France est devenue fake
• Les Trente génériques
• Quand « tout est partout pareil »
• Overdose de générique
• Promenade générique totale
III. À la recherche de l’authenticité perdue
• Bienvenue à HipsterVille
• Pourquoi sommes-nous obsédés par l’authenticité ?
• Plongée dans une usine à vrai
2049, Année authentique
Notes bibliogr.En ligne : https://www.arkhe-editions.com/livre/no-fake/#tab-sommaire Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=224447 No fake© : contre-histoire de notre quête d'authenticité / SUDOC et BM de Tours = No fake© [document électronique] / Jean-Laurent Cassely (1980-...), Auteur . - La couv. porte en plus la mention : "Une enquête 100% vraie" . - Paris : les Editions Arkhê, 2019 . - 188 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Vox' (Paris. 2017), ISSN 2554-9448) .
ISBN : 978-2-918682-55-4 : 18 €
Extrait : "Un monde où tout sonne trop vrai
Lorsque j’écrivais les dernières lignes de ce livre, mon attention fut attirée par un communiqué de presse reçu dans ma boîte mail, dont l’entête annonçait : « Jean Imbert ouvre un restaurant avec sa grand-mère : Mamie, le 15 mars 2019. » « Toute la carte sera élaborée à quatre mains par Jean et sa grand-mère », détaillait le texte du communiqué, « et sera composée uniquement de plats qu’elle a l’habitude de réaliser et qui ont marqué le chef, de son enfance à aujourd’hui (blanquette de veau, œufs à la neige) »…
Sur son compte Instagram suivi par plus de 352 000 abonnés, le chef « star » avait posté un mois plus tôt une émouvante photo en compagnie de ladite aïeule. Sur ce selfie de famille « liké » par plus de 40 000 personnes, on apprenait que ce projet était pour lui « une évidence, un rêve d’enfant ». Cette grand-mère, ajoutait Jean Imbert, « est la raison pour laquelle j’ai toujours voulu faire ce métier et c’est le sens que je veux donner à ma vie qui soi-disant se passe entre les stars et les USA mais qui n’a plus aucune saveur sans mes racines ». En cliquant sur le lien mentionné à la fin du texte, on accédait à la page d’accueil du site du futur établissement, sur laquelle s’affichait sobrement la mention : « Mamie, par Jean Imbert ». Quiconque se penche sur la question de la quête d’authenticité tombe rapidement sur son pôle opposé, le « faux ». Or ce soupçon de fausseté́, cette accusation d’être fake est très souvent reliée au caractère mercantile d’une entreprise, d’une activité ou d’un individu dont on questionne la sincérité. Les critiques portant sur l’inauthenticité de l’existence moderne rejettent avant tout des biens, des services, des expériences qui s’inscrivent dans l’économie de marché, sont produits ou proposés par des entreprises, endossés par des marques commerciales, distribués par des grandes surfaces ou par des sites marchands et, bien entendu, qui s’obtiennent moyennant une somme d’argent définie, en échange d’un abonnement ou à l’issue de tout autre type de transaction économique réglée en cash, par virement ou en transfert de données personnelles.
Dans un monde où tout s’achète et tout se vend, la grand-mère n’est-elle pas l’ultime gisement d’authenticité, le dernier safe space non-marchand accessible en ville ? Par son âge avancé, elle personnifie la nostalgie vintage d’une époque qui n’arrive pas à se représenter son présent, sans même parler d’un possible futur alternatif aux sombres prédictions des collapsologues. Supposément à la retraite après une vie qu’on imagine simple et heureuse, la grand-mère ne cuisine pas pour se remplir les poches, impressionner la critique gastronomique ou alimenter Instagram en bons petits plats photogéniques. Elle fait les choses de manière pure, simple et vraie… comme elle l’a toujours fait. De fait, il est tentant de voir dans cette invocation de la grand-mère, ce point mamie, un nouveau label d’authenticité, voire un gage de désintéressement. Notons que si la figure de l’aïeule avait déjà été mise à contribution par le marketing avec les « Bonne Maman » ou autres « Mamie Nova », il s’agissait encore d’une représentation générique et largement stéréotypée ; personne n’était encore allé́ jusqu’à débaucher sa propre grand-mère […]"
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Vérité et mensonge Objectivité CONSOMMATION MODERNITE QUALITE DE LA VIE Résumé : La 4e de couv. indique : "Vous adorez les destinations touristiques de masse ? Vous rêvez d'habiter un lotissement pavillonnaire ? Les grandes surfaces ? Non ? C'est normal. Après plusieurs décennies d'uniformisation des paysages et de standardisation de l'imaginaire, l'heure est aux expériences authentiques. Chacun d'entre nous aspire à rencontrer de "vraies personnes" , à s'installer dans un quartier qui a une "âme" , à voyager "hors des sentiers battus" ... Mais alors qu'Airbnb, Instagram, les restaurants à la mode et le marketing de la ville cool s'imposent sur le marché du vrai et industrialisent notre aspiration à vivre des expériences "uniques" , comment faire la part des choses entre la promesse d'un nouveau monde - où tout serait authentique - et le spectre d'un nouvel âge du fake ? Ce livre tente de répondre au malaise qui touche des générations entières, tiraillées entre l'appel de la modernité et cette course effrénée à l'authenticité. Il aborde la question sous un jour libérateur et décomplexé : et si une identité parodique, ironique et instagrammable était préférable à pas d'identité du tout ?" Note de contenu : Sommaire :
Presse
Sommaire
Extrait
Un monde où tout sonne trop vrai
I. Astérix chez les hipsters
• Le passé gentrifié
• L’HyperFrance pour les nuls
• Vers un disneyland de l’authenticité ?
• Les exclus du village Astérix
II. Comment la France est devenue fake
• Les Trente génériques
• Quand « tout est partout pareil »
• Overdose de générique
• Promenade générique totale
III. À la recherche de l’authenticité perdue
• Bienvenue à HipsterVille
• Pourquoi sommes-nous obsédés par l’authenticité ?
• Plongée dans une usine à vrai
2049, Année authentique
Notes bibliogr.En ligne : https://www.arkhe-editions.com/livre/no-fake/#tab-sommaire Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=224447 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les nouveaux nomades : toujours ailleurs, partout chez eux / SUDOC et ScholarVox (Cyberlibris) / Maxime Brousse
![]()
![]()
Titre : Les nouveaux nomades : toujours ailleurs, partout chez eux / SUDOC et ScholarVox (Cyberlibris) Type de document : document électronique Auteurs : Maxime Brousse, Auteur Editeur : Paris : les Editions Arkhê Année de publication : 2020 Collection : Vox' (Paris. 2017), ISSN 2554-9448 Importance : 1 vol. (266 p.-XVI p. de pl.) Présentation : ill. en coul., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-918682-64-6 Prix : 19 € Note générale : Nomade[1] adjectif et nom – XVIe siècle.
Étymologie. Emprunté au latin d’époque impériale nomas, -adis, « membre de tribu de pasteurs itinérants », surtout au pluriel, pour désigner des peuplades errantes d’Afrique du Nord. Emprunté au grec nomas, -ados, « qui change de pâturage, qui erre à la façon des troupeaux ou des conducteurs de troupeaux d’un pâturage à l’autre ». Dérivé de « faire paître ».
1–Adjectif. Qui est errant, qui n’a pas d’habitation, d’établissement fixe. Une tribu nomade. Les populations nomades et les populations sédentaires. Par métonymie. Vivre à l’état nomade.
2–Nom. Personne qui a un mode de vie itinérant. Un, une nomade. Les nomades des régions sahariennes. Les campements, les tentes des nomades.
– Droit. Personne ne possédant ni domicile ni résidence fixe, qui circule sur le territoire sans avoir le statut de forain. Terrain réservé, interdit aux nomades.
– Figuré. Vivre en nomade, changer souvent d’habitation, n’avoir aucune attache. Un tempérament de nomade.Langues : Français (fre) Mots-clés : Nomades -- 1990-....
Errance -- 1990-....
Modes de vie alternatifs -- 1990-....
Travail -- À l'étranger -- 1990-....Résumé :
Presse
Sommaire
Extrait
Vanlifers, digital nomads, « tinistes »… voici les nouveaux nomades : ils parcourent le monde au volant de leurs vans, bâtissent leurs maisons sur remorque pour déménager au gré de leurs envies, ou traversent la planète sur un coup de tête.
Fruit d’une minutieuse enquête sur le terrain et du recueil de nombreux témoignages, ce livre cherche à découvrir s’ils connaissent un bouleversement profond de leurs valeurs. Surtout, il tente de deviner ce que leurs parcours racontent, en creux, de nos vies sédentaires. En effet, après des décennies de statu quo, notre mode de vie traditionnel est aujourd’hui remis en question et notre besoin d’évasion est croissant : comme la plupart d’entre nous, les nouveaux nomades veulent moins de choses et surtout… vivre plus d’expériences.
Des campagnes françaises aux paradis d’Asie du Sud-Est, en passant par l’Amérique latine, ce livre dresse le portrait de ces voyageurs 2.0 qui réveillent en nous une part de notre humanité longtemps enfouie.
Prêts à prendre la route ?Note de contenu : Sommaire :
I. Pourquoi on rêve tous de nomadisme
1. Nomades depuis toujours
2. Changer son rapport au monde
3. L’air du temps
II. Qui sont les nouveaux nomades ?
1. Vanlife : éloge du mouvement permanent
2. Tiny houses : foyer, doux microfoyer
3. Digital nomads : le monde entier est un bureau
4. Tous les mêmes
III. Nomades, mode d’emploi
1. Passages à l’acte
2. Comment on vit sur la route
3 . Radical nomads ?
IV. Chez soi, et avec les autres
1. Ce que signifie « chez soi » quand notre maison bouge ou qu’on décide de ne pas en avoir
2. Communautés de nouveaux nomades
V. La mise en mouvement du monde
1. La société du voyage
2. Nous sédentaires, face aux nouveaux nomades
Notes bibliogr.En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/book/888822 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258507 Les nouveaux nomades : toujours ailleurs, partout chez eux / SUDOC et ScholarVox (Cyberlibris) [document électronique] / Maxime Brousse, Auteur . - Paris : les Editions Arkhê, 2020 . - 1 vol. (266 p.-XVI p. de pl.) : ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Vox' (Paris. 2017), ISSN 2554-9448) .
ISBN : 978-2-918682-64-6 : 19 €
Nomade[1] adjectif et nom – XVIe siècle.
Étymologie. Emprunté au latin d’époque impériale nomas, -adis, « membre de tribu de pasteurs itinérants », surtout au pluriel, pour désigner des peuplades errantes d’Afrique du Nord. Emprunté au grec nomas, -ados, « qui change de pâturage, qui erre à la façon des troupeaux ou des conducteurs de troupeaux d’un pâturage à l’autre ». Dérivé de « faire paître ».
1–Adjectif. Qui est errant, qui n’a pas d’habitation, d’établissement fixe. Une tribu nomade. Les populations nomades et les populations sédentaires. Par métonymie. Vivre à l’état nomade.
2–Nom. Personne qui a un mode de vie itinérant. Un, une nomade. Les nomades des régions sahariennes. Les campements, les tentes des nomades.
– Droit. Personne ne possédant ni domicile ni résidence fixe, qui circule sur le territoire sans avoir le statut de forain. Terrain réservé, interdit aux nomades.
– Figuré. Vivre en nomade, changer souvent d’habitation, n’avoir aucune attache. Un tempérament de nomade.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Nomades -- 1990-....
Errance -- 1990-....
Modes de vie alternatifs -- 1990-....
Travail -- À l'étranger -- 1990-....Résumé :
Presse
Sommaire
Extrait
Vanlifers, digital nomads, « tinistes »… voici les nouveaux nomades : ils parcourent le monde au volant de leurs vans, bâtissent leurs maisons sur remorque pour déménager au gré de leurs envies, ou traversent la planète sur un coup de tête.
Fruit d’une minutieuse enquête sur le terrain et du recueil de nombreux témoignages, ce livre cherche à découvrir s’ils connaissent un bouleversement profond de leurs valeurs. Surtout, il tente de deviner ce que leurs parcours racontent, en creux, de nos vies sédentaires. En effet, après des décennies de statu quo, notre mode de vie traditionnel est aujourd’hui remis en question et notre besoin d’évasion est croissant : comme la plupart d’entre nous, les nouveaux nomades veulent moins de choses et surtout… vivre plus d’expériences.
Des campagnes françaises aux paradis d’Asie du Sud-Est, en passant par l’Amérique latine, ce livre dresse le portrait de ces voyageurs 2.0 qui réveillent en nous une part de notre humanité longtemps enfouie.
Prêts à prendre la route ?Note de contenu : Sommaire :
I. Pourquoi on rêve tous de nomadisme
1. Nomades depuis toujours
2. Changer son rapport au monde
3. L’air du temps
II. Qui sont les nouveaux nomades ?
1. Vanlife : éloge du mouvement permanent
2. Tiny houses : foyer, doux microfoyer
3. Digital nomads : le monde entier est un bureau
4. Tous les mêmes
III. Nomades, mode d’emploi
1. Passages à l’acte
2. Comment on vit sur la route
3 . Radical nomads ?
IV. Chez soi, et avec les autres
1. Ce que signifie « chez soi » quand notre maison bouge ou qu’on décide de ne pas en avoir
2. Communautés de nouveaux nomades
V. La mise en mouvement du monde
1. La société du voyage
2. Nous sédentaires, face aux nouveaux nomades
Notes bibliogr.En ligne : http://proxy.scd.univ-tours.fr/login?url=https://univ.scholarvox.com/book/888822 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258507 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
![]()
Extrait en hytperlienURL
Titre : Survivalisme : êtes-vous prêts pour la fin du monde ? / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Bertrand Vidal (1985-...), Auteur Editeur : Paris : les Editions Arkhê Année de publication : 2018 Collection : Vox' (Paris. 2017), ISSN 2554-9448 Importance : 210 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-918682-40-0 Prix : 18.90 € Langues : Français (fre) Mots-clés : Fin du monde
Catastrophes
Survie en milieu sauvage
Mouvements alternatifs (politique)
Culture de masseRésumé : Réchauffement climatique, pandémie mondiale, tsunami géant, accident nucléaire, black-out généralisé et même… invasion zombie. Parce que les désastres à venir sont aussi nombreux qu’inéluctables, des individus se préparent. Ils entassent des réserves de nourriture, construisent des abris, achètent des armes et s’exercent à la survie en milieu sauvage. Du cinéma à la téléréalité, les industries culturelles se sont emparées du survivalisme, le propageant comme un virus à la culture mainstream, tandis qu’une véritable économie internationale se met en place. Le temps est venu de décrypter ce phénomène qui s’amplifie de jour en jour. Qui sont les survivalistes ? Quelles sont leurs motivations ? Sont-ils des individus lucides et prévoyants ou de nouveaux fanatiques de l’apocalypse ? Des Robinsons postmodernes ou des paranoïaques va-t-en-guerre ? Découvrez la première analyse de ce phénomène qui ne connaît plus de frontières, de la Silicon Valley aux endroits les plus reculés de la planète… et préparez-vous au pire ! Note de contenu : Sommaire :
Prologue
L’imaginaire est plus réel que le réel
L’imaginaire anticipe le réel
C’est la crise ! Mais…
Des alternatives existent
I. Comment j’ai appris à survivre à la fin du monde sur les réseaux sociaux
Vincent tient une chaîne YouTube et donne des conseils sur la survie en milieu hostile
Quand la science joue les Cassandre
2 minutes et 30 secondes avant la fin du monde
Aux quatre coins du monde, des individus se préparent
Et si mon budget ne me le permet pas, comment survivre à l’apocalypse ?
Mais alors Vincent est-il vraiment survivaliste ?
Les preppers, un survivalisme 2.0
II. Fuir
Raffaele a quitté la capitale pour retourner à la terre, ralentir, et sortir du système
La vie OTG
De l’exode rural à l’exode urbain
Métro, boulot, parano : Fabien et son épouse préparent leur évacuation
III. Se cacher
Du self-made-man au man-made disaster
Maria écoute sonner les cloches de l’apocalypse sur YouTube
Le progrès : un mythe décati
La petite maison dans la prairie… et les zombies
Quand la bise fut venue
IV. Combattre
Une volonté (radicale) de changement
Un « enromancement » du salut
John Rambo Versus Mick Dodge : deux imaginaires de la survie
John Rambo, le combattant
Mick Dodge, l’homme des bois
V. Le destin tragique des survivalistes ou le syndrome de Cassandre
Tout va (pourtant) pour le mieux dans le meilleur des mondes
Où est passé l’avenir ?
Notes bibliogr.En ligne : https://www.arkhe-editions.com/livre/survivalisme/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258498 Survivalisme : êtes-vous prêts pour la fin du monde ? / SUDOC [document électronique] / Bertrand Vidal (1985-...), Auteur . - Paris : les Editions Arkhê, 2018 . - 210 p. : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Vox' (Paris. 2017), ISSN 2554-9448) .
ISBN : 978-2-918682-40-0 : 18.90 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Fin du monde
Catastrophes
Survie en milieu sauvage
Mouvements alternatifs (politique)
Culture de masseRésumé : Réchauffement climatique, pandémie mondiale, tsunami géant, accident nucléaire, black-out généralisé et même… invasion zombie. Parce que les désastres à venir sont aussi nombreux qu’inéluctables, des individus se préparent. Ils entassent des réserves de nourriture, construisent des abris, achètent des armes et s’exercent à la survie en milieu sauvage. Du cinéma à la téléréalité, les industries culturelles se sont emparées du survivalisme, le propageant comme un virus à la culture mainstream, tandis qu’une véritable économie internationale se met en place. Le temps est venu de décrypter ce phénomène qui s’amplifie de jour en jour. Qui sont les survivalistes ? Quelles sont leurs motivations ? Sont-ils des individus lucides et prévoyants ou de nouveaux fanatiques de l’apocalypse ? Des Robinsons postmodernes ou des paranoïaques va-t-en-guerre ? Découvrez la première analyse de ce phénomène qui ne connaît plus de frontières, de la Silicon Valley aux endroits les plus reculés de la planète… et préparez-vous au pire ! Note de contenu : Sommaire :
Prologue
L’imaginaire est plus réel que le réel
L’imaginaire anticipe le réel
C’est la crise ! Mais…
Des alternatives existent
I. Comment j’ai appris à survivre à la fin du monde sur les réseaux sociaux
Vincent tient une chaîne YouTube et donne des conseils sur la survie en milieu hostile
Quand la science joue les Cassandre
2 minutes et 30 secondes avant la fin du monde
Aux quatre coins du monde, des individus se préparent
Et si mon budget ne me le permet pas, comment survivre à l’apocalypse ?
Mais alors Vincent est-il vraiment survivaliste ?
Les preppers, un survivalisme 2.0
II. Fuir
Raffaele a quitté la capitale pour retourner à la terre, ralentir, et sortir du système
La vie OTG
De l’exode rural à l’exode urbain
Métro, boulot, parano : Fabien et son épouse préparent leur évacuation
III. Se cacher
Du self-made-man au man-made disaster
Maria écoute sonner les cloches de l’apocalypse sur YouTube
Le progrès : un mythe décati
La petite maison dans la prairie… et les zombies
Quand la bise fut venue
IV. Combattre
Une volonté (radicale) de changement
Un « enromancement » du salut
John Rambo Versus Mick Dodge : deux imaginaires de la survie
John Rambo, le combattant
Mick Dodge, l’homme des bois
V. Le destin tragique des survivalistes ou le syndrome de Cassandre
Tout va (pourtant) pour le mieux dans le meilleur des mondes
Où est passé l’avenir ?
Notes bibliogr.En ligne : https://www.arkhe-editions.com/livre/survivalisme/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=258498 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques