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L’action du Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé pour la recherche et la formation en santé mentale (CCOMS) en faveur de la participation des usagers et des aidants à l’élaboration de la CIM-11 / ROELANDT Jean-Luc in L'information psychiatrique / SCD, John Libbey Eurotext et Cairn, 6 vol 98 (2022)
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Titre : L’action du Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé pour la recherche et la formation en santé mentale (CCOMS) en faveur de la participation des usagers et des aidants à l’élaboration de la CIM-11 Auteurs : ROELANDT Jean-Luc, Auteur ; SEBBANE Déborah, Auteur ; KOENIG Marie, Auteur ; DEMASSIET Vincent, Auteur ; LA CHENELIERE Marie de, Auteur ; ASKEVIS-LEHERPEUX Françoise, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : 435-441 Langues : Français (fre) Mots-clés : CIM 11 NOSOGRAPHIE PSYCHIATRIQUE CENTRE COLLABORATEUR DE L'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE MEDIATEUR DE SANTE PAIR SCHIZOPHRENIE CONCEPT DIAGNOSTIC MEDICAL STIGMATISATION IDENTITE DE GENRE Résumé : En accord avec les préconisations de l’OMS et ses propres valeurs, le CCOMS a inclus les usagers et les aidants dans sa participation à la révision de la CIM. L’article décrit la mise en place de cette démarche participative et illustre comment elle a contribué à faire évoluer la conception de différents diagnostics. Une première action a soutenu la dépsychiatrisation de la transidentité par un changement de nom et un transfert vers une nouvelle catégorie « santé sexuelle », maintenant un accès aux soins tout en réduisant la stigmatisation. Une deuxième action s’est centrée sur le vocabulaire utilisé dans la CIM. Un projet international centré sur les diagnostics d’« épisode dépressif » et de « schizophrénie » confirme d’abord le caractère stigmatisant de l’étiquette « schizophrénie » et montre que le vocabulaire utilisé dans la CIM est souvent incompris des usagers et des aidants. Ces travaux se prolongent par une réflexion autour du diagnostic même de « schizophrénie ». La position du CCOMS est d’aller au-delà d’un simple changement de nom pour déconstruire ce concept à forte charge stigmatisante dont la validité scientifique est grandement contestée. [Résumé d'éditeur] En ligne : https://www.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2022-6-page-435.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288282
in L'information psychiatrique / SCD, John Libbey Eurotext et Cairn > 6 vol 98 (2022) . - 435-441[article] L’action du Centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé pour la recherche et la formation en santé mentale (CCOMS) en faveur de la participation des usagers et des aidants à l’élaboration de la CIM-11 [] / ROELANDT Jean-Luc, Auteur ; SEBBANE Déborah, Auteur ; KOENIG Marie, Auteur ; DEMASSIET Vincent, Auteur ; LA CHENELIERE Marie de, Auteur ; ASKEVIS-LEHERPEUX Françoise, Auteur . - 2022 . - 435-441.
Langues : Français (fre)
in L'information psychiatrique / SCD, John Libbey Eurotext et Cairn > 6 vol 98 (2022) . - 435-441
Mots-clés : CIM 11 NOSOGRAPHIE PSYCHIATRIQUE CENTRE COLLABORATEUR DE L'ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE MEDIATEUR DE SANTE PAIR SCHIZOPHRENIE CONCEPT DIAGNOSTIC MEDICAL STIGMATISATION IDENTITE DE GENRE Résumé : En accord avec les préconisations de l’OMS et ses propres valeurs, le CCOMS a inclus les usagers et les aidants dans sa participation à la révision de la CIM. L’article décrit la mise en place de cette démarche participative et illustre comment elle a contribué à faire évoluer la conception de différents diagnostics. Une première action a soutenu la dépsychiatrisation de la transidentité par un changement de nom et un transfert vers une nouvelle catégorie « santé sexuelle », maintenant un accès aux soins tout en réduisant la stigmatisation. Une deuxième action s’est centrée sur le vocabulaire utilisé dans la CIM. Un projet international centré sur les diagnostics d’« épisode dépressif » et de « schizophrénie » confirme d’abord le caractère stigmatisant de l’étiquette « schizophrénie » et montre que le vocabulaire utilisé dans la CIM est souvent incompris des usagers et des aidants. Ces travaux se prolongent par une réflexion autour du diagnostic même de « schizophrénie ». La position du CCOMS est d’aller au-delà d’un simple changement de nom pour déconstruire ce concept à forte charge stigmatisante dont la validité scientifique est grandement contestée. [Résumé d'éditeur] En ligne : https://www.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2022-6-page-435.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288282 Reliability and validity study of the French-language version of the SCID-D semi-structured clinical interview for diagnosing DSM-5 and ICD-11 dissociative disorders / PIEDFORT-MARIN Olivier in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6S vol 180 (2022)
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Titre : Reliability and validity study of the French-language version of the SCID-D semi-structured clinical interview for diagnosing DSM-5 and ICD-11 dissociative disorders Auteurs : PIEDFORT-MARIN Olivier, Auteur ; AZARMSA Sabine, Auteur ; STEINBERG Marlène, Auteur ; Cyril Tarquinio (1967-...) , Auteur ; NATER Jessie, Auteur ; ZIMMERMANN Eva, Auteur ; WISLER Deborah, Auteur ; PIOT Marie-Eve, Auteur ; CUTTELOD T, Auteur
Année de publication : 2022 Article en page(s) : S1-S9 Note générale : 41 réf. bibliogr. Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Linguistique:Traduction ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Approche scientifique:Travail de recherche:Recherche sur le terrain:Entretien Mots-clés : DIAGNOSTIC VALIDATION TROUBLE DISSOCIATIF DE L'IDENTITE CIM 11 DSM 5 Résumé : Les troubles dissociatifs sont fréquents mais méconnus et difficiles à diagnostiquer. Cet article présente l’étude de validation et de fidélité inter-juge de la traduction française de la nouvelle édition du SCID-D, un entretien semi-structuré pour le diagnostic des troubles dissociatifs selon le DSM-5 et la CIM-11. Matériel : Le SCID-D est l’outil de référence au niveau international pour le diagnostic des troubles dissociatifs et la recherche. Une première section cible l’anamnèse psychiatrique, médicale, somatique du patient et l’usage d’alcool et de drogue. Puis, on questionne sur cinq dimensions fondamentales aux troubles dissociatifs : amnésie, dépersonnalisation, déréalisation, confusion d’identité et altération de l’identité. Enfin, on passe deux sections au choix parmi 11 sections additionnelles afin d’analyser plus en détail la possible présence d’états de personnalité distincts, comme c’est le cas dans le trouble dissociatif de l’identité. Le clinicien score chacun des cinq domaines (de 1=absent à 4=sévère) en suivant le guide de l’interviewer ad hoc . Il peut ensuite choisir de poser un diagnostic selon le DSM-5 ou la CIM-11, en se basant sur les scores aux cinq dimensions et total, les réponses du sujet au SCID-D, et les observations pendant l’entretien. Méthode et sujets : Quarante-neuf sujets ont passé le SCID-D : 20 avec un trouble dissociatif, 19 avec divers troubles psychiatriques (mais pas de trouble dissociatif) et 10 sujets contrôles. L’entretien mené par un premier cotateur était filmé sur vidéo. Puis, un second cotateur (sans connaissance du sujet, ni du diagnostic ni de l’évaluation du premier cotateur) visionnait la vidéo et cotait l’entretien. Les deux cotations étaient ensuite comparées. Les sujets ont également rempli le Somatoform Dissociation Questionnaire (SDQ-20) et le Dissociation Questionnaire (DIS-Q). [d'après le résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1526294 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288225
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6S vol 180 (2022) . - S1-S9[article] Reliability and validity study of the French-language version of the SCID-D semi-structured clinical interview for diagnosing DSM-5 and ICD-11 dissociative disorders [] / PIEDFORT-MARIN Olivier, Auteur ; AZARMSA Sabine, Auteur ; STEINBERG Marlène, Auteur ; Cyril Tarquinio (1967-...), Auteur ; NATER Jessie, Auteur ; ZIMMERMANN Eva, Auteur ; WISLER Deborah, Auteur ; PIOT Marie-Eve, Auteur ; CUTTELOD T, Auteur . - 2022 . - S1-S9.
41 réf. bibliogr.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6S vol 180 (2022) . - S1-S9
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Linguistique:Traduction ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Approche scientifique:Travail de recherche:Recherche sur le terrain:Entretien Mots-clés : DIAGNOSTIC VALIDATION TROUBLE DISSOCIATIF DE L'IDENTITE CIM 11 DSM 5 Résumé : Les troubles dissociatifs sont fréquents mais méconnus et difficiles à diagnostiquer. Cet article présente l’étude de validation et de fidélité inter-juge de la traduction française de la nouvelle édition du SCID-D, un entretien semi-structuré pour le diagnostic des troubles dissociatifs selon le DSM-5 et la CIM-11. Matériel : Le SCID-D est l’outil de référence au niveau international pour le diagnostic des troubles dissociatifs et la recherche. Une première section cible l’anamnèse psychiatrique, médicale, somatique du patient et l’usage d’alcool et de drogue. Puis, on questionne sur cinq dimensions fondamentales aux troubles dissociatifs : amnésie, dépersonnalisation, déréalisation, confusion d’identité et altération de l’identité. Enfin, on passe deux sections au choix parmi 11 sections additionnelles afin d’analyser plus en détail la possible présence d’états de personnalité distincts, comme c’est le cas dans le trouble dissociatif de l’identité. Le clinicien score chacun des cinq domaines (de 1=absent à 4=sévère) en suivant le guide de l’interviewer ad hoc . Il peut ensuite choisir de poser un diagnostic selon le DSM-5 ou la CIM-11, en se basant sur les scores aux cinq dimensions et total, les réponses du sujet au SCID-D, et les observations pendant l’entretien. Méthode et sujets : Quarante-neuf sujets ont passé le SCID-D : 20 avec un trouble dissociatif, 19 avec divers troubles psychiatriques (mais pas de trouble dissociatif) et 10 sujets contrôles. L’entretien mené par un premier cotateur était filmé sur vidéo. Puis, un second cotateur (sans connaissance du sujet, ni du diagnostic ni de l’évaluation du premier cotateur) visionnait la vidéo et cotait l’entretien. Les deux cotations étaient ensuite comparées. Les sujets ont également rempli le Somatoform Dissociation Questionnaire (SDQ-20) et le Dissociation Questionnaire (DIS-Q). [d'après le résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1526294 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288225 Trouble psychotique partagé ou trouble délirant induit ? : Étude d’un cas clinique / CEOARA Bénédicte in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT, 6 vol 179 (2021)
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Titre : Trouble psychotique partagé ou trouble délirant induit ? : Étude d’un cas clinique Auteurs : CEOARA Bénédicte, Auteur ; LITINETSKAIA Marina, Auteur ; AMIOT O, Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : 481-486 Note générale : 30 réf. bibliogr. Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Génétique:Évolution Mots-clés : CAS CLINIQUE DIAGNOSTIC DELIRE A DEUX DELIRE DE FILIATION THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSE REVUE DE LA LITTERATURE HISTORIQUE CIM 11 DSM 5 Résumé : Le trouble délirant induit (CIM 10) ou trouble psychotique partagé (DSM-IV) est un trouble à part entière décrit depuis le XIXe siècle. Il s’agit d’un trouble psychotique au cours duquel un des sujets, dit inducteur, propage son délire à une autre personne, souvent plus vulnérable, dite induite. Ce trouble rare a fait l’objet de nombreuses publications à son sujet, divisant à la fois sur son épidémiologie, ses critères diagnostiques, et le traitement spécifique à proposer. Les deux définitions récentes issues des classifications actuelles peuvent d’ailleurs illustrer cette dichotomie sur certains critères, au-delà de la sémantique même qui oppose ici les termes 'délirant induit' et 'psychose partagée'. De plus, ce trouble a la particularité de questionner sur sa réelle existence puisqu’elle est remise en cause actuellement dans les nouvelles classifications du DSM-5 et de la CIM-11. Pourtant, ce trouble continue d’être observé. Quel avenir imaginer alors pour cette pathologie ? À travers le cas clinique d’un 'délire à deux' concernant deux personnes issues de deux familles différentes partageant un délire de filiation, nous avons étudié les enjeux actuels autour de ce trouble. Nous avons effectué pour cela une revue récente de la littérature. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451087 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288039
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 481-486[article] Trouble psychotique partagé ou trouble délirant induit ? : Étude d’un cas clinique [] / CEOARA Bénédicte, Auteur ; LITINETSKAIA Marina, Auteur ; AMIOT O, Auteur . - 2021 . - 481-486.
30 réf. bibliogr.
in Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique / ScienceDirect via l'ENT > 6 vol 179 (2021) . - 481-486
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Biologie:Génétique:Évolution Mots-clés : CAS CLINIQUE DIAGNOSTIC DELIRE A DEUX DELIRE DE FILIATION THERAPEUTIQUE MEDICAMENTEUSE REVUE DE LA LITTERATURE HISTORIQUE CIM 11 DSM 5 Résumé : Le trouble délirant induit (CIM 10) ou trouble psychotique partagé (DSM-IV) est un trouble à part entière décrit depuis le XIXe siècle. Il s’agit d’un trouble psychotique au cours duquel un des sujets, dit inducteur, propage son délire à une autre personne, souvent plus vulnérable, dite induite. Ce trouble rare a fait l’objet de nombreuses publications à son sujet, divisant à la fois sur son épidémiologie, ses critères diagnostiques, et le traitement spécifique à proposer. Les deux définitions récentes issues des classifications actuelles peuvent d’ailleurs illustrer cette dichotomie sur certains critères, au-delà de la sémantique même qui oppose ici les termes 'délirant induit' et 'psychose partagée'. De plus, ce trouble a la particularité de questionner sur sa réelle existence puisqu’elle est remise en cause actuellement dans les nouvelles classifications du DSM-5 et de la CIM-11. Pourtant, ce trouble continue d’être observé. Quel avenir imaginer alors pour cette pathologie ? À travers le cas clinique d’un 'délire à deux' concernant deux personnes issues de deux familles différentes partageant un délire de filiation, nous avons étudié les enjeux actuels autour de ce trouble. Nous avons effectué pour cela une revue récente de la littérature. [Résumé d'auteur] En ligne : https://www.em-premium.com/article/1451087 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=288039