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16 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Attitude envers les animaux' 




Titre : Zoopolis : une théorie politique des droits des animaux Titre original : Zoopolis : a political theory of animals rights. - cop. 2011 Type de document : texte imprimé Auteurs : Will Kymlicka (1962-...), Auteur ; Sue Donaldson (1962-...), Auteur ; Pierre Madelin (1986-...) , Auteur ; Hicham-Stéphane Afeissa (1972-...)
, Collaborateur ; Corine Pelluchon (1967-...)
, Préfacier, etc.
Mention d'édition : relu par Hicham-Stéphane Afeissa Editeur : Paris : Alma Editeur Année de publication : 2016 Collection : Essai Sous-collection : Société Importance : 408 p. Format : 24 x 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36279-205-2 Prix : 25,90 € Note générale : Et si les animaux devenaient des citoyens ?... Cette étude extrêmement sérieuse et documentée, s'intègre dans une volonté de changement civilisationnel qui réajusterait la place de l'animal dans nos sociétés. Un essai déjà fondamental dans le monde anglosaxon enfin traduit au français. 4e de couv. : "Ce livre, paru en 2011 chez Oxford University Press, est destiné à devenir un classique pour tous ceux qui pensent qu’il est urgent de s’engager politiquement à améliiorer la condition animale. En matière de droit des animaux les théories classiques visent à protéger les animaux contre les violences qu’ils peuvent subir et érigent une barrière protectrice autour d’eux. Or, une telle approche ne donne aucun résultat pratique significatif. Raison pour laquelle Will Kymlicka et Sue Donaldson se focalisent non sur les droits des animaux mais sur nos obligations concrètes à leur égard. Ce qui suppose que l’on examine nos relations avec eux. Ils proposent trois catégories d’animaux : domestique, sauvages et liminaire. Et pour chacune, trois modèles de vivre ensemble : la citoyenneté, la souveraineté, le statut de résident. Pour ce faire, ils s’appuient sur des travaux concernant les personnes en situation de handicap et la manière dont on peut les sortir de l’invisibilité sociale et politique. Aujourd’hui les théories de la justice intègrent enfin la notion de vulnérabilité reléguant par là même l’idée de citoyens de seconde zone. Cette reconnaissance, à la fois morale et politique, d’individus vulnérables, les auteurs de Zoopolis suggèrent de l’appliquer aux animaux." Langues : Français (fre) Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Société / Morale et éthique sociales / Respect des animaux Attitude envers les animaux Animaux -- Droits Relations homme-animal -- Aspect moral Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : Comment faire coexister l'espèce humaine et l'espèce animale au sein d'une même société en tenant compte de leurs intérêts respectifs ? Défendre les animaux en se bornant à énoncer des interdits ne permet pas de promouvoir une société plus juste à leur égard. Les théories classiques des droits des animaux servent à dénoncer les violences qu'ils subissent mais, dans les faits, les animaux sont encore traités comme des objets et de simples moyens au service de nos fins. Will Kymlicka et Sue Donaldson retracent le chemin accompli depuis quarante ans, mais ils vont plus loin et proposent la première théorie relationnelle des droits des animaux, définissant les obligations concrètes que nous avons à leur égard. Les deux chercheurs distinguent trois classes d'animaux : les animaux domestiques, les animaux liminaux et les animaux sauvages. À chacune de ces classes, ils appliquent des catégories morales et politiques issues de la théorie de la citoyenneté. Ils établissent notamment une distinction entre les droits universels de base, qui servent à protéger tous les êtres sensibles, et les droits différenciés, qui dépendent du statut particulier de chaque groupe (citoyen, résident, membre d'une communauté souveraine). Se fondant sur les théories contemporaines de la justice et sur la notion de vulnérabilité, Zoopolis livre savant et militant, renouvelle la question animale en la politisant. Les auteurs recadrent le débat sur la responsabilité des humains à l'égard des animaux dans le domaine de la théorie politique. Ils examinent ce que pourrait être la justice envers les animaux et la politisation de la question animale : comment, au sein d'une communauté qui ne soit pas strictement humaine, coexister avec les autres espèces ? Note de contenu : Bibliogr. p. [391]-404. Notes bibliogr. Voir aussi, en hyperlien : "Animal politique ? À propos de : Sue Donaldson et Will Kymlicka, Zoopolis. A political Theory of Animal Rights", Oxford University Press / Antoine Grandjean , le 3 septembre 2014 : Les animaux sont, selon S. Donaldson et W. Kymlicka, bien plus que des êtres envers qui nous avons des devoirs, nos concitoyens ; et nos relations sont avec eux d’ordre politique. La thèse est radicale, mais fragile : elle se méprend à la fois sur la nature de l’animal et sur celle du citoyen. Voir aussi l'encart de Fabien Trécourt, Sciences humaines n° 288, p. 62 et "Faut-il tuer ces rats que Paris ne saurait voir ?" / Philippe Reigné, Agrégé des facultés de droit, professeur du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) — Tribune de Libération, 28 décembre 2016 En ligne : http://www.laviedesidees.fr/Animal-politique.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=162743 Zoopolis : une théorie politique des droits des animaux = Zoopolis : a political theory of animals rights. - cop. 2011 [texte imprimé] / Will Kymlicka (1962-...), Auteur ; Sue Donaldson (1962-...), Auteur ; Pierre Madelin (1986-...), Auteur ; Hicham-Stéphane Afeissa (1972-...)
, Collaborateur ; Corine Pelluchon (1967-...)
, Préfacier, etc. . - relu par Hicham-Stéphane Afeissa . - Paris : Alma Editeur, 2016 . - 408 p. ; 24 x 18 cm. - (Essai. Société) .
ISBN : 978-2-36279-205-2 : 25,90 €
Et si les animaux devenaient des citoyens ?... Cette étude extrêmement sérieuse et documentée, s'intègre dans une volonté de changement civilisationnel qui réajusterait la place de l'animal dans nos sociétés. Un essai déjà fondamental dans le monde anglosaxon enfin traduit au français. 4e de couv. : "Ce livre, paru en 2011 chez Oxford University Press, est destiné à devenir un classique pour tous ceux qui pensent qu’il est urgent de s’engager politiquement à améliiorer la condition animale. En matière de droit des animaux les théories classiques visent à protéger les animaux contre les violences qu’ils peuvent subir et érigent une barrière protectrice autour d’eux. Or, une telle approche ne donne aucun résultat pratique significatif. Raison pour laquelle Will Kymlicka et Sue Donaldson se focalisent non sur les droits des animaux mais sur nos obligations concrètes à leur égard. Ce qui suppose que l’on examine nos relations avec eux. Ils proposent trois catégories d’animaux : domestique, sauvages et liminaire. Et pour chacune, trois modèles de vivre ensemble : la citoyenneté, la souveraineté, le statut de résident. Pour ce faire, ils s’appuient sur des travaux concernant les personnes en situation de handicap et la manière dont on peut les sortir de l’invisibilité sociale et politique. Aujourd’hui les théories de la justice intègrent enfin la notion de vulnérabilité reléguant par là même l’idée de citoyens de seconde zone. Cette reconnaissance, à la fois morale et politique, d’individus vulnérables, les auteurs de Zoopolis suggèrent de l’appliquer aux animaux."
Langues : Français (fre)
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Société / Morale et éthique sociales / Respect des animaux Attitude envers les animaux Animaux -- Droits Relations homme-animal -- Aspect moral Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : Comment faire coexister l'espèce humaine et l'espèce animale au sein d'une même société en tenant compte de leurs intérêts respectifs ? Défendre les animaux en se bornant à énoncer des interdits ne permet pas de promouvoir une société plus juste à leur égard. Les théories classiques des droits des animaux servent à dénoncer les violences qu'ils subissent mais, dans les faits, les animaux sont encore traités comme des objets et de simples moyens au service de nos fins. Will Kymlicka et Sue Donaldson retracent le chemin accompli depuis quarante ans, mais ils vont plus loin et proposent la première théorie relationnelle des droits des animaux, définissant les obligations concrètes que nous avons à leur égard. Les deux chercheurs distinguent trois classes d'animaux : les animaux domestiques, les animaux liminaux et les animaux sauvages. À chacune de ces classes, ils appliquent des catégories morales et politiques issues de la théorie de la citoyenneté. Ils établissent notamment une distinction entre les droits universels de base, qui servent à protéger tous les êtres sensibles, et les droits différenciés, qui dépendent du statut particulier de chaque groupe (citoyen, résident, membre d'une communauté souveraine). Se fondant sur les théories contemporaines de la justice et sur la notion de vulnérabilité, Zoopolis livre savant et militant, renouvelle la question animale en la politisant. Les auteurs recadrent le débat sur la responsabilité des humains à l'égard des animaux dans le domaine de la théorie politique. Ils examinent ce que pourrait être la justice envers les animaux et la politisation de la question animale : comment, au sein d'une communauté qui ne soit pas strictement humaine, coexister avec les autres espèces ? Note de contenu : Bibliogr. p. [391]-404. Notes bibliogr. Voir aussi, en hyperlien : "Animal politique ? À propos de : Sue Donaldson et Will Kymlicka, Zoopolis. A political Theory of Animal Rights", Oxford University Press / Antoine Grandjean , le 3 septembre 2014 : Les animaux sont, selon S. Donaldson et W. Kymlicka, bien plus que des êtres envers qui nous avons des devoirs, nos concitoyens ; et nos relations sont avec eux d’ordre politique. La thèse est radicale, mais fragile : elle se méprend à la fois sur la nature de l’animal et sur celle du citoyen. Voir aussi l'encart de Fabien Trécourt, Sciences humaines n° 288, p. 62 et "Faut-il tuer ces rats que Paris ne saurait voir ?" / Philippe Reigné, Agrégé des facultés de droit, professeur du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) — Tribune de Libération, 28 décembre 2016 En ligne : http://www.laviedesidees.fr/Animal-politique.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=162743 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 02468 S-51 KYM Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Animal Disponible Documents numériques
Titre : Le parti pris des animaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Christophe Bailly (1949-...) , Auteur
Editeur : Paris : Christian Bourgois éditeur Année de publication : 2013 Collection : Détroits Importance : 1 vol. (133 p.) Présentation : couv. ill. Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-267-02466-1 Prix : 9 € Note générale : Ce recueil réunit des interventions de l'auteur, ainsi que deux textes plus anciens, faisant suite à son essai sur Le versant animal dans lequel il expliquait pourquoi la question animale était devenue centrale pour lui-même. Il constitue un plaidoyer pour la cause animale, en mettant l'accent sur le fait que les animaux donnent un autre accès au sens, un sens confondu au vivant. Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Attitude envers les animaux Animalité (philosophie) Philosophie Philosophie morale Essais Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : 4e de couv. : "Les huit textes qui composent ce livre sont tous consacrés aux animaux. La surprise et la joie qu'ils existent, les craintes envers une disparition qui semble hélas programmée pour beaucoup d'entre eux, ces motifs s'entremêlent à ceux du regard et du silence. Ce que dit et répète ce livre, c'est que les animaux, qui font rayonner l'existence hors des rets du langage, exercent pourtant envers nous la pression intimante d'un autre accès au sens. C'est ce sens éperdu, confondu au vivant, qui est poursuivi ici." Note de contenu : Ce sont les visiteurs qui font exister le zoo. Petits et grands sont venus là pour voir les animaux. Tout est organisé pour que la rencontre ait lieu : les acteurs (les animaux), le décor (plus ou moins naturel), et les visiteurs, avec leurs regards de spectateurs.
Le zoo est un petit théâtre qui ne dit pas toujours son nom.
Il y a ceux qui viennent juste comme ça, pour voir des animaux, il y a les fidèles qui ont un pass et qui viennent voir "leurs" animaux, il y a ceux qui emmènent leurs enfants et qui s’ennuient, ceux qui emmènent leurs enfants et qui sont mal à l’aise, ceux qui emmènent leurs enfants pour retrouver un peu de leur enfance, et puis il y a les enfants bien sûr, et les souvenirs que la visite au zoo laisse (ou pas).
En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/pourquoi-le-zoo [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=74589 Le parti pris des animaux [texte imprimé] / Jean-Christophe Bailly (1949-...), Auteur . - Paris : Christian Bourgois éditeur, 2013 . - 1 vol. (133 p.) : couv. ill. ; 20 cm. - (Détroits) .
ISBN : 978-2-267-02466-1 : 9 €
Ce recueil réunit des interventions de l'auteur, ainsi que deux textes plus anciens, faisant suite à son essai sur Le versant animal dans lequel il expliquait pourquoi la question animale était devenue centrale pour lui-même. Il constitue un plaidoyer pour la cause animale, en mettant l'accent sur le fait que les animaux donnent un autre accès au sens, un sens confondu au vivant.
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Attitude envers les animaux Animalité (philosophie) Philosophie Philosophie morale Essais Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : 4e de couv. : "Les huit textes qui composent ce livre sont tous consacrés aux animaux. La surprise et la joie qu'ils existent, les craintes envers une disparition qui semble hélas programmée pour beaucoup d'entre eux, ces motifs s'entremêlent à ceux du regard et du silence. Ce que dit et répète ce livre, c'est que les animaux, qui font rayonner l'existence hors des rets du langage, exercent pourtant envers nous la pression intimante d'un autre accès au sens. C'est ce sens éperdu, confondu au vivant, qui est poursuivi ici." Note de contenu : Ce sont les visiteurs qui font exister le zoo. Petits et grands sont venus là pour voir les animaux. Tout est organisé pour que la rencontre ait lieu : les acteurs (les animaux), le décor (plus ou moins naturel), et les visiteurs, avec leurs regards de spectateurs.
Le zoo est un petit théâtre qui ne dit pas toujours son nom.
Il y a ceux qui viennent juste comme ça, pour voir des animaux, il y a les fidèles qui ont un pass et qui viennent voir "leurs" animaux, il y a ceux qui emmènent leurs enfants et qui s’ennuient, ceux qui emmènent leurs enfants et qui sont mal à l’aise, ceux qui emmènent leurs enfants pour retrouver un peu de leur enfance, et puis il y a les enfants bien sûr, et les souvenirs que la visite au zoo laisse (ou pas).
En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/pourquoi-le-zoo [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=74589 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13593 S-51 BAI Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Animal Disponible Documents numériques
Titre : L’Animal en République : 1789-1802, genèse du droit des bêtes Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Serna (1963-...) , Auteur
Editeur : Anacharsis Année de publication : 2016 Collection : Essais Importance : 240 p. Format : 12,5 x 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-10-92011-37-1 Prix : 22 € Note générale : En 1802, une question sur les traitements barbares réservés à l'animal et leur législation éventuelle fut soumise au prix de morale de l'Institut national des sciences et des arts. A partir de 26 dissertations livrées au débat, l'auteur présente les différents courants idéologiques qui fondent, au début du XIXe siècle, la pensée sur la notion de maltraitance animale. "Et dans L’Animal en république (Anacharsis) Pierre Serna documente la genèse du droit des bêtes dans l’orbite de la Révolution française, avec le concours public lancé par l’Institut national en 1802 sur le thème : « Jusqu’à quel point les traitements barbares exercés sur les animaux intéressent-ils la morale publique ? Et conviendrait-il de faire des lois à cet égard ? » Les vingt-huit dissertations de citoyens connus ou anonymes reçues jusqu’en 1804 sont étudiées dans le contexte de l’époque : rétablissement de l’esclavage dans les colonies, arrivée au pouvoir de Bonaparte et du Consulat. Elles dénotent dans cette république censitaire une revendication citoyenne à la dignité qui apparente la condition des dominés à celle des animaux : la façon dont on les traite « dit la manière dont on traite les inférieurs ». Et la sensibilité des animaux constitue l’exorde de presque toutes les dissertations, sous l’influence directe du Traité des sensations de Condillac, qui avait également écrit un Traité des animaux. Et dans L’Animal en république (Anacharsis) à nous distinguer de nos plus proches parents dans l’histoire de l’évolution : les grands singes. Pour lui, c’est la coopération, norme sociale essentielle de la survie des petites communautés humaines primitives de chasseurs-cueilleurs, qui constitue cette différence. Elle va de pair avec le langage, qui rend possible et réalise concrètement le lien social. Les chimpanzés peuvent coopérer un moment pendant la chasse. Mais au moment d’en partager le fruit, c’est chacun pour soi. Et surtout le langage institue la relation durable à partir de sa fonction déictique originaire (du grec deixis qui signifie l’acte de montrer). Désigner du doigt une place ou un objet serait son point de départ, un peu comme si la parole était un geste fossile. Cet « acte d’information » accompli envers un autre que soi et qui se produit dans un contexte commun, où l’on poursuit un objectif commun, « crée une base commune, un monde partagé qui, ensuite, notamment grâce au langage, peut devenir beaucoup plus grand. Parce qu’on peut aussi s’entendre, par le langage, sur des choses qui ne se situent pas dans le champ de vision directement partagé, qui ne sont pas présentes pour les participants. » D’où la formation d’une « rationalité coopérative » construite par la parole, en constante évolution et expansion, jusqu’aux formes les plus abouties de la démocratie. Et qui nous enjoint aujourd’hui à protéger la diversité du vivant." Jacques Munier, Le Journal des Idées, 02/12/2016 Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Société / Morale et éthique sociales / Respect des animaux Attitude envers les animaux Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : En 1802, l’Institut national lançait un concours public sur le thème suivant : « Jusqu’à quel point les traitements barbares exercés sur les animaux intéressent-ils la morale publique ? Et conviendrait-il de faire des lois à cet égard ? » En 1804, l’Institut avait reçu vingt-huit dissertations, sorties de la plume de citoyens connus ou anonymes. Ce sont ces documents retrouvés qui forment le socle de cette étude. Ces réflexions dévoilent d’abord à quel point les tensions politiques du moment déterminent la pensée sur l’animal : en ces temps de rétablissement de l’esclavage et avec l’arrivée au pouvoir de Bonaparte, c’est la conception de tout un ordre naturel hiérarchisé – miroir du monde social – qui se voit débattue. Mais au-delà, ces méditations sur le droit et la sensibilité des animaux démontrent une prise de conscience de la menace que l’homme fait peser sur l’environnement, et élaborent une préface lucide à nos inquiétudes contemporaines. Note de contenu : Le livre est accompagné d’un site sur lequel sont reproduites les dissertations ainsi que de nombreux documents sur le sujet. Voir le blog "L’Animal en République : 1789-1802, genèse du droit des bêtes", en hyperlien : En 1802, l’Institut national lançait un concours public sur le thème suivant : « Jusqu’à quel point les traitements barbares exercés sur les animaux intéressent-ils la morale publique ? Et conviendrait-il de faire des lois à cet égard ? » Ce site présente les dissertations des citoyens connus ou anonymes qui forment le socle du livre de Pierre Serna publié aux éditions Anacharsis, L'Animal en République. 1789-1802, genèse du droit des bêtes. L’Animal en République est aussi un site compagnon, site destiné à accompagner le livre du même nom avec des contenus qui ne pouvaient prendre place dans le livre : textes des dissertations elles-mêmes, iconographie, audiovisuel. Cet espace est également dévolu aux avancées des recherches de Pierre Serna sur le sujet. Conçu avec le moteur de blog dotclear, il s’étoffera au fil des mois et des nouvelles découvertes ou créations associées au livre. Il est possible de s’abonner à la newsletter ou au fil des billets (rss) afin d’être tenu au courant des nouvelles publications sur le site. En ligne : http://blogs.editions-anacharsis.com/animal Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=162746 L’Animal en République : 1789-1802, genèse du droit des bêtes [texte imprimé] / Pierre Serna (1963-...), Auteur . - [S.l.] : Anacharsis, 2016 . - 240 p. ; 12,5 x 20 cm. - (Essais) .
ISBN : 979-10-92011-37-1 : 22 €
En 1802, une question sur les traitements barbares réservés à l'animal et leur législation éventuelle fut soumise au prix de morale de l'Institut national des sciences et des arts. A partir de 26 dissertations livrées au débat, l'auteur présente les différents courants idéologiques qui fondent, au début du XIXe siècle, la pensée sur la notion de maltraitance animale. "Et dans L’Animal en république (Anacharsis) Pierre Serna documente la genèse du droit des bêtes dans l’orbite de la Révolution française, avec le concours public lancé par l’Institut national en 1802 sur le thème : « Jusqu’à quel point les traitements barbares exercés sur les animaux intéressent-ils la morale publique ? Et conviendrait-il de faire des lois à cet égard ? » Les vingt-huit dissertations de citoyens connus ou anonymes reçues jusqu’en 1804 sont étudiées dans le contexte de l’époque : rétablissement de l’esclavage dans les colonies, arrivée au pouvoir de Bonaparte et du Consulat. Elles dénotent dans cette république censitaire une revendication citoyenne à la dignité qui apparente la condition des dominés à celle des animaux : la façon dont on les traite « dit la manière dont on traite les inférieurs ». Et la sensibilité des animaux constitue l’exorde de presque toutes les dissertations, sous l’influence directe du Traité des sensations de Condillac, qui avait également écrit un Traité des animaux. Et dans L’Animal en république (Anacharsis) à nous distinguer de nos plus proches parents dans l’histoire de l’évolution : les grands singes. Pour lui, c’est la coopération, norme sociale essentielle de la survie des petites communautés humaines primitives de chasseurs-cueilleurs, qui constitue cette différence. Elle va de pair avec le langage, qui rend possible et réalise concrètement le lien social. Les chimpanzés peuvent coopérer un moment pendant la chasse. Mais au moment d’en partager le fruit, c’est chacun pour soi. Et surtout le langage institue la relation durable à partir de sa fonction déictique originaire (du grec deixis qui signifie l’acte de montrer). Désigner du doigt une place ou un objet serait son point de départ, un peu comme si la parole était un geste fossile. Cet « acte d’information » accompli envers un autre que soi et qui se produit dans un contexte commun, où l’on poursuit un objectif commun, « crée une base commune, un monde partagé qui, ensuite, notamment grâce au langage, peut devenir beaucoup plus grand. Parce qu’on peut aussi s’entendre, par le langage, sur des choses qui ne se situent pas dans le champ de vision directement partagé, qui ne sont pas présentes pour les participants. » D’où la formation d’une « rationalité coopérative » construite par la parole, en constante évolution et expansion, jusqu’aux formes les plus abouties de la démocratie. Et qui nous enjoint aujourd’hui à protéger la diversité du vivant." Jacques Munier, Le Journal des Idées, 02/12/2016
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Société / Morale et éthique sociales / Respect des animaux Attitude envers les animaux Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : En 1802, l’Institut national lançait un concours public sur le thème suivant : « Jusqu’à quel point les traitements barbares exercés sur les animaux intéressent-ils la morale publique ? Et conviendrait-il de faire des lois à cet égard ? » En 1804, l’Institut avait reçu vingt-huit dissertations, sorties de la plume de citoyens connus ou anonymes. Ce sont ces documents retrouvés qui forment le socle de cette étude. Ces réflexions dévoilent d’abord à quel point les tensions politiques du moment déterminent la pensée sur l’animal : en ces temps de rétablissement de l’esclavage et avec l’arrivée au pouvoir de Bonaparte, c’est la conception de tout un ordre naturel hiérarchisé – miroir du monde social – qui se voit débattue. Mais au-delà, ces méditations sur le droit et la sensibilité des animaux démontrent une prise de conscience de la menace que l’homme fait peser sur l’environnement, et élaborent une préface lucide à nos inquiétudes contemporaines. Note de contenu : Le livre est accompagné d’un site sur lequel sont reproduites les dissertations ainsi que de nombreux documents sur le sujet. Voir le blog "L’Animal en République : 1789-1802, genèse du droit des bêtes", en hyperlien : En 1802, l’Institut national lançait un concours public sur le thème suivant : « Jusqu’à quel point les traitements barbares exercés sur les animaux intéressent-ils la morale publique ? Et conviendrait-il de faire des lois à cet égard ? » Ce site présente les dissertations des citoyens connus ou anonymes qui forment le socle du livre de Pierre Serna publié aux éditions Anacharsis, L'Animal en République. 1789-1802, genèse du droit des bêtes. L’Animal en République est aussi un site compagnon, site destiné à accompagner le livre du même nom avec des contenus qui ne pouvaient prendre place dans le livre : textes des dissertations elles-mêmes, iconographie, audiovisuel. Cet espace est également dévolu aux avancées des recherches de Pierre Serna sur le sujet. Conçu avec le moteur de blog dotclear, il s’étoffera au fil des mois et des nouvelles découvertes ou créations associées au livre. Il est possible de s’abonner à la newsletter ou au fil des billets (rss) afin d’être tenu au courant des nouvelles publications sur le site. En ligne : http://blogs.editions-anacharsis.com/animal Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=162746 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 02482 S-51 "18/19" SER Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Animal Disponible Documents numériques
Titre : La cause des animaux : pour un destin commun Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence Burgat (1962-...) , Auteur
Editeur : Paris : Buchet-Chastel Année de publication : 2015 Collection : Dans le vif, ISSN 2427-6650 Importance : 109 p. Format : 21 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-283-02820-9 Prix : 12 € Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Animaux domestiques
Expérimentation animale
Relations homme-animal
Animaux -- Protection
Animalité (philosophie)
Animaux -- Droits Société / Morale et éthique sociales / Respect des animaux Attitude envers les animaux Expérimentation animale -- Lutte contre
Élevage intensif -- Lutte contre
élevage, étude expérimentale, relation homme animal, protection des animaux, éthiqueIndex. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : Une réflexion sur le caractère sensible des animaux et la capacité d'empathie de l'homme. L'auteure s'interroge sur les pratiques dont ils sont l'objet afin de perpétuer les habitudes de consommation. Elle évoque leur mise à mort pour assurer la fabrication de produits finis (vêtements, chaussures, gélatine alimentaire) et les expériences pour tester des produits de beauté ou des médicaments. Note de contenu : Bibliographie p. 107-[110]. Notes bibliographiques en bas de pages. 4e de couv. : "Nous partageons l'ordinaire de nos vies avec les animaux. Par choix, des chiens et des chats habitent nos maisons ; de fait, insectes, pigeons et rats résident en ville... Il serait aisé d'oublier ceux que nous mangeons, ceux dont nous revêtons la peau, ceux encore sur lesquels ont été testés les produits d'entretien et les médicaments que nous utilisons. Nous préférons souvent ignorer qu'il a fallu interrompre une vie pour pouvoir bénéficier des produits finis que nous en tirons. D'ailleurs, la mise à mort d'animaux est parfois insoupçonnable et contre-intuitive - comment deviner la présence de gélatine de porc dans un sorbet ? - ou reste imperceptible car elle n'est qu'une étape dans un processus de fabrication, comme c'est le cas pour toutes les substances testées sur les animaux. À travers l'étude de gestes apparemment insignifiants ou de pratiques à grande échelle - l'élevage industriel et l'expérimentation animale -, l'auteur nous pousse à nous interroger : que nous apprennent ces pratiques ? Sont-elles justifiables ? justes ? Pourquoi la reconnaissance par le droit du caractère sensible des animaux provoque-t-elle de tels débats ?" Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=153736 La cause des animaux : pour un destin commun [texte imprimé] / Florence Burgat (1962-...), Auteur . - Paris : Buchet-Chastel, 2015 . - 109 p. ; 21 x 14 cm. - (Dans le vif, ISSN 2427-6650) .
ISBN : 978-2-283-02820-9 : 12 €
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Animaux domestiques
Expérimentation animale
Relations homme-animal
Animaux -- Protection
Animalité (philosophie)
Animaux -- Droits Société / Morale et éthique sociales / Respect des animaux Attitude envers les animaux Expérimentation animale -- Lutte contre
Élevage intensif -- Lutte contre
élevage, étude expérimentale, relation homme animal, protection des animaux, éthiqueIndex. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : Une réflexion sur le caractère sensible des animaux et la capacité d'empathie de l'homme. L'auteure s'interroge sur les pratiques dont ils sont l'objet afin de perpétuer les habitudes de consommation. Elle évoque leur mise à mort pour assurer la fabrication de produits finis (vêtements, chaussures, gélatine alimentaire) et les expériences pour tester des produits de beauté ou des médicaments. Note de contenu : Bibliographie p. 107-[110]. Notes bibliographiques en bas de pages. 4e de couv. : "Nous partageons l'ordinaire de nos vies avec les animaux. Par choix, des chiens et des chats habitent nos maisons ; de fait, insectes, pigeons et rats résident en ville... Il serait aisé d'oublier ceux que nous mangeons, ceux dont nous revêtons la peau, ceux encore sur lesquels ont été testés les produits d'entretien et les médicaments que nous utilisons. Nous préférons souvent ignorer qu'il a fallu interrompre une vie pour pouvoir bénéficier des produits finis que nous en tirons. D'ailleurs, la mise à mort d'animaux est parfois insoupçonnable et contre-intuitive - comment deviner la présence de gélatine de porc dans un sorbet ? - ou reste imperceptible car elle n'est qu'une étape dans un processus de fabrication, comme c'est le cas pour toutes les substances testées sur les animaux. À travers l'étude de gestes apparemment insignifiants ou de pratiques à grande échelle - l'élevage industriel et l'expérimentation animale -, l'auteur nous pousse à nous interroger : que nous apprennent ces pratiques ? Sont-elles justifiables ? justes ? Pourquoi la reconnaissance par le droit du caractère sensible des animaux provoque-t-elle de tels débats ?" Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=153736 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 02942 S-51 BUR Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Animal Disponible
Titre : Des hommes et des animaux Titre original : Une histoire des hommes et des animaux : petite philosophie zoologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Narbonne (1951-...), Auteur Editeur : Rosny-sous-Bois : Bréal Année de publication : 2019 Collection : Essais Importance : 280 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7495-3847-1 Prix : 18,50 € Note générale : Cette histoire des hommes et des animaux est un ouvrage consacré à notre rapport à l'animal, depuis les premiers hommes et la chasse pour leur survie, jusqu'à nos jours où les rapports aux bêtes ont été totalement inversés au point que l'on ne sait plus vraiment quoi faire de notre contrôle absolu sur cet univers foisonnant, surprenant, affectif et tragique. Retour sur une histoire complexe faite de rapports anthropologiques, religieux, philosophiques ou économiques qui permet d'entrevoir les raisons des débats passionnés sur la cause animale,y compris chez les écologistes. Langues : Français (fre) Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Société / Morale et éthique sociales / Respect des animaux Attitude envers les animaux Relations homme-animal relation homme animal Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : Ouvrage consacré aux rapports entre les hommes et les animaux, de la préhistoire jusqu'au monde moderne. Les humains ont dominé les bêtes, les ont intégrées à leurs mythes, les ont étudiées et enfermées mais recherchent aussi leur affection. Une approche pluridisciplinaire, anthropologique, religieuse, philosophique et économique qui sous-tend les débats sur la cause animale Note de contenu : Ce livre nous emmène faire un voyage de deux millions d'années. Au départ, Homo erectus cherche à passer inaperçu au milieu de milliers d'espèces animales, toutes plus étranges, merveilleuses ou dangereuses les unes que les autres. Bien plus tard, il les peint, cherche à dialoguer avec elles, mais au Néolithique, il commence à s'en servir, à les dominer. Il va les intégrer à ses mythes, en faire des victimes sacrificielles, les figurants d'un long débat théologico-philosophique sur la nature de l'âme. Puis il va les collecter, morts ou vifs, un peu partout dans le monde, et va enfin vouloir les étudier scientifiquement, en les enfermant puis en les libérant...
Mais, s'apercevant que ce besoin d'amitié romantique arrive un peu tard, Noé cherche à larguer les amarres à nouveau avec ses créatures à bord, enfin celles qui restent ; saura-t-il s'orienter dans un univers où lui-même a perdu l'essentiel de ses repères ?En ligne : http://michelnarbonne.com/spip.php?article15 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=221979 Des hommes et des animaux = Une histoire des hommes et des animaux : petite philosophie zoologique [texte imprimé] / Michel Narbonne (1951-...), Auteur . - Rosny-sous-Bois : Bréal, 2019 . - 280 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 21 x 15 cm. - (Essais) .
ISBN : 978-2-7495-3847-1 : 18,50 €
Cette histoire des hommes et des animaux est un ouvrage consacré à notre rapport à l'animal, depuis les premiers hommes et la chasse pour leur survie, jusqu'à nos jours où les rapports aux bêtes ont été totalement inversés au point que l'on ne sait plus vraiment quoi faire de notre contrôle absolu sur cet univers foisonnant, surprenant, affectif et tragique. Retour sur une histoire complexe faite de rapports anthropologiques, religieux, philosophiques ou économiques qui permet d'entrevoir les raisons des débats passionnés sur la cause animale,y compris chez les écologistes.
Langues : Français (fre)
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Société / Morale et éthique sociales / Respect des animaux Attitude envers les animaux Relations homme-animal relation homme animal Index. décimale : S-51 Animal - Psychologie - Sociologie - Ecologie Résumé : Ouvrage consacré aux rapports entre les hommes et les animaux, de la préhistoire jusqu'au monde moderne. Les humains ont dominé les bêtes, les ont intégrées à leurs mythes, les ont étudiées et enfermées mais recherchent aussi leur affection. Une approche pluridisciplinaire, anthropologique, religieuse, philosophique et économique qui sous-tend les débats sur la cause animale Note de contenu : Ce livre nous emmène faire un voyage de deux millions d'années. Au départ, Homo erectus cherche à passer inaperçu au milieu de milliers d'espèces animales, toutes plus étranges, merveilleuses ou dangereuses les unes que les autres. Bien plus tard, il les peint, cherche à dialoguer avec elles, mais au Néolithique, il commence à s'en servir, à les dominer. Il va les intégrer à ses mythes, en faire des victimes sacrificielles, les figurants d'un long débat théologico-philosophique sur la nature de l'âme. Puis il va les collecter, morts ou vifs, un peu partout dans le monde, et va enfin vouloir les étudier scientifiquement, en les enfermant puis en les libérant...
Mais, s'apercevant que ce besoin d'amitié romantique arrive un peu tard, Noé cherche à larguer les amarres à nouveau avec ses créatures à bord, enfin celles qui restent ; saura-t-il s'orienter dans un univers où lui-même a perdu l'essentiel de ses repères ?En ligne : http://michelnarbonne.com/spip.php?article15 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=221979 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 06423 S-51 NAR Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Animal Disponible Documents numériques
N° HS 17 - Le parlement des animaux (Bulletin de Parlement[s] : revue d'histoire politique / Cairn.info, N° HS 17 [13/10/2022]) / Pierre Serna
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PermalinkPermalinkPermalink54 - 21 avril 2017 - Travail animal, l'autre champ du social (Bulletin de Écologie & politique : Sciences Cultures Sociétés / Cairn. info) / Jocelyne Porcher
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Permalink79 - octobre 2019 - Politisation de la cause animale (Bulletin de Cités : philosophie, politique, histoire / Cairn.info et BU de Lettres) / Yves Charles Zarka
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PermalinkPermalinkPermalinkManifeste des espèces compagnes : chiens, humains et autres partenaires / SUDOC / Donna Jeanne Haraway
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Permalinkn°115 - avril 2021 - Morts animales comparées : normes et pratiques en tension (Bulletin de Géographie et cultures / journals.openedition.org et BU de Droit) / Collectif Animort
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