
Détail d'une collection
|
Documents disponibles dans la collection



Une autre fin du monde est possible : vivre l'effondrement, et pas seulement y survivre / SCD / Pablo Servigne
![]()
![]()
Titre : Une autre fin du monde est possible : vivre l'effondrement, et pas seulement y survivre / SCD : Notes bibliogr. et webliogr. . - ISBN 978-2-02-133258-2 : 19 EUR. Type de document : document électronique Auteurs : Pablo Servigne (1978-...) , Auteur ; Raphaël Stevens, Auteur ; Gauthier Chapelle
, Auteur ; Dominique Bourg (1953-...)
, Préfacier, etc. ; Cyril Dion (1978-...), Postfacier, auteur du colophon, etc.
Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2018 Collection : Anthropocène, ISSN 2270-2431 Importance : 323 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-133258-2 Prix : 19 € Note générale : La 4e de couverture indique : "La situation critique dans laquelle se trouve la planète n'est plus à démontrer. Des effondrements sont déjà en cours tandis que d'autres s'amorcent, faisant grandir la possibilité d'un emballement global qui signifierait la fin du monde tel que nous le connaissons. Le choix de notre génération est cornélien : soit nous attendons de subir de plein fouet la violence des cataclysmes à venir, soit, pour en éviter certains, nous prenons un virage si serré qu'il déclencherait notre propre fin-du-monde-industriel. L'horizon se trouve désormais au-delà : imaginer la suite, tout en se préparant à vivre des années de désorganisation et d'incertitude. En toute honnêteté, qui est prêt à cela ? Est-il possible de se remettre d'un déluge de mauvaises nouvelles ? Peut-on simplement se contenter de vouloir survivre ? Comment se projeter au-delà, voir plus grand, et trouver des manières de vivre ces effondrements ? Dans ce deuxième opus, après "Comment tout peut s'effondrer", les auteurs montrent qu'un changement de cap ouvrant à de nouveaux horizons passe nécessairement par un cheminement intérieur et par une remise en question radicale de notre vision du monde. Par-delà optimisme et pessimisme, ce sentier non-balisé part de la collapsologie et mène à ce que l'on pourrait appeler la collapsosophie..." Langues : Français (fre) Mots-clés : Nature -- Effets de l'homme Développement économique -- Capitalisme -- Aspect environnemental Crise (philosophie) -- Prévision Société / Comportement et vie sociale / Evolution sociale Détérioration et dégradation Utopies -- Changement social -- Philosophie -- Crise (philosophie) -- 21e siècle prospective, changement social, crise catastrophes naturelles catastrophe naturelle catastrophe catastrophes nature environnement solastalgie Résumé : Réflexion sur la façon dont le monde pourrait réussir à survivre malgré le changement climatique et la fin du monde industriel tel que nous le connaissons. Note de contenu : Sommaire :
P. 11. Préface de Dominique Bourg
P. 15. Introduction. Apprendre à vivre avec
P. 18. Le virage de ces dernières années
P. 20. Survivre... c'est tout ?
P. 25. De l'utilité d'une branche de la collapsologie tournée vers l'intérieur
P. 28. Elargir à la collapsosophie
P. 34. Décloisonner
P. 41. 1. Subir les ondes de choc
P. 43. Vivre les catastrophes
P. 56. L'annonce des mauvaises nouvelles
P. 69. 2. Reprendre ses esprits
P. 69. La résilience post-catastrophe
P. 75. Vivre et danser avec les ombres
P. 89. 3. Aller de l'avant
P. 90. En se méfiant de l'optimisme
P. 95. En se méfiant de l'espoir
P. 100. Et les enfants ?
P. 109. 4. Intégrer d'autres manières de savoir
P. 110. De nouvelles (in)disciplines scientifiques
P. 125. Sortir de la tour d'ivoire
P. 132. Pour une science post-normale
P. 137. 5. S'ouvrir à d'autres visions du monde
P. 138. De l'univers aux plurivers
P. 151. Emergence d'un mycélium pluriversel
P. 163. 6. Raconter d'autres histoires
P. 164. Des récits "zombies"
P. 167. Des récits, des armes de subsversion massive
P. 175. Histoires d'après
P. 197. 7. Tisser des liens
P. 198. Entre humains
P. 208. Avec les "autres qu'humains"
P. 217. Avec le temps profond
P. 222. Avec ce qui nous dépasse
P. 229. 8. Grandir et pacifier
P. 230. Sortir de la "patho-adolescence"
P. 236. Réconcilier masculin et féminin
P. 247. Faire revivre le sauvage
P. 255. Constituer des "réseaux de tempêtes"
P. 267. Conclusion. Apocalypse ou happy collapse ?
P. 272. Un chemin intérieur pour un impact extérieur
P. 275. La survie comme une première étape
P. 278. Des brèches à ouvrir ou à tenir
Notes bibliogr. et webliogr.En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins/collapsologie-comment- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=210961 Une autre fin du monde est possible : vivre l'effondrement, et pas seulement y survivre / SCD : Notes bibliogr. et webliogr. . - ISBN 978-2-02-133258-2 : 19 EUR. [document électronique] / Pablo Servigne (1978-...), Auteur ; Raphaël Stevens, Auteur ; Gauthier Chapelle
, Auteur ; Dominique Bourg (1953-...)
, Préfacier, etc. ; Cyril Dion (1978-...), Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Paris : Éditions du Seuil, 2018 . - 323 p. : couv. ill. en coul. ; 19 x 14 cm. - (Anthropocène, ISSN 2270-2431) .
ISBN : 978-2-02-133258-2 : 19 €
La 4e de couverture indique : "La situation critique dans laquelle se trouve la planète n'est plus à démontrer. Des effondrements sont déjà en cours tandis que d'autres s'amorcent, faisant grandir la possibilité d'un emballement global qui signifierait la fin du monde tel que nous le connaissons. Le choix de notre génération est cornélien : soit nous attendons de subir de plein fouet la violence des cataclysmes à venir, soit, pour en éviter certains, nous prenons un virage si serré qu'il déclencherait notre propre fin-du-monde-industriel. L'horizon se trouve désormais au-delà : imaginer la suite, tout en se préparant à vivre des années de désorganisation et d'incertitude. En toute honnêteté, qui est prêt à cela ? Est-il possible de se remettre d'un déluge de mauvaises nouvelles ? Peut-on simplement se contenter de vouloir survivre ? Comment se projeter au-delà, voir plus grand, et trouver des manières de vivre ces effondrements ? Dans ce deuxième opus, après "Comment tout peut s'effondrer", les auteurs montrent qu'un changement de cap ouvrant à de nouveaux horizons passe nécessairement par un cheminement intérieur et par une remise en question radicale de notre vision du monde. Par-delà optimisme et pessimisme, ce sentier non-balisé part de la collapsologie et mène à ce que l'on pourrait appeler la collapsosophie..."
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Nature -- Effets de l'homme Développement économique -- Capitalisme -- Aspect environnemental Crise (philosophie) -- Prévision Société / Comportement et vie sociale / Evolution sociale Détérioration et dégradation Utopies -- Changement social -- Philosophie -- Crise (philosophie) -- 21e siècle prospective, changement social, crise catastrophes naturelles catastrophe naturelle catastrophe catastrophes nature environnement solastalgie Résumé : Réflexion sur la façon dont le monde pourrait réussir à survivre malgré le changement climatique et la fin du monde industriel tel que nous le connaissons. Note de contenu : Sommaire :
P. 11. Préface de Dominique Bourg
P. 15. Introduction. Apprendre à vivre avec
P. 18. Le virage de ces dernières années
P. 20. Survivre... c'est tout ?
P. 25. De l'utilité d'une branche de la collapsologie tournée vers l'intérieur
P. 28. Elargir à la collapsosophie
P. 34. Décloisonner
P. 41. 1. Subir les ondes de choc
P. 43. Vivre les catastrophes
P. 56. L'annonce des mauvaises nouvelles
P. 69. 2. Reprendre ses esprits
P. 69. La résilience post-catastrophe
P. 75. Vivre et danser avec les ombres
P. 89. 3. Aller de l'avant
P. 90. En se méfiant de l'optimisme
P. 95. En se méfiant de l'espoir
P. 100. Et les enfants ?
P. 109. 4. Intégrer d'autres manières de savoir
P. 110. De nouvelles (in)disciplines scientifiques
P. 125. Sortir de la tour d'ivoire
P. 132. Pour une science post-normale
P. 137. 5. S'ouvrir à d'autres visions du monde
P. 138. De l'univers aux plurivers
P. 151. Emergence d'un mycélium pluriversel
P. 163. 6. Raconter d'autres histoires
P. 164. Des récits "zombies"
P. 167. Des récits, des armes de subsversion massive
P. 175. Histoires d'après
P. 197. 7. Tisser des liens
P. 198. Entre humains
P. 208. Avec les "autres qu'humains"
P. 217. Avec le temps profond
P. 222. Avec ce qui nous dépasse
P. 229. 8. Grandir et pacifier
P. 230. Sortir de la "patho-adolescence"
P. 236. Réconcilier masculin et féminin
P. 247. Faire revivre le sauvage
P. 255. Constituer des "réseaux de tempêtes"
P. 267. Conclusion. Apocalypse ou happy collapse ?
P. 272. Un chemin intérieur pour un impact extérieur
P. 275. La survie comme une première étape
P. 278. Des brèches à ouvrir ou à tenir
Notes bibliogr. et webliogr.En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins/collapsologie-comment- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=210961 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Comment tout peut s'effondrer : petit manuel de collapsologie à l'usage des générations présentes / SCD / Pablo Servigne
![]()
![]()
Titre : Comment tout peut s'effondrer : petit manuel de collapsologie à l'usage des générations présentes / SCD Type de document : document électronique Auteurs : Pablo Servigne (1978-...) , Auteur ; Raphaël Stevens, Auteur ; Yves Cochet (1946-...), Postfacier, auteur du colophon, etc.
Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2015 Collection : Anthropocène, ISSN 2270-2431 Importance : 296 p. Présentation : graph., fig., couv. ill. en coul. Format : 19 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-122331-6 Prix : 19 € Langues : Français (fre) Mots-clés : Nature -- Effets de l'homme Développement économique -- Société / Comportement et vie sociale / Evolution sociale Détérioration et dégradation Décadence Crise (philosophie) Prévision prospective, changement social, crise Capitalisme -- Agriculture -- Aspect environnemental Famines -- Aspect politique Crise (philosophie) -- Prévision Écologisme Green movement Résumé : L'interconnexion des crises (environnementale, énergétique, démographique, socio-économique) provoque des instabilités systémiques et menace la sécurité humaine. Cet ouvrage expose les méthodes scientifiques et les résultats de ce nouveau champ d'études multidisciplinaires de l'effondrement, champ baptisé "collapsologie". Note de contenu : Et si notre civilisation s'effondrait ? Non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Loin des prédictions Maya et autres eschatologies millénaristes, un nombre croissant d'auteurs, de scientifiques et d'institutions annoncent la fin de la civilisation industrielle telle qu'elle s'est constituée depuis plus de deux siècles. Que faut-il penser de ces sombres prédictions ? Pourquoi est-il devenu si difficile d'éviter un tel scénario ?
Dans ce livre, Pablo Servigne et Raphaël Stevens décortiquent les ressorts d'un possible effondrement et proposent un tour d'horizon interdisciplinaire de ce sujet - fort inconfortable - qu'ils nomment la «collapsologie». En mettant des mots sur des intuitions partagées par beaucoup d'entre nous, ce livre redonne de l'intelligibilité aux phénomènes de «crises» que nous vivons, et surtout, redonne du sens à notre époque. Car aujourd'hui, l'utopie a changé de camp : est utopiste celui qui croit que tout peut continuer comme avant. L'effondrement est l'horizon de notre génération, c'est le début de son avenir. Qu'y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre...En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/politique/le-pari-de-leffondrement Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228921 Comment tout peut s'effondrer : petit manuel de collapsologie à l'usage des générations présentes / SCD [document électronique] / Pablo Servigne (1978-...), Auteur ; Raphaël Stevens, Auteur ; Yves Cochet (1946-...), Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Paris : Éditions du Seuil, 2015 . - 296 p. : graph., fig., couv. ill. en coul. ; 19 x 15 cm. - (Anthropocène, ISSN 2270-2431) .
ISBN : 978-2-02-122331-6 : 19 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Nature -- Effets de l'homme Développement économique -- Société / Comportement et vie sociale / Evolution sociale Détérioration et dégradation Décadence Crise (philosophie) Prévision prospective, changement social, crise Capitalisme -- Agriculture -- Aspect environnemental Famines -- Aspect politique Crise (philosophie) -- Prévision Écologisme Green movement Résumé : L'interconnexion des crises (environnementale, énergétique, démographique, socio-économique) provoque des instabilités systémiques et menace la sécurité humaine. Cet ouvrage expose les méthodes scientifiques et les résultats de ce nouveau champ d'études multidisciplinaires de l'effondrement, champ baptisé "collapsologie". Note de contenu : Et si notre civilisation s'effondrait ? Non pas dans plusieurs siècles, mais de notre vivant. Loin des prédictions Maya et autres eschatologies millénaristes, un nombre croissant d'auteurs, de scientifiques et d'institutions annoncent la fin de la civilisation industrielle telle qu'elle s'est constituée depuis plus de deux siècles. Que faut-il penser de ces sombres prédictions ? Pourquoi est-il devenu si difficile d'éviter un tel scénario ?
Dans ce livre, Pablo Servigne et Raphaël Stevens décortiquent les ressorts d'un possible effondrement et proposent un tour d'horizon interdisciplinaire de ce sujet - fort inconfortable - qu'ils nomment la «collapsologie». En mettant des mots sur des intuitions partagées par beaucoup d'entre nous, ce livre redonne de l'intelligibilité aux phénomènes de «crises» que nous vivons, et surtout, redonne du sens à notre époque. Car aujourd'hui, l'utopie a changé de camp : est utopiste celui qui croit que tout peut continuer comme avant. L'effondrement est l'horizon de notre génération, c'est le début de son avenir. Qu'y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre...En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/politique/le-pari-de-leffondrement Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=228921 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Une écologie décoloniale : penser l'écologie depuis le monde caribéen / BU de Droit / Malcom Djama Ferdinand
![]()
![]()
Titre : Une écologie décoloniale : penser l'écologie depuis le monde caribéen / BU de Droit Type de document : document électronique Auteurs : Malcom Djama Ferdinand (1985-...), Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2019 Collection : Anthropocène, ISSN 2270-2431 Importance : 464 p. Présentation : ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-138849-7 Prix : 24,50 € Note générale : Texte remanié de : Thèse de doctorat : Sciences politiques. Philosophie politique : Sorbonne Paris Cité : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sociologie de l'environnement ostcolonialisme -- Région caraïbe Écologie -- Écologie humaine -- Région caraïbe Résumé : Une colère rouge recouvre le ciel. Les vagues s'agitent, l'eau monte, les forêts tombent et les corps s'enfoncent dans ce sanguinaire gouffre marin. Les cieux tonnent encore devant ce spectacle : le monde est en pleine tempête.
Derrière sa prétention d'universalité, la pensée environnementale s'est construite sur l'occultation des fondations coloniales, patriarcales et esclavagistes de la modernité. Face à la tempête, l'environnementalisme propose une arche de Noé qui cache dans son antre les inégalités sociales, les discriminations de genre, les racismes et les situations (post)coloniales, et abandonne à quai les demandes de justice.
Penser l'écologie depuis le monde caribéen confronte cette absence à partir d'une région où impérialismes, esclavagismes et destructions de paysages nouèrent violemment les destins des Européens, Amérindiens et Africains. Le navire négrier rappelle que certains sont enchaînés à la cale et parfois jetés par-dessus bord à la seule idée de la tempête. Tel est l'impensé de la double fracture moderne qui sépare les questions coloniales des destructions environnementales. Or, panser cette fracture demeure la clé d'un " habiter ensemble " qui préserve les écosystèmes tout autant que les dignités. Telle est l'ambition d'une " écologie décoloniale " qui relie les enjeux écologiques à la quête d'un monde au sortir de l'esclavage et de la colonisation.
Face à la tempête, ce livre est une invitation à construire un navire-monde où les rencontres des autres humains et non-humains sur le pont de la justice dessinent l'horizon d'un monde commun.Note de contenu : Notes bibliogr. p. [415]-456 En ligne : https://books.google.fr/books?id=0saxDwAAQBAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=g [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=263653 Une écologie décoloniale : penser l'écologie depuis le monde caribéen / BU de Droit [document électronique] / Malcom Djama Ferdinand (1985-...), Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 2019 . - 464 p. : ill. ; 19 cm. - (Anthropocène, ISSN 2270-2431) .
ISBN : 978-2-02-138849-7 : 24,50 €
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Sciences politiques. Philosophie politique : Sorbonne Paris Cité : 2016
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sociologie de l'environnement ostcolonialisme -- Région caraïbe Écologie -- Écologie humaine -- Région caraïbe Résumé : Une colère rouge recouvre le ciel. Les vagues s'agitent, l'eau monte, les forêts tombent et les corps s'enfoncent dans ce sanguinaire gouffre marin. Les cieux tonnent encore devant ce spectacle : le monde est en pleine tempête.
Derrière sa prétention d'universalité, la pensée environnementale s'est construite sur l'occultation des fondations coloniales, patriarcales et esclavagistes de la modernité. Face à la tempête, l'environnementalisme propose une arche de Noé qui cache dans son antre les inégalités sociales, les discriminations de genre, les racismes et les situations (post)coloniales, et abandonne à quai les demandes de justice.
Penser l'écologie depuis le monde caribéen confronte cette absence à partir d'une région où impérialismes, esclavagismes et destructions de paysages nouèrent violemment les destins des Européens, Amérindiens et Africains. Le navire négrier rappelle que certains sont enchaînés à la cale et parfois jetés par-dessus bord à la seule idée de la tempête. Tel est l'impensé de la double fracture moderne qui sépare les questions coloniales des destructions environnementales. Or, panser cette fracture demeure la clé d'un " habiter ensemble " qui préserve les écosystèmes tout autant que les dignités. Telle est l'ambition d'une " écologie décoloniale " qui relie les enjeux écologiques à la quête d'un monde au sortir de l'esclavage et de la colonisation.
Face à la tempête, ce livre est une invitation à construire un navire-monde où les rencontres des autres humains et non-humains sur le pont de la justice dessinent l'horizon d'un monde commun.Note de contenu : Notes bibliogr. p. [415]-456 En ligne : https://books.google.fr/books?id=0saxDwAAQBAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=g [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=263653 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Une écologie décoloniale : penser l'écologie depuis le monde caribéen / SUDOC / Malcom Djama Ferdinand
![]()
![]()
Titre : Une écologie décoloniale : penser l'écologie depuis le monde caribéen / SUDOC Titre original : Une écologie décoloniale Type de document : document électronique Auteurs : Malcom Djama Ferdinand (1985-....) , Auteur ; Etienne Tassin, Directeur de thèse
Mention d'édition : Lauréat 2019 du prix d'écologie politique Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2019 Collection : Anthropocène, ISSN 2270-2431 Importance : 461 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-138849-7 Prix : 24.50 € Note générale : Texte remanié de : Thèse de doctorat : Sciences politiques. Philosophie politique : Sorbonne Paris Cité : 2016. Penser, l'écologie depuis le monde caribéen : Enjeux politiques et philosophiques de conflits écologiques (Martinique, Guadeloupe, Haïti, Porto Rico). Sous la direction de Étienne Tassin. Soutenue le 30-09-2016 à Sorbonne Paris Cité , dans le cadre de Ecole doctorale Economies, Espaces, Sociétés, Civilisations : pensée critique, politique et pratiques sociales (Paris) , en partenariat avec Laboratoire de changement social et politique (Paris) (équipe de recherche) et de Université Paris Diderot - Paris 7 (1970-2019) (établissement de préparation). Le président du jury était Catherine Larrère. Le jury était composé de Émilie Hache, Myriam Cottias, Bruno Villalba. Les rapporteurs étaient Justin Daniel. Langues : Français (fre) Mots-clés : Écologie -- Région caraïbe
Écologie humaine -- Région caraïbe
Postcolonialisme -- Région caraïbe
Thèses et écrits académiquesRésumé : La 4e de couverture indique : "Une colère rouge recouvre le ciel. Les vagues s'agitent, l'eau monte, les forêts tombent et les corps s'enfoncent dans ce sanguinaire gouffre marin. Les cieux tonnent encore devant ce spectacle : le monde est en pleine tempête. Derrière sa prétention d'universalité, la pensée environnementale s'est construite sur l'occultation des fondations coloniales, patriarcales et esclavagistes de la modernité. Face à la tempête, l'environnementalisme propose une arche de Noé qui cache dans son antre les inégalités sociales, les discriminations de genre, les racismes et les situations (post)coloniales, et abandonne à quai les demandes de justice. Penser l'écologie depuis le monde caribéen confronte cette absence à partir d'une région où impérialismes, esclavagismes et destructions de paysages nouèrent violemment les destins des Européens, Amérindiens et Africains. Le navire négrier rappelle que certains sont enchaînés à la cale et parfois jetés par-dessus bord à la seule idée de la tempête. Tel est l'impensé de la double fracture moderne qui sépare les questions coloniales des destructions environnementales. Or, panser cette fracture demeure la clé d'un "habiter ensemble" qui préserve les écosystèmes tout autant que les dignités. Telle est l'ambition d'une "écologie décoloniale" qui relie les enjeux écologiques à la quête d'un monde au sortir de l'esclavage et de la colonisation. Face à la tempête, ce livre est une invitation à construire un navire-monde où les rencontres des humains et non-humains sur le pont de la justice dessinent l'horizon d'un avenir commun." Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : http://theses.md.univ-paris-diderot.fr/FERDINAND_Malcom_1_va_20160930.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=235815 Une écologie décoloniale : penser l'écologie depuis le monde caribéen / SUDOC = Une écologie décoloniale [document électronique] / Malcom Djama Ferdinand (1985-....), Auteur ; Etienne Tassin, Directeur de thèse . - Lauréat 2019 du prix d'écologie politique . - Paris : Éditions du Seuil, 2019 . - 461 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Anthropocène, ISSN 2270-2431) .
ISBN : 978-2-02-138849-7 : 24.50 €
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Sciences politiques. Philosophie politique : Sorbonne Paris Cité : 2016. Penser, l'écologie depuis le monde caribéen : Enjeux politiques et philosophiques de conflits écologiques (Martinique, Guadeloupe, Haïti, Porto Rico). Sous la direction de Étienne Tassin. Soutenue le 30-09-2016 à Sorbonne Paris Cité , dans le cadre de Ecole doctorale Economies, Espaces, Sociétés, Civilisations : pensée critique, politique et pratiques sociales (Paris) , en partenariat avec Laboratoire de changement social et politique (Paris) (équipe de recherche) et de Université Paris Diderot - Paris 7 (1970-2019) (établissement de préparation). Le président du jury était Catherine Larrère. Le jury était composé de Émilie Hache, Myriam Cottias, Bruno Villalba. Les rapporteurs étaient Justin Daniel.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Écologie -- Région caraïbe
Écologie humaine -- Région caraïbe
Postcolonialisme -- Région caraïbe
Thèses et écrits académiquesRésumé : La 4e de couverture indique : "Une colère rouge recouvre le ciel. Les vagues s'agitent, l'eau monte, les forêts tombent et les corps s'enfoncent dans ce sanguinaire gouffre marin. Les cieux tonnent encore devant ce spectacle : le monde est en pleine tempête. Derrière sa prétention d'universalité, la pensée environnementale s'est construite sur l'occultation des fondations coloniales, patriarcales et esclavagistes de la modernité. Face à la tempête, l'environnementalisme propose une arche de Noé qui cache dans son antre les inégalités sociales, les discriminations de genre, les racismes et les situations (post)coloniales, et abandonne à quai les demandes de justice. Penser l'écologie depuis le monde caribéen confronte cette absence à partir d'une région où impérialismes, esclavagismes et destructions de paysages nouèrent violemment les destins des Européens, Amérindiens et Africains. Le navire négrier rappelle que certains sont enchaînés à la cale et parfois jetés par-dessus bord à la seule idée de la tempête. Tel est l'impensé de la double fracture moderne qui sépare les questions coloniales des destructions environnementales. Or, panser cette fracture demeure la clé d'un "habiter ensemble" qui préserve les écosystèmes tout autant que les dignités. Telle est l'ambition d'une "écologie décoloniale" qui relie les enjeux écologiques à la quête d'un monde au sortir de l'esclavage et de la colonisation. Face à la tempête, ce livre est une invitation à construire un navire-monde où les rencontres des humains et non-humains sur le pont de la justice dessinent l'horizon d'un avenir commun." Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : http://theses.md.univ-paris-diderot.fr/FERDINAND_Malcom_1_va_20160930.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=235815 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Titre : Homo detritus : critique de la société du déchet / BU de l'IUT Type de document : document électronique Auteurs : Baptiste Monsaingeon (1983-...), Auteur Mention d'édition : Thèse de doctorat : Sociologie : Paris 1 : 2014 sous la direction de Alain Gras et de Sophie Poirot-Delpech Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2017 Collection : Anthropocène, ISSN 2270-2431 Importance : 279 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-135260-3 Prix : 19 € Note générale : Stockés dans des décharges, éparpillés à la surface des océans ou dispersés en particules invisibles dans l'atmosphère, les déchets sont désormais des traces indélébiles de notre présence sur terre autant que des symptômes de la crise du monde contemporain.
Résumé de la thèse [Ecole(s) Doctorale(s) : École doctorale Philosophie (Paris). - Partenaire(s) de recherche : Centre d'étude des techniques, des connaissances et des pratiques (Paris) (Equipe de recherche), Centre d'étude des techniques, des connaissances et des pratiques (Paris) (Laboratoire). - Autre(s) contribution(s) : Dominique Desjeux (Président du jury) ; Alain Gras, Sophie Poirot-Delpech, Bernadette Bensaude-Vincent, Gay Hawkins (Membre(s) du jury) ; Michelle Dobré (Rapporteur(s))] : Depuis une quarantaine d’années, les déchets ménagers et leur gestion sont assimilés à un enjeu écologique global. Alors que se popularisent les discours défendant une conception durable du développement, nos poubelles se multiplient. Qu’aspirons-nous à préserver lorsque, l’enjeu planétaire invoqué, un gouffre intermédiaire se dessine et nous invite à interroger ce lien communément admis entre déchets et pratiques de protection de l’environnement. Notre thèse consiste à affirmer que, sous couvert de leur « environnementalisation », et malgré l’inflation du temps et de l’espace qui leur sont consacrés, les déchets restent marqués par l’oubli des enjeux sociaux, techniques, matériels qui les caractérisent. Cet aveuglement, individuel et collectif, neutralise toute possibilité de penser le déchet comme indice : il voile sa fonction mémorielle et le condamne à n’être appréhendé que comme ce qui doit disparaître, que comme quantité de matière à contrôler, à éliminer. Le déchet durable est l’oxymore qui vise à problématiser cette multiplicité des modes de présence du déchet aujourd’hui. S’inspirant des figures du chiffonnier ou de l’archéologue, notre enquête socio-anthropologique s’applique à suivre ces déchets ménagers, depuis d’incertains océans de plastique jusqu’à quelques lombricomposteurs parisiens. A partir de cette confrontation à la matérialité, aux territoires et aux pratiques du déchu, il s’agit d’affirmer que là où la présence irrévocable des déchets est décrite comme un problème, la question de notre présence aux déchets se pose inévitablement.
Après les avoir enfouis et brûlés, il est devenu impératif de les réduire, de les réutiliser, de les recycler. À l'heure de l'économie circulaire, cette promesse d'un monde sans restes rappelle un mensonge de la tribu Chagga, évoqué par l'anthropologue Mary Douglas : les mâles adultes de cette tribu affirment ne jamais déféquer !
De même, ce livre montre que la quête de pureté et de maîtrise technicienne du déchet dans nos sociétés industrielles fabrique un aveuglement collectif. Il raconte comment Homo detritus, face cachée d'Homo oeconomicus, a cru sauver la planète en « bien jetant ».Langues : Français (fre) Mots-clés : Environnement / L'environnement et l'activité humaine / Pollutions Déchets -- Histoire Gestion intégrée Dans les représentations sociales Développement durable Économie circulaire Salubrité publique recyclage des déchets, stockage de déchets, valorisation des déchets, écologie, traitement des déchets Déchets -- Élimination anthropocène Matières plastiques -- Déchets -- Recyclage
Sociologie
Anthropologie
Gestion des déchets
Environnement
Recyclage
Vie quotidienne
Plastiques (matériaux)
Histoire de la chimie
Thèses et écrits académiquesRésumé : Cet essai rédigé par un sociologue a pour objectif de démontrer que la quête de pureté et de maîtrise technique du déchet dans nos sociétés industrielles fabrique un aveuglement collectif. Il dénonce notamment les impasses des approches gestionnaires du déchet et raconte comment « Homo detritus », face cachée d' « Homo œconomicus », a cru sauver la planète en « bien jetant » alors que, à l’heure de l’économie circulaire, cette promesse d’un monde sans restes est caractérisée par l’auteur comme un mensonge : stockés dans des décharges, éparpillés à la surface des océans ou dispersés en particules invisibles dans l'atmosphère, les déchets sont désormais des traces indélébiles de notre présence sur terre autant que des symptômes de la crise du monde contemporain.
Le chercheur, tout en présentant l'homo detritus qui se cache derrière l'homo economicus, montre la nécessité du tri sélectif, du recyclage mais insiste sur l'aveuglement collectif face à la quête de pureté.Note de contenu : Sommaire :
P. 7. Avant-propos
P. 13. Introduction
P. 33. 1. L'invention des déchets ou la normalisation de l'abandon
P. 79. 2. La société du recyclage ou comment les déchets sont devenus un problème environnemental
P. 119. 3. Un monde plastique ou la fabrique d'une éternité "prête-à-jeter"
P. 169. 4. Retour à la terre, les nouveaux chiffonniers
P. 207. 5. Demain, zéro-déchet ? Une critique des promesses de l'économie circulaire
P. 245. Conclusion : de l'éco-citoyen aux chiffonniers
Notes bibliogr. p. [257]-279
Un livre fort sur les impasses des approches « gestionnaires » de notre société du déchet.En ligne : http://www.theses.fr/2014PA010654/document Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=225091 Homo detritus : critique de la société du déchet / BU de l'IUT [document électronique] / Baptiste Monsaingeon (1983-...), Auteur . - Thèse de doctorat : Sociologie : Paris 1 : 2014 sous la direction de Alain Gras et de Sophie Poirot-Delpech . - Paris : Éditions du Seuil, 2017 . - 279 p. : couv. ill. en coul. ; 19 x 14 cm. - (Anthropocène, ISSN 2270-2431) .
ISBN : 978-2-02-135260-3 : 19 €
Stockés dans des décharges, éparpillés à la surface des océans ou dispersés en particules invisibles dans l'atmosphère, les déchets sont désormais des traces indélébiles de notre présence sur terre autant que des symptômes de la crise du monde contemporain.
Résumé de la thèse [Ecole(s) Doctorale(s) : École doctorale Philosophie (Paris). - Partenaire(s) de recherche : Centre d'étude des techniques, des connaissances et des pratiques (Paris) (Equipe de recherche), Centre d'étude des techniques, des connaissances et des pratiques (Paris) (Laboratoire). - Autre(s) contribution(s) : Dominique Desjeux (Président du jury) ; Alain Gras, Sophie Poirot-Delpech, Bernadette Bensaude-Vincent, Gay Hawkins (Membre(s) du jury) ; Michelle Dobré (Rapporteur(s))] : Depuis une quarantaine d’années, les déchets ménagers et leur gestion sont assimilés à un enjeu écologique global. Alors que se popularisent les discours défendant une conception durable du développement, nos poubelles se multiplient. Qu’aspirons-nous à préserver lorsque, l’enjeu planétaire invoqué, un gouffre intermédiaire se dessine et nous invite à interroger ce lien communément admis entre déchets et pratiques de protection de l’environnement. Notre thèse consiste à affirmer que, sous couvert de leur « environnementalisation », et malgré l’inflation du temps et de l’espace qui leur sont consacrés, les déchets restent marqués par l’oubli des enjeux sociaux, techniques, matériels qui les caractérisent. Cet aveuglement, individuel et collectif, neutralise toute possibilité de penser le déchet comme indice : il voile sa fonction mémorielle et le condamne à n’être appréhendé que comme ce qui doit disparaître, que comme quantité de matière à contrôler, à éliminer. Le déchet durable est l’oxymore qui vise à problématiser cette multiplicité des modes de présence du déchet aujourd’hui. S’inspirant des figures du chiffonnier ou de l’archéologue, notre enquête socio-anthropologique s’applique à suivre ces déchets ménagers, depuis d’incertains océans de plastique jusqu’à quelques lombricomposteurs parisiens. A partir de cette confrontation à la matérialité, aux territoires et aux pratiques du déchu, il s’agit d’affirmer que là où la présence irrévocable des déchets est décrite comme un problème, la question de notre présence aux déchets se pose inévitablement.
Après les avoir enfouis et brûlés, il est devenu impératif de les réduire, de les réutiliser, de les recycler. À l'heure de l'économie circulaire, cette promesse d'un monde sans restes rappelle un mensonge de la tribu Chagga, évoqué par l'anthropologue Mary Douglas : les mâles adultes de cette tribu affirment ne jamais déféquer !
De même, ce livre montre que la quête de pureté et de maîtrise technicienne du déchet dans nos sociétés industrielles fabrique un aveuglement collectif. Il raconte comment Homo detritus, face cachée d'Homo oeconomicus, a cru sauver la planète en « bien jetant ».
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Environnement / L'environnement et l'activité humaine / Pollutions Déchets -- Histoire Gestion intégrée Dans les représentations sociales Développement durable Économie circulaire Salubrité publique recyclage des déchets, stockage de déchets, valorisation des déchets, écologie, traitement des déchets Déchets -- Élimination anthropocène Matières plastiques -- Déchets -- Recyclage
Sociologie
Anthropologie
Gestion des déchets
Environnement
Recyclage
Vie quotidienne
Plastiques (matériaux)
Histoire de la chimie
Thèses et écrits académiquesRésumé : Cet essai rédigé par un sociologue a pour objectif de démontrer que la quête de pureté et de maîtrise technique du déchet dans nos sociétés industrielles fabrique un aveuglement collectif. Il dénonce notamment les impasses des approches gestionnaires du déchet et raconte comment « Homo detritus », face cachée d' « Homo œconomicus », a cru sauver la planète en « bien jetant » alors que, à l’heure de l’économie circulaire, cette promesse d’un monde sans restes est caractérisée par l’auteur comme un mensonge : stockés dans des décharges, éparpillés à la surface des océans ou dispersés en particules invisibles dans l'atmosphère, les déchets sont désormais des traces indélébiles de notre présence sur terre autant que des symptômes de la crise du monde contemporain.
Le chercheur, tout en présentant l'homo detritus qui se cache derrière l'homo economicus, montre la nécessité du tri sélectif, du recyclage mais insiste sur l'aveuglement collectif face à la quête de pureté.Note de contenu : Sommaire :
P. 7. Avant-propos
P. 13. Introduction
P. 33. 1. L'invention des déchets ou la normalisation de l'abandon
P. 79. 2. La société du recyclage ou comment les déchets sont devenus un problème environnemental
P. 119. 3. Un monde plastique ou la fabrique d'une éternité "prête-à-jeter"
P. 169. 4. Retour à la terre, les nouveaux chiffonniers
P. 207. 5. Demain, zéro-déchet ? Une critique des promesses de l'économie circulaire
P. 245. Conclusion : de l'éco-citoyen aux chiffonniers
Notes bibliogr. p. [257]-279
Un livre fort sur les impasses des approches « gestionnaires » de notre société du déchet.En ligne : http://www.theses.fr/2014PA010654/document Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=225091 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire PermalinkPermalinkPermalinkPermalink"Nous sommes des révolutionnaires malgré nous" : textes pionniers de l'écologie politique / BU de Droit / Bernard Charbonneau
![]()
![]()
PermalinkPermalinkLa part sauvage du monde : penser la nature dans l'Anthropocène / BU Sciences-Pharmacie / Virginie Maris
![]()
![]()
PermalinkPermalink