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144 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'COMPORTEMENT SOCIAL' 



Titre : Penser manger : alimentation et représentations sociales Type de document : texte imprimé Auteurs : Saadi Lahlou, Auteur Mention d'édition : Disponible sur Cairn Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 1998 Collection : Pychologie sociale, ISSN 0993-4901 Importance : 1 vol. (X-239 p.) Présentation : ill. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-049136-1 Note générale : Texte remanié de : Thèse de doctorat : Psychologie : Paris École des hautes études en sciences sociales : 1995.- UNE NOUVELLE METHODE D'ANALYSE DES REPRESENTATIONS SOCIALES EST ICI APPLIQUEE AU CAS DE L'ALIMENTATION. ON EXPOSE, DE LA THEORIE DES REPRESENTATIONS SOCIALES DEVELOPPEE PAR L'ECOLE DE MOSCOVICI, UNE NOUVELLE FORMALISATION A BASE D'ANALYSE COMBINATOIRE. LE FORMALISME PERMET NOTAMMENT DE DECRIRE DE FACON SIMPLE LA PROPAGATION DES REPRESENTATIONS DANS UNE POPULATION, ET LEURS FONCTIONS PRAGMATIQUES. ON FONDE SUR CE FORMALISME "EN RELATIVITE COMPLETE" UNE THEORIE POUR EXTRAIRE, A APRTIR DE CORPUS D'ENONCES LIBRES EN LANGUE NATURELLE, LES ELEMENTS DE BASE QUI CONSTITUENT LES REPRESENTATIONS. ON DEVELOPPE CONCRETEMENT CETTE THEORIE SOUS LA FORME DE METHODES ET DE TECHNIQUES DE RECUEIL ET D'ANALYSE INFORMATISEE DES DONNEES TEXTUELLES CES TECHNIQUES SONT EXPOSEES PUIS APPLIQUEES D'ABORD A 2 CORPUS A PROPOSE DE <MANGER> PROVENANT RESPECTIVEMENT DES ASSOCIATIONS LIBRES PRODUITES PAR 2000 ADULTES FRANCAIS, ET DE 500 DEFINITIONS ISSUES D'UN GRAND DICTIONNAIRE. CES ANALYSES DEGAGENT DES RESULTATS SIMILAIRES : <MANGER> EST CONSTITUE DE SIX NOYAUX DE SENS : LIBIDO, PRENDRE, NOURRITURE, REPAS, REMPLIR, VIVRE. UNE ANALYSE DES EVOCATIONS LIBRES DE <BIEN MANGER> PAR 2000 AUTRES ADULTES FRANCVAIS PERMET ENSUITE DE CLARIFIER LES RELATIONS THEORIQUES ENTRE REPRESENTATIONS ET COMPORTEMENTS. PUIS, A PARTIR NOTAMMENT D'UNE ENQUETE LOURDE SUR 1600 MENAGES (QUELQUES CENTAINES DE QUESTIONS), ON DECRIT LES GRANDS TYPES DE COMPORTEMENTS ET DE REPRESENTATIONS DES FRANCAIS EN MATIERE D'ALIMENTATION, ET ON PRECISE LES LIMITES DE L'INFLUENCE REELLE REPRESENTATIONS SUR LES COMPORTEMENTS. ON DEGAGE ENFIN QUELQUES HYPOTHESES NOUVELLES SUR LES LOIS DE DEVELOPPEMENT DES REPRESENTATIONS INDIVIDUELLES, NOTAMMENT CELLE DU <TROPHISME> (DEVELOPPEMENT PAR L'USAGE DES ASPECTS LES PLUS UTILISES), ET SUR L'ECOLOGIE DES REPRESENTATIONS SOCIALES EN TANT QUE POPULATIONS DE REPRESENTATIONS INDIVIDUELLES, DANS UNE PERSPECTIVE CONSTRUCTIONNISTE. Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : ALIMENTATION COMPORTEMENT SOCIAL SOCIETE Coutumes alimentaires -- France -- Aspect psychologique Food habits -- France -- Psychological aspects Représentations sociales Comportement alimentaire psychologie Sociologie Index. décimale : D-0 Sociologie Résumé : "La description détaillée de la structure, du contenu et des variations des représentations sociales et des comportements alimentaires de la population française contemporaine s'appuie sur l'exploitation d'un matériau empirique considérable : des enquêtes du Crédoc sur des milliers de personnes. Au-delà de cet apport descriptif, l'auteur explique au niveau individuel et social les mécanismes qui lient la pensée à l'action. Cela lui permet aussi de rendre compte de la diversité des représentations et des aspects "" magiques "" de diverses croyances alimentaires, de la coordination sociale des comportements. Il propose enfin quelques hypothèses sur les lois du développement culturel des représentations, celle du trophisme, développement par l'usage des aspects les plus utilisés. " Note de contenu : Notes bibliogr. Bibliogr. p. [221]-234. Index.- Le chercheur en sciences humaines, mais aussi le praticien qui intervient à titre professionnel dans le jeu d'acteurs compliqué de l'alimentation (médecins, pouvoirs publics, industries, médias, consommateurs, experts...) trouveront ici une description détaillée de la structure, du contenu et des variations des représentations sociales et des comportements alimentaires de la population française contemporaine. Ces descriptions s'appuient sur l'exploitation d'un matériau empirique considérable (plusieurs enquêtes lourdes du Crédoc, sur des milliers de personnes, l'analyse de 500 définitions de dictionnaire avec des méthodes nouvelles dans la discipline...). Au-delà de cet apport descriptif, on s'attache à expliciter concrètement, au niveau individuel et social, les mécanismes qui lient la pensée à l'action. Pour cela, la théorie des représentations sociales est ici formalisée d'une manière "calculable ", et examinée dans une perspective fonctionnelle ("que font les gens avec leurs représentations ? "). Cela permet de rendre compte, en passant, de la diversité des représentations observée dans une population, des aspects "magiques " de diverses croyances alimentaires, et surtout de la coordination sociale des comportements. On propose enfin quelques hypothèses sur les lois de développement culturel des représentations, notamment celle du "trophisme " (développement par l'usage des aspects les plus utilisés), et sur l'écologie des représentations sociales en tant que populations de représentations individuelles. Ces hypothèses jettent un pont avec plusieurs autres disciplines des sciences humaines. Au carrefour des sciences de l'homme et de la vie, la psychologie sociale a développé un domaine propre : celui de la communication, des représentations sociales, de la dynamique des groupes, des émotions collectives et des idéologies. Cette collection présentera des ouvrages français, européens et américains qui contribuent de manière originale à la connaissance de ces processus. Elle vise ainsi à marquer la présence et l'identité de la psychologie sociale dans le champ intellectuel. En ligne : http://www.cairn.info.proxy.scd.univ-tours.fr/penser-manger--9782130491361.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=8016 Penser manger : alimentation et représentations sociales [texte imprimé] / Saadi Lahlou, Auteur . - Disponible sur Cairn . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, 1998 . - 1 vol. (X-239 p.) : ill. ; 22 cm. - (Pychologie sociale, ISSN 0993-4901) .
ISBN : 978-2-13-049136-1
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Psychologie : Paris École des hautes études en sciences sociales : 1995.- UNE NOUVELLE METHODE D'ANALYSE DES REPRESENTATIONS SOCIALES EST ICI APPLIQUEE AU CAS DE L'ALIMENTATION. ON EXPOSE, DE LA THEORIE DES REPRESENTATIONS SOCIALES DEVELOPPEE PAR L'ECOLE DE MOSCOVICI, UNE NOUVELLE FORMALISATION A BASE D'ANALYSE COMBINATOIRE. LE FORMALISME PERMET NOTAMMENT DE DECRIRE DE FACON SIMPLE LA PROPAGATION DES REPRESENTATIONS DANS UNE POPULATION, ET LEURS FONCTIONS PRAGMATIQUES. ON FONDE SUR CE FORMALISME "EN RELATIVITE COMPLETE" UNE THEORIE POUR EXTRAIRE, A APRTIR DE CORPUS D'ENONCES LIBRES EN LANGUE NATURELLE, LES ELEMENTS DE BASE QUI CONSTITUENT LES REPRESENTATIONS. ON DEVELOPPE CONCRETEMENT CETTE THEORIE SOUS LA FORME DE METHODES ET DE TECHNIQUES DE RECUEIL ET D'ANALYSE INFORMATISEE DES DONNEES TEXTUELLES CES TECHNIQUES SONT EXPOSEES PUIS APPLIQUEES D'ABORD A 2 CORPUS A PROPOSE DE <MANGER> PROVENANT RESPECTIVEMENT DES ASSOCIATIONS LIBRES PRODUITES PAR 2000 ADULTES FRANCAIS, ET DE 500 DEFINITIONS ISSUES D'UN GRAND DICTIONNAIRE. CES ANALYSES DEGAGENT DES RESULTATS SIMILAIRES : <MANGER> EST CONSTITUE DE SIX NOYAUX DE SENS : LIBIDO, PRENDRE, NOURRITURE, REPAS, REMPLIR, VIVRE. UNE ANALYSE DES EVOCATIONS LIBRES DE <BIEN MANGER> PAR 2000 AUTRES ADULTES FRANCVAIS PERMET ENSUITE DE CLARIFIER LES RELATIONS THEORIQUES ENTRE REPRESENTATIONS ET COMPORTEMENTS. PUIS, A PARTIR NOTAMMENT D'UNE ENQUETE LOURDE SUR 1600 MENAGES (QUELQUES CENTAINES DE QUESTIONS), ON DECRIT LES GRANDS TYPES DE COMPORTEMENTS ET DE REPRESENTATIONS DES FRANCAIS EN MATIERE D'ALIMENTATION, ET ON PRECISE LES LIMITES DE L'INFLUENCE REELLE REPRESENTATIONS SUR LES COMPORTEMENTS. ON DEGAGE ENFIN QUELQUES HYPOTHESES NOUVELLES SUR LES LOIS DE DEVELOPPEMENT DES REPRESENTATIONS INDIVIDUELLES, NOTAMMENT CELLE DU <TROPHISME> (DEVELOPPEMENT PAR L'USAGE DES ASPECTS LES PLUS UTILISES), ET SUR L'ECOLOGIE DES REPRESENTATIONS SOCIALES EN TANT QUE POPULATIONS DE REPRESENTATIONS INDIVIDUELLES, DANS UNE PERSPECTIVE CONSTRUCTIONNISTE.
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : ALIMENTATION COMPORTEMENT SOCIAL SOCIETE Coutumes alimentaires -- France -- Aspect psychologique Food habits -- France -- Psychological aspects Représentations sociales Comportement alimentaire psychologie Sociologie Index. décimale : D-0 Sociologie Résumé : "La description détaillée de la structure, du contenu et des variations des représentations sociales et des comportements alimentaires de la population française contemporaine s'appuie sur l'exploitation d'un matériau empirique considérable : des enquêtes du Crédoc sur des milliers de personnes. Au-delà de cet apport descriptif, l'auteur explique au niveau individuel et social les mécanismes qui lient la pensée à l'action. Cela lui permet aussi de rendre compte de la diversité des représentations et des aspects "" magiques "" de diverses croyances alimentaires, de la coordination sociale des comportements. Il propose enfin quelques hypothèses sur les lois du développement culturel des représentations, celle du trophisme, développement par l'usage des aspects les plus utilisés. " Note de contenu : Notes bibliogr. Bibliogr. p. [221]-234. Index.- Le chercheur en sciences humaines, mais aussi le praticien qui intervient à titre professionnel dans le jeu d'acteurs compliqué de l'alimentation (médecins, pouvoirs publics, industries, médias, consommateurs, experts...) trouveront ici une description détaillée de la structure, du contenu et des variations des représentations sociales et des comportements alimentaires de la population française contemporaine. Ces descriptions s'appuient sur l'exploitation d'un matériau empirique considérable (plusieurs enquêtes lourdes du Crédoc, sur des milliers de personnes, l'analyse de 500 définitions de dictionnaire avec des méthodes nouvelles dans la discipline...). Au-delà de cet apport descriptif, on s'attache à expliciter concrètement, au niveau individuel et social, les mécanismes qui lient la pensée à l'action. Pour cela, la théorie des représentations sociales est ici formalisée d'une manière "calculable ", et examinée dans une perspective fonctionnelle ("que font les gens avec leurs représentations ? "). Cela permet de rendre compte, en passant, de la diversité des représentations observée dans une population, des aspects "magiques " de diverses croyances alimentaires, et surtout de la coordination sociale des comportements. On propose enfin quelques hypothèses sur les lois de développement culturel des représentations, notamment celle du "trophisme " (développement par l'usage des aspects les plus utilisés), et sur l'écologie des représentations sociales en tant que populations de représentations individuelles. Ces hypothèses jettent un pont avec plusieurs autres disciplines des sciences humaines. Au carrefour des sciences de l'homme et de la vie, la psychologie sociale a développé un domaine propre : celui de la communication, des représentations sociales, de la dynamique des groupes, des émotions collectives et des idéologies. Cette collection présentera des ouvrages français, européens et américains qui contribuent de manière originale à la connaissance de ces processus. Elle vise ainsi à marquer la présence et l'identité de la psychologie sociale dans le champ intellectuel. En ligne : http://www.cairn.info.proxy.scd.univ-tours.fr/penser-manger--9782130491361.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=8016 Réservation
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Titre : Les 10-13 ans : peur et passion de grandir : Autrement n°123 sept. 1991 Type de document : texte imprimé Auteurs : AUTREMENT, Collectivité éditrice Editeur : Paris : Éditions Autrement Année de publication : 1991 Collection : Série Mutations (1983), ISSN 0751-0144 num. 123 Importance : 206 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86260-336-0 Catégories : PER Mots-clés : ENFANT ADOLESCENT PUBERTE ARGENT DE POCHE LECTURE IMAGINAIRE PSYCHOLOGIE ANGOISSE PREADO JEUNE famille enfance comportement social droits de l'enfant éducation Index. décimale : PER D-0 AUT Autrement Résumé : Le vécu au quotidien d'une transition entre l'enfance et l' adolescence : les centres d'intérêt, la relation avec l'adulte, la prise de parole accordée ou refusée. Débat sur la Convention internationale des droits de l'enfant. Note de contenu : Voir aussi, en hyperlien, un texte des CEMEA : "Ces 15-18 ans qui nous questionnent... :
« Il nous faut pourtant faire la différence entre les enfants, les adolescents et les jeunes adultes pour ne pas nous tromper et répondre, en tant qu’éducateurs, aux besoins des adolescents tout en nous référant à leurs attentes, leurs intérêts »
Cette intervention visant à travailler sur la connaissance du public adolescent commence par cette question : « Finalement, qui sont ces 15 – 18 ans ? »
Sommaire Des ruptures dans les rapports à son environnement
On peut considérer qu’à cet âge, l’adolescence est en train de se terminer. Beaucoup des transformations sont déjà bien engagées, « ils sont dans l’adolescence ». Physiquement, ils finissent de grandir, le cœur a fini de se développer, permettant des efforts longs, impossibles jusque-là et qui changent le rythme des activités pratiquées. La sexualité est en plein développement, le corps poursuit son changement, les envies aussi et les adolescents en ont conscience. Cette remarque nous renvoie aux 4 ruptures acceptées et regrettées de l’adolescence développées par Alain Braconnier, médecin psychiatre et psychanalyste (« Le guide de l’adolescent », Odile Jacob, 2007...)
1. Rupture par rapport à la dépendance à la famille
A l’entrée au collège, cette rupture se traduit par une déclinaison enfantine. Dans un premier temps, vers 14- 16 ans, l’adolescent demande à ses parents de le déposer avant le collège pour arriver seul et paraître grand, c’est aussi le moment où les jeunes sont demandeurs d’indépendance, veulent faire des choses sans les adultes. On va dormir chez des amis, on passe les après-midi entre jeunes, sans les parents mais souvent encore sous le regard d’un adulte un petit peu plus à distance. Plus tard, vers 16-17 ans, on prend conscience que l’autonomie que l’on gagne est inéluctable et nécessaire. Cette indépendance est revendiquée et démonstrative vis-àvis des autres, des copains, des adultes, mais en même temps ils sont dans une quête permanente (mais loin du regard des autres) de l’affection des parents. Elle est confusément inquiétante, apportant de nouvelles libertés mais apportant aussi la conscience du temps qui passe et du fait que l’on est amené à remplacer ses parents dans la société, à vivre après leur mort. Cette inquiétude et ce besoin d’indépendance se traduit souvent par des rapports conflictuels avec la famille qui reste tout de même le seul point de repère intangible.
2. Acceptation de la sexualité.
Cette partie importante des changements dans la relation à l’autre est source d’excitation, de réjouissance et d’envie de découverte mais aussi d’inquiétude. A ce sujet, un certain nombre d’études montre que l’inquiétude est plus forte pour les garçons que pour les filles, que les questionnements sont aussi très importants pour les garçons. « Vais-je être à la hauteur ? Suis-je normal ? » La pression sociale est forte et il faut y répondre. Cette question et ces inquiétudes fragilisent les adolescents et influent sur les comportements pour maintenir une image publique qui ne laisse pas paraître ces questionnements.
3. La projection dans l’avenir
Là encore il existe une dualité chez les adolescents dans la façon de se projeter dans l’avenir. D’un côté il y a un enthousiasme à se projeter dans un avenir d’adulte rayonnant et abouti, qui a un travail qui lui plaît, une famille et une indépendance qui permettent de s’épanouir. De l’autre côté, il prend conscience des contraintes qu’impose une vie d’adulte et ne souhaite pas forcément les assumer. Les adolescents se réfugient alors dans un mode de vie « Carpe Diem », sur le mode de ce que l’on peut voir dans le film Le Cercle des poètes disparus, on vit les choses au rythme où elles se présentent sans doute parce qu’il est trop difficile de se décider à s’engager dans un avenir qui promet de permettre d’avancer mais dans lequel, une fois engagé il faudra assumer des contraintes d’adulte avec toutes les incertitudes que suppose l’inconnu.
4. Le contrôle des pulsions
L’adolescence est le moment où l’on comprend, on admet qu’il faut maîtriser ses pulsions et ses émotions. On développe un contrôle de soi bénéfique qui permet de moins rougir en public, d’être moins maladroit et moins impulsif dans ses gestes@ Ce même contrôle permet aussi de maîtriser ses envies de faire des bêtises, de respecter les codes sociaux selon les situations. Cette maîtrise est souvent mal vécue par les adolescents qui y voient là une soumission à des règles qu’ils n’ont pas choisies, à l’ordre dominant. Et c’est aussi ce sentiment qui amène à des comportements contestataires. Des réalités différentes et des changements dans la relation aux accueils collectifs Mais parler des 15-18 ans, ce n’est pas parler d’une catégorie homogène de jeunes dont on peut tirer des généralités sans apporter quelques modulations. A 16 ans, c’est la fin de la scolarité obligatoire et c’est aussi la première étape de l’orientation scolaire. Selon le choix qui est fait, les réalités sont différentes : le choix d’une scolarité en cycle long n’amène pas les adolescents dans le même monde que le choix d’une scolarité courte ou, à plus forte raison, de l’apprentissage. L’indépendance financière sera plus ou moins rapide que l’on soit étudiant ou apprenti, se développe aussi parfois un certain complexe du savoir entre les filières longues et les filières « pro ». Les jeunes en apprentissage ou dans les filières courtes ne se jugeant « pas capables » de discuter ou de réfléchir comme pourraient le faire les étudiants des filières longues. C’est aussi l’approche de la majorité légale et notamment la possibilité de passer le permis de conduire, symbole de l’indépendance. C’est dans ce cadre que les structures de jeunesse, qu’ils connaissent souvent depuis leur enfance, essaient de leur proposer un accueil et des activités. Le public qui était captif jusque là, amené par les parents qui souhaitaient les voir au centre, devient un public volatile qu’il faut dans un premier temps faire venir au centre. Il est donc nécessaire de les intéresser, de leur montrer un intérêt pour eux à venir tout en étant vigilant à ne pas devenir démagogique et quitter notre rôle éducatif pour les séduire, en faire uniquement des clients de ces structures.
Sommaire Modes et cultures
Enfin on ne pourrait pas parler des caractéristiques de l’adolescence sans évoquer la relation qui existe (et la confusion) entre intérêt et besoin. Le poids de l’environnement et de la société de consommation est prégnant aussi à cet âge, ce qui fait dire à Jean François : « Dans nos sociétés, l’adolescence, quand on la situe, est devenue moins une tranche d’âge qu’une classe sociale avec son pouvoir d’achat ». La vision qu’en ont ceux qui n’y sont pas met aussi les adolescents sous pression. Les plus jeunes ont hâte d’y être pour grandir plus vite, pendant que les adultes idéalisent ce qu’ils ont pu y vivre créant une nouvelle catégorie, les « adulescents », qui cherchent à se comporter comme de grands ados. Il nous faut pourtant faire la différence entre les enfants, les adolescents et les jeunes adultes pour ne pas nous tromper et répondre, en tant qu’éducateurs, aux besoins des adolescents tout en nous référant à leurs attentes, leurs intérêts.
Ces constatations nous obligent à faire la distinction entre ce que l’on nous présente comme une culture adolescente et les modes qui touchent les adolescents. Les modes sont des supports temporaires qui permettent aux individus une identification à un groupe ; elles ne sont que de passage lorsque la culture serait un élément plus permanent. Si l’adhésion à la musique, l’importance du paraître peuvent apparaître comme des éléments de la culture adolescente, et répondent à un certain nombre de besoins que l’on identifie ensuite, le « rap » et les « jeans slim » restent des modes comme l’ont été le rock et les cheveux longs à leur époque. Si le mécanisme contestataire qui sous-tend le succès de ces mouvements reste le même (ce que l’on identifiera à la culture adolescente), sa traduction varie selon les périodes (ce que l’on identifiera à la mode). Les modes emprisonnent et briment, notre rôle d’éducateur est donc d’identifier les besoins qui se cachent derrière pour y répondre et permettre aux individus de se construire et de progresser :
Exister : Agir, Produire, Créer Chaque adolescent a le besoin d’exister, de se sentir vivre et d’être utile. Le fait d’agir, de produire ou de créer permet à l’individu de laisser une trace. De même que les adultes font des enfants pour continuer de vivre après leur mort, par le souvenir qu’ils laissent, les adolescents ont le besoin de laisser une trace pour le collectif, dans la société. Construire pour se construire.
Exprimer, s’exprimer Par les arts, par la musique, parfois par l’écrit ou par l’oral, les adolescents ressentent le besoin d’affirmer leurs convictions, leurs doutes, de tester leurs idées en commençant leurs phrases par le « Moi, je@ ». Les messages sont parfois directs, parfois indirects, comme ces bandes qui discutent l’air de rien à côté d’un professeur dans le couloir du lycée.
Se socialiser Les phénomènes de modes, de bandes, de « meilleurs amis » sont des illustrations de ce besoin de socialisation. Le besoin de s‘identifier à un groupe, se rassurer quant à sa normalité pousse les adolescents à se rassembler mais aussi à se séparer pour affirmer ou construire une identité. Ce que renvoie l’autre est une sorte de miroir qui rassure sur ses propres choix. « Je ne suis pas le seul, je ne suis donc pas tout à fait dans le faux, je suis normal. » Mais alors que doit-on penser de la solitude, de ces adolescents solitaires ? Est-ce une solitude voulue ou subie ? Comment y répond-on ? Quelques pistes pour des actions réalistes et concrètes De ces quelques remarques sur l’adolescence, il est intéressant de faire le lien avec quelques principes que l’on peut retrouver dans les actions d’animation à destination des 15-18 ans :
Tenir compte du réel, s’appuyer sur le réel pour « faire du vrai » qui donnera du sens et ne sera pas une simple action qui vise à séduire et rester sur les intérêts superficiels que peuvent exprimer les adolescents au premier abord. C’est-à-dire ancrer ces actions dans un environnement, en fonction des besoins fondamentaux des jeunes qui s’inscrivent dans le projet. S’appuyer sur la vie du quartier pour accompagner les plus âgés, ou les plus jeunes, donner des responsabilités vers l’extérieur et la vie locale en préparant, par exemple, les adolescents à être babysitter dans le quartier, en leur proposant de passer le BAFA et en les accompagnant dans cette aventure, en inscrivant leur action dans l’histoire du quartier et de ses habitants.
Tenir compte du rapport au temps des adolescents et de la difficulté de se projeter dans un temps long qui sépare le moment où l’on s’inscrit sur une action et sa réalisation. Entre temps, il y aura eu les difficultés rencontrées pour monter le projet, les phénomènes de groupes qui, lorsqu’un se désengage, entraîne les autres. Puis ils reviendront@ Comment dans cette situation monter un projet à plusieurs mois pour partir en vacances, en voyage ou en chantier solidaire ? Faut-il pour autant ne proposer que des projets courts, à la semaine voire à la journée ? Et pourtant les adolescents ont besoin de s’engager, et c’est aussi la durée qui donne du sens et la satisfaction d’avoir réussi quelque chose.
Enfin, où est l’adulte et que fait-il ? Il reste une aide à la réussite du projet et doit être celui qui donne la visibilité à la réussite tout en accompagnant à l’autonomie. Et l’on retombe sur le besoin de doser notre action entre accompagner et faire à la place. Entre le besoin d’autonomie des adolescents sur les projets (et si l’on parle de projets longs la question est encore plus importante) et le devoir de réussir le projet collectif pour qu’il soit constructif et non destructeur. Si l’on parle de monter un projet de vacances et que l’on engage le projet, il faut qu’un groupe parte en vacances. Peut-être que l’adulte aura dû faire beaucoup de choses à certains moments, mais il faudra aussi qu’il sache profiter des moments d’engagement pour lancer le groupe en autonomie. L’adulte a un devoir d’aider l’adolescent à réussir. En conclusion, il est important dans cette phase de leur vie que les adolescents puissent rencontrer des adultes de passage qui les accompagnent dans ce temps de transition vers l’âge adulte puis qui disparaîtront sûrement. Il faut des adultes en capacité d’écoute qui soient capables de les accompagner dans cette transition. « Des adultes identificatoirs positifs » (d’après le docteur Zeller dans une intervention d’un regroupement des CEMEA)." Benoit LeutreauEn ligne : http://www.cemea.asso.fr/spip.php?article6922 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4104 Les 10-13 ans : peur et passion de grandir : Autrement n°123 sept. 1991 [texte imprimé] / AUTREMENT, Collectivité éditrice . - Paris : Éditions Autrement, 1991 . - 206 p.. - (Série Mutations (1983), ISSN 0751-0144; 123) .
ISBN : 978-2-86260-336-0
Catégories : PER Mots-clés : ENFANT ADOLESCENT PUBERTE ARGENT DE POCHE LECTURE IMAGINAIRE PSYCHOLOGIE ANGOISSE PREADO JEUNE famille enfance comportement social droits de l'enfant éducation Index. décimale : PER D-0 AUT Autrement Résumé : Le vécu au quotidien d'une transition entre l'enfance et l' adolescence : les centres d'intérêt, la relation avec l'adulte, la prise de parole accordée ou refusée. Débat sur la Convention internationale des droits de l'enfant. Note de contenu : Voir aussi, en hyperlien, un texte des CEMEA : "Ces 15-18 ans qui nous questionnent... :
« Il nous faut pourtant faire la différence entre les enfants, les adolescents et les jeunes adultes pour ne pas nous tromper et répondre, en tant qu’éducateurs, aux besoins des adolescents tout en nous référant à leurs attentes, leurs intérêts »
Cette intervention visant à travailler sur la connaissance du public adolescent commence par cette question : « Finalement, qui sont ces 15 – 18 ans ? »
Sommaire Des ruptures dans les rapports à son environnement
On peut considérer qu’à cet âge, l’adolescence est en train de se terminer. Beaucoup des transformations sont déjà bien engagées, « ils sont dans l’adolescence ». Physiquement, ils finissent de grandir, le cœur a fini de se développer, permettant des efforts longs, impossibles jusque-là et qui changent le rythme des activités pratiquées. La sexualité est en plein développement, le corps poursuit son changement, les envies aussi et les adolescents en ont conscience. Cette remarque nous renvoie aux 4 ruptures acceptées et regrettées de l’adolescence développées par Alain Braconnier, médecin psychiatre et psychanalyste (« Le guide de l’adolescent », Odile Jacob, 2007...)
1. Rupture par rapport à la dépendance à la famille
A l’entrée au collège, cette rupture se traduit par une déclinaison enfantine. Dans un premier temps, vers 14- 16 ans, l’adolescent demande à ses parents de le déposer avant le collège pour arriver seul et paraître grand, c’est aussi le moment où les jeunes sont demandeurs d’indépendance, veulent faire des choses sans les adultes. On va dormir chez des amis, on passe les après-midi entre jeunes, sans les parents mais souvent encore sous le regard d’un adulte un petit peu plus à distance. Plus tard, vers 16-17 ans, on prend conscience que l’autonomie que l’on gagne est inéluctable et nécessaire. Cette indépendance est revendiquée et démonstrative vis-àvis des autres, des copains, des adultes, mais en même temps ils sont dans une quête permanente (mais loin du regard des autres) de l’affection des parents. Elle est confusément inquiétante, apportant de nouvelles libertés mais apportant aussi la conscience du temps qui passe et du fait que l’on est amené à remplacer ses parents dans la société, à vivre après leur mort. Cette inquiétude et ce besoin d’indépendance se traduit souvent par des rapports conflictuels avec la famille qui reste tout de même le seul point de repère intangible.
2. Acceptation de la sexualité.
Cette partie importante des changements dans la relation à l’autre est source d’excitation, de réjouissance et d’envie de découverte mais aussi d’inquiétude. A ce sujet, un certain nombre d’études montre que l’inquiétude est plus forte pour les garçons que pour les filles, que les questionnements sont aussi très importants pour les garçons. « Vais-je être à la hauteur ? Suis-je normal ? » La pression sociale est forte et il faut y répondre. Cette question et ces inquiétudes fragilisent les adolescents et influent sur les comportements pour maintenir une image publique qui ne laisse pas paraître ces questionnements.
3. La projection dans l’avenir
Là encore il existe une dualité chez les adolescents dans la façon de se projeter dans l’avenir. D’un côté il y a un enthousiasme à se projeter dans un avenir d’adulte rayonnant et abouti, qui a un travail qui lui plaît, une famille et une indépendance qui permettent de s’épanouir. De l’autre côté, il prend conscience des contraintes qu’impose une vie d’adulte et ne souhaite pas forcément les assumer. Les adolescents se réfugient alors dans un mode de vie « Carpe Diem », sur le mode de ce que l’on peut voir dans le film Le Cercle des poètes disparus, on vit les choses au rythme où elles se présentent sans doute parce qu’il est trop difficile de se décider à s’engager dans un avenir qui promet de permettre d’avancer mais dans lequel, une fois engagé il faudra assumer des contraintes d’adulte avec toutes les incertitudes que suppose l’inconnu.
4. Le contrôle des pulsions
L’adolescence est le moment où l’on comprend, on admet qu’il faut maîtriser ses pulsions et ses émotions. On développe un contrôle de soi bénéfique qui permet de moins rougir en public, d’être moins maladroit et moins impulsif dans ses gestes@ Ce même contrôle permet aussi de maîtriser ses envies de faire des bêtises, de respecter les codes sociaux selon les situations. Cette maîtrise est souvent mal vécue par les adolescents qui y voient là une soumission à des règles qu’ils n’ont pas choisies, à l’ordre dominant. Et c’est aussi ce sentiment qui amène à des comportements contestataires. Des réalités différentes et des changements dans la relation aux accueils collectifs Mais parler des 15-18 ans, ce n’est pas parler d’une catégorie homogène de jeunes dont on peut tirer des généralités sans apporter quelques modulations. A 16 ans, c’est la fin de la scolarité obligatoire et c’est aussi la première étape de l’orientation scolaire. Selon le choix qui est fait, les réalités sont différentes : le choix d’une scolarité en cycle long n’amène pas les adolescents dans le même monde que le choix d’une scolarité courte ou, à plus forte raison, de l’apprentissage. L’indépendance financière sera plus ou moins rapide que l’on soit étudiant ou apprenti, se développe aussi parfois un certain complexe du savoir entre les filières longues et les filières « pro ». Les jeunes en apprentissage ou dans les filières courtes ne se jugeant « pas capables » de discuter ou de réfléchir comme pourraient le faire les étudiants des filières longues. C’est aussi l’approche de la majorité légale et notamment la possibilité de passer le permis de conduire, symbole de l’indépendance. C’est dans ce cadre que les structures de jeunesse, qu’ils connaissent souvent depuis leur enfance, essaient de leur proposer un accueil et des activités. Le public qui était captif jusque là, amené par les parents qui souhaitaient les voir au centre, devient un public volatile qu’il faut dans un premier temps faire venir au centre. Il est donc nécessaire de les intéresser, de leur montrer un intérêt pour eux à venir tout en étant vigilant à ne pas devenir démagogique et quitter notre rôle éducatif pour les séduire, en faire uniquement des clients de ces structures.
Sommaire Modes et cultures
Enfin on ne pourrait pas parler des caractéristiques de l’adolescence sans évoquer la relation qui existe (et la confusion) entre intérêt et besoin. Le poids de l’environnement et de la société de consommation est prégnant aussi à cet âge, ce qui fait dire à Jean François : « Dans nos sociétés, l’adolescence, quand on la situe, est devenue moins une tranche d’âge qu’une classe sociale avec son pouvoir d’achat ». La vision qu’en ont ceux qui n’y sont pas met aussi les adolescents sous pression. Les plus jeunes ont hâte d’y être pour grandir plus vite, pendant que les adultes idéalisent ce qu’ils ont pu y vivre créant une nouvelle catégorie, les « adulescents », qui cherchent à se comporter comme de grands ados. Il nous faut pourtant faire la différence entre les enfants, les adolescents et les jeunes adultes pour ne pas nous tromper et répondre, en tant qu’éducateurs, aux besoins des adolescents tout en nous référant à leurs attentes, leurs intérêts.
Ces constatations nous obligent à faire la distinction entre ce que l’on nous présente comme une culture adolescente et les modes qui touchent les adolescents. Les modes sont des supports temporaires qui permettent aux individus une identification à un groupe ; elles ne sont que de passage lorsque la culture serait un élément plus permanent. Si l’adhésion à la musique, l’importance du paraître peuvent apparaître comme des éléments de la culture adolescente, et répondent à un certain nombre de besoins que l’on identifie ensuite, le « rap » et les « jeans slim » restent des modes comme l’ont été le rock et les cheveux longs à leur époque. Si le mécanisme contestataire qui sous-tend le succès de ces mouvements reste le même (ce que l’on identifiera à la culture adolescente), sa traduction varie selon les périodes (ce que l’on identifiera à la mode). Les modes emprisonnent et briment, notre rôle d’éducateur est donc d’identifier les besoins qui se cachent derrière pour y répondre et permettre aux individus de se construire et de progresser :
Exister : Agir, Produire, Créer Chaque adolescent a le besoin d’exister, de se sentir vivre et d’être utile. Le fait d’agir, de produire ou de créer permet à l’individu de laisser une trace. De même que les adultes font des enfants pour continuer de vivre après leur mort, par le souvenir qu’ils laissent, les adolescents ont le besoin de laisser une trace pour le collectif, dans la société. Construire pour se construire.
Exprimer, s’exprimer Par les arts, par la musique, parfois par l’écrit ou par l’oral, les adolescents ressentent le besoin d’affirmer leurs convictions, leurs doutes, de tester leurs idées en commençant leurs phrases par le « Moi, je@ ». Les messages sont parfois directs, parfois indirects, comme ces bandes qui discutent l’air de rien à côté d’un professeur dans le couloir du lycée.
Se socialiser Les phénomènes de modes, de bandes, de « meilleurs amis » sont des illustrations de ce besoin de socialisation. Le besoin de s‘identifier à un groupe, se rassurer quant à sa normalité pousse les adolescents à se rassembler mais aussi à se séparer pour affirmer ou construire une identité. Ce que renvoie l’autre est une sorte de miroir qui rassure sur ses propres choix. « Je ne suis pas le seul, je ne suis donc pas tout à fait dans le faux, je suis normal. » Mais alors que doit-on penser de la solitude, de ces adolescents solitaires ? Est-ce une solitude voulue ou subie ? Comment y répond-on ? Quelques pistes pour des actions réalistes et concrètes De ces quelques remarques sur l’adolescence, il est intéressant de faire le lien avec quelques principes que l’on peut retrouver dans les actions d’animation à destination des 15-18 ans :
Tenir compte du réel, s’appuyer sur le réel pour « faire du vrai » qui donnera du sens et ne sera pas une simple action qui vise à séduire et rester sur les intérêts superficiels que peuvent exprimer les adolescents au premier abord. C’est-à-dire ancrer ces actions dans un environnement, en fonction des besoins fondamentaux des jeunes qui s’inscrivent dans le projet. S’appuyer sur la vie du quartier pour accompagner les plus âgés, ou les plus jeunes, donner des responsabilités vers l’extérieur et la vie locale en préparant, par exemple, les adolescents à être babysitter dans le quartier, en leur proposant de passer le BAFA et en les accompagnant dans cette aventure, en inscrivant leur action dans l’histoire du quartier et de ses habitants.
Tenir compte du rapport au temps des adolescents et de la difficulté de se projeter dans un temps long qui sépare le moment où l’on s’inscrit sur une action et sa réalisation. Entre temps, il y aura eu les difficultés rencontrées pour monter le projet, les phénomènes de groupes qui, lorsqu’un se désengage, entraîne les autres. Puis ils reviendront@ Comment dans cette situation monter un projet à plusieurs mois pour partir en vacances, en voyage ou en chantier solidaire ? Faut-il pour autant ne proposer que des projets courts, à la semaine voire à la journée ? Et pourtant les adolescents ont besoin de s’engager, et c’est aussi la durée qui donne du sens et la satisfaction d’avoir réussi quelque chose.
Enfin, où est l’adulte et que fait-il ? Il reste une aide à la réussite du projet et doit être celui qui donne la visibilité à la réussite tout en accompagnant à l’autonomie. Et l’on retombe sur le besoin de doser notre action entre accompagner et faire à la place. Entre le besoin d’autonomie des adolescents sur les projets (et si l’on parle de projets longs la question est encore plus importante) et le devoir de réussir le projet collectif pour qu’il soit constructif et non destructeur. Si l’on parle de monter un projet de vacances et que l’on engage le projet, il faut qu’un groupe parte en vacances. Peut-être que l’adulte aura dû faire beaucoup de choses à certains moments, mais il faudra aussi qu’il sache profiter des moments d’engagement pour lancer le groupe en autonomie. L’adulte a un devoir d’aider l’adolescent à réussir. En conclusion, il est important dans cette phase de leur vie que les adolescents puissent rencontrer des adultes de passage qui les accompagnent dans ce temps de transition vers l’âge adulte puis qui disparaîtront sûrement. Il faut des adultes en capacité d’écoute qui soient capables de les accompagner dans cette transition. « Des adultes identificatoirs positifs » (d’après le docteur Zeller dans une intervention d’un regroupement des CEMEA)." Benoit LeutreauEn ligne : http://www.cemea.asso.fr/spip.php?article6922 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=4104 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4387 PER D-0 AUT Périodiques Centre de Documentation Carrières Sociales Périodiques empruntables Disponible 41-42 - octobre 2001 - Les cadres sociaux de la sexualité (Bulletin de Sociétés contemporaines : revue de sciences sociales pluridisciplinaire / Cairn.info)
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est un bulletin de Sociétés contemporaines : revue de sciences sociales pluridisciplinaire / Cairn.info
Titre : 41-42 - octobre 2001 - Les cadres sociaux de la sexualité Type de document : document électronique Année de publication : 2001 Importance : 193 p. Format : 24 x 16 cm Prix : 16,8 € Langues : Français (fre) Mots-clés : SIDA HOMOSEXUALITE COMPORTEMENT SOCIAL TOXICOMANIE POLITIQUE DE LA SANTE LEGISLATION PREVENTION REPRESSION POLITIQUE PUBLIQUE SEXOLOGIE PSYCHOLOGIE SOCIETE Société / Amour et sexualité / Pratiques sexuelles Pratiques sexuelles et connexes Sexualité -- Sociologie Sociologie Résumé : Examine la sexualité humaine sous un angle sociologique, les articles de ce numéro suggérant une complexité et une diversité croissantes des constructions sociales de la sexualité, obligeant les individus à prendre des décisions plus nombreuses et à interpréter eux-mêmes leurs comportements. Note de contenu : 4e de couv. : "a sexualité humaine est nécessairement une construction sociale. Aucun contact sexuel, aussi simple qu'il puisse paraître, n'est imaginable hors de cadres mentaux, de cadres interpersonnels et de cadres historicoculturels qui en fondent la possibilité. Comment rendre compte alors des multiples changements des dernières décennies, souvent qualifiés sans autre forme de procès de «libération sexuelle» ? Les articles de ce numéro suggèrent moins un recul des régulations collectives qu'une complexité et une diversité croissantes des constructions sociales de la sexualité, obligeant les individus à prendre des décisions plus nombreuses et à interpréter eux-mêmes leurs comportements. Ainsi les élaborations «scientifiques» de la sexualité continuent à présenter une grande hétérogénéité, traduisant des représentations culturelles, des orientations intimes, voire des histoires sociales nationales différenciées. Au tournant du XXIe siècle, les débats publics sur l'intimité s'organisent autour d'enjeux moins strictement politiques que dans les années 1970, et font apparaître des positionnements complexes, par exemple sur ce qu'il est possible ou licite de montrer de la sexualité, ou sur l'institutionnalisation des couples de même sexe. Si les styles d'interaction entre hommes et femmes ont beaucoup changé en se diversifiant, et si la diffusion massive de la contraception médicale a représenté un tournant, la négociation sexuelle ne s'effectue toujours pas entre égaux, également libres de leurs mouvements. Plus qu'un parcours assuré, l'histoire contemporaine de la sexualité apparaît comme une suite, plus hésitante et moins prévisible qu'on ne pourrait le penser, de réorganisations des désirs et des relations des hommes et des femmes." En ligne : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/issue/oai:cairn.info:soco_041 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=26404 [n° ou bulletin]41-42 - octobre 2001 - Les cadres sociaux de la sexualité [document électronique] . - 2001 . - 193 p. ; 24 x 16 cm .
est un bulletin de Sociétés contemporaines : revue de sciences sociales pluridisciplinaire / Cairn.info
16,8 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SIDA HOMOSEXUALITE COMPORTEMENT SOCIAL TOXICOMANIE POLITIQUE DE LA SANTE LEGISLATION PREVENTION REPRESSION POLITIQUE PUBLIQUE SEXOLOGIE PSYCHOLOGIE SOCIETE Société / Amour et sexualité / Pratiques sexuelles Pratiques sexuelles et connexes Sexualité -- Sociologie Sociologie Résumé : Examine la sexualité humaine sous un angle sociologique, les articles de ce numéro suggérant une complexité et une diversité croissantes des constructions sociales de la sexualité, obligeant les individus à prendre des décisions plus nombreuses et à interpréter eux-mêmes leurs comportements. Note de contenu : 4e de couv. : "a sexualité humaine est nécessairement une construction sociale. Aucun contact sexuel, aussi simple qu'il puisse paraître, n'est imaginable hors de cadres mentaux, de cadres interpersonnels et de cadres historicoculturels qui en fondent la possibilité. Comment rendre compte alors des multiples changements des dernières décennies, souvent qualifiés sans autre forme de procès de «libération sexuelle» ? Les articles de ce numéro suggèrent moins un recul des régulations collectives qu'une complexité et une diversité croissantes des constructions sociales de la sexualité, obligeant les individus à prendre des décisions plus nombreuses et à interpréter eux-mêmes leurs comportements. Ainsi les élaborations «scientifiques» de la sexualité continuent à présenter une grande hétérogénéité, traduisant des représentations culturelles, des orientations intimes, voire des histoires sociales nationales différenciées. Au tournant du XXIe siècle, les débats publics sur l'intimité s'organisent autour d'enjeux moins strictement politiques que dans les années 1970, et font apparaître des positionnements complexes, par exemple sur ce qu'il est possible ou licite de montrer de la sexualité, ou sur l'institutionnalisation des couples de même sexe. Si les styles d'interaction entre hommes et femmes ont beaucoup changé en se diversifiant, et si la diffusion massive de la contraception médicale a représenté un tournant, la négociation sexuelle ne s'effectue toujours pas entre égaux, également libres de leurs mouvements. Plus qu'un parcours assuré, l'histoire contemporaine de la sexualité apparaît comme une suite, plus hésitante et moins prévisible qu'on ne pourrait le penser, de réorganisations des désirs et des relations des hommes et des femmes." En ligne : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/issue/oai:cairn.info:soco_041 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=26404 ContientExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Pourquoi se mobilise-t-on ? : les théories de l'action collective Type de document : texte imprimé Auteurs : Daniel Céfaï (1961-...), Auteur Mention d'édition : utres tirages : 2012, 2015 Editeur : Paris : Éditions La Découverte Année de publication : 2007 Collection : Recherches (Paris. 1994) Sous-collection : Série Bibliothèque du MAUSS Importance : 727 p. Format : 24 x 16 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7071-5250-3 Prix : 39 € Note générale : MAUSS = Mouvement anti-utilitariste dans les sciences sociales Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : GROUPE COMPORTEMENT SOCIAL REVOLUTION ENGAGEMENT PARTICIPATION SOCIALE ECOLE DE CHICAGO EMEUTE FOULE MOUVEMENT SOCIAL RESEAU société sociologie conditions sociales sciences humaines et sociales relations entre l'Etat et les groupes sociaux organisés groupes sociaux conscience collective sociologie des organisations organisation communautaire manifestation action collective conflit social Goffman, Erving (1922-1982) -- Critique et interprétation
Mouvements sociaux -- 20e siècle
Comportement collectif -- 20e siècle
Sociologie des organisations -- 20e siècle
Participation politique -- 20e siècleIndex. décimale : D-0 Sociologie Résumé : Pourquoi se mobilise-t-on ? L'un des traits propres aux régimes démocratiques est que leurs citoyens disposent d'un droit de regard sur les affaires publiques et, en contrepoint des élections, d'un droit à la critique et à la révolte. Ils discutent, s'associent, s'organisent. Ils constituent des collectifs, revendiquent dans l'espace public, passent des alliances avec partis et syndicats et entrent en conflit avec les pouvoirs établis. Mais qu'est-ce qui les y pousse ? La mobilisation a un coût en énergie et présente des risques, y compris financiers. Pourquoi ne pas laisser les autres se mobiliser à notre place ? Ce livre propose une cartographie de l'état des savoirs sur l'action collective, à partir de tout ce qui a été écrit sur le sujet depuis plus d'un siècle, sur les deux rives de l'Atlantique. L'histoire commence avec les travaux sur les foules et les publics de Tarde et Le Bon, à la fin du XIXe siècle. L'auteur exhume la tradition du comportement collectif née à Chicago dans les années 1920. Il montre le virage accompli par Touraine et Melucci au moment de l'émergence des nouveaux mouvements sociaux - étudiant, féministe, écologiste... - dans les années 1960 et 1970. Il passe en revue les théories de l'action rationnelle, les modèles du processus politique et les analyses des réseaux et des organisations, qui prédominent aujourd'hui. Et il propose de nouvelles perspectives, inspirées de la sociologie culturelle nord-américaine et de la microsociologie de Goffman. Un ouvrage indispensable à tous ceux qui s'intéressent aux mouvements sociaux de notre temps. Note de contenu : Sommaire :
Introduction générale : Problèmes de définition - Qu'est-ce qu'une action collective ? - Qu'est-ce qu'un mouvement social ?
Première partie, Que faire de la théorie du comportement collectif ? La réactivation de l'héritage de la sociologie de Chicago
Deuxième partie, La rupture des années 1970. Le grand chamboulement des analyses rationalistes et structurales
Troisième partie, L'émergence de perspectives alternatives. Rupture historique, mouvement social et mutation culturelle
Quatrième partie : Le legs d'Erving Goffman à la sociologie de l'action collective
Conclusion : Élargir la notion de politique contestataire - Enquêter sur la constitution d'arènes publiques - Engager une anthropologie de la citoyenneté ordinaire - Explorer les perspectives culturelle et microsociologique
Notes bibliogr.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11619 Pourquoi se mobilise-t-on ? : les théories de l'action collective [texte imprimé] / Daniel Céfaï (1961-...), Auteur . - utres tirages : 2012, 2015 . - Paris : Éditions La Découverte, 2007 . - 727 p. ; 24 x 16 cm. - (Recherches (Paris. 1994). Série Bibliothèque du MAUSS, ISSN 1258-4029) .
ISSN : 2-7071-5250-3 : 39 €
MAUSS = Mouvement anti-utilitariste dans les sciences sociales
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : GROUPE COMPORTEMENT SOCIAL REVOLUTION ENGAGEMENT PARTICIPATION SOCIALE ECOLE DE CHICAGO EMEUTE FOULE MOUVEMENT SOCIAL RESEAU société sociologie conditions sociales sciences humaines et sociales relations entre l'Etat et les groupes sociaux organisés groupes sociaux conscience collective sociologie des organisations organisation communautaire manifestation action collective conflit social Goffman, Erving (1922-1982) -- Critique et interprétation
Mouvements sociaux -- 20e siècle
Comportement collectif -- 20e siècle
Sociologie des organisations -- 20e siècle
Participation politique -- 20e siècleIndex. décimale : D-0 Sociologie Résumé : Pourquoi se mobilise-t-on ? L'un des traits propres aux régimes démocratiques est que leurs citoyens disposent d'un droit de regard sur les affaires publiques et, en contrepoint des élections, d'un droit à la critique et à la révolte. Ils discutent, s'associent, s'organisent. Ils constituent des collectifs, revendiquent dans l'espace public, passent des alliances avec partis et syndicats et entrent en conflit avec les pouvoirs établis. Mais qu'est-ce qui les y pousse ? La mobilisation a un coût en énergie et présente des risques, y compris financiers. Pourquoi ne pas laisser les autres se mobiliser à notre place ? Ce livre propose une cartographie de l'état des savoirs sur l'action collective, à partir de tout ce qui a été écrit sur le sujet depuis plus d'un siècle, sur les deux rives de l'Atlantique. L'histoire commence avec les travaux sur les foules et les publics de Tarde et Le Bon, à la fin du XIXe siècle. L'auteur exhume la tradition du comportement collectif née à Chicago dans les années 1920. Il montre le virage accompli par Touraine et Melucci au moment de l'émergence des nouveaux mouvements sociaux - étudiant, féministe, écologiste... - dans les années 1960 et 1970. Il passe en revue les théories de l'action rationnelle, les modèles du processus politique et les analyses des réseaux et des organisations, qui prédominent aujourd'hui. Et il propose de nouvelles perspectives, inspirées de la sociologie culturelle nord-américaine et de la microsociologie de Goffman. Un ouvrage indispensable à tous ceux qui s'intéressent aux mouvements sociaux de notre temps. Note de contenu : Sommaire :
Introduction générale : Problèmes de définition - Qu'est-ce qu'une action collective ? - Qu'est-ce qu'un mouvement social ?
Première partie, Que faire de la théorie du comportement collectif ? La réactivation de l'héritage de la sociologie de Chicago
Deuxième partie, La rupture des années 1970. Le grand chamboulement des analyses rationalistes et structurales
Troisième partie, L'émergence de perspectives alternatives. Rupture historique, mouvement social et mutation culturelle
Quatrième partie : Le legs d'Erving Goffman à la sociologie de l'action collective
Conclusion : Élargir la notion de politique contestataire - Enquêter sur la constitution d'arènes publiques - Engager une anthropologie de la citoyenneté ordinaire - Explorer les perspectives culturelle et microsociologique
Notes bibliogr.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11619 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12411 D-0 CEF Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Sociologie Disponible
Titre : Culture et comportement : 2è éd. Type de document : texte imprimé Auteurs : Geneviève Vinsonneau Editeur : Paris : Armand Colin Année de publication : 2003 Collection : Cursus (Paris), ISSN 1243-0935 Importance : 191 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-26547-2 Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : CULTURE IDENTITE PSYCHOLOGIE SOCIALE ANTHROPOLOGIE ETHNOLOGIE COMPORTEMENT SOCIAL GROUPE PERSONNALITE STATUT SOCIAL SOCIALISATION ECOLE PSYCHOLOGIE COGNITIVE REPRESENTATION PSYCHOLOGIE SOCIOLOGIE Index. décimale : D-10 Ethnologie - Anthropologie Résumé : Etudie les conditions de la connaissance en psychologie interculturelle à travers la psychologie sociale, l'ethnologie, l'anthropologie, la psychanalyse. Analyse à la fois la notion de personne dans une culture donnée, les usages sociaux, l'identité sociale et culturelle et les conséquences de ces spécificités dans les interactions avec les autres cultures et les groupes étrangers. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=9842 Culture et comportement : 2è éd. [texte imprimé] / Geneviève Vinsonneau . - Paris : Armand Colin, 2003 . - 191 p.. - (Cursus (Paris), ISSN 1243-0935) .
ISBN : 978-2-200-26547-2
Catégories : D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE Mots-clés : CULTURE IDENTITE PSYCHOLOGIE SOCIALE ANTHROPOLOGIE ETHNOLOGIE COMPORTEMENT SOCIAL GROUPE PERSONNALITE STATUT SOCIAL SOCIALISATION ECOLE PSYCHOLOGIE COGNITIVE REPRESENTATION PSYCHOLOGIE SOCIOLOGIE Index. décimale : D-10 Ethnologie - Anthropologie Résumé : Etudie les conditions de la connaissance en psychologie interculturelle à travers la psychologie sociale, l'ethnologie, l'anthropologie, la psychanalyse. Analyse à la fois la notion de personne dans une culture donnée, les usages sociaux, l'identité sociale et culturelle et les conséquences de ces spécificités dans les interactions avec les autres cultures et les groupes étrangers. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=9842 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 10522 D-10 VIN Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Anthropologie-Ethnologie Disponible Le deuxième âge de l'individualisme / Georges Vigarello in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit, 7-8, juil.-août 1984, p. 63-69 ([00/00/0000])
PermalinkEnjeux environnementaux et urbains : contribution de la psychologie environnementale / Alain Legendre
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PermalinkIdentités en évolution : individu, famille, communauté aux Etats-Unis / FEHER Michel in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit, 6, juin 1995, p.114-131 ([00/00/0000])
PermalinkPermalinkNerfs à vifs : la vision politique de Naipaul / Pierre PACHET in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit, 10, octobre 1989, p. 5-19 ([00/00/0000])
PermalinkOuvrières aux pièces / COTTIN Jean in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit, 6, juin 1976, p.1089-1104 ([00/00/0000])
PermalinkLa perception d'autrui / SCHANDRON Georges in Sciences humaines, Sciences humaines, 71, avril 1997, p. 28-31 ([00/00/0000])
PermalinkQuand l'ancien crée le nouveau : le rôle des solidarités traditionnelles dans la modernisation du Japon. / SAKUTA Keiichi in Le Débat : histoire, politique, société / Cairn.info, Débat n° 23 janvier 1983 p. 55-68 ([00/00/0000])
PermalinkLa règle du jeu : identité et soumission / PANKOW Gisela in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit, 5, mai 1982, p. 3-21 ([00/00/0000])
PermalinkRôles de l'implication et des émotions dans le traitement et la diffusion d'un message : une approche expérimentale des rumeurs / TAFANI Eric;MARFAING Bénédicte;GUIMELLI Christian in Cahiers Internationaux de Psychologie Sociale (CIPS), Les / Cairn, Cahiers internationaux de psychologie sociale n° 70 2è trimestre 2006 p.3-19 (05/10/2006)
PermalinkAnatomie des idées ordinaires : comment étudier les représentations sociales / FLAMENT Claude;ROUQUELLE Michel-Louis
PermalinkPermalinkL'éducation : élément fondamental du lien social in Éduc' Freinet / SUDOC, 145 (01/2003)
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