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Inclusion et handicap à dominante visible ou invisible au collège : représentations du handicap, pratiques d'inclusion en contexte scolaire et construction individuelle et interactionnelle d'adolescents en situation de handicap / Céline Gaulot
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Titre : Inclusion et handicap à dominante visible ou invisible au collège : représentations du handicap, pratiques d'inclusion en contexte scolaire et construction individuelle et interactionnelle d'adolescents en situation de handicap Type de document : document électronique Auteurs : Céline Gaulot (1970-...), Auteur ; Éric Dugas , Directeur de thèse ; Joël Zaffran (1967-...)
, ; Gilles Ferréol (1954-...), ; Émilie Boujut (1980-...), ; Séverine Colinet (1980-...)
, Opposant ; Franck Peyrou, Opposant ; Université de Bordeaux (2014-...), Organisme de soutenance ; École doctorale Sociétés, politique, santé publique (Bordeaux), ; Laboratoire cultures, éducation, sociétés,
Editeur : Bordeaux : Université de Bordeaux Année de publication : 2018 Importance : 428 p. Format : Langues : Français (fre) Mots-clés : Handicap Inclusion Visible Invisible Adolescence Représentations Besoins éducatifs particuliers Sociologie Jeunes handicapés Intégration scolaire Adaptation scolaire Résumé : Le traitement du handicap et la place des personnes handicapées a varié selon les époques. Actuellement, dans la lignée des droits de l’homme, les politiques nationales et internationales tendent à promouvoir l’égalité pour tous les hommes et la lutte contre les discriminations se concrétise par des politiques publiques actives, dans la plupart des pays. Au niveau de l’Éducation, le concept d’inclusion a été avalisé à la Conférence de Salamanque (UNESCO 1994), et sa mise en oeuvre est décrite comme « une réforme qui appuie et accueille favorablement la diversité de tous les apprenants » (UNESCO 2001). En France, la loi du 11 février 2005 a introduit une évolution majeure dans le traitement social des personnes handicapées. L’éducation inclusive dans son paradigme appelle à une prise en compte de la complexité de l’humain et des institutions auxquelles il appartient. La présente recherche tend à rendre compte de certains aspects de cette complexité en mettant au jour les représentations et les pratiques d’inclusion en collège auprès d’élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible et en les mettant en lien avec la construction individuelle et interactionnelle de ces adolescents. Quatre dimensions ont été étudiées à partir de la situation de cinq élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible. Le contexte scolaire est le premier niveau : il apporte une structuration objective au processus d’inclusion par la présence d’un dispositif, d’une organisation et de personnes investies dans ce projet. Les représentations du handicap et les pratiques pédagogiques des enseignants sont interrogées dans le deuxième niveau. Le troisième niveau est celui des pairs des élèves en situation de handicap, où ont été questionnés les réseaux socio-affectifs des classes. Enfin, le quatrième niveau concerne la dimension individuelle des cinq élèves. Les résultats de cette recherche de type ethnographique indiquent que la structuration du contexte inclusif a une influence sur la représentation du handicap activée : plus elle est visible car portée par un dispositif et des personnels qui lui sont dédiés, plus la représentation du handicap est riche. Le noyau de la représentation du handicap chez les enseignants (constitué des éléments « monstre », « mort », « handicap physique », « fauteuil roulant » et « autisme ») est identique à celui rencontré dans la population générale, avec une variation spécifique professionnelle (« dyslexie ») entrant dans le champ de la réparation possible du handicap. Lorsque la structuration de l’inclusion est humainement investie, une représentation dite « de reliance » intègre les différents niveaux antérieurs de la représentation et y intègre la situation de handicap. En ce sens, elle est évoluée car elle prend en considération les dernières avancées sociétales en la matière ; on peut la penser aussi transitoire, au même titre que la forme actuelle de l’Éducation inclusive. Des archétypes sont sous-jacents à ces représentations et diffèrent selon la visibilité (où l’archétype activé est celui du monstre et de l’altérité fondamentale) ou l’invisibilité du handicap (où l’archétype activé est celui de l’étranger et de l’inconnaissable), cette notion faisant le lien entre la perception et la représentation dans la dimension intrapsychique de l’individu. Les représentations peuvent évoluer par mise au jour, acceptation et intégration de ses différentes composantes d’une part, par l’expérience concrète discutée et réfléchie du processus inclusif par ses acteurs d’autre part. Ceci induit alors une co-construction entre les différents partenaires et la nécessité de formation pour accéder à une compréhension des singularités des élèves porteurs d’altérité dans l’objectif d’identifier et de répondre à leurs besoins éducatifs particuliers. En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02117112v2/document Format de la ressource électronique : Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=260009 Inclusion et handicap à dominante visible ou invisible au collège : représentations du handicap, pratiques d'inclusion en contexte scolaire et construction individuelle et interactionnelle d'adolescents en situation de handicap [document électronique] / Céline Gaulot (1970-...), Auteur ; Éric Dugas, Directeur de thèse ; Joël Zaffran (1967-...)
, ; Gilles Ferréol (1954-...), ; Émilie Boujut (1980-...), ; Séverine Colinet (1980-...)
, Opposant ; Franck Peyrou, Opposant ; Université de Bordeaux (2014-...), Organisme de soutenance ; École doctorale Sociétés, politique, santé publique (Bordeaux), ; Laboratoire cultures, éducation, sociétés, . - Bordeaux : Université de Bordeaux, 2018 . - 428 p. ; PDF.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Handicap Inclusion Visible Invisible Adolescence Représentations Besoins éducatifs particuliers Sociologie Jeunes handicapés Intégration scolaire Adaptation scolaire Résumé : Le traitement du handicap et la place des personnes handicapées a varié selon les époques. Actuellement, dans la lignée des droits de l’homme, les politiques nationales et internationales tendent à promouvoir l’égalité pour tous les hommes et la lutte contre les discriminations se concrétise par des politiques publiques actives, dans la plupart des pays. Au niveau de l’Éducation, le concept d’inclusion a été avalisé à la Conférence de Salamanque (UNESCO 1994), et sa mise en oeuvre est décrite comme « une réforme qui appuie et accueille favorablement la diversité de tous les apprenants » (UNESCO 2001). En France, la loi du 11 février 2005 a introduit une évolution majeure dans le traitement social des personnes handicapées. L’éducation inclusive dans son paradigme appelle à une prise en compte de la complexité de l’humain et des institutions auxquelles il appartient. La présente recherche tend à rendre compte de certains aspects de cette complexité en mettant au jour les représentations et les pratiques d’inclusion en collège auprès d’élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible et en les mettant en lien avec la construction individuelle et interactionnelle de ces adolescents. Quatre dimensions ont été étudiées à partir de la situation de cinq élèves en situation de handicap à dominante visible ou invisible. Le contexte scolaire est le premier niveau : il apporte une structuration objective au processus d’inclusion par la présence d’un dispositif, d’une organisation et de personnes investies dans ce projet. Les représentations du handicap et les pratiques pédagogiques des enseignants sont interrogées dans le deuxième niveau. Le troisième niveau est celui des pairs des élèves en situation de handicap, où ont été questionnés les réseaux socio-affectifs des classes. Enfin, le quatrième niveau concerne la dimension individuelle des cinq élèves. Les résultats de cette recherche de type ethnographique indiquent que la structuration du contexte inclusif a une influence sur la représentation du handicap activée : plus elle est visible car portée par un dispositif et des personnels qui lui sont dédiés, plus la représentation du handicap est riche. Le noyau de la représentation du handicap chez les enseignants (constitué des éléments « monstre », « mort », « handicap physique », « fauteuil roulant » et « autisme ») est identique à celui rencontré dans la population générale, avec une variation spécifique professionnelle (« dyslexie ») entrant dans le champ de la réparation possible du handicap. Lorsque la structuration de l’inclusion est humainement investie, une représentation dite « de reliance » intègre les différents niveaux antérieurs de la représentation et y intègre la situation de handicap. En ce sens, elle est évoluée car elle prend en considération les dernières avancées sociétales en la matière ; on peut la penser aussi transitoire, au même titre que la forme actuelle de l’Éducation inclusive. Des archétypes sont sous-jacents à ces représentations et diffèrent selon la visibilité (où l’archétype activé est celui du monstre et de l’altérité fondamentale) ou l’invisibilité du handicap (où l’archétype activé est celui de l’étranger et de l’inconnaissable), cette notion faisant le lien entre la perception et la représentation dans la dimension intrapsychique de l’individu. Les représentations peuvent évoluer par mise au jour, acceptation et intégration de ses différentes composantes d’une part, par l’expérience concrète discutée et réfléchie du processus inclusif par ses acteurs d’autre part. Ceci induit alors une co-construction entre les différents partenaires et la nécessité de formation pour accéder à une compréhension des singularités des élèves porteurs d’altérité dans l’objectif d’identifier et de répondre à leurs besoins éducatifs particuliers. En ligne : https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02117112v2/document Format de la ressource électronique : Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=260009 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Titre : L'insurrection des vies minuscules / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Guillaume Le Blanc (1966-...) , Auteur
Mention d'édition : Nouvelle édition augmentée Editeur : Montrouge (Hauts de Seine) : Bayard Editions Année de publication : 2020, cop. 2014 Collection : Les Révoltes philosophiques, ISSN 2416-4119 Importance : 185 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 145 x 190 mm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-227-49798-6 Prix : 17,90 € Note générale : Au moment où la crise de notre modele politique ne cesse d'etre debattue dans le plus grand pessimisme, Guillaume le Blanc nous propose une hypothese detonante, aussi ludique qu'originale: l'hypothese Charlot. Chaplin invente le temoin precaire de son temps, celui qui, au bord de la desintegration, parvient neanmoins a survivre. Charlot appartient a une humanite vulnerable qui deroule sous nos yeux une vie minuscule.Et pourtant, que l'on regarde Les Temps modernes, The Kid ou Le dictateur, c'est bien lui qui remet en question tous les partages sociaux entre le grand et le petit, le centre et la peripherie, le dedans et le dehors, le normal et le pathologique: faut-il vraiment vivre en travaillant ? Qu'est-ce qu'etre amoureux ? Etre pere ? Sommes-nous tenus d'etre des citoyens patriotes ? L'hypothese Charlot, c'est cela: contester les normes du monde commun pour le rendre justement encore plus commun, plus partageable, pour inventer et reinventer la democratie. N'est-ce pas la force ultime de Chaplin et de son personnage de nous eloigner du nihilisme qui semble a nouveau guetter notre epoque ? Langues : Français (fre) Mots-clés : Charlot (personnage fictif) -- Individu et société Exclusion sociale -- Philosophie invisible invisibles Résumé : Face au pessimisme politique, cet essai philosophique émet "l'hypothèse Charlot", une manière de contester le monde commun pour le rendre plus juste et partageable, pour inventer et réinventer la démocratie. Ce personnage, précaire de son temps, menant une vie ordinaire, remet en question les partages sociaux par le comique de situation.
Dans ce texte très original, Guillaume le Blanc veut rendre compte, face aux violences de notre monde contemporain ultralibéral et en évoquant notamment le mouvement des Gilets jaunes, de tous les efforts déployés par les plus invisibles des vies « ordinaires » pour tenir bon. Cette nouvelle édition considérablement augmentée de son ouvrage paru cinq ans plus tôt prend d'autant plus de force et de pertinence. L'auteur convoque la silhouette de Chariot, symbole de « l'art de vivre malgré-tout », et montre qu'il fallait sans doute un art naissant comme le cinéma pour saisir ce long et lointain anonymat des vies ordinaires dans une absence radicale de hiérarchie. Chariot est bien un personnage de notre temps, qui conteste les normes du monde commun pour le rendre plus partageable, pour inventer et réinventer la démocratie. La force de Chaplin et de son personnage repose sur cette révélation : chacun a la capacité de dire non afin de se soulever et de résister au pessimisme et à l'accablement.Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/a-present/de-quel-droit-la-precarite Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=256634 L'insurrection des vies minuscules / SUDOC [document électronique] / Guillaume Le Blanc (1966-...), Auteur . - Nouvelle édition augmentée . - Montrouge (Hauts de Seine) : Bayard Editions, 2020, cop. 2014 . - 185 p. : couv. ill. en coul. ; 145 x 190 mm. - (Les Révoltes philosophiques, ISSN 2416-4119) .
ISBN : 978-2-227-49798-6 : 17,90 €
Au moment où la crise de notre modele politique ne cesse d'etre debattue dans le plus grand pessimisme, Guillaume le Blanc nous propose une hypothese detonante, aussi ludique qu'originale: l'hypothese Charlot. Chaplin invente le temoin precaire de son temps, celui qui, au bord de la desintegration, parvient neanmoins a survivre. Charlot appartient a une humanite vulnerable qui deroule sous nos yeux une vie minuscule.Et pourtant, que l'on regarde Les Temps modernes, The Kid ou Le dictateur, c'est bien lui qui remet en question tous les partages sociaux entre le grand et le petit, le centre et la peripherie, le dedans et le dehors, le normal et le pathologique: faut-il vraiment vivre en travaillant ? Qu'est-ce qu'etre amoureux ? Etre pere ? Sommes-nous tenus d'etre des citoyens patriotes ? L'hypothese Charlot, c'est cela: contester les normes du monde commun pour le rendre justement encore plus commun, plus partageable, pour inventer et reinventer la democratie. N'est-ce pas la force ultime de Chaplin et de son personnage de nous eloigner du nihilisme qui semble a nouveau guetter notre epoque ?
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Charlot (personnage fictif) -- Individu et société Exclusion sociale -- Philosophie invisible invisibles Résumé : Face au pessimisme politique, cet essai philosophique émet "l'hypothèse Charlot", une manière de contester le monde commun pour le rendre plus juste et partageable, pour inventer et réinventer la démocratie. Ce personnage, précaire de son temps, menant une vie ordinaire, remet en question les partages sociaux par le comique de situation.
Dans ce texte très original, Guillaume le Blanc veut rendre compte, face aux violences de notre monde contemporain ultralibéral et en évoquant notamment le mouvement des Gilets jaunes, de tous les efforts déployés par les plus invisibles des vies « ordinaires » pour tenir bon. Cette nouvelle édition considérablement augmentée de son ouvrage paru cinq ans plus tôt prend d'autant plus de force et de pertinence. L'auteur convoque la silhouette de Chariot, symbole de « l'art de vivre malgré-tout », et montre qu'il fallait sans doute un art naissant comme le cinéma pour saisir ce long et lointain anonymat des vies ordinaires dans une absence radicale de hiérarchie. Chariot est bien un personnage de notre temps, qui conteste les normes du monde commun pour le rendre plus partageable, pour inventer et réinventer la démocratie. La force de Chaplin et de son personnage repose sur cette révélation : chacun a la capacité de dire non afin de se soulever et de résister au pessimisme et à l'accablement.Note de contenu : Notes bibliogr. En ligne : https://www.franceculture.fr/emissions/a-present/de-quel-droit-la-precarite Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=256634 Exemplaires
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[article]
Titre : L'image et la vérité Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Wajcman, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 57-71 Note générale : "Désormais, toute image a un sens, c’est-à-dire qu’elle signifie toujours autre chose que ce qu’elle dit et montre. Cela fonde sous nos latitudes la passion de l’image, que Marie-José Mondzain nomme à la lettre, disant que ce qui est propre à l’Occident, c’est « l’appropriation par la pensée chrétienne de la Passion qui déplaça totalement la question de l’expressivité du discours pour le situer au cœur de l’image. La Passion devint le récit qui raconta comment l’image invisible est devenue visible, comment l’image déchue a été sauvée, comment le sacrifice d’un corps a contribué à l’avènement de la chair rédimée ». Langues : Français (fre) Mots-clés : vérité image illusion invisible visible 20e siècle irreprésentable absence horreur Lacan psychanalyse chambres à gaz art Résumé : Il y avait une vérité platonicienne de l'image : une illusion qui dit qu'elle est une illusion. Il ya vait une vérité chrétienne de l'imge : l'invisible devenu visible. Une autre vérité est surgie au XXè siècle : ce qui fonde l'image, c'est l'irreprésentable, absence ou horreur. Lacan a formulé ça pour la psychanalyse : le secret de l'image c'est la castration. Cette vérité a eu un nom dans le siècle : les chambres à gaz. L'art a pris en charge cette vérité.[résumé d'éditeur] Note de contenu : "Ce sur quoi je veux insister, c’est que la question de l’irreprésentable n’emporte absolument pas une pensée sur la fin de la représentation. Si on parle des chambres à gaz et d’extermination irreprésentables, cela veut dire que nulle image, nul récit ne seraient à sa mesure parce que le réel est en excès sur tout dire et tout visible. Mais si, dans la Shoah, rien n’a eu lieu que « l’horreur du rien » (Lacoue-Labarthe), il ne s’ensuit pas l’anéantissement de la représentation, que toute représentation, quelle que soit la manière de l’entendre, serait périmée. L’absence, le manque ou la disparition – pour reprendre le titre du roman de Perec, à qui toutes ces questions étaient tout sauf étrangères – ne se soustraient pas à la logique de la représentation. La représentation retrouve son sens premier : non pas une reproduction, elle-même soumise aux limites d’un « point de vue », mais un geste qui fait venir à la présence, une présentation. Ce que je peux ajouter, c’est que l’objet dont je parle, comme positivation du manque, c’est celui-là même que la psychanalyse définit comme objet.
31Cependant, en ce qui concerne ce qu’on nomme l’objet, tout cela relance la réflexion sur le visible et la vérité des images parce que, comme le souligne Rancière, pour Godard, l’image est empreinte de la présence. En quoi on retrouve ici l’idée que l’image est retendue par quelque chose. Mais traiter l’image comme empreinte de la présence, l’idée que ce sont les « icônes de la présence » que le cinéma « projette » (Rancière), si cela s’oppose à la fiction illusionniste, c’est par une voie que je tiens donc pour religieuse. C’est-à-dire qu’il y en a une autre qui est, en un sens, la voie moderne comme telle, soit ce que Rancière appelle « l’illusionnisme revendiqué » et qui consiste dans une « célébration purement humaine de l’artifice », soit un artifice montré comme artifice. Ce serait l’idée mallarméenne d’une fiction déliée du symbole, de la ressemblance et de l’incarnation, déliée donc en ce sens de toute religiosité.
32L’art du xxe siècle, je le désignerais comme un art anti-transposition, ce dont on peut garder les initiales : un art at. L’art du xxe siècle serait un art qui montrerait non plus l’empreinte de la présence, mais l’empreinte de l’absence, qui montrerait l’absence de l’au-delà – ce qui ne revient pas au même que l’absence d’au-delà, que la platitude du plan, mais qui donne l’absence comme vérité et cause positives de la représentation."En ligne : https://www.cairn.info/revue-savoirs-et-cliniques-2003-2-page-57.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=270979
in Savoirs et clinique : revue de psychanalyse > n°3 (2003) . - pp. 57-71[article] L'image et la vérité [texte imprimé] / Gérard Wajcman, Auteur . - 2003 . - pp. 57-71.
"Désormais, toute image a un sens, c’est-à-dire qu’elle signifie toujours autre chose que ce qu’elle dit et montre. Cela fonde sous nos latitudes la passion de l’image, que Marie-José Mondzain nomme à la lettre, disant que ce qui est propre à l’Occident, c’est « l’appropriation par la pensée chrétienne de la Passion qui déplaça totalement la question de l’expressivité du discours pour le situer au cœur de l’image. La Passion devint le récit qui raconta comment l’image invisible est devenue visible, comment l’image déchue a été sauvée, comment le sacrifice d’un corps a contribué à l’avènement de la chair rédimée ».
Langues : Français (fre)
in Savoirs et clinique : revue de psychanalyse > n°3 (2003) . - pp. 57-71
Mots-clés : vérité image illusion invisible visible 20e siècle irreprésentable absence horreur Lacan psychanalyse chambres à gaz art Résumé : Il y avait une vérité platonicienne de l'image : une illusion qui dit qu'elle est une illusion. Il ya vait une vérité chrétienne de l'imge : l'invisible devenu visible. Une autre vérité est surgie au XXè siècle : ce qui fonde l'image, c'est l'irreprésentable, absence ou horreur. Lacan a formulé ça pour la psychanalyse : le secret de l'image c'est la castration. Cette vérité a eu un nom dans le siècle : les chambres à gaz. L'art a pris en charge cette vérité.[résumé d'éditeur] Note de contenu : "Ce sur quoi je veux insister, c’est que la question de l’irreprésentable n’emporte absolument pas une pensée sur la fin de la représentation. Si on parle des chambres à gaz et d’extermination irreprésentables, cela veut dire que nulle image, nul récit ne seraient à sa mesure parce que le réel est en excès sur tout dire et tout visible. Mais si, dans la Shoah, rien n’a eu lieu que « l’horreur du rien » (Lacoue-Labarthe), il ne s’ensuit pas l’anéantissement de la représentation, que toute représentation, quelle que soit la manière de l’entendre, serait périmée. L’absence, le manque ou la disparition – pour reprendre le titre du roman de Perec, à qui toutes ces questions étaient tout sauf étrangères – ne se soustraient pas à la logique de la représentation. La représentation retrouve son sens premier : non pas une reproduction, elle-même soumise aux limites d’un « point de vue », mais un geste qui fait venir à la présence, une présentation. Ce que je peux ajouter, c’est que l’objet dont je parle, comme positivation du manque, c’est celui-là même que la psychanalyse définit comme objet.
31Cependant, en ce qui concerne ce qu’on nomme l’objet, tout cela relance la réflexion sur le visible et la vérité des images parce que, comme le souligne Rancière, pour Godard, l’image est empreinte de la présence. En quoi on retrouve ici l’idée que l’image est retendue par quelque chose. Mais traiter l’image comme empreinte de la présence, l’idée que ce sont les « icônes de la présence » que le cinéma « projette » (Rancière), si cela s’oppose à la fiction illusionniste, c’est par une voie que je tiens donc pour religieuse. C’est-à-dire qu’il y en a une autre qui est, en un sens, la voie moderne comme telle, soit ce que Rancière appelle « l’illusionnisme revendiqué » et qui consiste dans une « célébration purement humaine de l’artifice », soit un artifice montré comme artifice. Ce serait l’idée mallarméenne d’une fiction déliée du symbole, de la ressemblance et de l’incarnation, déliée donc en ce sens de toute religiosité.
32L’art du xxe siècle, je le désignerais comme un art anti-transposition, ce dont on peut garder les initiales : un art at. L’art du xxe siècle serait un art qui montrerait non plus l’empreinte de la présence, mais l’empreinte de l’absence, qui montrerait l’absence de l’au-delà – ce qui ne revient pas au même que l’absence d’au-delà, que la platitude du plan, mais qui donne l’absence comme vérité et cause positives de la représentation."En ligne : https://www.cairn.info/revue-savoirs-et-cliniques-2003-2-page-57.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=270979 331 - décembre 2020 - Pour un accueil inconditionnel de tous les enfants ! (Bulletin de Camaraderie)
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[n° ou bulletin]
Titre : 331 - décembre 2020 - Pour un accueil inconditionnel de tous les enfants ! Type de document : texte imprimé Année de publication : 2020 Importance : 24 p. Format : Langues : Français (fre) Mots-clés : accueil loisirs adaptés enfants besoins particuliers handicap inclusion inclusif inclusivité handicaps invisibles invisible pédagogie bienveillance animateur non-voyant Enfants handicapés -- Éducation -- Enseignement, Education / Vie scolaire et étudiante / Périscolaire (centres aérés, colonies…) Services en établissements et services connexes Loisirs -- Intégration sociale -- France handicapé, accès à l'éducation, intégration scolaire, intégration sociale Enfants handicapés -- Loisirs ACM accueils collectifs de mineurs Résumé : L
a loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des
personnes handicapées du 11 février 2005 qui a aujourd’hui 15 ans, intègre plusieurs
mesures qui concernent l’action éducative auprès des enfants en situation de handicap.
Les pouvoirs publics se sont depuis emparé de ces mesures et le ministère de l’Éducation
nationale, de la Jeunesse et des Sports, la Caisse nationale des allocations familiales, comme
le Défenseur des droits agissent aujourd’hui avec leurs partenaires pour rendre les structures
éducatives plus inclusives pour tous et toutes.
Les Francas, qui agissent depuis plus de 45 ans en faveur des loisirs pour tous les enfants
et adolescent·es, sont porteurs d’une vingtaine de pôles d’appui et de ressources handicap
territoriaux et animent à l’échelle nationale un Centre de ressources handicap et action
éducative locale.
Au-delà de l’obligation légale de l’accueil, ils promeuvent le droit aux loisirs pour tous
les enfants et portent la nécessité d’un accueil des enfants en situation de handicap au sein
des structures de loisirs de droit commun. Ils favorisent pour cela les conditions qui permettent
à tous les organisateurs de centres de loisirs éducatifs d’accueillir, grâce à des partenariats
territoriaux notamment avec les structures spécialisées et à la formation des animateurs et
animatrices. Cet accueil dans des espaces éducatifs ouverts à tous et toutes permet, pour les
enfants comme pour les animateurs et animatrices, de contribuer à la découverte de l’autre,
de changer de regard sur les handicaps. Un enfant en situation de handicap est avant tout
un enfant.
La rédactionNote de contenu : Sommaire :
3 QUESTIONS DE PRINCIPE Mathieu Delos & Alexia Ribes
Pour que chaque enfant trouve sa place
4 INITIATIVES / DES ACCUEILS ACCUEILLANTS
Une salle des émotions pour le bien-être de tous et toutes
Christian Theillout, animateur non-voyant
Faciliter l’inclusion
6 MON ENGAGEMENT ! Gaby Clouet
« Accueillir tout le monde n’est pas une affaire de spécialiste »
7 AGIR : MODE D’EMPLOI
Utiliser le chevalet handicap avec les enfants d’âge primaire.
l’Amicale laïque de Couëron a fait le test !
8 FORMATION
Vers des accueils plus inclusifs :
un BAFA bilingue français – langue des signes française
9 DOSSIER
Pour un accueil inconditionnel de tous les enfants !
17 ACTION E-DUCATIVE
Mieux connaître les handicaps : des ressources à foison
18 L’ENFANCE ICI ET AILLEURS
Un forum départemental du Droit à la différence !
Fais-moi signe, une journée de rencontre pour mieux se connaître
20 CITOYENS DU MONDE
Haïti : « Les enfants en situation de handicap vivent
dans des conditions très vulnérables »
21 TOUR D’EUROPE
Pour une participation numérique de tous et toutes
22 ON EN PARLE
23 FRANCAGENDA
24 PORTRAIT Jawhara Aouf « Il est important d’expliquer aux enfants
que certains handicaps ne se voient pas »En ligne : https://www.francas-calvados.fr/wp-content/uploads/2021/02/camaraderie_331_web-1 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=62043 [n° ou bulletin] 331 - décembre 2020 - Pour un accueil inconditionnel de tous les enfants ! [texte imprimé] . - 2020 . - 24 p. ; PDF.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : accueil loisirs adaptés enfants besoins particuliers handicap inclusion inclusif inclusivité handicaps invisibles invisible pédagogie bienveillance animateur non-voyant Enfants handicapés -- Éducation -- Enseignement, Education / Vie scolaire et étudiante / Périscolaire (centres aérés, colonies…) Services en établissements et services connexes Loisirs -- Intégration sociale -- France handicapé, accès à l'éducation, intégration scolaire, intégration sociale Enfants handicapés -- Loisirs ACM accueils collectifs de mineurs Résumé : L
a loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des
personnes handicapées du 11 février 2005 qui a aujourd’hui 15 ans, intègre plusieurs
mesures qui concernent l’action éducative auprès des enfants en situation de handicap.
Les pouvoirs publics se sont depuis emparé de ces mesures et le ministère de l’Éducation
nationale, de la Jeunesse et des Sports, la Caisse nationale des allocations familiales, comme
le Défenseur des droits agissent aujourd’hui avec leurs partenaires pour rendre les structures
éducatives plus inclusives pour tous et toutes.
Les Francas, qui agissent depuis plus de 45 ans en faveur des loisirs pour tous les enfants
et adolescent·es, sont porteurs d’une vingtaine de pôles d’appui et de ressources handicap
territoriaux et animent à l’échelle nationale un Centre de ressources handicap et action
éducative locale.
Au-delà de l’obligation légale de l’accueil, ils promeuvent le droit aux loisirs pour tous
les enfants et portent la nécessité d’un accueil des enfants en situation de handicap au sein
des structures de loisirs de droit commun. Ils favorisent pour cela les conditions qui permettent
à tous les organisateurs de centres de loisirs éducatifs d’accueillir, grâce à des partenariats
territoriaux notamment avec les structures spécialisées et à la formation des animateurs et
animatrices. Cet accueil dans des espaces éducatifs ouverts à tous et toutes permet, pour les
enfants comme pour les animateurs et animatrices, de contribuer à la découverte de l’autre,
de changer de regard sur les handicaps. Un enfant en situation de handicap est avant tout
un enfant.
La rédactionNote de contenu : Sommaire :
3 QUESTIONS DE PRINCIPE Mathieu Delos & Alexia Ribes
Pour que chaque enfant trouve sa place
4 INITIATIVES / DES ACCUEILS ACCUEILLANTS
Une salle des émotions pour le bien-être de tous et toutes
Christian Theillout, animateur non-voyant
Faciliter l’inclusion
6 MON ENGAGEMENT ! Gaby Clouet
« Accueillir tout le monde n’est pas une affaire de spécialiste »
7 AGIR : MODE D’EMPLOI
Utiliser le chevalet handicap avec les enfants d’âge primaire.
l’Amicale laïque de Couëron a fait le test !
8 FORMATION
Vers des accueils plus inclusifs :
un BAFA bilingue français – langue des signes française
9 DOSSIER
Pour un accueil inconditionnel de tous les enfants !
17 ACTION E-DUCATIVE
Mieux connaître les handicaps : des ressources à foison
18 L’ENFANCE ICI ET AILLEURS
Un forum départemental du Droit à la différence !
Fais-moi signe, une journée de rencontre pour mieux se connaître
20 CITOYENS DU MONDE
Haïti : « Les enfants en situation de handicap vivent
dans des conditions très vulnérables »
21 TOUR D’EUROPE
Pour une participation numérique de tous et toutes
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que certains handicaps ne se voient pas »En ligne : https://www.francas-calvados.fr/wp-content/uploads/2021/02/camaraderie_331_web-1 [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=bulletin_display&id=62043 Exemplaires
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L'invisibilité sociale : une responsabilité collective : Rapport 2016 de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale / ONPES, Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale
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Titre : L'invisibilité sociale : une responsabilité collective : Rapport 2016 de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale Type de document : document électronique Auteurs : ONPES, Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale , Collectivité éditrice
Mention d'édition : Juin 2016 Editeur : Paris 07 SP : ONPES, Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale Année de publication : 2016 Importance : 176 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : EXCLUSION DEFINITION REVUE DE LA LITTERATURE TRAVAILLEUR SOCIAL AUDIOVISUEL STATISTIQUE SOCIALE ACTION SOCIALE MILIEU RURAL TRAVAILLEUR PAUVRE RAPPORT FRANCE invisible invisibles invisibilité sociale,social rural campagnes Pauvreté Exclusion sociale Résumé : Dans le prolongement de ses travaux antérieurs, l'ONPES se penche, dans son rapport 2016, sur l'invisibilité sociale, avec l'objectif d'alimenter la réflexion autour de la compréhension des mécanismes participant à la construction et la perception des situations d'exclusion sociale. Le rapport propose tout d'abord une revue de la littérature (« De l'invisibilité sociale à l'invisibilité sociétale ») pour clarifier la notion d'invisibilité sociale. Il s'interroge ensuite sur les processus qui conduisent à l'invisibilité sociale des personnes et des populations, et plus particulièrement aux rôles respectifs des médias, des travailleurs sociaux, des décideurs politiques, de la statistique et des politiques sociales dans ce domaine. Une série d'études consacrées à trois groupes spécifiques de population (jeunes ruraux et néoruraux, travailleurs non salariés pauvres, parents des enfants suivis par l'Aide sociale à l'enfance - ASE) décrit la réalité de l'invisibilité sociale du point de vue de ceux qui en souffrent. Enfin, le rapport propose une ultime réflexion sur la notion d'invisibilité sociale en établissant un lien avec la question de l'identité. Il formule une série de recommandations pour l'action publique se fondant sur une « éthique de la sollicitude ». (Documentation française) En ligne : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/164000366-l-invisibilite [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=221852 L'invisibilité sociale : une responsabilité collective : Rapport 2016 de l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale [document électronique] / ONPES, Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale, Collectivité éditrice . - Juin 2016 . - Paris 07 SP : ONPES, Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale, 2016 . - 176 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : EXCLUSION DEFINITION REVUE DE LA LITTERATURE TRAVAILLEUR SOCIAL AUDIOVISUEL STATISTIQUE SOCIALE ACTION SOCIALE MILIEU RURAL TRAVAILLEUR PAUVRE RAPPORT FRANCE invisible invisibles invisibilité sociale,social rural campagnes Pauvreté Exclusion sociale Résumé : Dans le prolongement de ses travaux antérieurs, l'ONPES se penche, dans son rapport 2016, sur l'invisibilité sociale, avec l'objectif d'alimenter la réflexion autour de la compréhension des mécanismes participant à la construction et la perception des situations d'exclusion sociale. Le rapport propose tout d'abord une revue de la littérature (« De l'invisibilité sociale à l'invisibilité sociétale ») pour clarifier la notion d'invisibilité sociale. Il s'interroge ensuite sur les processus qui conduisent à l'invisibilité sociale des personnes et des populations, et plus particulièrement aux rôles respectifs des médias, des travailleurs sociaux, des décideurs politiques, de la statistique et des politiques sociales dans ce domaine. Une série d'études consacrées à trois groupes spécifiques de population (jeunes ruraux et néoruraux, travailleurs non salariés pauvres, parents des enfants suivis par l'Aide sociale à l'enfance - ASE) décrit la réalité de l'invisibilité sociale du point de vue de ceux qui en souffrent. Enfin, le rapport propose une ultime réflexion sur la notion d'invisibilité sociale en établissant un lien avec la question de l'identité. Il formule une série de recommandations pour l'action publique se fondant sur une « éthique de la sollicitude ». (Documentation française) En ligne : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/164000366-l-invisibilite [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=221852 Exemplaires
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PermalinkEnfantillages outillés : un atelier sur la machine : avec quarante enfants de 4 à 10 ans, élèves dans trois écoles primaires de la vallée de la Dordogne / Fanny Béguery
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