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Partager le résultat de cette rechercheAssociation de la protéine C-réactive ultra-sensible avec la survenue de la schizophrénie en Tunisie / M. Leboyer in L'Encéphale : revue de psychiatrie clinique biologique et thérapeutique, n°4 (Août 2020 Vol. 46)
Titre : Association de la protéine C-réactive ultra-sensible avec la survenue de la schizophrénie en Tunisie Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Leboyer, Auteur ; R. Tamouza, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 241-247 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie Trouble mental Polymorphismes du gène CRP CRP ultra-sensible Inflammation Dysfonctionnement immunitaire Résumé : La schizophrénie (SZ) est une psychose majeure grave, habituellement chronique, invalidante et caractérisée par des rechutes fréquentes. Cette psychose pose un vrai problème de santé publique en Tunisie ainsi que dans le monde puisqu’elle présente plus que 1 % de la population générale. L’hypothèse neurodéveloppementale de la SZ suggère, que l’inflammation prénatale sensibilise le cerveau en développement à une atteinte subséquente durant le jeune âge, augmentant le risque de développer la maladie. Récemment, des travaux ont mis en avant le rôle central des processus inflammatoires chroniques dans la physiopathologie de la SZ. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=257485
in L'Encéphale : revue de psychiatrie clinique biologique et thérapeutique > n°4 (Août 2020 Vol. 46) . - p. 241-247[article] Association de la protéine C-réactive ultra-sensible avec la survenue de la schizophrénie en Tunisie [texte imprimé] / M. Leboyer, Auteur ; R. Tamouza, Auteur . - 2020 . - p. 241-247.
Langues : Français (fre)
in L'Encéphale : revue de psychiatrie clinique biologique et thérapeutique > n°4 (Août 2020 Vol. 46) . - p. 241-247
Mots-clés : Schizophrénie Trouble mental Polymorphismes du gène CRP CRP ultra-sensible Inflammation Dysfonctionnement immunitaire Résumé : La schizophrénie (SZ) est une psychose majeure grave, habituellement chronique, invalidante et caractérisée par des rechutes fréquentes. Cette psychose pose un vrai problème de santé publique en Tunisie ainsi que dans le monde puisqu’elle présente plus que 1 % de la population générale. L’hypothèse neurodéveloppementale de la SZ suggère, que l’inflammation prénatale sensibilise le cerveau en développement à une atteinte subséquente durant le jeune âge, augmentant le risque de développer la maladie. Récemment, des travaux ont mis en avant le rôle central des processus inflammatoires chroniques dans la physiopathologie de la SZ. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=257485
Titre : Protéine C-réactive et agitation chez des patients atteints de schizophrénie : suivi d'une cohorte avec groupe témoin Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Amine, Auteur ; F. Asri, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 264-268 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie Inflammation Agitation Protéine C-réactive Résumé : Plusieurs données de la littérature soulignent, d’une part, le rôle du système immunitaire dans la physiopathologie de la schizophrénie, et, d’autre part, l’association entre l’inflammation et l’agitation. Ce travail a pour objectif d’explorer la relation entre le taux de CRP et l’agitation chez les patients atteints de schizophrénie. Nous avons mené une étude de cohorte avec groupe de comparaison sur 60 patients en arrêt de traitement hospitalisés au service de psychiatrie CHU Mohammed VI Marrakech Maroc atteints de schizophrénie répartis en deux groupes selon l’état d’agitation évalué par l’échelle PANSS Excitation et appareillés sur l’âge et le sexe. Une comparaison du taux de CRP, des caractéristiques cliniques et biologiques entre les deux groupes avec un suivi du taux de CRP chez le groupe agité après 3 semaines de traitement ont été effectués. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=257534
in L'Encéphale : revue de psychiatrie clinique biologique et thérapeutique > n°4 (Août 2020 Vol. 46) . - p. 264-268[article] Protéine C-réactive et agitation chez des patients atteints de schizophrénie : suivi d'une cohorte avec groupe témoin [texte imprimé] / M. Amine, Auteur ; F. Asri, Auteur . - 2020 . - p. 264-268.
Langues : Français (fre)
in L'Encéphale : revue de psychiatrie clinique biologique et thérapeutique > n°4 (Août 2020 Vol. 46) . - p. 264-268
Mots-clés : Schizophrénie Inflammation Agitation Protéine C-réactive Résumé : Plusieurs données de la littérature soulignent, d’une part, le rôle du système immunitaire dans la physiopathologie de la schizophrénie, et, d’autre part, l’association entre l’inflammation et l’agitation. Ce travail a pour objectif d’explorer la relation entre le taux de CRP et l’agitation chez les patients atteints de schizophrénie. Nous avons mené une étude de cohorte avec groupe de comparaison sur 60 patients en arrêt de traitement hospitalisés au service de psychiatrie CHU Mohammed VI Marrakech Maroc atteints de schizophrénie répartis en deux groupes selon l’état d’agitation évalué par l’échelle PANSS Excitation et appareillés sur l’âge et le sexe. Une comparaison du taux de CRP, des caractéristiques cliniques et biologiques entre les deux groupes avec un suivi du taux de CRP chez le groupe agité après 3 semaines de traitement ont été effectués. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=257534
Titre : Réponses physiologiques liées à une immersion en eau froide et à une cryostimulation-cryothérapie en corps entier : effets sur la récupération après un exercice musculaire Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/07/2010 Article en page(s) : pp.121-131 Langues : Français (fre) Mots-clés : récupération inflammation immersion en eau froide immersion en eau contrastée cryothérapie en corps entier Résumé : Objectifs
Cette revue examine tout d’abord l’efficacité de la récupération musculaire par l’immersion en eau froide ou eau contrastée (chaud–froid) et détaille les différents protocoles scientifiques afin d’obtenir des applications pratiques pour les athlètes. Ensuite, cette revue propose une synthèse sur les effets de la cryothérapie en corps entier et les bénéfices ou non apportées par cette modalité relativement récente.
Actualités
La multitude des protocoles ayant investigué les effets de la récupération par immersion en eau froide et/ou contrastée expliquent les résultats hétérogènes rapportés par les différents travaux menés sur les effets de cette technique sur la récupération musculaire. Cette méthode semble être préconisée largement après des exercices de musculation ou des exercices à forte contrainte énergétique, lorsqu’elle est programmée dans les 20 minutes qui succèdent l’exercice fatigant. L’immersion en eau chaude fait rarement l’unanimité scientifique, surtout si l’exercice préalable est à prédominance anaérobie ; seule la profondeur de l’immersion paraît vraiment essentielle, une immersion jusqu’au cou semble donner des résultats concluants. Pour ce qui est de la cryothérapie en corps entier, peu de données actuelles sont disponibles concernant la récupération avec cette modalité suite à un exercice. Cependant, la littérature scientifique nous donne des indications sur des effets bénéfiques de certains paramètres de l’inflammation lorsque cette pratique est réalisée, sur une possible augmentation du statut antioxydant, ainsi que sur une large augmentation de l’humeur et des syndromes dépressifs.
Perspectives et projets
Il apparaît principalement que des études complémentaires davantage ciblées sur l’activité physique sont à mener pour nous renseigner sur la capacité ou non des athlètes à mieux récupérer en utilisant la cryothérapie en corps entier.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125060
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 25 numéro 3 (01/07/2010) . - pp.121-131[article] Réponses physiologiques liées à une immersion en eau froide et à une cryostimulation-cryothérapie en corps entier : effets sur la récupération après un exercice musculaire [texte imprimé] . - 01/07/2010 . - pp.121-131.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 25 numéro 3 (01/07/2010) . - pp.121-131
Mots-clés : récupération inflammation immersion en eau froide immersion en eau contrastée cryothérapie en corps entier Résumé : Objectifs
Cette revue examine tout d’abord l’efficacité de la récupération musculaire par l’immersion en eau froide ou eau contrastée (chaud–froid) et détaille les différents protocoles scientifiques afin d’obtenir des applications pratiques pour les athlètes. Ensuite, cette revue propose une synthèse sur les effets de la cryothérapie en corps entier et les bénéfices ou non apportées par cette modalité relativement récente.
Actualités
La multitude des protocoles ayant investigué les effets de la récupération par immersion en eau froide et/ou contrastée expliquent les résultats hétérogènes rapportés par les différents travaux menés sur les effets de cette technique sur la récupération musculaire. Cette méthode semble être préconisée largement après des exercices de musculation ou des exercices à forte contrainte énergétique, lorsqu’elle est programmée dans les 20 minutes qui succèdent l’exercice fatigant. L’immersion en eau chaude fait rarement l’unanimité scientifique, surtout si l’exercice préalable est à prédominance anaérobie ; seule la profondeur de l’immersion paraît vraiment essentielle, une immersion jusqu’au cou semble donner des résultats concluants. Pour ce qui est de la cryothérapie en corps entier, peu de données actuelles sont disponibles concernant la récupération avec cette modalité suite à un exercice. Cependant, la littérature scientifique nous donne des indications sur des effets bénéfiques de certains paramètres de l’inflammation lorsque cette pratique est réalisée, sur une possible augmentation du statut antioxydant, ainsi que sur une large augmentation de l’humeur et des syndromes dépressifs.
Perspectives et projets
Il apparaît principalement que des études complémentaires davantage ciblées sur l’activité physique sont à mener pour nous renseigner sur la capacité ou non des athlètes à mieux récupérer en utilisant la cryothérapie en corps entier.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125060
Titre : Angiopathie amyloïde cérébrale inflammatoire : une cause méconnue de démence curable Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadia Bouattour, Auteur ; Salma Sakka, Auteur ; Nouha Farhat, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 441-446 Langues : Français (fre) Mots-clés : Angiopathie amyloïde cérébrale Démence/Sujet âgé Epilepsie Inflammation Résumé : L’Angiopathie amyloïde cérébrale (AAC) est une pathologie fréquente chez les sujets âgés. La forme inflammatoire (AACI) est très rare et représente une cause peu connue de démence curable. Nous rapportons un cas de démence rapidement progressive accompagnée d’épilepsie probablement secondaire à une AACI. Un homme âgé de 65 ans, aux antécédents de troubles de la mémoire évoluant depuis 6 mois, a été admis pour épilepsie. L’examen neurologique montrait un syndrome démentiel avec un syndrome parkinsonien droit. L’Imagerie par résonance magnétique (IRM) cérébrale objectivait des hypersignaux de la substance blanche asymétriques prédominant dans les régions postérieures en séquence T2 et Flair, avec présence de nombreux microsaignements sur la séquence T2*. Le Liquide céphalo-rachidien (LCR) retrouvait une hyperprotéinorachie, une normoglycorachie, 5 éléments/mm3 , une diminution de la concentration des protéines bêta-amyloïdes A? 42. Le diagnostic d’AACI était probable. La corticothérapie a permis une amélioration clinique rapide. Reconnaître cette forme rare d’AAC est important, car elle constitue une cause des rares démences curables. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=257698
in La Revue de gériatrie / BU de Médecine > T. 45, n°7 (septembre 2020) . - p. 441-446[article] Angiopathie amyloïde cérébrale inflammatoire : une cause méconnue de démence curable [texte imprimé] / Nadia Bouattour, Auteur ; Salma Sakka, Auteur ; Nouha Farhat, Auteur . - 2020 . - p. 441-446.
Langues : Français (fre)
in La Revue de gériatrie / BU de Médecine > T. 45, n°7 (septembre 2020) . - p. 441-446
Mots-clés : Angiopathie amyloïde cérébrale Démence/Sujet âgé Epilepsie Inflammation Résumé : L’Angiopathie amyloïde cérébrale (AAC) est une pathologie fréquente chez les sujets âgés. La forme inflammatoire (AACI) est très rare et représente une cause peu connue de démence curable. Nous rapportons un cas de démence rapidement progressive accompagnée d’épilepsie probablement secondaire à une AACI. Un homme âgé de 65 ans, aux antécédents de troubles de la mémoire évoluant depuis 6 mois, a été admis pour épilepsie. L’examen neurologique montrait un syndrome démentiel avec un syndrome parkinsonien droit. L’Imagerie par résonance magnétique (IRM) cérébrale objectivait des hypersignaux de la substance blanche asymétriques prédominant dans les régions postérieures en séquence T2 et Flair, avec présence de nombreux microsaignements sur la séquence T2*. Le Liquide céphalo-rachidien (LCR) retrouvait une hyperprotéinorachie, une normoglycorachie, 5 éléments/mm3 , une diminution de la concentration des protéines bêta-amyloïdes A? 42. Le diagnostic d’AACI était probable. La corticothérapie a permis une amélioration clinique rapide. Reconnaître cette forme rare d’AAC est important, car elle constitue une cause des rares démences curables. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=257698
Titre : Centres Experts Schizophrénie, un outil pour le soin et la recherche : retour sur 10 ans d'expérience Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Fond, Auteur ; F. Berna, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 9-14 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.10 Psychologie:Cognition The mental action or process of acquiring knowledge through thought, experience and senses.Mots-clés : Dépression Schizophrénie Centre expert Inflammation Traitement Syndrome métabolique Résumé : Le présent article propose de faire un retour sur les 10 ans d’expérience du réseau national des 10 centres experts schizophrénie Français, à travers une revue des principales publications scientifiques qui en sont issues. À ce jour, les données de plus de 700 patients ont pu être analysées. Globalement, cette population est composée de trois quarts d’hommes, est âgée en moyenne de 32 ans, la durée moyenne de maladie est d’environ 11 ans, l’âge moyen de début de maladie est de 21 ans, la durée de psychose non traitée est d’environ un an et demi. 55 % des sujets sont consommateurs de tabac au moment de l’évaluation. Enfin, un focus sera fait sur les projets de recherche multicentriques collaboratifs déployés au sein de ce réseau. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=234719
in L'Encéphale : revue de psychiatrie clinique biologique et thérapeutique > n°1 (Février 2019 Vol. 45) . - p. 9-14[article] Centres Experts Schizophrénie, un outil pour le soin et la recherche : retour sur 10 ans d'expérience [texte imprimé] / G. Fond, Auteur ; F. Berna, Auteur . - 2019 . - p. 9-14.
Langues : Français (fre)
in L'Encéphale : revue de psychiatrie clinique biologique et thérapeutique > n°1 (Février 2019 Vol. 45) . - p. 9-14
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.10 Psychologie:Cognition The mental action or process of acquiring knowledge through thought, experience and senses.Mots-clés : Dépression Schizophrénie Centre expert Inflammation Traitement Syndrome métabolique Résumé : Le présent article propose de faire un retour sur les 10 ans d’expérience du réseau national des 10 centres experts schizophrénie Français, à travers une revue des principales publications scientifiques qui en sont issues. À ce jour, les données de plus de 700 patients ont pu être analysées. Globalement, cette population est composée de trois quarts d’hommes, est âgée en moyenne de 32 ans, la durée moyenne de maladie est d’environ 11 ans, l’âge moyen de début de maladie est de 21 ans, la durée de psychose non traitée est d’environ un an et demi. 55 % des sujets sont consommateurs de tabac au moment de l’évaluation. Enfin, un focus sera fait sur les projets de recherche multicentriques collaboratifs déployés au sein de ce réseau. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=234719
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