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Titre : L'anthropologie en l'absence de l'homme Type de document : texte imprimé Auteurs : Fernand Dumont, Auteur Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 1981 Collection : Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503 Importance : 369 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-036771-0 Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : ANTHROPOLOGIE Index. décimale : D-10 Ethnologie - Anthropologie Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=905 L'anthropologie en l'absence de l'homme [texte imprimé] / Fernand Dumont, Auteur . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, 1981 . - 369 p.. - (Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503) .
ISBN : 978-2-13-036771-0
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : ANTHROPOLOGIE Index. décimale : D-10 Ethnologie - Anthropologie Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=905 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 965 ARCH D-10 DUM Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Anthropologie-Ethnologie Disponible
Titre : Anthropologie du corps et modernité Type de document : texte imprimé Auteurs : David Le Breton (1953-...) , Auteur
Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 1995 Collection : Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503 Importance : 263 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-044462-6 Prix : 13 € Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : CORPS VIEILLISSEMENT MEDECINE IMAGINAIRE MODERNITE SOCIOLOGIE anthropologie ethnologie sociologie du corps corps humain : anthropologie corps humain : aspect symbolique image du corps société Index. décimale : D-0 Sociologie Résumé : Analyse des rapports de l'homme moderne avec son corps, signe de l'individu, de sa différence : l'anatomie, le corps vu comme une machine, les rituels, le vieillissement, le corps alter ego, la conception du corps dans la médecine, l'imagerie médicale du corps, etc. Interroge le devenir du corps, lieu du bien-être et du bien-paraître, mais aussi structure encombrante. Note de contenu : 4e de couv. : "«Nos sociétés font du corps une entreprise à gérer au mieux. Sa valeur intrinsèque tient au travail exercé à son propos. Il faut mériter sa forme et la plier à sa volonté. Dans un monde où règne la désorientation du sens, nombre d'acteurs trouvent prise sur leur existence à travers une discipline du corps. À défaut de contrôler sa vie, on contrôle au moins son corps.» (Postface inédite)
Publié pour la première fois en 1990, cet ouvrage a inauguré une série de nombreuses publications consacrées au corps devenu au fil de cette décennie «l'un des analyseurs majeurs des sociétés contemporaines, un fin révélateur du statut de l'individu». L'homme occidental se découvre un corps, lieu privilégié du bien-être, du bien-paraître, signe de l'individu et de sa différence. Mais ce corps est aussi un lieu de précarité, de vieillissement qu'il faut combattre pour conjurer la perte et tenter de maîtriser l'insaisissable. Deviendrait-il une structure encombrante dont il faudrait se défaire ?"Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6753 Anthropologie du corps et modernité [texte imprimé] / David Le Breton (1953-...), Auteur . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, 1995 . - 263 p.. - (Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503) .
ISBN : 978-2-13-044462-6 : 13 €
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : CORPS VIEILLISSEMENT MEDECINE IMAGINAIRE MODERNITE SOCIOLOGIE anthropologie ethnologie sociologie du corps corps humain : anthropologie corps humain : aspect symbolique image du corps société Index. décimale : D-0 Sociologie Résumé : Analyse des rapports de l'homme moderne avec son corps, signe de l'individu, de sa différence : l'anatomie, le corps vu comme une machine, les rituels, le vieillissement, le corps alter ego, la conception du corps dans la médecine, l'imagerie médicale du corps, etc. Interroge le devenir du corps, lieu du bien-être et du bien-paraître, mais aussi structure encombrante. Note de contenu : 4e de couv. : "«Nos sociétés font du corps une entreprise à gérer au mieux. Sa valeur intrinsèque tient au travail exercé à son propos. Il faut mériter sa forme et la plier à sa volonté. Dans un monde où règne la désorientation du sens, nombre d'acteurs trouvent prise sur leur existence à travers une discipline du corps. À défaut de contrôler sa vie, on contrôle au moins son corps.» (Postface inédite)
Publié pour la première fois en 1990, cet ouvrage a inauguré une série de nombreuses publications consacrées au corps devenu au fil de cette décennie «l'un des analyseurs majeurs des sociétés contemporaines, un fin révélateur du statut de l'individu». L'homme occidental se découvre un corps, lieu privilégié du bien-être, du bien-paraître, signe de l'individu et de sa différence. Mais ce corps est aussi un lieu de précarité, de vieillissement qu'il faut combattre pour conjurer la perte et tenter de maîtriser l'insaisissable. Deviendrait-il une structure encombrante dont il faudrait se défaire ?"Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6753 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7208 ARCH D-0 LEB Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Sociologie Disponible
Titre : L'avenir du sensible : les sens et les sentiments en question Type de document : texte imprimé Auteurs : Claudine Haroche, Auteur Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 2008 Collection : Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503 Importance : VII-256 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-056414-0 Prix : 25 € Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : sciences humaines et sociales interaction sociale relations individus-société socialisation expression émotionnelle comportement humain comportement maîtrise de soi psychologie sociale relations humaines sentiment sens société sociologie conditions sociales sensibilité Weber Max Index. décimale : D-0 Sociologie Résumé : Dans cette étude sur la notion de sensible en sociologie, l'auteure se situe dans la lignée de Max Weber par rapport à l'existence de continuités entre les conduites, les habitudes, les usages et le droit. Elle tente d'élucider les fondements de la retenue et à saisir la nature de ses exigences, c'est-à-dire des formes qui structurent des manières d'être et de se conduire en société. La modernité occidentale a construit l'homme sensible et a lentement façonné les sens et les sentiments. Elle a placé au cœur de la condition humaine, en particulier depuis les traités de civilité de la Renaissance, des exigences de retenue du corps, de distance à autrui, délimitant ainsi un intérieur et un extérieur en chacun. Elle a voulu inscrire l'individu dans un sentiment de continuité, privilégier la perception d'une stabilité de l'existence sur quoi se fonde la propriété de soi. Celle-ci est aujourd'hui menacée par la fluidité d'un monde devenu immatériel, dépourvu de limites. Note de lecture de l'EHESS : "Ce livre entreprend d’élucider les métamorphoses de la condition sensible dans les sociétés contemporaines. Les flux sensoriels et informationnels continus incitent l’individu à des formes de propriété illimitée de soi en même temps qu’ils induisent un rétrécissement de l’espace intérieur. Processus paradoxaux, ils transforment en profondeur nos manières de sentir, de percevoir, d’être et de penser. Cet état de fluidité entraîne des formes d’indistinction, d’indifférenciation entre le réel et le virtuel, entre les individus, reposant alors de façon aiguë la question du sens et des sens : sommes-nous entrés dans une ère nouvelle de la condition sensible ?"
Note de contenu : Bibliogr. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=25992 L'avenir du sensible : les sens et les sentiments en question [texte imprimé] / Claudine Haroche, Auteur . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, 2008 . - VII-256 p. : couv. ill. en coul. ; 22 x 14 cm. - (Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503) .
ISBN : 978-2-13-056414-0 : 25 €
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : sciences humaines et sociales interaction sociale relations individus-société socialisation expression émotionnelle comportement humain comportement maîtrise de soi psychologie sociale relations humaines sentiment sens société sociologie conditions sociales sensibilité Weber Max Index. décimale : D-0 Sociologie Résumé : Dans cette étude sur la notion de sensible en sociologie, l'auteure se situe dans la lignée de Max Weber par rapport à l'existence de continuités entre les conduites, les habitudes, les usages et le droit. Elle tente d'élucider les fondements de la retenue et à saisir la nature de ses exigences, c'est-à-dire des formes qui structurent des manières d'être et de se conduire en société. La modernité occidentale a construit l'homme sensible et a lentement façonné les sens et les sentiments. Elle a placé au cœur de la condition humaine, en particulier depuis les traités de civilité de la Renaissance, des exigences de retenue du corps, de distance à autrui, délimitant ainsi un intérieur et un extérieur en chacun. Elle a voulu inscrire l'individu dans un sentiment de continuité, privilégier la perception d'une stabilité de l'existence sur quoi se fonde la propriété de soi. Celle-ci est aujourd'hui menacée par la fluidité d'un monde devenu immatériel, dépourvu de limites. Note de lecture de l'EHESS : "Ce livre entreprend d’élucider les métamorphoses de la condition sensible dans les sociétés contemporaines. Les flux sensoriels et informationnels continus incitent l’individu à des formes de propriété illimitée de soi en même temps qu’ils induisent un rétrécissement de l’espace intérieur. Processus paradoxaux, ils transforment en profondeur nos manières de sentir, de percevoir, d’être et de penser. Cet état de fluidité entraîne des formes d’indistinction, d’indifférenciation entre le réel et le virtuel, entre les individus, reposant alors de façon aiguë la question du sens et des sens : sommes-nous entrés dans une ère nouvelle de la condition sensible ?"
Note de contenu : Bibliogr. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=25992 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12972 D-0 HAR Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Sociologie Disponible
Titre : Les branchés du portable : sociologie des usages [extraits] Type de document : document électronique Auteurs : Francis Jaureguiberry (1954-...) , Auteur
Mention d'édition : Original provenant de l'Université du Michigan Numérisé le 1 déc. 2010 Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : impr. 2003 Collection : Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503 Importance : 200 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 13,5 x 21,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-053670-3 Prix : 24,34 € Note générale : Voir aussi la note de lecture de : Corinne Martin, « Francis Jauréguiberry, Les branchés du portable. Sociologie des usages », Questions de communication [En ligne], 4 | 2003, mis en ligne le 15 mai 2012, consulté le 23 avril 2015. URL : http://questionsdecommunication.revues.org/5922 Mots-clés : Société / Comportement et vie sociale / Lien social (groupes et individu dans la société) Sujets généraux de l'interaction sociale Sociologie du quotidien Téléphonie mobile publique -- Sociologie Radiocommunications mobiles -- télécommunication, télécommunication sans fil, téléphonie, téléphonie mobile, communication, communication de masse, NTIC, sociologie de la communication, enquête sociologique, interaction sociale, jeunesse, norme sociale, socialisation, sociologie, sociologie du quotidien, style de vie, vie quotidienne Résumé : Décrypte les modèles d'usage du portable au quotidien dans une société où l'urgence et l'immédiat dominent. Pose le problème des relations entre portables, réseaux et pouvoir. Démontre que l'utilisation des portables renforce l'évolution de la société, à savoir une tendance à l'individualisme de masse, une dispersion des occupations, la fragmentation des espaces et l'accélération du temps.
4e de couv. : "Partout, où que l'on aille, dans les rues, les gares, les cafés, les lieux publics, il est désormais impossible d'échapper à «l'envol» des utilisateurs du téléphone portable. Physiquement présents mais branchés ailleurs, ils font l'expérience d'un espace sans distance et d'un temps sans délais. Cette nouvelle capacité, qui paraîtra sans doute naturelle aux générations futures, est ici, pour la première fois, finement décrite et analysée par Francis Jauréguiberry. S'appuyant sur une recherche de plusieurs années et illustrant ses observations de témoignages dans lesquels beaucoup se reconnaîtront, il explique le fantastique succès du portable par la possibilité que celui-ci offre de dépasser certains antagonismes vécus par l'individu contemporain: ouverture et recentrage, généralisation de l'urgence et volonté de rester maître de son temps, zapping occupationnel et désir de continuité. Ainsi, le portable permet-il de densifier le temps, de multiplier les opportunités, de coordonner les occupations, et à la fois de restaurer du lien là où la distance, l'éparpillement et l'anonymat le suppriment. Mais il ne faut pas en déduire un quelconque effet salvateur de la technologie sur le social. Car si le portable peut relier en liberté, il peut aussi lier en dépendance, entraîner une disponibilité d'écoute permanente ou être transformé en outil de surveillance et de contrôle à distance. La question de l'apparition d'une nouvelle forme d'inégalité parmi les branchés est ainsi posée. D'un côté ceux qui ont le pouvoir de se débrancher, et de l'autre ceux qui ont le devoir de rester connectés."Note de contenu : Sommaire :
Introduction
I -- Identification des usages : mode -- prolongement de soi -- réactions impulsives -- communications légères et dissimulation -- communications brèves et instrumentales -- cocooning et objet transitionnel -- contrôle et dépendance -- téléphonite -- nouveau stress ? -- peut-on s'en passer ?
II -- L'urgence et l'immédiat : dédoublement du temps -- relativisation du prévu -- temps et incertitude -- contagion de l'urgence -- désir d'immédiat -- dangers de l'urgence -- syndrome du zappeur -- reprendre son temps et son rythme -- fuite en avant -- techniques de filtre
III -- L'espace sans la distance : envol du branché -- être ici sans être là -- libération de l'astreinte physique -- usages du mobile dans les lieux publics -- clivage de l'espace et seuil d'incivilité -- degrés d'urbanité dans les lieux publics -- lieux déstabilisés ex. les cafés -- ajustement des pratiques -- survaleur des communications -- déconnexion
IV -- Mobile, réseaux, pouvoir : appelé dans une situation de faiblesse -- le répondeur -- les connectés -- contrôle des employés nomades -- efficacité contre l'autonomie -- mise sous tension permanente -- astreintes -- instrumentalisation de la communication -- exploitation -- nouvel enjeu, le droit à la déconnection
V -- L'expérience du branché : notion -- logique identitaire -- logique utilitaire -- logique critique -- zapper -- filtrer -- préserver -- expérience du branché
Conclusion : Les mobiles comme révélateurs
Bibliographie -- Annexe méthodologique -- Annexe statistiqueEn ligne : http://books.google.fr/books/about/Les_branch%C3%A9s_du_portable.html?id=9dtYGgK [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=132337 Les branchés du portable : sociologie des usages [extraits] [document électronique] / Francis Jaureguiberry (1954-...), Auteur . - Original provenant de l'Université du Michigan Numérisé le 1 déc. 2010 . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, impr. 2003 . - 200 p. : couv. ill. en coul. ; 13,5 x 21,5 cm. - (Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503) .
ISBN : 978-2-13-053670-3 : 24,34 €
Voir aussi la note de lecture de : Corinne Martin, « Francis Jauréguiberry, Les branchés du portable. Sociologie des usages », Questions de communication [En ligne], 4 | 2003, mis en ligne le 15 mai 2012, consulté le 23 avril 2015. URL : http://questionsdecommunication.revues.org/5922
Mots-clés : Société / Comportement et vie sociale / Lien social (groupes et individu dans la société) Sujets généraux de l'interaction sociale Sociologie du quotidien Téléphonie mobile publique -- Sociologie Radiocommunications mobiles -- télécommunication, télécommunication sans fil, téléphonie, téléphonie mobile, communication, communication de masse, NTIC, sociologie de la communication, enquête sociologique, interaction sociale, jeunesse, norme sociale, socialisation, sociologie, sociologie du quotidien, style de vie, vie quotidienne Résumé : Décrypte les modèles d'usage du portable au quotidien dans une société où l'urgence et l'immédiat dominent. Pose le problème des relations entre portables, réseaux et pouvoir. Démontre que l'utilisation des portables renforce l'évolution de la société, à savoir une tendance à l'individualisme de masse, une dispersion des occupations, la fragmentation des espaces et l'accélération du temps.
4e de couv. : "Partout, où que l'on aille, dans les rues, les gares, les cafés, les lieux publics, il est désormais impossible d'échapper à «l'envol» des utilisateurs du téléphone portable. Physiquement présents mais branchés ailleurs, ils font l'expérience d'un espace sans distance et d'un temps sans délais. Cette nouvelle capacité, qui paraîtra sans doute naturelle aux générations futures, est ici, pour la première fois, finement décrite et analysée par Francis Jauréguiberry. S'appuyant sur une recherche de plusieurs années et illustrant ses observations de témoignages dans lesquels beaucoup se reconnaîtront, il explique le fantastique succès du portable par la possibilité que celui-ci offre de dépasser certains antagonismes vécus par l'individu contemporain: ouverture et recentrage, généralisation de l'urgence et volonté de rester maître de son temps, zapping occupationnel et désir de continuité. Ainsi, le portable permet-il de densifier le temps, de multiplier les opportunités, de coordonner les occupations, et à la fois de restaurer du lien là où la distance, l'éparpillement et l'anonymat le suppriment. Mais il ne faut pas en déduire un quelconque effet salvateur de la technologie sur le social. Car si le portable peut relier en liberté, il peut aussi lier en dépendance, entraîner une disponibilité d'écoute permanente ou être transformé en outil de surveillance et de contrôle à distance. La question de l'apparition d'une nouvelle forme d'inégalité parmi les branchés est ainsi posée. D'un côté ceux qui ont le pouvoir de se débrancher, et de l'autre ceux qui ont le devoir de rester connectés."Note de contenu : Sommaire :
Introduction
I -- Identification des usages : mode -- prolongement de soi -- réactions impulsives -- communications légères et dissimulation -- communications brèves et instrumentales -- cocooning et objet transitionnel -- contrôle et dépendance -- téléphonite -- nouveau stress ? -- peut-on s'en passer ?
II -- L'urgence et l'immédiat : dédoublement du temps -- relativisation du prévu -- temps et incertitude -- contagion de l'urgence -- désir d'immédiat -- dangers de l'urgence -- syndrome du zappeur -- reprendre son temps et son rythme -- fuite en avant -- techniques de filtre
III -- L'espace sans la distance : envol du branché -- être ici sans être là -- libération de l'astreinte physique -- usages du mobile dans les lieux publics -- clivage de l'espace et seuil d'incivilité -- degrés d'urbanité dans les lieux publics -- lieux déstabilisés ex. les cafés -- ajustement des pratiques -- survaleur des communications -- déconnexion
IV -- Mobile, réseaux, pouvoir : appelé dans une situation de faiblesse -- le répondeur -- les connectés -- contrôle des employés nomades -- efficacité contre l'autonomie -- mise sous tension permanente -- astreintes -- instrumentalisation de la communication -- exploitation -- nouvel enjeu, le droit à la déconnection
V -- L'expérience du branché : notion -- logique identitaire -- logique utilitaire -- logique critique -- zapper -- filtrer -- préserver -- expérience du branché
Conclusion : Les mobiles comme révélateurs
Bibliographie -- Annexe méthodologique -- Annexe statistiqueEn ligne : http://books.google.fr/books/about/Les_branch%C3%A9s_du_portable.html?id=9dtYGgK [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=132337 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Titre : La condition étudiante : sociologie des étudiants et de l'université Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Felouzis, Auteur Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 2001 Collection : Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503 Importance : 300 p. Format : 22 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-052266-9 Prix : 29 € Note générale : [Empruntable en BU de Lettres] Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION Mots-clés : UNIVERSITE ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ETUDIANT ENSEIGNANT CONDITIONS DE VIE ORIENTATION SCOLAIRE REUSSITE SCOLAIRE INEGALITE SOCIALE ENSEIGNEMENT SOCIOLOGIE éducation Index. décimale : G-23 Enseignement supérieur Note de contenu : 4e de couv. : "La condition étudiante est d'évoluer dans un monde indéterminé et incertain, d'être confronté à une institution faible dont les modes de régulation ont disparu. Le sentiment, partagé par la plupart des étudiants en premier cycle, est d'être seul. Les étudiants se retrouvent dans un monde où aucun horizon ni aucun but ne leur est véritablement proposé. C'est là une situation qui constitue le point de départ de l'ensemble des parcours d'étude, et de l'ensemble des actions des étudiants. Tout leur parcours est consacré à résoudre cette question de l'indétermination, à trouver en eux-mêmes ou dans d'autres institutions les moyens de se définir et de déterminer des objectifs à atteindre, et ainsi de donner du sens à leur action. C'est aussi à partir de cette situation que leur carrière se construit. Il s'agit d'opérer des «recompositions de soi» en fonction d'expériences diverses. Il est donc toujours question de construire de nouveaux projets, de nouvelles orientations personnelles et de nouveaux horizons en fonction des événements, heureux ou malheureux. L'indétermination des buts et des moyens des études se double de «l'obligation morale» de réussir. Rien n'est vraiment défini, mais chacun ressent bien qu'un échec, ou même ses prémisses, ne peut que renvoyer à soi et à sa propre responsabilité. Dès lors que l'on travaille «pour soi», et en fonction d'objectifs que l'on s'est soi-même fixés, c'est sa propre personne qui est en jeu dans les études. Ainsi, ce qui se joue dans les relations avec les enseignants, au travers des évaluations, va bien au-delà d'un simple rapport pédagogique fonctionnel, puisqu'il renvoie directement à l'estime de soi de chacun. L'idée d'une condition étudiante ne signifie pas que les individus sont «passifs» et qu'ils subissent simplement leur condition sans réagir. Tout au contraire, à partir de la condition qui est la leur, ils développent des formes d'action qui relèvent de «tactiques», tant du point de vue de leur réflexivité que de leur pratique concrète." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=8937 La condition étudiante : sociologie des étudiants et de l'université [texte imprimé] / Georges Felouzis, Auteur . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, 2001 . - 300 p. ; 22 x 14 cm. - (Sociologie d'aujourd'hui, ISSN 0768-0503) .
ISBN : 978-2-13-052266-9 : 29 €
[Empruntable en BU de Lettres]
Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION Mots-clés : UNIVERSITE ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ETUDIANT ENSEIGNANT CONDITIONS DE VIE ORIENTATION SCOLAIRE REUSSITE SCOLAIRE INEGALITE SOCIALE ENSEIGNEMENT SOCIOLOGIE éducation Index. décimale : G-23 Enseignement supérieur Note de contenu : 4e de couv. : "La condition étudiante est d'évoluer dans un monde indéterminé et incertain, d'être confronté à une institution faible dont les modes de régulation ont disparu. Le sentiment, partagé par la plupart des étudiants en premier cycle, est d'être seul. Les étudiants se retrouvent dans un monde où aucun horizon ni aucun but ne leur est véritablement proposé. C'est là une situation qui constitue le point de départ de l'ensemble des parcours d'étude, et de l'ensemble des actions des étudiants. Tout leur parcours est consacré à résoudre cette question de l'indétermination, à trouver en eux-mêmes ou dans d'autres institutions les moyens de se définir et de déterminer des objectifs à atteindre, et ainsi de donner du sens à leur action. C'est aussi à partir de cette situation que leur carrière se construit. Il s'agit d'opérer des «recompositions de soi» en fonction d'expériences diverses. Il est donc toujours question de construire de nouveaux projets, de nouvelles orientations personnelles et de nouveaux horizons en fonction des événements, heureux ou malheureux. L'indétermination des buts et des moyens des études se double de «l'obligation morale» de réussir. Rien n'est vraiment défini, mais chacun ressent bien qu'un échec, ou même ses prémisses, ne peut que renvoyer à soi et à sa propre responsabilité. Dès lors que l'on travaille «pour soi», et en fonction d'objectifs que l'on s'est soi-même fixés, c'est sa propre personne qui est en jeu dans les études. Ainsi, ce qui se joue dans les relations avec les enseignants, au travers des évaluations, va bien au-delà d'un simple rapport pédagogique fonctionnel, puisqu'il renvoie directement à l'estime de soi de chacun. L'idée d'une condition étudiante ne signifie pas que les individus sont «passifs» et qu'ils subissent simplement leur condition sans réagir. Tout au contraire, à partir de la condition qui est la leur, ils développent des formes d'action qui relèvent de «tactiques», tant du point de vue de leur réflexivité que de leur pratique concrète." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=8937 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 9523 G-23 FEL Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Education-Pédagogie Disponible PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkL'individu et les minorités : la France et la Grande-Bretagne face à leurs immigrés / Didier Lapeyronnie
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