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62 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Environnement -- Protection' 



Titre : Action publique et environnement / BU de Lettres et Cairn Type de document : document électronique Auteurs : Pierre Lascoumes (1948-...), Auteur Mention d'édition : 3e édition mise à jour Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 2022 Collection : Que sais-je ? Le savoir vite Sous-collection : Droit num. 3968 Importance : 125 p. Présentation : ill., graph., couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7154-0966-8 Prix : 10 € Note générale : Confrontés aux questions environnementales, les pays industrialisés ont dû repenser l’action publique pour tenter d’y répondre : que faire au niveau national quand la plupart des enjeux écologiques sont autant régionaux que planétaires ? Comment prendre des décisions valides dans un contexte de forte incertitude, quand les informations manquent et que les expertises sont souvent partielles, voire contradictoires ? Comment intégrer à l’action publique des acteurs de la société civile (des acteurs économiques, des ONG et de plus en plus des citoyens) fortement mobilisés sur ces sujets, mais aux intérêts divergents ?
En analysant les politiques publiques de l’environnement menées aujourd’hui, Pierre Lascoumes montre qu’elles transforment peu à peu la manière d’agir en politique. Il pointe aussi les faiblesses de ces nouvelles régulations, depuis leur conception et jusqu’à leur application, au regard des enjeux écologiques si pressants de notre époque.Langues : Français (fre) Mots-clés : Politique de l'environnement Environnement -- Protection Environnement / Politique et administration environnementales Problèmes de l'environnement Pays industrialisés -- 1970-... protection de l'environnement fabrique construction processus problème public pollution de l’air faits sociaux fait social enjeux publics problèmes politiques problème politique Résumé : Une synthèse qui explique l'élaboration et le contenu des politiques environnementales en France et dans les pays industrialisés. Elle présente les actions publiques, leurs enjeux écologiques ainsi que les instruments fiscaux, économiques, sociaux ou autres, qui complètent le dispositif. Note de contenu : Notes bibliogr. Bibliogr. p. 123-[126].- Notamment : Lascoumes, Pierre. « Chapitre III. L’action publique environnementale », Pierre Lascoumes éd., Action publique et environnement. Presses Universitaires de France, 2022, pp. 79-119 : "Il ne faut pas confondre les faits sociaux, les problèmes publics et les problèmes politiques" ; "les faits sociaux deviennent des problèmes sociaux à partir du moment où ils sont discutés dans l’espace public. Différentes mobilisations sont nécessaires pour cela. Dans le domaine environnemental, ce sont le plus souvent des groupes de personnes directement concernées par une situation jugée dommageable qui interviennent en premier" ; "certains enjeux publics deviennent des problèmes politiques lorsqu’ils sont repris par des acteurs publics (experts, élus, décideurs)" ; "Encadré 4. – Reconfigurations de la pollution atmosphérique
(A) 1810-1960 : une nuisance industrielle
À partir de 1810, la surveillance administrative des « établissements incommodes et insalubres » porte sur les fumées et les odeurs d’origine manufacturière. Une distance minimale des habitations est imposée aux nouveaux établissements.
1917 – loi d’inspiration hygiéniste qui s’attache au contexte urbain, mais aussi à l’impact des rejets dans l’air sur l’agriculture.
1948 – début de l’approche technico-administrative. Une loi précise les conditions d’utilisation rationnelle de l’énergie et incite à la modernisation des équipements et à l’adoption de techniques pour réduire les émissions.
La pollution atmosphérique reste une situation chronique. Les contextes météorologiques favorisent les crises : dans la vallée de la Meuse (1930), un pic de pollution à l’oxyde de soufre suscite une forte mortalité ; à Donora (États-Unis, 1948), une émission accidentelle de fluor et d’oxyde de soufre entraîne 200 morts ; à Londres (1952), une crise due au fog londonien provoque 4 000 morts.
(B) 1960-1980 : un problème technologique
Les mobilisations scientifiques internationales produisent des effets politiques : Clean Air Act (Royaume-Uni, 1956), loi sur l’air (France, 1961), Clean Air Act (États-Unis, 1963), lois sur l’air en Italie et en suisse (1966).
Des seuils d’émission sont fixés selon les polluants ; recours progressif à des technologies propres. Des zones de protection spéciale et des procédures d’alerte sont définies.
Création de l’Agence de la qualité de l’air (1982). Elle collecte une taxe parafiscale (1985) basée sur les émissions.
À partir de 1973, création d’associations locales de surveillance de la qualité de l’air (Paris, Lyon, Strasbourg). Elles font de la contre-expertise. Généralisation et organisation nationale à partir de 1980.
1980 – une série de directives européennes fixe des taux limite pour une série de substances (SO2, plomb, NOx).
(C) 1980-2000 : un problème sanitaire
L’OMS montre que, chaque année, deux millions de personnes meurent prématurément dans le monde en raison de la pollution atmosphérique.
Des enquêtes épidémiologiques internationales sont réalisées : PAARC (impact sur les maladies respiratoires, 1982) ; ERPURS (tout effet sanitaire, dont allergies et maladies cardio-vasculaires, 1992) ; APHEIS (gains de santé permis par une réduction de la pollution atmosphérique, 1999) ; risques faibles (effets de l’exposition répétée à de faibles doses, 2000).
Des analyses portent sur le résultat de la qualité de l’air selon les zones (analyse de l’immission). La cible est déplacée de l’industrie vers les transports (particules diesel, ozone), et l’attention se porte sur les effets des substances chimiques contenues dans l’air (milieu de travail, habitation).
Des obligations d’information du public et de suivi épidémiologique sont introduites : directives de l’UE (1990, 1992) ; loi LAURE (1996) en France : plans régionaux de la qualité de l’air (PRQA), plans de protection de l’atmosphère (PPA) et plans de déplacements urbains (PDU).
1995 – les associations de surveillance de la qualité de l’air s’accordent sur un indice unique de mesure de la qualité de l’air (ATMO). Il est régulièrement enrichi en incluant d’autres substances (ozone, particules fines).
L’INVS confirme l’impact sanitaire de la pollution atmosphérique (2011) : 48 000 à 67 000 décès prématurés par an. La situation de grandes agglomérations est préoccupante avec des dépassements fréquents de dioxyde d’azote (NO2), d’ozone et de particules fines émises par la combustion du fuel. La limitation de la circulation en ville devient le sujet principal.
Août 2021 – à la suite d’une plainte d’ONG pour non-respect des normes de qualité de l’air, l’État est condamné à une astreinte de 10 M € à verser à des organismes publics (Ademe, Anaes) et à des associations locales.
Octobre 2021 – l’OMS renforce ses normes de rejet dans l’air (particules fines, NO2).
En France, l’ozone provenant des transports et des industries reste à un niveau élevé depuis 20 ans malgré les mesures prises."Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=285971 Action publique et environnement / BU de Lettres et Cairn [document électronique] / Pierre Lascoumes (1948-...), Auteur . - 3e édition mise à jour . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, 2022 . - 125 p. : ill., graph., couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Que sais-je ? Le savoir vite. Droit, ISSN 0768-0066; 3968) .
ISBN : 978-2-7154-0966-8 : 10 €
Confrontés aux questions environnementales, les pays industrialisés ont dû repenser l’action publique pour tenter d’y répondre : que faire au niveau national quand la plupart des enjeux écologiques sont autant régionaux que planétaires ? Comment prendre des décisions valides dans un contexte de forte incertitude, quand les informations manquent et que les expertises sont souvent partielles, voire contradictoires ? Comment intégrer à l’action publique des acteurs de la société civile (des acteurs économiques, des ONG et de plus en plus des citoyens) fortement mobilisés sur ces sujets, mais aux intérêts divergents ?
En analysant les politiques publiques de l’environnement menées aujourd’hui, Pierre Lascoumes montre qu’elles transforment peu à peu la manière d’agir en politique. Il pointe aussi les faiblesses de ces nouvelles régulations, depuis leur conception et jusqu’à leur application, au regard des enjeux écologiques si pressants de notre époque.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Politique de l'environnement Environnement -- Protection Environnement / Politique et administration environnementales Problèmes de l'environnement Pays industrialisés -- 1970-... protection de l'environnement fabrique construction processus problème public pollution de l’air faits sociaux fait social enjeux publics problèmes politiques problème politique Résumé : Une synthèse qui explique l'élaboration et le contenu des politiques environnementales en France et dans les pays industrialisés. Elle présente les actions publiques, leurs enjeux écologiques ainsi que les instruments fiscaux, économiques, sociaux ou autres, qui complètent le dispositif. Note de contenu : Notes bibliogr. Bibliogr. p. 123-[126].- Notamment : Lascoumes, Pierre. « Chapitre III. L’action publique environnementale », Pierre Lascoumes éd., Action publique et environnement. Presses Universitaires de France, 2022, pp. 79-119 : "Il ne faut pas confondre les faits sociaux, les problèmes publics et les problèmes politiques" ; "les faits sociaux deviennent des problèmes sociaux à partir du moment où ils sont discutés dans l’espace public. Différentes mobilisations sont nécessaires pour cela. Dans le domaine environnemental, ce sont le plus souvent des groupes de personnes directement concernées par une situation jugée dommageable qui interviennent en premier" ; "certains enjeux publics deviennent des problèmes politiques lorsqu’ils sont repris par des acteurs publics (experts, élus, décideurs)" ; "Encadré 4. – Reconfigurations de la pollution atmosphérique
(A) 1810-1960 : une nuisance industrielle
À partir de 1810, la surveillance administrative des « établissements incommodes et insalubres » porte sur les fumées et les odeurs d’origine manufacturière. Une distance minimale des habitations est imposée aux nouveaux établissements.
1917 – loi d’inspiration hygiéniste qui s’attache au contexte urbain, mais aussi à l’impact des rejets dans l’air sur l’agriculture.
1948 – début de l’approche technico-administrative. Une loi précise les conditions d’utilisation rationnelle de l’énergie et incite à la modernisation des équipements et à l’adoption de techniques pour réduire les émissions.
La pollution atmosphérique reste une situation chronique. Les contextes météorologiques favorisent les crises : dans la vallée de la Meuse (1930), un pic de pollution à l’oxyde de soufre suscite une forte mortalité ; à Donora (États-Unis, 1948), une émission accidentelle de fluor et d’oxyde de soufre entraîne 200 morts ; à Londres (1952), une crise due au fog londonien provoque 4 000 morts.
(B) 1960-1980 : un problème technologique
Les mobilisations scientifiques internationales produisent des effets politiques : Clean Air Act (Royaume-Uni, 1956), loi sur l’air (France, 1961), Clean Air Act (États-Unis, 1963), lois sur l’air en Italie et en suisse (1966).
Des seuils d’émission sont fixés selon les polluants ; recours progressif à des technologies propres. Des zones de protection spéciale et des procédures d’alerte sont définies.
Création de l’Agence de la qualité de l’air (1982). Elle collecte une taxe parafiscale (1985) basée sur les émissions.
À partir de 1973, création d’associations locales de surveillance de la qualité de l’air (Paris, Lyon, Strasbourg). Elles font de la contre-expertise. Généralisation et organisation nationale à partir de 1980.
1980 – une série de directives européennes fixe des taux limite pour une série de substances (SO2, plomb, NOx).
(C) 1980-2000 : un problème sanitaire
L’OMS montre que, chaque année, deux millions de personnes meurent prématurément dans le monde en raison de la pollution atmosphérique.
Des enquêtes épidémiologiques internationales sont réalisées : PAARC (impact sur les maladies respiratoires, 1982) ; ERPURS (tout effet sanitaire, dont allergies et maladies cardio-vasculaires, 1992) ; APHEIS (gains de santé permis par une réduction de la pollution atmosphérique, 1999) ; risques faibles (effets de l’exposition répétée à de faibles doses, 2000).
Des analyses portent sur le résultat de la qualité de l’air selon les zones (analyse de l’immission). La cible est déplacée de l’industrie vers les transports (particules diesel, ozone), et l’attention se porte sur les effets des substances chimiques contenues dans l’air (milieu de travail, habitation).
Des obligations d’information du public et de suivi épidémiologique sont introduites : directives de l’UE (1990, 1992) ; loi LAURE (1996) en France : plans régionaux de la qualité de l’air (PRQA), plans de protection de l’atmosphère (PPA) et plans de déplacements urbains (PDU).
1995 – les associations de surveillance de la qualité de l’air s’accordent sur un indice unique de mesure de la qualité de l’air (ATMO). Il est régulièrement enrichi en incluant d’autres substances (ozone, particules fines).
L’INVS confirme l’impact sanitaire de la pollution atmosphérique (2011) : 48 000 à 67 000 décès prématurés par an. La situation de grandes agglomérations est préoccupante avec des dépassements fréquents de dioxyde d’azote (NO2), d’ozone et de particules fines émises par la combustion du fuel. La limitation de la circulation en ville devient le sujet principal.
Août 2021 – à la suite d’une plainte d’ONG pour non-respect des normes de qualité de l’air, l’État est condamné à une astreinte de 10 M € à verser à des organismes publics (Ademe, Anaes) et à des associations locales.
Octobre 2021 – l’OMS renforce ses normes de rejet dans l’air (particules fines, NO2).
En France, l’ozone provenant des transports et des industries reste à un niveau élevé depuis 20 ans malgré les mesures prises."Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=285971 Exemplaires
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Titre : Du bon usage de la nature : pour une philosophie de l'environnement Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Larrère (1944-...) , Auteur ; Raphaël Larrère (1942-...), Auteur
Editeur : Paris : Aubier Année de publication : 1997 Collection : Alto (Paris), ISSN 1264-4838 Importance : 355 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7007-3662-5 Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : ENVIRONNEMENT HUMANISME ECOLOGIE PROTECTION DE LA NATURE RISQUE POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT PHILOSOPHIE HISTOIRE Nature -- Protection -- Aspect moral Écologie humaine Éthique de l'environnement Philosophie de la nature Environnement -- Protection Nature conservation -- Moral and ethical aspects Human ecology Environmental ethics Philosophy of nature Environmental protection Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Une approche philosophique des rapports de l'homme à la nature depuis l'Antiquité. Note de contenu : Notes bibliogr. 4e de couv. : ""Du bon usage de la nature" est un essai de philosophie et d'éthique à l'environnement qui se présente en deux parties. La première, s'appuyant sur des courants philosophiques allant du naturalisme au darwinisme, traite du rapport de l'homme à la nature, des notions d'écologie des populations et propose une réflexion sur l'appréhension de l'environnement, de la nature et des écosystèmes par la société moderne. La seconde partie s'intéresse quant à elle au principe de responsabilité dont s'est doté l'homme vis-à-vis de la nature et de l'environnement qui l'entoure : la protection de la nature, le rapport au facteur risque au coeur d'une construction sociale et enfin la notion d'harmonie entre l'habitant et son habitat, entre l'homme et la nature." En ligne : https://www.edenlivres.fr/p/738190 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6888 Du bon usage de la nature : pour une philosophie de l'environnement [texte imprimé] / Catherine Larrère (1944-...), Auteur ; Raphaël Larrère (1942-...), Auteur . - Paris : Aubier, 1997 . - 355 p.. - (Alto (Paris), ISSN 1264-4838) .
ISBN : 978-2-7007-3662-5
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : ENVIRONNEMENT HUMANISME ECOLOGIE PROTECTION DE LA NATURE RISQUE POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT PHILOSOPHIE HISTOIRE Nature -- Protection -- Aspect moral Écologie humaine Éthique de l'environnement Philosophie de la nature Environnement -- Protection Nature conservation -- Moral and ethical aspects Human ecology Environmental ethics Philosophy of nature Environmental protection Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Une approche philosophique des rapports de l'homme à la nature depuis l'Antiquité. Note de contenu : Notes bibliogr. 4e de couv. : ""Du bon usage de la nature" est un essai de philosophie et d'éthique à l'environnement qui se présente en deux parties. La première, s'appuyant sur des courants philosophiques allant du naturalisme au darwinisme, traite du rapport de l'homme à la nature, des notions d'écologie des populations et propose une réflexion sur l'appréhension de l'environnement, de la nature et des écosystèmes par la société moderne. La seconde partie s'intéresse quant à elle au principe de responsabilité dont s'est doté l'homme vis-à-vis de la nature et de l'environnement qui l'entoure : la protection de la nature, le rapport au facteur risque au coeur d'une construction sociale et enfin la notion d'harmonie entre l'habitant et son habitat, entre l'homme et la nature." En ligne : https://www.edenlivres.fr/p/738190 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6888 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 7349 S-40 LAR Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Médiation scientifique Disponible
Titre : La dernière abeille / SUDOC Titre original : How ti bee Type de document : document électronique Auteurs : Bren MacDibble (19..-....), Auteur ; Valérie Le Plouhinec, Traducteur Editeur : Paris : Hélium Année de publication : 2020 Importance : 168 p. Présentation : couverture illustr?ee en couleur Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-330-13837-0 Prix : 14,50 € Note générale : Une dystopie pour enfants (à partir de 9 ans) : « Dans une société post-famine où les abeilles ont disparu, les enfants les plus agiles sont sélectionnés pour polliniser les fleurs à la main ». Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Mots-clés : Pollinisation Environnement -- Protection Roman littérature jeunesse Résumé : Les abeilles ayant totalement disparu de la planète suite à une grande famine, certains enfants sont sélectionnés afin de polliniser les fleurs à la main. La jeune Pivoine rêve d'être choisie. Un roman sur la protection de l'environnement et l'importance des insectes pollinisateurs pour la survie de l'humanité. ©Electre 2020 Note de contenu : Dans une société post-famine où les abeilles ont disparu, la jeune Pivoine rêve de faire partie des enfants sélectionnés pour polliniser les fleurs à la main. Un roman percutant, qui fait réfléchir sur la protection de l'environnement et l'importance des insectes pollinisateurs pour la survie de l'humanité. (éditeur) En ligne : https://en.unesco.org/themes/biodiversity/women-for-bees Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=268606 La dernière abeille / SUDOC = How ti bee [document électronique] / Bren MacDibble (19..-....), Auteur ; Valérie Le Plouhinec, Traducteur . - Paris : Hélium, 2020 . - 168 p. : couverture illustr?ee en couleur ; 20 cm.
ISBN : 978-2-330-13837-0 : 14,50 €
Une dystopie pour enfants (à partir de 9 ans) : « Dans une société post-famine où les abeilles ont disparu, les enfants les plus agiles sont sélectionnés pour polliniser les fleurs à la main ».
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Mots-clés : Pollinisation Environnement -- Protection Roman littérature jeunesse Résumé : Les abeilles ayant totalement disparu de la planète suite à une grande famine, certains enfants sont sélectionnés afin de polliniser les fleurs à la main. La jeune Pivoine rêve d'être choisie. Un roman sur la protection de l'environnement et l'importance des insectes pollinisateurs pour la survie de l'humanité. ©Electre 2020 Note de contenu : Dans une société post-famine où les abeilles ont disparu, la jeune Pivoine rêve de faire partie des enfants sélectionnés pour polliniser les fleurs à la main. Un roman percutant, qui fait réfléchir sur la protection de l'environnement et l'importance des insectes pollinisateurs pour la survie de l'humanité. (éditeur) En ligne : https://en.unesco.org/themes/biodiversity/women-for-bees Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=268606 Exemplaires
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Titre : Qu'est-ce que l'écosocialisme ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Michael Löwy (1938-...) , Auteur
Mention d'édition : Précédemment paru sous le titre : Ecosocialisme : l'alternative radicale à la catastrophe écologique capitaliste (2011/SUDOC) Editeur : Paris : Le Temps des cerises Année de publication : 2020 Collection : Petite collection rouge Importance : 185 p. Format : 140 x 195 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-37071-195-3 Prix : 14 € Note générale : "L’écologie passe par le socialisme!
Dans un essai didactique et brillant, le philosophe marxiste Michael Löwy explique toute l’acuité de la notion d’écosocialisme.
Jusqu’à quand ? Avec la crise du Covid-19, mais déjà bien avant, tous ceux qui s’essayent à réfléchir sur l’évolution du monde contemporain, face aux immenses dangers qui menacent à la fois l’ensemble de l’humanité et la planète, s’interrogent sur les possibles voies pour modifier ce triste constat. Pleinement inspiré par la pensée marxiste, ce livre s’attache à montrer que le renouveau de cette pensée doit aujourd’hui se confronter à un défi majeur : l’urgence environnementale. Et ainsi mieux entamer une « révision critique profonde ».
Longtemps, la plupart des lectures de Marx et Engels, en particulier celles reposant sur la « conception matérialiste de l’histoire », se sont fondées sur une approche linéaire du progrès technique, faisant du développement capitaliste et industriel une étape fondamentale devant ouvrir la voie au socialisme. Aujourd’hui, il est devenu incontestable que « la sauvegarde des équilibres écologiques de la planète » est tout simplement devenue « incompatible avec la logique expansive et destructrice du système capitaliste ». [...]" / Olivier Doubre, Politis l'hebdo N° 1613-1614-1615, 2020-07-22, p. 50Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Politique et administration publique / Sciences politiques / Idéologies Communisme et écologie -- Histoire Capitalisme Sciences sociales -- Analyse marxiste Économie politique -- 21e siècle Idéologies politiques environnementalistes Développement économique -- Aspect environnemental économie capitaliste, marxisme, écologie, protection de l'environnement, socialisme Écologisme Environnement -- Protection Socialisme et écologie Index. décimale : S-11 Histoire de l'écologie Résumé : Présentation de l'écosocialisme, ce courant de pensée et d'action écologique qui reprend les idées marxistes, l'autoritarisme bureaucratique en moins, tout en dénonçant les insuffisances actuelles de l'écologie politique. Avec deux études de cas consacrées au Brésil et aux Etats-Unis. Note de contenu : Notes bibliogr.
L'écosocialisme est un courant politique fondé sur une constatation essentielle : la sauvegarde des équilibres écologiques de la planète, la préservation d'un environnement favorable aux espèces vivantes - y compris la nôtre - est incompatible avec la logique expansive et destructrice du système capitaliste. La poursuite de la « croissance » sous l'égide du capital nous conduit, à brève échéance à des catastrophes sans précédent dans l'histoire de l'humanité.
Qu'est-ce que l'écosocialisme ? Il s'agit d'un courant de pensée et d'action écologique qui fait siens les acquis fondamentaux du marxisme, tout en le débarrassant de ses scories productivistes. La logique capitaliste du marché et du profit, de même que celle de l'autoritarisme bureaucratique de feu le « socialisme réel », est incompatible avec les exigences de sauvegarde de l'environnement. Les écosocialistes critiquent les impasses actuelles de l'écologie politique, qui ne met pas en question le pouvoir du capital. L'écosocialisme est donc une proposition radicale qui vise non seulement à une transformation des rapports de production, de l'appareil productif et des modèles de consommation dominants, mais aussi à créer un nouveau paradigme de civilisation, en rupture avec les fondements de la civilisation capitaliste/industrielle occidentale moderne.
Michael Löwy nous présente les idées de ceux qui souhaitent que « la valeur d'échange soit remplacée par la valeur d'usage », et que « la production soit organisée en fonction des besoins sociaux et des exigences de la protection de l'environnement ».En ligne : http://www.politis.fr/articles/2020/07/lecologie-passe-par-le-socialisme-42202/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=247841 Qu'est-ce que l'écosocialisme ? [texte imprimé] / Michael Löwy (1938-...), Auteur . - Précédemment paru sous le titre : Ecosocialisme : l'alternative radicale à la catastrophe écologique capitaliste (2011/SUDOC) . - Paris : Le Temps des cerises, 2020 . - 185 p. ; 140 x 195. - (Petite collection rouge) .
ISBN : 978-2-37071-195-3 : 14 €
"L’écologie passe par le socialisme!
Dans un essai didactique et brillant, le philosophe marxiste Michael Löwy explique toute l’acuité de la notion d’écosocialisme.
Jusqu’à quand ? Avec la crise du Covid-19, mais déjà bien avant, tous ceux qui s’essayent à réfléchir sur l’évolution du monde contemporain, face aux immenses dangers qui menacent à la fois l’ensemble de l’humanité et la planète, s’interrogent sur les possibles voies pour modifier ce triste constat. Pleinement inspiré par la pensée marxiste, ce livre s’attache à montrer que le renouveau de cette pensée doit aujourd’hui se confronter à un défi majeur : l’urgence environnementale. Et ainsi mieux entamer une « révision critique profonde ».
Longtemps, la plupart des lectures de Marx et Engels, en particulier celles reposant sur la « conception matérialiste de l’histoire », se sont fondées sur une approche linéaire du progrès technique, faisant du développement capitaliste et industriel une étape fondamentale devant ouvrir la voie au socialisme. Aujourd’hui, il est devenu incontestable que « la sauvegarde des équilibres écologiques de la planète » est tout simplement devenue « incompatible avec la logique expansive et destructrice du système capitaliste ». [...]" / Olivier Doubre, Politis l'hebdo N° 1613-1614-1615, 2020-07-22, p. 50
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Politique et administration publique / Sciences politiques / Idéologies Communisme et écologie -- Histoire Capitalisme Sciences sociales -- Analyse marxiste Économie politique -- 21e siècle Idéologies politiques environnementalistes Développement économique -- Aspect environnemental économie capitaliste, marxisme, écologie, protection de l'environnement, socialisme Écologisme Environnement -- Protection Socialisme et écologie Index. décimale : S-11 Histoire de l'écologie Résumé : Présentation de l'écosocialisme, ce courant de pensée et d'action écologique qui reprend les idées marxistes, l'autoritarisme bureaucratique en moins, tout en dénonçant les insuffisances actuelles de l'écologie politique. Avec deux études de cas consacrées au Brésil et aux Etats-Unis. Note de contenu : Notes bibliogr.
L'écosocialisme est un courant politique fondé sur une constatation essentielle : la sauvegarde des équilibres écologiques de la planète, la préservation d'un environnement favorable aux espèces vivantes - y compris la nôtre - est incompatible avec la logique expansive et destructrice du système capitaliste. La poursuite de la « croissance » sous l'égide du capital nous conduit, à brève échéance à des catastrophes sans précédent dans l'histoire de l'humanité.
Qu'est-ce que l'écosocialisme ? Il s'agit d'un courant de pensée et d'action écologique qui fait siens les acquis fondamentaux du marxisme, tout en le débarrassant de ses scories productivistes. La logique capitaliste du marché et du profit, de même que celle de l'autoritarisme bureaucratique de feu le « socialisme réel », est incompatible avec les exigences de sauvegarde de l'environnement. Les écosocialistes critiquent les impasses actuelles de l'écologie politique, qui ne met pas en question le pouvoir du capital. L'écosocialisme est donc une proposition radicale qui vise non seulement à une transformation des rapports de production, de l'appareil productif et des modèles de consommation dominants, mais aussi à créer un nouveau paradigme de civilisation, en rupture avec les fondements de la civilisation capitaliste/industrielle occidentale moderne.
Michael Löwy nous présente les idées de ceux qui souhaitent que « la valeur d'échange soit remplacée par la valeur d'usage », et que « la production soit organisée en fonction des besoins sociaux et des exigences de la protection de l'environnement ».En ligne : http://www.politis.fr/articles/2020/07/lecologie-passe-par-le-socialisme-42202/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=247841 Réservation
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Médiations environnementales : pour construire un monde commun / SUDOC et Cairn / Nicolas Le Méhauté
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Titre : Médiations environnementales : pour construire un monde commun / SUDOC et Cairn Type de document : document électronique Auteurs : Nicolas Le Méhauté (19..-....), Auteur Editeur : Toulouse : Éditions Érès Année de publication : 2022 Collection : Trajets (Toulouse), ISSN 1160-1388 Importance : 396 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 13.5 x 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7492-7353-2 Prix : 25 € Langues : Français (fre) Mots-clés : Environnement -- Protection Sociologie de l'environnement Médiation société citoyenneté médiation écologie médiation environnementale paysage participatif Résumé : Par une exploration des pratiques de médiation environnementale mises en œuvre dans les territoires pour résoudre les conflits ou accompagner les projets, cet essai trace des perspectives stimulantes pour accompagner la nécessaire transition écologique et nous aider à répondre aux défis actuels.
Nos sociétés plurielles doivent relever des défis environnementaux majeurs. Leur complexité suppose que soient abordés collectivement et avec de nouveaux outils les bouleversements à venir.
Dans cette perspective la médiation environnementale propose un regard nouveau et des savoir-faire pour aborder de façon féconde les questions d’intérêt général. En plaçant les enjeux relationnels et la communication entre acteurs au centre de son processus de travail, elle permet d’accompagner les changements nécessaires et de résoudre de façon pérenne les conflits pour construire un monde commun.Note de contenu : Bibliogr. p. [377]-384. Notes bibliogr. En ligne : https://www.editions-eres.com/uploads/documents/sommairepdf/202204193135tdm-le-m [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=285128 Médiations environnementales : pour construire un monde commun / SUDOC et Cairn [document électronique] / Nicolas Le Méhauté (19..-....), Auteur . - Toulouse (11 rue des alouettes, 31520) : Éditions Érès, 2022 . - 396 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 13.5 x 21 cm. - (Trajets (Toulouse), ISSN 1160-1388) .
ISBN : 978-2-7492-7353-2 : 25 €
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Environnement -- Protection Sociologie de l'environnement Médiation société citoyenneté médiation écologie médiation environnementale paysage participatif Résumé : Par une exploration des pratiques de médiation environnementale mises en œuvre dans les territoires pour résoudre les conflits ou accompagner les projets, cet essai trace des perspectives stimulantes pour accompagner la nécessaire transition écologique et nous aider à répondre aux défis actuels.
Nos sociétés plurielles doivent relever des défis environnementaux majeurs. Leur complexité suppose que soient abordés collectivement et avec de nouveaux outils les bouleversements à venir.
Dans cette perspective la médiation environnementale propose un regard nouveau et des savoir-faire pour aborder de façon féconde les questions d’intérêt général. En plaçant les enjeux relationnels et la communication entre acteurs au centre de son processus de travail, elle permet d’accompagner les changements nécessaires et de résoudre de façon pérenne les conflits pour construire un monde commun.Note de contenu : Bibliogr. p. [377]-384. Notes bibliogr. En ligne : https://www.editions-eres.com/uploads/documents/sommairepdf/202204193135tdm-le-m [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=285128 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Enjeux environnementaux : un modèle de société à réinventer [Dossier] / Pluralité d'auteurs in Eduquer : tribune laïque, 155 (Juin 2020)
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PermalinkNouveaux fronts écologiques : essais d'éthique environnementale et de philosophie animale / SUDOC / Hicham-Stéphane Afeissa
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkLa part sauvage du monde : penser la nature dans l'Anthropocène / BU Sciences-Pharmacie / Virginie Maris
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PermalinkSe mettre au vert [Dossier] / Pluralité d'auteurs in Lien Social : quinzomadaire indépendant d'actualité sociale, n°1298-1299 (29 juin au 6 septembre 2021)
Permalink3 - février 2009 - Regards sur la Terre, 2009. La gouvernance du développement durable (Bulletin de Regards sur la Terre : l'annuel du développement durable/ Cairn.info et B.U. Droit - Salle Géographie) / Pierre Jacquet
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Permalink57 - novembre 2018 - Retour sur terre : pour une éthique de l'appartenance (Bulletin de Écologie & politique : Sciences Cultures Sociétés / Cairn. info) / Jacques Luzi
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PermalinkPermalink« Cette pulsion de tout faire faire par autrui ou par la machine n’a pas de fin» / Célia Izoard in Agir par la culture : magazine politique & culturel, 69 (Automne 2022)
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PermalinkPermalinkLa Cour pénale Internationale se déclare apte à juger l’accaparement des terres / Olivier de Halleux in Antipodes, 216 (Mars 2017)
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PermalinkLe dévoiturage : une complexité sociale à ne pas négliger / Robin LEMOINE in Alter Echos : pour décoder l'info sociale / Alter.be, 491 (Mars 2021)
PermalinkÉcotourisme : du greenwashing anti-social ? / Jean-Michel Decroly in Alter Echos : pour décoder l'info sociale / Alter.be, 504 (Juillet-août 2022)
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