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Le robot, coupable idéal / Philipp Staab in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses, n° 789 (décembre 2019)
[article]
Titre : Le robot, coupable idéal Type de document : texte imprimé Auteurs : Philipp Staab, Auteur ; Florian Butollo, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 3 Langues : Français (fre) Mots-clés : 004 Informatique / Nouvelles Technologie / Internet 004 Informatique / Nouvelles Technologie / Internet 331.5 Marché de l'emploi 331.5 Marché de l'emploi 331 Travail Organisation du travail 331 Travail Organisation du travail 331.2 Salaires Rémunérations 331.2 Salaires Rémunérations 338 Politique économique 338 Politique économique Résumé : Introduction
Depuis le début des années 2010, une série de rapports alarmistes prophétisent la disparition d’un tiers, voire de la moitié, des emplois occupés par des humains et leur remplacement par des machines. À les croire, le robot serait l’ennemi numéro un du travailleur. Mais faut-il blâmer les nouvelles technologies, ou les politiques économiques qui imposent bas salaires et délocalisations ?Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=238057
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses > n° 789 (décembre 2019) . - p. 3[article] Le robot, coupable idéal [texte imprimé] / Philipp Staab, Auteur ; Florian Butollo, Auteur . - 2019 . - p. 3.
Langues : Français (fre)
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses > n° 789 (décembre 2019) . - p. 3
Mots-clés : 004 Informatique / Nouvelles Technologie / Internet 004 Informatique / Nouvelles Technologie / Internet 331.5 Marché de l'emploi 331.5 Marché de l'emploi 331 Travail Organisation du travail 331 Travail Organisation du travail 331.2 Salaires Rémunérations 331.2 Salaires Rémunérations 338 Politique économique 338 Politique économique Résumé : Introduction
Depuis le début des années 2010, une série de rapports alarmistes prophétisent la disparition d’un tiers, voire de la moitié, des emplois occupés par des humains et leur remplacement par des machines. À les croire, le robot serait l’ennemi numéro un du travailleur. Mais faut-il blâmer les nouvelles technologies, ou les politiques économiques qui imposent bas salaires et délocalisations ?Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=238057 Retraites, la réforme de trop in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses, n° 790 (janvier 2020)
[article]
Titre : Retraites, la réforme de trop : dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 11-17 Langues : Français (fre) Mots-clés : 369.5 Assurance vieillesse. Pensions 369.5 Assurance vieillesse. Pensions 347-053.2 Droit des jeunes 347-053.2 Droit des jeunes 331.2 Salaires Rémunérations 331.2 Salaires Rémunérations 351.83 Législation du travail 351.83 Législation du travail 34 Loi Droit Jurisprudence 34 Loi Droit Jurisprudence 331.109.32 Grèves Contestations 331.109.32 Grèves Contestations Résumé : Introduction
La couleur politique ne fait rien à l’affaire : les gouvernements successifs enchaînent les réformes des retraites, aggravant les régressions au point d’ouvrir toujours plus la porte aux fonds de pension (lire « BlackRock, la finance au chevet des retraités français »). Il serait temps de reconsidérer complètement ce moment particulier de la vie. Et de repenser l’ensemble de la carrière, en apportant, par exemple, un salaire de base aux étudiants (« En 1951, l’Assemblée faillit adopter le salaire étudiant »). En attendant, les salariés, dont le malaise au travail va grandissant, ne veulent pas reculer l’âge de leur départ (« Pas un jour de plus au travail »), ni laisser leurs enfants sans droits. Ce rejet de l’individualisme (« Briser le collectif ») suscite des manifestations durement réprimées (« Le retour des lois scélérates ») qui entrent en résonance avec d’autres mobilisations dans le monde (« De Santiago à Paris, les peuples dans la rue »).Note de contenu : Contient
- Briser le collectif / par MARTINE BULARD.
- Un statut nommé désir / par NICOLAS CASTEL ET BERNARD FRIOT.
- En 1951, l'Assemblée faillit adopter le salaire étudiant / par AURELIEN CASTA.
- Le retour des lois scélérates / par RAPHAËL KEMPF.
- De Santiago à Paris, les peuples dans la rue / suite de l'article de SERGE HALIMI.
- Pas un jour de plus au travail / par DANIELE LINHART.
- BlackRock, la finance au chevet des retraités français / SYLVAIN LEDER.
Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=238063
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses > n° 790 (janvier 2020) . - p. 11-17[article] Retraites, la réforme de trop : dossier [texte imprimé] . - 2020 . - p. 11-17.
Langues : Français (fre)
in Le Monde Diplomatique (Paris. 1954) : mensuel critique d’informations et d’analyses > n° 790 (janvier 2020) . - p. 11-17
Mots-clés : 369.5 Assurance vieillesse. Pensions 369.5 Assurance vieillesse. Pensions 347-053.2 Droit des jeunes 347-053.2 Droit des jeunes 331.2 Salaires Rémunérations 331.2 Salaires Rémunérations 351.83 Législation du travail 351.83 Législation du travail 34 Loi Droit Jurisprudence 34 Loi Droit Jurisprudence 331.109.32 Grèves Contestations 331.109.32 Grèves Contestations Résumé : Introduction
La couleur politique ne fait rien à l’affaire : les gouvernements successifs enchaînent les réformes des retraites, aggravant les régressions au point d’ouvrir toujours plus la porte aux fonds de pension (lire « BlackRock, la finance au chevet des retraités français »). Il serait temps de reconsidérer complètement ce moment particulier de la vie. Et de repenser l’ensemble de la carrière, en apportant, par exemple, un salaire de base aux étudiants (« En 1951, l’Assemblée faillit adopter le salaire étudiant »). En attendant, les salariés, dont le malaise au travail va grandissant, ne veulent pas reculer l’âge de leur départ (« Pas un jour de plus au travail »), ni laisser leurs enfants sans droits. Ce rejet de l’individualisme (« Briser le collectif ») suscite des manifestations durement réprimées (« Le retour des lois scélérates ») qui entrent en résonance avec d’autres mobilisations dans le monde (« De Santiago à Paris, les peuples dans la rue »).Note de contenu : Contient
- Briser le collectif / par MARTINE BULARD.
- Un statut nommé désir / par NICOLAS CASTEL ET BERNARD FRIOT.
- En 1951, l'Assemblée faillit adopter le salaire étudiant / par AURELIEN CASTA.
- Le retour des lois scélérates / par RAPHAËL KEMPF.
- De Santiago à Paris, les peuples dans la rue / suite de l'article de SERGE HALIMI.
- Pas un jour de plus au travail / par DANIELE LINHART.
- BlackRock, la finance au chevet des retraités français / SYLVAIN LEDER.
Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=238063 Allocations minimum universelle ou revenu d'existence garanti ? / RAF PIRLOT in C4 : le magazine qui nous pend au nez, 107-108 (mai-juin 2003)
Le Salariat comme norme universelle / RAF PIRLOT in C4 : le magazine qui nous pend au nez, 107-108 (mai-juin 2003)
[article]
Titre : Le Salariat comme norme universelle : dossier des hommes trav aïent Type de document : texte imprimé Auteurs : RAF PIRLOT Année de publication : mai-juin 2003 Article en page(s) : p. 4 Langues : Français (fre) Mots-clés : 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs 331 Travail Organisation du travail 331.2 Salaires Rémunérations Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=114537
in C4 : le magazine qui nous pend au nez > 107-108 (mai-juin 2003) . - p. 4[article] Le Salariat comme norme universelle : dossier des hommes trav aïent [texte imprimé] / RAF PIRLOT . - mai-juin 2003 . - p. 4.
Langues : Français (fre)
in C4 : le magazine qui nous pend au nez > 107-108 (mai-juin 2003) . - p. 4
Mots-clés : 17 Morale Ethique Philosophie pratique Valeurs 331 Travail Organisation du travail 331.2 Salaires Rémunérations Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=114537 Le travail au long cours / Robert Castel in Vacarme : entre art et politique, entre savants et militants / BM de Tours et Cairn.info, 40 (été 2007)
[article]
Titre : Le travail au long cours Type de document : texte imprimé Auteurs : Robert Castel (1933-2013), Personne interviewée ; Stany Grelet, Auteur ; Victoire Patrouillard, Auteur ; Gilles Chantraine (1975-...), Auteur ; Carine Eff, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : pp. 4-12 Langues : Français (fre) Mots-clés : 331 Travail Organisation du travail 33(44) Economie politique et sociale de la France 331.2 Salaires Rémunérations 0(082) Critique / extrait document / citations 929 Castel, Robert (1933-....) Résumé : Extrait :
1995. Alain Juppé, Premier ministre d’un président élu sur la promesse de réduire la « fracture sociale », s’attaque aux solidarités collectives. Un mouvement social sans précédent depuis 1968 le tient en échec. La même année, Robert Castel achève Les Métamorphoses de la question sociale. Magistrale, cette « chronique du salariat » sur six siècles impose simultanément son auteur comme un sociologue classique, à hauteur d’autres grands récits de la modernité — ceux de Marx, Durkheim, Weber, ou Elias — et comme l’un des protagonistes majeurs du débat social. L’ouvrage assoit en effet une triple prise de position, théorique et politique, progressivement affûtée dans la décennie qui suit. Contre la casse de l’« État social », expression que Robert Castel préfère à celle, historiquement péjorative, d’« État providence » : faire la généalogie du salariat, c’est à la fois suivre le processus séculaire par lequel celui-ci, de condition indigne, est devenu la clef de voûte de l’organisation sociale, et prendre la mesure de sa fragilisation récente. Contre une représentation des malheurs sociaux en termes d’exclusion : si « fracture sociale » il y a, celle-ci n’est pas une faille séparant les marges du centre, les exclus des inclus, les chômeurs et les travailleurs en poste, les précaires et les stables, mais une lézarde courant le long du pilier central de la « société salariale », dont tout l’édifice se trouve ébranlé. Et contre les prophéties annonçant la « fin du travail », pour s’en réjouir ou pour s’en plaindre : ce n’est pas le travail qui disparaît, mais sa forme instituée qui s’effrite, et avec elle les droits et les protections qui y étaient accrochés.
2007. Les deux principaux candidats à la présidence de la République se disputent l’étendard du travail. La campagne se joue sur la crise de la société salariale, et sur deux manières d’en sortir. Le verdict est sans appel. Le 22 avril, la gauche qui défilait en 1995 est balayée. Le 6 mai, une droite l’emporte qui déconnecte travail et protection sociale (puisque les heures supplé-mentaires, panache blanc du vainqueur, seront exemptes de cotisations), dresse les salariés contre les assistés, et promet la suppression du CDI. Il a visiblement manqué à la gauche la capacité de réinventer les sécurités collectives dont Castel avait tracé l’histoire et diagnostiqué l’affaissement : c’est bien à ce titre que nous l’interrogions, un mois avant le premier tour. Mais nous voulions également rencontrer un autre Robert Castel, moins connu, plus ancien, mais pas moins actuel. Car jusqu’en 1981, l’auteur des Métamorphoses travaille sur la maladie mentale, et prend part à la critique des institutions psychiatriques. C’est le pari de cet entretien et son fil conducteur : il s’agissait d’y inviter Robert Castel à faire le pont entre les deux périodes de son oeuvre. Non seulement pour reconstituer un itinéraire intellectuel et suivre une succession de combats, mais parce qu’il se pourrait fort que les traits les plus saillants et les plus agressifs du nouveau pouvoir — redresser les conduites, mettre les chômeurs au travail — aient quelque chose à voir avec les transformations qu’il observait dans le champ de la psychiatrie à la fin des années 1970. Là, se mettait en place une gestion des « populations à risques » qui pourrait bien devenir le paradigme des politiques à venir en matière de prévention de la délinquance et de traitement du chômage. De la maladie mentale au salariat, donc, et retour : nous remercions Robert Castel de s’être si aimablement prêté à l’exercice.
Entretien réalisé le 20 mars 2007.
Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=167307
in Vacarme : entre art et politique, entre savants et militants / BM de Tours et Cairn.info > 40 (été 2007) . - pp. 4-12[article] Le travail au long cours [texte imprimé] / Robert Castel (1933-2013), Personne interviewée ; Stany Grelet, Auteur ; Victoire Patrouillard, Auteur ; Gilles Chantraine (1975-...), Auteur ; Carine Eff, Auteur . - 2007 . - pp. 4-12.
Langues : Français (fre)
in Vacarme : entre art et politique, entre savants et militants / BM de Tours et Cairn.info > 40 (été 2007) . - pp. 4-12
Mots-clés : 331 Travail Organisation du travail 33(44) Economie politique et sociale de la France 331.2 Salaires Rémunérations 0(082) Critique / extrait document / citations 929 Castel, Robert (1933-....) Résumé : Extrait :
1995. Alain Juppé, Premier ministre d’un président élu sur la promesse de réduire la « fracture sociale », s’attaque aux solidarités collectives. Un mouvement social sans précédent depuis 1968 le tient en échec. La même année, Robert Castel achève Les Métamorphoses de la question sociale. Magistrale, cette « chronique du salariat » sur six siècles impose simultanément son auteur comme un sociologue classique, à hauteur d’autres grands récits de la modernité — ceux de Marx, Durkheim, Weber, ou Elias — et comme l’un des protagonistes majeurs du débat social. L’ouvrage assoit en effet une triple prise de position, théorique et politique, progressivement affûtée dans la décennie qui suit. Contre la casse de l’« État social », expression que Robert Castel préfère à celle, historiquement péjorative, d’« État providence » : faire la généalogie du salariat, c’est à la fois suivre le processus séculaire par lequel celui-ci, de condition indigne, est devenu la clef de voûte de l’organisation sociale, et prendre la mesure de sa fragilisation récente. Contre une représentation des malheurs sociaux en termes d’exclusion : si « fracture sociale » il y a, celle-ci n’est pas une faille séparant les marges du centre, les exclus des inclus, les chômeurs et les travailleurs en poste, les précaires et les stables, mais une lézarde courant le long du pilier central de la « société salariale », dont tout l’édifice se trouve ébranlé. Et contre les prophéties annonçant la « fin du travail », pour s’en réjouir ou pour s’en plaindre : ce n’est pas le travail qui disparaît, mais sa forme instituée qui s’effrite, et avec elle les droits et les protections qui y étaient accrochés.
2007. Les deux principaux candidats à la présidence de la République se disputent l’étendard du travail. La campagne se joue sur la crise de la société salariale, et sur deux manières d’en sortir. Le verdict est sans appel. Le 22 avril, la gauche qui défilait en 1995 est balayée. Le 6 mai, une droite l’emporte qui déconnecte travail et protection sociale (puisque les heures supplé-mentaires, panache blanc du vainqueur, seront exemptes de cotisations), dresse les salariés contre les assistés, et promet la suppression du CDI. Il a visiblement manqué à la gauche la capacité de réinventer les sécurités collectives dont Castel avait tracé l’histoire et diagnostiqué l’affaissement : c’est bien à ce titre que nous l’interrogions, un mois avant le premier tour. Mais nous voulions également rencontrer un autre Robert Castel, moins connu, plus ancien, mais pas moins actuel. Car jusqu’en 1981, l’auteur des Métamorphoses travaille sur la maladie mentale, et prend part à la critique des institutions psychiatriques. C’est le pari de cet entretien et son fil conducteur : il s’agissait d’y inviter Robert Castel à faire le pont entre les deux périodes de son oeuvre. Non seulement pour reconstituer un itinéraire intellectuel et suivre une succession de combats, mais parce qu’il se pourrait fort que les traits les plus saillants et les plus agressifs du nouveau pouvoir — redresser les conduites, mettre les chômeurs au travail — aient quelque chose à voir avec les transformations qu’il observait dans le champ de la psychiatrie à la fin des années 1970. Là, se mettait en place une gestion des « populations à risques » qui pourrait bien devenir le paradigme des politiques à venir en matière de prévention de la délinquance et de traitement du chômage. De la maladie mentale au salariat, donc, et retour : nous remercions Robert Castel de s’être si aimablement prêté à l’exercice.
Entretien réalisé le 20 mars 2007.
Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=167307 Le Travail n'a pour l'heure qu'un avenir : la société salariale / Richard SOBEL in La Revue Nouvelle / Cairn.info, 8 (août 2003)
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