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31 - janvier 2020 - Les « NEET », des ressources et des conditions de vie hétérogènes (Bulletin de INJEP analyses & synthèses) / Quentin Francou
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Titre : 31 - janvier 2020 - Les « NEET », des ressources et des conditions de vie hétérogènes Type de document : texte imprimé Auteurs : Quentin Francou, Auteur Année de publication : 2020 Importance : 4 p. Note générale : Enquete ENRJ - Enquête nationale sur les ressources des jeunes Langues : Français (fre) Mots-clés : JEUNE JEUNE EN DIFFICULTE CONDITION DE VIE FRANCE NON DIPLOME Neither in Employment nor in education or training Ni formation, ni diplôme, ni travail NEET Résumé : En France, en 2017, 13,9 % des jeunes de 15 à 29 ans n’étaient ni en emploi, ni en études, ni en formation. Ce 1,6 million de jeunes est couramment désigné par le terme NEET, acronyme anglais de not in employment, education or training. Une analyse des ressources financières des NEET à partir de l’Enquête nationale sur les ressources des jeunes (ENRJ 2014) permet de montrer une forte hétérogénéité dans les conditions de vie, les niveaux et les sources de revenus. Ainsi, les jeunes NEET sortis récemment de l’enseignement supérieur avec un diplôme et ayant déjà travaillé passeront peu de temps dans la catégorie des NEET. Ces jeunes ont des ressources financières 2,5 à 3 fois plus élevées que les NEET sans diplôme et n’ayant jamais travaillé. En ligne : https://injep.fr/wp-content/uploads/2020/01/IAS31-les-NEET.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=55008 [n° ou bulletin] 31 - janvier 2020 - Les « NEET », des ressources et des conditions de vie hétérogènes [texte imprimé] / Quentin Francou, Auteur . - 2020 . - 4 p.
Enquete ENRJ - Enquête nationale sur les ressources des jeunes
Langues : Français (fre)
Mots-clés : JEUNE JEUNE EN DIFFICULTE CONDITION DE VIE FRANCE NON DIPLOME Neither in Employment nor in education or training Ni formation, ni diplôme, ni travail NEET Résumé : En France, en 2017, 13,9 % des jeunes de 15 à 29 ans n’étaient ni en emploi, ni en études, ni en formation. Ce 1,6 million de jeunes est couramment désigné par le terme NEET, acronyme anglais de not in employment, education or training. Une analyse des ressources financières des NEET à partir de l’Enquête nationale sur les ressources des jeunes (ENRJ 2014) permet de montrer une forte hétérogénéité dans les conditions de vie, les niveaux et les sources de revenus. Ainsi, les jeunes NEET sortis récemment de l’enseignement supérieur avec un diplôme et ayant déjà travaillé passeront peu de temps dans la catégorie des NEET. Ces jeunes ont des ressources financières 2,5 à 3 fois plus élevées que les NEET sans diplôme et n’ayant jamais travaillé. En ligne : https://injep.fr/wp-content/uploads/2020/01/IAS31-les-NEET.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=55008 ContientExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Les bénéficiaires d’aides au logement : profils et conditions de vie / Jérôme Hananel in Les Dossiers de la Drees, n° 42 (octobre 2019)
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[article]
Titre : Les bénéficiaires d’aides au logement : profils et conditions de vie Type de document : document électronique Auteurs : Jérôme Hananel ; Lucile Richet-Mastain Année de publication : 2019 Article en page(s) : 28 p Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Politique et bien-être social:Politique sociale ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Répartition par âge:Groupe d'âge:Adolescence:Jeune Use more specific descriptor.; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.45 Etablissements humains et utilisation des terres:Logement ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:PauvretéMots-clés : LEBENSBEDINGUNGEN LIVING CONDITION CONDICION DE VIDA CONDITION DE VIE WOHNUNG HOUSING VIVIENDA SOZIALPOLITIK SOCIAL POLICY POLITICA SOCIAL JUGENDLICHER YOUNG PERSON JOVEN FRANKREICH FRANCIA ERFS - Enquête Revenus fiscaux et sociaux SRCV - Enquête Statistiques sur les ressources et les conditions de vie ENL - Enquête Logement ARMUT POVERTY POBREZA SOZIALSTATISTIK SOCIAL STATISTIC ESTADISTICA SOCIAL STATISTIQUE SOCIALE Résumé : En 2017, le montant total versé au titre des aides au logement est de 18,0 milliards d’euros, soit 225 euros en moyenne par mois et par foyer allocataire. Fin 2017, 6,6 millions de foyers bénéficient d’une aide au logement. Ces aides sont principalement destinées aux ménages locataires de leur résidence principale. Cet article se propose de réaliser un bilan descriptif des conditions de vie des bénéficiaires des aides au loge-ment. L’étude s’appuie notamment sur trois enquêtes de l’Insee : l’enquête Revenus fiscaux et sociaux (ERFS), l’enquête Statistiques sur les ressources et les conditions de vie (SRCV) et l’enquête Logement (ENL). Dans les enquêtes classiques, les ressources des jeunes sont difficilement appréhendables du fait notamment des différentes aides financières qu’ils reçoivent de leurs parents. L’article se propose également d’étudier succinctement les caractéristiques des bénéficiaires d’aides au logement âgés de 18 à 24 ans. Pour se faire, l’enquête nationale sur les ressources des jeunes (ENRJ), menée fin 2014 par la DREES et l’Insee, est mobilisée. Les ménages bénéficiaires d’aides au logement sont plus jeunes, plus féminins, avec une surreprésentation des familles monoparentales, par rapport à l’ensemble des ménages. En lien avec le fait que ces aides sont attribuées sous conditions de ressources, les bénéficiaires ont un niveau de vie mensuel plus faible : 1 190 euros en moyenne et 1 100 euros en médiane contre respectivement 1 950 et 1 690 euros dans l’ensemble de la population. Ils sont ainsi particulièrement confrontés à la pauvreté monétaire : deux sur cinq vivent sous le seuil de pauvreté, quatre sur cinq sous le 4e décile de niveau de vie. Les dépenses mensuelles de logement brutes des ménages bénéficiaires des aides au logement sont très proches de celles de l’ensemble des ménages : 620 euros en moyenne en 2013 contre 640 euros. Destinées à diminuer le poids du logement dans les budgets, les aides au logement réduisent fortement le taux d’effort agrégé en dépenses de logement des ménages qui en bénéficient (41 % avant aides au logement, 27 % après). Pour autant, la pauvreté des bénéficiaires d’aides au logement est accentuée lorsqu’elle est mesurée après déduction des dépenses de logement : près de sept bénéficiaires sur dix vivent ainsi avec un revenu par unité de consommation (UC) après dépenses de logement inférieur à 60 % de la médiane. Bien que ces aides soient attribuées selon des critères de confort minimal, les ménages bénéficiaires vivent davantage que l’ensemble des ménages en situation de surpeuplement (26 % contre 8 %) ou dans un logement présentant au moins un défaut de qualité (38 % contre 23 %). Au total, 28 % des ménages bénéficiaires d’aides au logement sont pauvres en conditions de vie, contre 12 % de l’ensemble des ménages. Presque un quart des jeunes de 18 à 24 ans perçoivent des aides au logement. Deux tiers de ceux qui en perçoivent sont encore en cours d’études, contre la moitié de l’ensemble des 18-24 ans. Les jeunes bénéficiaires sont également plus âgés que l’ensemble : 67 % ont de 21 à 24 ans, contre 57 % pour l’ensemble. Les femmes sont surreprésentées parmi les jeunes bénéficiaires (58 % contre 49 %). En termes d’origine sociale et de revenus des parents, les jeunes bénéficiaires d’aides au logement sont comparables à l’ensemble des jeunes. (Drees) En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/publications/les- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=237700
in Les Dossiers de la Drees > n° 42 (octobre 2019) . - 28 p[article] Les bénéficiaires d’aides au logement : profils et conditions de vie [document électronique] / Jérôme Hananel ; Lucile Richet-Mastain . - 2019 . - 28 p.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de la Drees > n° 42 (octobre 2019) . - 28 p
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Politique et bien-être social:Politique sociale ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Répartition par âge:Groupe d'âge:Adolescence:Jeune Use more specific descriptor.; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.45 Etablissements humains et utilisation des terres:Logement ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:PauvretéMots-clés : LEBENSBEDINGUNGEN LIVING CONDITION CONDICION DE VIDA CONDITION DE VIE WOHNUNG HOUSING VIVIENDA SOZIALPOLITIK SOCIAL POLICY POLITICA SOCIAL JUGENDLICHER YOUNG PERSON JOVEN FRANKREICH FRANCIA ERFS - Enquête Revenus fiscaux et sociaux SRCV - Enquête Statistiques sur les ressources et les conditions de vie ENL - Enquête Logement ARMUT POVERTY POBREZA SOZIALSTATISTIK SOCIAL STATISTIC ESTADISTICA SOCIAL STATISTIQUE SOCIALE Résumé : En 2017, le montant total versé au titre des aides au logement est de 18,0 milliards d’euros, soit 225 euros en moyenne par mois et par foyer allocataire. Fin 2017, 6,6 millions de foyers bénéficient d’une aide au logement. Ces aides sont principalement destinées aux ménages locataires de leur résidence principale. Cet article se propose de réaliser un bilan descriptif des conditions de vie des bénéficiaires des aides au loge-ment. L’étude s’appuie notamment sur trois enquêtes de l’Insee : l’enquête Revenus fiscaux et sociaux (ERFS), l’enquête Statistiques sur les ressources et les conditions de vie (SRCV) et l’enquête Logement (ENL). Dans les enquêtes classiques, les ressources des jeunes sont difficilement appréhendables du fait notamment des différentes aides financières qu’ils reçoivent de leurs parents. L’article se propose également d’étudier succinctement les caractéristiques des bénéficiaires d’aides au logement âgés de 18 à 24 ans. Pour se faire, l’enquête nationale sur les ressources des jeunes (ENRJ), menée fin 2014 par la DREES et l’Insee, est mobilisée. Les ménages bénéficiaires d’aides au logement sont plus jeunes, plus féminins, avec une surreprésentation des familles monoparentales, par rapport à l’ensemble des ménages. En lien avec le fait que ces aides sont attribuées sous conditions de ressources, les bénéficiaires ont un niveau de vie mensuel plus faible : 1 190 euros en moyenne et 1 100 euros en médiane contre respectivement 1 950 et 1 690 euros dans l’ensemble de la population. Ils sont ainsi particulièrement confrontés à la pauvreté monétaire : deux sur cinq vivent sous le seuil de pauvreté, quatre sur cinq sous le 4e décile de niveau de vie. Les dépenses mensuelles de logement brutes des ménages bénéficiaires des aides au logement sont très proches de celles de l’ensemble des ménages : 620 euros en moyenne en 2013 contre 640 euros. Destinées à diminuer le poids du logement dans les budgets, les aides au logement réduisent fortement le taux d’effort agrégé en dépenses de logement des ménages qui en bénéficient (41 % avant aides au logement, 27 % après). Pour autant, la pauvreté des bénéficiaires d’aides au logement est accentuée lorsqu’elle est mesurée après déduction des dépenses de logement : près de sept bénéficiaires sur dix vivent ainsi avec un revenu par unité de consommation (UC) après dépenses de logement inférieur à 60 % de la médiane. Bien que ces aides soient attribuées selon des critères de confort minimal, les ménages bénéficiaires vivent davantage que l’ensemble des ménages en situation de surpeuplement (26 % contre 8 %) ou dans un logement présentant au moins un défaut de qualité (38 % contre 23 %). Au total, 28 % des ménages bénéficiaires d’aides au logement sont pauvres en conditions de vie, contre 12 % de l’ensemble des ménages. Presque un quart des jeunes de 18 à 24 ans perçoivent des aides au logement. Deux tiers de ceux qui en perçoivent sont encore en cours d’études, contre la moitié de l’ensemble des 18-24 ans. Les jeunes bénéficiaires sont également plus âgés que l’ensemble : 67 % ont de 21 à 24 ans, contre 57 % pour l’ensemble. Les femmes sont surreprésentées parmi les jeunes bénéficiaires (58 % contre 49 %). En termes d’origine sociale et de revenus des parents, les jeunes bénéficiaires d’aides au logement sont comparables à l’ensemble des jeunes. (Drees) En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/publications/les- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=237700 Conditions et dépenses de logement selon le niveau de vie des ménages / Mathieu Calvo in Les Dossiers de la Drees, n° 32 (février 2019)
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Titre : Conditions et dépenses de logement selon le niveau de vie des ménages Type de document : document électronique Auteurs : Mathieu Calvo ; Lucile Richet-Mastain ; Antoine Loubet ; Jérôme Hananel Année de publication : 2019 Article en page(s) : 106 p Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Systèmes sociaux:Stratification sociale:Classe sociale:Classe moyenne ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.40 Famille:Famille:Ménage ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.45 Etablissements humains et utilisation des terres:Logement ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Mathématiques et statistiques:Statistique:Donnée statistique Mots-clés : LEBENSBEDINGUNGEN LIVING CONDITION CONDICION DE VIDA CONDITION DE VIE WOHNUNG HOUSING VIVIENDA FRANKREICH FRANCIA HAUSHALT HOUSEHOLD HOGAR MITTELSCHICHT MIDDLE CLASS CLASE MEDIA ARBEITERKLASSE WORKING CLASS CLASE OBRERA CLASSE POPULAIRE STATISTISCHE DATEN STATISTICAL DATA DATO ESTADISTICO Résumé : Malgré une amélioration des conditions de logement en moyenne pour l’ensemble des ménages depuis plusieurs décennies, des écarts persistent selon leur niveau de vie. Les ménages à bas revenus logent dans de moins bonnes conditions que les autres ménages, mais celles?ci s’améliorent, en particulier concernant l’accès au confort élémentaire. Les ménages à bas revenus vivent toujours davantage que les autres dans des logements en situation de surpeuplement. Environ un tiers des ménages à bas revenus vivent dans un logement ayant au moins un « défaut de qualité ». Par ailleurs, parmi les ménages à bas revenus, certains se trouvent dans des conditions de logement particulièrement défavorables : les familles nombreuses, les familles monoparentales, les personnes de nationalité étrangère, etc. Les dépenses de logement (sans prise en compte des aides au logement) sont beaucoup plus liées au statut d’occupation qu’au niveau de vie des ménages. Les aides au logement, versées sous conditions de ressources aux ménages les plus pauvres, réduisent fortement le poids des dépenses de logement dans le budget des ménages qui en bénéficient. Pour autant, le taux d’effort « net » agrégé des ménages à bas revenus est bien supérieur à celui des autres ménages et ce quel que soit leur statut d’occupation. Entre 2001 et 2013, une hausse des taux d’effort nets, portée principalement par celle des dépenses de logement, a été observée pour tous les niveaux de vie et tous les statuts d’occupation mais elle a été particulièrement marquée pour les ménages à bas revenus. En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/publications/les- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=236490
in Les Dossiers de la Drees > n° 32 (février 2019) . - 106 p[article] Conditions et dépenses de logement selon le niveau de vie des ménages [document électronique] / Mathieu Calvo ; Lucile Richet-Mastain ; Antoine Loubet ; Jérôme Hananel . - 2019 . - 106 p.
Langues : Français (fre)
in Les Dossiers de la Drees > n° 32 (février 2019) . - 106 p
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE:Systèmes sociaux:Stratification sociale:Classe sociale:Classe moyenne ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.40 Famille:Famille:Ménage ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.45 Etablissements humains et utilisation des terres:Logement ; S SCIENCES ET TECHNIQUES:Mathématiques et statistiques:Statistique:Donnée statistique Mots-clés : LEBENSBEDINGUNGEN LIVING CONDITION CONDICION DE VIDA CONDITION DE VIE WOHNUNG HOUSING VIVIENDA FRANKREICH FRANCIA HAUSHALT HOUSEHOLD HOGAR MITTELSCHICHT MIDDLE CLASS CLASE MEDIA ARBEITERKLASSE WORKING CLASS CLASE OBRERA CLASSE POPULAIRE STATISTISCHE DATEN STATISTICAL DATA DATO ESTADISTICO Résumé : Malgré une amélioration des conditions de logement en moyenne pour l’ensemble des ménages depuis plusieurs décennies, des écarts persistent selon leur niveau de vie. Les ménages à bas revenus logent dans de moins bonnes conditions que les autres ménages, mais celles?ci s’améliorent, en particulier concernant l’accès au confort élémentaire. Les ménages à bas revenus vivent toujours davantage que les autres dans des logements en situation de surpeuplement. Environ un tiers des ménages à bas revenus vivent dans un logement ayant au moins un « défaut de qualité ». Par ailleurs, parmi les ménages à bas revenus, certains se trouvent dans des conditions de logement particulièrement défavorables : les familles nombreuses, les familles monoparentales, les personnes de nationalité étrangère, etc. Les dépenses de logement (sans prise en compte des aides au logement) sont beaucoup plus liées au statut d’occupation qu’au niveau de vie des ménages. Les aides au logement, versées sous conditions de ressources aux ménages les plus pauvres, réduisent fortement le poids des dépenses de logement dans le budget des ménages qui en bénéficient. Pour autant, le taux d’effort « net » agrégé des ménages à bas revenus est bien supérieur à celui des autres ménages et ce quel que soit leur statut d’occupation. Entre 2001 et 2013, une hausse des taux d’effort nets, portée principalement par celle des dépenses de logement, a été observée pour tous les niveaux de vie et tous les statuts d’occupation mais elle a été particulièrement marquée pour les ménages à bas revenus. En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/publications/les- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=236490 Les conditions de vie des bénéficiaires de minima sociaux et de la prime d’activité fin 2018 / Mathieu Calvo in Les Dossiers de la Drees, n° 61 (juillet 2020)
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Titre : Les conditions de vie des bénéficiaires de minima sociaux et de la prime d’activité fin 2018 Type de document : document électronique Auteurs : Mathieu Calvo ; Lucile Richet-Mastain Année de publication : 2020 Article en page(s) : 32 p Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France Mots-clés : LEBENSBEDINGUNGEN LIVING CONDITION CONDICION DE VIDA CONDITION DE VIE MINDESTEINKOMMEN MINIMUM INCOME INGRESO MINIMO REVENU MINIMUM FRANKREICH FRANCIA Résumé : La moitié des bénéficiaires de revenus minima garantis sont pauvres en conditions de vie. D’après l’enquête auprès des bénéficiaires de minima sociaux (BMS) 2018 de la DREES, en France, la moitié des 6,6 millions de personnes1 bénéficiaires de revenus minima garantis (c’est-à-dire de minima sociaux ou de la prime d’activité) fin 2017 sont pauvres en conditions de vie (graphique A), selon l’indicateur usuel de l’Insee. Elles sont cinq fois plus concernées par cette forme de pauvreté que l’ensemble de la population. Si les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) et de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) sont les plus exposés à la pauvreté en conditions de vie (respectivement 68 % et 63 %), leur situation est relativement stable par rapport à 2012. En revanche, les allocataires de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) et du minimum vieillesse, qui ont des taux de pauvreté en conditions de vie plus faibles (respectivement 45 % et 59 %), voient leur situation se détériorer depuis 2012 (+6 et +9 points). L’enquête BMS ayant été élargie aux bénéficiaires de la prime d’activité, cette étude permet une première analyse des conditions de vie de ses bénéficiaires, qui sont plus proches de celles des bénéficiaires de minima sociaux que de celles de l’ensemble de la population : 46 % sont pauvres en conditions de vie, contre 11 % de l’ensemble de la population. À autres caractéristiques similaires (facteurs sociodémographiques, composition du ménage, etc.), un bénéficiaire du RSA a plus de risques d’être pauvre en conditions de vie qu’un bénéficiaire d’un autre revenu minimum garanti. Être limité dans les activités de la vie quotidienne, chômeur ou inactif, né à l’étranger, résider en région parisienne, être isolé de sa famille ou de ses amis, sont également des facteurs associés à un plus fort risque d’être pauvre en conditions de vie. Plus d’un bénéficiaire de revenus minima garantis sur deux subit des restrictions de consommation. L’indicateur de pauvreté en conditions de vie se compose de quatre dimensions : les restrictions de consommation, les contraintes budgétaires, les retards de paiement et les difficultés de logement. Quelle que soit la dimension, les bénéficiaires de revenus minima garantis sont davantage en difficulté que l’ensemble de la population (graphique B). Si les restrictions de consommation concernent fortement les bénéficiaires de la prime d’activité (45 %), elles sont encore plus fréquentes chez les bénéficiaires de minima sociaux : 65 % d’entre eux déclarent subir d’importantes restrictions de consommation, soit plus de six fois plus que l’ensemble de la population. Les restrictions alimentaires sont particulièrement répandues et conduisent 5 % des bénéficiaires de revenus minima garantis à avoir recours à des distributions de repas ou à des colis alimentaires, et 28 % à consommer des denrées données par leur entourage. 9 % reçoivent une aide alimentaire ou des denrées données par l’entourage et jugent cette aide très importante ou déclarent qu’ils ne pourraient pas vivre sans. Le renoncement aux soins est également important : 18 % des bénéficiaires de revenus minima garantis déclarent avoir renoncé à une consultation de médecin et 29 % à des soins dentaires pour raisons financières.
Près de la moitié des bénéficiaires de revenus minima garantis sont contraints sur un plan budgétaire. L’entourage permet néanmoins de desserrer en partie ces contraintes, en particulier dans les domaines de l’alimentation et du logement. En 2018, plus d’un quart des bénéficiaires de revenus minima garantis ont eu des retards de paiement. Cette dimension de la pauvreté en conditions de vie est la seule qui baisse par rapport à 2012 (-5 points). 14 % avaient encore des factures de l’année impayées fin 2018. Enfin, 19 % des bénéficiaires de revenus minima garantis rencontrent des difficultés de logement fin 2018. Notamment, un tiers des bénéficiaires du RSA vivent dans un logement surpeuplé. La difficulté de logement la plus répandue est celle pour chauffer son logement. Un nouvel indicateur européen de privation matérielle et sociale a récemment été défini. Il permet également de constater les difficultés des bénéficiaires de revenus minima garantis. Selon cet indicateur, environ deux tiers d’entre eux sont en situation de privation matérielle et sociale fin 2018 (au moins cinq difficultés sur treize) contre 14 % de l’ensemble de la population. Ils sont près de la moitié (46 %) en situation de privation sévère (au moins sept difficultés sur treize) contre 8 % de l’ensemble de la population.En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/publications/les- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=246842
in Les Dossiers de la Drees > n° 61 (juillet 2020) . - 32 p[article] Les conditions de vie des bénéficiaires de minima sociaux et de la prime d’activité fin 2018 [document électronique] / Mathieu Calvo ; Lucile Richet-Mastain . - 2020 . - 32 p.
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in Les Dossiers de la Drees > n° 61 (juillet 2020) . - 32 p
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France Mots-clés : LEBENSBEDINGUNGEN LIVING CONDITION CONDICION DE VIDA CONDITION DE VIE MINDESTEINKOMMEN MINIMUM INCOME INGRESO MINIMO REVENU MINIMUM FRANKREICH FRANCIA Résumé : La moitié des bénéficiaires de revenus minima garantis sont pauvres en conditions de vie. D’après l’enquête auprès des bénéficiaires de minima sociaux (BMS) 2018 de la DREES, en France, la moitié des 6,6 millions de personnes1 bénéficiaires de revenus minima garantis (c’est-à-dire de minima sociaux ou de la prime d’activité) fin 2017 sont pauvres en conditions de vie (graphique A), selon l’indicateur usuel de l’Insee. Elles sont cinq fois plus concernées par cette forme de pauvreté que l’ensemble de la population. Si les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) et de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) sont les plus exposés à la pauvreté en conditions de vie (respectivement 68 % et 63 %), leur situation est relativement stable par rapport à 2012. En revanche, les allocataires de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) et du minimum vieillesse, qui ont des taux de pauvreté en conditions de vie plus faibles (respectivement 45 % et 59 %), voient leur situation se détériorer depuis 2012 (+6 et +9 points). L’enquête BMS ayant été élargie aux bénéficiaires de la prime d’activité, cette étude permet une première analyse des conditions de vie de ses bénéficiaires, qui sont plus proches de celles des bénéficiaires de minima sociaux que de celles de l’ensemble de la population : 46 % sont pauvres en conditions de vie, contre 11 % de l’ensemble de la population. À autres caractéristiques similaires (facteurs sociodémographiques, composition du ménage, etc.), un bénéficiaire du RSA a plus de risques d’être pauvre en conditions de vie qu’un bénéficiaire d’un autre revenu minimum garanti. Être limité dans les activités de la vie quotidienne, chômeur ou inactif, né à l’étranger, résider en région parisienne, être isolé de sa famille ou de ses amis, sont également des facteurs associés à un plus fort risque d’être pauvre en conditions de vie. Plus d’un bénéficiaire de revenus minima garantis sur deux subit des restrictions de consommation. L’indicateur de pauvreté en conditions de vie se compose de quatre dimensions : les restrictions de consommation, les contraintes budgétaires, les retards de paiement et les difficultés de logement. Quelle que soit la dimension, les bénéficiaires de revenus minima garantis sont davantage en difficulté que l’ensemble de la population (graphique B). Si les restrictions de consommation concernent fortement les bénéficiaires de la prime d’activité (45 %), elles sont encore plus fréquentes chez les bénéficiaires de minima sociaux : 65 % d’entre eux déclarent subir d’importantes restrictions de consommation, soit plus de six fois plus que l’ensemble de la population. Les restrictions alimentaires sont particulièrement répandues et conduisent 5 % des bénéficiaires de revenus minima garantis à avoir recours à des distributions de repas ou à des colis alimentaires, et 28 % à consommer des denrées données par leur entourage. 9 % reçoivent une aide alimentaire ou des denrées données par l’entourage et jugent cette aide très importante ou déclarent qu’ils ne pourraient pas vivre sans. Le renoncement aux soins est également important : 18 % des bénéficiaires de revenus minima garantis déclarent avoir renoncé à une consultation de médecin et 29 % à des soins dentaires pour raisons financières.
Près de la moitié des bénéficiaires de revenus minima garantis sont contraints sur un plan budgétaire. L’entourage permet néanmoins de desserrer en partie ces contraintes, en particulier dans les domaines de l’alimentation et du logement. En 2018, plus d’un quart des bénéficiaires de revenus minima garantis ont eu des retards de paiement. Cette dimension de la pauvreté en conditions de vie est la seule qui baisse par rapport à 2012 (-5 points). 14 % avaient encore des factures de l’année impayées fin 2018. Enfin, 19 % des bénéficiaires de revenus minima garantis rencontrent des difficultés de logement fin 2018. Notamment, un tiers des bénéficiaires du RSA vivent dans un logement surpeuplé. La difficulté de logement la plus répandue est celle pour chauffer son logement. Un nouvel indicateur européen de privation matérielle et sociale a récemment été défini. Il permet également de constater les difficultés des bénéficiaires de revenus minima garantis. Selon cet indicateur, environ deux tiers d’entre eux sont en situation de privation matérielle et sociale fin 2018 (au moins cinq difficultés sur treize) contre 14 % de l’ensemble de la population. Ils sont près de la moitié (46 %) en situation de privation sévère (au moins sept difficultés sur treize) contre 8 % de l’ensemble de la population.En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/publications/les- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=246842 Documents numériques
Les conditions de vie des étudiants. Thème 2. / Louis Gruel in Éducation et formations / Les publications de la Depp, n° 75 (octobre 2007)
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Les conditions de vie familiale des enseignants / Olivier Monso in Éducation et formations / Les publications de la Depp, n° 101 (novembre 2020)
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PermalinkConditions de vie des jeunes femmes en zone rurale : des inégalités par rapport aux hommes ruraux et aux urbaines / Laurie Pinel in Etudes et résultats, n°1154 (juillet 2020)
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PermalinkÉgalité des chances ? / Claudio Bolzman in Hommes & migrations : revue française de référence sur les dynamiques migratoires / Cité nationale de l'histoire de l'immigration, journals.openedition.org et Cairn.info, 1309 (janvier-février-mars 2015)
PermalinkLogement, travail, voisinage et conditions de vie : ce que le confinement a changé pour les Français / Anne Lambert in Note de synthèse, n° 10, vague 6 (2020)
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PermalinkLogement, travail, voisinage et conditions de vie : ce que le confinement a changé pour les Français / Anne Lambert in Note de synthèse, n° 9, vague 11 (2020)
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Permalinkn° 10, vague 6 - 2020 - Logement, travail, voisinage et conditions de vie : ce que le confinement a changé pour les Français (Bulletin de Note de synthèse)
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Permalinkn° 9, vague 11 - 2020 - Logement, travail, voisinage et conditions de vie : ce que le confinement a changé pour les Français (Bulletin de Note de synthèse)
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PermalinkLes « NEET », des ressources et des conditions de vie hétérogènes / Quentin Francou in INJEP analyses & synthèses, 31 (janvier 2020)
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PermalinkPanorama 2016 : Conditions de vie des étudiant·e·s / Feres Belghith in OVE Infos, n° 34 (février 2017)
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PermalinkQuelles évolutions des conditions de vie après un passage en contrat aidé ? / Isabelle Benoteau in Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats, n° 070 (Septembre 2014)
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PermalinkStatistiques sur les ressources et les conditions de vie (SRCV) in Economie et Statistique / Economics and Statistics. Continuité et internationalisation / INSEE, n° 469-470 (juillet 2014)
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