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27 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'FRONT POPULAIRE' 




Titre : 1936 : les catholiques et le front populaire Titre original : Mille neuf cent trente six, les catholiques et le Front populaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Christophe (1932-2016), Auteur Mention d'édition : Précédemment publié à Paris : Desclée, 1979 Editeur : Paris : Les éditions ouvrières Année de publication : 1986, cop. 1979 Importance : 308 p. Présentation : couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7082-2488-9 Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : FRONT POPULAIRE FRANCE XXE ACTION CATHOLIQUE HISTOIRE Christianisme et politique -- Église catholique
Catholiques -- Activité politique -- France -- 1900-1945
Socialisme et christianisme -- Église catholique -- France -- 1900-1945
France -- 1936-1938 (Front populaire)Index. décimale : A-44 France Note de contenu : En annexe, choix de documents. Bibliogr. p. 300-304 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=497 1936 : les catholiques et le front populaire = Mille neuf cent trente six, les catholiques et le Front populaire [texte imprimé] / Paul Christophe (1932-2016), Auteur . - Précédemment publié à Paris : Desclée, 1979 . - Paris : Les éditions ouvrières, 1986, cop. 1979 . - 308 p. : couv. ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-7082-2488-9
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : FRONT POPULAIRE FRANCE XXE ACTION CATHOLIQUE HISTOIRE Christianisme et politique -- Église catholique
Catholiques -- Activité politique -- France -- 1900-1945
Socialisme et christianisme -- Église catholique -- France -- 1900-1945
France -- 1936-1938 (Front populaire)Index. décimale : A-44 France Note de contenu : En annexe, choix de documents. Bibliogr. p. 300-304 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=497 Réservation
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Titre : La belle illusion : culture et politique sous le signe du Front populaire : 1935-1938 Titre original : Culture et politique sous le signe du Front populaire, 1935-1938 Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal Ory (1948-...) , Auteur
Editeur : Paris Cedex 13 : Plon Année de publication : 1994 Collection : Civilisations et mentalités Importance : 1033 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-259-02683-3 Note générale : Texte remanié de : Thèse Etat de doctorat : Histoire : Paris 10 : 1990 : La politique culturelle du Front populaire français : 1935-1938 Pascal Ory . 5 vol. (1786 f.) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : EDUCATION POPULAIRE ARTS PLASTIQUES MUSIQUE THEATRE CINEMA CULTURE POLITIQUE CULTURELLE XXE EDUCATION LOISIR MEDIAS FETE LITTERATURE LECTURE HISTOIRE Vie artistique -- Politique et culture -- Politics and culture -- France -- History -- 20th century Vie intellectuelle -- 1900-1945 1936-1938 (Front populaire) Front populaire Musée de l'homme Paris Ethnologues -- 1914-1940 -- Civilization -- 1901-1945 Index. décimale : J-01 Culture - Essais sur... Résumé : La 4ème de couverture indique : "La Belle Equipe, La Grande Illusion : deux films célèbres, témoins de la France du Front populaire. Deux formules emblématiques d'un moment capital de notre histoire, celui où est née la notion moderne de "politique culturelle". Ce livre parle donc de théâtre ou de musique, mais aussi du nouveau CNRS ou de la télévision naissante, de l'" organisation des loisirs " ou de l'" art des fêtes ". Ses personnages s'appellent Léon Blum ou Jean Zay, mais aussi Le Corbusier ou Albert Camus, Jacques Soustelle ou Jean-Louis Barrault. Ce sont des prix Nobel de chimie, des conservateurs de musée ou des champions de tennis. Ses objets fétiches sont un bibliobus ou une chanson de Prévert, ses lieux typiques, une auberge de jeunesse ou un musée de plein air. Même si les espoirs se sont soldés par maintes déconvenues, ces quatre années de vigoureuse activité créatrice, d'intense imagination politique ont placé la France dans une position originale." Note de contenu : Notes bibliogr. en fin d'ouvrage. Index Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=5162 La belle illusion : culture et politique sous le signe du Front populaire : 1935-1938 = Culture et politique sous le signe du Front populaire, 1935-1938 [texte imprimé] / Pascal Ory (1948-...), Auteur . - Paris Cedex 13 : Plon, 1994 . - 1033 p.. - (Civilisations et mentalités) .
ISBN : 978-2-259-02683-3
Texte remanié de : Thèse Etat de doctorat : Histoire : Paris 10 : 1990 : La politique culturelle du Front populaire français : 1935-1938 Pascal Ory . 5 vol. (1786 f.)
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : EDUCATION POPULAIRE ARTS PLASTIQUES MUSIQUE THEATRE CINEMA CULTURE POLITIQUE CULTURELLE XXE EDUCATION LOISIR MEDIAS FETE LITTERATURE LECTURE HISTOIRE Vie artistique -- Politique et culture -- Politics and culture -- France -- History -- 20th century Vie intellectuelle -- 1900-1945 1936-1938 (Front populaire) Front populaire Musée de l'homme Paris Ethnologues -- 1914-1940 -- Civilization -- 1901-1945 Index. décimale : J-01 Culture - Essais sur... Résumé : La 4ème de couverture indique : "La Belle Equipe, La Grande Illusion : deux films célèbres, témoins de la France du Front populaire. Deux formules emblématiques d'un moment capital de notre histoire, celui où est née la notion moderne de "politique culturelle". Ce livre parle donc de théâtre ou de musique, mais aussi du nouveau CNRS ou de la télévision naissante, de l'" organisation des loisirs " ou de l'" art des fêtes ". Ses personnages s'appellent Léon Blum ou Jean Zay, mais aussi Le Corbusier ou Albert Camus, Jacques Soustelle ou Jean-Louis Barrault. Ce sont des prix Nobel de chimie, des conservateurs de musée ou des champions de tennis. Ses objets fétiches sont un bibliobus ou une chanson de Prévert, ses lieux typiques, une auberge de jeunesse ou un musée de plein air. Même si les espoirs se sont soldés par maintes déconvenues, ces quatre années de vigoureuse activité créatrice, d'intense imagination politique ont placé la France dans une position originale." Note de contenu : Notes bibliogr. en fin d'ouvrage. Index Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=5162 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5502 J-01 "20" ORY Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Art / Culture Disponible Le brevet sportif populaire et la politique du Front populaire en faveur des sports et des loisirs / UNIVERSITE Paris X Centre de recherche en STAPS
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4830 Livres Centre de Documentation Carrières Sociales DocCarSoc Disponible
Titre : Une politique du temps libre ? : 1981-1983 Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Fontaine (1978-...) , Auteur
Editeur : Paris : Éditions Fondation Jean-Jaurès Année de publication : 2011 Collection : Les Essais (Paris. 2009), ISSN 2100-4021 num. 06/2011 Importance : 107 p. Format : PDF (1,33 Mo) ; 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-36244-019-9 Prix : 6 € Note générale : [Voir aussi : vidéo en hyperlien] Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Culture idées Modèle social temps libre Ministère loisirs André Henry évolution sociale vacances 1981 Parti socialiste Pierre Mauroy Léo Lagrange Front populaire Index. décimale : J-50 Loisirs - Animation - Education populaire Résumé : En mai 1981, Pierre Mauroy invente un ministère du Temps libre, confié à André Henry. Marion Fontaine revient sur cette initiative, sur ses raisons et sur les causes de son échec. Analysant l’appropriation du concept de temps libre par la gauche socialiste, elle interroge ainsi les enjeux les plus sérieux de la vie démocratique. Note de contenu : Synthèse : "Après l’accession des socialistes au pouvoir le 10 mai 1981, le premier gouvernement de Pierre Mauroy donne naissance à un nouveau ministère : le ministère du Temps libre, confié à André Henry. Il fait écho au sous-secrétariat d’Etat aux Sports et à l’Organisation des loisirs de Léo Lagrange, en 1936 dans le gouvernement Blum. D’une durée équivalente (environ deux ans), ces deux initiatives connurent pourtant des destinées opposées : l’oubli dans lequel est tombé le ministère d’André Henry, quelques fois qualifié de « ministère du vide », contraste avec la postérité glorieuse de l’action de Léo Lagrange. Marion Fontaine revient sur l’histoire de cet échec : la question du temps libre, qui peut paraître incongrue, prend sens à condition d’être replacée dans le contexte des années précédant son institutionnalisation. La création d’un ministère du Temps libre est d’abord une manière de s’inscrire dans l’héritage de 1936. Chez les socialistes, la référence au Front populaire, qui signifie avant tout la réduction du temps de travail et la démocratisation des loisirs, est omniprésente, dès la Libération. Leur ambition est de poursuivre ce double processus, tout en inscrivant le temps libre dans une perspective d’éducation et d’émancipation, perspective qui vient légitimer l’intervention des pouvoirs publics dans les domaines des loisirs et de la culture. Cette ambition est rapidement reléguée par tout un panel d’associations liées à la gauche qui aspirent à prendre en charge les loisirs du peuple. Mais si la gauche entend en faire un marqueur identitaire, elle n’a pourtant pas le monopole de ce projet : droite et gauche communient dans l’idée qu’il s’agit là de secteurs légitimes de l’action publique. A l’aube des années 1960, sous l’effet d’une évolution sociale lente mais profonde, s’impose ainsi l’idée que le temps libre fait partie de la vie. Bien qu’œuvrant à cette évolution, la gauche n’envisage pas ce phénomène sans angoisse. Très attachée à sa conception du temps libre comme temps de développement et d’éducation, elle redoute les errances d’individus livrés à eux-mêmes. Les mutations intellectuelles et idéologiques découlant de Mai 68 (valorisation de la libre créativité des masses, de la spontanéité, du plaisir, etc.) confèrent une complexité nouvelle à cette situation. Mais il est désormais clair que la réduction du temps de travail, objectif affiché des socialistes, ne saurait avoir une signification strictement négative : elle s’accompagne d’un pendant positif, celui de la libération du temps, qui devient celui de l’épanouissement individuel. En 1980, le temps libre trouve donc explicitement sa place dans le programme des socialistes. Mais son contenu fait aussi l’objet d’importantes préoccupations : s’il ne s’agit pas d’étatiser les loisirs, le Parti socialiste entend bien garder la mainmise sur ce temps pourtant dit libre, adoptant dès lors une posture conservatrice, en décalage par rapport aux évolutions sociales en cours, à contre courant de la tendance consumériste grandissante. En 1981, la question du temps libre a donc eu le temps de mûrir dans l’esprit des socialistes. Et pourtant, après leur arrivée au pouvoir, une étrange impression d’improvisation entoure l’action de ce ministère. Si elle débouche sur quelques initiatives concrètes, elle est bientôt critiquée, apparaissant comme une reprise caricaturale et malhabile des thèses socialistes des années 1930. La critique se focalise sur la personne d’André Henry. Dans un contexte d’inexpérience du pouvoir de la gauche, la responsabilité de l’échec lui est en grande partie imputée. Mais le ministère du Temps libre se brise aussi devant l’impossibilité de concrétiser certains projets comme la réforme du statut des associations. Tout cela permet de comprendre l’amertume avec laquelle ces associations envisagent par la suite l’expérience du ministère du Temps libre, occasion manquée qui signe aussi pour eux la fin d’une époque. Finalement, l’échec du ministère d’André Henry tient peut-être moins à la conjoncture économique qu’au décalage qui existe entre l’idée et l’époque : le ministère du Temps libre est en retard sur son temps ; le projet qu’il expose semble bégayer le passé. C’est que le portefeuille de Léo Lagrange avait une raison d’être que celui de 1981 n’a plus : la modernité. D’une certaine manière, le ministère du Temps libre meurt du succès de 1936 et des transformations qui ont suivi. A moins de vouloir « codifier le rêve », à quoi peut bien servir que l’Etat intervienne dans les vacances et les loisirs des individus, dans ce temps qui, par essence pense-t-on, échappe à l’intervention des pouvoirs publics ? André Henry perd son portefeuille lors du remaniement de mars 1983. La suite des événements signe l’abandon des ambitions globalisantes du temps libre, au profit de la gestion du domaine sportif. Le ministère du Temps libre ne laisse donc aucun héritage. Mais si le temps libre s’évanouit, il ne faut pas se laisser prendre au piège des mots : la réflexion, au moins celle qui concerne les frontières du temps au travail et hors-travail, est, elle, appelée à réapparaître" En ligne : http://www.jean-jaures.org/Publications/Les-essais/Une-politique-du-temps-libre- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56918 Une politique du temps libre ? : 1981-1983 [texte imprimé] / Marion Fontaine (1978-...), Auteur . - Paris : Éditions Fondation Jean-Jaurès, 2011 . - 107 p. ; PDF (1,33 Mo) ; 15 cm. - (Les Essais (Paris. 2009), ISSN 2100-4021; 06/2011) .
ISBN : 978-2-36244-019-9 : 6 €
[Voir aussi : vidéo en hyperlien]
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Culture idées Modèle social temps libre Ministère loisirs André Henry évolution sociale vacances 1981 Parti socialiste Pierre Mauroy Léo Lagrange Front populaire Index. décimale : J-50 Loisirs - Animation - Education populaire Résumé : En mai 1981, Pierre Mauroy invente un ministère du Temps libre, confié à André Henry. Marion Fontaine revient sur cette initiative, sur ses raisons et sur les causes de son échec. Analysant l’appropriation du concept de temps libre par la gauche socialiste, elle interroge ainsi les enjeux les plus sérieux de la vie démocratique. Note de contenu : Synthèse : "Après l’accession des socialistes au pouvoir le 10 mai 1981, le premier gouvernement de Pierre Mauroy donne naissance à un nouveau ministère : le ministère du Temps libre, confié à André Henry. Il fait écho au sous-secrétariat d’Etat aux Sports et à l’Organisation des loisirs de Léo Lagrange, en 1936 dans le gouvernement Blum. D’une durée équivalente (environ deux ans), ces deux initiatives connurent pourtant des destinées opposées : l’oubli dans lequel est tombé le ministère d’André Henry, quelques fois qualifié de « ministère du vide », contraste avec la postérité glorieuse de l’action de Léo Lagrange. Marion Fontaine revient sur l’histoire de cet échec : la question du temps libre, qui peut paraître incongrue, prend sens à condition d’être replacée dans le contexte des années précédant son institutionnalisation. La création d’un ministère du Temps libre est d’abord une manière de s’inscrire dans l’héritage de 1936. Chez les socialistes, la référence au Front populaire, qui signifie avant tout la réduction du temps de travail et la démocratisation des loisirs, est omniprésente, dès la Libération. Leur ambition est de poursuivre ce double processus, tout en inscrivant le temps libre dans une perspective d’éducation et d’émancipation, perspective qui vient légitimer l’intervention des pouvoirs publics dans les domaines des loisirs et de la culture. Cette ambition est rapidement reléguée par tout un panel d’associations liées à la gauche qui aspirent à prendre en charge les loisirs du peuple. Mais si la gauche entend en faire un marqueur identitaire, elle n’a pourtant pas le monopole de ce projet : droite et gauche communient dans l’idée qu’il s’agit là de secteurs légitimes de l’action publique. A l’aube des années 1960, sous l’effet d’une évolution sociale lente mais profonde, s’impose ainsi l’idée que le temps libre fait partie de la vie. Bien qu’œuvrant à cette évolution, la gauche n’envisage pas ce phénomène sans angoisse. Très attachée à sa conception du temps libre comme temps de développement et d’éducation, elle redoute les errances d’individus livrés à eux-mêmes. Les mutations intellectuelles et idéologiques découlant de Mai 68 (valorisation de la libre créativité des masses, de la spontanéité, du plaisir, etc.) confèrent une complexité nouvelle à cette situation. Mais il est désormais clair que la réduction du temps de travail, objectif affiché des socialistes, ne saurait avoir une signification strictement négative : elle s’accompagne d’un pendant positif, celui de la libération du temps, qui devient celui de l’épanouissement individuel. En 1980, le temps libre trouve donc explicitement sa place dans le programme des socialistes. Mais son contenu fait aussi l’objet d’importantes préoccupations : s’il ne s’agit pas d’étatiser les loisirs, le Parti socialiste entend bien garder la mainmise sur ce temps pourtant dit libre, adoptant dès lors une posture conservatrice, en décalage par rapport aux évolutions sociales en cours, à contre courant de la tendance consumériste grandissante. En 1981, la question du temps libre a donc eu le temps de mûrir dans l’esprit des socialistes. Et pourtant, après leur arrivée au pouvoir, une étrange impression d’improvisation entoure l’action de ce ministère. Si elle débouche sur quelques initiatives concrètes, elle est bientôt critiquée, apparaissant comme une reprise caricaturale et malhabile des thèses socialistes des années 1930. La critique se focalise sur la personne d’André Henry. Dans un contexte d’inexpérience du pouvoir de la gauche, la responsabilité de l’échec lui est en grande partie imputée. Mais le ministère du Temps libre se brise aussi devant l’impossibilité de concrétiser certains projets comme la réforme du statut des associations. Tout cela permet de comprendre l’amertume avec laquelle ces associations envisagent par la suite l’expérience du ministère du Temps libre, occasion manquée qui signe aussi pour eux la fin d’une époque. Finalement, l’échec du ministère d’André Henry tient peut-être moins à la conjoncture économique qu’au décalage qui existe entre l’idée et l’époque : le ministère du Temps libre est en retard sur son temps ; le projet qu’il expose semble bégayer le passé. C’est que le portefeuille de Léo Lagrange avait une raison d’être que celui de 1981 n’a plus : la modernité. D’une certaine manière, le ministère du Temps libre meurt du succès de 1936 et des transformations qui ont suivi. A moins de vouloir « codifier le rêve », à quoi peut bien servir que l’Etat intervienne dans les vacances et les loisirs des individus, dans ce temps qui, par essence pense-t-on, échappe à l’intervention des pouvoirs publics ? André Henry perd son portefeuille lors du remaniement de mars 1983. La suite des événements signe l’abandon des ambitions globalisantes du temps libre, au profit de la gestion du domaine sportif. Le ministère du Temps libre ne laisse donc aucun héritage. Mais si le temps libre s’évanouit, il ne faut pas se laisser prendre au piège des mots : la réflexion, au moins celle qui concerne les frontières du temps au travail et hors-travail, est, elle, appelée à réapparaître" En ligne : http://www.jean-jaures.org/Publications/Les-essais/Une-politique-du-temps-libre- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56918 Réservation
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Titre : Education populaire : le temps de l’engagement Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Ménard (1961-...) , Auteur
Mention d'édition : Téléchargez l'essai gratuitement en ligne Editeur : Paris : Éditions Fondation Jean-Jaurès Année de publication : 2012 Collection : Les Essais (Paris. 2009), ISSN 2100-4021 Importance : 62 p. Format : 15 cm (PDF - 266,34 ko) Prix : 6 € Langues : Français (fre) Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Culture Education Enseignement supérieur Jeunesse Education populaire Société civile (syndicats, associations...) Socioculturel Animation Corps intermédiaires Association CNAJEP Front populaire Société civile syndicats Associations Index. décimale : J-50 Loisirs - Animation - Education populaire Résumé : Depuis la naissance de ce mouvement au XIXème siècle, l’éducation populaire a nourri l’élan démocratique des peuples au service de l’émancipation culturelle et du progrès collectif mais est aujourd’hui confrontée à de nombreux écueils. Michel Ménard propose d’en revaloriser le rôle. Note de contenu : La décentralisation et la redéfinition progressive du contour des politiques de jeunesse ont également été à l’origine d’évolutions fonctionnelles marquées par une diffusion du recours à la contractualisation. Le passage d’un fonctionnement centralisé à une gestion contractuelle « descendante » des politiques de jeunesse implique une présence forte et une intervention ambitieuse des collectivités territoriales, au risque d’une dévitalisation du secteur de l’animation socioculturelle dans les territoires. La nouvelle philosophie à l’oeuvre dans l’animation socioculturelle est régie par le déploiement de dispositifs au travers desquels doivent être pensées les politiques de jeunesse, ainsi que la gestion des contrats et de l’équipement. Le début des années 1980 marque, à cet égard, la prégnance de cette nouvelle philosophie de la concurrence à la subvention, de la précarisation salariale et de l’incertitude financière du milieu socioculturel. Dans ce contexte, assurer la pérennité de leurs activités devient, pour les associations, une priorité quotidienne, même pour les mieux intégrées et positionnées dans les dispositifs municipaux. En effet, dès lors que la capacité de financement d’une association est mise à mal, c’est toute sa dimension militante qui est annihilée par l’évolution du profil de ses postes. En ligne : http://www.jean-jaures.org/content/download/17055/166671/version/2/file/menard_e [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=58469 Education populaire : le temps de l’engagement [texte imprimé] / Michel Ménard (1961-...), Auteur . - Téléchargez l'essai gratuitement en ligne . - Paris : Éditions Fondation Jean-Jaurès, 2012 . - 62 p. ; 15 cm (PDF - 266,34 ko). - (Les Essais (Paris. 2009), ISSN 2100-4021) .
6 €
Langues : Français (fre)
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Culture Education Enseignement supérieur Jeunesse Education populaire Société civile (syndicats, associations...) Socioculturel Animation Corps intermédiaires Association CNAJEP Front populaire Société civile syndicats Associations Index. décimale : J-50 Loisirs - Animation - Education populaire Résumé : Depuis la naissance de ce mouvement au XIXème siècle, l’éducation populaire a nourri l’élan démocratique des peuples au service de l’émancipation culturelle et du progrès collectif mais est aujourd’hui confrontée à de nombreux écueils. Michel Ménard propose d’en revaloriser le rôle. Note de contenu : La décentralisation et la redéfinition progressive du contour des politiques de jeunesse ont également été à l’origine d’évolutions fonctionnelles marquées par une diffusion du recours à la contractualisation. Le passage d’un fonctionnement centralisé à une gestion contractuelle « descendante » des politiques de jeunesse implique une présence forte et une intervention ambitieuse des collectivités territoriales, au risque d’une dévitalisation du secteur de l’animation socioculturelle dans les territoires. La nouvelle philosophie à l’oeuvre dans l’animation socioculturelle est régie par le déploiement de dispositifs au travers desquels doivent être pensées les politiques de jeunesse, ainsi que la gestion des contrats et de l’équipement. Le début des années 1980 marque, à cet égard, la prégnance de cette nouvelle philosophie de la concurrence à la subvention, de la précarisation salariale et de l’incertitude financière du milieu socioculturel. Dans ce contexte, assurer la pérennité de leurs activités devient, pour les associations, une priorité quotidienne, même pour les mieux intégrées et positionnées dans les dispositifs municipaux. En effet, dès lors que la capacité de financement d’une association est mise à mal, c’est toute sa dimension militante qui est annihilée par l’évolution du profil de ses postes. En ligne : http://www.jean-jaures.org/content/download/17055/166671/version/2/file/menard_e [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=58469 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 4532 J-50 MEN Livre Centre de Documentation Carrières Sociales Education populaire - Animation Disponible PermalinkCahiers d'histoire (Marly-le-Roi), 1. La "préhistoire" du Ministère de la Jeunesse et des Sports : l'entre-deux-guerres / Comité d'histoire des ministères chargés de la jeunesse et des sports (France)
PermalinkCrises de l'école et remèdes / RANCIERE Jacques; PATOCKA Jan; BAUMAN Zygmunt; NIETZSCHE; STIEGLER Bernard; DEBRAY Régis; ZAY Jean; PROST Antoine;FERRY Jules;JAURES Jean in Le Monde de l'Education [archivé], Monde de l'éducation n° 349 juillet-èaoût 2006 p.8-36 (26/09/2006)
PermalinkLa France contemporaine. L'État et la culture en France au XXe siècle : postface inédite / Philippe Poirrier
PermalinkLes grandes batailles de la gauche : espoirs et desillusions / WINOCK Michel;BECKER Jean-Jacques; AGULHON Maurice; BERSTEIN Serge; JEANNENEY Jean-Noël; LEQUIN Yves; GAILLARD Jean-Michel; PROCHASSON Christophe; RIOUX Jean-Pierre; ROSANVALLON Pierre; COURTOIS Stéphane; GARRIGUES Jean; PAGES Yves; LAZAR Marc; ASKOLOVITC in Les Collections de l'Histoire / BU de l'IUT, Collections de l'histoire n°27 avril-juin 2005 98 p. (25/04/2005)
PermalinkNi bourgeois, ni prolétaires : la défense des classes moyennes en France au XXe siècle / Jean Ruhlmann
PermalinkPermalinkPermalinkLa colonie de vacances éducative : 1936-1937 / CENTRE DE FORMATION DE MONITEURS DES CADRES DE LOISIRS EDUCATIFS
PermalinkJeunesse et sports : espérances contrariées marginalités récupérées : propos sur des utopies abandonnées / Michel Henri Héluwaert
PermalinkPermalinkPermalink1937-1987, APPRENDRE L'HISTOIRE ET LA MANIERE DE S'EN SERVIR / LUCIEN BONNAFE in Vie sociale et traitements : VST : revue du champ social et de la santé mentale / Cairn.info, N.74 (MAI-JUIN 2002)
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