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Sarcoïdose et tabac / C. Charpentier in Le Courrier des addictions / SUDOC et edimark.fr/courrier-addictions, vol 22 n°1 (Janvier-février-mars 2020)
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[article]
Titre : Sarcoïdose et tabac Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Charpentier, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 28-31 Langues : Français (fre) Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Matériaux et produits:Produit agricole:Produit végétal:Tabac ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Dépendance:Tabagisme Mots-clés : ADDICTION MALADIE AUTO-IMMUNE MALADIE RARE FACTEUR DE PROTECTION SARCOÏDOSE Résumé : La sarcoïdose est une maladie inflammatoire chronique, rare (en France 5/100 000), touchant préférentiellement le thorax (poumon et adénopathies médiastinales et hilaires), pouvant toucher tous les autres organes (peau, œil, cœur, etc.). Elle est caractérisée histologiquement par un granulome épithélioïde gigantocellulaire non caséeux. Son évolution est imprévisible même si souvent elle évolue spontanément favorablement. Son étiologie n'est pas connue. L'hypothèse actuelle repose sur une association de facteurs génétiques et environnementaux. Les plus récentes publications montrent qu'il s'agit probablement d'une maladie auto-immune. Plusieurs études ont montré une moindre incidence de la sarcoïdose chez les fumeurs, en particulier pour les formes les moins graves de la maladie. Plusieurs hypothèses ont été émises?: inflammation liée à la fumée interférant avec l'activation macrophage-lymphocyte qui engendre le granulome, effet anti-inflammatoire protecteur de la nicotine qui inhibe la production des cytokines TNF-alpha, IL-10 et interféron. Cependant d'autres études ne confirment pas ces hypothèses. En conclusion, dans la sarcoïdose, le tabagisme interfère au niveau immunitaire avec d'autres facteurs génétiques et environnementaux et pourrait “protéger” certains fumeurs des formes les moins sévères de la maladie. Cependant, il faut rappeler le rôle particulièrement délétère du tabac sur les poumons. Note de contenu : biblio.; tab.
En ligne : http://www.edimark.fr/courrier-addictions Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=246969
in Le Courrier des addictions / SUDOC et edimark.fr/courrier-addictions > vol 22 n°1 (Janvier-février-mars 2020) . - p. 28-31[article] Sarcoïdose et tabac [texte imprimé] / C. Charpentier, Auteur . - 2020 . - p. 28-31.
Langues : Français (fre)
in Le Courrier des addictions / SUDOC et edimark.fr/courrier-addictions > vol 22 n°1 (Janvier-février-mars 2020) . - p. 28-31
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays:Histoire de l'Europe:Europe occidentale:France ; C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE:Matériaux et produits:Produit agricole:Produit végétal:Tabac ; F POPULATIONS - ETUDES DE CAS:Problèmes sociaux:Problème social:Dépendance:Tabagisme Mots-clés : ADDICTION MALADIE AUTO-IMMUNE MALADIE RARE FACTEUR DE PROTECTION SARCOÏDOSE Résumé : La sarcoïdose est une maladie inflammatoire chronique, rare (en France 5/100 000), touchant préférentiellement le thorax (poumon et adénopathies médiastinales et hilaires), pouvant toucher tous les autres organes (peau, œil, cœur, etc.). Elle est caractérisée histologiquement par un granulome épithélioïde gigantocellulaire non caséeux. Son évolution est imprévisible même si souvent elle évolue spontanément favorablement. Son étiologie n'est pas connue. L'hypothèse actuelle repose sur une association de facteurs génétiques et environnementaux. Les plus récentes publications montrent qu'il s'agit probablement d'une maladie auto-immune. Plusieurs études ont montré une moindre incidence de la sarcoïdose chez les fumeurs, en particulier pour les formes les moins graves de la maladie. Plusieurs hypothèses ont été émises?: inflammation liée à la fumée interférant avec l'activation macrophage-lymphocyte qui engendre le granulome, effet anti-inflammatoire protecteur de la nicotine qui inhibe la production des cytokines TNF-alpha, IL-10 et interféron. Cependant d'autres études ne confirment pas ces hypothèses. En conclusion, dans la sarcoïdose, le tabagisme interfère au niveau immunitaire avec d'autres facteurs génétiques et environnementaux et pourrait “protéger” certains fumeurs des formes les moins sévères de la maladie. Cependant, il faut rappeler le rôle particulièrement délétère du tabac sur les poumons. Note de contenu : biblio.; tab.
En ligne : http://www.edimark.fr/courrier-addictions Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=246969 Tours et détours du système immunitaire / Sonia BERRIH - AKNIN in Le magazine de l'INSERM : La science pour la santé, 34 (Janvier - Février 2017)
[article]
Titre : Tours et détours du système immunitaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Sonia BERRIH - AKNIN, Auteur ; Sylviane MULLER, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp26-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : SYSTEME IMMUNITAIRE SYSTEME LYMPHATIQUE LYMPHOCYTE MALADIE AUTO-IMMUNE Résumé :
Les maladies auto-immunes sont dues à des dysfonctionnements du système immunitaire qui s'attaque à tort à des composants de l'organisme. Certaines lésions qui en découlent n'apparaissent que dans un seul organe ou tissu, comme dans le diabète de type 1 ou la myasthénie. D'autres affectent l'ensemble de l'organisme. C'est le cas du lupus érythémateux systémique.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=172967
in Le magazine de l'INSERM : La science pour la santé > 34 (Janvier - Février 2017) . - pp26-29[article] Tours et détours du système immunitaire [texte imprimé] / Sonia BERRIH - AKNIN, Auteur ; Sylviane MULLER, Auteur . - 2017 . - pp26-29.
Langues : Français (fre)
in Le magazine de l'INSERM : La science pour la santé > 34 (Janvier - Février 2017) . - pp26-29
Mots-clés : SYSTEME IMMUNITAIRE SYSTEME LYMPHATIQUE LYMPHOCYTE MALADIE AUTO-IMMUNE Résumé :
Les maladies auto-immunes sont dues à des dysfonctionnements du système immunitaire qui s'attaque à tort à des composants de l'organisme. Certaines lésions qui en découlent n'apparaissent que dans un seul organe ou tissu, comme dans le diabète de type 1 ou la myasthénie. D'autres affectent l'ensemble de l'organisme. C'est le cas du lupus érythémateux systémique.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=172967 Lupus systémique : quels patients et quelle prise en charge en Centre Hospitalier Général ? / Anne-Lise Lecapitaine in Santé publique / Cairn.info, n° 1 ([01/03/2017])
[article]
Titre : Lupus systémique : quels patients et quelle prise en charge en Centre Hospitalier Général ? Auteurs : Anne-Lise Lecapitaine, Auteur ; Redouane Bakir, Auteur ; et al., Auteur ; Jean-Luc Delassus, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 47-55 Langues : Français (fre) Mots-clés : LUPUS ERYTHEMATEUX EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES MALADIE AUTO-IMMUNE PRISE EN CHARGE Résumé : Objectifs : Le lupus systémique est une maladie nécessitant un suivi régulier. Les études de la littérature concernant principalement les Centres Hospitaliers Universitaires (CHU), nous avons souhaité décrire une population de patients lupiques en Centre Hospitalier Général (CHG), avec les modalités de suivi et de traitement, dans une démarche d’évaluation des pratiques professionnelles.
Méthodes : Nous avons mené une étude descriptive, rétrospective, des patients lupiques suivis entre mars 2013 et mars 2015 au Centre hospitalier intercommunal Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis (France).
Résultats : Les atteintes d’organes présentées par les 39 patients inclus se répartissaient ainsi : 77 % des patients avaient une atteinte articulaire, 67 % cutanée, 44 % hématologique, 26 % des séreuses, 13 % rénale, 13 % neuropsychiatrique, 8 % digestive et 2 % myocardique. Sur le plan thérapeutique, 35 patients ont reçu un traitement de fond par hydroxychloroquine et 12 un immunosuppresseur ou une biothérapie. Les patients ont été vus trois à quatre fois par an en consultation ; 19 patients ont été hospitalisés au moins une fois en hospitalisation traditionnelle, et 27 au moins une fois en hôpital de jour. Un avis auprès d’un confrère en Centre Hospitalier Universitaire (CHU) était demandé pour six patients, avec un transfert de suivi pour une seule patiente.
Conclusion : Nos patients présentaient des atteintes similaires aux grandes séries, en dehors d’une moindre proportion d’atteinte rénale. Les attitudes thérapeutiques étaient adaptées aux recommandations, avec des interactions fréquentes avec le CHU. Des axes d’amélioration ont été identifiés : renforcer le dépistage des complications cardiovasculaires et les vaccinations, et espacer la surveillance ophtalmologique sous hydroxychloroquine.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186180
in Santé publique / Cairn.info > n° 1 [01/03/2017] . - p. 47-55[article] Lupus systémique : quels patients et quelle prise en charge en Centre Hospitalier Général ? [] / Anne-Lise Lecapitaine, Auteur ; Redouane Bakir, Auteur ; et al., Auteur ; Jean-Luc Delassus, Auteur . - 2017 . - p. 47-55.
Langues : Français (fre)
in Santé publique / Cairn.info > n° 1 [01/03/2017] . - p. 47-55
Mots-clés : LUPUS ERYTHEMATEUX EVALUATION DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES MALADIE AUTO-IMMUNE PRISE EN CHARGE Résumé : Objectifs : Le lupus systémique est une maladie nécessitant un suivi régulier. Les études de la littérature concernant principalement les Centres Hospitaliers Universitaires (CHU), nous avons souhaité décrire une population de patients lupiques en Centre Hospitalier Général (CHG), avec les modalités de suivi et de traitement, dans une démarche d’évaluation des pratiques professionnelles.
Méthodes : Nous avons mené une étude descriptive, rétrospective, des patients lupiques suivis entre mars 2013 et mars 2015 au Centre hospitalier intercommunal Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis (France).
Résultats : Les atteintes d’organes présentées par les 39 patients inclus se répartissaient ainsi : 77 % des patients avaient une atteinte articulaire, 67 % cutanée, 44 % hématologique, 26 % des séreuses, 13 % rénale, 13 % neuropsychiatrique, 8 % digestive et 2 % myocardique. Sur le plan thérapeutique, 35 patients ont reçu un traitement de fond par hydroxychloroquine et 12 un immunosuppresseur ou une biothérapie. Les patients ont été vus trois à quatre fois par an en consultation ; 19 patients ont été hospitalisés au moins une fois en hospitalisation traditionnelle, et 27 au moins une fois en hôpital de jour. Un avis auprès d’un confrère en Centre Hospitalier Universitaire (CHU) était demandé pour six patients, avec un transfert de suivi pour une seule patiente.
Conclusion : Nos patients présentaient des atteintes similaires aux grandes séries, en dehors d’une moindre proportion d’atteinte rénale. Les attitudes thérapeutiques étaient adaptées aux recommandations, avec des interactions fréquentes avec le CHU. Des axes d’amélioration ont été identifiés : renforcer le dépistage des complications cardiovasculaires et les vaccinations, et espacer la surveillance ophtalmologique sous hydroxychloroquine.Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=186180