[n° ou bulletin]
Titre : |
Masters Recueil Alexandries < 79/93 > - juin 2017 - NTIC et travail social dans le secteur associatif : crise de sens ou outils de professionnalisation ? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Laetitia Della Torre, Auteur ; Jérôme Valluy, Directeur de la recherche |
Année de publication : |
2017 |
Note générale : |
Dossier de recherche réalisé en Master-1 Science politique, sous la direction de Jérôme Valluy, à l’Université Panthéon-Sorbonne (Paris 1), année universitaire 2016/2017 : Au vu de la littérature scientifique disponible, le secteur de l’action sociale associative semble marqué par un clivage particulièrement fort entre des acteurs adoptant les outils numériques (ou NTIC) dans leurs pratiques professionnelles, comme Emmaüs Connect et ATD Quart monde, et des acteurs opposant un avis plus critique comme Les Enfants du canal. On retrouve également cette division dans les rapports institutionnels, oscillant entre le constat d’un secteur sous pression et une demande d’accompagnement dans l’adoption de nouvelles technologies, avec également, une dimension plus normative, dans ces rapports officiels, dessinant une "nécessité" de "rattraper" ce qui est alors qualifié implicitement comme un certain « retard », tout en constatant l’existence d’un intense questionnement, parfois qualifié de « crise de sens ». Toute la question étant alors de se demander ce qui se joue derrière cette division. Comment certains acteurs du travail social peuvent s’approprier des outils numériques, alors que cette technique vient interroger, voire mettre en crise l’identité professionnelle du secteur ?
Il paraît ainsi nécessaire de questionner leurs modes d’appropriation, plus ou moins sous contrainte, tout en questionnant aussi ce qui dans l’informatique et le numérique pourrait remettre en cause ces métiers ou pratiques sociales. Mais si crise il y a, cela signifierait-il que les NTIC auraient un impact conséquent sur les pratiques ? L’impact ne serait pas limité à l’aspect administratif des tâches des associations et concernerait des aspects plus essentiels du travail social, comme la relation aux personnes aidées ou la conduite de maraudes ? Nos observations empiriques montrent que les applications mobiles et les NTIC touchent aux pratiques informationnelles de ce secteur. Ne pourrait-on pas penser que c’est sur ce plan que les changements sont les plus notables ? Ou bien si crise il y a, ce ne serait pas tant en raison de la nature de l’outil, et des changements qu’il induit, mais en raison de la manière dont ce dernier est diffusé, de la nature des acteurs, et des possibilités d’appropriation laissés aux travailleurs sociaux ?
Cette « marge de manœuvre » serait fonction de la configuration du secteur et des rapports de hiérarchie le régissant, entre différents acteurs, associatifs et étatiques. On pourrait s’arrêter sur la manière dont les travailleurs sociaux manifestent des petits actes de résistance et développent des formes d’appropriations individuelles, ou bien encore des oppositions plus ouvertes. Il parait, sur ces différents points, intéressant de convoquer les travaux de Vincent Dubois et de Michael Lipsky sur les « street level bureaucracy », qui interrogent justement cette marge de manoeuvre dans les administrations, avec notamment la notion de pouvoir discrétionnaire. En bref, l’axe rupture / continuité parait pouvoir s’appliquer à notre objet d’étude, mais les ruptures notées dans les pratiques, sont-elles liées à la seule diffusion du numérique dans le secteur ?
Il est progressivement apparu au fil des recherches qu’il n’est pas question de la simple adoption d’un outil de travail ou d’une technique, mais que la diffusion de cette dernière a lieu dans un contexte de reconfiguration du secteur. Le problème majeur de ces applications reste leur caractère récent (de un à quelques mois). Un bon nombre d’entre elles sont donc en phase de test, ou d’expérimentation. Cela a tout d’abord restreint le choix des objets à étudier : Entourage et Homeless Plus, restant à la fois les plus anciennes et, pour l’heure, les plus médiatisées, alors que certaines applications comme We Save Homeless étaient encore en phase de développement et ne pouvaient donc être évoquées qu’à titre comparatif. C’est pour cela que prendre en compte le contexte antérieur a semblé essentiel. Tout d’abord, ce choix permettait d’avoir accès à un plus large ensemble de sources d’informations et permettait aussi de répondre à certaines questions touchant l’axe rupture/continuité, mais également à la construction des représentations relatives aux NTIC dans le secteur de l’action sociale.
Notre hypothèse centrale, issue de la bibliographie scientifique autant que de l’observation empirique, conduit à penser que la crise constatée au sein de l’action sociale n’est pas tant due aux NTIC qu’à son contexte d’émergence. On reviendra notamment sur la reconfiguration du secteur suite au tournant néolibéral amorcé dans les années 80. Le numérique est-il alors un simple symptôme ou un catalyseur de ce phénomène ? (ce contexte peut déterminer l’usage de ces outils par les travailleurs sociaux, ménageant des possibilités d’appropriations et résistance, et d’usages alternatifs). Une manière de nuancer le lien entre logiques managériales et nouvelles technologies, consistera à aborder ces dernières sous un autre angle en reposant la question d’une éventuelle dimension émancipatrice de ces outils, notamment en termes d’engagement, et de construction de liens entre individus. Ensuite, il conviendra d’examiner les implications de ces logiques managériales en termes de traitement d’information et de voir notamment en quoi une logique d’efficacité peut remettre en cause la protection des données. Comment articuler ce mouvement de privatisation avec un autre débat traversant les liens entre informatique et action sociale, à savoir l’instrumentalisation de la technique comme outil de pouvoir ? Il s’agit alors de se demander à partir de quand des outils de travail peuvent devenir des outils de pouvoir, et comment passe-t-on de leur usage à leur instrumentalisation, ce qui pose en filigrane la question de l’autonomie du secteur du travail social. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Assistance | Associations - ONG | Contrôles | Humanitaire | Liberté de circulation | Pauvreté | Précarité | Professionnalisation | Sans-papiers | Social | Solidarité | Surveillance | Vagabondages | Sociologie | Info-com | Internet | Humanités numériques plurielles | numérique mobile application mobiles |
Résumé : |
Le développement récent d’applications mobiles dans le milieu associatif pose la question du lien entre NTIC et action sociale. Or, la diffusion de ces applications a lieu dans un contexte de reconfiguration et de privatisation du secteur. Comment alors s’articulent NTIC et idéologie néolibérale ? Cette dernière est antérieure à l’émergence d’outils numériques dans les années 2000, mais ne peut-on pas dire que les NTIC seraient des sortes de catalyseurs ? Répondre à ces interrogations nécessite de revenir plus globalement sur la nature des technologies, en voyant comment elles peuvent charrier représentations et modèles idéologiques. Or, ce cadre influe sur la réception de ces outils par les travailleurs sociaux, entre résistances et formes d’appropriation dans leurs pratiques professionnelles. Mais, on peut toutefois nuancer ce lien entre NTIC et néolibéralisme. Tout d’abord, ces applications permettraient pour les individus des formes de militantisme paradoxales, entre engagement individualisé, distancé et engagement local. Et surtout, elles posent à nouveau frais la question du contrôle social, déjà soulevée lors du développement de fichiers informatiques. Sachant que ces applications sont abordées dans toute leur ambiguïté, en revenant sur la dialectique qu’elles posent entre outil de contrôle et outil de travail. Le tracé de cette frontière dépend en effet à la fois de l’autonomie du secteur associatif et des dispositifs de protection de données existants. |
Note de contenu : |
Table des matières :
INTRODUCTION
Revue de la littérature
I) LES NTIC COMME SYMPTÔME D’UN TOURNANT MANAGÉRIAL ANTÉRIEUR : RECONFIGURATIONS SECTORIELLES, CRISE DE SENS ET APPROPRIATIONS
A) Une reconfiguration du secteur comme cadre de diffusion des NTIC
1) Une privatisation du secteur associatif
2) Brouillage des frontières et nouveaux acteurs
3) NTIC et logiques managériales : « Les artefacts font-ils de la politique » ?
B) Tournant managérial et perception des NTIC par les travailleurs sociaux : crise de sens, résistances et appropriations
1) Identités professionnelles en crise : causes et conditions d’une résistance
2) Appropriations des NTIC dans un champ associatif en cours de professionnalisation
3) Militantisme dématérialisé : réseaux de proximité et organisations horizontales ou actions fragmentaires et individuelles ?
II. EFFICACITÉ INFORMATIONNELLE OU RESPECT DE LA VIE PRIVÉE ? LES « DONNÉES PERSONNELLES » ENTRE DÉVELOPPEURS, START-UPPERS ET TRAVAILLEURS SOCIAUX
A) Données personnelles et travail social, entre protection de la vie privée et dérive sécuritaire, besoin d’information et exigence de confidentialité ?
1) Écritures mineures et écritures numériques : perte d’information et pression informationnelle
2) Du fichage à la trace, de la trace au corpus : une perte de maitrise accrue du traitement de l’information
3) Dispositifs de protection et perceptions des risques
B) Géolocalisation, dispositif de pouvoir ou outil de travail ? La carte, un outil ambigu
1) Localisation et consentement, occultation des rapports de pouvoir ou reconnaissance d’une autonomie des sujets
2) Cartographie des maraudes : l’efficacité au prix de la sousveillance
CONCLUSION
ANNEXES
Annexe 1 : Bibliographie
Annexe 2 : Monographies
Annexe 3 : Extraits d’entretiens
Annexe 4 : Observation participante
Annexe 5 : Délibération de la CNIL |
En ligne : |
http://www.reseau-terra.eu/article1402.html |
Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=44933 |
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Masters Recueil Alexandries < 79/93 > - juin 2017 - NTIC et travail social dans le secteur associatif : crise de sens ou outils de professionnalisation ? [document électronique] / Laetitia Della Torre, Auteur ; Jérôme Valluy, Directeur de la recherche . - 2017. Dossier de recherche réalisé en Master-1 Science politique, sous la direction de Jérôme Valluy, à l’Université Panthéon-Sorbonne (Paris 1), année universitaire 2016/2017 : Au vu de la littérature scientifique disponible, le secteur de l’action sociale associative semble marqué par un clivage particulièrement fort entre des acteurs adoptant les outils numériques (ou NTIC) dans leurs pratiques professionnelles, comme Emmaüs Connect et ATD Quart monde, et des acteurs opposant un avis plus critique comme Les Enfants du canal. On retrouve également cette division dans les rapports institutionnels, oscillant entre le constat d’un secteur sous pression et une demande d’accompagnement dans l’adoption de nouvelles technologies, avec également, une dimension plus normative, dans ces rapports officiels, dessinant une "nécessité" de "rattraper" ce qui est alors qualifié implicitement comme un certain « retard », tout en constatant l’existence d’un intense questionnement, parfois qualifié de « crise de sens ». Toute la question étant alors de se demander ce qui se joue derrière cette division. Comment certains acteurs du travail social peuvent s’approprier des outils numériques, alors que cette technique vient interroger, voire mettre en crise l’identité professionnelle du secteur ?
Il paraît ainsi nécessaire de questionner leurs modes d’appropriation, plus ou moins sous contrainte, tout en questionnant aussi ce qui dans l’informatique et le numérique pourrait remettre en cause ces métiers ou pratiques sociales. Mais si crise il y a, cela signifierait-il que les NTIC auraient un impact conséquent sur les pratiques ? L’impact ne serait pas limité à l’aspect administratif des tâches des associations et concernerait des aspects plus essentiels du travail social, comme la relation aux personnes aidées ou la conduite de maraudes ? Nos observations empiriques montrent que les applications mobiles et les NTIC touchent aux pratiques informationnelles de ce secteur. Ne pourrait-on pas penser que c’est sur ce plan que les changements sont les plus notables ? Ou bien si crise il y a, ce ne serait pas tant en raison de la nature de l’outil, et des changements qu’il induit, mais en raison de la manière dont ce dernier est diffusé, de la nature des acteurs, et des possibilités d’appropriation laissés aux travailleurs sociaux ?
Cette « marge de manœuvre » serait fonction de la configuration du secteur et des rapports de hiérarchie le régissant, entre différents acteurs, associatifs et étatiques. On pourrait s’arrêter sur la manière dont les travailleurs sociaux manifestent des petits actes de résistance et développent des formes d’appropriations individuelles, ou bien encore des oppositions plus ouvertes. Il parait, sur ces différents points, intéressant de convoquer les travaux de Vincent Dubois et de Michael Lipsky sur les « street level bureaucracy », qui interrogent justement cette marge de manoeuvre dans les administrations, avec notamment la notion de pouvoir discrétionnaire. En bref, l’axe rupture / continuité parait pouvoir s’appliquer à notre objet d’étude, mais les ruptures notées dans les pratiques, sont-elles liées à la seule diffusion du numérique dans le secteur ?
Il est progressivement apparu au fil des recherches qu’il n’est pas question de la simple adoption d’un outil de travail ou d’une technique, mais que la diffusion de cette dernière a lieu dans un contexte de reconfiguration du secteur. Le problème majeur de ces applications reste leur caractère récent (de un à quelques mois). Un bon nombre d’entre elles sont donc en phase de test, ou d’expérimentation. Cela a tout d’abord restreint le choix des objets à étudier : Entourage et Homeless Plus, restant à la fois les plus anciennes et, pour l’heure, les plus médiatisées, alors que certaines applications comme We Save Homeless étaient encore en phase de développement et ne pouvaient donc être évoquées qu’à titre comparatif. C’est pour cela que prendre en compte le contexte antérieur a semblé essentiel. Tout d’abord, ce choix permettait d’avoir accès à un plus large ensemble de sources d’informations et permettait aussi de répondre à certaines questions touchant l’axe rupture/continuité, mais également à la construction des représentations relatives aux NTIC dans le secteur de l’action sociale.
Notre hypothèse centrale, issue de la bibliographie scientifique autant que de l’observation empirique, conduit à penser que la crise constatée au sein de l’action sociale n’est pas tant due aux NTIC qu’à son contexte d’émergence. On reviendra notamment sur la reconfiguration du secteur suite au tournant néolibéral amorcé dans les années 80. Le numérique est-il alors un simple symptôme ou un catalyseur de ce phénomène ? (ce contexte peut déterminer l’usage de ces outils par les travailleurs sociaux, ménageant des possibilités d’appropriations et résistance, et d’usages alternatifs). Une manière de nuancer le lien entre logiques managériales et nouvelles technologies, consistera à aborder ces dernières sous un autre angle en reposant la question d’une éventuelle dimension émancipatrice de ces outils, notamment en termes d’engagement, et de construction de liens entre individus. Ensuite, il conviendra d’examiner les implications de ces logiques managériales en termes de traitement d’information et de voir notamment en quoi une logique d’efficacité peut remettre en cause la protection des données. Comment articuler ce mouvement de privatisation avec un autre débat traversant les liens entre informatique et action sociale, à savoir l’instrumentalisation de la technique comme outil de pouvoir ? Il s’agit alors de se demander à partir de quand des outils de travail peuvent devenir des outils de pouvoir, et comment passe-t-on de leur usage à leur instrumentalisation, ce qui pose en filigrane la question de l’autonomie du secteur du travail social. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Assistance | Associations - ONG | Contrôles | Humanitaire | Liberté de circulation | Pauvreté | Précarité | Professionnalisation | Sans-papiers | Social | Solidarité | Surveillance | Vagabondages | Sociologie | Info-com | Internet | Humanités numériques plurielles | numérique mobile application mobiles |
Résumé : |
Le développement récent d’applications mobiles dans le milieu associatif pose la question du lien entre NTIC et action sociale. Or, la diffusion de ces applications a lieu dans un contexte de reconfiguration et de privatisation du secteur. Comment alors s’articulent NTIC et idéologie néolibérale ? Cette dernière est antérieure à l’émergence d’outils numériques dans les années 2000, mais ne peut-on pas dire que les NTIC seraient des sortes de catalyseurs ? Répondre à ces interrogations nécessite de revenir plus globalement sur la nature des technologies, en voyant comment elles peuvent charrier représentations et modèles idéologiques. Or, ce cadre influe sur la réception de ces outils par les travailleurs sociaux, entre résistances et formes d’appropriation dans leurs pratiques professionnelles. Mais, on peut toutefois nuancer ce lien entre NTIC et néolibéralisme. Tout d’abord, ces applications permettraient pour les individus des formes de militantisme paradoxales, entre engagement individualisé, distancé et engagement local. Et surtout, elles posent à nouveau frais la question du contrôle social, déjà soulevée lors du développement de fichiers informatiques. Sachant que ces applications sont abordées dans toute leur ambiguïté, en revenant sur la dialectique qu’elles posent entre outil de contrôle et outil de travail. Le tracé de cette frontière dépend en effet à la fois de l’autonomie du secteur associatif et des dispositifs de protection de données existants. |
Note de contenu : |
Table des matières :
INTRODUCTION
Revue de la littérature
I) LES NTIC COMME SYMPTÔME D’UN TOURNANT MANAGÉRIAL ANTÉRIEUR : RECONFIGURATIONS SECTORIELLES, CRISE DE SENS ET APPROPRIATIONS
A) Une reconfiguration du secteur comme cadre de diffusion des NTIC
1) Une privatisation du secteur associatif
2) Brouillage des frontières et nouveaux acteurs
3) NTIC et logiques managériales : « Les artefacts font-ils de la politique » ?
B) Tournant managérial et perception des NTIC par les travailleurs sociaux : crise de sens, résistances et appropriations
1) Identités professionnelles en crise : causes et conditions d’une résistance
2) Appropriations des NTIC dans un champ associatif en cours de professionnalisation
3) Militantisme dématérialisé : réseaux de proximité et organisations horizontales ou actions fragmentaires et individuelles ?
II. EFFICACITÉ INFORMATIONNELLE OU RESPECT DE LA VIE PRIVÉE ? LES « DONNÉES PERSONNELLES » ENTRE DÉVELOPPEURS, START-UPPERS ET TRAVAILLEURS SOCIAUX
A) Données personnelles et travail social, entre protection de la vie privée et dérive sécuritaire, besoin d’information et exigence de confidentialité ?
1) Écritures mineures et écritures numériques : perte d’information et pression informationnelle
2) Du fichage à la trace, de la trace au corpus : une perte de maitrise accrue du traitement de l’information
3) Dispositifs de protection et perceptions des risques
B) Géolocalisation, dispositif de pouvoir ou outil de travail ? La carte, un outil ambigu
1) Localisation et consentement, occultation des rapports de pouvoir ou reconnaissance d’une autonomie des sujets
2) Cartographie des maraudes : l’efficacité au prix de la sousveillance
CONCLUSION
ANNEXES
Annexe 1 : Bibliographie
Annexe 2 : Monographies
Annexe 3 : Extraits d’entretiens
Annexe 4 : Observation participante
Annexe 5 : Délibération de la CNIL |
En ligne : |
http://www.reseau-terra.eu/article1402.html |
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https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=44933 |
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