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De la carte de séjour à la carte syndicale / Lucie Tourette in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses, 775 (octobre 2018)
[article]
Titre : De la carte de séjour à la carte syndicale : dix ans après les grèves de sans-papiers Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucie Tourette, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 16-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : Régularisation des sans-papiers 331.109.32 Grèves Contestations 331.105.44 Syndicats Syndicalisme Résumé : Les lendemains de grève sont souvent amers et démobilisateurs. Les travailleurs sans papiers qui avaient combattu avec audace pour leur régularisation en 2008 n’y ont pas échappé. Certains sont restés proches des syndicats, d’autres s’en sont éloignés. Leurs trajectoires, très diverses, montrent le lien entre luttes collectives et conditions d’existence individuelles. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=205743
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses > 775 (octobre 2018) . - p. 16-17[article] De la carte de séjour à la carte syndicale : dix ans après les grèves de sans-papiers [texte imprimé] / Lucie Tourette, Auteur . - 2018 . - p. 16-17.
Langues : Français (fre)
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses > 775 (octobre 2018) . - p. 16-17
Mots-clés : Régularisation des sans-papiers 331.109.32 Grèves Contestations 331.105.44 Syndicats Syndicalisme Résumé : Les lendemains de grève sont souvent amers et démobilisateurs. Les travailleurs sans papiers qui avaient combattu avec audace pour leur régularisation en 2008 n’y ont pas échappé. Certains sont restés proches des syndicats, d’autres s’en sont éloignés. Leurs trajectoires, très diverses, montrent le lien entre luttes collectives et conditions d’existence individuelles. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=205743
[article]
Titre : Ouh, la grève ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Felice DASSETTO, Auteur Année de publication : décembre 2005 Article en page(s) : pp. 5-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : 321 Formes de l'organisation politique Inégalités sociales / Précarité 33(493) Economie politique et sociale de la Belgique 331.109.32 Grèves Contestations 369 Assurance sociale. Sécurité sociale Résumé : Les grèves du mois d’octobre ont suscité des débats. Ce qui est frappant, c’est que ces débats ont moins porté sur les raisons et le contenu de ce conflit social que sur le fait même qu’il y ait eu une grève. Cela pourrait révéler quelque nœud social. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=115025
in La Revue Nouvelle / Cairn.info > 12 (décembre 2005) . - pp. 5-8[article] Ouh, la grève ! [texte imprimé] / Felice DASSETTO, Auteur . - décembre 2005 . - pp. 5-8.
Langues : Français (fre)
in La Revue Nouvelle / Cairn.info > 12 (décembre 2005) . - pp. 5-8
Mots-clés : 321 Formes de l'organisation politique Inégalités sociales / Précarité 33(493) Economie politique et sociale de la Belgique 331.109.32 Grèves Contestations 369 Assurance sociale. Sécurité sociale Résumé : Les grèves du mois d’octobre ont suscité des débats. Ce qui est frappant, c’est que ces débats ont moins porté sur les raisons et le contenu de ce conflit social que sur le fait même qu’il y ait eu une grève. Cela pourrait révéler quelque nœud social. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=115025 Le "social" en questions in La Revue Nouvelle / Cairn.info, 6 (juin 2006)
[article]
Titre : Le "social" en questions : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : juin 2006 Article en page(s) : pp. 14-61 Langues : Français (fre) Mots-clés : 316 Sociologie 33(493) Economie politique et sociale de la Belgique 331.109.32 Grèves Contestations 061.2 Institutions privées . asbl . Associations . ONG Organisation non-gouvernementale 331.105.44 Syndicats Syndicalisme 328.184 Groupes de pression politique. Lobbies. Action collective 33(493=40) Economie politique et sociale de la Wallonie / Communauté française de Belgique Résumé : Intro. — Théo Hachez
Les renouveaux de l’action collective — Michel Molitor
Face aux mutations et aux ruptures économiques, sociales, culturelles, un sentiment de perte domine : le compromis issu du Pacte social de 1944 est mis à mal. Flexibilité, compétitivité, dérégulations sont devenues les maitres mots et, dans ce contexte, le syndicalisme qui avait directement participé à la modernisation de la société peine à trouver de nouvelles capacités d’interprétation et d’action. Comment relancer l’action collective ? En faisant son deuil de la « vieille société » industrielle, en repensant l’action syndicale à partir des situations de précarité et d’exclusion, en passant d’un syndicalisme centré sur le travail à un syndicalisme de citoyens qui prenne en compte l’ensemble de la vie sociale et fasse fond sur une société en réseau. Il convient de se désengager des repères traditionnels, d’articuler les exigences de l’action collective et la dynamique de l’individu, de rendre du crédit aux institutions de la vie collective par des projets.
La conflictualité en Belgique entre deux grèves générales — Michel Capron
Quelles sont les tendances lourdes de l’évolution de la conflictualité en Belgique entre deux grèves générales : celle de la fin 1993 contre le Plan global du gouvernement Dehaene et celle de la fin 2005 contre le Pacte de solidarité entre générations du gouvernement Verhofstadt II ? Les conflits ont été moins nombreux que dans les années septante et quatre-vingt, ce qui relativise l’affirmation selon laquelle la Wallonie serait sans cesse en grève. En réalité, ils ont été davantage le fait de la Flandre… Les mutations du monde industriel ont un impact sur les conflits sociaux réduits, dès lors, à n’être que défensifs. Le monde du travail connait un déficit de solidarité qui se marque par la fragmentation des grèves et un rapport de forces qui lui est défavorable.
Le syndicalisme dans le non-marchand — Jean-Marie Léonard
Le non-marchand, et plus particulièrement les soins de santé privés, s’est transformé au cours des trente dernières années et il est marqué par l’influence de logiques relevant du secteur marchand. La concertation sociale s’effectue dans le secteur des soins de santé de manière spécifique, mais elle a permis une amélioration lente des conditions de travail et de rémunération et une reconnaissance publique.
Syndicalisme, action collective et questions sociologiques — Georges Liénard et Pierre Reman
Diverses théories sociologiques tentent de comprendre l’action collective. L’action collective ici concernée est celle des relations entre syndicats, employeurs, gouvernement ainsi que celle des relations entre la société civile et la société politique. Cinq questions peuvent interroger ces théories. Le travail sociologique, tout en ayant son autonomie propre, est important pour expliquer les facteurs qui contribuent à la construction de rapports sociaux qui restreignent les relations de domination et d’injustice plutôt que de les étendre ou de les renouveler.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=114929
in La Revue Nouvelle / Cairn.info > 6 (juin 2006) . - pp. 14-61[article] Le "social" en questions : dossier [texte imprimé] . - juin 2006 . - pp. 14-61.
Langues : Français (fre)
in La Revue Nouvelle / Cairn.info > 6 (juin 2006) . - pp. 14-61
Mots-clés : 316 Sociologie 33(493) Economie politique et sociale de la Belgique 331.109.32 Grèves Contestations 061.2 Institutions privées . asbl . Associations . ONG Organisation non-gouvernementale 331.105.44 Syndicats Syndicalisme 328.184 Groupes de pression politique. Lobbies. Action collective 33(493=40) Economie politique et sociale de la Wallonie / Communauté française de Belgique Résumé : Intro. — Théo Hachez
Les renouveaux de l’action collective — Michel Molitor
Face aux mutations et aux ruptures économiques, sociales, culturelles, un sentiment de perte domine : le compromis issu du Pacte social de 1944 est mis à mal. Flexibilité, compétitivité, dérégulations sont devenues les maitres mots et, dans ce contexte, le syndicalisme qui avait directement participé à la modernisation de la société peine à trouver de nouvelles capacités d’interprétation et d’action. Comment relancer l’action collective ? En faisant son deuil de la « vieille société » industrielle, en repensant l’action syndicale à partir des situations de précarité et d’exclusion, en passant d’un syndicalisme centré sur le travail à un syndicalisme de citoyens qui prenne en compte l’ensemble de la vie sociale et fasse fond sur une société en réseau. Il convient de se désengager des repères traditionnels, d’articuler les exigences de l’action collective et la dynamique de l’individu, de rendre du crédit aux institutions de la vie collective par des projets.
La conflictualité en Belgique entre deux grèves générales — Michel Capron
Quelles sont les tendances lourdes de l’évolution de la conflictualité en Belgique entre deux grèves générales : celle de la fin 1993 contre le Plan global du gouvernement Dehaene et celle de la fin 2005 contre le Pacte de solidarité entre générations du gouvernement Verhofstadt II ? Les conflits ont été moins nombreux que dans les années septante et quatre-vingt, ce qui relativise l’affirmation selon laquelle la Wallonie serait sans cesse en grève. En réalité, ils ont été davantage le fait de la Flandre… Les mutations du monde industriel ont un impact sur les conflits sociaux réduits, dès lors, à n’être que défensifs. Le monde du travail connait un déficit de solidarité qui se marque par la fragmentation des grèves et un rapport de forces qui lui est défavorable.
Le syndicalisme dans le non-marchand — Jean-Marie Léonard
Le non-marchand, et plus particulièrement les soins de santé privés, s’est transformé au cours des trente dernières années et il est marqué par l’influence de logiques relevant du secteur marchand. La concertation sociale s’effectue dans le secteur des soins de santé de manière spécifique, mais elle a permis une amélioration lente des conditions de travail et de rémunération et une reconnaissance publique.
Syndicalisme, action collective et questions sociologiques — Georges Liénard et Pierre Reman
Diverses théories sociologiques tentent de comprendre l’action collective. L’action collective ici concernée est celle des relations entre syndicats, employeurs, gouvernement ainsi que celle des relations entre la société civile et la société politique. Cinq questions peuvent interroger ces théories. Le travail sociologique, tout en ayant son autonomie propre, est important pour expliquer les facteurs qui contribuent à la construction de rapports sociaux qui restreignent les relations de domination et d’injustice plutôt que de les étendre ou de les renouveler.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=114929 Stakingen in België en Nederland, 1940-1941 / Dirk Luyten in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) / BU de Lettres, salle des périodiques, 15 (2005)
[article]
Titre : Stakingen in België en Nederland, 1940-1941 Type de document : texte imprimé Auteurs : Dirk Luyten, Auteur Année de publication : 2005 Article en page(s) : pp. 149-175 Note générale : Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais Langues : Néerlandais (dut) Mots-clés : 94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale 331.109.32 Grèves Contestations 94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle 94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale 94(100)"1939/45" Vie quotidenne Occupation Seconde Guerre mondiale 94(492) Histoire des Pays-Bas Résumé : Les grèves en Belgique et aux Pays-Bas, 1940-1941
Tant la Belgique que les Pays-Bas ont été confrontés à des grèves importantes en 1941 : la grève de février aux Pays-Bas et la "grève des 100.000" en Belgique. Dans cet article, les deux mouvements de grèves sont comparés et placés dans un cadre plus large portant sur l'analyse comparée des grèves au cours des deux premières années d'occupation dans les deux pays. Sont en particulier examinés les causes et les effets de ces interruptions de travail.
Une première constatation, c'est que l'on recourt nettement moins à la grève aux Pays-Bas qu'en Belgique (respectivement 10 grèves et 54.390 grévistes aux Pays-Bas pour 120 grèves et 111.853 grévistes en Belgique). En outre, en Belgique, les grévistes proviennent des secteurs clé de l'économie, en particulier l'industrie minière, tandis qu'aux Pays-Bas, les travailleurs issus de secteurs plus périphériques (mise au travail des chômeurs, communes) sont surreprésentés.
Ce modèle nettement divergent en matière de grève s'explique par les différences de situations en termes de ravitaillement, par d'autres rapports institutionnels et par l'état d'esprit éloigné des employeurs. L'approvisionnement alimentaire est bien organisé aux Pays-Bas si bien qu'il ne constitue pas un motif pour se mettre en grève. En Belgique, le ravitaillement est bancal et très tôt déjà les gens doivent recourir au marché noir pour se procurer la nourriture nécessaire. La défense du pouvoir d'achat constitue dès lors une des raisons principales pour arrêter le travail. Les employeurs néerlandais, qui profitent de l'embellie économique observée en 1940-1941, paraissent disposés à consentir des augmentations salariales à leur personnel, notamment pour pouvoir faire face à la pénurie sur le marché du travail. Les employeurs belges, par contre, se montrent hostiles à des augmentations salariales et un certain nombre d'entre eux, notamment dans l'industrie charbonnière, profitent de la situation pour réduire les avantages sociaux. Cet état de fait suscite des protestations qui ne peuvent, comme c'était le cas avant-guerre, être canalisées par la concertation : les comités paritaires sont à l'arrêt. Les syndicats doivent cesser leurs activités et aucun contact n'est noué avec l'Union des Travailleurs manuels et intellectuels. Aux Pays-Bas, le Collège des négociateurs d'État continue de fonctionner, les syndicats confessionnels poursuivent leurs activités et les contacts entre les employeurs et les employés n'ont jamais été rompus. Le nombre de conventions collectives et de travailleurs assujettis à ces conventions s'est même accru durant les deux premières années de guerre.
La "grève des 100.000" s'inscrit dans le prolongement des actions antérieures tandis que la grève de février a un caractère plus politique. Parce qu'elle est plus difficile à canaliser et parce qu'elle se transforme en insurrection populaire, elle peut davantage être perçue comme une action anti-allemande que la "grève des 100.000" qui porte en premier lieu sur le pouvoir d'achat et vise surtout les patrons et les autorités belges. Les effets des deux grèves sont dès lors également très différents. Les retombées politiques et sociétales de la grève de février sont restées limitées tandis que "la grève des 100.000" a donné lieu à une augmentation générale des salaires de 8 % et confronté l'Union des Travailleurs manuels et intellectuels à un problème de légitimité. Elle a en outre été le point de départ d'une normalisation des rapports entre les patrons et les dirigeants syndicaux d'avant-guerre, qui constitue en partie une réponse à la création d'un syndicat clandestin radical d'inspiration communiste dans les entreprises après la grève.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=113904
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) / BU de Lettres, salle des périodiques > 15 (2005) . - pp. 149-175[article] Stakingen in België en Nederland, 1940-1941 [texte imprimé] / Dirk Luyten, Auteur . - 2005 . - pp. 149-175.
Article en néerlandais - Résumé en français et en anglais
Langues : Néerlandais (dut)
in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) / BU de Lettres, salle des périodiques > 15 (2005) . - pp. 149-175
Mots-clés : 94(100)"1939/45" Histoire Seconde Guerre mondiale 331.109.32 Grèves Contestations 94(493)"19" Histoire de la Belgique au XXe siècle 94(100)"1939/45" Résistance Seconde Guerre mondiale 94(100)"1939/45" Vie quotidenne Occupation Seconde Guerre mondiale 94(492) Histoire des Pays-Bas Résumé : Les grèves en Belgique et aux Pays-Bas, 1940-1941
Tant la Belgique que les Pays-Bas ont été confrontés à des grèves importantes en 1941 : la grève de février aux Pays-Bas et la "grève des 100.000" en Belgique. Dans cet article, les deux mouvements de grèves sont comparés et placés dans un cadre plus large portant sur l'analyse comparée des grèves au cours des deux premières années d'occupation dans les deux pays. Sont en particulier examinés les causes et les effets de ces interruptions de travail.
Une première constatation, c'est que l'on recourt nettement moins à la grève aux Pays-Bas qu'en Belgique (respectivement 10 grèves et 54.390 grévistes aux Pays-Bas pour 120 grèves et 111.853 grévistes en Belgique). En outre, en Belgique, les grévistes proviennent des secteurs clé de l'économie, en particulier l'industrie minière, tandis qu'aux Pays-Bas, les travailleurs issus de secteurs plus périphériques (mise au travail des chômeurs, communes) sont surreprésentés.
Ce modèle nettement divergent en matière de grève s'explique par les différences de situations en termes de ravitaillement, par d'autres rapports institutionnels et par l'état d'esprit éloigné des employeurs. L'approvisionnement alimentaire est bien organisé aux Pays-Bas si bien qu'il ne constitue pas un motif pour se mettre en grève. En Belgique, le ravitaillement est bancal et très tôt déjà les gens doivent recourir au marché noir pour se procurer la nourriture nécessaire. La défense du pouvoir d'achat constitue dès lors une des raisons principales pour arrêter le travail. Les employeurs néerlandais, qui profitent de l'embellie économique observée en 1940-1941, paraissent disposés à consentir des augmentations salariales à leur personnel, notamment pour pouvoir faire face à la pénurie sur le marché du travail. Les employeurs belges, par contre, se montrent hostiles à des augmentations salariales et un certain nombre d'entre eux, notamment dans l'industrie charbonnière, profitent de la situation pour réduire les avantages sociaux. Cet état de fait suscite des protestations qui ne peuvent, comme c'était le cas avant-guerre, être canalisées par la concertation : les comités paritaires sont à l'arrêt. Les syndicats doivent cesser leurs activités et aucun contact n'est noué avec l'Union des Travailleurs manuels et intellectuels. Aux Pays-Bas, le Collège des négociateurs d'État continue de fonctionner, les syndicats confessionnels poursuivent leurs activités et les contacts entre les employeurs et les employés n'ont jamais été rompus. Le nombre de conventions collectives et de travailleurs assujettis à ces conventions s'est même accru durant les deux premières années de guerre.
La "grève des 100.000" s'inscrit dans le prolongement des actions antérieures tandis que la grève de février a un caractère plus politique. Parce qu'elle est plus difficile à canaliser et parce qu'elle se transforme en insurrection populaire, elle peut davantage être perçue comme une action anti-allemande que la "grève des 100.000" qui porte en premier lieu sur le pouvoir d'achat et vise surtout les patrons et les autorités belges. Les effets des deux grèves sont dès lors également très différents. Les retombées politiques et sociétales de la grève de février sont restées limitées tandis que "la grève des 100.000" a donné lieu à une augmentation générale des salaires de 8 % et confronté l'Union des Travailleurs manuels et intellectuels à un problème de légitimité. Elle a en outre été le point de départ d'une normalisation des rapports entre les patrons et les dirigeants syndicaux d'avant-guerre, qui constitue en partie une réponse à la création d'un syndicat clandestin radical d'inspiration communiste dans les entreprises après la grève.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=113904 Les "casseurs" de Hongkong, héros de la démocratie / Martine Bulard in Manière de voir (Ivry-sur-Seine). Le Monde diplomatique / Europresse, 168 (décembre 2019-janvier 2020)
Changements de régime clés en main / Ana Otasevic in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses, n° 789 (décembre 2019)
PermalinkLes écologistes tentés par l'action directe / Claire Lecoeuvre in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses, n° 788 (novembre 2019)
PermalinkRetraites, la réforme de trop in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses, n° 790 (janvier 2020)
PermalinkDe artsenstaking van 1964 / Klaartje Schrijvers in Cahiers d'Histoire du Temps Présent (CHTP) / BU de Lettres, salle des périodiques, 16 (novembre 2005)
PermalinkBarreau de bois, barreau de fer / MICHEL SCREVENS in C4 : le magazine qui nous pend au nez, 79 (Décembre 2000)
Permalink"Bon d'accord, d'accord. Mais que faire?" / Collectif Stop Tafta 31 in Manière de voir (Ivry-sur-Seine). Le Monde diplomatique / Europresse, 141 (06/2015)
PermalinkDe la couleur des marches in C4 : le magazine qui nous pend au nez, 71 (février 2000)
PermalinkEconomie : un univers cadencé + Renault-Vilvorde : j'étais comme un chien attaché à une chaîne / ERIC MAHIEU in C4 : le magazine qui nous pend au nez, 45 (Avril 1997)
PermalinkPermalinkMélange de crimes et délits / FERNAND FYON in C4 : le magazine qui nous pend au nez, 79 (Décembre 2000)
PermalinkPour un dialogue social vivant et respectueux / Bernard Nyssen in La Revue Nouvelle / Cairn.info, 11 (novembre 2005)
PermalinkPrisons : l'aloi du silence / Isabelle Marlier in C4 : le magazine qui nous pend au nez, 55 (mars 1998)
PermalinkLa répression de la grande grève des mineurs du Nord-Pas-de-Calais de mai-juin 1941 et le "convoi des mineurs" / Laurent Thiery in Témoigner. Entre histoire et mémoire / revues.org, 101 (octobre-décembre 2008)
PermalinkRévolte des chômeurs dans l'hexagone / AUDREY LHOEST in C4 : le magazine qui nous pend au nez, 54 (février 1998)
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