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Jeunes sortant du système de protection de l’enfance en France et au Québec – Faire face aux difficultés de transition vers la vie adulte via un association d’entraide. / Isabelle Lacroix
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Titre : Jeunes sortant du système de protection de l’enfance en France et au Québec – Faire face aux difficultés de transition vers la vie adulte via un association d’entraide. Type de document : document électronique Auteurs : Isabelle Lacroix (1978-...) , Auteur ; Rosira Vargas Diaz, Auteur ; Isabelle-Ann Leclair-Mallette, Auteur ; Martin Goyette (1973-....), Auteur ; Isabelle Frechon (1971-...), Auteur
Mention d'édition : 21/02/2020 Editeur : Paris Cedex 13 - Marly-le-Roi (78) : INJEP (Institut National de la Jeunesse et de l'Éducation Populaire) Année de publication : 2020 Collection : INJEP Notes & Rapports/Rapport d’étude num. INJEPR-2020/03 Importance : 91 p. Format : Note générale : L’Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire publie un rapport d’étude comparée entre la France et le Québec sur les jeunes qui sortent du système de protection de l’enfance et s’engage dans la vie adulte via une association d’entraide.
Dans son rapport de février 2020, l’Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (Injep) détaille les résultats de son étude comparée Jeunes sortant du système de protection de l’enfance en France et au Québec – Faire face aux difficultés de transition vers la vie adulte via un association d’entraide.
La transition vers la vie d’adulte est brutale pour les jeunes “placés”. Sitôt 18 ans (en France) ou 21 ans (au Québec), cette transition s’accompagne d’une injonction à l’autonomie et à l’indépendance dans un contexte socio-économique peu aisé et nombreux sont encore les jeunes qui participent à leur propre émancipation sans aide, méconnaissant trop souvent les associations d’entraide. L’étude de l’Injep se concentre donc sur l’engagement collectif des jeunes, notamment via des organisations de “placés” et d’anciens “placés” par l’Aide sociale à l’enfance (en France) ou par la Direction de la protection de la jeunesse (au Québec).Langues : Français (fre) Mots-clés : placement autonomisation protection enfance droits accompagnement pairs Résumé : Consulter ou télécharger la synthèse de ce document.
L’engagement des jeunes sortant du système de protection de l’enfance dans des causes défendant leurs droits est un phénomène méconnu. Des recherches sont apparues ces dernières années sur la participation individuelle des enfants et des jeunes dans leur propre accompagnement socio-éducatif mais se sont peu centrées sur leur participation collective dans des groupes cherchant à changer les pratiques ou la politique qui les affectent. La recherche menée ici vise à décrire et à comprendre les processus et facteurs d’engagement des jeunes, lors de leur transition vers la vie adulte, dans plusieurs organisations de « placés » et d’anciens « placés » par l’Aide sociale à l’enfance (ASE) ou par la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) en France et au Québec.
Sortir des institutions de la protection de l’enfance à 18 ou à 21 ans confronte ces jeunes à de multiples difficultés d’intégration sociale. La transition vers l’âge adulte des jeunes placés en France comme au Québec s’accompagne d’une injonction à l’autonomie et à l’indépendance dès qu’ils atteignent l’âge de la majorité, dans un contexte de prolongement de la jeunesse sous dépendance familiale et une situation socio-économique sombre en particulier en France.
S’appuyant sur des entretiens de jeunes engagés dans l’accompagnement de leurs pairs, sur des observations de terrain ainsi que sur le recueil de documents issus de ces organisations d’entraide, cette enquête, mobilisant une équipe de recherche internationale et interdisciplinaire, tente de saisir comment et pourquoi ces jeunes placés et sortant de placement sont amenés à s’engager dans des organisations d’entraide et comment ces formes collectives d’engagement peuvent les soutenir dans leur processus d’autonomisation vers l’âge adulte. Cette solidarité entre pairs au sein des organisations d’entraide permet aux jeunes d’acquérir des connaissances sur leurs droits sociaux ainsi qu’un soutien social et un espace dans lequel ils peuvent donner du sens à leurs expériences difficiles de transition vers la vie adulte sans soutien familial. Ces associations d’anciens placés jouent un rôle majeur de soutien pour ces jeunes dans une période de leur vie pauvre en aides sociales. Elles tentent de remédier aux différentes carences des politiques publiques destinées aux 18-25 ans.
Cette recherche montre aussi tout leur travail de sensibilisation auprès des pouvoirs publics, notamment leur rôle dans la mise à l’agenda des problèmes publics qui les concernent (logement à la sortie, insertion professionnelle, continuité dans les études).Note de contenu : TABLE DES MATIÈRES :
INTRODUCTION 5
1. L’engagement des jeunes sortant du système de protection de l’enfance : un phénomène
encore peu exploré 5
Du côté des politiques publiques 6
Du côté de la recherche 7
2. Problématique 8
3. Une recherche comparative entre la France et le Québec 11
France/Québec des relations politiques et scientifiques de longue date 11
Apports de la comparaison internationale 12
4. Accès au terrain, recueil et méthode d’analyse des données qualitatives 13
5. Annonce du plan 18
I. LES CONDITIONS D’ÉMERGENCE D’UNE MOBILISATION COLLECTIVE
DE JEUNES SORTANT DE PLACEMENT 21
1. France : une structuration institutionnelle ancienne de l’entraide
mais une lente émergence dans l’espace public 22
Des pupilles de l’État à l’ensemble des admis à l’Aide sociale à l’enfance 22
De l’entraide à l’influence des politiques publiques 28
La difficile autonomisation des organisations d’entraide par rapport au système de protection de l’enfance 30
2. La voix des jeunes placés et sortant de placement au Québec : une émergence tardive 36
Un réseau dans le Canada anglophone qui existe pourtant depuis 1985 37
L’impulsion à partir de 2010 d’une structuration de réseaux d’anciens placés québécois 38
Des défis de pérennisation beaucoup plus importants qu’en France 41
II. PROFILS DES JEUNES ENGAGÉS DANS LES ORGANISATIONS D’ENTRAIDE 43
1. Une disparité d’âge, de sexe, de capital scolaire, d’origine géographique 44
2. Des jeunes qui ont massivement obtenu le contrat jeune majeur (CJM) et le programme
qualification jeunesse (PQJ) en France et au Québec 50
3. Des trajectoires de placement et antérieures au placement produisant
des capacités ultérieures d’agir ? 51
4. Les freins à l’engagement des jeunes dans les organisations d’entraide 54
Difficultés liées aux jeunes 54
Difficultés liées à l’organisme d’entraide 56
III. RAISONS ET MAINTIEN DE L’ENGAGEMENT : CE QU'APPORTENT LES
ORGANISATIONS D’ENTRAIDE DANS LE PROCESSUS D’AUTONOMISATION 59
1. Raisons initiales de s’engager 60
Une entrée dans l’organisation d’entraide inscrite dans une transition vers l’âge adulte difficile 60
La recherche d’un soutien financier et moral 63
2. Ce qui maintient leur engagement 65
Des liens de sociabilité à une famille de substitution : la création d’un réseau social soutenant à l’âge adulte 66
Un retournement du stigmate d’enfant placé. 68
Une socialisation citoyenne transférable dans d’autres sphères de vie :
de la prise de parole en public aux codes de l’action publique 72
Mobilisation pour leurs droits : changer les conditions de vie des jeunes placés et sortant de placement 73
CONCLUSION GÉNÉRALE 77
BIBLIOGRAPHIE 79En ligne : https://injep.fr/wp-content/uploads/2020/02/rapport-2020-03-jeunes_places.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=239998 Jeunes sortant du système de protection de l’enfance en France et au Québec – Faire face aux difficultés de transition vers la vie adulte via un association d’entraide. [document électronique] / Isabelle Lacroix (1978-...), Auteur ; Rosira Vargas Diaz, Auteur ; Isabelle-Ann Leclair-Mallette, Auteur ; Martin Goyette (1973-....), Auteur ; Isabelle Frechon (1971-...), Auteur . - 21/02/2020 . - Paris Cedex 13 - Marly-le-Roi (78) (95, avenue de France, 75650) : INJEP (Institut National de la Jeunesse et de l'Éducation Populaire), 2020 . - 91 p. ; PDF. - (INJEP Notes & Rapports/Rapport d’étude; INJEPR-2020/03) .
L’Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire publie un rapport d’étude comparée entre la France et le Québec sur les jeunes qui sortent du système de protection de l’enfance et s’engage dans la vie adulte via une association d’entraide.
Dans son rapport de février 2020, l’Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire (Injep) détaille les résultats de son étude comparée Jeunes sortant du système de protection de l’enfance en France et au Québec – Faire face aux difficultés de transition vers la vie adulte via un association d’entraide.
La transition vers la vie d’adulte est brutale pour les jeunes “placés”. Sitôt 18 ans (en France) ou 21 ans (au Québec), cette transition s’accompagne d’une injonction à l’autonomie et à l’indépendance dans un contexte socio-économique peu aisé et nombreux sont encore les jeunes qui participent à leur propre émancipation sans aide, méconnaissant trop souvent les associations d’entraide. L’étude de l’Injep se concentre donc sur l’engagement collectif des jeunes, notamment via des organisations de “placés” et d’anciens “placés” par l’Aide sociale à l’enfance (en France) ou par la Direction de la protection de la jeunesse (au Québec).
Langues : Français (fre)
Mots-clés : placement autonomisation protection enfance droits accompagnement pairs Résumé : Consulter ou télécharger la synthèse de ce document.
L’engagement des jeunes sortant du système de protection de l’enfance dans des causes défendant leurs droits est un phénomène méconnu. Des recherches sont apparues ces dernières années sur la participation individuelle des enfants et des jeunes dans leur propre accompagnement socio-éducatif mais se sont peu centrées sur leur participation collective dans des groupes cherchant à changer les pratiques ou la politique qui les affectent. La recherche menée ici vise à décrire et à comprendre les processus et facteurs d’engagement des jeunes, lors de leur transition vers la vie adulte, dans plusieurs organisations de « placés » et d’anciens « placés » par l’Aide sociale à l’enfance (ASE) ou par la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) en France et au Québec.
Sortir des institutions de la protection de l’enfance à 18 ou à 21 ans confronte ces jeunes à de multiples difficultés d’intégration sociale. La transition vers l’âge adulte des jeunes placés en France comme au Québec s’accompagne d’une injonction à l’autonomie et à l’indépendance dès qu’ils atteignent l’âge de la majorité, dans un contexte de prolongement de la jeunesse sous dépendance familiale et une situation socio-économique sombre en particulier en France.
S’appuyant sur des entretiens de jeunes engagés dans l’accompagnement de leurs pairs, sur des observations de terrain ainsi que sur le recueil de documents issus de ces organisations d’entraide, cette enquête, mobilisant une équipe de recherche internationale et interdisciplinaire, tente de saisir comment et pourquoi ces jeunes placés et sortant de placement sont amenés à s’engager dans des organisations d’entraide et comment ces formes collectives d’engagement peuvent les soutenir dans leur processus d’autonomisation vers l’âge adulte. Cette solidarité entre pairs au sein des organisations d’entraide permet aux jeunes d’acquérir des connaissances sur leurs droits sociaux ainsi qu’un soutien social et un espace dans lequel ils peuvent donner du sens à leurs expériences difficiles de transition vers la vie adulte sans soutien familial. Ces associations d’anciens placés jouent un rôle majeur de soutien pour ces jeunes dans une période de leur vie pauvre en aides sociales. Elles tentent de remédier aux différentes carences des politiques publiques destinées aux 18-25 ans.
Cette recherche montre aussi tout leur travail de sensibilisation auprès des pouvoirs publics, notamment leur rôle dans la mise à l’agenda des problèmes publics qui les concernent (logement à la sortie, insertion professionnelle, continuité dans les études).Note de contenu : TABLE DES MATIÈRES :
INTRODUCTION 5
1. L’engagement des jeunes sortant du système de protection de l’enfance : un phénomène
encore peu exploré 5
Du côté des politiques publiques 6
Du côté de la recherche 7
2. Problématique 8
3. Une recherche comparative entre la France et le Québec 11
France/Québec des relations politiques et scientifiques de longue date 11
Apports de la comparaison internationale 12
4. Accès au terrain, recueil et méthode d’analyse des données qualitatives 13
5. Annonce du plan 18
I. LES CONDITIONS D’ÉMERGENCE D’UNE MOBILISATION COLLECTIVE
DE JEUNES SORTANT DE PLACEMENT 21
1. France : une structuration institutionnelle ancienne de l’entraide
mais une lente émergence dans l’espace public 22
Des pupilles de l’État à l’ensemble des admis à l’Aide sociale à l’enfance 22
De l’entraide à l’influence des politiques publiques 28
La difficile autonomisation des organisations d’entraide par rapport au système de protection de l’enfance 30
2. La voix des jeunes placés et sortant de placement au Québec : une émergence tardive 36
Un réseau dans le Canada anglophone qui existe pourtant depuis 1985 37
L’impulsion à partir de 2010 d’une structuration de réseaux d’anciens placés québécois 38
Des défis de pérennisation beaucoup plus importants qu’en France 41
II. PROFILS DES JEUNES ENGAGÉS DANS LES ORGANISATIONS D’ENTRAIDE 43
1. Une disparité d’âge, de sexe, de capital scolaire, d’origine géographique 44
2. Des jeunes qui ont massivement obtenu le contrat jeune majeur (CJM) et le programme
qualification jeunesse (PQJ) en France et au Québec 50
3. Des trajectoires de placement et antérieures au placement produisant
des capacités ultérieures d’agir ? 51
4. Les freins à l’engagement des jeunes dans les organisations d’entraide 54
Difficultés liées aux jeunes 54
Difficultés liées à l’organisme d’entraide 56
III. RAISONS ET MAINTIEN DE L’ENGAGEMENT : CE QU'APPORTENT LES
ORGANISATIONS D’ENTRAIDE DANS LE PROCESSUS D’AUTONOMISATION 59
1. Raisons initiales de s’engager 60
Une entrée dans l’organisation d’entraide inscrite dans une transition vers l’âge adulte difficile 60
La recherche d’un soutien financier et moral 63
2. Ce qui maintient leur engagement 65
Des liens de sociabilité à une famille de substitution : la création d’un réseau social soutenant à l’âge adulte 66
Un retournement du stigmate d’enfant placé. 68
Une socialisation citoyenne transférable dans d’autres sphères de vie :
de la prise de parole en public aux codes de l’action publique 72
Mobilisation pour leurs droits : changer les conditions de vie des jeunes placés et sortant de placement 73
CONCLUSION GÉNÉRALE 77
BIBLIOGRAPHIE 79En ligne : https://injep.fr/wp-content/uploads/2020/02/rapport-2020-03-jeunes_places.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=239998 Exemplaires
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Consulter ou télécharger la synthèse de ce documentURLDéveloppement du pouvoir d'agir des personnes et des collectifs : une nouvelle approche de l'intervention sociale / Claire Jouffray
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Titre : Développement du pouvoir d'agir des personnes et des collectifs : une nouvelle approche de l'intervention sociale Type de document : texte imprimé Auteurs : Claire Jouffray, Directeur de publication, rédacteur en chef Mention d'édition : 2e édition Editeur : Rennes Cedex : Presses de l'EHESP - École des Hautes Etudes en Santé Publique Année de publication : 2018 Collection : Politiques et Interventions Sociales, ISSN 1281-5845 Importance : 236 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 24 x 16 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8109-0678-9 Prix : 24 € Note générale : Préface, TdM et 4e de couv., en hyperlien (PDF, 16 p.) Langues : Français (fre) Catégories : H TRAVAIL SOCIAL - POLITIQUE SOCIALE Mots-clés : ISIC Action sociale -- Méthodologie Autonomisation Pouvoir (sciences sociales) Intervention sociale d'intérêt collectif Index. décimale : H-10 Travail social - Domaines d'action des travailleurs sociaux Résumé : Des contributions sur le DPA, développement du pouvoir d'agir, approche novatrice qui permet aux travailleurs sociaux de retrouver un sens à leur action. L'ouvrage présente les principaux concepts et les différentes applications possibles à partir de cas concrets. Note de contenu : Bibliogr. p. 231-[232]. Sites Internet. 4e de couv. : "Les travailleurs sociaux sont au coeur d'une injonction paradoxale : rencontrer de plus en plus de personnes précaires (des publics nouveaux) avec de moins en moins de moyens pour les aider (baisse des budgets sociaux). Pour nombre d'entre eux, il en résulte un profond malaise qui peut aller jusqu'à l'épuisement et une remise en cause des postures et des pratiques professionnelles.
L'approche centrée sur le Développement du pouvoir d'agir des personnes et des collectifs (DPA-PC) dont le principe consiste à « passer d'une situation d'impuissance à une situation où les acteurs concernés perçoivent des opportunités concrètes d'agir pour obtenir un changement auquel elles aspirent », développée dans la Ire édition, a permis aux acteurs de terrain de renouer avec les fondements du travail social et retrouver du sens à leur pratique.
À l'appui de huit expériences d'accompagnement, cette nouvelle édition montre comment des intervenants sociaux francophones (France, Belgique, Québec) se sont saisis de ce principe pour initier des pratiques différentes. Ils donnent ainsi à voir en quoi cette approche novatrice est venue interroger les fondamentaux du travail social, bousculer les postures professionnelles dans la pratique de l'intervention sociale (prévention, responsabilisation, engagement collectif et individuel, distance et participation...) et modifier les rapports de pouvoir entre intervenants et usagers.
Cet ouvrage est destiné aux travailleurs sociaux et médico-sociaux, aux dirigeants et cadres pédagogiques dans les structures sociales et centres de formation, aux étudiants en travail social ainsi qu'à tout professionnel qui oeuvre dans le domaine du social."En ligne : https://www.presses.ehesp.fr/wp-content/uploads/2018/02/978-2-8109-0678-9.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=226122 Développement du pouvoir d'agir des personnes et des collectifs : une nouvelle approche de l'intervention sociale [texte imprimé] / Claire Jouffray, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2e édition . - Rennes Cedex (Avenue du Professeur Léon-Bernard, 35043) : Presses de l'EHESP - École des Hautes Etudes en Santé Publique, 2018 . - 236 p. : couv. ill. en coul. ; 24 x 16 cm. - (Politiques et Interventions Sociales, ISSN 1281-5845) .
ISBN : 978-2-8109-0678-9 : 24 €
Préface, TdM et 4e de couv., en hyperlien (PDF, 16 p.)
Langues : Français (fre)
Catégories : H TRAVAIL SOCIAL - POLITIQUE SOCIALE Mots-clés : ISIC Action sociale -- Méthodologie Autonomisation Pouvoir (sciences sociales) Intervention sociale d'intérêt collectif Index. décimale : H-10 Travail social - Domaines d'action des travailleurs sociaux Résumé : Des contributions sur le DPA, développement du pouvoir d'agir, approche novatrice qui permet aux travailleurs sociaux de retrouver un sens à leur action. L'ouvrage présente les principaux concepts et les différentes applications possibles à partir de cas concrets. Note de contenu : Bibliogr. p. 231-[232]. Sites Internet. 4e de couv. : "Les travailleurs sociaux sont au coeur d'une injonction paradoxale : rencontrer de plus en plus de personnes précaires (des publics nouveaux) avec de moins en moins de moyens pour les aider (baisse des budgets sociaux). Pour nombre d'entre eux, il en résulte un profond malaise qui peut aller jusqu'à l'épuisement et une remise en cause des postures et des pratiques professionnelles.
L'approche centrée sur le Développement du pouvoir d'agir des personnes et des collectifs (DPA-PC) dont le principe consiste à « passer d'une situation d'impuissance à une situation où les acteurs concernés perçoivent des opportunités concrètes d'agir pour obtenir un changement auquel elles aspirent », développée dans la Ire édition, a permis aux acteurs de terrain de renouer avec les fondements du travail social et retrouver du sens à leur pratique.
À l'appui de huit expériences d'accompagnement, cette nouvelle édition montre comment des intervenants sociaux francophones (France, Belgique, Québec) se sont saisis de ce principe pour initier des pratiques différentes. Ils donnent ainsi à voir en quoi cette approche novatrice est venue interroger les fondamentaux du travail social, bousculer les postures professionnelles dans la pratique de l'intervention sociale (prévention, responsabilisation, engagement collectif et individuel, distance et participation...) et modifier les rapports de pouvoir entre intervenants et usagers.
Cet ouvrage est destiné aux travailleurs sociaux et médico-sociaux, aux dirigeants et cadres pédagogiques dans les structures sociales et centres de formation, aux étudiants en travail social ainsi qu'à tout professionnel qui oeuvre dans le domaine du social."En ligne : https://www.presses.ehesp.fr/wp-content/uploads/2018/02/978-2-8109-0678-9.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=226122 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 05359 H-10 JOU Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Travail social-Politiques sociales Disponible Documents numériques
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Extrait de 18 p. (pdf)URL
Titre : L'empowerment, une pratique émancipatrice Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Hélène Bacqué , Auteur ; Carole Biewener, Auteur
Editeur : Paris : Éditions La Découverte Année de publication : 2013 Collection : Politique et sociétés Importance : 175 p. Présentation : couv. ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-6733-0 Prix : 16,00 € Note générale : Ce livre très pédagogique, synthétise la foisonnante littérature anglophone sur la notion d'empowerment. Il retrace sa genèse, l'histoire de ses multiples variantes - conservatrices ou progressistes - et celle des pratiques sociales qu'elles ont nourries. Défendant résolument sa version émancipatrice, les auteures en expliquent les limites, mais aussi l'importance pour éclairer les débats contemporains sur la démocratie. Voir aussi la note de lecture de Caroline Helfter, ASH n°2916, p. 35 Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : Société civile Economie entreprises Management politique sociale, citoyenneté, empowerment, concept, émancipation, participation, démocratie Autonomisation Prise de décision Action sociale Index. décimale : A-01 Démocratie participative Résumé : La notion d'empowerment ou "pouvoir d'agir" commence à se diffuser en France sans pour autant y trouver une traduction satisfaisante. Cet ouvrage propose une discussion critique de ses utilisations, du militantisme au management, tout en défendant l'acceptation émancipatrice du concept. Voir aussi : "Comment transformer les individus en véritable puissance d'action ? la notion d'empowerment", avec Marie-Hélène Bacqué, émission Questions d'éthique, 21/02/2013, 29' Note de contenu : Bibliogr. p. 149-[153]. Notes bibliogr. 4e de couv. : "Attention, livre important pour celles et ceux qui questionnent l'incapacité des politiques et des experts à répondre aux défis de notre époque troublée. Et qui s'interrogent sur la façon dont les citoyen(ne)s peuvent construire des alternatives. Ce questionnement est en effet à l'origine, dans les États-Unis d'après guerre, du concept d'empowerment, désignant le «pouvoir d'agir» des individus et des collectifs. Ce concept a connu depuis un succès planétaire dans le monde anglophone. Mais il n'a percé que plus récemment dans les autres espaces culturels, dans les milieux du travail social comme dans la littérature du management.
D'où l'utilité de ce livre très pédagogique, qui synthétise la foisonnante littérature anglophone sur la notion d'empowerment. Il retrace sa genèse, l'histoire de ses multiples variantes - conservatrices ou progressistes - et celle des pratiques sociales qu'elles ont nourries. Des mouvements féministes du Nord et du Sud jusqu'aux programmes de la Banque mondiale et de l'ONU, la notion est utilisée aussi bien dans une perspective radicale d'émancipation que pour conforter les visions néolibérales ou social-libérales. Défendant résolument sa version émancipatrice, les auteures en expliquent les limites, mais aussi l'importance pour éclairer les débats contemporains sur la démocratie."En ligne : http://www.franceculture.fr/emission-questions-d-ethique-comment-transformer-les [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62352 L'empowerment, une pratique émancipatrice [texte imprimé] / Marie-Hélène Bacqué, Auteur ; Carole Biewener, Auteur . - Paris : Éditions La Découverte, 2013 . - 175 p. : couv. ill. ; 22 cm. - (Politique et sociétés) .
ISBN : 978-2-7071-6733-0 : 16,00 €
Ce livre très pédagogique, synthétise la foisonnante littérature anglophone sur la notion d'empowerment. Il retrace sa genèse, l'histoire de ses multiples variantes - conservatrices ou progressistes - et celle des pratiques sociales qu'elles ont nourries. Défendant résolument sa version émancipatrice, les auteures en expliquent les limites, mais aussi l'importance pour éclairer les débats contemporains sur la démocratie. Voir aussi la note de lecture de Caroline Helfter, ASH n°2916, p. 35
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : Société civile Economie entreprises Management politique sociale, citoyenneté, empowerment, concept, émancipation, participation, démocratie Autonomisation Prise de décision Action sociale Index. décimale : A-01 Démocratie participative Résumé : La notion d'empowerment ou "pouvoir d'agir" commence à se diffuser en France sans pour autant y trouver une traduction satisfaisante. Cet ouvrage propose une discussion critique de ses utilisations, du militantisme au management, tout en défendant l'acceptation émancipatrice du concept. Voir aussi : "Comment transformer les individus en véritable puissance d'action ? la notion d'empowerment", avec Marie-Hélène Bacqué, émission Questions d'éthique, 21/02/2013, 29' Note de contenu : Bibliogr. p. 149-[153]. Notes bibliogr. 4e de couv. : "Attention, livre important pour celles et ceux qui questionnent l'incapacité des politiques et des experts à répondre aux défis de notre époque troublée. Et qui s'interrogent sur la façon dont les citoyen(ne)s peuvent construire des alternatives. Ce questionnement est en effet à l'origine, dans les États-Unis d'après guerre, du concept d'empowerment, désignant le «pouvoir d'agir» des individus et des collectifs. Ce concept a connu depuis un succès planétaire dans le monde anglophone. Mais il n'a percé que plus récemment dans les autres espaces culturels, dans les milieux du travail social comme dans la littérature du management.
D'où l'utilité de ce livre très pédagogique, qui synthétise la foisonnante littérature anglophone sur la notion d'empowerment. Il retrace sa genèse, l'histoire de ses multiples variantes - conservatrices ou progressistes - et celle des pratiques sociales qu'elles ont nourries. Des mouvements féministes du Nord et du Sud jusqu'aux programmes de la Banque mondiale et de l'ONU, la notion est utilisée aussi bien dans une perspective radicale d'émancipation que pour conforter les visions néolibérales ou social-libérales. Défendant résolument sa version émancipatrice, les auteures en expliquent les limites, mais aussi l'importance pour éclairer les débats contemporains sur la démocratie."En ligne : http://www.franceculture.fr/emission-questions-d-ethique-comment-transformer-les [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62352 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13457 A-01 BAC Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Débat Public-Démocratie participative Disponible
Titre : Y a-t-il un âge en politique ? Parcours de jeunes maires en France : l Type de document : document électronique Auteurs : Laurent Lardeux , Auteur ; Isabelle Lacroix (1978-...)
, Auteur
Mention d'édition : 05/02/2020 Editeur : Paris Cedex 13 - Marly-le-Roi (78) : INJEP (Institut National de la Jeunesse et de l'Éducation Populaire) Année de publication : 2020 Collection : INJEP Notes & Rapports/Rapport d’étude num. INJEPR-2020/01 Importance : 144 p. Format : Langues : Français (fre) Mots-clés : placement autonomisation protection enfance droits accompagnement pairs Résumé : Dans un contexte de vieillissement accru des élus municipaux depuis les années 1980 et de « crise de la vocation » illustrée par un recul du nombre de jeunes candidats à la fonction de maire et l’augmentation du nombre de démissions, la présente recherche invite à saisir les parcours biographiques de jeunes maires âgés de 18 à 35 ans. Croisant la littérature sur les élus locaux et celle sur les parcours biographiques, ce rapport s’appuie sur 36 entretiens de jeunes maires et sur une enquête quantitative en ligne à laquelle ont répondu 4 784 élus (maires, adjoints, conseillers municipaux) âgés de 18 à 35 ans au moment de l’élection en 2014. Quels sont les événements déclencheurs, les ressources mobilisées, les dispositions intervenant dans l’accès à un mandat municipal ? Comment ces jeunes, qui accèdent à une fonction de leadership et qui sont nourris par des valeurs d’intérêt général, composent-ils leur quotidien entre leur activité de maire et une entrée à l’âge adulte marquée par des responsabilités professionnelles et conjugales ? Existe-t-il une spécificité de la jeunesse dans la manière d’exercer la fonction de maire et dans quelle mesure l’âge induit-il un rapport différent avec les administrés ? Pour répondre à ces différentes questions, ce rapport articule trois temps différents :
– Le premier temps, celui de l’enfance et de l’adolescence, révèle tout d’abord comment se sont construits chez ces jeunes, à partir de l’environnement familial, scolaire, associatif ou professionnel, des dispositions favorables à la prise de responsabilité politique.
– Le second temps porte ensuite sur la campagne municipale, la prise de fonction et les premières années de mandat durant lesquelles l’élu « doit faire ses preuves ». La légitimité pour les jeunes édiles est à la fois à conquérir et à maintenir. À conquérir d’abord, le temps d’une campagne municipale où l’attribut de la jeunesse peut constituer pour les adversaires politiques un élément de fragilité susceptible d’être attaqué. À maintenir ensuite lorsque le jeune maire, une fois élu, se trouve davantage scruté par les administrés en attente de ses premiers faits d’armes.
– Le troisième temps, celui du travail quotidien du maire et des éléments plus projectifs, révèle une forte hétérogénéité de pratiques et d’incarnation de la fonction qui varie fortement selon des variables liées aux caractéristiques de la commune (rurale ou urbaine, politisée ou non, etc.), mais aussi selon les profils sociologiques et les caractéristiques personnelles des maires (homme ou femme ; « néophyte » ou « hypersocialisé politiquement » ; « encarté » ou non ; professionnel de la politique ou salarié exerçant hors de la politique ; etc.). Ces expériences différenciées agissent en retour sur le souhait affirmé ou non pour ces jeunes maires de se représenter aux prochaines élections municipales de 2020.En ligne : https://injep.fr/wp-content/uploads/2020/01/rapport-2019-15-jeunes_maires.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=240000 Y a-t-il un âge en politique ? Parcours de jeunes maires en France : l [document électronique] / Laurent Lardeux, Auteur ; Isabelle Lacroix (1978-...)
, Auteur . - 05/02/2020 . - Paris Cedex 13 - Marly-le-Roi (78) (95, avenue de France, 75650) : INJEP (Institut National de la Jeunesse et de l'Éducation Populaire), 2020 . - 144 p. ; PDF. - (INJEP Notes & Rapports/Rapport d’étude; INJEPR-2020/01) .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : placement autonomisation protection enfance droits accompagnement pairs Résumé : Dans un contexte de vieillissement accru des élus municipaux depuis les années 1980 et de « crise de la vocation » illustrée par un recul du nombre de jeunes candidats à la fonction de maire et l’augmentation du nombre de démissions, la présente recherche invite à saisir les parcours biographiques de jeunes maires âgés de 18 à 35 ans. Croisant la littérature sur les élus locaux et celle sur les parcours biographiques, ce rapport s’appuie sur 36 entretiens de jeunes maires et sur une enquête quantitative en ligne à laquelle ont répondu 4 784 élus (maires, adjoints, conseillers municipaux) âgés de 18 à 35 ans au moment de l’élection en 2014. Quels sont les événements déclencheurs, les ressources mobilisées, les dispositions intervenant dans l’accès à un mandat municipal ? Comment ces jeunes, qui accèdent à une fonction de leadership et qui sont nourris par des valeurs d’intérêt général, composent-ils leur quotidien entre leur activité de maire et une entrée à l’âge adulte marquée par des responsabilités professionnelles et conjugales ? Existe-t-il une spécificité de la jeunesse dans la manière d’exercer la fonction de maire et dans quelle mesure l’âge induit-il un rapport différent avec les administrés ? Pour répondre à ces différentes questions, ce rapport articule trois temps différents :
– Le premier temps, celui de l’enfance et de l’adolescence, révèle tout d’abord comment se sont construits chez ces jeunes, à partir de l’environnement familial, scolaire, associatif ou professionnel, des dispositions favorables à la prise de responsabilité politique.
– Le second temps porte ensuite sur la campagne municipale, la prise de fonction et les premières années de mandat durant lesquelles l’élu « doit faire ses preuves ». La légitimité pour les jeunes édiles est à la fois à conquérir et à maintenir. À conquérir d’abord, le temps d’une campagne municipale où l’attribut de la jeunesse peut constituer pour les adversaires politiques un élément de fragilité susceptible d’être attaqué. À maintenir ensuite lorsque le jeune maire, une fois élu, se trouve davantage scruté par les administrés en attente de ses premiers faits d’armes.
– Le troisième temps, celui du travail quotidien du maire et des éléments plus projectifs, révèle une forte hétérogénéité de pratiques et d’incarnation de la fonction qui varie fortement selon des variables liées aux caractéristiques de la commune (rurale ou urbaine, politisée ou non, etc.), mais aussi selon les profils sociologiques et les caractéristiques personnelles des maires (homme ou femme ; « néophyte » ou « hypersocialisé politiquement » ; « encarté » ou non ; professionnel de la politique ou salarié exerçant hors de la politique ; etc.). Ces expériences différenciées agissent en retour sur le souhait affirmé ou non pour ces jeunes maires de se représenter aux prochaines élections municipales de 2020.En ligne : https://injep.fr/wp-content/uploads/2020/01/rapport-2019-15-jeunes_maires.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=240000 Exemplaires
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