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« Maastricht 3 : le prélèvement d’organes après un arrêt cardiaque contrôlé face à ses enjeux » / E. Fourneret in Ethique & Santé / EM Premium, Vol. 14 - N°2/Divers (juin 2017)
[article]
Titre : « Maastricht 3 : le prélèvement d’organes après un arrêt cardiaque contrôlé face à ses enjeux » Auteurs : E. Fourneret, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 65-69 Langues : Français (fre) Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Politique et gouvernement:Système politique:Démocratie ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique Mots-clés : PRELEVEMENT D'ORGANE ARRET CARDIAQUE PHENOMENOLOGIE DON D'ORGANE Résumé : Le prélèvement d’organes après un arrêt cardiaque contrôlé concerne des malades pour qui fut prise la décision d’arrêter leur traitement. En dépit du caractère bienveillant de ce type de prélèvement, un certain nombre de questions relatives aux conditions de fin de vie du donneur se posent. L’objectif de cet article n’est pas de discuter des positions traditionnelles en présence, mais de présenter trois enjeux essentiels concernant le Maastricht 3. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186093
in Ethique & Santé / EM Premium > Vol. 14 - N°2/Divers (juin 2017) . - p. 65-69[article] « Maastricht 3 : le prélèvement d’organes après un arrêt cardiaque contrôlé face à ses enjeux » [] / E. Fourneret, Auteur . - 2017 . - p. 65-69.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > Vol. 14 - N°2/Divers (juin 2017) . - p. 65-69
Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Politique et gouvernement:Système politique:Démocratie ; J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique Mots-clés : PRELEVEMENT D'ORGANE ARRET CARDIAQUE PHENOMENOLOGIE DON D'ORGANE Résumé : Le prélèvement d’organes après un arrêt cardiaque contrôlé concerne des malades pour qui fut prise la décision d’arrêter leur traitement. En dépit du caractère bienveillant de ce type de prélèvement, un certain nombre de questions relatives aux conditions de fin de vie du donneur se posent. L’objectif de cet article n’est pas de discuter des positions traditionnelles en présence, mais de présenter trois enjeux essentiels concernant le Maastricht 3. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186093 Le débat bioéthique sur le don d'organes : est-ce que tout s'arrête lorsque le coeur cesse de battre ? / I. Ortega-Deballon in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
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Titre : Le débat bioéthique sur le don d'organes : est-ce que tout s'arrête lorsque le coeur cesse de battre ? Auteurs : I. Ortega-Deballon, Auteur ; D. Rodriguez-Arias, Auteur ; Anne-Marie Lagace, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 156-165 Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Biologie:Bioéthique Study of social and ethical questions raised by development in biology and medicine.; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Mort ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Sciences médicales:NeurologieMots-clés : DON D'ORGANE REANIMATION ARRET CARDIAQUE URGENCE ACHARNEMENT THERAPEUTIQUE Résumé : Déterminer le moment exact où se produit la mort humaine a été un défi constant tout au long de l’Histoire. Hélas, généralement la mort ne survient pas de manière abrupte, à un moment précis ni à toutes les parties de l’organisme de façon simultanée. La résistance des cellules humaines à la dégradation due à une privation d’oxygène varie en fonction du type de cellule. Il est possible, par exemple, de greffer avec succès les cornées d’un défunt jusqu’à sept jours après qu’il soit déclaré mort. En fait, l’absence absolue de toute activité résiduelle dans l’organisme ne pourrait se confirmer que beaucoup plus de temps après la perte du pouls, une fois que le processus de putréfaction est généralisé. Naturellement, il est peu souhaitable d’attendre jusqu’à ce moment-là pour pouvoir enfin déclarer la mort d’un individu. Nous, les personnes, avons des raisons pour déclarer la mort beaucoup plus tôt. Par exemple, nous avons besoin de faire le deuil et de ne pas repousser les rites funéraires en excès. Traditionnellement, pour s’assurer que la mort des malades était bien réelle, on attendait plusieurs jours avant de procéder à l’inhumation. De telles mesures de précaution s’avéraient un peu risquées en périodes d’épidémie, parce que les cadavres sont un vecteur dans la transmission de maladies. D’après Winslow, la peur d’être enterré vivant augmentait pendant ces périodes. De nos jours, il y a d’autres raisons qui nous poussent à déclarer la mort plus tôt. Par exemple, l’accès à des lits de soins de santé pour des patients avec pronostic de récupération qui attendent la ressource rare et la possibilité de sauver des vies grâce au don d’organes. D’un côté, il n’est pas permis d’extraire des organes vitaux à des personnes en vie, mais, de l’autre, attendre trop longtemps pourrait compromettre la qualité des organes à extraire et les probabilités de succès du greffon. Les problèmes théoriques et pratiques issus de la déclaration de la mort dans le contexte du don d’organes ont leur origine dans le défi d’obtenir des organes en conditions optimales sans que cela n’affecte la fin de vie des donneurs potentiels. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186161
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 156-165[article] Le débat bioéthique sur le don d'organes : est-ce que tout s'arrête lorsque le coeur cesse de battre ? [] / I. Ortega-Deballon, Auteur ; D. Rodriguez-Arias, Auteur ; Anne-Marie Lagace, Auteur . - 2016 . - p. 156-165.
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in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 156-165
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Biologie:Bioéthique Study of social and ethical questions raised by development in biology and medicine.; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Cycle de vie:Mort ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Sciences médicales:Sciences médicales:NeurologieMots-clés : DON D'ORGANE REANIMATION ARRET CARDIAQUE URGENCE ACHARNEMENT THERAPEUTIQUE Résumé : Déterminer le moment exact où se produit la mort humaine a été un défi constant tout au long de l’Histoire. Hélas, généralement la mort ne survient pas de manière abrupte, à un moment précis ni à toutes les parties de l’organisme de façon simultanée. La résistance des cellules humaines à la dégradation due à une privation d’oxygène varie en fonction du type de cellule. Il est possible, par exemple, de greffer avec succès les cornées d’un défunt jusqu’à sept jours après qu’il soit déclaré mort. En fait, l’absence absolue de toute activité résiduelle dans l’organisme ne pourrait se confirmer que beaucoup plus de temps après la perte du pouls, une fois que le processus de putréfaction est généralisé. Naturellement, il est peu souhaitable d’attendre jusqu’à ce moment-là pour pouvoir enfin déclarer la mort d’un individu. Nous, les personnes, avons des raisons pour déclarer la mort beaucoup plus tôt. Par exemple, nous avons besoin de faire le deuil et de ne pas repousser les rites funéraires en excès. Traditionnellement, pour s’assurer que la mort des malades était bien réelle, on attendait plusieurs jours avant de procéder à l’inhumation. De telles mesures de précaution s’avéraient un peu risquées en périodes d’épidémie, parce que les cadavres sont un vecteur dans la transmission de maladies. D’après Winslow, la peur d’être enterré vivant augmentait pendant ces périodes. De nos jours, il y a d’autres raisons qui nous poussent à déclarer la mort plus tôt. Par exemple, l’accès à des lits de soins de santé pour des patients avec pronostic de récupération qui attendent la ressource rare et la possibilité de sauver des vies grâce au don d’organes. D’un côté, il n’est pas permis d’extraire des organes vitaux à des personnes en vie, mais, de l’autre, attendre trop longtemps pourrait compromettre la qualité des organes à extraire et les probabilités de succès du greffon. Les problèmes théoriques et pratiques issus de la déclaration de la mort dans le contexte du don d’organes ont leur origine dans le défi d’obtenir des organes en conditions optimales sans que cela n’affecte la fin de vie des donneurs potentiels. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186161 Donneur décédé en arrêt circulatoire Maastricht 3 : début encourageants dans un centre pilote / D. Dorez in Ethique & Santé / EM Premium, n° 3 ([01/09/2016])
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Titre : Donneur décédé en arrêt circulatoire Maastricht 3 : début encourageants dans un centre pilote Auteurs : D. Dorez, Auteur ; S. Gay, Auteur ; C. Vernay, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 134-142 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.40 Famille:Famille Mots-clés : DON D'ORGANE PRELEVEMENT D'ORGANE DECES ARRET CARDIAQUE ARRET DU TRAITEMENT FIN DE VIE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Résumé : Le don d’organes après détermination circulatoire du décès, DDAC, connaît un nouveau développement avec le protocole Maastricht 3, DDACM3, autorisé depuis décembre 2014 en France. Les principes des limitations et arrêts des traitements sont bien posés mais doivent encore gagner dans la formalisation et donner lieu à une préoccupation de qualité et d’humanité autour de la fin de vie. Après arrêt des traitements invasifs de réanimation, après la certification du décès et si telle est la volonté du patient le décès peut conduire à un don d’organes et de tissus, dans certaines conditions. Les DDACM3 offrent une opportunité d’augmenter le nombre de greffons disponibles et représentent un des axes d’amélioration de l’accès à la transplantation. Le suivi psychologique des proches ne montrent aucune interrogation éthique d’éventuel conflit d’intérêt entre décision d’arrêt des traitements et opportunité d’inscrire le don d’organes dans les soins de fin de vie. Les premiers résultats, très préliminaires, sont encourageants en termes de qualité des greffons et très rassurants pour le ressenti des proches et des équipes. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186123
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 134-142[article] Donneur décédé en arrêt circulatoire Maastricht 3 : début encourageants dans un centre pilote [] / D. Dorez, Auteur ; S. Gay, Auteur ; C. Vernay, Auteur . - 2016 . - p. 134-142.
Langues : Français (fre)
in Ethique & Santé / EM Premium > n° 3 [01/09/2016] . - p. 134-142
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.40 Famille:Famille Mots-clés : DON D'ORGANE PRELEVEMENT D'ORGANE DECES ARRET CARDIAQUE ARRET DU TRAITEMENT FIN DE VIE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Résumé : Le don d’organes après détermination circulatoire du décès, DDAC, connaît un nouveau développement avec le protocole Maastricht 3, DDACM3, autorisé depuis décembre 2014 en France. Les principes des limitations et arrêts des traitements sont bien posés mais doivent encore gagner dans la formalisation et donner lieu à une préoccupation de qualité et d’humanité autour de la fin de vie. Après arrêt des traitements invasifs de réanimation, après la certification du décès et si telle est la volonté du patient le décès peut conduire à un don d’organes et de tissus, dans certaines conditions. Les DDACM3 offrent une opportunité d’augmenter le nombre de greffons disponibles et représentent un des axes d’amélioration de l’accès à la transplantation. Le suivi psychologique des proches ne montrent aucune interrogation éthique d’éventuel conflit d’intérêt entre décision d’arrêt des traitements et opportunité d’inscrire le don d’organes dans les soins de fin de vie. Les premiers résultats, très préliminaires, sont encourageants en termes de qualité des greffons et très rassurants pour le ressenti des proches et des équipes. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186123