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9 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Films documentaires' 




Titre : Arte et le documentaire : de nouveaux enjeux pour la création / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Sophie Barreau-Brouste, Auteur Mention d'édition : Texte remanié de : Thèse de doctorat : Sociologie : Paris 3 : 2009 - Prix de la recherche de l'INA : 2010 : France Editeur : Latresne (Gironde) : BDL, Le Bord de L'eau Editions Année de publication : 2011 Collection : Penser les médias, ISSN 1969-5748 Importance : 214 p. Présentation : fig. ,tabl., couv. ill. Format : 23 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35687-106-0 Prix : 18,30 € Note générale : Voir en hyperlien "Le documentaire télévisé : les enjeux d'une définition controversé" / Sophie Barreau-Brouste, sociologue, spécialiste de la culture et des médias : "Le documentaire puise ses racines dans l’histoire du cinéma, mais ses évolutions sont majoritairement liées au média télévisuel. Comment dès lors définir ce « cinéma du réel » qui est devenu un genre multiforme essentiel pour alimenter les grilles de programmes des chaînes de télévision ? Cette définition est d’autant plus controversée que les enjeux sont à la fois économiques, artistiques et culturels. En lice, des acteurs, issus de mondes différents, qui se battent pour des visions parfois contradictoires du documentaire et de l’ « œuvre audiovisuelle », conditionnant l’accès aux aides à la création : réalisateurs et producteurs indépendants, souvent ancrés dans la tradition cinématographique, diffuseurs et autres nouveaux acteurs sociaux qui tirent le documentaire vers des contours variés, information ou même divertissement, en quête d’audience. De nouvelles règles du jeu en cours de réflexion pourraient permettre de donner une cohérence à ce genre de plus en plus hybride. Le genre documentaire a toujours été en quête de définition. Son héritage cinématographique représente un des principaux enjeux de l’impact de la télévision sur son identité originelle : une œuvre qui s‘attache à restituer le réel, avec des règles esthétiques et éthiques. Les professionnels indépendants des chaînes, producteurs et réalisateurs inscrivent le documentaire dans la culture du cinéma — qui l’a fait naître —, même s’il est actuellement produit et diffusé majoritairement par la télévision. La multiplication des acteurs et des cultures professionnelles qui collaborent autour d’une œuvre documentaire favorise la multiplicité des processus de définition. Dans les années 1960, le documentaire représente un programme télévisuel valorisé avec l’émergence des techniques de prises de vues en « direct ». Puis, la privatisation de la télévision dans les années 1980 et la recherche d’une certaine maximisation de l’audience contribuent à exclure le documentaire des programmations. Il faudra attendre les années 1990, pour observer son retour. Sa présence renouvelée sur les petits écrans, notamment grâce à la politique culturelle d’Arte France, va permettre l’émergence et la structuration d’un réel marché professionnel. Le documentaire bénéficie aujourd’hui d’une diffusion et d’une visibilité abondante à la télévision française en volume et en audience. Pourtant, le documentaire télévisé évoque quelque chose de flou en raison de son cadre de production et de réception de plus en plus éloigné de sa filiation initiale avec le cinéma. Progressivement, le petit écran brise le monopole du cinéma sur les conventions sociales et esthétiques du documentaire, sur ses critères de légitimation artistique1 et tente, non plus de révéler des œuvres et des artistes, mais de le rendre accessible à tous. Le documentaire n’est pas spécifié par sa caractéristique originale — le point de vue d’un auteur — mais doit s’adapter aux normes des cases de diffusion, de l’Audimat et produire des formes narratives contrôlées. Le documentaire a d’abord connu une crise économique, avec sa difficile éviction des petits écrans. Aujourd’hui bien présent dans les programmes, il traverse à nouveau une crise, – symbolique cette fois-ci, qui touche directement à sa définition. Comment caractériser la création documentaire télévisuelle, qui, d’un genre cinématographique minoritaire, est devenue un produit audiovisuel grand public ?
La définition du documentaire possède des enjeux conséquents car elle détermine des mécanismes publics de soutien, renvoie à des catégories de professionnels (réalisateurs, producteurs, diffuseurs) et à un moyen d'identification des programmes pour les téléspectateurs. La notion d’« œuvre audiovisuelle » inscrite dans une loi en 1987 va d’abord garantir une certaine reconnaissance aux créations originales télévisuelles. Or, cette définition est aujourd’hui controversée, car elle a été pensée antérieurement à la multiplication des formats et des cases de la grille de programmes et avant l’arrivée de la télé-réalité et de la concurrence de la télévision numérique gratuite. L’omniprésence des images du réel effrite la légitimité de l’appellation « documentaire » en augmentant la confusion entre toutes les programmations qui traitent de la réalité. Les programmateurs jouent sur cette ambiguïté afin de bénéficier des financements publics accordés aux œuvres audiovisuelles.
Après avoir précisé les définitions institutionnelles du documentaire télévisé, nous analyserons son rapprochement avec d’autres genres télévisuels, puis l’évolution des modes de création. Enfin, nous verrons comment les réalisateurs et les producteurs, non salariés des chaînes, se mobilisent pour redonner du sens à la catégorisation « documentaire »."Langues : Français (fre) Mots-clés : Culture et médias / Médias et communication / Télévision Télévision Arte Films documentaires Arte
Documentaristes -- France -- 1990-....
Films documentaires -- France -- 1990-....
Films documentaires -- Production et réalisation -- France -- 1990-....
Films documentaires -- Distribution -- France -- 1990-....
Télévision -- Émissions documentaires -- France -- 1990-....
Communication audiovisuelle -- France -- 1990-....
Sociologie visuelleRésumé : Pour déterminer les enjeux contemporains de la création documentaire, cet essai s'intéresse à une chaîne publique de référence, Arte. S. Barreau-Brouste revient sur les évolutions de sa politique éditoriale, les choix auxquels sont confrontés les documentaristes, les polémiques, à travers l'exemple emblématique du documentaire Le cauchemar de Darwin. Note de contenu : Notes bibliogr. Index. 4e de couv. : "Valorisé dans les années 60, marginalisé dans les années 80, le documentaire à la télévision a trouvé, dans les années 90, une nouvelle vitalité grâce à la création de la chaîne ARTE, acteur indéniable de son renouveau. Fondée en 1992 par un accord de coopération culturelle entre la France et l'Allemagne, cette chaîne incarne une télévision exigeante et audacieuse, premier diffuseur et coproducteur de films documentaires, oeuvres connues et reconnues sous le « label ARTE ».
Mais ARTE est-elle encore en mesure de maintenir sa spécificité culturelle ? La concurrence entre les chaînes de télévision, celle d'Internet, et la récente érosion de l'audience télévisuelle incitent aujourd'hui la chaîne à repenser sa politique documentaire. En s'ouvrant, non sans susciter quelques polémiques, à d'autres productions télévisuelles qui prennent le « réel » comme objet (reportage, reality show, téléréalité, docu-fiction...), ARTE va progressivement bouleverser et réactualiser les formats documentaires télévisuels, l'esthétique des images et les rôles des professionnels qui les réalisent.
Basé sur une analyse croisée des archives de la chaîne, sur une sociologie des images documentaires, sur des entretiens avec des dirigeants d'ARTE France et avec des professionnels indépendants, ce livre dresse, à travers l'analyse des évolutions de la politique éditoriale de la chaîne, les nouveaux contours du « genre » documentaire, un genre en mutation qui, en intégrant les besoins propres de la télévision, s'autonomise de son réfèrent cinématographique originel. Il apporte aussi un éclairage nouveau sur les questions et les choix auxquels sont confrontés les documentaristes dans leur travail avec une chaîne de télévision."En ligne : https://www.ina-expert.com/e-dossier-le-documentaire-un-genre-multiforme/le-docu [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=188971 Arte et le documentaire : de nouveaux enjeux pour la création / SUDOC [document électronique] / Sophie Barreau-Brouste, Auteur . - Texte remanié de : Thèse de doctorat : Sociologie : Paris 3 : 2009 - Prix de la recherche de l'INA : 2010 : France . - Latresne (Gironde) : BDL, Le Bord de L'eau Editions, 2011 . - 214 p. : fig. ,tabl., couv. ill. ; 23 x 15 cm. - (Penser les médias, ISSN 1969-5748) .
ISBN : 978-2-35687-106-0 : 18,30 €
Voir en hyperlien "Le documentaire télévisé : les enjeux d'une définition controversé" / Sophie Barreau-Brouste, sociologue, spécialiste de la culture et des médias : "Le documentaire puise ses racines dans l’histoire du cinéma, mais ses évolutions sont majoritairement liées au média télévisuel. Comment dès lors définir ce « cinéma du réel » qui est devenu un genre multiforme essentiel pour alimenter les grilles de programmes des chaînes de télévision ? Cette définition est d’autant plus controversée que les enjeux sont à la fois économiques, artistiques et culturels. En lice, des acteurs, issus de mondes différents, qui se battent pour des visions parfois contradictoires du documentaire et de l’ « œuvre audiovisuelle », conditionnant l’accès aux aides à la création : réalisateurs et producteurs indépendants, souvent ancrés dans la tradition cinématographique, diffuseurs et autres nouveaux acteurs sociaux qui tirent le documentaire vers des contours variés, information ou même divertissement, en quête d’audience. De nouvelles règles du jeu en cours de réflexion pourraient permettre de donner une cohérence à ce genre de plus en plus hybride. Le genre documentaire a toujours été en quête de définition. Son héritage cinématographique représente un des principaux enjeux de l’impact de la télévision sur son identité originelle : une œuvre qui s‘attache à restituer le réel, avec des règles esthétiques et éthiques. Les professionnels indépendants des chaînes, producteurs et réalisateurs inscrivent le documentaire dans la culture du cinéma — qui l’a fait naître —, même s’il est actuellement produit et diffusé majoritairement par la télévision. La multiplication des acteurs et des cultures professionnelles qui collaborent autour d’une œuvre documentaire favorise la multiplicité des processus de définition. Dans les années 1960, le documentaire représente un programme télévisuel valorisé avec l’émergence des techniques de prises de vues en « direct ». Puis, la privatisation de la télévision dans les années 1980 et la recherche d’une certaine maximisation de l’audience contribuent à exclure le documentaire des programmations. Il faudra attendre les années 1990, pour observer son retour. Sa présence renouvelée sur les petits écrans, notamment grâce à la politique culturelle d’Arte France, va permettre l’émergence et la structuration d’un réel marché professionnel. Le documentaire bénéficie aujourd’hui d’une diffusion et d’une visibilité abondante à la télévision française en volume et en audience. Pourtant, le documentaire télévisé évoque quelque chose de flou en raison de son cadre de production et de réception de plus en plus éloigné de sa filiation initiale avec le cinéma. Progressivement, le petit écran brise le monopole du cinéma sur les conventions sociales et esthétiques du documentaire, sur ses critères de légitimation artistique1 et tente, non plus de révéler des œuvres et des artistes, mais de le rendre accessible à tous. Le documentaire n’est pas spécifié par sa caractéristique originale — le point de vue d’un auteur — mais doit s’adapter aux normes des cases de diffusion, de l’Audimat et produire des formes narratives contrôlées. Le documentaire a d’abord connu une crise économique, avec sa difficile éviction des petits écrans. Aujourd’hui bien présent dans les programmes, il traverse à nouveau une crise, – symbolique cette fois-ci, qui touche directement à sa définition. Comment caractériser la création documentaire télévisuelle, qui, d’un genre cinématographique minoritaire, est devenue un produit audiovisuel grand public ?
La définition du documentaire possède des enjeux conséquents car elle détermine des mécanismes publics de soutien, renvoie à des catégories de professionnels (réalisateurs, producteurs, diffuseurs) et à un moyen d'identification des programmes pour les téléspectateurs. La notion d’« œuvre audiovisuelle » inscrite dans une loi en 1987 va d’abord garantir une certaine reconnaissance aux créations originales télévisuelles. Or, cette définition est aujourd’hui controversée, car elle a été pensée antérieurement à la multiplication des formats et des cases de la grille de programmes et avant l’arrivée de la télé-réalité et de la concurrence de la télévision numérique gratuite. L’omniprésence des images du réel effrite la légitimité de l’appellation « documentaire » en augmentant la confusion entre toutes les programmations qui traitent de la réalité. Les programmateurs jouent sur cette ambiguïté afin de bénéficier des financements publics accordés aux œuvres audiovisuelles.
Après avoir précisé les définitions institutionnelles du documentaire télévisé, nous analyserons son rapprochement avec d’autres genres télévisuels, puis l’évolution des modes de création. Enfin, nous verrons comment les réalisateurs et les producteurs, non salariés des chaînes, se mobilisent pour redonner du sens à la catégorisation « documentaire »."
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Culture et médias / Médias et communication / Télévision Télévision Arte Films documentaires Arte
Documentaristes -- France -- 1990-....
Films documentaires -- France -- 1990-....
Films documentaires -- Production et réalisation -- France -- 1990-....
Films documentaires -- Distribution -- France -- 1990-....
Télévision -- Émissions documentaires -- France -- 1990-....
Communication audiovisuelle -- France -- 1990-....
Sociologie visuelleRésumé : Pour déterminer les enjeux contemporains de la création documentaire, cet essai s'intéresse à une chaîne publique de référence, Arte. S. Barreau-Brouste revient sur les évolutions de sa politique éditoriale, les choix auxquels sont confrontés les documentaristes, les polémiques, à travers l'exemple emblématique du documentaire Le cauchemar de Darwin. Note de contenu : Notes bibliogr. Index. 4e de couv. : "Valorisé dans les années 60, marginalisé dans les années 80, le documentaire à la télévision a trouvé, dans les années 90, une nouvelle vitalité grâce à la création de la chaîne ARTE, acteur indéniable de son renouveau. Fondée en 1992 par un accord de coopération culturelle entre la France et l'Allemagne, cette chaîne incarne une télévision exigeante et audacieuse, premier diffuseur et coproducteur de films documentaires, oeuvres connues et reconnues sous le « label ARTE ».
Mais ARTE est-elle encore en mesure de maintenir sa spécificité culturelle ? La concurrence entre les chaînes de télévision, celle d'Internet, et la récente érosion de l'audience télévisuelle incitent aujourd'hui la chaîne à repenser sa politique documentaire. En s'ouvrant, non sans susciter quelques polémiques, à d'autres productions télévisuelles qui prennent le « réel » comme objet (reportage, reality show, téléréalité, docu-fiction...), ARTE va progressivement bouleverser et réactualiser les formats documentaires télévisuels, l'esthétique des images et les rôles des professionnels qui les réalisent.
Basé sur une analyse croisée des archives de la chaîne, sur une sociologie des images documentaires, sur des entretiens avec des dirigeants d'ARTE France et avec des professionnels indépendants, ce livre dresse, à travers l'analyse des évolutions de la politique éditoriale de la chaîne, les nouveaux contours du « genre » documentaire, un genre en mutation qui, en intégrant les besoins propres de la télévision, s'autonomise de son réfèrent cinématographique originel. Il apporte aussi un éclairage nouveau sur les questions et les choix auxquels sont confrontés les documentaristes dans leur travail avec une chaîne de télévision."En ligne : https://www.ina-expert.com/e-dossier-le-documentaire-un-genre-multiforme/le-docu [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=188971 Exemplaires
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Le cinéma documentaire dans les bibliothèques publiques / Catherine Blangonnet in Bulletin des bibliothèques de France, BBF / ENSSIB, 1 (2005)
[article]
Titre : Le cinéma documentaire dans les bibliothèques publiques : un premier bilan Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Blangonnet Année de publication : 2005 Article en page(s) : p. 64-72 (9 p.) Langues : Français (fre) Mots-clés : Bibliothèques publiques Films documentaires Résumé : Le ministère de la Culture a fortement encouragé le développement de collections de films documentaires dans les bibliothèques publiques dès la fin des années 1970. Or, depuis l'enquête menée en 1979 sous la direction de Michel Grumbach et Jean-Claude Passeron, aucune étude d'ensemble sur cette offre de films et ses usages n'avait été réalisée à l'échelle nationale. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=123218
in Bulletin des bibliothèques de France, BBF / ENSSIB > 1 (2005) . - p. 64-72 (9 p.)[article] Le cinéma documentaire dans les bibliothèques publiques : un premier bilan [texte imprimé] / Catherine Blangonnet . - 2005 . - p. 64-72 (9 p.).
Langues : Français (fre)
in Bulletin des bibliothèques de France, BBF / ENSSIB > 1 (2005) . - p. 64-72 (9 p.)
Mots-clés : Bibliothèques publiques Films documentaires Résumé : Le ministère de la Culture a fortement encouragé le développement de collections de films documentaires dans les bibliothèques publiques dès la fin des années 1970. Or, depuis l'enquête menée en 1979 sous la direction de Michel Grumbach et Jean-Claude Passeron, aucune étude d'ensemble sur cette offre de films et ses usages n'avait été réalisée à l'échelle nationale. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=123218
Titre : Politique chronique : une campagne de presse (2002-2007) Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Yvan Petit, Metteur en scène, réalisateur ; Xavier SELVA, Metteur en scène, réalisateur Editeur : Tours : Association Sans Canal Fixe Année de publication : 2002 Importance : 1 DVD zone 2 (118 min) : sonore Note générale : Titre propre gravé sur le DVD - Maud Martin, montage Emmanuel Rousseau, mus. Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : ELECTION TOURS POLITIQUE Élections municipales -- Démocratie locale -- Médias -- Influence -- Presse et politique -- France -- Tours (Indre-et-Loire) -- 1990-... -- DVD Films documentaires Index. décimale : A-10 Idéologie politique Résumé : Un an avant les élections Municipales de 2001, le médiatique député UDF Renaud Donnedieu de Vabres annonce sa candidature à Tours contre Jean Germain, le maire socialiste en place. Un jeune Vert est lui aussi candidat avec une liste autonome. La presse nationale titre à plusieurs reprises "Tours, la Ville qui va basculer à droite". Les médias sont convaincus d'avoir trouvé une ville moyenne idéale pour illustrer les divisions de la gauche plurielle alors à la tête du pays. La scène politique locale vit au rythme des visites de ténors nationaux et des sondages. Les candidats soignent leurs discours devant les caméras, tandis que la figure de Jean Royer, député-maire de Tours pendant 36 ans, plane sur la campagne. Malgré les certitudes des médias, Jean Germain, personnage secret, arrive en tête au soir du premier tour. Des négociations serrées s'engagent avec les Verts pour arriver à une fusion des deux listes. Plus que la chronique d'une victoire politique, le film raconte de l'intérieur l'histoire d'une revanche contre les gros titres des journaux. Note de contenu : Six mois en compagnie de candidats aux élections municipales de Tours en 2001. Quelles sont les conditions de production de ce documentaire ? Un film de bénévoles mais pas un film auto-produit, donc pas un film seul. Une structure (Sans Canal Fixe) pour accompagner ce long projet (un an et demi). Ce film s'inscrit dans la continuité de 3 ans d'actions où les questions de tournage et de production se complètent, s'affinent. L'acte de filmer n'est plus soustrait à la vie, il est quotidien, évolutif. Filmer comme un acte démocratique dont la légitimité ne vient pas de l'acceptation d'un projet par une commission ou du pré-achat par une chaîne de télévision. La production associative, c'est la liberté d'individus de travailler en laboratoire et non de fabriquer un produit, de ne pas figer une idée ou une vision de ce que devra être le film. En septembre 2000, Sans Canal Fixe obtient l'accord des candidats David Martin (les Verts), Renaud Donnedieu de Vabres, député d'Indre et Loire (Droite Unie), puis Jean Germain, le maire PS de Tours pour filmer leur campagne selon des principes hérités du "Cinéma direct" (pas de commentaire, pas d'interviews, présence discrète et non interventionniste). Le tournage va durer sept mois pour les deux réalisateurs filmeurs. 110 heures de rushes sont enregistrées. Le montage débute en août 2001 et s'achève en mars 2002. Sans Canal Fixe, association créée en 1999, est un laboratoire d'expérimentations audiovisuelles prenant en charge la production et la diffusion de reportages, documentaires et programmes complets. L'association remplit également une mission d'éducation à l'image en organisant des ateliers de réalisation et en intervenant en milieux scolaires et universitaires. SCF est agréée "structure d'éducation populaire" par la DDJS, et soutenue au titre de l'éducation à l'image par la DRAC Centre. L'association a également été retenue dans le cadre d'un appel à projets du secrétariat d'état à l'économie solidaire. Sans Canal Fixe s'emploie à démontrer qu'une structure associative peut remplir un rôle de producteur de documentaires, et milite à ce titre pour l'attribution de subventions de production (CNC, Région, Département ...) au même titre que les sociétés de production commerciales. "Politique Chronique" est à ce jour le projet le plus ambitieux de l'association. Le film circule déjà dans le réseau du Tiers Secteur Audiovisuel, regroupant des associations travaillant à un renouvellement de l'audiovisuel. Il se veut un film de citoyens cinéastes réunis en association, responsables de l'image des personnes filmées, soucieux de la dimension démocratique de leur travail et s'occupant de sa diffusion dans des cadres nouveaux : télévisions associatives, projections publiques en période électorales Ð chose rendue impossible sur une chaîne française par le CSA - festivals indépendants et réseaux associatifs. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=9239 Politique chronique : une campagne de presse (2002-2007) [document projeté ou vidéo] / Yvan Petit, Metteur en scène, réalisateur ; Xavier SELVA, Metteur en scène, réalisateur . - Tours (2, place Raspail, 37000) : Association Sans Canal Fixe, 2002 . - 1 DVD zone 2 (118 min) : sonore.
Titre propre gravé sur le DVD - Maud Martin, montage Emmanuel Rousseau, mus.
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : ELECTION TOURS POLITIQUE Élections municipales -- Démocratie locale -- Médias -- Influence -- Presse et politique -- France -- Tours (Indre-et-Loire) -- 1990-... -- DVD Films documentaires Index. décimale : A-10 Idéologie politique Résumé : Un an avant les élections Municipales de 2001, le médiatique député UDF Renaud Donnedieu de Vabres annonce sa candidature à Tours contre Jean Germain, le maire socialiste en place. Un jeune Vert est lui aussi candidat avec une liste autonome. La presse nationale titre à plusieurs reprises "Tours, la Ville qui va basculer à droite". Les médias sont convaincus d'avoir trouvé une ville moyenne idéale pour illustrer les divisions de la gauche plurielle alors à la tête du pays. La scène politique locale vit au rythme des visites de ténors nationaux et des sondages. Les candidats soignent leurs discours devant les caméras, tandis que la figure de Jean Royer, député-maire de Tours pendant 36 ans, plane sur la campagne. Malgré les certitudes des médias, Jean Germain, personnage secret, arrive en tête au soir du premier tour. Des négociations serrées s'engagent avec les Verts pour arriver à une fusion des deux listes. Plus que la chronique d'une victoire politique, le film raconte de l'intérieur l'histoire d'une revanche contre les gros titres des journaux. Note de contenu : Six mois en compagnie de candidats aux élections municipales de Tours en 2001. Quelles sont les conditions de production de ce documentaire ? Un film de bénévoles mais pas un film auto-produit, donc pas un film seul. Une structure (Sans Canal Fixe) pour accompagner ce long projet (un an et demi). Ce film s'inscrit dans la continuité de 3 ans d'actions où les questions de tournage et de production se complètent, s'affinent. L'acte de filmer n'est plus soustrait à la vie, il est quotidien, évolutif. Filmer comme un acte démocratique dont la légitimité ne vient pas de l'acceptation d'un projet par une commission ou du pré-achat par une chaîne de télévision. La production associative, c'est la liberté d'individus de travailler en laboratoire et non de fabriquer un produit, de ne pas figer une idée ou une vision de ce que devra être le film. En septembre 2000, Sans Canal Fixe obtient l'accord des candidats David Martin (les Verts), Renaud Donnedieu de Vabres, député d'Indre et Loire (Droite Unie), puis Jean Germain, le maire PS de Tours pour filmer leur campagne selon des principes hérités du "Cinéma direct" (pas de commentaire, pas d'interviews, présence discrète et non interventionniste). Le tournage va durer sept mois pour les deux réalisateurs filmeurs. 110 heures de rushes sont enregistrées. Le montage débute en août 2001 et s'achève en mars 2002. Sans Canal Fixe, association créée en 1999, est un laboratoire d'expérimentations audiovisuelles prenant en charge la production et la diffusion de reportages, documentaires et programmes complets. L'association remplit également une mission d'éducation à l'image en organisant des ateliers de réalisation et en intervenant en milieux scolaires et universitaires. SCF est agréée "structure d'éducation populaire" par la DDJS, et soutenue au titre de l'éducation à l'image par la DRAC Centre. L'association a également été retenue dans le cadre d'un appel à projets du secrétariat d'état à l'économie solidaire. Sans Canal Fixe s'emploie à démontrer qu'une structure associative peut remplir un rôle de producteur de documentaires, et milite à ce titre pour l'attribution de subventions de production (CNC, Région, Département ...) au même titre que les sociétés de production commerciales. "Politique Chronique" est à ce jour le projet le plus ambitieux de l'association. Le film circule déjà dans le réseau du Tiers Secteur Audiovisuel, regroupant des associations travaillant à un renouvellement de l'audiovisuel. Il se veut un film de citoyens cinéastes réunis en association, responsables de l'image des personnes filmées, soucieux de la dimension démocratique de leur travail et s'occupant de sa diffusion dans des cadres nouveaux : télévisions associatives, projections publiques en période électorales Ð chose rendue impossible sur une chaîne française par le CSA - festivals indépendants et réseaux associatifs. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=9239 Réservation
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Titre : L'École Buissonnière : fiction Titre original : Passion for Life Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Paul Le Chanois, Metteur en scène, réalisateur Mention d'édition : c1949 Editeur : Coopérative Générale du Cinéma Français UGC Année de publication : 2007 Autre Editeur : Doriane film, éd., distrib. Importance : 1 h 39 min, 35 mm, noir et blanc Note générale : "Au début des années 1920, M. Pascal, sortant blessé de la Première Guerre mondiale, arrive en Provence en qualité d’instituteur avec sa foi en l’humanité pour créer un monde meilleur, en commençant par les enfants. Il fait très vite la connaissance avec les enfants jouant au bord de l’eau. En classe, il met progressivement en place des méthodes nouvelles qui laissent beaucoup de place au développement de chaque élève en fonction de ses aspirations. Pour cela, il sort beaucoup du cadre de la salle de classe pour leur faire découvrir la réalité immédiate du monde où ils vivent. Certains villageois choqués parlent avec mépris et surtout méfiance de ce qui n’est pour eux que de « l’école buissonnière. Le parcours de cet homme hors du commun qui va révolutionner l’école française au plus grand profit des enfants eux-mêmes, c’est l’histoire véridique de Célestin Freinet, qu’incarne ici avec conviction Bernard Blier. Il est aisé de comprendre la grande sympathie qu’a eu le cinéaste Jean-Paul Le Chanois pour le pédagogue. Tous deux ont eu une révélation après la boucherie innommable d’une guerre mondiale : il fallait reconstruire l’humanité avec de nouvelles méthodes. Au sortir de la guerre, après avoir participé à la Résistance en tant que membre du parti communiste, Jean-Paul Le Chanois n’en perd nullement son humanisme, bien au contraire et ce film en est un brillant témoignage ! On pourra, à l’instar des petits génies de la Nouvelle Vague, s’insurger du classicisme de la réalisation de Le Chanois puisqu’il n’est à aucun moment novateur dans sa forme. Malgré tout, il est remarquable de constater que plus de soixante ans après sa réalisation, ce film sait encore toucher le spectateur. Et quand on le compare aux documentaires (présents dans les riches bonus de cette édition DVD) où des classes Freinet sont filmées, on constate à quel point le réalisateur dans les années 1940 a su si bien capter l’émotion de la pédagogie elle-même. Il ne s’agit ni d’un documentaire sur la pédagogie Freinet, ni d’un biopic sur Freinet, mais bien davantage un hommage sincère à l’homme novateur qu’était Freinet. En cela, l’interprétation de Bernard Blier est sans failles. On en vient à regretter qu’il n’ait pas eu suffisamment de premiers rôles dans le cinéma français. Il porte littéralement le film par son interprétation, sans pour autant voler la vedette aux enfants dont on apprécie l’évolution au fil du film. Bien sûr le film, adapté d’un synopsis d’Élise Freinet, l’épouse de Célestin, est beaucoup romancé et finit sur un global happy end un peu éloigné de la réalité, avec une touche l’histoire d’amour pour pimenter le tout. Mais ces éléments ne peuvent donner matière à des reproches, puisque le film n’avait ni vocation à être novateur dans sa forme, ni à être un documentaire sur une pédagogie. Il toucha à l’époque le public et remporta un succès bien mérité. Lorsque les idées progressistes font école et savent toucher, on ne peut que se féliciter des partis pris de Jean-Paul Le Chanois. D’autant plus qu’en ce début de XXIe siècle, les méthodes de Freinet sont toujours des modèles et de bons outils, qui méritent toujours l’attention pour ne pas que l’école soit de la simple garderie et du gardiennage, pour museler les consciences dans la bête discipline d’un apprentissage irréfléchi." / Cédric Lépine, http://fichesducinema.com/spip/spip.php?article4401
Réalisation, Scénario et dialogues : Jean-Paul Le Chanois, d´après un synopsis d´Élise Freinet. Interprètes : Bernard BLIER (Monsieur Pascal) – Juliette FABER (Lise Arnaud) – Edouard DELMONT (M. Arnaud) – Jean-Louis ALLIBERT (le Novateur) – ARIUS (le Maire) – ARDISSON (M. Pourpre, le coiffeur) – AQUISTAPACE (l’antiquaire La Verdière) – MAUPI (le pharmacien Alexandre) – Dany CARON (sœur d’Albert, la servante Cécile) – Pierre COSTE (Albert) … et des enfants de l’École Freinet de Vence et des environs. Sortie : Paris le 8 avril 1949 Distinctions : 1er Prix du Festival de Knotte-le-Zutte. Prix au Festival de Carlovy Vary. Prix de Mérite du Meilleur Film Étranger (présenté à New-York sous le titre de « Passion for Life »).
-Patronage par le Conseil de l’ONU
Mots-clés : Freinet, Techniques de Autogestion en éducation Films historiques -- France -- 1949 Films documentaires -- 1932 Fiction Films documentaires Courts métrages Résumé : 1920, dans un petit village de Provence. M. Pascal, jeune instituteur, se heurte au manque d'intérêt de ses élèves. Il décide de changer radicalement ses méthodes. Il écoute les enfants, s'inspire de leurs découvertes, les emmène dans la nature. Les élèves vont retrouver le plaisir d'apprendre, et lui celui d'enseigner. Mais des parents et les notables ne voient pas cette petit révolution d'un bon oeil... Ce film de Jean-Paul le Chanois marque un temps fort de l'histoire du cinéma d'après-guerre. Il relate aussi les débuts du célèbres pédagogue que fut Célestin Freinet, interprété avec brio par Bernard Blier, dans le rôle du jeune instituteur Célestin Freinet. Note de contenu : Ce film de 1949, dont l'action se déroule dans une école primaire, avec un instituteur pas comme les autres, est inspiré de la vie de Célestin Freinet. Ce grand pédagogue révolutionna l'enseignement moderne. Contenu : DVD 1 : le film ; "Prix et profits" (documentaire - réal. Yves Allégret - 1932 - 20 min.) ; "Le Mouvement Freinet" (documentaire - réal. Henri Portier - 1996 - 52 min.). DVD 2 : "Les enfants d'abord" (documentaire - réal. Suzanne Dansereau-Forslund - 1 h 28 min.) ; "Jérôme et la tortue" (documentaire - réal. Gérard Poitou-Weber - 17 min.) ; Le mot de Suzanne Forslund ; "Autour de l'Ecole buissonnière" (reportage) ; "Le centenaire de Freinet à l'UNESCO" (documentaire - 1996 - 20 min.) ; Bibliothèque de travail n 100 (article).
Voir aussi la page dédiée, en hyperlien, par les Amis de Freinet, rubrique Cinéma.En ligne : http://www.amisdefreinet.org/cinema/ecolebuissonniere.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=142113 L'École Buissonnière : fiction = Passion for Life [document projeté ou vidéo] / Jean-Paul Le Chanois, Metteur en scène, réalisateur . - c1949 . - [S.l.] : Coopérative Générale du Cinéma Français UGC : [S.l.] : Doriane film, éd., distrib., 2007 . - 1 h 39 min, 35 mm, noir et blanc.
"Au début des années 1920, M. Pascal, sortant blessé de la Première Guerre mondiale, arrive en Provence en qualité d’instituteur avec sa foi en l’humanité pour créer un monde meilleur, en commençant par les enfants. Il fait très vite la connaissance avec les enfants jouant au bord de l’eau. En classe, il met progressivement en place des méthodes nouvelles qui laissent beaucoup de place au développement de chaque élève en fonction de ses aspirations. Pour cela, il sort beaucoup du cadre de la salle de classe pour leur faire découvrir la réalité immédiate du monde où ils vivent. Certains villageois choqués parlent avec mépris et surtout méfiance de ce qui n’est pour eux que de « l’école buissonnière. Le parcours de cet homme hors du commun qui va révolutionner l’école française au plus grand profit des enfants eux-mêmes, c’est l’histoire véridique de Célestin Freinet, qu’incarne ici avec conviction Bernard Blier. Il est aisé de comprendre la grande sympathie qu’a eu le cinéaste Jean-Paul Le Chanois pour le pédagogue. Tous deux ont eu une révélation après la boucherie innommable d’une guerre mondiale : il fallait reconstruire l’humanité avec de nouvelles méthodes. Au sortir de la guerre, après avoir participé à la Résistance en tant que membre du parti communiste, Jean-Paul Le Chanois n’en perd nullement son humanisme, bien au contraire et ce film en est un brillant témoignage ! On pourra, à l’instar des petits génies de la Nouvelle Vague, s’insurger du classicisme de la réalisation de Le Chanois puisqu’il n’est à aucun moment novateur dans sa forme. Malgré tout, il est remarquable de constater que plus de soixante ans après sa réalisation, ce film sait encore toucher le spectateur. Et quand on le compare aux documentaires (présents dans les riches bonus de cette édition DVD) où des classes Freinet sont filmées, on constate à quel point le réalisateur dans les années 1940 a su si bien capter l’émotion de la pédagogie elle-même. Il ne s’agit ni d’un documentaire sur la pédagogie Freinet, ni d’un biopic sur Freinet, mais bien davantage un hommage sincère à l’homme novateur qu’était Freinet. En cela, l’interprétation de Bernard Blier est sans failles. On en vient à regretter qu’il n’ait pas eu suffisamment de premiers rôles dans le cinéma français. Il porte littéralement le film par son interprétation, sans pour autant voler la vedette aux enfants dont on apprécie l’évolution au fil du film. Bien sûr le film, adapté d’un synopsis d’Élise Freinet, l’épouse de Célestin, est beaucoup romancé et finit sur un global happy end un peu éloigné de la réalité, avec une touche l’histoire d’amour pour pimenter le tout. Mais ces éléments ne peuvent donner matière à des reproches, puisque le film n’avait ni vocation à être novateur dans sa forme, ni à être un documentaire sur une pédagogie. Il toucha à l’époque le public et remporta un succès bien mérité. Lorsque les idées progressistes font école et savent toucher, on ne peut que se féliciter des partis pris de Jean-Paul Le Chanois. D’autant plus qu’en ce début de XXIe siècle, les méthodes de Freinet sont toujours des modèles et de bons outils, qui méritent toujours l’attention pour ne pas que l’école soit de la simple garderie et du gardiennage, pour museler les consciences dans la bête discipline d’un apprentissage irréfléchi." / Cédric Lépine, http://fichesducinema.com/spip/spip.php?article4401
Réalisation, Scénario et dialogues : Jean-Paul Le Chanois, d´après un synopsis d´Élise Freinet. Interprètes : Bernard BLIER (Monsieur Pascal) – Juliette FABER (Lise Arnaud) – Edouard DELMONT (M. Arnaud) – Jean-Louis ALLIBERT (le Novateur) – ARIUS (le Maire) – ARDISSON (M. Pourpre, le coiffeur) – AQUISTAPACE (l’antiquaire La Verdière) – MAUPI (le pharmacien Alexandre) – Dany CARON (sœur d’Albert, la servante Cécile) – Pierre COSTE (Albert) … et des enfants de l’École Freinet de Vence et des environs. Sortie : Paris le 8 avril 1949 Distinctions : 1er Prix du Festival de Knotte-le-Zutte. Prix au Festival de Carlovy Vary. Prix de Mérite du Meilleur Film Étranger (présenté à New-York sous le titre de « Passion for Life »).
-Patronage par le Conseil de l’ONU
Mots-clés : Freinet, Techniques de Autogestion en éducation Films historiques -- France -- 1949 Films documentaires -- 1932 Fiction Films documentaires Courts métrages Résumé : 1920, dans un petit village de Provence. M. Pascal, jeune instituteur, se heurte au manque d'intérêt de ses élèves. Il décide de changer radicalement ses méthodes. Il écoute les enfants, s'inspire de leurs découvertes, les emmène dans la nature. Les élèves vont retrouver le plaisir d'apprendre, et lui celui d'enseigner. Mais des parents et les notables ne voient pas cette petit révolution d'un bon oeil... Ce film de Jean-Paul le Chanois marque un temps fort de l'histoire du cinéma d'après-guerre. Il relate aussi les débuts du célèbres pédagogue que fut Célestin Freinet, interprété avec brio par Bernard Blier, dans le rôle du jeune instituteur Célestin Freinet. Note de contenu : Ce film de 1949, dont l'action se déroule dans une école primaire, avec un instituteur pas comme les autres, est inspiré de la vie de Célestin Freinet. Ce grand pédagogue révolutionna l'enseignement moderne. Contenu : DVD 1 : le film ; "Prix et profits" (documentaire - réal. Yves Allégret - 1932 - 20 min.) ; "Le Mouvement Freinet" (documentaire - réal. Henri Portier - 1996 - 52 min.). DVD 2 : "Les enfants d'abord" (documentaire - réal. Suzanne Dansereau-Forslund - 1 h 28 min.) ; "Jérôme et la tortue" (documentaire - réal. Gérard Poitou-Weber - 17 min.) ; Le mot de Suzanne Forslund ; "Autour de l'Ecole buissonnière" (reportage) ; "Le centenaire de Freinet à l'UNESCO" (documentaire - 1996 - 20 min.) ; Bibliothèque de travail n 100 (article).
Voir aussi la page dédiée, en hyperlien, par les Amis de Freinet, rubrique Cinéma.En ligne : http://www.amisdefreinet.org/cinema/ecolebuissonniere.html Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=142113 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Titre : Une histoire à soi / SUDOC Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Amandine Gay (1984-...) , Metteur en scène, réalisateur ; Arnaud Dolmen (1985-....), Compositeur
Editeur : Paris : Blaq Out Année de publication : 2021 Importance : 1 DVD vid?eo monoface double couche zone 2(1 h 36 min) Présentation : couleur (PAL), sonore (Dolby Digital 5.1) Note générale : Version originale en français. Audiodescription. Sous-titres optionnels en anglais et français pour sourd et malentendants. - Copyright : CG cinéma ; Bras de fer ; Scope pictures ; France 2 cinéma, 2020. - Format image : 1.85 Langues : Français (fre) Mots-clés : Adoption internationale Histoires de vie Récits personnels Films documentaires Résumé : Ils s'appellent Anne-Charlotte, Joohee, Céline, Niyongira, Mathieu. Iels ont entre 25 et 52 ans, sont originaires du Brésil, du Sri Lanka, du Rwanda, de Corée du Sud ou d'Australie. Ces cinq personnes partagent une identité : celle de personne adoptées. Séparé.e.s dès l'enfance de leurs familles et pays d'origine, ils ont grandi dans des familles françaises. Leurs récits de vie et leurs images d'archives nous entraînent dans une histoire intime et politique de l'adoption internationale. (jaquette) En ligne : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/entendez-vous-l-eco/l-economie [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=290591 Une histoire à soi / SUDOC [document projeté ou vidéo] / Amandine Gay (1984-...), Metteur en scène, réalisateur ; Arnaud Dolmen (1985-....), Compositeur . - Paris : Blaq Out, 2021 . - 1 DVD vid?eo monoface double couche zone 2(1 h 36 min) : couleur (PAL), sonore (Dolby Digital 5.1).
Version originale en français. Audiodescription. Sous-titres optionnels en anglais et français pour sourd et malentendants. - Copyright : CG cinéma ; Bras de fer ; Scope pictures ; France 2 cinéma, 2020. - Format image : 1.85
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Adoption internationale Histoires de vie Récits personnels Films documentaires Résumé : Ils s'appellent Anne-Charlotte, Joohee, Céline, Niyongira, Mathieu. Iels ont entre 25 et 52 ans, sont originaires du Brésil, du Sri Lanka, du Rwanda, de Corée du Sud ou d'Australie. Ces cinq personnes partagent une identité : celle de personne adoptées. Séparé.e.s dès l'enfance de leurs familles et pays d'origine, ils ont grandi dans des familles françaises. Leurs récits de vie et leurs images d'archives nous entraînent dans une histoire intime et politique de l'adoption internationale. (jaquette) En ligne : https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/entendez-vous-l-eco/l-economie [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=290591 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Permalink"Ces images au téléphone portable, c'est l'histoire" / David Dufresne in Les Inrockuptibles / BU IUT et BM de Tours, n°1295 (27 sept. 2020)
PermalinkPermalinkSonges bruts / Lucien Castaing-Taylor in Sensibilités : histoire, critique & sciences sociales / TOURS-Bib. Histoire-Art et Cairn, n°4 (juin 2018)
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