[article]
| Titre : |
Joseph et Moïse égyptiens : Sigmund Freud et Thomas Mann |
| Auteurs : |
LE RIDER J |
| Année de publication : |
2005 |
| Article en page(s) : |
59-66 |
| Catégories : |
J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique
|
| Mots-clés : |
A COMPLETER MONOTHEISME FREUD Sigmund MANN T |
| Résumé : |
Pour désamorcer la rivalité pour l'Élection qu'il considère comme une des racines les plus profondes de l'antisémitisme, au stade d'élaboration de la culture-analyse que représente L'homme Moïse, Freud tente de montrer que les Hébreux n'ont pas été les ' inventeurs du monothéisme ', puisqu'il existait un autre monothéisme, celui du culte solaire du pharaon Ekhnaton à Héliopolis, mais que leur « invention » consista à établir un lien d'identité entre monothéisme, rationalisme scientifique et éthique. On a souvent souligné, et j'y reviendrai, l'influence de L'homme Moïse et la religion monothéiste sur le dernier volume de la tétralogie de Thomas Mann, Joseph et ses frères, publié en 1943 sous le titre Joseph le nourricier, et sur la nouvelle La Loi, publiée en 1944. Mais il convient aussi de souligner que Freud, au moment où il commençait à écrire L'homme Moïse, avait pu non seulement lire les trois premiers volumes de cette tétralogie, mais en discuter en tête à tête avec Thomas Mann. Nous montrons que le volume III, Joseph en Égypte, publié en 1934, a marqué l'imagination de Freud, tout en l'aidant à clarifier sa propre position d' 'égyptomane '. [résumé d'éditeur] |
| Permalink : |
https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=270956 |
in Savoirs et clinique : revue de psychanalyse > n°6 (2005) . - 59-66
[article] Joseph et Moïse égyptiens : Sigmund Freud et Thomas Mann [] / LE RIDER J . - 2005 . - 59-66. in Savoirs et clinique : revue de psychanalyse > n°6 (2005) . - 59-66
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J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION:Philosophie et éthique:Éthique
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| Mots-clés : |
A COMPLETER MONOTHEISME FREUD Sigmund MANN T |
| Résumé : |
Pour désamorcer la rivalité pour l'Élection qu'il considère comme une des racines les plus profondes de l'antisémitisme, au stade d'élaboration de la culture-analyse que représente L'homme Moïse, Freud tente de montrer que les Hébreux n'ont pas été les ' inventeurs du monothéisme ', puisqu'il existait un autre monothéisme, celui du culte solaire du pharaon Ekhnaton à Héliopolis, mais que leur « invention » consista à établir un lien d'identité entre monothéisme, rationalisme scientifique et éthique. On a souvent souligné, et j'y reviendrai, l'influence de L'homme Moïse et la religion monothéiste sur le dernier volume de la tétralogie de Thomas Mann, Joseph et ses frères, publié en 1943 sous le titre Joseph le nourricier, et sur la nouvelle La Loi, publiée en 1944. Mais il convient aussi de souligner que Freud, au moment où il commençait à écrire L'homme Moïse, avait pu non seulement lire les trois premiers volumes de cette tétralogie, mais en discuter en tête à tête avec Thomas Mann. Nous montrons que le volume III, Joseph en Égypte, publié en 1934, a marqué l'imagination de Freud, tout en l'aidant à clarifier sa propre position d' 'égyptomane '. [résumé d'éditeur] |
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Partager le résultat de cette rechercheExplorer le rêve : Sigmund Freud 1856-1939 in Sciences humaines, Sciences humaines n° 139 juin 2003 p.48-50 (14/05/2003)
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