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Comparer. Options et inflexions d’une pratique de recherche / Didier Demazière in Sociologie du travail / BU de Lettres, journals.openedition et ScienceDirect, Vol.55 - N°2 (Avril - Juin 2013)
[article]
Titre : Comparer. Options et inflexions d’une pratique de recherche Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier Demazière , Auteur ; Olivier Giraud (1968-...)
, Auteur ; Michel Lallement (1962-...)
, Auteur
Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp136-151 Langues : Français (fre) Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Politique et gouvernement:Doctrine politique:Capitalisme Mots-clés : COMPARAISON INTERNATIONAL ANALYSE SOCIETALE METHODE COMPARATIVE JEUX D'ECHELLES Résumé : Dans les dernières décennies, les pratiques comparatives se sont considérablement développées et les terrains, objets, enjeux, méthodes et théorisations se sont diversifiés. Sans prétendre rendre compte de cette effervescence, ce texte introductif cherche à pointer quelques enjeux théoriques et méthodologiques qui marquent aujourd’hui les pratiques comparatives. Le territoire des comparaisons est d’abord balisé par deux approches qui ont fortement marqué les analyses comparées du travail, des systèmes sociaux et des organisations de la production : l’analyse sociétale d’une part, les variétés du capitalisme d’autre part. Ensuite les évolutions actuelles de la pratique comparative sont pointées, autour d’une série d’enjeux théoriques et méthodologiques qui s’affirment : pertinence de l’échelle nationale et manières d’informer empiriquement et de constituer conceptuellement ce niveau d’analyse ; variété des niveaux de réalité à comparer, de leurs articulations, et des échelles auxquelles peut être située la méthode comparative ; homogénéité ou hétérogénéité des espaces comparés et place des raisonnements en termes de systèmes ou modèles ; différenciation des entités comparées et prise en compte des connexions, circulations ou hybridations qui les lient ; alignement des catégories organisant la comparaison et variabilité et ajustement des protocoles d’enquête empirique, etc. Ces enjeux suscitent des débats nourris dans les travaux comparatifs actuels, indiquant par là la vitalité de ce domaine de recherche. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=170271
in Sociologie du travail / BU de Lettres, journals.openedition et ScienceDirect > Vol.55 - N°2 (Avril - Juin 2013) . - pp136-151[article] Comparer. Options et inflexions d’une pratique de recherche [texte imprimé] / Didier Demazière, Auteur ; Olivier Giraud (1968-...)
, Auteur ; Michel Lallement (1962-...)
, Auteur . - 2013 . - pp136-151.
Langues : Français (fre)
in Sociologie du travail / BU de Lettres, journals.openedition et ScienceDirect > Vol.55 - N°2 (Avril - Juin 2013) . - pp136-151
Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Politique et gouvernement:Doctrine politique:Capitalisme Mots-clés : COMPARAISON INTERNATIONAL ANALYSE SOCIETALE METHODE COMPARATIVE JEUX D'ECHELLES Résumé : Dans les dernières décennies, les pratiques comparatives se sont considérablement développées et les terrains, objets, enjeux, méthodes et théorisations se sont diversifiés. Sans prétendre rendre compte de cette effervescence, ce texte introductif cherche à pointer quelques enjeux théoriques et méthodologiques qui marquent aujourd’hui les pratiques comparatives. Le territoire des comparaisons est d’abord balisé par deux approches qui ont fortement marqué les analyses comparées du travail, des systèmes sociaux et des organisations de la production : l’analyse sociétale d’une part, les variétés du capitalisme d’autre part. Ensuite les évolutions actuelles de la pratique comparative sont pointées, autour d’une série d’enjeux théoriques et méthodologiques qui s’affirment : pertinence de l’échelle nationale et manières d’informer empiriquement et de constituer conceptuellement ce niveau d’analyse ; variété des niveaux de réalité à comparer, de leurs articulations, et des échelles auxquelles peut être située la méthode comparative ; homogénéité ou hétérogénéité des espaces comparés et place des raisonnements en termes de systèmes ou modèles ; différenciation des entités comparées et prise en compte des connexions, circulations ou hybridations qui les lient ; alignement des catégories organisant la comparaison et variabilité et ajustement des protocoles d’enquête empirique, etc. Ces enjeux suscitent des débats nourris dans les travaux comparatifs actuels, indiquant par là la vitalité de ce domaine de recherche. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=170271 Travail et politiques sociales. A propos de l'article d'Alain Supiot : "le travail, liberté partagée". / Dominique Méda in Droit social / Dalloz-revues.fr, n° 4 (avril 1994)
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Titre : Travail et politiques sociales. A propos de l'article d'Alain Supiot : "le travail, liberté partagée". Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Méda (1962-...) Année de publication : avril 1994 Article en page(s) : pp. 334-342 Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Gestion du personnel:Gestion du personnel:Salaire Payment made for work performed.; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Travail ; D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Politique et bien-être social:Politique sociale ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:PhilosophieMots-clés : SOZIALPOLITIK SOCIAL POLICY POLITICA SOCIAL ARBEIT WORK TRABAJO PHILOSOPHY FILOSOFIA GESELLSCHAFTSANALYSE SOCIETAL ANALYSIS ANALISIS SOCIETAL ANALYSE SOCIETALE LOHN WAGE SALARIO FRANKREICH FRANCIA Résumé : A partir de l'article d'Alain Supiot "Le travail, liberté partagée" Dominique Meda tente de démontrer l'ambiguïté de la valeur "travail" dans notre société à fort chômage. L'auteur fait appel à la philosophie et rappelle que les textes grecs font apparaître le travail comme seul moyen assurant la survie, le lien social s'établissant au delà du métier, sur des activités extra-professionnelles. L'invention de la notion de "travail abstrait" s'est faite au XIXe siècle grâce à la parcellisation des tâches "qui rend le travail de plus en plus mécanique et offre finalement à l'homme la possibilité de s'en éloigner et de se faire remplacer par la machine..." L'auteur étudie l'historicité de cette notion qui, à l'heure actuelle, bute et s'effondre devant les problèmes économiques. Ainsi la fin du travail hétéronome amène le développement de la "société du travail". Se pose alors le problème suivant : "qui est le sujet de la production ?" Ne seraient-ce pas les machines et les systèmes qui travaillent pour les hommes ? La rétribution de chacun se calcule non plus à partir du travail effectué mais aussi à partir de la production réalisée par les machines. En fait, les verrous économiques sautent, et c'est peut-être la fin du travail-contribution. Mais le chemin qui mène au partage du travail et à la redistribution de sa valeur nous amène à constater que le travail ne peut plus être le lieu de la réalisation de soi. De tels choix demandent la révision de la politique sociale au travers de la dissociation du travail et des droits auxquels il donnait accès : formation, protection sociale ... Ceci conduit à une réflexion de société sur le temps hors travail qui devient alors le temps de la réalisation individuelle. La valeur travail s'effacerait peu à peu dans notre société pour prendre une autre signification. L'auteur suggère qu'une réflexion fondamentale avec les nouvelles données économiques et sociétales soient engagée en liant toutes les sciences sociales à l'objet "Travail". Ces propositions consistent principalement à rendre le statut du travailleur indépendant de la prestation réelle du travail : ce n'est plus la prestation mais le statut qui apporte les droits. D. Méda montre alors les limites d'un tel système et les problèmes techniques qu'il soulève notamment pour le financement. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=111265
in Droit social / Dalloz-revues.fr > n° 4 (avril 1994) . - pp. 334-342[article] Travail et politiques sociales. A propos de l'article d'Alain Supiot : "le travail, liberté partagée". [texte imprimé] / Dominique Méda (1962-...). - avril 1994 . - pp. 334-342.
Langues : Français (fre)
in Droit social / Dalloz-revues.fr > n° 4 (avril 1994) . - pp. 334-342
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Gestion du personnel:Gestion du personnel:Salaire Payment made for work performed.; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Travail ; D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Politique et bien-être social:Politique sociale ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:PhilosophieMots-clés : SOZIALPOLITIK SOCIAL POLICY POLITICA SOCIAL ARBEIT WORK TRABAJO PHILOSOPHY FILOSOFIA GESELLSCHAFTSANALYSE SOCIETAL ANALYSIS ANALISIS SOCIETAL ANALYSE SOCIETALE LOHN WAGE SALARIO FRANKREICH FRANCIA Résumé : A partir de l'article d'Alain Supiot "Le travail, liberté partagée" Dominique Meda tente de démontrer l'ambiguïté de la valeur "travail" dans notre société à fort chômage. L'auteur fait appel à la philosophie et rappelle que les textes grecs font apparaître le travail comme seul moyen assurant la survie, le lien social s'établissant au delà du métier, sur des activités extra-professionnelles. L'invention de la notion de "travail abstrait" s'est faite au XIXe siècle grâce à la parcellisation des tâches "qui rend le travail de plus en plus mécanique et offre finalement à l'homme la possibilité de s'en éloigner et de se faire remplacer par la machine..." L'auteur étudie l'historicité de cette notion qui, à l'heure actuelle, bute et s'effondre devant les problèmes économiques. Ainsi la fin du travail hétéronome amène le développement de la "société du travail". Se pose alors le problème suivant : "qui est le sujet de la production ?" Ne seraient-ce pas les machines et les systèmes qui travaillent pour les hommes ? La rétribution de chacun se calcule non plus à partir du travail effectué mais aussi à partir de la production réalisée par les machines. En fait, les verrous économiques sautent, et c'est peut-être la fin du travail-contribution. Mais le chemin qui mène au partage du travail et à la redistribution de sa valeur nous amène à constater que le travail ne peut plus être le lieu de la réalisation de soi. De tels choix demandent la révision de la politique sociale au travers de la dissociation du travail et des droits auxquels il donnait accès : formation, protection sociale ... Ceci conduit à une réflexion de société sur le temps hors travail qui devient alors le temps de la réalisation individuelle. La valeur travail s'effacerait peu à peu dans notre société pour prendre une autre signification. L'auteur suggère qu'une réflexion fondamentale avec les nouvelles données économiques et sociétales soient engagée en liant toutes les sciences sociales à l'objet "Travail". Ces propositions consistent principalement à rendre le statut du travailleur indépendant de la prestation réelle du travail : ce n'est plus la prestation mais le statut qui apporte les droits. D. Méda montre alors les limites d'un tel système et les problèmes techniques qu'il soulève notamment pour le financement. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=111265 Ce que la socio-économie fait aux classes sociales : renouveau ou disparition ? / Alexandra Bidet in Revue française de socio-économie, RFSE / Cairn.info, 10 (second semestre 2012 {décembre 2012))
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Titre : Ce que la socio-économie fait aux classes sociales : renouveau ou disparition ? : Introduction au dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandra Bidet ; François Vatin (1957-...) ; Philippe Steiner (1965-...) ; NICOLAS POSTEL ; Florence Jany-Catrice (1964-...) Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 219-223 Note générale : Premières lignes : Se demander ce que le renouveau de la socio-économie fait aux classes sociales, c’est s’interroger sur la compatibilité des nouveaux concepts et les approches développés dans ce cadre au cours de ces trente dernières années avec la notion de classes sociales. Ces dernières sont-elles solubles dans les réseaux, les générations ou la hiérarchie des revenus ? La socio-économie fait-elle apparaître, ou disparaître, les classes sociales de l’agenda scientifique ? Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Systèmes sociaux:Stratification sociale:Classe sociale Mots-clés : SOZIALE SCHICHT SOCIAL CLASS CLASE SOCIAL GESELLSCHAFTSANALYSE SOCIETAL ANALYSIS ANALISIS SOCIETAL ANALYSE SOCIETALE FRANKREICH FRANCIA En ligne : http://www.cairn.info/revue-francaise-de-socio-economie-2012-2-page-219.htm# Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=147725
in Revue française de socio-économie, RFSE / Cairn.info > 10 (second semestre 2012 {décembre 2012)) . - pp. 219-223[article] Ce que la socio-économie fait aux classes sociales : renouveau ou disparition ? : Introduction au dossier [texte imprimé] / Alexandra Bidet ; François Vatin (1957-...) ; Philippe Steiner (1965-...) ; NICOLAS POSTEL ; Florence Jany-Catrice (1964-...) . - 2012 . - pp. 219-223.
Premières lignes : Se demander ce que le renouveau de la socio-économie fait aux classes sociales, c’est s’interroger sur la compatibilité des nouveaux concepts et les approches développés dans ce cadre au cours de ces trente dernières années avec la notion de classes sociales. Ces dernières sont-elles solubles dans les réseaux, les générations ou la hiérarchie des revenus ? La socio-économie fait-elle apparaître, ou disparaître, les classes sociales de l’agenda scientifique ?
Langues : Français (fre)
in Revue française de socio-économie, RFSE / Cairn.info > 10 (second semestre 2012 {décembre 2012)) . - pp. 219-223Classes sociales et description de la société / François Dubet in Revue française de socio-économie, RFSE / Cairn.info, 10 (second semestre 2012 {décembre 2012))
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Comment avoir confiance ? / Alexandre Lacroix in Philosophie magazine / BM de Tours et BU de Lettres, 142 (Septembre 2020)
[article]
Titre : Comment avoir confiance ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Lacroix (1975-...) , Auteur
Année de publication : 2020 Article en page(s) : 48-69 Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Philosophie Mots-clés : CONFIANCE RELATION A L'AUTRE MEFIANCE SOCIETE ANALYSE SOCIETALE Résumé : Contenu du dossier :
p.50 > En avoir ou pas ?
En cette rentrée menacée par une seconde vague de la pandémie, alors que la distanciation physique persiste et qu’une crise économique guette, nous avons décidé de nous poser la question de la confiance. Celle que nous éprouvons envers les décideurs politiques et économiques, envers les médecins et les scientifiques, mais surtout envers nos collègues et nos proches. Donner sa confiance, est-ce se mettre soi-même en danger ou, au contraire, s’offrir la possibilité de vivre une relation plus sereine avec le monde ?
p.52 > "La confiance est le lien social le plus élémentaire"
À égale distance de la croyance et du calcul, la confiance est la disposition qui permet de comprendre l’action humaine dans son ensemble et de fonder le lien social, pour le philosophe Mark Hunyadi. Il en retrace l’histoire.
p.56 > Confidence pour confidence
Nos engagements mutuels reposent souvent sur un pacte implicite, qui ne peut jamais être tenu pour acquis comme le montrent nos cinq témoins : trompés, ils racontent ce qu’ils ont appris de la trahison. Des vécus éclairés par la philosophe Gloria Origgi, spécialiste des passions sociales.
p.62 > La défiance nuit-elle vraiment à la démocratie?
Nous vivons sur un malentendu : la défiance populaire serait notre mal politique. Et si cette évidence nous égarait ? Voici l’idée paradoxale que nous défendons : la méfiance a une vertu démocratique. D’elle dépend la vitalité de la relation entre citoyens et gouvernants.
p.66 > Compagnons de doute
L’un est physicien, l’autre est moine bénédictin. Tous deux sont amis. Étienne Klein et François Cassingena-Trévedy dialoguent du lien entre le savoir, la croyance raisonnable et la foi. Ensemble, ils trouvent des points d’accord et délimitent le périmètre de la confiance, en science comme en religion.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=250527
in Philosophie magazine / BM de Tours et BU de Lettres > 142 (Septembre 2020) . - 48-69[article] Comment avoir confiance ? [texte imprimé] / Alexandre Lacroix (1975-...), Auteur . - 2020 . - 48-69.
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine / BM de Tours et BU de Lettres > 142 (Septembre 2020) . - 48-69
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Philosophie Mots-clés : CONFIANCE RELATION A L'AUTRE MEFIANCE SOCIETE ANALYSE SOCIETALE Résumé : Contenu du dossier :
p.50 > En avoir ou pas ?
En cette rentrée menacée par une seconde vague de la pandémie, alors que la distanciation physique persiste et qu’une crise économique guette, nous avons décidé de nous poser la question de la confiance. Celle que nous éprouvons envers les décideurs politiques et économiques, envers les médecins et les scientifiques, mais surtout envers nos collègues et nos proches. Donner sa confiance, est-ce se mettre soi-même en danger ou, au contraire, s’offrir la possibilité de vivre une relation plus sereine avec le monde ?
p.52 > "La confiance est le lien social le plus élémentaire"
À égale distance de la croyance et du calcul, la confiance est la disposition qui permet de comprendre l’action humaine dans son ensemble et de fonder le lien social, pour le philosophe Mark Hunyadi. Il en retrace l’histoire.
p.56 > Confidence pour confidence
Nos engagements mutuels reposent souvent sur un pacte implicite, qui ne peut jamais être tenu pour acquis comme le montrent nos cinq témoins : trompés, ils racontent ce qu’ils ont appris de la trahison. Des vécus éclairés par la philosophe Gloria Origgi, spécialiste des passions sociales.
p.62 > La défiance nuit-elle vraiment à la démocratie?
Nous vivons sur un malentendu : la défiance populaire serait notre mal politique. Et si cette évidence nous égarait ? Voici l’idée paradoxale que nous défendons : la méfiance a une vertu démocratique. D’elle dépend la vitalité de la relation entre citoyens et gouvernants.
p.66 > Compagnons de doute
L’un est physicien, l’autre est moine bénédictin. Tous deux sont amis. Étienne Klein et François Cassingena-Trévedy dialoguent du lien entre le savoir, la croyance raisonnable et la foi. Ensemble, ils trouvent des points d’accord et délimitent le périmètre de la confiance, en science comme en religion.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=250527 Hôpital : le temps de travail sous tension. Une comparaison Belgique, Italie, France, Grande-Bretagne, Pays-Bas et Suède. Temps de travail féminin, temps de travail soignant. Quelles configurations, quels réajustements ? / Christophe Baret in Sciences sociales et santé / Cairn.info, vol. 20 - n° 3 (septembre 2002)
PermalinkMobilité étudiante internationale. Projet sociétal ou individuel / Catherine Agulhon in Journal of international Mobility / Peterlang, n° 1 (2013)
PermalinkNote de lecture de l'ouvrage "Petite poucette : la douteuse fable" de M. Serres / Julien Gautier in Questions d'orientation / SUDOC, vol. 76, n° 3 (septembre 2013)
PermalinkLes relations de travail au sein de l’entreprise transnationale / Sergio Gonzalèz Begega in Les Mondes du Travail / SUDOC, n° 15 (avril 2015)
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