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Partager le résultat de cette rechercheTerre et capital : penser la destruction de la nature à l'âge de catastrophes globales / Paul Guillibert
Titre : Terre et capital : penser la destruction de la nature à l'âge de catastrophes globales Type de document : document électronique Auteurs : Paul Guillibert, Auteur ; Stéphane Haber (1967-...), Directeur de thèse ; Catherine Larrère (1944-...) Editeur : Paris : Université de Paris X-Nanterre Année de publication : 2021, cop. 2019 Autre Editeur : Paris : Éditions Amsterdam Importance : 623 p./260 p. Format : ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35480-233-2 Prix : 18 € Note générale : Thèse de doctorat : Philosophie : Paris 10 : 2019.- Titre provenant de l'écran-titre. - Ecole(s) Doctorale(s) : École doctorale Connaissance, langage et modélisation (Nanterre). - Partenaire(s) de recherche : Laboratoire de sociologie, philosophie et anthropologie politiques (Nanterre) (Laboratoire), Laboratoire de sociologie, philosophie et anthropologie politiques (Nanterre) (Laboratoire). - Autre(s) contribution(s) : Catherine Larrère (Président du jury) ; Stéphane Haber, Catherine Larrère, Razmig Keucheyan, Christophe Bonneuil, Émilie Hache, Pierre Charbonnier (Membre(s) du jury) ; Razmig Keucheyan, Christophe Bonneuil (Rapporteur(s)) Langues : Français (fre) Mots-clés : Capitalisme Nature Histoire environnementale Cosmopolitique Marxisme Catastrophe Destruction Climat -- Changements -- Aspect politique Matérialisme historique Naturalisme (philosophie) Catastrophes écologiques Résumé : Que change « l’intrusion de Gaïa » à la pensée socialiste et en particulier au marxisme ? Peut-on maintenir la critique du capitalisme et le projet révolutionnaire « au temps des catastrophes » ? Ce travail défend que la destruction contemporaine de la nature impose un triple chantier à la philosophie héritée du marxisme. En premier lieu, le capitalisme doit être repensé à partir de son histoire environnementale de longue durée. Il apparaitra alors comme un système qui évolue et se transforme en fonction des natures qu’il s’approprie. En deuxième lieu, penser la destruction de la nature suppose une ontologie naturaliste sur laquelle fonder une critique des pratiques sociales destructrices et à partir de laquelle il est possible d’imaginer de nouvelles relations naturelles. En troisième lieu, nous assistons à l’intervention spontanée d’une multiplicité d’êtres non humains dans nos histoires sociales. Cette puissance d’agir des « natures historiques » modifie le sol de nos expériences politiques et recompose notre cosmopolitique révolutionnaire. À condition d’être repensé à partir de l’expérience de la destruction de la nature, le matérialisme historique peut fournir les ressorts nécessaires à la formulation d’un programme d’émancipation sociale adapté à l’âge des catastrophes globales. Note de contenu : L'humanité a basculé dans l’ère des catastrophes globales. Partout sur la planète les forêts brûlent, les océans s’asphyxient, les espèces disparaissent. La sixième extinction de masse est en marche. L’urgence commande l’élaboration d’une politique qui conjurerait la destruction généralisée de la vie : un communisme du vivant. Puisque la crise environnementale procède de la recherche effrénée du profit, toute écologie politique formulée en dehors de cet horizon est vouée à l’échec. S’appuyant sur une lecture conjointe du marxisme et des humanités environnementales, Paul Guillibert défend une philosophie sociale de la nature pour démontrer que la préservation de la biosphère est devenue une condition nécessaire à l’émancipation.
Tentative inédite de fournir une assise théorique aux luttes pour les usages de la Terre et à la prise en compte des non-humains, cet essai propose une ambitieuse actualisation du projet communiste, fondée sur la protection du vivant.En ligne : https://bdr.parisnanterre.fr/theses/internet/2019/2019PA100069/2019PA100069.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=270222 Terre et capital : penser la destruction de la nature à l'âge de catastrophes globales [document électronique] / Paul Guillibert, Auteur ; Stéphane Haber (1967-...), Directeur de thèse ; Catherine Larrère (1944-...)
ISBN : 978-2-35480-233-2 : 18 €
Thèse de doctorat : Philosophie : Paris 10 : 2019.- Titre provenant de l'écran-titre. - Ecole(s) Doctorale(s) : École doctorale Connaissance, langage et modélisation (Nanterre). - Partenaire(s) de recherche : Laboratoire de sociologie, philosophie et anthropologie politiques (Nanterre) (Laboratoire), Laboratoire de sociologie, philosophie et anthropologie politiques (Nanterre) (Laboratoire). - Autre(s) contribution(s) : Catherine Larrère (Président du jury) ; Stéphane Haber, Catherine Larrère, Razmig Keucheyan, Christophe Bonneuil, Émilie Hache, Pierre Charbonnier (Membre(s) du jury) ; Razmig Keucheyan, Christophe Bonneuil (Rapporteur(s))
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Capitalisme Nature Histoire environnementale Cosmopolitique Marxisme Catastrophe Destruction Climat -- Changements -- Aspect politique Matérialisme historique Naturalisme (philosophie) Catastrophes écologiques Résumé : Que change « l’intrusion de Gaïa » à la pensée socialiste et en particulier au marxisme ? Peut-on maintenir la critique du capitalisme et le projet révolutionnaire « au temps des catastrophes » ? Ce travail défend que la destruction contemporaine de la nature impose un triple chantier à la philosophie héritée du marxisme. En premier lieu, le capitalisme doit être repensé à partir de son histoire environnementale de longue durée. Il apparaitra alors comme un système qui évolue et se transforme en fonction des natures qu’il s’approprie. En deuxième lieu, penser la destruction de la nature suppose une ontologie naturaliste sur laquelle fonder une critique des pratiques sociales destructrices et à partir de laquelle il est possible d’imaginer de nouvelles relations naturelles. En troisième lieu, nous assistons à l’intervention spontanée d’une multiplicité d’êtres non humains dans nos histoires sociales. Cette puissance d’agir des « natures historiques » modifie le sol de nos expériences politiques et recompose notre cosmopolitique révolutionnaire. À condition d’être repensé à partir de l’expérience de la destruction de la nature, le matérialisme historique peut fournir les ressorts nécessaires à la formulation d’un programme d’émancipation sociale adapté à l’âge des catastrophes globales. Note de contenu : L'humanité a basculé dans l’ère des catastrophes globales. Partout sur la planète les forêts brûlent, les océans s’asphyxient, les espèces disparaissent. La sixième extinction de masse est en marche. L’urgence commande l’élaboration d’une politique qui conjurerait la destruction généralisée de la vie : un communisme du vivant. Puisque la crise environnementale procède de la recherche effrénée du profit, toute écologie politique formulée en dehors de cet horizon est vouée à l’échec. S’appuyant sur une lecture conjointe du marxisme et des humanités environnementales, Paul Guillibert défend une philosophie sociale de la nature pour démontrer que la préservation de la biosphère est devenue une condition nécessaire à l’émancipation.
Tentative inédite de fournir une assise théorique aux luttes pour les usages de la Terre et à la prise en compte des non-humains, cet essai propose une ambitieuse actualisation du projet communiste, fondée sur la protection du vivant.En ligne : https://bdr.parisnanterre.fr/theses/internet/2019/2019PA100069/2019PA100069.pdf Format de la ressource électronique : Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=270222 Exemplaires
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![Décoloniser l’écologie est nécessaire ; démystifier le capital dans ses rapports à la terre [1] l’est tout autant. Je reprends ici l’intitulé de la thèse de philosophie soutenue par Paul Guillibert en octobre 2019 à l’université Paris Nanterre, Terre et - URL](https://cs.iut.univ-tours.fr/images/mimetype/url.gif "Décoloniser l’écologie est nécessaire ; démystifier le capital dans ses rapports à la terre [1] l’est tout autant. Je reprends ici l’intitulé de la thèse de philosophie soutenue par Paul Guillibert en octobre 2019 à l’université Paris Nanterre, Terre et - URL")
Décoloniser l’écologie est nécessaire ; démystifier le capital dans ses rapports à la terre [1] l’est tout autant. Je reprends ici l’intitulé de la thèse de philosophie soutenue par Paul Guillibert en octobre 2019 à l’université Paris Nanterre, Terre etURL
Lire un extraitURLUn diable d'animal in Salamandre : la revue des curieux de nature / BM de Tours, n° 194 (octobre 2009)
Titre : Un diable d'animal Type de document : texte imprimé Année de publication : octobre 2009 Article en page(s) : p. 24-25 Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Religion:Religions:Religion ancienne:Christianisme:Catholicisme Mots-clés : OURS DESTRUCTION Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=133089
in Salamandre : la revue des curieux de nature / BM de Tours > n° 194 (octobre 2009) . - p. 24-25[article] Un diable d'animal [texte imprimé] . - octobre 2009 . - p. 24-25.
Langues : Français (fre)
in Salamandre : la revue des curieux de nature / BM de Tours > n° 194 (octobre 2009) . - p. 24-25
Titre : École publique et Émancipation sociale Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence De Cock (1970-...) Mention d'édition : cf. une partie de l’introduction et de la conclusion en « bonnes feuilles », en hyperlien Editeur : Marseille : Agone éditeur Année de publication : 2021 Collection : « Contre-feux » (Marseille), ISSN 1296-1787 Importance : 216 p. Format : 12 x 19,5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7489-0471-0 Prix : 16 € Note générale : Jamais le démantèlement de l’école publique n’aura été aussi brutal que sous le mandat présidentiel d’Emmanuel Macron. De la maternelle à l’université, ce sont les enfants des catégories populaires qui en paient le prix fort. En face, la résistance est faible. Doit-on y voir la perte du sens de l’école publique ? Même si la démocratisation scolaire n’a jamais tenu toutes ses promesses, il ne faut pas pour autant en abandonner les ambitions, sans lesquelles aucune émancipation sociale n’est possible.
Après avoir dressé le tableau noir des conséquences des réformes éducatives récentes que la crise sanitaire n’a fait que révéler, ce livre revient sur les fondements historiques des principes d’une éducation nationale théorisée par les révolutionnaires français en 1793, principes généreux enrichis par certains pédagogues de l’éducation nouvelle et qui ont guidé chaque grand moment de démocratisation scolaire, de Jean Zay sous le Front populaire au plan Langevin-Wallon après la Libération.
Qu’en reste-t-il aujourd’hui et sur quelles bases refonder une école au service des masses ? Aux anciens défis, d’autres se sont ajoutés : les nuisances de l’idéologie néolibérale, la défiance grandissante à l’égard de la pensée rationnelle et critique autant que des pédagogies de transformation sociale.Langues : Français (fre) Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION Mots-clés : Démocratisation de l'enseignement -- Systèmes d'enseignement -- Enseignement -- Évaluation -- Démocratisation de l'enseignement -- France -- 1990-... Education / Questions sur l'école et l'éducation / Accès à l'éducation Questions particulières sur les politiques en matière d'enseignement public Systèmes d'enseignement destruction école publique jalons refondation histoire de l'éducation, réforme, décideur en matière de politique éducative Index. décimale : G-11 Ecoles différentes - Méthodes expérimentales Résumé : Alors que l’école publique est plus fragile que jamais, ce livre remonte aux fondamentaux. Entre le détournement des pédagogies alterxnatives et les assauts du néolibéralisme, la voie est étroite pour faire renaître un projet d’émancipation sociale.
L’ÉCOLE PUBLIQUE COMME LABORATOIRE POUR L’ÉMANCIPATION SOCIALE DE TOUTES ET TOUS
20 août 2021
À quoi sert l’École
Alors que l’école publique est plus fragile que jamais, fruit de trente ans de réformes, de droite comme de gauche, le régime du ministère Blanquer sous Covid révèle la profondeur de la crise. Ce livre remonte aux fondamentaux d’un projet qui prend source dans la Révolution française, se réaffirme au temps de la Commune de Paris puis de Juin 36 et des réformes de 1947 nourries des acquis de l’éducation nouvelle. Mais entre les faux amis des « pédagogies alternatives » et les assauts du néolibéralisme, la voie est étroite, pourtant indispensable, pour faire renaître un projet d’émancipation sociale de toutes et tous.Note de contenu : Au delà du rappel des fondements historiques et de l'analyse du démantèlement de l'école publique, Laurence De Cock réaffirme les enjeux, les volontés, les résistances et les enthousiasmes nécessaires pour repenser une école émancipatrice.
Nous sommes restés trop longtemps indifférents au mal que fait à l’école publique cette langue du vide, ces mots creux qui s’invitent dans les recoins d’un service public affaibli par les réformes néolibérales et qui vampirisent le peu qu’il reste du sens de l’intérêt général.En ligne : https://agone.org/blog/lecole-publique-comme-laboratoire-pour-lemancipation-soci [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=271550 École publique et Émancipation sociale [texte imprimé] / Laurence De Cock (1970-...)
ISBN : 978-2-7489-0471-0 : 16 €
Jamais le démantèlement de l’école publique n’aura été aussi brutal que sous le mandat présidentiel d’Emmanuel Macron. De la maternelle à l’université, ce sont les enfants des catégories populaires qui en paient le prix fort. En face, la résistance est faible. Doit-on y voir la perte du sens de l’école publique ? Même si la démocratisation scolaire n’a jamais tenu toutes ses promesses, il ne faut pas pour autant en abandonner les ambitions, sans lesquelles aucune émancipation sociale n’est possible.
Après avoir dressé le tableau noir des conséquences des réformes éducatives récentes que la crise sanitaire n’a fait que révéler, ce livre revient sur les fondements historiques des principes d’une éducation nationale théorisée par les révolutionnaires français en 1793, principes généreux enrichis par certains pédagogues de l’éducation nouvelle et qui ont guidé chaque grand moment de démocratisation scolaire, de Jean Zay sous le Front populaire au plan Langevin-Wallon après la Libération.
Qu’en reste-t-il aujourd’hui et sur quelles bases refonder une école au service des masses ? Aux anciens défis, d’autres se sont ajoutés : les nuisances de l’idéologie néolibérale, la défiance grandissante à l’égard de la pensée rationnelle et critique autant que des pédagogies de transformation sociale.
Langues : Français (fre)
Catégories : G ENSEIGNEMENT - EDUCATION Mots-clés : Démocratisation de l'enseignement -- Systèmes d'enseignement -- Enseignement -- Évaluation -- Démocratisation de l'enseignement -- France -- 1990-... Education / Questions sur l'école et l'éducation / Accès à l'éducation Questions particulières sur les politiques en matière d'enseignement public Systèmes d'enseignement destruction école publique jalons refondation histoire de l'éducation, réforme, décideur en matière de politique éducative Index. décimale : G-11 Ecoles différentes - Méthodes expérimentales Résumé : Alors que l’école publique est plus fragile que jamais, ce livre remonte aux fondamentaux. Entre le détournement des pédagogies alterxnatives et les assauts du néolibéralisme, la voie est étroite pour faire renaître un projet d’émancipation sociale.
L’ÉCOLE PUBLIQUE COMME LABORATOIRE POUR L’ÉMANCIPATION SOCIALE DE TOUTES ET TOUS
20 août 2021
À quoi sert l’École
Alors que l’école publique est plus fragile que jamais, fruit de trente ans de réformes, de droite comme de gauche, le régime du ministère Blanquer sous Covid révèle la profondeur de la crise. Ce livre remonte aux fondamentaux d’un projet qui prend source dans la Révolution française, se réaffirme au temps de la Commune de Paris puis de Juin 36 et des réformes de 1947 nourries des acquis de l’éducation nouvelle. Mais entre les faux amis des « pédagogies alternatives » et les assauts du néolibéralisme, la voie est étroite, pourtant indispensable, pour faire renaître un projet d’émancipation sociale de toutes et tous.Note de contenu : Au delà du rappel des fondements historiques et de l'analyse du démantèlement de l'école publique, Laurence De Cock réaffirme les enjeux, les volontés, les résistances et les enthousiasmes nécessaires pour repenser une école émancipatrice.
Nous sommes restés trop longtemps indifférents au mal que fait à l’école publique cette langue du vide, ces mots creux qui s’invitent dans les recoins d’un service public affaibli par les réformes néolibérales et qui vampirisent le peu qu’il reste du sens de l’intérêt général.En ligne : https://agone.org/blog/lecole-publique-comme-laboratoire-pour-lemancipation-soci [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=271550 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4417 G-11 DEC Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Education-Pédagogie Disponible Documents numériques
Au XIXe siècle, les pédagogues interrogent le bien-fondé des méthodes éducatives traditionnelles. L’éducateur allemand Friedrich Froebel imagine le jardin d’enfants et théorise une conception inédite du jeu. Le jeu n’est pas seulement une nécessité et unURL
Comment organiser cette école de l'émancipation sociale ? Ceux qui nous combattent, nous les pédagogues, ne veulent pas former des citoyens acteur de la démocratie, ils veulent former des personnes qui attendent qu’on leur fournisse une pensée, une opinioURL
Émancipation sociale et école publique 6 AOÛT 2021 PAR CLAUDE LELIÈVRE BLOG : HISTOIRE ET POLITIQUES SCOLAIRES Elle a osé ! L'historienne Laurence De Cock a mis au centre de son dernier livre la problématique de « l'émancipation sociale », une vieille lunURL
Francis Vergne et Pierre Périer ont eux aussi longuement disserté sur les causes des inégalités et sur la manière d’y remédier. Une place particulière a été faite à la laïcité avec Jean-Louis Bianco et Nicolas Cadène qui entendent éclairer de façon dépassURL
« L’émancipation passe par l’interdiction de manipuler des enfants. Et l’enseignant, en classe, est le dominant. Dans une pédagogie émancipatrice, il est interdit d’exercer la moindre pression sur les élèves, sur les autres. Dans cette pédagogie émancipatURL
Titre : Hannah Arendt : l'impasse de la modernité : Les rouages de la société Type de document : texte imprimé Auteurs : Céline BAGAULT, Auteur Année de publication : Mars-Avril-Mai 2013 Article en page(s) : pp. 44-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : crise modernité destruction Résumé : Parce qu’elle célèbre le travail, la consommation et la croissance, la modernité détruit notre monde commun. Pour Hannah Arendt, la désaffection du politique laisse alors la place aux intérêts privés… Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=116227
in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info > n°30 (mars-avril-mai 2013) . - pp. 44-45[article] Hannah Arendt : l'impasse de la modernité : Les rouages de la société [texte imprimé] / Céline BAGAULT, Auteur . - Mars-Avril-Mai 2013 . - pp. 44-45.
Langues : Français (fre)
in Les Grands dossiers des sciences humaines / BU de l'IUT et Cairn.info > n°30 (mars-avril-mai 2013) . - pp. 44-45
Mots-clés : crise modernité destruction Résumé : Parce qu’elle célèbre le travail, la consommation et la croissance, la modernité détruit notre monde commun. Pour Hannah Arendt, la désaffection du politique laisse alors la place aux intérêts privés… Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=116227
Titre : La peau de l'ours Type de document : texte imprimé Année de publication : octobre 2009 Article en page(s) : p. 32-33 Langues : Français (fre) Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Finances et commerce:Finances:Administration financière:Comptabilité:Calcul des coûts:Coût Mots-clés : DESTRUCTION Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=133016
in Salamandre : la revue des curieux de nature / BM de Tours > n° 194 (octobre 2009) . - p. 32-33[article] La peau de l'ours [texte imprimé] . - octobre 2009 . - p. 32-33.
Langues : Français (fre)
in Salamandre : la revue des curieux de nature / BM de Tours > n° 194 (octobre 2009) . - p. 32-33WINNICOTT ET LA CREATION DE L'OBJET CHEZ L'ENFANT / ERNEST CLEYET-MAREL in Dialogue : revue de recherches cliniques et sociologiques sur le couple et la famille, N.145 (1999)
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