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102 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'ECOLOGIE HUMAINE' 



Titre : L'écologie profonde Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Ribotto (1937-...), Auteur Editeur : Paris : Éditions du Cygne Année de publication : 2007 Importance : 104 p. ISBN/ISSN/EAN : 2-84924-029-8 Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : ECOLOGIE ETHIQUE PHILOSOPHIE NATURE SCIENCES ENVIRONNEMENT Environnement -- Protection Écologie humaine Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Hors culture anglo-saxonne, l'écologie profonde est vilipendée tout en étant, sur le fond, très mal connue. Cet essai récapitule ses caractéristiques dont l'auto-réalisation de soi en harmonie avec la nature - celle-ci ne devant plus être un simple réservoir de ressources pour l'homme, la vie étant au centre. Arne Naess, père de l'écologie profonde avec ses « principes », Aldo Léopold, grand-père pour certains, des inspirateurs, prosélytes ou présumés proches - de Thoreau à Snyder, Hainard, Jonas ou Serres - font l'objet de commentaires. Les polémiques ne sont pas éludées : l'écologie profonde est-elle anti-humaniste et qu'est-ce que cela signifie ? Est-ce de l'écofascisme ? L'empreinte de l'homme sur la planète est-elle catastrophique ? Il faut passer de la pensée à l'action : action traditionnelle ou action de « corsaire » ? Quoi qu'il en soit, accueillie ou rejetée, l'écologie profonde apporte sa contribution à la recherche d'une éthique pour notre temps. La crise écologique actuelle incite à réagir. Elle conduit aussi à se poser la question : quelle place pour l'homme dans la nature ? Car c'est la pensée qui donne sens à l'action. L'étude de morales ou de philosophies existantes peut aider à la réflexion. Ainsi, cet essai a-t-il toute sa place Note de contenu : L'écologie profonde (en anglais : deep ecology, néologisme d'Arne Næss, philosophe norvégien) est une branche de la philosophie écologique apparue récemment, qui considère l'humanité comme étant partie intégrale de l'écosystème. Elle attribue plus de valeur aux autres espèces et écosystèmes que ne le font les mouvements écologiques classiques, ce qui entraîne le développement d'une éthique nouvelle. Tandis que l'écologie classique garde la satisfaction des besoins humains comme finalité (anthropocentrisme) et concède au reste du vivant le statut de « ressource », l'écologie profonde ré-inscrit les finalités humaines dans une perspective plus large, celle du vivant (biocentrisme) afin de prendre en compte les besoins de l'ensemble de la biosphère, y compris ceux des espèces avec lesquelles nous co-évoluons depuis des millions d'années. Historique Arne Næss invente le terme dans un article fondateur publié pour la première fois en 1973 : « Le mouvement écologique superficiel et le mouvement profond ». Næss rejette l'idée que les êtres vivants puissent être classés en fonction de leurs valeurs respectives. Par exemple, le fait de savoir si un animal a une âme, s'il utilise la raison ou s'il a une conscience est souvent utilisé pour justifier la position dominante de l'animal Homme sur les autres animaux. Næss affirme que « le droit de toute forme de vie à vivre est un droit universel qui ne peut pas être quantifié. Aucune espèce vivante n'a plus de ce droit particulier de vivre et de s'étendre qu'une autre espèce ». Cette idée métaphysique est soulignée par la phrase de Warwick Fox disant que nous et tous les autres êtres vivants sommes des « aspects d'une même réalité émergente ». Principes fondamentaux Les partisans de l'écologie profonde estiment que le monde n'est pas une ressource exploitable à volonté par l'Homme. L'éthique de l'écologie profonde explique qu'un système global (la nature) est supérieur à chacune de ces parties (l'Homme étant une partie de la nature). Cette éthique s'appuie sur les huit postulats suivants[http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cologie_profonde#_note-0] :
1) Le bien-être et l'épanouissement des formes de vie humaines et non-humaines de la Terre ont une valeur en elle-même (synonyme : valeur intrinsèque, valeur inhérente). Ces valeurs sont indépendantes de l'utilité du monde non-humain pour les besoins humains.
2) La richesse et la diversité des formes de vie contribuent à la réalisation de ces valeurs et sont également des valeurs elles-mêmes.
3) L'Homme n'a pas le droit de réduire la richesse et la diversité biologique, sauf pour satisfaire des besoins humains vitaux.
4) L'épanouissement de la vie et des cultures humaines n'est compatible qu'avec une décroissance substantielle de la population humaine. Le développement des formes de vie non-humaines requière une telle diminution.
5) L'interférence humaine actuelle avec le monde non-humain est excessive et nuisible, et la situation empire rapidement.
6) Des politiques doivent donc être changées. Ces politiques affectent les structures économiques, technologiques, et idéologiques fondamentales. Il en résultera une société profondément différente de la nôtre.
7) Les changements idéologiques passent par l'appréciation d'une bonne qualité de vie plutôt que l'adhésion à des standards de vie toujours plus élevés. Il faut prendre conscience de la différence entre "bonne qualité" et "course à un niveau de vie extrêmement élevé" (qui serait néfaste à la nature).
8) Ceux qui souscrivent aux points précédents s'engagent à essayer de mettre en application directement ou indirectement les changements nécessaires.En ligne : http://www.jenniferdalrymple.net/ecologie-profonde.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11406 L'écologie profonde [texte imprimé] / Roger Ribotto (1937-...), Auteur . - Paris : Éditions du Cygne, 2007 . - 104 p.
ISSN : 2-84924-029-8
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : ECOLOGIE ETHIQUE PHILOSOPHIE NATURE SCIENCES ENVIRONNEMENT Environnement -- Protection Écologie humaine Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Hors culture anglo-saxonne, l'écologie profonde est vilipendée tout en étant, sur le fond, très mal connue. Cet essai récapitule ses caractéristiques dont l'auto-réalisation de soi en harmonie avec la nature - celle-ci ne devant plus être un simple réservoir de ressources pour l'homme, la vie étant au centre. Arne Naess, père de l'écologie profonde avec ses « principes », Aldo Léopold, grand-père pour certains, des inspirateurs, prosélytes ou présumés proches - de Thoreau à Snyder, Hainard, Jonas ou Serres - font l'objet de commentaires. Les polémiques ne sont pas éludées : l'écologie profonde est-elle anti-humaniste et qu'est-ce que cela signifie ? Est-ce de l'écofascisme ? L'empreinte de l'homme sur la planète est-elle catastrophique ? Il faut passer de la pensée à l'action : action traditionnelle ou action de « corsaire » ? Quoi qu'il en soit, accueillie ou rejetée, l'écologie profonde apporte sa contribution à la recherche d'une éthique pour notre temps. La crise écologique actuelle incite à réagir. Elle conduit aussi à se poser la question : quelle place pour l'homme dans la nature ? Car c'est la pensée qui donne sens à l'action. L'étude de morales ou de philosophies existantes peut aider à la réflexion. Ainsi, cet essai a-t-il toute sa place Note de contenu : L'écologie profonde (en anglais : deep ecology, néologisme d'Arne Næss, philosophe norvégien) est une branche de la philosophie écologique apparue récemment, qui considère l'humanité comme étant partie intégrale de l'écosystème. Elle attribue plus de valeur aux autres espèces et écosystèmes que ne le font les mouvements écologiques classiques, ce qui entraîne le développement d'une éthique nouvelle. Tandis que l'écologie classique garde la satisfaction des besoins humains comme finalité (anthropocentrisme) et concède au reste du vivant le statut de « ressource », l'écologie profonde ré-inscrit les finalités humaines dans une perspective plus large, celle du vivant (biocentrisme) afin de prendre en compte les besoins de l'ensemble de la biosphère, y compris ceux des espèces avec lesquelles nous co-évoluons depuis des millions d'années. Historique Arne Næss invente le terme dans un article fondateur publié pour la première fois en 1973 : « Le mouvement écologique superficiel et le mouvement profond ». Næss rejette l'idée que les êtres vivants puissent être classés en fonction de leurs valeurs respectives. Par exemple, le fait de savoir si un animal a une âme, s'il utilise la raison ou s'il a une conscience est souvent utilisé pour justifier la position dominante de l'animal Homme sur les autres animaux. Næss affirme que « le droit de toute forme de vie à vivre est un droit universel qui ne peut pas être quantifié. Aucune espèce vivante n'a plus de ce droit particulier de vivre et de s'étendre qu'une autre espèce ». Cette idée métaphysique est soulignée par la phrase de Warwick Fox disant que nous et tous les autres êtres vivants sommes des « aspects d'une même réalité émergente ». Principes fondamentaux Les partisans de l'écologie profonde estiment que le monde n'est pas une ressource exploitable à volonté par l'Homme. L'éthique de l'écologie profonde explique qu'un système global (la nature) est supérieur à chacune de ces parties (l'Homme étant une partie de la nature). Cette éthique s'appuie sur les huit postulats suivants[http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cologie_profonde#_note-0] :
1) Le bien-être et l'épanouissement des formes de vie humaines et non-humaines de la Terre ont une valeur en elle-même (synonyme : valeur intrinsèque, valeur inhérente). Ces valeurs sont indépendantes de l'utilité du monde non-humain pour les besoins humains.
2) La richesse et la diversité des formes de vie contribuent à la réalisation de ces valeurs et sont également des valeurs elles-mêmes.
3) L'Homme n'a pas le droit de réduire la richesse et la diversité biologique, sauf pour satisfaire des besoins humains vitaux.
4) L'épanouissement de la vie et des cultures humaines n'est compatible qu'avec une décroissance substantielle de la population humaine. Le développement des formes de vie non-humaines requière une telle diminution.
5) L'interférence humaine actuelle avec le monde non-humain est excessive et nuisible, et la situation empire rapidement.
6) Des politiques doivent donc être changées. Ces politiques affectent les structures économiques, technologiques, et idéologiques fondamentales. Il en résultera une société profondément différente de la nôtre.
7) Les changements idéologiques passent par l'appréciation d'une bonne qualité de vie plutôt que l'adhésion à des standards de vie toujours plus élevés. Il faut prendre conscience de la différence entre "bonne qualité" et "course à un niveau de vie extrêmement élevé" (qui serait néfaste à la nature).
8) Ceux qui souscrivent aux points précédents s'engagent à essayer de mettre en application directement ou indirectement les changements nécessaires.En ligne : http://www.jenniferdalrymple.net/ecologie-profonde.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=11406 Réservation
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[périodique]
Titre : Les Lettres de Nature Humaine Type de document : document électronique Editeur : Nature humaine Note générale : Les Lettres de Nature Humaine sont à télécharger gratuitement en PDF. Langues : Français (fre) Mots-clés : écologie humaine Psychologie sociale de l’environnement éco-psychologie éco-sociologie Sociologie de l’environnement Représentations sociales de la nature agriculture changement écologie profonde débat écologique comportements culturels culture comportements en matière environnementale freins et moteurs du passage à l’action, aspects culturels, économiques et politiques, solutions, Résumé : Est-il possible de sortir de la crise écologique et humaine actuelle avec le même cerveau et les mêmes conditionnements et fonctionnements que ceux qui nous ont conduit à y entrer ?
En général, pour changer, nous mettons l’accent sur la technique et les savoirs faire. Mais changer vraiment, de manière pérenne et à la hauteur des enjeux est un processus long et complexe qui touche avant tout aux profondeurs de l’humain, surtout lorsque le changement concerne nos fondements sociaux et culturels, comme la question écologique et humaine nous y invite désormais.
Notre relation au monde et à la vie, les émotions qui nous habitent, notre lien aux autres et à nous-mêmes ainsi qu’à la nature, notre perception du temps, notre manière d’être en relation, ont tous une influence fondamentale sur nos choix et sur notre capacité à changer nos comportements à l’origine des dégradations environnementales et humaines.
Car le facteur humain, notre nature humaine, c’est à dire toutes les dynamiques socio-psycho-culturelles et éducatives à l’oeuvre en chacun de nous, est bien la cause profonde et originelle de toute crise. Mais aussi sa seule et unique solution.
Nature Humaine a donc pour objectif d’explorer, par la recherche, l’accompagnement et la formation, les dynamiques humaines et les représentations du monde qui freinent ou au contraire contribuent à lever les freins au changement.Note de contenu : Lettre Nature Humaine n°16 – Adapter nos stratégies d’action à nos publics (2)
Lettre Nature Humaine n°15 – Adapter nos stratégies d’action à nos publics (1)
Lettre n°14 – L’écologie et les émotions
Lettre n°13 – Les besoins au service de l’écologie et de nos métiers
Lettre n°12 – 4 stratégies pour lever les résistances
Lettre n°11 – Puissance…ou impuissance, toute-puissance ?
Lettre n°10 – Du conseil … à l’écoute.
Lettre n°9 – Les grands paradoxes du changement.
Lettre n°8 – L’agriculture et le changement
Lettre n°7 – L’écologie, le temps et l’urgence
Lettre n°6 – Un projet écologique collectif est-il possible ?
Lettre n°5 – L’écologie, l’individuel et le collectif
Lettre n°4 – Ecologie, les étapes du changement
Lettre n°3 – Écologie : comprendre le processus de changement
Lettre n°2 – Les freins à l’action
Lettre n°1 – Les moteurs de l’actionEn ligne : http://nature-humaine.fr/la-lettre/lire-la-lettre/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=245258 [périodique] Les Lettres de Nature Humaine [document électronique] . - [S.l.] : Nature humaine.
Les Lettres de Nature Humaine sont à télécharger gratuitement en PDF.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : écologie humaine Psychologie sociale de l’environnement éco-psychologie éco-sociologie Sociologie de l’environnement Représentations sociales de la nature agriculture changement écologie profonde débat écologique comportements culturels culture comportements en matière environnementale freins et moteurs du passage à l’action, aspects culturels, économiques et politiques, solutions, Résumé : Est-il possible de sortir de la crise écologique et humaine actuelle avec le même cerveau et les mêmes conditionnements et fonctionnements que ceux qui nous ont conduit à y entrer ?
En général, pour changer, nous mettons l’accent sur la technique et les savoirs faire. Mais changer vraiment, de manière pérenne et à la hauteur des enjeux est un processus long et complexe qui touche avant tout aux profondeurs de l’humain, surtout lorsque le changement concerne nos fondements sociaux et culturels, comme la question écologique et humaine nous y invite désormais.
Notre relation au monde et à la vie, les émotions qui nous habitent, notre lien aux autres et à nous-mêmes ainsi qu’à la nature, notre perception du temps, notre manière d’être en relation, ont tous une influence fondamentale sur nos choix et sur notre capacité à changer nos comportements à l’origine des dégradations environnementales et humaines.
Car le facteur humain, notre nature humaine, c’est à dire toutes les dynamiques socio-psycho-culturelles et éducatives à l’oeuvre en chacun de nous, est bien la cause profonde et originelle de toute crise. Mais aussi sa seule et unique solution.
Nature Humaine a donc pour objectif d’explorer, par la recherche, l’accompagnement et la formation, les dynamiques humaines et les représentations du monde qui freinent ou au contraire contribuent à lever les freins au changement.Note de contenu : Lettre Nature Humaine n°16 – Adapter nos stratégies d’action à nos publics (2)
Lettre Nature Humaine n°15 – Adapter nos stratégies d’action à nos publics (1)
Lettre n°14 – L’écologie et les émotions
Lettre n°13 – Les besoins au service de l’écologie et de nos métiers
Lettre n°12 – 4 stratégies pour lever les résistances
Lettre n°11 – Puissance…ou impuissance, toute-puissance ?
Lettre n°10 – Du conseil … à l’écoute.
Lettre n°9 – Les grands paradoxes du changement.
Lettre n°8 – L’agriculture et le changement
Lettre n°7 – L’écologie, le temps et l’urgence
Lettre n°6 – Un projet écologique collectif est-il possible ?
Lettre n°5 – L’écologie, l’individuel et le collectif
Lettre n°4 – Ecologie, les étapes du changement
Lettre n°3 – Écologie : comprendre le processus de changement
Lettre n°2 – Les freins à l’action
Lettre n°1 – Les moteurs de l’actionEn ligne : http://nature-humaine.fr/la-lettre/lire-la-lettre/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=245258 Documents numériques
Titre : Les trois écologies Type de document : texte imprimé Auteurs : Félix Guattari (1930-1992), Auteur Mention d'édition : Nouv. éd. Editeur : Paris : Éditions Galilée Année de publication : 2008 Collection : Collection l'Espace critique, ISSN 0335-3095 Importance : 72 p. Format : 20 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7186-0768-9 Prix : 14 € Note générale : Les trois écologies développe la notion d'écosophie qui repose sur trois écologies. La première, environnementale, est la démarche écologique ordinaire. La seconde, l'écologie sociale, consiste à s'opposer au capitalisme mondial intégré, en recréant des espaces d'économie individuelle, autonome, et des rapports sociaux ou familiaux réinventés” ; enfin l'écologie mentale qui, pour Guattari l'expert en psychanalyse, permet la réhabilitation de la subjectivité, de la singularité. F. Guattari montre que l'écologie environnementale devrait être pensée d'un seul tenant avec l'écologie sociale et l'écologie mentale, à travers une écosophie de caractère éthico-politique. Nous présentons ici un extrait d’un autre texte, que Le Monde diplomatique a présenté comme une sorte de testament philosophique. La réflexion y est ambitieuse et totalisante. Elle centre néanmoins son analyse sur l’importance de la singularité de chacun d’entre nous, en nous et face aux autres. Une façon bien à lui de concevoir la place de l’individu dans notre société. Langues : Français (fre) Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Philosophie Philosophies des XIXe et XXe siècles Philosophie de la France Écologie écologie humaine protection de l'environnement Index. décimale : S-11 Histoire de l'écologie Résumé : Il risque de ne plus y avoir d'histoire humaine sans une radicale reprise en main de l'humanité par elle-même. Pour cela, de nouvelles pratiques sociales, de nouvelles pratiques esthétiques et de nouvelles pratiques du soi dans le rapport à l'autre sont nécessaires et pas seulement une prise en compte de l'environnement. Contre la lecture médiatique des accidents écologiques, le philosophe propose de penser l'écologie environnementale avec l'écologie sociale et l'écologie mentale, à travers une lecture éthique et politique. Paru en 1989, cet essai examine les pratiques de recomposition des subjectivités individuelles et collectives au sein de nouveaux contextes techniques, scientifiques et géopolitiques. Note de contenu : 4e de couv. : « Le drame écologique dans lequel est engagée la planète humaine a longtemps été l'objet d'une méconnaissance systématique. Cette période est désormais révolue. À travers des médias devenus hyper-sensibles à la répétition des «accidents» écologiques, l'opinion internationale se trouve de plus en plus mobilisée. Tout le monde aujourd'hui parle d'écologie : les politiques, les technocrates, les industriels... Malheureusement toujours en termes de simples «nuisances». Or les perturbations écologiques de l'environnement ne sont que la partie visible d'un mal plus profond et plus considérable, relatif aux façons de vivre et d'être en société sur cette planète. L'écologie environnementale devrait être pensée d'un seul tenant avec l'écologie sociale et l'écologie mentale, à travers une écosophie de caractère éthico-politique. Il ne s'agit pas d'unifier arbitrairement sous une idéologie de rechange des domaines foncièrement hétérogènes, mais de faire s'étayer les unes les autres des pratiques innovatrices de recomposition des subjectivités individuelles et collectives, au sein de nouveaux contextes technico-scientifiques et des nouvelles coordonnées géopolitiques. » Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=34760 Les trois écologies [texte imprimé] / Félix Guattari (1930-1992), Auteur . - Nouv. éd. . - Paris : Éditions Galilée, 2008 . - 72 p. ; 20 x 14 cm. - (Collection l'Espace critique, ISSN 0335-3095) .
ISBN : 978-2-7186-0768-9 : 14 €
Les trois écologies développe la notion d'écosophie qui repose sur trois écologies. La première, environnementale, est la démarche écologique ordinaire. La seconde, l'écologie sociale, consiste à s'opposer au capitalisme mondial intégré, en recréant des espaces d'économie individuelle, autonome, et des rapports sociaux ou familiaux réinventés” ; enfin l'écologie mentale qui, pour Guattari l'expert en psychanalyse, permet la réhabilitation de la subjectivité, de la singularité. F. Guattari montre que l'écologie environnementale devrait être pensée d'un seul tenant avec l'écologie sociale et l'écologie mentale, à travers une écosophie de caractère éthico-politique. Nous présentons ici un extrait d’un autre texte, que Le Monde diplomatique a présenté comme une sorte de testament philosophique. La réflexion y est ambitieuse et totalisante. Elle centre néanmoins son analyse sur l’importance de la singularité de chacun d’entre nous, en nous et face aux autres. Une façon bien à lui de concevoir la place de l’individu dans notre société.
Langues : Français (fre)
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Philosophie Philosophies des XIXe et XXe siècles Philosophie de la France Écologie écologie humaine protection de l'environnement Index. décimale : S-11 Histoire de l'écologie Résumé : Il risque de ne plus y avoir d'histoire humaine sans une radicale reprise en main de l'humanité par elle-même. Pour cela, de nouvelles pratiques sociales, de nouvelles pratiques esthétiques et de nouvelles pratiques du soi dans le rapport à l'autre sont nécessaires et pas seulement une prise en compte de l'environnement. Contre la lecture médiatique des accidents écologiques, le philosophe propose de penser l'écologie environnementale avec l'écologie sociale et l'écologie mentale, à travers une lecture éthique et politique. Paru en 1989, cet essai examine les pratiques de recomposition des subjectivités individuelles et collectives au sein de nouveaux contextes techniques, scientifiques et géopolitiques. Note de contenu : 4e de couv. : « Le drame écologique dans lequel est engagée la planète humaine a longtemps été l'objet d'une méconnaissance systématique. Cette période est désormais révolue. À travers des médias devenus hyper-sensibles à la répétition des «accidents» écologiques, l'opinion internationale se trouve de plus en plus mobilisée. Tout le monde aujourd'hui parle d'écologie : les politiques, les technocrates, les industriels... Malheureusement toujours en termes de simples «nuisances». Or les perturbations écologiques de l'environnement ne sont que la partie visible d'un mal plus profond et plus considérable, relatif aux façons de vivre et d'être en société sur cette planète. L'écologie environnementale devrait être pensée d'un seul tenant avec l'écologie sociale et l'écologie mentale, à travers une écosophie de caractère éthico-politique. Il ne s'agit pas d'unifier arbitrairement sous une idéologie de rechange des domaines foncièrement hétérogènes, mais de faire s'étayer les unes les autres des pratiques innovatrices de recomposition des subjectivités individuelles et collectives, au sein de nouveaux contextes technico-scientifiques et des nouvelles coordonnées géopolitiques. » Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=34760 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13269 S-11 GUA Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Disponible
Titre : Écologiser l'homme : la nature du futur et le futur de la nature Type de document : texte imprimé Auteurs : Edgar Morin (1921-...) , Auteur ; Emmanuel Lemieux, Préfacier, etc.
Editeur : Paris : Lemieux éditeur Année de publication : 2016 Importance : 133 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 20 x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37344-075-1 Prix : 16 € Note générale : Compilation d'article déjà parus Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Écologie humaine Politique de l'environnement Environnement / L'environnement et l'activité humaine Écologie Aspect politique participation politique Index. décimale : S-11 Histoire de l'écologie Résumé : Pour l'auteur, l'écologie politique concerne l’avenir de l’individu, de la société et de l’espèce humaine. Il expose des propositions pour préserver l'avenir et sa conception d'une politique écologiste. Note de contenu : Bibliogr. p. 131. 4e de couv. : "L'écologie est une donnée fondamentale de la pensée humaniste d'Edgar Morin. Précurseur dans les années 1970 avec un texte intitulé « L'an I de l'ère écologique », le philosophe n'a cessé depuis de réfléchir, ajuster, chercher à convaincre d'une nécessaire « écologisation » de la politique française. Pour Edgar Morin, l'écologie politique ne doit pas se cantonner à la défense des animaux, ou uniquement aux effets du réchauffement climatique mais faire un tout concernant l'avenir de l'individu, de la société et de l'espèce humaine : l'Homme a besoin de la Terre qui a besoin de l'Homme. Face au développement techno-scientifico-économique qui dégrade la biosphère et nous menace, il s'agit désormais de transformer nos vies et nos modes d'organisation. Telle devra être la nature de notre futur. Éclaireur des questions écologiques, Edgar Mortin est aujourd'hui une figure proche d'un Nicolas Hulot. Ce recueil d'articles et de textes peut se lire comme une introduction à une politique écologiste de l'Homme. Il nous rappelle que notre pire ennemi c'est nous-mêmes, et propose un peu d'espérance et d'utopie concrète dans ce monde incertain." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=166825 Écologiser l'homme : la nature du futur et le futur de la nature [texte imprimé] / Edgar Morin (1921-...), Auteur ; Emmanuel Lemieux, Préfacier, etc. . - Paris : Lemieux éditeur, 2016 . - 133 p. : couv. ill. en coul. ; 20 x 13 cm.
ISBN : 978-2-37344-075-1 : 16 €
Compilation d'article déjà parus
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Écologie humaine Politique de l'environnement Environnement / L'environnement et l'activité humaine Écologie Aspect politique participation politique Index. décimale : S-11 Histoire de l'écologie Résumé : Pour l'auteur, l'écologie politique concerne l’avenir de l’individu, de la société et de l’espèce humaine. Il expose des propositions pour préserver l'avenir et sa conception d'une politique écologiste. Note de contenu : Bibliogr. p. 131. 4e de couv. : "L'écologie est une donnée fondamentale de la pensée humaniste d'Edgar Morin. Précurseur dans les années 1970 avec un texte intitulé « L'an I de l'ère écologique », le philosophe n'a cessé depuis de réfléchir, ajuster, chercher à convaincre d'une nécessaire « écologisation » de la politique française. Pour Edgar Morin, l'écologie politique ne doit pas se cantonner à la défense des animaux, ou uniquement aux effets du réchauffement climatique mais faire un tout concernant l'avenir de l'individu, de la société et de l'espèce humaine : l'Homme a besoin de la Terre qui a besoin de l'Homme. Face au développement techno-scientifico-économique qui dégrade la biosphère et nous menace, il s'agit désormais de transformer nos vies et nos modes d'organisation. Telle devra être la nature de notre futur. Éclaireur des questions écologiques, Edgar Mortin est aujourd'hui une figure proche d'un Nicolas Hulot. Ce recueil d'articles et de textes peut se lire comme une introduction à une politique écologiste de l'Homme. Il nous rappelle que notre pire ennemi c'est nous-mêmes, et propose un peu d'espérance et d'utopie concrète dans ce monde incertain." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=166825 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 9279 S-11 MOR Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Disponible
Titre : Impact de l'homme sur les milieux naturels : perceptions et mesures / SEH Type de document : document électronique Editeur : Châteauneuf-de-Grasse (Alpes-Maritimes : Bergier Année de publication : 1996 Collection : Travaux de la société d'écologie humaine Importance : 208 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 24 x 16 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-9507852-7-5 Prix : 22.87 € Mots-clés : nature protection de la nature écologie humaine mileu naturel anthropisation gestion des milieux études de cas Résumé : De la nature ennemie, on est passé à l'homme ennemi de la nature, jusqu'au moment récent où la réflexion a mis en question le concept même de nature à l'état pur : l'homme n'a-t-il pas imprimé sa marque sur tous les écosystèmes ? Cet ouvrage tente de rendre compte de la pluralité des critères permettant d'évaluer l'impact de l'homme sur les milieux naturels. (Résumé en ligne sur le site de l'éditeur) : "L'omniprésence de la référence à la nature s'est imposée avec le souci de protection des sites d'abord, de la nature en tant que système vivant ensuite. Mais l'histoire montre que toute une gamme de représentations se sont succédées. De la nature ennemie, on est passé à l'homme ennemi de la nature, jusqu'au moment récent où la réflexion a mis en question le concept même de nature à l'état pur : l'homme n'a-t-il pas imprimé sa marque sur tous les écosystèmes ? Le concept d'anthropisation tente d'exprimer ces effets de façon objective, mais il ne reçoit pas la même acception de tous. L'impact des activités humaines sur les milieux naturels ne peut en effet pas être évalué à partir des mêmes critères par l'agronome, l'économiste, l'écologue, le géographe, le juriste, l'anthropologue, le sociologue,.... et par les différents groupes d'acteurs et d'utilisateurs. Le présent ouvrage tente de rendre compte de cette pluralité à travers le thème « Impact de l'homme sur les milieux naturels - perceptions et mesures ». Sa première partie traite des définitions et représentations de l'anthropisation, la seconde de la dynamique de l'anthropisation à travers des études de cas, illustrant la diversité des situations et des méthodes d'étude, la dernière examine les problèmes et politiques de gestion des milieux." Note de contenu : Introduction [Auteurs : Baudot P., Bley D., Brun B., Pagezy H., Vernazza-Licht N.] : "Depuis les années 1980, puis avec la montée des préoccupations environnementales après la Conférence de Rio (1992), un retournement de tendance en faveur de l'agriculture paysanne est perceptible au moins dans les discours, sinon dans les politiques des gouvernements et des institutions internationales. Le développement durable semble s'affirmer en redécouvrant les pratiques et les savoirs des paysans… Ainsi, la convention internationale sur la Diversité Biologique (CDB) s'engage en faveur de la « participation paysanne », mais aussi de la protection des savoirs traditionnels garants de la diversité culturelle (alinéa 8J). Par ailleurs et alors que l'on croyait les paysans disparus en Europe et dans le monde développé, resurgit la bannière paysanne portée par de nouvelles organisations syndicales. La figure du paysan rebelle n'est-elle pas en passe de devenir un symbole vivant de la lutte contre la mondialisation ? Autour d'elle, n'assiste-on pas à l'opposition, idéologique et politique, de deux visions du monde ? De ces quelques éléments, se dégage l'hypothèse d'un « changement global » du regard porté sur le paysan et son rapport à la nature. Le recours à l'environnement (discours et politiques) est-il en mesure de renverser les tendances observées depuis plusieurs décennies, tendances lourdes de menaces pour le devenir des paysanneries ? L'adhésion des acteurs politiques aux nouvelles normes environnementales ne sert-elle qu'à rhabiller une réalité où les rapports de force et les jeux de pouvoir continuent d'exclure la majorité des paysans ? L'orientation générale de cet ouvrage collectif est d'analyser l'impact des discours et politiques d'environnement récemment mis en œuvre, au Nord et au Sud, autour des axes suivants : la figure du paysan et ses transformations (partie 1), les dynamiques agricoles et paysannes dans les pays du Sud (partie 2) et en Europe (partie 3), les aléas de la « participation paysanne » dans le cadre de la nouvelle gouvernance environnementale (partie 4). Il s'agira aussi d'attirer l'attention des sciences sociales sur de nouvelles problématiques et questions transversales au cœur des enjeux contemporains, de poser les jalons d'une approche critique et pluridisciplinaire de la notion de « développement durable »… " - Accès numérique à chaque chapitre (cf. lien) ; Voir aussi : http://www.ecologie-humaine.eu/FR/FICHIERS/PubPFR_IMP.htm En ligne : http://www.ecologie-humaine.eu/FR/FICHIERS/PubPFR_IMP.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=26220 Impact de l'homme sur les milieux naturels : perceptions et mesures / SEH [document électronique] . - Châteauneuf-de-Grasse (Alpes-Maritimes : Bergier, 1996 . - 208 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 24 x 16 cm. - (Travaux de la société d'écologie humaine) .
ISBN : 978-2-9507852-7-5 : 22.87 €
Mots-clés : nature protection de la nature écologie humaine mileu naturel anthropisation gestion des milieux études de cas Résumé : De la nature ennemie, on est passé à l'homme ennemi de la nature, jusqu'au moment récent où la réflexion a mis en question le concept même de nature à l'état pur : l'homme n'a-t-il pas imprimé sa marque sur tous les écosystèmes ? Cet ouvrage tente de rendre compte de la pluralité des critères permettant d'évaluer l'impact de l'homme sur les milieux naturels. (Résumé en ligne sur le site de l'éditeur) : "L'omniprésence de la référence à la nature s'est imposée avec le souci de protection des sites d'abord, de la nature en tant que système vivant ensuite. Mais l'histoire montre que toute une gamme de représentations se sont succédées. De la nature ennemie, on est passé à l'homme ennemi de la nature, jusqu'au moment récent où la réflexion a mis en question le concept même de nature à l'état pur : l'homme n'a-t-il pas imprimé sa marque sur tous les écosystèmes ? Le concept d'anthropisation tente d'exprimer ces effets de façon objective, mais il ne reçoit pas la même acception de tous. L'impact des activités humaines sur les milieux naturels ne peut en effet pas être évalué à partir des mêmes critères par l'agronome, l'économiste, l'écologue, le géographe, le juriste, l'anthropologue, le sociologue,.... et par les différents groupes d'acteurs et d'utilisateurs. Le présent ouvrage tente de rendre compte de cette pluralité à travers le thème « Impact de l'homme sur les milieux naturels - perceptions et mesures ». Sa première partie traite des définitions et représentations de l'anthropisation, la seconde de la dynamique de l'anthropisation à travers des études de cas, illustrant la diversité des situations et des méthodes d'étude, la dernière examine les problèmes et politiques de gestion des milieux." Note de contenu : Introduction [Auteurs : Baudot P., Bley D., Brun B., Pagezy H., Vernazza-Licht N.] : "Depuis les années 1980, puis avec la montée des préoccupations environnementales après la Conférence de Rio (1992), un retournement de tendance en faveur de l'agriculture paysanne est perceptible au moins dans les discours, sinon dans les politiques des gouvernements et des institutions internationales. Le développement durable semble s'affirmer en redécouvrant les pratiques et les savoirs des paysans… Ainsi, la convention internationale sur la Diversité Biologique (CDB) s'engage en faveur de la « participation paysanne », mais aussi de la protection des savoirs traditionnels garants de la diversité culturelle (alinéa 8J). Par ailleurs et alors que l'on croyait les paysans disparus en Europe et dans le monde développé, resurgit la bannière paysanne portée par de nouvelles organisations syndicales. La figure du paysan rebelle n'est-elle pas en passe de devenir un symbole vivant de la lutte contre la mondialisation ? Autour d'elle, n'assiste-on pas à l'opposition, idéologique et politique, de deux visions du monde ? De ces quelques éléments, se dégage l'hypothèse d'un « changement global » du regard porté sur le paysan et son rapport à la nature. Le recours à l'environnement (discours et politiques) est-il en mesure de renverser les tendances observées depuis plusieurs décennies, tendances lourdes de menaces pour le devenir des paysanneries ? L'adhésion des acteurs politiques aux nouvelles normes environnementales ne sert-elle qu'à rhabiller une réalité où les rapports de force et les jeux de pouvoir continuent d'exclure la majorité des paysans ? L'orientation générale de cet ouvrage collectif est d'analyser l'impact des discours et politiques d'environnement récemment mis en œuvre, au Nord et au Sud, autour des axes suivants : la figure du paysan et ses transformations (partie 1), les dynamiques agricoles et paysannes dans les pays du Sud (partie 2) et en Europe (partie 3), les aléas de la « participation paysanne » dans le cadre de la nouvelle gouvernance environnementale (partie 4). Il s'agira aussi d'attirer l'attention des sciences sociales sur de nouvelles problématiques et questions transversales au cœur des enjeux contemporains, de poser les jalons d'une approche critique et pluridisciplinaire de la notion de « développement durable »… " - Accès numérique à chaque chapitre (cf. lien) ; Voir aussi : http://www.ecologie-humaine.eu/FR/FICHIERS/PubPFR_IMP.htm En ligne : http://www.ecologie-humaine.eu/FR/FICHIERS/PubPFR_IMP.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=26220 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Permalinkn°198 - juillet 2020 - L'école écologique (Bulletin de Diversité : revue d'actualité et de réflexion pour l'action éducative)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink22 - mai 2012 - Écologiques. Enquêtes sur les milieux humains (Bulletin de Tracés. Revue de sciences humaines / journals.openedition.org) / Pierre Charbonnier
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PermalinkDu nouveau sous le soleil : une histoire de l'environnement mondial au XXe siècle / John Robert McNeill
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PermalinkPermalink42 - 2013/2 - second semestre 2013 - Que donne la nature? L'écologie par le don (Bulletin de Revue du MAUSS, Mouvement anti-utilitariste dans les sciences sociales / Cairn.info et BU de Droit)
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PermalinkPermalinkL'écologie des autres : l'anthropologie et la question de la nature ; conférences-débats organisées par le groupe Sciences en questions, Paris et Dijon, Inra, respectivement les 29 novembre 2007 et 31 janvier 2008 / Philippe Descola
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