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Images à la sauvette ; publié avec Une bible pour les photographes / Clément Chéroux / SUDOC / Henri Cartier-Bresson
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Titre : Images à la sauvette ; publié avec Une bible pour les photographes / Clément Chéroux / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Henri Cartier-Bresson (1908-1944), Auteur ; Clément Chéroux (1970-...), Auteur Mention d'édition : Fac-similé de l'édition de Paris : Verve, 1952. - Texte du livret par Clément Chéroux Editeur : Göttingen [Allemagne] : Steidl Année de publication : 2014, cop. 1952 Autre Editeur : [Paris] : diff. P. Remy Importance : 125 p. Présentation : ill., couv. et jaquette ill. en coul. Format : 37 cm Accompagnement : 1 livret (31 p.) : ill. ; 37 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-3-86930-819-7 Prix : 98 € Note générale : "Cet ouvrage présenté sous une couverture exécutée spécialement par Henri Matisse, comporte une sélection de 126 photographies.". - "Il a été entièrement conçu et composé pour l'édition française (Images à la sauvette) et l'édition américaine (The decisive moment) par Térlade avec la collaboration de Marguerite Lang." Langues : Français (fre) Mots-clés : Photographie et vidéo / Photographies / Albums et recueils selon des thèmes Beaux-livres / Photographies d'art, albums de photographes Cartier-Bresson, Henri (1908-2004) Photographie artistique -- France Photography, Artistic Photographie artistique Images photographiques Résumé : Recueil de 126 photographies d'H. Cartier-Bresson réalisées durant les vingt premières années de sa carrière, présentant une large partie de son art et illustrant sa notion du moment décisif dans lequel les divers éléments s'assemblent pour produire une image. Le fac-similé de l'édition originale de 1952 est accompagné d'un livret relatant sa réalisation. Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : https://www.telerama.fr/scenes/images-a-la-sauvette-d-henri-cartier-bresson-les- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=254796 Images à la sauvette ; publié avec Une bible pour les photographes / Clément Chéroux / SUDOC [document électronique] / Henri Cartier-Bresson (1908-1944), Auteur ; Clément Chéroux (1970-...), Auteur . - Fac-similé de l'édition de Paris : Verve, 1952. - Texte du livret par Clément Chéroux . - Göttingen (Allemagne) : Steidl : [Paris] : diff. P. Remy, 2014, cop. 1952 . - 125 p. : ill., couv. et jaquette ill. en coul. ; 37 cm + 1 livret (31 p.) : ill. ; 37 cm.
ISBN : 978-3-86930-819-7 : 98 €
"Cet ouvrage présenté sous une couverture exécutée spécialement par Henri Matisse, comporte une sélection de 126 photographies.". - "Il a été entièrement conçu et composé pour l'édition française (Images à la sauvette) et l'édition américaine (The decisive moment) par Térlade avec la collaboration de Marguerite Lang."
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Photographie et vidéo / Photographies / Albums et recueils selon des thèmes Beaux-livres / Photographies d'art, albums de photographes Cartier-Bresson, Henri (1908-2004) Photographie artistique -- France Photography, Artistic Photographie artistique Images photographiques Résumé : Recueil de 126 photographies d'H. Cartier-Bresson réalisées durant les vingt premières années de sa carrière, présentant une large partie de son art et illustrant sa notion du moment décisif dans lequel les divers éléments s'assemblent pour produire une image. Le fac-similé de l'édition originale de 1952 est accompagné d'un livret relatant sa réalisation. Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : https://www.telerama.fr/scenes/images-a-la-sauvette-d-henri-cartier-bresson-les- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=254796 Exemplaires
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Tendance floue, douze pour un : Pascal Aimar, Thierry Ardouin, Denis Bourges, Gilles Coulon, Olivier Culmann, Mat Jacob, Caty Jan, Philippe Lopparelli, Bertrand Meunier, Meyer, Flore-Aël Surun, Patrick Tourneboef / BU de Lettres / Cécile Cazenave
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Titre : Tendance floue, douze pour un : Pascal Aimar, Thierry Ardouin, Denis Bourges, Gilles Coulon, Olivier Culmann, Mat Jacob, Caty Jan, Philippe Lopparelli, Bertrand Meunier, Meyer, Flore-Aël Surun, Patrick Tourneboef / BU de Lettres Type de document : document électronique Auteurs : Cécile Cazenave (1976-...), Auteur ; Tendance Floue (1991-...) , Collectivité éditrice ; Christian Caujolle (1953-...), Préfacier, etc. ; Mat Jacob (1966-...), Postfacier, auteur du colophon, etc. ; Justine Fournier, Illustrateur
Editeur : Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) : Éditions Actes-Sud Année de publication : 2011 Collection : Photo poche, ISSN 0986-4962 num. 29 Importance : 1 vol. (non paginé [144] p.) Présentation : llustrations en noir et en couleur Format : 19 x 13 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7427-9607-6 Prix : 13 € Note générale : LE I d’AZIMUT TENDANCE FLOUE
Débutée le 1er mars 2017 et clôturée le 19 octobre 2017, AZIMUT est une marche photographique de 8 mois à travers le territoire français, menée en relais par trente photographes. L’itinéraire de chacun est libre. Chemins creux ou routes goudronnées, lignes droites ou sinueuses, les marcheurs-photographes n’ont qu’un horaire à respecter : être à l’heure au rendez-vous fixé à celui ou celle qui lui succède.
AU I d’AZIMUT TENDANCE FLOUE, le sujet de ce troisième opus est en quelques points ce I, vice ou vertu, le I est rouge selon Rimbaud, le I de l’Oulipo, petites mathématiques du hasard… mais surtout I de MagIes.
il faudrait voir et entendre le I d’ivresse, d’Ire, d’Ironie, d’Idylle, d’Igné digne, d’Ils, d’Image, d’Illusion, d’Ilote, d’Imagination, d’Imager, d’Immense et Imparfait Impatient, Impérial I Impie, voué à l’ Impossible Imprévu, Impertinent, Imprudent Imprimeur des rêves impulsifs, etc… d’y relever le i final de Cri, d ‘Ici, ou des 15339 (ou 49939 selon) mots de la langue française se terminant par I. ( en comptant tout de même tous les verbes conjugués )…et approcher les 13453 mots dont il est la première lettre. Mille et une rimes en I.
Ce travail sur la langue me fait penser depuis le A à l’Oulipo et ses oulipiens, une parenté s’affirme au fil des numéros avec les azimutés, du fait que tout un territoire est parcouru, vécu, éprouvé, poétisé, donné en partage, ouvert à la création, à l’image, à l’imagination, aux écritures sur au moins trois niveaux, scriptural et photographique, puis avec l’édition, graphique et, fin de la faim, lancé poétiquement avec joies et provocations à la rubiconde attention des vivants…
L’esprit voyageur a donc ici un corps qui pense et qui marche, qui s’épuise et se trouve, parcourt le pays. Dans ce numéro I, de Guéret à Livinhac-le-Haut, soit, du km 1413 au km 1926, 513 kms parcourus de la Creuse à l’Aveyron, de la Nouvelle Aquitaine à l’Occitanie, du 20 Mai au 28 Juin, par cinq photographes dont on retrouve ici les traces enchantées .
Tout ce I, O(h), U(Hue) là – Molière et monsieur Jourdain dans le Bourgeois gentilhomme, questions de poésie, de langues et de langages – est une interjection, un démarrage, une mise en bouche, une mise en Jambe . Patrick Tourneboeuf a passé le témoin à Flore-Aël-Surun sur le plateau de Millevaches, celle ci s’avance dans la forêt magique de son enfance, celle des contes et des farfadets. elle écrit: » Je me sens au bout du monde, avec moi même, cherchant mon chemin. » et d’évoquer les esprits invisibles qui peuplent les forêts de pins Douglas, de dialoguer avec la vie secrète des arbres et de photographier les esprits nocturnes pris aux branches, devant le miroir d’une rivière. Ainsi paraissent les formes mugissantes et silencieuses des corps fait de branchages, aux longs bras noueux, semblant marcher à la recherche de leur ombre, dans une solitude d’avant le temps, miracles issus des contes fantastiques, un corps à corps invisible. Certains yeux scrutent la voyageuse, un tumulus de pierre, tombeau « d’un gisant de l’ordre de Jérusalem » la retient malgré elle. Un dialogue se fait dans l’Immémorial présence des habitants de la forêt. Ne sommes nous pas au coeur d’un vrai conte, une saveur en émane, l’interrogation en profondeur de cette part d’enfance lue par la nuit en chacun, fait oeuvre, et si l’esprit poétique de cet onirisme métaphysique n’était que propensions aux rêves de soi, anthropologiques, une lumière antique en nous, flamme vacillante des ancêtres et chamans. Ici le songe double la nuit. Christian Bobin cité écrit « … et la beauté parfois nous brûle comme une branche basse giflant notre visage. » Pour répondre à cette forêt habitée, Flore ouvre en elle la part mystérieuse qui éveille, gifle et caresse, morsure et baiser, une conscience ignée s’éprend du marcheur par l’initiatique chemin qu’il ouvre en lui, au delà de la « persona », dans sa contribution avérée et sue, bue à pleine respiration par le corps, tout entier voué à cette lecture enchanteresse et fantastique.
Mais voilà que le relais est passé aux grévistes Mat Jacob et José Chidlovsky, célébrations de 68, nous sommes le 31 Mai, c’est la grève , l’insurrection, les communiqués, le décret, l’arrêt de la marche est voté à l’unanimité, s’ensuit un rituel tout païen et drôle, une mise en scène. L’abécédaire qui suit pourrait s’accorder a l’oulipienne tradition, l’insurrection visuelle établit des barricades de bois, regarde un champ de bataille dans une forêt rasée, tout cela est propice aux dé-lectures, à l’insurrection de la langue, l’abécédaire de l’OUPAS devient une mécanique, une rhétorique insistante et nerveuse, le Oupas s’inscrit dans le voyage par la volonté du peuple, Gavroche s’empare de la marche statique, cette marche inerte en forme de Voyage Immobile. L’OUPAS se source à Rimbaud et Bartleby, Deleuze et se termine en Z comme Zéro. Il y a zéro pas-de- porte dans une habitation à OUPAS pour l’unique raison que leur domicile n’a pas de porte, comme sur terre il y a, tout compte fait zéro étranger « . Halte, camarade, on ne passe pas, on trépasse, Oupas. To be or to be pas clôt la cession du témoin qui passe à brûle pourpoint chez Kourtney Roy.
Le I de Merci donne à ce troisième chapitre une correspondance certaine, troisième voyelle de l’alphabet, écrit le I de photographie, d’ I-Mage et de Mage-I-e, inversions de la langue toujours trop sollicitée, mais qui prend ici un relief particulier. La Belle Kourtney Roy sera la princesse évanouie au regret de Pascal Dolémieux, inspiratrice et manquante, présence espérée pendant les 9 jours. Il se fera mordre par la canicule – retournement, la petite chienne littéralement « canicula » est devenue une maîtresse douloureuse – la chaleur jovienne s’accompagne d’orages, Pascal Dolémieux photographie un cercle issu du goudron des routes, roue de la fortune, petite lune abstraite et pleine, soleil clair de la mélancolie, comme autant de solitudes, espérant qu’apparaisse une silhouette identique à la belle disparue, là, à la croisée des chemins, fantasme solaire ou lunaire…
...et si Kourtney après tout était double, une pointe d’imagination façonne cette question, rétrospectivement introduite au moins sur deux des chapitres, présence rémanente au corps désirant du photographe, présence tutélaire et fantasmée de la belle photographe au double changeant… elle qui se met en scène dans une « geste » très hitchkockienne, jeux des apparences, personnages muets mimant une histoire dans l’ histoire, changement de caractères, de personnages, historiettes mues par le seul plaisir de se saisir dans ce reflet, épreuves du miroir féminin.
De l’autre côté du miroir photographique se met en place une auto-fiction charmante, marque de légèreté, image démultipliée de femmes, différentes et semblables. Kourtney y interprète différents personnages imaginaires. Photographie trop polie pout être honnête, le charmant visage lisse qui se donne au regard, un poil mode, est une question où une forme de nonsense britannique organise une déréalisation, un jeu. Voilà Kourtney, rousse, blonde platine, petite robe années 60, très sage, empruntant son décor au village traversé; sortir d’ un trou creusé dans la chaussée par les services communaux pour reprendre des canalisations, se hisser sur un mur, fumer une cigarette devant un arbuste au sortir d’un parking qu’on devine, prendre la pose des starlettes de TV à L.A. dans un coin de jardin très « in » et en contrepoint, se saisir d’un polaroïd, brandi, face caméra, bras nus, intensité de la pose, construction d’une attitude et d’une attente, Kourtney joue le fantôme de la liberté et la résurgence polie de personnages issus de sa fantasmatique. Rêves en actes.
Qui ou que photographie t-elle hors champ, délicieusement, comme si le spectateur se trouvait pris au piège d’un miroir sans tain, devant elle, sur cette route, dans l’été meurtrier et puissant, amoureuse de la beauté rouge, comme un I ….une érotique traverse la Semblance et le jeu des expositions de soi comme personnages, du miroir qui bascule un aveu s’écrit sur la surface sensible.
Quant à Michel Bousquet, le soleil de Georges Braque accompagne sa marche et nous plonge dans une délicieuse tension intellectuelle .. » il n’y a que celui qui sait ce qu’il veut qui se trompe…..c’est le détail qui fait vivre et qui distrait…… Le vase donne une forme au vide comme la musique au silence… » et enfin, ce qui constitue une pensée « … il faut choisir: une chose ne peut être à la fois vraie et vraisemblable. » de l’ordre du choix et du deuil. Un marcheur se lit au fil du pas, il sait qu’en lui remonte le flux de ce qui l’inspire, de ce qui le lit, le lie à lui même, de ce qui parle en son silence profond. Plus que voir, le I programme l’écoute des échos de la profondeur et le sonde. C’est en soi un autre voyage qui commence….
Il faut absolument découvrir par vous même la suite de cette aventure, faite de chapitres ou chacun, dans sa juste pratique évoque les rencontres, les « bugs » du hasard et le hasard lui même, le temps, tout élément qui entre dans la composition du pays voyagé pour aborder sur la rive marquante, que sera le prochain M d Azimut. La série qui s’est construite est assez poignante pour faire que le lecteur désire toujours l’apparition d’une suite, aux salves du pas des marcheurs, dans la scansion du chemin et l’aplat du temps. Azimut, azimut, azimut, pour les azimut-és, tout est azimut, enfin tout de même, de quoi être assez fier….une harmonie s’est construite à travers chaque contribution, étonnante dans ses diversités, enrichissante pour toute une communauté. Il ne vous appartient que d’y entrer, une porte s’est ouverte par le I…
Cette publication retrace la route de cinq photographes dans le cadre du projet Azimut – Flore-Aël Surun, Mat Jacob accompagné de José Chidlovsky, Kourtney Roy, Pascal Dolémieux et Michel Bousquet – de Guéret à Livinhac-Le-Haut.
Les photographes du projet : Pascal Aimar ; Thierry Ardouin ; Denis Bourges ; Antoine Bruy ; Michel Bousquet ; Guillaume Chauvin ; Gilles Coulon ; Olivier Culmann ; Pascal Dolémieux ; Bertrand Desprez ; Gabrielle Duplantier ; Grégoire Eloy ; Laure Flammarion ; Léa Habourdin ; Mat Jacob ; Marine Lanier ; Stéphane Lavoué ; Julien Magre ; Bertrand Meunier ; Yann Merlin ; Meyer ; Julien Mignot ; Marion Poussier ; Kourtney Roy ; Mouna Saboni ; Clémentine Schneidermann ; Frédéric Stucin ; Flore-Aël Surun ; Patrick Tourneboeuf ; Alain Willaume
http://tendancefloue.net/actualite/azimut-i/
http://www.kourtneyroy.com/ https://www.pascaldolemieux.com/
http://tendancefloue.net/floreaelsurun/ http://tendancefloue.net/matjacob/
http://www.michelbousquet.com/
http://oulipo.net/
Publié dans l’Autre Quotidien du 12 Janvier
http://www.lautrequotidien.fr/abonnes/2018/1/12/faire-le-point-sur-le-i-dazimut-chez-tendance-floue
Publié le 16 Janvier 2018 dans MOWWGLIMots-clés : Photographie Photographies Tendance floue (France) Photographie documentaire -- 1990-... Images photographiques Résumé : Présente des oeuvres des douze photographes composant ce collectif, créé en 1991, qui réalisent des projets communs en défendant l'idée de disposer d'un espace de liberté sans concession, et de conserver leur indépendance.
Note de contenu : Depuis sa création en France en 1991, le collectif de photographes Tendance Floue propose par son dynamisme, sa capacité d'innovation et l'originalité de son fonctionnement une alternative nouvelle à la notion d'agence photographique. La dimension collective de l'aventure, dans laquelle le "nous" perceptif résulte de la somme des "je" sensibles, s'affirme notamment dans les fameux Mad in, modèles de reportages inédits, nerveux et incisifs, où les compétences et sensibilités de chaque membre s'expriment dans une grande liberté formelle et conceptuelle. Utopique, transgressive, Tendance Floue oppose à la standardisation croissante des pratiques de diffusion et de médiatisation du photoreportage une forme de résistance généreuse, et invente, au fil de ses défis, une nouvelle manière de "vivre la photographie". En ligne : http://pascaltherme.com/i-dazimut-tendance-floue/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=10520 Tendance floue, douze pour un : Pascal Aimar, Thierry Ardouin, Denis Bourges, Gilles Coulon, Olivier Culmann, Mat Jacob, Caty Jan, Philippe Lopparelli, Bertrand Meunier, Meyer, Flore-Aël Surun, Patrick Tourneboef / BU de Lettres [document électronique] / Cécile Cazenave (1976-...), Auteur ; Tendance Floue (1991-...), Collectivité éditrice ; Christian Caujolle (1953-...), Préfacier, etc. ; Mat Jacob (1966-...), Postfacier, auteur du colophon, etc. ; Justine Fournier, Illustrateur . - Arles Cedex (Bouches-du-Rhône) (Direction générale, Place Nina-Berberova, 13633) : Éditions Actes-Sud, 2011 . - 1 vol. (non paginé [144] p.) : llustrations en noir et en couleur ; 19 x 13 cm. - (Photo poche, ISSN 0986-4962; 29) .
ISBN : 978-2-7427-9607-6 : 13 €
LE I d’AZIMUT TENDANCE FLOUE
Débutée le 1er mars 2017 et clôturée le 19 octobre 2017, AZIMUT est une marche photographique de 8 mois à travers le territoire français, menée en relais par trente photographes. L’itinéraire de chacun est libre. Chemins creux ou routes goudronnées, lignes droites ou sinueuses, les marcheurs-photographes n’ont qu’un horaire à respecter : être à l’heure au rendez-vous fixé à celui ou celle qui lui succède.
AU I d’AZIMUT TENDANCE FLOUE, le sujet de ce troisième opus est en quelques points ce I, vice ou vertu, le I est rouge selon Rimbaud, le I de l’Oulipo, petites mathématiques du hasard… mais surtout I de MagIes.
il faudrait voir et entendre le I d’ivresse, d’Ire, d’Ironie, d’Idylle, d’Igné digne, d’Ils, d’Image, d’Illusion, d’Ilote, d’Imagination, d’Imager, d’Immense et Imparfait Impatient, Impérial I Impie, voué à l’ Impossible Imprévu, Impertinent, Imprudent Imprimeur des rêves impulsifs, etc… d’y relever le i final de Cri, d ‘Ici, ou des 15339 (ou 49939 selon) mots de la langue française se terminant par I. ( en comptant tout de même tous les verbes conjugués )…et approcher les 13453 mots dont il est la première lettre. Mille et une rimes en I.
Ce travail sur la langue me fait penser depuis le A à l’Oulipo et ses oulipiens, une parenté s’affirme au fil des numéros avec les azimutés, du fait que tout un territoire est parcouru, vécu, éprouvé, poétisé, donné en partage, ouvert à la création, à l’image, à l’imagination, aux écritures sur au moins trois niveaux, scriptural et photographique, puis avec l’édition, graphique et, fin de la faim, lancé poétiquement avec joies et provocations à la rubiconde attention des vivants…
L’esprit voyageur a donc ici un corps qui pense et qui marche, qui s’épuise et se trouve, parcourt le pays. Dans ce numéro I, de Guéret à Livinhac-le-Haut, soit, du km 1413 au km 1926, 513 kms parcourus de la Creuse à l’Aveyron, de la Nouvelle Aquitaine à l’Occitanie, du 20 Mai au 28 Juin, par cinq photographes dont on retrouve ici les traces enchantées .
Tout ce I, O(h), U(Hue) là – Molière et monsieur Jourdain dans le Bourgeois gentilhomme, questions de poésie, de langues et de langages – est une interjection, un démarrage, une mise en bouche, une mise en Jambe . Patrick Tourneboeuf a passé le témoin à Flore-Aël-Surun sur le plateau de Millevaches, celle ci s’avance dans la forêt magique de son enfance, celle des contes et des farfadets. elle écrit: » Je me sens au bout du monde, avec moi même, cherchant mon chemin. » et d’évoquer les esprits invisibles qui peuplent les forêts de pins Douglas, de dialoguer avec la vie secrète des arbres et de photographier les esprits nocturnes pris aux branches, devant le miroir d’une rivière. Ainsi paraissent les formes mugissantes et silencieuses des corps fait de branchages, aux longs bras noueux, semblant marcher à la recherche de leur ombre, dans une solitude d’avant le temps, miracles issus des contes fantastiques, un corps à corps invisible. Certains yeux scrutent la voyageuse, un tumulus de pierre, tombeau « d’un gisant de l’ordre de Jérusalem » la retient malgré elle. Un dialogue se fait dans l’Immémorial présence des habitants de la forêt. Ne sommes nous pas au coeur d’un vrai conte, une saveur en émane, l’interrogation en profondeur de cette part d’enfance lue par la nuit en chacun, fait oeuvre, et si l’esprit poétique de cet onirisme métaphysique n’était que propensions aux rêves de soi, anthropologiques, une lumière antique en nous, flamme vacillante des ancêtres et chamans. Ici le songe double la nuit. Christian Bobin cité écrit « … et la beauté parfois nous brûle comme une branche basse giflant notre visage. » Pour répondre à cette forêt habitée, Flore ouvre en elle la part mystérieuse qui éveille, gifle et caresse, morsure et baiser, une conscience ignée s’éprend du marcheur par l’initiatique chemin qu’il ouvre en lui, au delà de la « persona », dans sa contribution avérée et sue, bue à pleine respiration par le corps, tout entier voué à cette lecture enchanteresse et fantastique.
Mais voilà que le relais est passé aux grévistes Mat Jacob et José Chidlovsky, célébrations de 68, nous sommes le 31 Mai, c’est la grève , l’insurrection, les communiqués, le décret, l’arrêt de la marche est voté à l’unanimité, s’ensuit un rituel tout païen et drôle, une mise en scène. L’abécédaire qui suit pourrait s’accorder a l’oulipienne tradition, l’insurrection visuelle établit des barricades de bois, regarde un champ de bataille dans une forêt rasée, tout cela est propice aux dé-lectures, à l’insurrection de la langue, l’abécédaire de l’OUPAS devient une mécanique, une rhétorique insistante et nerveuse, le Oupas s’inscrit dans le voyage par la volonté du peuple, Gavroche s’empare de la marche statique, cette marche inerte en forme de Voyage Immobile. L’OUPAS se source à Rimbaud et Bartleby, Deleuze et se termine en Z comme Zéro. Il y a zéro pas-de- porte dans une habitation à OUPAS pour l’unique raison que leur domicile n’a pas de porte, comme sur terre il y a, tout compte fait zéro étranger « . Halte, camarade, on ne passe pas, on trépasse, Oupas. To be or to be pas clôt la cession du témoin qui passe à brûle pourpoint chez Kourtney Roy.
Le I de Merci donne à ce troisième chapitre une correspondance certaine, troisième voyelle de l’alphabet, écrit le I de photographie, d’ I-Mage et de Mage-I-e, inversions de la langue toujours trop sollicitée, mais qui prend ici un relief particulier. La Belle Kourtney Roy sera la princesse évanouie au regret de Pascal Dolémieux, inspiratrice et manquante, présence espérée pendant les 9 jours. Il se fera mordre par la canicule – retournement, la petite chienne littéralement « canicula » est devenue une maîtresse douloureuse – la chaleur jovienne s’accompagne d’orages, Pascal Dolémieux photographie un cercle issu du goudron des routes, roue de la fortune, petite lune abstraite et pleine, soleil clair de la mélancolie, comme autant de solitudes, espérant qu’apparaisse une silhouette identique à la belle disparue, là, à la croisée des chemins, fantasme solaire ou lunaire…
...et si Kourtney après tout était double, une pointe d’imagination façonne cette question, rétrospectivement introduite au moins sur deux des chapitres, présence rémanente au corps désirant du photographe, présence tutélaire et fantasmée de la belle photographe au double changeant… elle qui se met en scène dans une « geste » très hitchkockienne, jeux des apparences, personnages muets mimant une histoire dans l’ histoire, changement de caractères, de personnages, historiettes mues par le seul plaisir de se saisir dans ce reflet, épreuves du miroir féminin.
De l’autre côté du miroir photographique se met en place une auto-fiction charmante, marque de légèreté, image démultipliée de femmes, différentes et semblables. Kourtney y interprète différents personnages imaginaires. Photographie trop polie pout être honnête, le charmant visage lisse qui se donne au regard, un poil mode, est une question où une forme de nonsense britannique organise une déréalisation, un jeu. Voilà Kourtney, rousse, blonde platine, petite robe années 60, très sage, empruntant son décor au village traversé; sortir d’ un trou creusé dans la chaussée par les services communaux pour reprendre des canalisations, se hisser sur un mur, fumer une cigarette devant un arbuste au sortir d’un parking qu’on devine, prendre la pose des starlettes de TV à L.A. dans un coin de jardin très « in » et en contrepoint, se saisir d’un polaroïd, brandi, face caméra, bras nus, intensité de la pose, construction d’une attitude et d’une attente, Kourtney joue le fantôme de la liberté et la résurgence polie de personnages issus de sa fantasmatique. Rêves en actes.
Qui ou que photographie t-elle hors champ, délicieusement, comme si le spectateur se trouvait pris au piège d’un miroir sans tain, devant elle, sur cette route, dans l’été meurtrier et puissant, amoureuse de la beauté rouge, comme un I ….une érotique traverse la Semblance et le jeu des expositions de soi comme personnages, du miroir qui bascule un aveu s’écrit sur la surface sensible.
Quant à Michel Bousquet, le soleil de Georges Braque accompagne sa marche et nous plonge dans une délicieuse tension intellectuelle .. » il n’y a que celui qui sait ce qu’il veut qui se trompe…..c’est le détail qui fait vivre et qui distrait…… Le vase donne une forme au vide comme la musique au silence… » et enfin, ce qui constitue une pensée « … il faut choisir: une chose ne peut être à la fois vraie et vraisemblable. » de l’ordre du choix et du deuil. Un marcheur se lit au fil du pas, il sait qu’en lui remonte le flux de ce qui l’inspire, de ce qui le lit, le lie à lui même, de ce qui parle en son silence profond. Plus que voir, le I programme l’écoute des échos de la profondeur et le sonde. C’est en soi un autre voyage qui commence….
Il faut absolument découvrir par vous même la suite de cette aventure, faite de chapitres ou chacun, dans sa juste pratique évoque les rencontres, les « bugs » du hasard et le hasard lui même, le temps, tout élément qui entre dans la composition du pays voyagé pour aborder sur la rive marquante, que sera le prochain M d Azimut. La série qui s’est construite est assez poignante pour faire que le lecteur désire toujours l’apparition d’une suite, aux salves du pas des marcheurs, dans la scansion du chemin et l’aplat du temps. Azimut, azimut, azimut, pour les azimut-és, tout est azimut, enfin tout de même, de quoi être assez fier….une harmonie s’est construite à travers chaque contribution, étonnante dans ses diversités, enrichissante pour toute une communauté. Il ne vous appartient que d’y entrer, une porte s’est ouverte par le I…
Cette publication retrace la route de cinq photographes dans le cadre du projet Azimut – Flore-Aël Surun, Mat Jacob accompagné de José Chidlovsky, Kourtney Roy, Pascal Dolémieux et Michel Bousquet – de Guéret à Livinhac-Le-Haut.
Les photographes du projet : Pascal Aimar ; Thierry Ardouin ; Denis Bourges ; Antoine Bruy ; Michel Bousquet ; Guillaume Chauvin ; Gilles Coulon ; Olivier Culmann ; Pascal Dolémieux ; Bertrand Desprez ; Gabrielle Duplantier ; Grégoire Eloy ; Laure Flammarion ; Léa Habourdin ; Mat Jacob ; Marine Lanier ; Stéphane Lavoué ; Julien Magre ; Bertrand Meunier ; Yann Merlin ; Meyer ; Julien Mignot ; Marion Poussier ; Kourtney Roy ; Mouna Saboni ; Clémentine Schneidermann ; Frédéric Stucin ; Flore-Aël Surun ; Patrick Tourneboeuf ; Alain Willaume
http://tendancefloue.net/actualite/azimut-i/
http://www.kourtneyroy.com/ https://www.pascaldolemieux.com/
http://tendancefloue.net/floreaelsurun/ http://tendancefloue.net/matjacob/
http://www.michelbousquet.com/
http://oulipo.net/
Publié dans l’Autre Quotidien du 12 Janvier
http://www.lautrequotidien.fr/abonnes/2018/1/12/faire-le-point-sur-le-i-dazimut-chez-tendance-floue
Publié le 16 Janvier 2018 dans MOWWGLI
Mots-clés : Photographie Photographies Tendance floue (France) Photographie documentaire -- 1990-... Images photographiques Résumé : Présente des oeuvres des douze photographes composant ce collectif, créé en 1991, qui réalisent des projets communs en défendant l'idée de disposer d'un espace de liberté sans concession, et de conserver leur indépendance.
Note de contenu : Depuis sa création en France en 1991, le collectif de photographes Tendance Floue propose par son dynamisme, sa capacité d'innovation et l'originalité de son fonctionnement une alternative nouvelle à la notion d'agence photographique. La dimension collective de l'aventure, dans laquelle le "nous" perceptif résulte de la somme des "je" sensibles, s'affirme notamment dans les fameux Mad in, modèles de reportages inédits, nerveux et incisifs, où les compétences et sensibilités de chaque membre s'expriment dans une grande liberté formelle et conceptuelle. Utopique, transgressive, Tendance Floue oppose à la standardisation croissante des pratiques de diffusion et de médiatisation du photoreportage une forme de résistance généreuse, et invente, au fil de ses défis, une nouvelle manière de "vivre la photographie". En ligne : http://pascaltherme.com/i-dazimut-tendance-floue/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=10520 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Titre : Ce monde-là : voyage aux frontières du photojournalisme Type de document : document électronique Auteurs : Julien Daniel, Préfacier, etc. ; François Longérinas, Postfacier, auteur du colophon, etc. ; David Eloy, Postfacier, auteur du colophon, etc. Mention d'édition : photographies Jean-Jacques Aimetti, Cédric Angot, Jean-Marc Armani et al. Editeur : Paris : Éditions Loco Année de publication : 2022 Autre Editeur : Paris : CFD-L'Ecole des métiers de l'information Importance : 391 p. Présentation : illustrations en noir et en couleur Format : 24 x 17 cm Prix : 35 € Note générale : Un photojournaliste, c'est d'abord un reporter qui écrit en images. La définition est simple et convoque immédiatement dans la mémoire collective une série de noms et d'images entrés dans la postérité comme Robert Capa et la guerre d'Espagne ou Don McCullin et la guerre du Vietnam. Si les conflits, militaires ou sociaux, occupent toujours une place particulière dans le monde du photoreportage, le regard des photojournalistes s'est ouvert ces dernières décennies à d'autres réalités, développant des visions et des écritures plus singulières.
Cet ouvrage réunit 134 photographes faisant œuvre commune. Dans Ce monde-là, voyage unique à travers près de trente ans de photojournalisme, ils proposent une sélection personnelle des images qu'ils ont réalisées et qui ont marqué leur parcours.Langues : Français (fre) Mots-clés : Photographie et vidéo / Photographies / Albums et recueils selon des thèmes Témoignages Beaux livres illustrés de photographies Images photographiques Photographie de presse Résumé : 134 photoreporters témoignent de leur métier et de ses mutations profondes, à travers des clichés qui ont marqué leurs parcours. Note de contenu : « Le photojournalisme, c'est raconter une histoire en images, destinée en priorité à la presse, pour témoigner, sensibiliser et permettre de mieux appréhender le monde contemporain. Au début de ma carrière, publier mes reportages dans la presse était mon objectif. Progressivement, avec la baisse des tarifs des magazines et des commandes, j'ai privilégié des travaux documentaires au long cours pour des expositions et des livres », explique Marie-Pierre Dieterlé, photojournaliste issue de la Promotion 2004-2005 de l’ÉMI.
À l’occasion du trentième anniversaire de sa formation au photojournalisme, l’École des métiers de l’information (ÉMI) a réuni 137 photographes issus de ses promotions pour faire œuvre commune. Dans Ce monde-là, voyage unique à travers 30 ans de photojournalisme, ils proposent une sélection personnelle des images qu’ils ont faites et qui ont marqué leur parcours. Au fil des pages, ces clichés dressent un portrait collectif et singulier, parfois subjectif mais toujours aiguisé, des trois dernières décennies de notre histoire commune.
« Regarder le monde tel qu'il est, vacillant, en quête de repères, souvent absurde, mais aussi parfois source d'espoirs, et partager ce que j'ai vu. C'est avec la photographie que j'ai trouvé le moyen le plus évident pour raconter la passion de Valentin et de sa bande pour le carnaval de Dunkerque, le quotidien entre parenthèses d'une centaine de réfugiés africains reclus dans un hangar d'Aubervilliers ou encore les blessures de la société libanaise », raconte Frédéric Migeon, issu de la Promotion 2018-2019 de l’ÉMI.
Ce parcours à travers le monde est émaillé de témoignages de photojournalistes et de ceux qui les ont formés à l’ÉMI. Tous proposent une vision de leur métier et de ses évolutions au regard des mutations profondes - économiques, techniques, sociales voire même anthropologiques – qui ont marqué les trois décennies qui viennent de s’écouler.
« J’ai vécu la fin d’un monde où l’on travaillait encore en argentique. C’était la fin du XXe siècle, le vent tournait, les budgets diminuaient, des tas de magazines fermaient. Et bientôt une révolution allait naître : l’arrivée du numérique et du web. Ce tournant signait la fin du photojournalisme classique et l’avènement de nouvelles formes d’expression », témoigne Jean-Marc Armani, issu de la Promotion 1990-1991 de l’ÉMI.
Bien plus qu’un énième beau livre sur la photographie, Ce monde-là ouvre une réflexion sur l’identité et les pratiques de celles et ceux qui ont fait de leur passion de l’image un métier.En ligne : https://fr.ulule.com/emi-cfdcemondela2022/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=294033 Ce monde-là : voyage aux frontières du photojournalisme [document électronique] / Julien Daniel, Préfacier, etc. ; François Longérinas, Postfacier, auteur du colophon, etc. ; David Eloy, Postfacier, auteur du colophon, etc. . - photographies Jean-Jacques Aimetti, Cédric Angot, Jean-Marc Armani et al. . - Paris : Éditions Loco : Paris : CFD-L'Ecole des métiers de l'information, 2022 . - 391 p. : illustrations en noir et en couleur ; 24 x 17 cm.
35 €
Un photojournaliste, c'est d'abord un reporter qui écrit en images. La définition est simple et convoque immédiatement dans la mémoire collective une série de noms et d'images entrés dans la postérité comme Robert Capa et la guerre d'Espagne ou Don McCullin et la guerre du Vietnam. Si les conflits, militaires ou sociaux, occupent toujours une place particulière dans le monde du photoreportage, le regard des photojournalistes s'est ouvert ces dernières décennies à d'autres réalités, développant des visions et des écritures plus singulières.
Cet ouvrage réunit 134 photographes faisant œuvre commune. Dans Ce monde-là, voyage unique à travers près de trente ans de photojournalisme, ils proposent une sélection personnelle des images qu'ils ont réalisées et qui ont marqué leur parcours.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Photographie et vidéo / Photographies / Albums et recueils selon des thèmes Témoignages Beaux livres illustrés de photographies Images photographiques Photographie de presse Résumé : 134 photoreporters témoignent de leur métier et de ses mutations profondes, à travers des clichés qui ont marqué leurs parcours. Note de contenu : « Le photojournalisme, c'est raconter une histoire en images, destinée en priorité à la presse, pour témoigner, sensibiliser et permettre de mieux appréhender le monde contemporain. Au début de ma carrière, publier mes reportages dans la presse était mon objectif. Progressivement, avec la baisse des tarifs des magazines et des commandes, j'ai privilégié des travaux documentaires au long cours pour des expositions et des livres », explique Marie-Pierre Dieterlé, photojournaliste issue de la Promotion 2004-2005 de l’ÉMI.
À l’occasion du trentième anniversaire de sa formation au photojournalisme, l’École des métiers de l’information (ÉMI) a réuni 137 photographes issus de ses promotions pour faire œuvre commune. Dans Ce monde-là, voyage unique à travers 30 ans de photojournalisme, ils proposent une sélection personnelle des images qu’ils ont faites et qui ont marqué leur parcours. Au fil des pages, ces clichés dressent un portrait collectif et singulier, parfois subjectif mais toujours aiguisé, des trois dernières décennies de notre histoire commune.
« Regarder le monde tel qu'il est, vacillant, en quête de repères, souvent absurde, mais aussi parfois source d'espoirs, et partager ce que j'ai vu. C'est avec la photographie que j'ai trouvé le moyen le plus évident pour raconter la passion de Valentin et de sa bande pour le carnaval de Dunkerque, le quotidien entre parenthèses d'une centaine de réfugiés africains reclus dans un hangar d'Aubervilliers ou encore les blessures de la société libanaise », raconte Frédéric Migeon, issu de la Promotion 2018-2019 de l’ÉMI.
Ce parcours à travers le monde est émaillé de témoignages de photojournalistes et de ceux qui les ont formés à l’ÉMI. Tous proposent une vision de leur métier et de ses évolutions au regard des mutations profondes - économiques, techniques, sociales voire même anthropologiques – qui ont marqué les trois décennies qui viennent de s’écouler.
« J’ai vécu la fin d’un monde où l’on travaillait encore en argentique. C’était la fin du XXe siècle, le vent tournait, les budgets diminuaient, des tas de magazines fermaient. Et bientôt une révolution allait naître : l’arrivée du numérique et du web. Ce tournant signait la fin du photojournalisme classique et l’avènement de nouvelles formes d’expression », témoigne Jean-Marc Armani, issu de la Promotion 1990-1991 de l’ÉMI.
Bien plus qu’un énième beau livre sur la photographie, Ce monde-là ouvre une réflexion sur l’identité et les pratiques de celles et ceux qui ont fait de leur passion de l’image un métier.En ligne : https://fr.ulule.com/emi-cfdcemondela2022/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=294033 Exemplaires
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Titre : Dorothea Lange : politiques du visible Titre original : Dorothea Lange : politics of seeing : exhibition portfolio Type de document : texte imprimé Auteurs : Alona Pardo, Auteur ; Dorothea Lange (1895-1966), Personne honorée Editeur : Paris : Jeu de Paume Année de publication : 2018 Importance : 48 p. Présentation : illustrations en noir et blanc Format : 31 x 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-915704-82-2 Prix : 9,50 € Note générale : Rétrospective de l'oeuvre de la photographe américaine. Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Arts et beaux livres Photographie et vidéo / Photographies / Albums et recueils selon des thèmes Catalogues d'exposition Images photographiques Index. décimale : J-13 Photographie Résumé : Une sélection d'une cinquantaine de photographies de Dorothea Lange (1895-1966), connue pour son ardeur à dénoncer les injustices sociales. L'album montre des oeuvres réalisées pendant la grande dépression, d'autres conçues pour la Farm security administration ou encore des prises de vue des chantiers navals de Richmond et de l'internement des Américains d'origine japonaise. Note de contenu : Présentant des œuvres majeures de la photographe américaine de renommée mondiale Dorothea Lange (1895, Hoboken, New Jersey ; 1966, San Francisco, Californie), dont certaines n’ont jamais été exposées en France, l’exposition « Dorothea Lange. Politiques du visible » est articulée en cinq ensembles distincts. Ceux-ci mettent l’accent sur la force émotionnelle qui émane de ces photographies ainsi que sur le contexte de la pratique documentaire de la photographe. Plus d’une centaine de tirages vintage, réalisés de 1933 à 1957, sont mis en valeur par des documents et des projections qui élargissent la portée d’une œuvre déjà souvent familière au public grâce à des images emblématiques de l’histoire de la photographie comme White Angel Breadline (1933) et Migrant Mother (1936). Les tirages exposés appartiennent pour l’essentiel à l’Oakland Museum of California, où sont conservées les archives considérables de Lange, léguées par son mari Paul Schuster Taylor et sa famille.
À l’instar du célèbre roman de John Steinbeck paru en 1939, Les Raisins de la colère, l’œuvre de Dorothea Lange a contribué à façonner notre vision de l’entre-deux guerres aux États-Unis et à affiner notre connaissance de cette période. Mais d’autres aspects de sa pratique, qu’elle considérait comme archivistique, sont également mis en avant dans l’exposition. Resituant les photographies de Lange dans le contexte de son approche anthropologique, l’exposition offre au public la possibilité de comprendre que la force de ces images s’enracine également dans les interactions de la photographe avec son sujet, ce qui se manifeste à l’évidence dans les légendes qu’elle rédige pour accompagner ses photographies. Lange a ainsi considérablement enrichi la qualité informative de ses archives visuelles, produisant une forme d’histoire orale destinée aux générations futures.
En 1932, pendant la Grande Dépression débutée en 1929, Lange, observant dans les rues de San Francisco les chômeurs sans-abris, abandonne son activité de portraitiste de studio, la jugeant désormais inappropriée. Au cours de deux années qui marquent un tournant dans sa vie, elle photographie des situations qui décrivent l’impact social de la récession en milieu urbain. Ce travail novateur suscite l’intérêt des cercles artistiques et attire l’attention de Paul Schuster Taylor, professeur d’économie à l’université de Californie à Berkeley. Spécialiste des conflits agricoles des années 1930, et plus particulièrement des travailleurs migrants mexicains, Taylor utilise les photographies de Lange pour illustrer ses articles, avant que les deux ne travaillent ensemble à partir de 1935 au profit des agences fédérales instituées dans le cadre du New Deal. Leur collaboration durera plus de trente ans. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Lange pratique sans discontinuer la photographie, documentant les problèmes majeurs de l’époque, notamment l’internement des familles nippo-américaines, les évolutions économiques et sociales imputables aux industries engagées dans l’effort de guerre, la justice pénale vue par le truchement du travail d’un avocat commis d’office.
Si les images emblématiques prises par Dorothea Lange durant la Grande Dépression sont bien connues, ses photographies des Américains d’origine japonaise internés durant la Seconde Guerre mondiale n’ont pas été publiées avant 2006. Présentées ici pour la première fois en France, elles illustrent parfaitement comment Dorothea Lange a créé tout au long de sa carrière des images aussi intimes qu’émouvantes visant à dénoncer les injustices et infléchir l’opinion publique.
Parallèlement aux tirages exposés, différents objets ayant appartenu à la photographe, notamment des planches-contacts, des carnets de notes prises sur le terrain et diverses publications, replacent son travail dans le contexte de cette période troublée. L’exposition du Jeu de Paume ouvre une nouvelle perspective sur l’œuvre de cette artiste américaine de renom, dont l’héritage demeure vivant aujourd’hui encore. Tout en soulignant les qualités artistiques et la force des convictions politiques de la photographe, elle invite le public à redécouvrir l’œuvre de Dorothea Lange et son importance capitale dans l’histoire de la photographie documentaire.
Commissaire : Drew Heath Johnson et Pia Viewing.En ligne : http://www.jeudepaume.org/?page=article&idArt=3017 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=205708 Dorothea Lange : politiques du visible = Dorothea Lange : politics of seeing : exhibition portfolio [texte imprimé] / Alona Pardo, Auteur ; Dorothea Lange (1895-1966), Personne honorée . - Paris : Jeu de Paume, 2018 . - 48 p. : illustrations en noir et blanc ; 31 x 22 cm.
ISBN : 978-2-915704-82-2 : 9,50 €
Rétrospective de l'oeuvre de la photographe américaine.
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Arts et beaux livres Photographie et vidéo / Photographies / Albums et recueils selon des thèmes Catalogues d'exposition Images photographiques Index. décimale : J-13 Photographie Résumé : Une sélection d'une cinquantaine de photographies de Dorothea Lange (1895-1966), connue pour son ardeur à dénoncer les injustices sociales. L'album montre des oeuvres réalisées pendant la grande dépression, d'autres conçues pour la Farm security administration ou encore des prises de vue des chantiers navals de Richmond et de l'internement des Américains d'origine japonaise. Note de contenu : Présentant des œuvres majeures de la photographe américaine de renommée mondiale Dorothea Lange (1895, Hoboken, New Jersey ; 1966, San Francisco, Californie), dont certaines n’ont jamais été exposées en France, l’exposition « Dorothea Lange. Politiques du visible » est articulée en cinq ensembles distincts. Ceux-ci mettent l’accent sur la force émotionnelle qui émane de ces photographies ainsi que sur le contexte de la pratique documentaire de la photographe. Plus d’une centaine de tirages vintage, réalisés de 1933 à 1957, sont mis en valeur par des documents et des projections qui élargissent la portée d’une œuvre déjà souvent familière au public grâce à des images emblématiques de l’histoire de la photographie comme White Angel Breadline (1933) et Migrant Mother (1936). Les tirages exposés appartiennent pour l’essentiel à l’Oakland Museum of California, où sont conservées les archives considérables de Lange, léguées par son mari Paul Schuster Taylor et sa famille.
À l’instar du célèbre roman de John Steinbeck paru en 1939, Les Raisins de la colère, l’œuvre de Dorothea Lange a contribué à façonner notre vision de l’entre-deux guerres aux États-Unis et à affiner notre connaissance de cette période. Mais d’autres aspects de sa pratique, qu’elle considérait comme archivistique, sont également mis en avant dans l’exposition. Resituant les photographies de Lange dans le contexte de son approche anthropologique, l’exposition offre au public la possibilité de comprendre que la force de ces images s’enracine également dans les interactions de la photographe avec son sujet, ce qui se manifeste à l’évidence dans les légendes qu’elle rédige pour accompagner ses photographies. Lange a ainsi considérablement enrichi la qualité informative de ses archives visuelles, produisant une forme d’histoire orale destinée aux générations futures.
En 1932, pendant la Grande Dépression débutée en 1929, Lange, observant dans les rues de San Francisco les chômeurs sans-abris, abandonne son activité de portraitiste de studio, la jugeant désormais inappropriée. Au cours de deux années qui marquent un tournant dans sa vie, elle photographie des situations qui décrivent l’impact social de la récession en milieu urbain. Ce travail novateur suscite l’intérêt des cercles artistiques et attire l’attention de Paul Schuster Taylor, professeur d’économie à l’université de Californie à Berkeley. Spécialiste des conflits agricoles des années 1930, et plus particulièrement des travailleurs migrants mexicains, Taylor utilise les photographies de Lange pour illustrer ses articles, avant que les deux ne travaillent ensemble à partir de 1935 au profit des agences fédérales instituées dans le cadre du New Deal. Leur collaboration durera plus de trente ans. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Lange pratique sans discontinuer la photographie, documentant les problèmes majeurs de l’époque, notamment l’internement des familles nippo-américaines, les évolutions économiques et sociales imputables aux industries engagées dans l’effort de guerre, la justice pénale vue par le truchement du travail d’un avocat commis d’office.
Si les images emblématiques prises par Dorothea Lange durant la Grande Dépression sont bien connues, ses photographies des Américains d’origine japonaise internés durant la Seconde Guerre mondiale n’ont pas été publiées avant 2006. Présentées ici pour la première fois en France, elles illustrent parfaitement comment Dorothea Lange a créé tout au long de sa carrière des images aussi intimes qu’émouvantes visant à dénoncer les injustices et infléchir l’opinion publique.
Parallèlement aux tirages exposés, différents objets ayant appartenu à la photographe, notamment des planches-contacts, des carnets de notes prises sur le terrain et diverses publications, replacent son travail dans le contexte de cette période troublée. L’exposition du Jeu de Paume ouvre une nouvelle perspective sur l’œuvre de cette artiste américaine de renom, dont l’héritage demeure vivant aujourd’hui encore. Tout en soulignant les qualités artistiques et la force des convictions politiques de la photographe, elle invite le public à redécouvrir l’œuvre de Dorothea Lange et son importance capitale dans l’histoire de la photographie documentaire.
Commissaire : Drew Heath Johnson et Pia Viewing.En ligne : http://www.jeudepaume.org/?page=article&idArt=3017 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=205708 Réservation
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La photographie par les enfants : 10 ans d'une expérience en milieu scolaire / Annie-Laure Wanaverbecq
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Titre : La photographie par les enfants : 10 ans d'une expérience en milieu scolaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Annie-Laure Wanaverbecq, Directeur de la recherche ; Yve Flatard (1950-...) , Directeur de la recherche ; Jean-Jacques Grezet, Directeur de la recherche
Editeur : Paris : L'Atelier d'édition - Loco et la Maison de la photographie Robert Doisneau Année de publication : impr. 2011 Importance : 581 p. Présentation : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. Format : 22 x 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-919507-04-7 Prix : 21 € Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Photographie et vidéo / Photographies / Albums et recueils selon des thèmes Photographies d'art, albums de photographes Images photographiques Index. décimale : J-13 Photographie Résumé : Dix années de familiarisation des élèves d'écoles primaires de Gentilly avec la photographie sont présentées à travers la production des jeunes photographes accompagnée de présentations de la démarche et de sa mise en œuvre. Note de contenu : 4e de couv. : "Maison de la photographie Robert Doisneau En avril 1992, pour ses quatre-vingts ans, Robert Doisneau donnait son nom à la future Maison de la Photographie de Gentilly, honorant ainsi sa ville natale. En avril 1996, la Maison était inaugurée avec l'exposition - manifeste « Est-ce ainsi que les hommes vivent... », qui présentait 80 photographes, originaires de 17 pays différents, et couvrait une période allant de 1905 à nos jours. La Maison de la Photographie Robert Doisneau se consacre depuis à une photographie d'inspiration humaniste, en revisitant celle notion et en l'élargissant au-delà des frontières et des époques. Ainsi, depuis quinze ans, elle a réalisé de nombreuses expositions inédites de photographes du monde entier sur des thématiques très variées. Depuis 2001, la Maison de la Photographie Robert Doisneau est également à l'initiative du projet la Photographie à l'école en direction des enfants dont les travaux donnent lieu chaque année à une exposition exceptionnelle. Enfin, la Maison de la Photographie Robert Doisneau contribue à l'aide à la création en proposant au Fonds Municipal d'Art Contemporain de Gentilly des oeuvres de photographes exposés dans ses murs. Soutenue dès le départ par le département du Val-de-Marne, la Maison de la Photographie Robert Doisneau est, depuis janvier 2006, un équipement de la Communauté d'Agglomération de Val de Bièvre qui regroupe les villes d'Arcueil, de Cachan, de Fresnes, de Gentilly, de L'Haÿ-les-Roses, du Kremlin Bicêtre et de Villejuif.
Ce livre retrace dix années d'une expérience pédagogique unique consistant à familiariser des enfants à la photographie et à leur apprendre à décrypter une image photographique. Ce projet, initié depuis 2001 par la Maison de la Photographie Robert Doisneau dans les écoles primaires de Gentilly s'est élargi, en 2008, à l'ensemble des écoles de la Communauté d'Agglomération de Val de Bièvre. Il est piloté par deux photographes professionnels, Yve Flatard et Jean- Jacques Grezet. Ce cycle de formation, intégré au cursus scolaire, permet aux enfants de s'initier à la prise de vue et à la lecture d'images. Un thème de travail est proposé chaque année et les enfants sont mis en véritable situation de reportage. Les apprentis photographes se confrontent ainsi à la ville, aux gens et à leur environnement pour rechercher leur sujet, s'interroger sur le meilleur point de vue à adopter avant de décider de prendre une photographie. Il s'opère ici un véritable apprentissage du regard durant lequel les enfants ne se contentent pas seulement d'appuyer sur le déclencheur et de découvrir, presque par hasard, le résultat. Les images sont là pour le prouver : stupéfiantes de rigueur, étonnantes dans leur approche, maîtrisées dans leur composition ; rien n'indique au lecteur que leurs auteurs sont âgés d'une petite dizaine d'années !"En ligne : https://www.fraciledefrance.com/edition/children-power-un-recueil/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=176212 La photographie par les enfants : 10 ans d'une expérience en milieu scolaire [texte imprimé] / Annie-Laure Wanaverbecq, Directeur de la recherche ; Yve Flatard (1950-...), Directeur de la recherche ; Jean-Jacques Grezet, Directeur de la recherche . - Paris : L'Atelier d'édition - Loco et la Maison de la photographie Robert Doisneau, impr. 2011 . - 581 p. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 22 x 18 cm.
ISBN : 978-2-919507-04-7 : 21 €
Catégories : J CULTURE - ART - LOISIRS - ANIMATION Mots-clés : Photographie et vidéo / Photographies / Albums et recueils selon des thèmes Photographies d'art, albums de photographes Images photographiques Index. décimale : J-13 Photographie Résumé : Dix années de familiarisation des élèves d'écoles primaires de Gentilly avec la photographie sont présentées à travers la production des jeunes photographes accompagnée de présentations de la démarche et de sa mise en œuvre. Note de contenu : 4e de couv. : "Maison de la photographie Robert Doisneau En avril 1992, pour ses quatre-vingts ans, Robert Doisneau donnait son nom à la future Maison de la Photographie de Gentilly, honorant ainsi sa ville natale. En avril 1996, la Maison était inaugurée avec l'exposition - manifeste « Est-ce ainsi que les hommes vivent... », qui présentait 80 photographes, originaires de 17 pays différents, et couvrait une période allant de 1905 à nos jours. La Maison de la Photographie Robert Doisneau se consacre depuis à une photographie d'inspiration humaniste, en revisitant celle notion et en l'élargissant au-delà des frontières et des époques. Ainsi, depuis quinze ans, elle a réalisé de nombreuses expositions inédites de photographes du monde entier sur des thématiques très variées. Depuis 2001, la Maison de la Photographie Robert Doisneau est également à l'initiative du projet la Photographie à l'école en direction des enfants dont les travaux donnent lieu chaque année à une exposition exceptionnelle. Enfin, la Maison de la Photographie Robert Doisneau contribue à l'aide à la création en proposant au Fonds Municipal d'Art Contemporain de Gentilly des oeuvres de photographes exposés dans ses murs. Soutenue dès le départ par le département du Val-de-Marne, la Maison de la Photographie Robert Doisneau est, depuis janvier 2006, un équipement de la Communauté d'Agglomération de Val de Bièvre qui regroupe les villes d'Arcueil, de Cachan, de Fresnes, de Gentilly, de L'Haÿ-les-Roses, du Kremlin Bicêtre et de Villejuif.
Ce livre retrace dix années d'une expérience pédagogique unique consistant à familiariser des enfants à la photographie et à leur apprendre à décrypter une image photographique. Ce projet, initié depuis 2001 par la Maison de la Photographie Robert Doisneau dans les écoles primaires de Gentilly s'est élargi, en 2008, à l'ensemble des écoles de la Communauté d'Agglomération de Val de Bièvre. Il est piloté par deux photographes professionnels, Yve Flatard et Jean- Jacques Grezet. Ce cycle de formation, intégré au cursus scolaire, permet aux enfants de s'initier à la prise de vue et à la lecture d'images. Un thème de travail est proposé chaque année et les enfants sont mis en véritable situation de reportage. Les apprentis photographes se confrontent ainsi à la ville, aux gens et à leur environnement pour rechercher leur sujet, s'interroger sur le meilleur point de vue à adopter avant de décider de prendre une photographie. Il s'opère ici un véritable apprentissage du regard durant lequel les enfants ne se contentent pas seulement d'appuyer sur le déclencheur et de découvrir, presque par hasard, le résultat. Les images sont là pour le prouver : stupéfiantes de rigueur, étonnantes dans leur approche, maîtrisées dans leur composition ; rien n'indique au lecteur que leurs auteurs sont âgés d'une petite dizaine d'années !"En ligne : https://www.fraciledefrance.com/edition/children-power-un-recueil/ Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=176212 Réservation
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PermalinkDaniel Boudinet : Le temps de la couleur [Château de Tours, 16 juin-28 octobre 2018] / Christian Caujolle
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkArles 2018 : 49e rencontres internationales de la photographie / SUDOC / Rencontres d'Arles (49; 2018; Arles, Bouches-du-Rhône)
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PermalinkLieux de vie : territoires émergents [Exposition. Lille. Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement. 2013] ; [Exposition. Essen. Kunsthaus. 2013]
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PermalinkLieux de vie : territoires émergents ; Territoires émergents, lieux de vie. 50°24'29.68"N 3°33'27.60"E / Maïté Pouleur
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PermalinkLieux de vie : territoires émergents ; Territoires émergents, lieux de vie. Auby / Éric Giraudet de Boudemange
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PermalinkLieux de vie : territoires émergents ; Territoires émergents, lieux de vie. Cultiver son jardin / Freya Hattenberger
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