
Résultat de la recherche
7 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'MENAGE' 




Titre : Habiter les espaces périurbains Type de document : texte imprimé Auteurs : Rodolphe Dodier (1966-...), Directeur de la recherche Editeur : Rennes : PUR, Presses Universitaires de Rennes Année de publication : 2012 Collection : Espace et territoires, ISSN 1281-6116 Importance : 219 p. Présentation : ill. en noir et en couleur, cartes, cartes, couv. ill. Format : 24 x 17 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7535-2001-1 Prix : 16 € Note générale : [avec la collaboration de Laurent Cailly, Arnaud Gasnier et François Madoré] Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Société Environnement social Banlieues cités Communautés de banlieue Périurbanisation France (ouest) 1990-... Enquêtes Comportement spatial Ménages banlieue étude de cas ménage Sociologie urbaine Périurbain Banlieue -- France -- Mobilité résidentielle -- France -- mobilité périrubains périurbaine Index. décimale : F-63 Habitat - sociologie de l'habitat Résumé : En prenant l'ouest de la France comme lieu d'étude, cet ouvrage analyse les comportements des ménages dans les zones périurbaines et les choix résidentiels au prisme des tensions entre des aspirations pour un mode ou une qualité de vie et des contraintes liées à la réalité des marchés fonciers, immobiliers et de l'emploi. Les pratiques spatiales du quotidien des habitants sont détaillées. Note de contenu : Bibliogr. 4e de couv. : "La périurbanisation, et son avatar, l'étalement urbain sont des questions de société qui se sont imposées progressivement comme un objet de recherche au sein des sciences sociales et comme un enjeu majeur de la réflexion sur l'avenir des villes. Mais que veut dire habiter dans les espaces périurbains ? Cet ouvrage s'applique à analyser en profondeur les comportements des ménages périurbains, qui demeurent méconnus à bien des égards. Les choix résidentiels sont analysés au prisme d'un champ des possibles qui se construit par une tension entre des aspirations pour un mode de vie ou des aménités environnementales et des contraintes induites par la réalité des marchés fonciers, immobiliers et de l'emploi. Les pratiques spatiales du quotidien des habitants des espaces périurbains, articulant travail, consommation, loisirs, sociabilités, montrent également l'importante diversité des rapports à l'espace et aux autres, ainsi que la complexité de la formation des modes d'habiter. L'objectif est bien de saisir l'essence même de la périurbanité, qui caractérise aujourd'hui plus d'un français sur quatre." En ligne : https://ehne.fr/fr/encyclopedie/th%C3%A9matiques/les-arts-en-europe/espace-ville [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56810 Habiter les espaces périurbains [texte imprimé] / Rodolphe Dodier (1966-...), Directeur de la recherche . - Rennes : PUR, Presses Universitaires de Rennes, 2012 . - 219 p. : ill. en noir et en couleur, cartes, cartes, couv. ill. ; 24 x 17 cm. - (Espace et territoires, ISSN 1281-6116) .
ISBN : 978-2-7535-2001-1 : 16 €
[avec la collaboration de Laurent Cailly, Arnaud Gasnier et François Madoré]
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : Société Environnement social Banlieues cités Communautés de banlieue Périurbanisation France (ouest) 1990-... Enquêtes Comportement spatial Ménages banlieue étude de cas ménage Sociologie urbaine Périurbain Banlieue -- France -- Mobilité résidentielle -- France -- mobilité périrubains périurbaine Index. décimale : F-63 Habitat - sociologie de l'habitat Résumé : En prenant l'ouest de la France comme lieu d'étude, cet ouvrage analyse les comportements des ménages dans les zones périurbaines et les choix résidentiels au prisme des tensions entre des aspirations pour un mode ou une qualité de vie et des contraintes liées à la réalité des marchés fonciers, immobiliers et de l'emploi. Les pratiques spatiales du quotidien des habitants sont détaillées. Note de contenu : Bibliogr. 4e de couv. : "La périurbanisation, et son avatar, l'étalement urbain sont des questions de société qui se sont imposées progressivement comme un objet de recherche au sein des sciences sociales et comme un enjeu majeur de la réflexion sur l'avenir des villes. Mais que veut dire habiter dans les espaces périurbains ? Cet ouvrage s'applique à analyser en profondeur les comportements des ménages périurbains, qui demeurent méconnus à bien des égards. Les choix résidentiels sont analysés au prisme d'un champ des possibles qui se construit par une tension entre des aspirations pour un mode de vie ou des aménités environnementales et des contraintes induites par la réalité des marchés fonciers, immobiliers et de l'emploi. Les pratiques spatiales du quotidien des habitants des espaces périurbains, articulant travail, consommation, loisirs, sociabilités, montrent également l'importante diversité des rapports à l'espace et aux autres, ainsi que la complexité de la formation des modes d'habiter. L'objectif est bien de saisir l'essence même de la périurbanité, qui caractérise aujourd'hui plus d'un français sur quatre." En ligne : https://ehne.fr/fr/encyclopedie/th%C3%A9matiques/les-arts-en-europe/espace-ville [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=56810 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 8676 F-63 DOD Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Habiter, espaces vécus Disponible Documents numériques
Les ménages épargnent moins qu'il y a quinze ans / L. CRETIN in Economie et Statistique / Economics and Statistics. Continuité et internationalisation / INSEE, n° 219 (1989)
[article]
Titre : Les ménages épargnent moins qu'il y a quinze ans Type de document : partition musicale manuscrite Auteurs : L. CRETIN ; P. L'Hardy Mots-clés : Années 1970-1988 Ménage Epargne Evolution Consommation Données statistiques Résumé : in Economie et Statistique, 1989, n° 219, p. 21-30 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=50402
in Economie et Statistique / Economics and Statistics. Continuité et internationalisation / INSEE > n° 219 (1989)[article] Les ménages épargnent moins qu'il y a quinze ans [partition musicale manuscrite] / L. CRETIN ; P. L'Hardy.
in Economie et Statistique / Economics and Statistics. Continuité et internationalisation / INSEE > n° 219 (1989)
Mots-clés : Années 1970-1988 Ménage Epargne Evolution Consommation Données statistiques Résumé : in Economie et Statistique, 1989, n° 219, p. 21-30 Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=50402 « Si je travaille, c'est pas pour acheter du premier prix ! ». Modes de consommation des classes populaires depuis leurs ménages stabilisés / Thomas Amossé in Sociétés contemporaines : revue de sciences sociales pluridisciplinaire / Cairn.info, n° 114 (2019/1)
![]()
![]()
[article]
Titre : « Si je travaille, c'est pas pour acheter du premier prix ! ». Modes de consommation des classes populaires depuis leurs ménages stabilisés Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Amossé, Auteur ; Marie Cartier, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : pp. 89-122 Note générale : "Quelles sont les évolutions des pratiques de consommation des classes sociales ? À l’aide de statistiques et d’entretiens, les sociologues Thomas Amossé et Marie Cartier ont ausculté le budget des ménages les plus stables des classes populaires. La plupart du temps propriétaires, formés autour d’un couple biactif, vivant dans les territoires ruraux ou périurbains, ce sont eux qui ont opposé « la fin du mois » à la « fin du monde », lors du mouvement des Gilets jaunes.
La structure des dépenses est différente entre classes populaires et classes supérieures. Côté populaire, on dépense proportionnellement plus pour l’alimentation, le logement et la protection sociale ; du côté des cadres, les dépenses d’impôts, de remboursement de prêts et d’épargne, de restauration et de culture sont plus importantes. Ces divergences étaient déjà connues.
En revanche, la principale découverte de cette enquête est le rapprochement des goûts et des aspirations populaires de ceux des classes supérieures. Les ménages enquêtés déclarent ainsi aspirer à consommer « comme tout le monde » et rejeter les achats stigmatisants : « Si je travaille, c’est pas pour acheter du premier prix », explique l’un. Cette recherche de conformité sociale s’illustre par deux postes de dépenses privilégiés : la voiture et les services numériques ; mais aussi par la constitution d’une épargne dédiée à des achats exceptionnels et hédonistes (vêtements de marque, décoration, drones…). Cette profonde mutation de la consommation populaire a été rendue possible par l’effet conjugué de la féminisation de l’emploi depuis quarante ans (générant ainsi un surplus de revenus) et du développement des institutions de la consommation de masse, notamment les prêts à la consommation. Voilà qui nuance la thèse classique de la particularité des goûts des classes populaires déterminés par la nécessité." Thomas Le Guennic, SH 325,
mai 2020, en hyperlienLangues : Français (fre) Mots-clés : consommation classes populaires ménage précarité niveau de vie voiture numérique comportements économiques Résumé : Le développement de la précarité dans l’ensemble des ménages populaires, et non seulement pour les plus pauvres, est susceptible d’avoir modifié leur rapport à la consommation. En centrant l’analyse sur ceux qui ont acquis (même temporairement) une forme de stabilité, et à partir d’un double matériau quantitatif et qualitatif, nous rendons compte à la fois des aspirations qu’ils partagent avec les ménages situés plus haut socialement et des comportements ou stratégies économiques qu’ils doivent déployer pour les réaliser. Leurs dépenses sont particulièrement marquées par les « nouveaux » besoins sociaux que sont la voiture et le numérique, mais comprennent également des biens d’agrément et services coûteux (vêtements de marques, équipements technologiques, restaurants, vacances à l’étranger) qui en étaient pratiquement exclus auparavant. Le niveau de vie de ces ménages restant limité, et surtout fluctuant, ces dépenses ne peuvent souvent être réalisées que grâce au salaire des femmes (une condition pour se faire plaisir), à une organisation rigoureuse dans la manière de faire les courses ou dans la constitution d’une épargne pour consommer. C’est à ce prix seulement que ces ménages ouvriers et employés peuvent consommer « comme tout le monde ». Note de contenu : Plan :
Des budgets toujours différents, mais des aspirations partagées avec les classes moyennes et supérieures
La fraction médiane des classes populaires : une entrée pertinente pour analyser les différences sociales des budgets
La voiture et le numérique : deux besoins sociaux communs qui pèsent particulièrement dans les budgets populaires
Un peu de rêve : des services et des biens d'agrément onéreux
Un niveau de vie limité, et surtout fluctuant
De l'aisance à la pauvreté, ou à son anticipation
De la pauvreté à l'aisance, ou la difficulté de remonter la pente
Consommer malgré tout « comme tout le monde »
Le salaire féminin, souvent une condition pour « se faire plaisir »
Faire les courses : une activité organisée et cantonnée dans le temps et l'espace
Épargner... pour « se faire plaisir »En ligne : https://www.cairn.info/revue-societes-contemporaines-2019-2-page-89.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=242097
in Sociétés contemporaines : revue de sciences sociales pluridisciplinaire / Cairn.info > n° 114 (2019/1) . - pp. 89-122[article] « Si je travaille, c'est pas pour acheter du premier prix ! ». Modes de consommation des classes populaires depuis leurs ménages stabilisés [texte imprimé] / Thomas Amossé, Auteur ; Marie Cartier, Auteur . - 2019 . - pp. 89-122.
"Quelles sont les évolutions des pratiques de consommation des classes sociales ? À l’aide de statistiques et d’entretiens, les sociologues Thomas Amossé et Marie Cartier ont ausculté le budget des ménages les plus stables des classes populaires. La plupart du temps propriétaires, formés autour d’un couple biactif, vivant dans les territoires ruraux ou périurbains, ce sont eux qui ont opposé « la fin du mois » à la « fin du monde », lors du mouvement des Gilets jaunes.
La structure des dépenses est différente entre classes populaires et classes supérieures. Côté populaire, on dépense proportionnellement plus pour l’alimentation, le logement et la protection sociale ; du côté des cadres, les dépenses d’impôts, de remboursement de prêts et d’épargne, de restauration et de culture sont plus importantes. Ces divergences étaient déjà connues.
En revanche, la principale découverte de cette enquête est le rapprochement des goûts et des aspirations populaires de ceux des classes supérieures. Les ménages enquêtés déclarent ainsi aspirer à consommer « comme tout le monde » et rejeter les achats stigmatisants : « Si je travaille, c’est pas pour acheter du premier prix », explique l’un. Cette recherche de conformité sociale s’illustre par deux postes de dépenses privilégiés : la voiture et les services numériques ; mais aussi par la constitution d’une épargne dédiée à des achats exceptionnels et hédonistes (vêtements de marque, décoration, drones…). Cette profonde mutation de la consommation populaire a été rendue possible par l’effet conjugué de la féminisation de l’emploi depuis quarante ans (générant ainsi un surplus de revenus) et du développement des institutions de la consommation de masse, notamment les prêts à la consommation. Voilà qui nuance la thèse classique de la particularité des goûts des classes populaires déterminés par la nécessité." Thomas Le Guennic, SH 325,
mai 2020, en hyperlien
Langues : Français (fre)
in Sociétés contemporaines : revue de sciences sociales pluridisciplinaire / Cairn.info > n° 114 (2019/1) . - pp. 89-122
Mots-clés : consommation classes populaires ménage précarité niveau de vie voiture numérique comportements économiques Résumé : Le développement de la précarité dans l’ensemble des ménages populaires, et non seulement pour les plus pauvres, est susceptible d’avoir modifié leur rapport à la consommation. En centrant l’analyse sur ceux qui ont acquis (même temporairement) une forme de stabilité, et à partir d’un double matériau quantitatif et qualitatif, nous rendons compte à la fois des aspirations qu’ils partagent avec les ménages situés plus haut socialement et des comportements ou stratégies économiques qu’ils doivent déployer pour les réaliser. Leurs dépenses sont particulièrement marquées par les « nouveaux » besoins sociaux que sont la voiture et le numérique, mais comprennent également des biens d’agrément et services coûteux (vêtements de marques, équipements technologiques, restaurants, vacances à l’étranger) qui en étaient pratiquement exclus auparavant. Le niveau de vie de ces ménages restant limité, et surtout fluctuant, ces dépenses ne peuvent souvent être réalisées que grâce au salaire des femmes (une condition pour se faire plaisir), à une organisation rigoureuse dans la manière de faire les courses ou dans la constitution d’une épargne pour consommer. C’est à ce prix seulement que ces ménages ouvriers et employés peuvent consommer « comme tout le monde ». Note de contenu : Plan :
Des budgets toujours différents, mais des aspirations partagées avec les classes moyennes et supérieures
La fraction médiane des classes populaires : une entrée pertinente pour analyser les différences sociales des budgets
La voiture et le numérique : deux besoins sociaux communs qui pèsent particulièrement dans les budgets populaires
Un peu de rêve : des services et des biens d'agrément onéreux
Un niveau de vie limité, et surtout fluctuant
De l'aisance à la pauvreté, ou à son anticipation
De la pauvreté à l'aisance, ou la difficulté de remonter la pente
Consommer malgré tout « comme tout le monde »
Le salaire féminin, souvent une condition pour « se faire plaisir »
Faire les courses : une activité organisée et cantonnée dans le temps et l'espace
Épargner... pour « se faire plaisir »En ligne : https://www.cairn.info/revue-societes-contemporaines-2019-2-page-89.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=242097 Documents numériques
L'écologie au quotidien : éléments pour une théorie sociologique de la résistance ordinaire / Michelle Dobré
Titre : L'écologie au quotidien : éléments pour une théorie sociologique de la résistance ordinaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Michelle Dobré (1961-...), Auteur Editeur : Paris : Éditions L'Harmattan Année de publication : 2002 Collection : Sociologies et environnement, ISSN 1627-7406 Importance : 352 p. Présentation : graph., couv. ill. en coul. Format : 22 x 14 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7475-2891-7 Prix : 31 € Langues : Français (fre) Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Mots-clés : société sociologie conditions sociales sciences humaines et sociales sociologie des loisirs et du tourisme société de consommation sociologie du quotidien écologie humaine ménage consommation écologie société civile Index. décimale : C-35 "Développement durable" - Transition écologique et citoyenne Résumé : Retrace l'histoire de la société de consommation pour comprendre la civilisation matérielle dont sont issus les problèmes écologiques actuels liés aux modes de vie des habitants des pays riches. Aborde la réforme écologique des modes de vie du point de vue des théories sociales, des discours critiques et de la sociologie de l'environnement, puis étudie les pratiques écologiques au quotidien. Note de contenu : Bibliogr. p. 331-345. 4e de couv. : "La généralisation de notre dépendance à la consommation marchande accentue la rationalisation de la sphère de la vie quotidienne qui suit le modèle de la vie au travail. La question écologique, qui se conjugue aujourd'hui selon la double modalité de la crise sociale et environnementale, suscite la question sociologique des capacités d'action civile pour inventer une autolimitation de la consommation jugée à la fois nécessaire et impossible à imposer par des mesures autoritaires dans nos régimes démocratiques. La vie quotidienne, lieu où s'exacerbent les pressions de la rationalisation marchande, s'avère être également l'horizon de l'invention sociale de formes d'action nouvelles. Les pratiques écologiques au quotidien sont abordées dans cet ouvrage à travers des entretiens individuels et par l'analyse d'une enquête statistique auprès des ménages dans le domaine de la consommation et de la vie quotidienne. Il s'agit d'une première approche de la «frugalité», qui est une attitude critique de refus de la consommation marchande dont la cohérence avec la pratique et les styles de vie reste un idéal difficile à atteindre. La notion de résistance ordinaire est une proposition théorique pour l'interprétation de l'individualisation des conduites quotidiennes. Elle ouvre des perspectives pour l'analyse de la configuration spécifique des capacités d'action dans le contexte actuel des transformations de l'espace politique et de la société civile." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=28080 L'écologie au quotidien : éléments pour une théorie sociologique de la résistance ordinaire [texte imprimé] / Michelle Dobré (1961-...), Auteur . - Paris : Éditions L'Harmattan, 2002 . - 352 p. : graph., couv. ill. en coul. ; 22 x 14 cm. - (Sociologies et environnement, ISSN 1627-7406) .
ISBN : 978-2-7475-2891-7 : 31 €
Langues : Français (fre)
Catégories : C ECONOMIE - ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Mots-clés : société sociologie conditions sociales sciences humaines et sociales sociologie des loisirs et du tourisme société de consommation sociologie du quotidien écologie humaine ménage consommation écologie société civile Index. décimale : C-35 "Développement durable" - Transition écologique et citoyenne Résumé : Retrace l'histoire de la société de consommation pour comprendre la civilisation matérielle dont sont issus les problèmes écologiques actuels liés aux modes de vie des habitants des pays riches. Aborde la réforme écologique des modes de vie du point de vue des théories sociales, des discours critiques et de la sociologie de l'environnement, puis étudie les pratiques écologiques au quotidien. Note de contenu : Bibliogr. p. 331-345. 4e de couv. : "La généralisation de notre dépendance à la consommation marchande accentue la rationalisation de la sphère de la vie quotidienne qui suit le modèle de la vie au travail. La question écologique, qui se conjugue aujourd'hui selon la double modalité de la crise sociale et environnementale, suscite la question sociologique des capacités d'action civile pour inventer une autolimitation de la consommation jugée à la fois nécessaire et impossible à imposer par des mesures autoritaires dans nos régimes démocratiques. La vie quotidienne, lieu où s'exacerbent les pressions de la rationalisation marchande, s'avère être également l'horizon de l'invention sociale de formes d'action nouvelles. Les pratiques écologiques au quotidien sont abordées dans cet ouvrage à travers des entretiens individuels et par l'analyse d'une enquête statistique auprès des ménages dans le domaine de la consommation et de la vie quotidienne. Il s'agit d'une première approche de la «frugalité», qui est une attitude critique de refus de la consommation marchande dont la cohérence avec la pratique et les styles de vie reste un idéal difficile à atteindre. La notion de résistance ordinaire est une proposition théorique pour l'interprétation de l'individualisation des conduites quotidiennes. Elle ouvre des perspectives pour l'analyse de la configuration spécifique des capacités d'action dans le contexte actuel des transformations de l'espace politique et de la société civile." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=28080 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13206 C-35 DOB Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Transition écologique et citoyenne Disponible Parents d’enfant handicapé : davantage de familles monoparentales, une situation moins favorable sur le marché du travail et des niveaux de vie plus faibles / Guillemette Buisson in Etudes et résultats, n° 1169 (novembre 2020)
![]()
[article]
Titre : Parents d’enfant handicapé : davantage de familles monoparentales, une situation moins favorable sur le marché du travail et des niveaux de vie plus faibles Type de document : document électronique Auteurs : Guillemette Buisson, Auteur ; Gabriel De La Rosa, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : 6 p Langues : Français (fre) Mots-clés : BEHINDERTEN HANDICAPPED PERSON INCAPACITADO FAMILIE FAMILY FAMILIA HAUSHALT HOUSEHOLD HOGAR STATISTISCHE DATEN STATISTICAL DATA DATO ESTADISTICO LEBENSSTANDARD STANDARD OF LIVING NIVEL DE VIDA FRANKREICH FRANCIA HANDICAPE FAMILLE MENAGE DONNEE STATISTIQUE NIVEAU DE VIE FRANCE Résumé : En moyenne en 2016 et 2017, 292 000 ménages bénéficient de l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH) en France métropolitaine. Cette allocation, destinée aux parents d’enfant handicapé, vise à compenser les frais engendrés en matière d’éducation et de soins. Les parents qui en sont bénéficiaires sont plus âgés que les autres parents d’enfant de moins de 20 ans, reflet sans doute du temps nécessaire à la mise en place d’un diagnostic et à la reconnaissance administrative du handicap de leur enfant. Ils sont moins souvent diplômés de l’enseignement supérieur. Ils vivent plus souvent en famille nombreuse ou en famille monoparentale. Il est également beaucoup plus fréquent qu’au moins l’un des parents ne travaille pas, le plus souvent la mère. Ainsi, les mères d’enfant handicapé déclarent 2,5 fois plus souvent que les autres mères être inactives pour s’occuper d’un enfant ou d’une personne dépendante. Par ailleurs, quand elles travaillent, elles sont plus souvent à temps partiel (42 % contre 31 %). La situation moins favorable des parents d’enfant handicapé sur le marché du travail s’accompagne d’une plus grande fragilité économique : leur niveau de vie mensuel moyen est de 1 567 euros, soit 272 euros de moins que les autres ménages avec enfant de moins de 20 ans. Les ménages bénéficiaires de l’AEEH vivent sous le seuil de pauvreté dans 24 % des cas, contre 17 % pour les autres ménages avec enfants.(Drees) En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/publications/etud [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=255161
in Etudes et résultats > n° 1169 (novembre 2020) . - 6 p[article] Parents d’enfant handicapé : davantage de familles monoparentales, une situation moins favorable sur le marché du travail et des niveaux de vie plus faibles [document électronique] / Guillemette Buisson, Auteur ; Gabriel De La Rosa, Auteur . - 2020 . - 6 p.
Langues : Français (fre)
in Etudes et résultats > n° 1169 (novembre 2020) . - 6 p
Mots-clés : BEHINDERTEN HANDICAPPED PERSON INCAPACITADO FAMILIE FAMILY FAMILIA HAUSHALT HOUSEHOLD HOGAR STATISTISCHE DATEN STATISTICAL DATA DATO ESTADISTICO LEBENSSTANDARD STANDARD OF LIVING NIVEL DE VIDA FRANKREICH FRANCIA HANDICAPE FAMILLE MENAGE DONNEE STATISTIQUE NIVEAU DE VIE FRANCE Résumé : En moyenne en 2016 et 2017, 292 000 ménages bénéficient de l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH) en France métropolitaine. Cette allocation, destinée aux parents d’enfant handicapé, vise à compenser les frais engendrés en matière d’éducation et de soins. Les parents qui en sont bénéficiaires sont plus âgés que les autres parents d’enfant de moins de 20 ans, reflet sans doute du temps nécessaire à la mise en place d’un diagnostic et à la reconnaissance administrative du handicap de leur enfant. Ils sont moins souvent diplômés de l’enseignement supérieur. Ils vivent plus souvent en famille nombreuse ou en famille monoparentale. Il est également beaucoup plus fréquent qu’au moins l’un des parents ne travaille pas, le plus souvent la mère. Ainsi, les mères d’enfant handicapé déclarent 2,5 fois plus souvent que les autres mères être inactives pour s’occuper d’un enfant ou d’une personne dépendante. Par ailleurs, quand elles travaillent, elles sont plus souvent à temps partiel (42 % contre 31 %). La situation moins favorable des parents d’enfant handicapé sur le marché du travail s’accompagne d’une plus grande fragilité économique : leur niveau de vie mensuel moyen est de 1 567 euros, soit 272 euros de moins que les autres ménages avec enfant de moins de 20 ans. Les ménages bénéficiaires de l’AEEH vivent sous le seuil de pauvreté dans 24 % des cas, contre 17 % pour les autres ménages avec enfants.(Drees) En ligne : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/publications/etud [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=255161 Le travail bénévole : un essai de quantification et de valorisation. / Lionel Prouteau in Economie et Statistique / Economics and Statistics. Continuité et internationalisation / INSEE, 373 (2004)
![]()
PermalinkL'économie française. Comptes et dossiers. Edition 2019 : Rapport sur les comptes de la nation 2018 / Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (France)
![]()
![]()
Permalink