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Arrêtez de vous tromper ! - 52 erreurs de jugement qu'il vaut mieux laisser aux autres... / Cyberlibris / Rolf Dobelli    

Public ISBD Titre : Arrêtez de vous tromper ! - 52 erreurs de jugement qu'il vaut mieux laisser aux autres... / Cyberlibris Type de document : document électronique Auteurs : Rolf Dobelli, Auteur Editeur : Paris : Eyrolles Année de publication : 2012 Importance : 262 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-212-17664-3 Mots-clés : Erreur Raisonnement -- Aspect psychologique Réalisation de so Résumé : Pour en finir avec ces erreurs de jugement qui nous gâchent l'existence ! Pourquoi dit-on toujours "oui" aux gens gentils ? Pourquoi surestime-t-on systématiquement nos compétences et nos savoirs ? Pourquoi préférons-nous avoir un plan de ville erroné plutôt que pas de plan du tout ?... Notre cerveau n'est pas infaillible, loin de là. D'ailleurs il nous conduit souvent, sans même que nous nous en rendions compte, à commettre des erreurs de jugement et à prendre de mauvaises décisions, que ce soit dans notre vie professionnelle ou personnelle. Avec juste ce qu'il faut d'humour, Rolf Dobelli nous apprend, en 52 textes courts et subtilement illustrés, à repérer et à déjouer les "biais cognitifs", ces pièges de la pensée dans lesquels nous sommes tous susceptibles de tomber un jour ou l'autre. Car c'est un fait : comprendre combien et comment il est facile de se tromper procure un très net avantage sur les autres... Note de contenu : Voir aussi la note de lecture de Jacques Trémintin, en doc. attaché. Source : "Lien Social" n° 1152 du 27 novembre 2014, p. 43 : "Issus des sciences cognitives, voilà présentés cinquante deux biais de raisonnement que nous utilisons toutes et tous régulièrement, sans nous en rendre compte. En prendre conscience est grandement utile, pour tenter de s’en départir. L’auteur ne s’embarrasse pas de grandes théories. Il se contente de présenter des fiches illustrant chacune de ces erreurs de perception, d’évaluation, d’interprétation logique. L’évocation de ces mécanismes trouve ses sources dans la familiarité de notre quotidien. L’erreur d’attribution fondamentale  ? Elle consiste à surestimer la responsabilité des individus, en ignorant le rôle des facteurs liés au contexte. L’aversion pour la perte  ? Une perte aurait une répercussion émotionnelle deux fois plus importante qu’un gain. Le biais d’ancrage  ? Partir de ce que nous connaissons, pour évaluer une situation nouvelle. La pensée de groupe  ? Chacun a tendance à s’aligner sur la pensée dominante de son groupe d’appartenance. Le biais de sympathie  ? Plus nous développons de la bienveillance par rapport à un tiers, plus nous lui cédons. Le biais du résultat  ? Juger de la pertinence d’une décision à partir, non du processus qui a amené à la prendre, mais de son seul résultat. Le biais rétrospectif  ? Tout semble, après coup, logique et on ne comprend pas qu’on n’ait pas suivi cette évidence. Le biais d’autorité  ? Le défaut qui nous fait renoncer à nous montrer critique face à l’avis des experts. Enfin, ce biais de conformation qui nous incite à interpréter les nouvelles informations portées à notre connaissance de manière à les rendre compatibles avec nos théories, notre vision du monde et d’autrui, ainsi qu’avec nos convictions. Si toutes ces démonstrations sont parfois accompagnées de commentaires douteux d’un auteur imprégné de management, il est aisé pour le lecteur de trouver ses propres exemples." En ligne : http://0-scdtours.cyberlibris.com.sso.scd.univ-tours.fr/book/88812568 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=116931 Arrêtez de vous tromper ! - 52 erreurs de jugement qu'il vaut mieux laisser aux autres... / Cyberlibris [document électronique] / Rolf Dobelli, Auteur . - Paris : Eyrolles, 2012 . - 262 p. ISBN : 978-2-212-17664-3 Mots-clés : Erreur Raisonnement -- Aspect psychologique Réalisation de so Résumé : Pour en finir avec ces erreurs de jugement qui nous gâchent l'existence ! Pourquoi dit-on toujours "oui" aux gens gentils ? Pourquoi surestime-t-on systématiquement nos compétences et nos savoirs ? Pourquoi préférons-nous avoir un plan de ville erroné plutôt que pas de plan du tout ?... Notre cerveau n'est pas infaillible, loin de là. D'ailleurs il nous conduit souvent, sans même que nous nous en rendions compte, à commettre des erreurs de jugement et à prendre de mauvaises décisions, que ce soit dans notre vie professionnelle ou personnelle. Avec juste ce qu'il faut d'humour, Rolf Dobelli nous apprend, en 52 textes courts et subtilement illustrés, à repérer et à déjouer les "biais cognitifs", ces pièges de la pensée dans lesquels nous sommes tous susceptibles de tomber un jour ou l'autre. Car c'est un fait : comprendre combien et comment il est facile de se tromper procure un très net avantage sur les autres... Note de contenu : Voir aussi la note de lecture de Jacques Trémintin, en doc. attaché. Source : "Lien Social" n° 1152 du 27 novembre 2014, p. 43 : "Issus des sciences cognitives, voilà présentés cinquante deux biais de raisonnement que nous utilisons toutes et tous régulièrement, sans nous en rendre compte. En prendre conscience est grandement utile, pour tenter de s’en départir. L’auteur ne s’embarrasse pas de grandes théories. Il se contente de présenter des fiches illustrant chacune de ces erreurs de perception, d’évaluation, d’interprétation logique. L’évocation de ces mécanismes trouve ses sources dans la familiarité de notre quotidien. L’erreur d’attribution fondamentale  ? Elle consiste à surestimer la responsabilité des individus, en ignorant le rôle des facteurs liés au contexte. L’aversion pour la perte  ? Une perte aurait une répercussion émotionnelle deux fois plus importante qu’un gain. Le biais d’ancrage  ? Partir de ce que nous connaissons, pour évaluer une situation nouvelle. La pensée de groupe  ? Chacun a tendance à s’aligner sur la pensée dominante de son groupe d’appartenance. Le biais de sympathie  ? Plus nous développons de la bienveillance par rapport à un tiers, plus nous lui cédons. Le biais du résultat  ? Juger de la pertinence d’une décision à partir, non du processus qui a amené à la prendre, mais de son seul résultat. Le biais rétrospectif  ? Tout semble, après coup, logique et on ne comprend pas qu’on n’ait pas suivi cette évidence. Le biais d’autorité  ? Le défaut qui nous fait renoncer à nous montrer critique face à l’avis des experts. Enfin, ce biais de conformation qui nous incite à interpréter les nouvelles informations portées à notre connaissance de manière à les rendre compatibles avec nos théories, notre vision du monde et d’autrui, ainsi qu’avec nos convictions. Si toutes ces démonstrations sont parfois accompagnées de commentaires douteux d’un auteur imprégné de management, il est aisé pour le lecteur de trouver ses propres exemples." En ligne : http://0-scdtours.cyberlibris.com.sso.scd.univ-tours.fr/book/88812568 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=116931

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