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Maximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties in Science & sports / ScienceDirect, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Maximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties Titre original : Lipoxmax ou oxydation maximale des lipides lors de l’exercice : des mesures physiologiques aux applications cliniques. Réalités et incertitudes Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/04/2011 Article en page(s) : pp.27-71 Langues : Français (fre) Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Pathologie:Maladie:Maladie de la nutrition:Obésité Mots-clés : diabète calorimétrie oxydation des lipides lipoxmax fatmax exercice entraînement Résumé : On peut déterminer une intensité d’exercice pour laquelle l’oxydation des lipides est maximale, dénommée Lipoxmax, Fatoxmax ou Fatmax. La mesure du Lipoxmax par calorimétrie d’effort est reproductible, mais ce paramètre est modifié par plusieurs des situations physiologiques (entraînement physique, exercice ou repas réalisé dans les heures précédentes). Sa mesure prédit le débit d’oxydation lipidique à plateau d’un exercice modéré à puissance constante de 45 à 60 minutes réalisé à l’intensité correspondante. Il pourrait être un marqueur de « bonne forme métabolique » et reflète la respiration mitochondriale. Le Lipoxmax est influencé par les catécholamines, l’hormone de croissance et l’IGF-I. Ses variations sont liées aux modifications du niveau de la citrate synthase musculaire et à la capacité des mitochondries à oxyder les acides gras. Une méta-analyse montre qu’un entraînement à ce niveau est efficace pour réduire la masse grasse, épargner la masse maigre, augmenter la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice, réduire la glycémie et l’HbA1c dans le diabète de type 2, et diminuer le cholestérol circulant. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125023
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.27-71[article] Maximal lipid oxidation during exercise (Lipoxmax): From physiological measurements to clinical applications. Facts and uncertainties = Lipoxmax ou oxydation maximale des lipides lors de l’exercice : des mesures physiologiques aux applications cliniques. Réalités et incertitudes [texte imprimé] . - 01/04/2011 . - pp.27-71.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.27-71
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES:Pathologie:Pathologie:Maladie:Maladie de la nutrition:Obésité Mots-clés : diabète calorimétrie oxydation des lipides lipoxmax fatmax exercice entraînement Résumé : On peut déterminer une intensité d’exercice pour laquelle l’oxydation des lipides est maximale, dénommée Lipoxmax, Fatoxmax ou Fatmax. La mesure du Lipoxmax par calorimétrie d’effort est reproductible, mais ce paramètre est modifié par plusieurs des situations physiologiques (entraînement physique, exercice ou repas réalisé dans les heures précédentes). Sa mesure prédit le débit d’oxydation lipidique à plateau d’un exercice modéré à puissance constante de 45 à 60 minutes réalisé à l’intensité correspondante. Il pourrait être un marqueur de « bonne forme métabolique » et reflète la respiration mitochondriale. Le Lipoxmax est influencé par les catécholamines, l’hormone de croissance et l’IGF-I. Ses variations sont liées aux modifications du niveau de la citrate synthase musculaire et à la capacité des mitochondries à oxyder les acides gras. Une méta-analyse montre qu’un entraînement à ce niveau est efficace pour réduire la masse grasse, épargner la masse maigre, augmenter la capacité à oxyder les lipides pendant l’exercice, réduire la glycémie et l’HbA1c dans le diabète de type 2, et diminuer le cholestérol circulant. Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125023 Comparaison de deux modalités différentes d’activité physique (SWEET et Lipoxmax) chez des diabétiques de type 2 in Science & sports / ScienceDirect, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
[article]
Titre : Comparaison de deux modalités différentes d’activité physique (SWEET et Lipoxmax) chez des diabétiques de type 2 Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/04/2011 Article en page(s) : pp.92-96 Langues : Français (fre) Mots-clés : exercice résistance endurance diabète LIPOXmax HbA1c Résumé : Contexte et objectifs
Les exercices de forte et de faible intensité ont tous deux montré un intérêt dans la prise en charge du diabète de type 2 (DT2). Leurs effets sont a priori différents et complémentaires. Nous avons voulu comparer un protocole d’entraînement en endurance ciblé au niveau d’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) et un protocole classique combinant résistance et endurance (Square-Wave Endurance Exercise Test [SWEET]).
Patients et méthodes
Soixante-trois DT2 (âge 52,6 + 1,5 ans ; IMC 32,7 + 0,7) ont été divisés en trois groupes appariés pour l’âge, l’IMC et l’HbA1c, et ont été comparés sur une période de trois mois, sans intervention nutritionnelle : 39 ont été entraînés au LIPOXmax déterminé par calorimétrie d’effort, 12 ont été entraînés par SWEET, et 12 patients non entraînés ont servi de témoins.
Résultats
Après trois mois, les deux méthodes d’entraînement ont augmenté l’aptitude aérobie (VO2max) (SWEET +42 + 16,4 %, p = 0,027 vs LIPOXmax +14 + 4,09 % p = 0,011). L’effet du SWEET sur VO2max était plus marqué que celui de l’entraînement au LIPOXmax (p = 0,0016). Le SWEET réduit la pression artérielle systolique de repos (–12,08 + 5,17 mmHg, p = 0,040) et le cholestérol total (–0,29 + 0,13 mmol/L ; p = 0,049), effets non obervés avec l’entraînement au LIPOXmax. Les deux formes d’entraînement réduisent le poids et l’IMC. L’entraînement au LIPOXmax améliore la capacité à oxyder les lipides (débit maximum d’oxydation des lipides 53 + 13,53 mg/min, p = 0,0005) et décale son maximum vers une puissance plus élevée (+20,9 + 4,29 watts, p = 0,00002), diminue la masse grasse (–1 + 0,37 %, p = 0,012), augmente la masse maigre (+1 + 0,37 % p = 0,012), diminue le tour de taille (–3,76 + 0,99 cm p = 0,0007) et de hanche (–2,18 + 0,78 cm p = 0,009) tandis que le SWEET n’affecte pas significativement ces paramètres. Au cours de cette courte période, les effets de l’entraînement sur l’HbA1c ont été significatifs dans le groupe LIPOXmax (–0,15 + 0,07 % p = 0,044) mais pas dans le groupe SWEET.
Conclusion
Cette étude montre que l’entraînement SWEET améliore l’aptitude aérobie, la pression artérielle et le profil lipidique, alors que l’entraînement en endurance à faible intensité au LIPOXmax améliore la capacité d’oxyder les lipides à l’exercice, augmente la masse maigre, diminue la masse grasse et diminue l’HbA1c. Les avantages de ces deux types d’entraînement sont donc assez différents et tous deux sont sans doute intéressants à combiner dans la prise en charge du DT2.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=124931
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.92-96[article] Comparaison de deux modalités différentes d’activité physique (SWEET et Lipoxmax) chez des diabétiques de type 2 [texte imprimé] . - 01/04/2011 . - pp.92-96.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 26 numéro 2 (01/04/2011) . - pp.92-96
Mots-clés : exercice résistance endurance diabète LIPOXmax HbA1c Résumé : Contexte et objectifs
Les exercices de forte et de faible intensité ont tous deux montré un intérêt dans la prise en charge du diabète de type 2 (DT2). Leurs effets sont a priori différents et complémentaires. Nous avons voulu comparer un protocole d’entraînement en endurance ciblé au niveau d’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) et un protocole classique combinant résistance et endurance (Square-Wave Endurance Exercise Test [SWEET]).
Patients et méthodes
Soixante-trois DT2 (âge 52,6 + 1,5 ans ; IMC 32,7 + 0,7) ont été divisés en trois groupes appariés pour l’âge, l’IMC et l’HbA1c, et ont été comparés sur une période de trois mois, sans intervention nutritionnelle : 39 ont été entraînés au LIPOXmax déterminé par calorimétrie d’effort, 12 ont été entraînés par SWEET, et 12 patients non entraînés ont servi de témoins.
Résultats
Après trois mois, les deux méthodes d’entraînement ont augmenté l’aptitude aérobie (VO2max) (SWEET +42 + 16,4 %, p = 0,027 vs LIPOXmax +14 + 4,09 % p = 0,011). L’effet du SWEET sur VO2max était plus marqué que celui de l’entraînement au LIPOXmax (p = 0,0016). Le SWEET réduit la pression artérielle systolique de repos (–12,08 + 5,17 mmHg, p = 0,040) et le cholestérol total (–0,29 + 0,13 mmol/L ; p = 0,049), effets non obervés avec l’entraînement au LIPOXmax. Les deux formes d’entraînement réduisent le poids et l’IMC. L’entraînement au LIPOXmax améliore la capacité à oxyder les lipides (débit maximum d’oxydation des lipides 53 + 13,53 mg/min, p = 0,0005) et décale son maximum vers une puissance plus élevée (+20,9 + 4,29 watts, p = 0,00002), diminue la masse grasse (–1 + 0,37 %, p = 0,012), augmente la masse maigre (+1 + 0,37 % p = 0,012), diminue le tour de taille (–3,76 + 0,99 cm p = 0,0007) et de hanche (–2,18 + 0,78 cm p = 0,009) tandis que le SWEET n’affecte pas significativement ces paramètres. Au cours de cette courte période, les effets de l’entraînement sur l’HbA1c ont été significatifs dans le groupe LIPOXmax (–0,15 + 0,07 % p = 0,044) mais pas dans le groupe SWEET.
Conclusion
Cette étude montre que l’entraînement SWEET améliore l’aptitude aérobie, la pression artérielle et le profil lipidique, alors que l’entraînement en endurance à faible intensité au LIPOXmax améliore la capacité d’oxyder les lipides à l’exercice, augmente la masse maigre, diminue la masse grasse et diminue l’HbA1c. Les avantages de ces deux types d’entraînement sont donc assez différents et tous deux sont sans doute intéressants à combiner dans la prise en charge du DT2.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=124931 Contrairement à une idée reçue, les femmes n’oxydent pas plus de lipides à l’effort que les hommes, mais leur Lipoxmax survient à une puissance plus élevée in Science & sports / ScienceDirect, Volume 24 numéro 1 (01/02/2009)
[article]
Titre : Contrairement à une idée reçue, les femmes n’oxydent pas plus de lipides à l’effort que les hommes, mais leur Lipoxmax survient à une puissance plus élevée Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/02/2009 Article en page(s) : pp.45-48 Langues : Français (fre) Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Répartition par sexe:Sexe:Femme Mots-clés : exercice calorimétrie lipides lipoxmax Résumé : Objectifs
Plusieurs travaux ayant montré que les femmes, lors d’un exercice prolongé à un pourcentage donné de leur capacité aérobie, oxydent davantage de lipides que les hommes, épargnant ainsi leur capital protéique et leur glycogène, nous avons voulu caractériser ces différences en termes de niveau de transition d’oxydation des substrats et de débit maximal d’oxydation des lipides (DMOL) à l’effort.
Matériels et méthodes
Trois groupes (61 sportifs de 25 ans, 196 sédentaires de 35 ans et 47 diabétiques de type 2 [DT2] de 55 ans) au sein desquels hommes et femmes étaient appariés pour l’âge, IMC et activité physique, ont réalisé un test d’effort sous-maximal comportant quatre paliers de six minutes avec mesure des débits d’oxydation lipidique et glucidique par calorimétrie. Dans les trois groupes les DMOL sont les mêmes dans les deux sexes (de 2 à 3 mg/min par kilogramme), mais chez sportifs et sédentaires, les femmes ont une courbe d’oxydation des lipides décalée vers la droite, le PCX de l’utilisation des substrats (la puissance pour laquelle l’énergie provient majoritairement des glucides) survenant à un pourcentage de VO2max plus élevé de 10–15 % (p < 0,01). Dans le groupe de DT2, ce décalage n’est plus significatif. Le point d’oxydation lipidique maximale (Lipoxmax) survient lui aussi à un pourcentage de VO2max plus élevé (sportives : 44,27 + 15,97 % de VO2max théorique contre 31,25 + 15,66 % chez les hommes p < 0,001 ; sédentaires : 50,29 + 18,66 % chez les femmes contre 36,75 + 15,22 % chez les hommes p < 0,01 ; dans le DT2 ces niveaux (42,8 + 2,4 contre 39,8 + 3,7 %) ne sont pas significativement différents. Ces différences entre les deux sexes sont donc retrouvées sur des échantillons soigneusement appariés, mais ne constituent pas une différence marquée. Elles s’expliquent par un décalage vers la droite (10 à 15 %) de la courbe d’oxydation des lipides en fonction de la VO2max, mais les débits d’oxydation au Lipoxmax ne diffèrent pas entre les sexes.
Conclusion
En d’autres termes, les femmes n’oxydent pas davantage de lipides à l’effort, mais leur aptitude à les oxyder culmine à un pourcentage plus élevé de leur VO2max. Ce décalage semble s’estomper dans le DT2.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125140
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 24 numéro 1 (01/02/2009) . - pp.45-48[article] Contrairement à une idée reçue, les femmes n’oxydent pas plus de lipides à l’effort que les hommes, mais leur Lipoxmax survient à une puissance plus élevée [texte imprimé] . - 01/02/2009 . - pp.45-48.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 24 numéro 1 (01/02/2009) . - pp.45-48
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:D SOCIOLOGIE - ETHNOLOGIE - ANTHROPOLOGIE :4.35 Population:Répartition par sexe:Sexe:Femme Mots-clés : exercice calorimétrie lipides lipoxmax Résumé : Objectifs
Plusieurs travaux ayant montré que les femmes, lors d’un exercice prolongé à un pourcentage donné de leur capacité aérobie, oxydent davantage de lipides que les hommes, épargnant ainsi leur capital protéique et leur glycogène, nous avons voulu caractériser ces différences en termes de niveau de transition d’oxydation des substrats et de débit maximal d’oxydation des lipides (DMOL) à l’effort.
Matériels et méthodes
Trois groupes (61 sportifs de 25 ans, 196 sédentaires de 35 ans et 47 diabétiques de type 2 [DT2] de 55 ans) au sein desquels hommes et femmes étaient appariés pour l’âge, IMC et activité physique, ont réalisé un test d’effort sous-maximal comportant quatre paliers de six minutes avec mesure des débits d’oxydation lipidique et glucidique par calorimétrie. Dans les trois groupes les DMOL sont les mêmes dans les deux sexes (de 2 à 3 mg/min par kilogramme), mais chez sportifs et sédentaires, les femmes ont une courbe d’oxydation des lipides décalée vers la droite, le PCX de l’utilisation des substrats (la puissance pour laquelle l’énergie provient majoritairement des glucides) survenant à un pourcentage de VO2max plus élevé de 10–15 % (p < 0,01). Dans le groupe de DT2, ce décalage n’est plus significatif. Le point d’oxydation lipidique maximale (Lipoxmax) survient lui aussi à un pourcentage de VO2max plus élevé (sportives : 44,27 + 15,97 % de VO2max théorique contre 31,25 + 15,66 % chez les hommes p < 0,001 ; sédentaires : 50,29 + 18,66 % chez les femmes contre 36,75 + 15,22 % chez les hommes p < 0,01 ; dans le DT2 ces niveaux (42,8 + 2,4 contre 39,8 + 3,7 %) ne sont pas significativement différents. Ces différences entre les deux sexes sont donc retrouvées sur des échantillons soigneusement appariés, mais ne constituent pas une différence marquée. Elles s’expliquent par un décalage vers la droite (10 à 15 %) de la courbe d’oxydation des lipides en fonction de la VO2max, mais les débits d’oxydation au Lipoxmax ne diffèrent pas entre les sexes.
Conclusion
En d’autres termes, les femmes n’oxydent pas davantage de lipides à l’effort, mais leur aptitude à les oxyder culmine à un pourcentage plus élevé de leur VO2max. Ce décalage semble s’estomper dans le DT2.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125140 Les effets d’un réentraînement de 45 minutes au LIPOXmax sur le comportement alimentaire de patients obèses sont analogues le matin et l’après-midi / M. Pollatz in Science & sports / ScienceDirect, Volume 29 numéro 2 (Avril 2014)
[article]
Titre : Les effets d’un réentraînement de 45 minutes au LIPOXmax sur le comportement alimentaire de patients obèses sont analogues le matin et l’après-midi Titre original : The effects on eating behavior of 45 minutes exercise training at the LIPOXmax in obese patients are similar in the morning and the afternoon Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Pollatz, Auteur ; A.-J. Romain, Auteur ; M. Guiraudou, Auteur Année de publication : Avril 2014 Article en page(s) : p.57-61 Langues : Français (fre) Mots-clés : Exercice LIPOXmax Chronobiologie Oxydation des lipides Appétit Satiété Résumé : Introduction
L’activité physique a un double effet sur le comportement alimentaire : un effet satiétogène et un effet orexigène. Ce dernier semble favorisé par la déplétion glycogénique et semble donc s’observer davantage lors des exercices à haute intensité. La sommation de ces différents effets expliquerait pourquoi un même exercice peut déterminer une perte de poids importante ou au contraire une prise de poids. Notre hypothèse est que l’efficacité du réentraînement au LIPOXmax s’expliquerait non seulement par un déficit énergétique et une reprogrammation de l’utilisation des substrats au niveau du muscle, mais aussi en grande partie par une modulation du comportement alimentaire.
Méthodes et résultats
Les effets aigus d’un exercice de 45minutes ciblé au LIPOXmax par calorimétrie d’effort ont été étudiés lors de 62 séances d’induction de réentraînement au LIPOXmax réalisés chez des obèses (âge 22–77ans, moyenne 51,46+3,46). Le comportement alimentaire a été testé avec l’échelle de Hill. Ce questionnaire montre que les effets de l’exercice réalisé au LIPOXmax sont de type anorexigène : au cours d’une séance, l’envie de manger reportée sur l’échelle analogique-numérique a diminué, que la séance soit réalisée le matin (–2,82+1,22) ou l’après-midi (–3,05+0,42).
Conclusion
L’horaire matinal ou vespéral de la séance ne modifie donc pas l’influence de ce type d’exercice sur le comportement alimentaire de sujets obèses : la tendance générale de cet effet, comme le montre une autre de nos études réalisée sur 12 semaines, est bien de réduire l’appétit et la prise alimentaire.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125582
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 29 numéro 2 (Avril 2014) . - p.57-61[article] Les effets d’un réentraînement de 45 minutes au LIPOXmax sur le comportement alimentaire de patients obèses sont analogues le matin et l’après-midi = The effects on eating behavior of 45 minutes exercise training at the LIPOXmax in obese patients are similar in the morning and the afternoon [texte imprimé] / M. Pollatz, Auteur ; A.-J. Romain, Auteur ; M. Guiraudou, Auteur . - Avril 2014 . - p.57-61.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 29 numéro 2 (Avril 2014) . - p.57-61
Mots-clés : Exercice LIPOXmax Chronobiologie Oxydation des lipides Appétit Satiété Résumé : Introduction
L’activité physique a un double effet sur le comportement alimentaire : un effet satiétogène et un effet orexigène. Ce dernier semble favorisé par la déplétion glycogénique et semble donc s’observer davantage lors des exercices à haute intensité. La sommation de ces différents effets expliquerait pourquoi un même exercice peut déterminer une perte de poids importante ou au contraire une prise de poids. Notre hypothèse est que l’efficacité du réentraînement au LIPOXmax s’expliquerait non seulement par un déficit énergétique et une reprogrammation de l’utilisation des substrats au niveau du muscle, mais aussi en grande partie par une modulation du comportement alimentaire.
Méthodes et résultats
Les effets aigus d’un exercice de 45minutes ciblé au LIPOXmax par calorimétrie d’effort ont été étudiés lors de 62 séances d’induction de réentraînement au LIPOXmax réalisés chez des obèses (âge 22–77ans, moyenne 51,46+3,46). Le comportement alimentaire a été testé avec l’échelle de Hill. Ce questionnaire montre que les effets de l’exercice réalisé au LIPOXmax sont de type anorexigène : au cours d’une séance, l’envie de manger reportée sur l’échelle analogique-numérique a diminué, que la séance soit réalisée le matin (–2,82+1,22) ou l’après-midi (–3,05+0,42).
Conclusion
L’horaire matinal ou vespéral de la séance ne modifie donc pas l’influence de ce type d’exercice sur le comportement alimentaire de sujets obèses : la tendance générale de cet effet, comme le montre une autre de nos études réalisée sur 12 semaines, est bien de réduire l’appétit et la prise alimentaire.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125582 Effets d’un réentraînement en endurance au LIPOXmax chez des patients psychiatriques traités par psychotropes in Science & sports / ScienceDirect, Volume 24 numéro 5 (01/11/2009)
[article]
Titre : Effets d’un réentraînement en endurance au LIPOXmax chez des patients psychiatriques traités par psychotropes Type de document : texte imprimé Année de publication : 01/11/2009 Article en page(s) : pp.265-268 Langues : Français (fre) Mots-clés : Calorimétrie d’effort Oxydation des lipides LIPOXmax Neuroleptiques Résumé : Introduction
Beaucoup de traitements psychotropes interfèrent avec la régulation pondérale et occasionnent une prise de poids. Nous avons voulu étudier l’effet d’un réentraînement en endurance ciblée au point d’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) chez ces patients pour déterminer si celui-ci présente un intérêt dans la prévention de cette prise de poids.
Sujets et méthodes
Quatorze patients recevant un traitement psychotrope lourd, comprenant des neuroleptiques, ont réalisé une calorimétrie d’effort accompagnée d’une impédancemétrie, d’un bilan nutritionnel et d’un questionnaire d’activité physique Voorips. Les patients ont été réentraînés au LIPOXmax et réévalués après trois mois.
Résultats
Chez neuf sujets, la VO2max a augmenté ou s’est maintenue (23,37 + 3,36 à 30,63 + 5,16) et chez cinq sujets, celle-ci a diminué (36,03 + 5,25 à 29,94 + 4,45). Chez les neuf sujets dont le réentraînement a amélioré la VO2max, on note une perte de poids (83,57 kg à 80,67 kg ; p < 0,05), une réduction du tour de hanches (109,75 + 6,50 cm à 106,45 + 6,19 cm) parallèlement à une tendance non significative à l’amélioration de la balance des substrats à l’exercice. En revanche, chez les sujets dont la VO2max a diminué, on observe une augmentation de 5 kg de la masse grasse (23,82 + 1,06 kg à 28,8 + 1,31 kg ; p < 0,02).
Discussion
Ce travail suggère qu’un réentraînement en endurance au LIPOXmax peut être efficace dans la prévention d’une prise de poids sous traitement psychotrope à condition qu’il s’accompagne d’une amélioration ergométrique traduisant sa bonne mise en œuvre et son efficacité. Les effets d’un entraînement plus intense et plus prolongé restent à définir de même que les modifications de la balance des substrats qui restent non significatives sur cet échantillon réduit, étudié sur une durée de temps limitée.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125187
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 24 numéro 5 (01/11/2009) . - pp.265-268[article] Effets d’un réentraînement en endurance au LIPOXmax chez des patients psychiatriques traités par psychotropes [texte imprimé] . - 01/11/2009 . - pp.265-268.
Langues : Français (fre)
in Science & sports / ScienceDirect > Volume 24 numéro 5 (01/11/2009) . - pp.265-268
Mots-clés : Calorimétrie d’effort Oxydation des lipides LIPOXmax Neuroleptiques Résumé : Introduction
Beaucoup de traitements psychotropes interfèrent avec la régulation pondérale et occasionnent une prise de poids. Nous avons voulu étudier l’effet d’un réentraînement en endurance ciblée au point d’oxydation maximale des lipides (LIPOXmax) chez ces patients pour déterminer si celui-ci présente un intérêt dans la prévention de cette prise de poids.
Sujets et méthodes
Quatorze patients recevant un traitement psychotrope lourd, comprenant des neuroleptiques, ont réalisé une calorimétrie d’effort accompagnée d’une impédancemétrie, d’un bilan nutritionnel et d’un questionnaire d’activité physique Voorips. Les patients ont été réentraînés au LIPOXmax et réévalués après trois mois.
Résultats
Chez neuf sujets, la VO2max a augmenté ou s’est maintenue (23,37 + 3,36 à 30,63 + 5,16) et chez cinq sujets, celle-ci a diminué (36,03 + 5,25 à 29,94 + 4,45). Chez les neuf sujets dont le réentraînement a amélioré la VO2max, on note une perte de poids (83,57 kg à 80,67 kg ; p < 0,05), une réduction du tour de hanches (109,75 + 6,50 cm à 106,45 + 6,19 cm) parallèlement à une tendance non significative à l’amélioration de la balance des substrats à l’exercice. En revanche, chez les sujets dont la VO2max a diminué, on observe une augmentation de 5 kg de la masse grasse (23,82 + 1,06 kg à 28,8 + 1,31 kg ; p < 0,02).
Discussion
Ce travail suggère qu’un réentraînement en endurance au LIPOXmax peut être efficace dans la prévention d’une prise de poids sous traitement psychotrope à condition qu’il s’accompagne d’une amélioration ergométrique traduisant sa bonne mise en œuvre et son efficacité. Les effets d’un entraînement plus intense et plus prolongé restent à définir de même que les modifications de la balance des substrats qui restent non significatives sur cet échantillon réduit, étudié sur une durée de temps limitée.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=125187 Quelles sont les limites de normalité du LIPOXmax ? Peut-on le prédire sans effectuer de calorimétrie d’effort ? in Science & sports / ScienceDirect, Volume 26 numéro 3 (01/06/2011)
PermalinkIntérêt de la quantification de la masse musculaire pour interpréter la calorimétrie d’effort in Science & sports / ScienceDirect, Volume 26 numéro 2 (01/04/2011)
PermalinkStability over time of the level of maximal lipid oxidation during exercise / J.-F. Brun in Science & sports / ScienceDirect, Volume 29 numéro 3 (Juin 2014)
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