Titre : |
La Gentrification des esprits / SUDOC et libgen.io |
Titre original : |
The gentrification of the mind : witness to a lost imagination (Berkeley : University of California Press, 2012) |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Sarah Schulman (1958-...), Auteur ; Vanina Géré, Postfacier, auteur du colophon, etc. |
Mention d'édition : |
Traduit de l’anglais par Émilie Notéris. Publié avec le soutien du Centre national du livre et de la région Île-de-France. |
Editeur : |
Paris : Éditions B42 |
Année de publication : |
2018 |
Collection : |
104 |
Importance : |
1 vol. (IX-179 p.) ; 168 p. |
Format : |
140 x 220mm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-490-07704-5 |
Prix : |
20 € |
Note générale : |
L'auteure raconte comment l'activisme d'Act up contribua dans les années 1980 et 1990 à faire disparaître la culture rebelle queer et le mouvement artistique qui se développait au coeur de Manhattan, au profit des porte-parole gays conservateurs et du consumérisme de masse. Elle assure que ces deux phénomènes ont annihilé l'imagination de toute une génération.
Sommaire :
The dynamics of death and replacement
The gentrification of AIDS
Realizing that they're gone
The gentrification of creation
The gentrification of gay politics
The gentrification of our literature |
Mots-clés : |
Socio féminisme Contemporaine Sociologie, sciences sociales Actualités queer activisme act up gentrification urbaine Sida -- Aspect social -- Embourgeoisement (urbanisme) -- Villes -- Rénovation -- Urbanisation -- États-Unis militantisme militant militante |
Résumé : |
La Gentrification des esprits est un retour captivant sur la crise du sida et l’activisme d’ACT UP dans le New York des années 1980 et 1990. Sarah Schulman, elle-même new-yorkaise et militante de la cause LGBT, se souvient de la disparition du centre-ville, pratiquement du jour au lendemain, de la culture rebelle queer, des loyers à bas coût et du prolifique mouvement artistique qui se développait au coeur de Manhattan, remplacés par des porte-parole gays conservateurs, ainsi que par le consumérisme de masse. Elle décrit avec précision et engagement le « remplacement d’une communauté par une autre » et le processus de gentrification qui toucha ces quartiers concomitamment à la crise du sida. Sarah Schulman fait revivre pour nous le Lower East Side qu’elle a connu. Elle ravive autant le souvenir de ses ami•e•s de l’avant-garde queer que celui de l’ombre inquiétante des premières années de la crise du sida, telles que vécues par une militante. Les souvenirs personnels s’entremêlent à une analyse percutante des deux phénomènes, et du poids invisible qu’ils font aujourd’hui peser sur la société américaine. L’auteure rend compte de son expérience en tant que témoin de la « perte de l’imagination » de toute une génération, et des conséquences entraînées par cette perte. |
Note de contenu : |
In this gripping memoir of the AIDS years (19811996), Sarah Schulman recalls how much of the rebellious queer culture, cheap rents, and a vibrant downtown arts movement vanished almost overnight to be replaced by gay conservative spokespeople and mainstream consumerism. Schulman takes us back to her Lower East Side and brings it to life, filling these pages with vivid memories of her avant-garde queer friends and dramatically recreating the early years of the AIDS crisis as experienced by a political insider. Interweaving personal reminiscence with cogent analysis, Schulman details her experience as a witness to the loss of a generation’s imagination and the consequences of that loss. |
En ligne : |
http://libgen.io/book/index.php?md5=ADDB4CF02BF2309A6DC84C1834AA1105 |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=205985 |
La Gentrification des esprits / SUDOC et libgen.io = The gentrification of the mind : witness to a lost imagination (Berkeley : University of California Press, 2012) [document électronique] / Sarah Schulman (1958-...), Auteur ; Vanina Géré, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - Traduit de l’anglais par Émilie Notéris. Publié avec le soutien du Centre national du livre et de la région Île-de-France. . - Paris : Éditions B42, 2018 . - 1 vol. (IX-179 p.) ; 168 p. ; 140 x 220mm. - ( 104) . ISBN : 978-2-490-07704-5 : 20 € L'auteure raconte comment l'activisme d'Act up contribua dans les années 1980 et 1990 à faire disparaître la culture rebelle queer et le mouvement artistique qui se développait au coeur de Manhattan, au profit des porte-parole gays conservateurs et du consumérisme de masse. Elle assure que ces deux phénomènes ont annihilé l'imagination de toute une génération.
Sommaire :
The dynamics of death and replacement
The gentrification of AIDS
Realizing that they're gone
The gentrification of creation
The gentrification of gay politics
The gentrification of our literature
Mots-clés : |
Socio féminisme Contemporaine Sociologie, sciences sociales Actualités queer activisme act up gentrification urbaine Sida -- Aspect social -- Embourgeoisement (urbanisme) -- Villes -- Rénovation -- Urbanisation -- États-Unis militantisme militant militante |
Résumé : |
La Gentrification des esprits est un retour captivant sur la crise du sida et l’activisme d’ACT UP dans le New York des années 1980 et 1990. Sarah Schulman, elle-même new-yorkaise et militante de la cause LGBT, se souvient de la disparition du centre-ville, pratiquement du jour au lendemain, de la culture rebelle queer, des loyers à bas coût et du prolifique mouvement artistique qui se développait au coeur de Manhattan, remplacés par des porte-parole gays conservateurs, ainsi que par le consumérisme de masse. Elle décrit avec précision et engagement le « remplacement d’une communauté par une autre » et le processus de gentrification qui toucha ces quartiers concomitamment à la crise du sida. Sarah Schulman fait revivre pour nous le Lower East Side qu’elle a connu. Elle ravive autant le souvenir de ses ami•e•s de l’avant-garde queer que celui de l’ombre inquiétante des premières années de la crise du sida, telles que vécues par une militante. Les souvenirs personnels s’entremêlent à une analyse percutante des deux phénomènes, et du poids invisible qu’ils font aujourd’hui peser sur la société américaine. L’auteure rend compte de son expérience en tant que témoin de la « perte de l’imagination » de toute une génération, et des conséquences entraînées par cette perte. |
Note de contenu : |
In this gripping memoir of the AIDS years (19811996), Sarah Schulman recalls how much of the rebellious queer culture, cheap rents, and a vibrant downtown arts movement vanished almost overnight to be replaced by gay conservative spokespeople and mainstream consumerism. Schulman takes us back to her Lower East Side and brings it to life, filling these pages with vivid memories of her avant-garde queer friends and dramatically recreating the early years of the AIDS crisis as experienced by a political insider. Interweaving personal reminiscence with cogent analysis, Schulman details her experience as a witness to the loss of a generation’s imagination and the consequences of that loss. |
En ligne : |
http://libgen.io/book/index.php?md5=ADDB4CF02BF2309A6DC84C1834AA1105 |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=205985 |
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