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Audiovisuel et mouvement ouvrier / Centre de création industrielle. Service pour l'innovation sociale (Paris)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2223 ARCH J-20 CEN Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Art / Culture Disponible Les Cahiers du GRMF, 3. L'action familiale ouvrière et la politique de Vichy : compte rendu [Journées d'études 28-29 nov. 1984, Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux] / GRMF
Titre de série : Les Cahiers du GRMF, 3 Titre : L'action familiale ouvrière et la politique de Vichy : compte rendu [Journées d'études 28-29 nov. 1984, Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux] Type de document : texte imprimé Auteurs : GRMF , Auteur
Editeur : Villeneuve d'Ascq (Nord) : Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux Année de publication : 1985 Collection : Les Cahiers du GRMF, ISSN 0758-0436 num. 3 Importance : 345 p. Format : 21 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-90419-02-4 Prix : 10,7 € Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : MOUVEMENT OUVRIER POLITIQUE ACTION SOCIALE histoire guerres et conflits Troisième République, 1870-1945 (Histoire du monde moderne - France et Monaco) Famille : France : 1939-1945 POLITIQUE DE LA FAMILLE TRAVAILLEUR SOCIAL SYNDICALISME MILITANTISME SOCIAL SOCIOLOGIE Index. décimale : F-10 Famille - Vie familiale Résumé : Résultat du travail de recherche consacré à l'action familiale ouvrière face à la politique de Vichy. Note de contenu : 4e de couv. : "1939 : le Code de la famille, 1945 : la naissance de l’Union nationale des associations familiales. L’histoire semble continuer comme si les années qui séparent les deux événements avaient été mises entre parenthèses. La volonté politique du législateur à la Libération est de faire table rase de la législation des gouvernements de Vichy. Elle renforce ainsi l’amnésie soudaine de tout un peuple. A la Libération s’affirme la volonté d’un monde nouveau et de l’effacement des années noires. S’intéresser à cette période des années 1939-1945 procède d’abord d’un principe de méthode : aucun moment de l’histoire ne peut à priori être négligé, même si cette attention risque de réveiller des souvenirs douloureux. L’intérêt pour Vichy, relativement récent, se justifie aussi par les suites, dont certaines sont encore actuelles, de l’œuvre entreprise à ce moment, dans les consciences bien entendu, mais aussi sur le plan des institutions. L’UNAF en est un exemple. Si les approches de cette période ont parfois l’allure de règlements de compte ou d’introspections douloureuses, c’est sans doute parce que ces analyses procèdent d’une vision manichéenne de l’histoire, comme si celle-ci se résumait à l’opposition entre collaborateurs et résistants. L’histoire de cette période est, il est vrai, encore un enjeu de l’histoire d’aujourd’hui, comme certaines affaires récentes l’ont montré. Mais comme le dit un militant du Mouvement populaire des familles d’alors : « On ne savait pas bien où on allait et on était capables de faire des bêtises. » Les mouvements familiaux vivent l’histoire de leur temps. Pour eux, comme pour d’autres organisations, les années 1939-1945 ont été une période de crise et de profonde transformation. Débarrassé des institutions démocratiques, Vichy a permis la traduction immédiate de certaines idées en institutions. Certains mouvements ont pu d’abord constater avec satisfaction que leurs souhaits étaient mis en application, telles certaines mesures en faveur des familles ou l’organisation de la représentation familiale, ou encore la mise en place des organisations corporatives. Mais avec Vichy, les repères vacillent, les malentendus se multiplient. Les organisations sont placées dans des positions contradictoires, à tout le moins incertaines. Ainsi certains syndicats sont séduits par l’application de leurs thèses corporatistes mais l’interdiction des confédérations les remet en cause trop fondamentalement et les éloigne du régime. Les mouvements familiaux, dont la plupart, tel le MPF, sont marqués, directement ou indirectement, par le catholicisme, ne seront pas insensibles à certaines initiatives de Vichy ; ils y seront parfois associés. Mais les tentatives de fusion dans une organisation unique suscitera leur réprobation. Durant ces années difficiles, les préoccupations du MPF se résument en quelques mots simples : survivre et défendre les intérêts de familles ouvrières. Comme d’autres, ses militants s’efforcent de répondre aux nécessités du moment : manger, se chauffer, assurer le bien-être des enfants, aider les familles dont le père est prisonnier ou qui sont sinistrées…Autant d’actions dans lesquelles sont souvent associés les mouvements ruraux. Pour défendre les familles, il faut aussi les représenter et se faire accepter à ce titre par les autorités légales. C’est le sens de la participation aux nouvelles instances suscitées ou créées par le régime : Centre de coordination des mouvements familiaux, Comité consultatif de la famille jusqu’à la loi Gounot sur la représentation familiale, autrement dit l’UNAF première manière. Les années 1939-1945 sont donc un moment clé dans l’histoire des mouvements familiaux et de la représentation familiale. Ceci justifie l’intérêt que leur ont porté les anciens militants et les chercheurs associés dans le GRMF." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=139 Les Cahiers du GRMF, 3. L'action familiale ouvrière et la politique de Vichy : compte rendu [Journées d'études 28-29 nov. 1984, Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux] [texte imprimé] / GRMF, Auteur . - Villeneuve d'Ascq (Nord) (4 all Ternois, 59650) : Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux, 1985 . - 345 p. ; 21 x 15 cm. - (Les Cahiers du GRMF, ISSN 0758-0436; 3) .
ISSN : 2-90419-02-4 : 10,7 €
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : MOUVEMENT OUVRIER POLITIQUE ACTION SOCIALE histoire guerres et conflits Troisième République, 1870-1945 (Histoire du monde moderne - France et Monaco) Famille : France : 1939-1945 POLITIQUE DE LA FAMILLE TRAVAILLEUR SOCIAL SYNDICALISME MILITANTISME SOCIAL SOCIOLOGIE Index. décimale : F-10 Famille - Vie familiale Résumé : Résultat du travail de recherche consacré à l'action familiale ouvrière face à la politique de Vichy. Note de contenu : 4e de couv. : "1939 : le Code de la famille, 1945 : la naissance de l’Union nationale des associations familiales. L’histoire semble continuer comme si les années qui séparent les deux événements avaient été mises entre parenthèses. La volonté politique du législateur à la Libération est de faire table rase de la législation des gouvernements de Vichy. Elle renforce ainsi l’amnésie soudaine de tout un peuple. A la Libération s’affirme la volonté d’un monde nouveau et de l’effacement des années noires. S’intéresser à cette période des années 1939-1945 procède d’abord d’un principe de méthode : aucun moment de l’histoire ne peut à priori être négligé, même si cette attention risque de réveiller des souvenirs douloureux. L’intérêt pour Vichy, relativement récent, se justifie aussi par les suites, dont certaines sont encore actuelles, de l’œuvre entreprise à ce moment, dans les consciences bien entendu, mais aussi sur le plan des institutions. L’UNAF en est un exemple. Si les approches de cette période ont parfois l’allure de règlements de compte ou d’introspections douloureuses, c’est sans doute parce que ces analyses procèdent d’une vision manichéenne de l’histoire, comme si celle-ci se résumait à l’opposition entre collaborateurs et résistants. L’histoire de cette période est, il est vrai, encore un enjeu de l’histoire d’aujourd’hui, comme certaines affaires récentes l’ont montré. Mais comme le dit un militant du Mouvement populaire des familles d’alors : « On ne savait pas bien où on allait et on était capables de faire des bêtises. » Les mouvements familiaux vivent l’histoire de leur temps. Pour eux, comme pour d’autres organisations, les années 1939-1945 ont été une période de crise et de profonde transformation. Débarrassé des institutions démocratiques, Vichy a permis la traduction immédiate de certaines idées en institutions. Certains mouvements ont pu d’abord constater avec satisfaction que leurs souhaits étaient mis en application, telles certaines mesures en faveur des familles ou l’organisation de la représentation familiale, ou encore la mise en place des organisations corporatives. Mais avec Vichy, les repères vacillent, les malentendus se multiplient. Les organisations sont placées dans des positions contradictoires, à tout le moins incertaines. Ainsi certains syndicats sont séduits par l’application de leurs thèses corporatistes mais l’interdiction des confédérations les remet en cause trop fondamentalement et les éloigne du régime. Les mouvements familiaux, dont la plupart, tel le MPF, sont marqués, directement ou indirectement, par le catholicisme, ne seront pas insensibles à certaines initiatives de Vichy ; ils y seront parfois associés. Mais les tentatives de fusion dans une organisation unique suscitera leur réprobation. Durant ces années difficiles, les préoccupations du MPF se résument en quelques mots simples : survivre et défendre les intérêts de familles ouvrières. Comme d’autres, ses militants s’efforcent de répondre aux nécessités du moment : manger, se chauffer, assurer le bien-être des enfants, aider les familles dont le père est prisonnier ou qui sont sinistrées…Autant d’actions dans lesquelles sont souvent associés les mouvements ruraux. Pour défendre les familles, il faut aussi les représenter et se faire accepter à ce titre par les autorités légales. C’est le sens de la participation aux nouvelles instances suscitées ou créées par le régime : Centre de coordination des mouvements familiaux, Comité consultatif de la famille jusqu’à la loi Gounot sur la représentation familiale, autrement dit l’UNAF première manière. Les années 1939-1945 sont donc un moment clé dans l’histoire des mouvements familiaux et de la représentation familiale. Ceci justifie l’intérêt que leur ont porté les anciens militants et les chercheurs associés dans le GRMF." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=139 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 146 F-10 GRO Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Catégories sociales Disponible
Titre : La question du logement et le mouvement ouvrier français Type de document : texte imprimé Auteurs : Groupe ABAC, Collectivité éditrice Editeur : Paris : Éditions de la Villette Année de publication : 1981 Collection : Penser l'espace, ISSN 0753-8359 Importance : 245 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-903539-03-0 Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : LOGEMENT MOUVEMENT OUVRIER CONDITIONS DE VIE HISTOIRE Index. décimale : F-63 Habitat - sociologie de l'habitat Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=1593 La question du logement et le mouvement ouvrier français [texte imprimé] / Groupe ABAC, Collectivité éditrice . - Paris : Éditions de la Villette, 1981 . - 245 p.. - (Penser l'espace, ISSN 0753-8359) .
ISBN : 978-2-903539-03-0
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : LOGEMENT MOUVEMENT OUVRIER CONDITIONS DE VIE HISTOIRE Index. décimale : F-63 Habitat - sociologie de l'habitat Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=1593 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1679 F-63 GRO Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Habiter, espaces vécus Disponible
Titre : Léonard : maçon de la Creuse / SUDOC et ScholarVox (Cyberlibris) Type de document : document électronique Auteurs : Martin NADAUD (1815-1898), Auteur ; Jean-Pierre Rioux (1939-...), Editeur scientifique Editeur : Paris : Vendémiaire Année de publication : 2012 Collection : Généalogies (Paris), ISSN 2258-6784 Importance : 395 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-0852-4 Note générale : "Paru en 1895 (...) cet ouvrage (...) constitue un témoignage passionnant sur la vie paysanne et la naissance du mouvement ouvrier à la fin du XIXe siècle" -- 4ème de couverture Mots-clés : FRANCE XIXE CONDITION OUVRIERE COMPAGNONNAGE ARTISANAT MOUVEMENT OUVRIER HISTOIRE SOCIETE Biographie Nadaud, Martin (1815-1898) Émigration et immigration -- Maçons -- France -- Creuse (France) -- Histoire Résumé : Voici l'histoire édifiante d'un enfant du Limousin qui naquit au lendemain de Waterloo, commença à travailler comme maçon à quatorze ans, sachant à peine lire et écrire, fut désigné comme candidat à la députation en 1848, au cours d'une assemblée générale de travailleurs à la Sorbonne, se consacra à la défense des institutions républicaines, fut proscrit par l'Empire, fut professeur dans une académie militaire britannique et termina sa vie entouré de respects et d'honneurs, député de la Creuse de la Troisième République. Auteur d'une parole historique, « quand le bâtiment va, tout va ! », il donna, consécration suprême, son nom à une station de métro à Paris. Les mémoires qu'il publia en 1889 sous le titre de Mémoires de Léonard, ancien garçon maçon (en hommage à son père, maçon comme lui, qui se prénommait Léonard), dans son canton natal de Bourganeuf, sont devenus à la fois rarissimes et classiques: un récit passionnant et exemplaire, un document irremplaçable sur la vie ouvrière au XIXe siècle et l'histoire du mouvement social - au même titre que les textes d'Agricol Perdiguier, « compagnon du devoir de liberté ». La révolution de 1848, les illusions du mouvement républicain, la répression après le coup d'État du 2 décembre, l'exil à Londres, le gouvernement de la Défense nationale en 1870, le socialisme sous la IIIe République: Martin Nadaud restitue l'histoire et le climat de tout un demi-siècle. Ce qui est peut-être plus précieux encore, c'est qu'il restitue toutes les traditions du compagnonnage et de l'artisanat, des échanges humains du prolétariat en formation, entre la province et Paris. Mais ce qui reste surtout irremplaçable, c'est le récit de la vie droite et digne du petit maçon au service du peuple, racontée à la veille de sa mort en 1898, sans fausse vanité pour ses enfants et ceux qui l'ont élu. Note de contenu : TdM : Lire Nadaud ? - Avertissement - Les pierres druidiques - État des mœurs et de l'éducation qu'on nous donnait - Une fête des maçons. Léonard ira-t-il à l'école ou n'ira-t-il pas ? - Préparatifs du départ pour Paris ? - Léonard sert les maçons - La révolution de 1830 - Léonard pose la hotte pour prendre la truelle - Une tournée au village après trois ans d'absence - Mon retour à Paris. La crise du bâtiment - Absence regrettable de rapports entre les ouvriers - Du mouvement des écoles - Nos précurseurs dans l'émigration creusoise - Nos chantiers pendant les années 1835 et 1836 - Départ pour aller passer le conseil de révision - Troisième voyage de la Creuse à Paris - Mariage du Duc d'Orléans. Grande fête à Paris - Année 1838. Retour chez Delavallade - Retour au pays. Année 1839. Mon mariage - Année 1839. Après mon mariage - Campagne de 1840 - Origine des premières luttes du peuple pour reconquérir la république et ses libertés - Une exposition de forçats sur la place du Palais de Justice - Le roi des barricades - Conséquence politique de l'écrasement de la population lyonnaise - Date de mon dossier politique - Retour au pays - Chantiers de 1843 à 1848 - Construction de la maison d'école de la rue de Pontoise - Chantier de la mairie du Panthéon - Efforts réitérés et constants du parti républicain - Origine des journaux fondés par des ouvriers et création d'une littérature populaire - Continuation de la crise industrielle et belle conduite de l'Académie des sciences morales - Les écoles socialistes entre en lutte - Retour au chantier de la mairie du Panthéon - Aspect de la place du Panthéon - Envahissement des Tuileries - Élections générales, Assemblée constituante - Réunion de la Sorbonne - Mon départ - Mon retour à Paris - Une réunion de maçons sur la place du marché Saint-Jean - Fondation de l'association des maçons - Mon élection à l'Assemblée législative - Invasion de l'armée française à Rome - Conduite du parti républicain après l'invasion romaine - Les dernières vacances de la chambre - Retour des vacances parlementaires - Rupture définitive entre le président de la République et les royalistes - Un candidat à la présidence de la république en 1852 - Le coup d'Etat - Mon arrestation - L'exil - Arrivée à Bruxelles. Mes rapports avec les autres proscrits - Je quitte Anvers pour aller habiter Londres - Continuation de mon voyage en Écosse - J'abandonne mon métier et je deviens professeur - École de Putney - Mon arrivée à Wimbledon - L'amnistie - Mon retour à Londres - Mon départ de Londres - Voyage à Bordeaux - Nomination d'un conseil municipal - Mon élection en 1876 - La lutte des 363 pour le triomphe de la République - Discours divers. Mon intervention dans les discussions - L'exposition de 1878 - Inauguration du chemin de fer de Bourganeuf à Vieilleville - La suppression du mur d'enceinte de Paris - Les logements insalubres - Propositions sur les portes et fenêtres - Les ouvriers des ports et des ateliers d'Indret - Conférences - Discours sur le libre-échange - Loi sur les accidents du travail (13 mars 1883) - Les syndicats du bâtiment - Réunion des appareilleurs et des maîtres compagnons - Le banquet Grisel - Lutte pour le scrutin de liste et le scrutin d'arrondissement - Mon rapport sur l'assistance publique - Grande discussion sur les travaux publics - Le métropolitain - Travaux publics (2 mars 1888) - Les heures de travail des femmes et des enfants dans les manufactures - Séance du 28 mai 1888. Les vieilles corporations - Le manque d'eau à Paris (25 janvier 1888) - Le centenaire de la Révolution de 1789 à Bourganeuf - Inauguration du monument de Louis Blanc - Inauguration du monument Raspail - Séance du 9 décembre 1889. Opinion de M. Eliez-Evrard, rapporteur des élections de Bourganeuf, sur Martin Nadaud - Conclusion - Annexes - I. La chanson des maçons de la Creuse - II. Nadaud vu par George Sand au début de 1871 - III. Orientation bibliographique.- Bibliographie p. 465-471 En ligne : Léonard : maçon de la Creuse Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=318 Léonard : maçon de la Creuse / SUDOC et ScholarVox (Cyberlibris) [document électronique] / Martin NADAUD (1815-1898), Auteur ; Jean-Pierre Rioux (1939-...), Editeur scientifique . - Paris : Vendémiaire, 2012 . - 395 p.. - (Généalogies (Paris), ISSN 2258-6784) .
ISBN : 978-2-7071-0852-4
"Paru en 1895 (...) cet ouvrage (...) constitue un témoignage passionnant sur la vie paysanne et la naissance du mouvement ouvrier à la fin du XIXe siècle" -- 4ème de couverture
Mots-clés : FRANCE XIXE CONDITION OUVRIERE COMPAGNONNAGE ARTISANAT MOUVEMENT OUVRIER HISTOIRE SOCIETE Biographie Nadaud, Martin (1815-1898) Émigration et immigration -- Maçons -- France -- Creuse (France) -- Histoire Résumé : Voici l'histoire édifiante d'un enfant du Limousin qui naquit au lendemain de Waterloo, commença à travailler comme maçon à quatorze ans, sachant à peine lire et écrire, fut désigné comme candidat à la députation en 1848, au cours d'une assemblée générale de travailleurs à la Sorbonne, se consacra à la défense des institutions républicaines, fut proscrit par l'Empire, fut professeur dans une académie militaire britannique et termina sa vie entouré de respects et d'honneurs, député de la Creuse de la Troisième République. Auteur d'une parole historique, « quand le bâtiment va, tout va ! », il donna, consécration suprême, son nom à une station de métro à Paris. Les mémoires qu'il publia en 1889 sous le titre de Mémoires de Léonard, ancien garçon maçon (en hommage à son père, maçon comme lui, qui se prénommait Léonard), dans son canton natal de Bourganeuf, sont devenus à la fois rarissimes et classiques: un récit passionnant et exemplaire, un document irremplaçable sur la vie ouvrière au XIXe siècle et l'histoire du mouvement social - au même titre que les textes d'Agricol Perdiguier, « compagnon du devoir de liberté ». La révolution de 1848, les illusions du mouvement républicain, la répression après le coup d'État du 2 décembre, l'exil à Londres, le gouvernement de la Défense nationale en 1870, le socialisme sous la IIIe République: Martin Nadaud restitue l'histoire et le climat de tout un demi-siècle. Ce qui est peut-être plus précieux encore, c'est qu'il restitue toutes les traditions du compagnonnage et de l'artisanat, des échanges humains du prolétariat en formation, entre la province et Paris. Mais ce qui reste surtout irremplaçable, c'est le récit de la vie droite et digne du petit maçon au service du peuple, racontée à la veille de sa mort en 1898, sans fausse vanité pour ses enfants et ceux qui l'ont élu. Note de contenu : TdM : Lire Nadaud ? - Avertissement - Les pierres druidiques - État des mœurs et de l'éducation qu'on nous donnait - Une fête des maçons. Léonard ira-t-il à l'école ou n'ira-t-il pas ? - Préparatifs du départ pour Paris ? - Léonard sert les maçons - La révolution de 1830 - Léonard pose la hotte pour prendre la truelle - Une tournée au village après trois ans d'absence - Mon retour à Paris. La crise du bâtiment - Absence regrettable de rapports entre les ouvriers - Du mouvement des écoles - Nos précurseurs dans l'émigration creusoise - Nos chantiers pendant les années 1835 et 1836 - Départ pour aller passer le conseil de révision - Troisième voyage de la Creuse à Paris - Mariage du Duc d'Orléans. Grande fête à Paris - Année 1838. Retour chez Delavallade - Retour au pays. Année 1839. Mon mariage - Année 1839. Après mon mariage - Campagne de 1840 - Origine des premières luttes du peuple pour reconquérir la république et ses libertés - Une exposition de forçats sur la place du Palais de Justice - Le roi des barricades - Conséquence politique de l'écrasement de la population lyonnaise - Date de mon dossier politique - Retour au pays - Chantiers de 1843 à 1848 - Construction de la maison d'école de la rue de Pontoise - Chantier de la mairie du Panthéon - Efforts réitérés et constants du parti républicain - Origine des journaux fondés par des ouvriers et création d'une littérature populaire - Continuation de la crise industrielle et belle conduite de l'Académie des sciences morales - Les écoles socialistes entre en lutte - Retour au chantier de la mairie du Panthéon - Aspect de la place du Panthéon - Envahissement des Tuileries - Élections générales, Assemblée constituante - Réunion de la Sorbonne - Mon départ - Mon retour à Paris - Une réunion de maçons sur la place du marché Saint-Jean - Fondation de l'association des maçons - Mon élection à l'Assemblée législative - Invasion de l'armée française à Rome - Conduite du parti républicain après l'invasion romaine - Les dernières vacances de la chambre - Retour des vacances parlementaires - Rupture définitive entre le président de la République et les royalistes - Un candidat à la présidence de la république en 1852 - Le coup d'Etat - Mon arrestation - L'exil - Arrivée à Bruxelles. Mes rapports avec les autres proscrits - Je quitte Anvers pour aller habiter Londres - Continuation de mon voyage en Écosse - J'abandonne mon métier et je deviens professeur - École de Putney - Mon arrivée à Wimbledon - L'amnistie - Mon retour à Londres - Mon départ de Londres - Voyage à Bordeaux - Nomination d'un conseil municipal - Mon élection en 1876 - La lutte des 363 pour le triomphe de la République - Discours divers. Mon intervention dans les discussions - L'exposition de 1878 - Inauguration du chemin de fer de Bourganeuf à Vieilleville - La suppression du mur d'enceinte de Paris - Les logements insalubres - Propositions sur les portes et fenêtres - Les ouvriers des ports et des ateliers d'Indret - Conférences - Discours sur le libre-échange - Loi sur les accidents du travail (13 mars 1883) - Les syndicats du bâtiment - Réunion des appareilleurs et des maîtres compagnons - Le banquet Grisel - Lutte pour le scrutin de liste et le scrutin d'arrondissement - Mon rapport sur l'assistance publique - Grande discussion sur les travaux publics - Le métropolitain - Travaux publics (2 mars 1888) - Les heures de travail des femmes et des enfants dans les manufactures - Séance du 28 mai 1888. Les vieilles corporations - Le manque d'eau à Paris (25 janvier 1888) - Le centenaire de la Révolution de 1789 à Bourganeuf - Inauguration du monument de Louis Blanc - Inauguration du monument Raspail - Séance du 9 décembre 1889. Opinion de M. Eliez-Evrard, rapporteur des élections de Bourganeuf, sur Martin Nadaud - Conclusion - Annexes - I. La chanson des maçons de la Creuse - II. Nadaud vu par George Sand au début de 1871 - III. Orientation bibliographique.- Bibliographie p. 465-471 En ligne : Léonard : maçon de la Creuse Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=318 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Longwy : immigrés et prolétaires ; 1880-1980 Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Noiriel (1950-...) , Auteur ; Madeleine Rebérioux (1920-2005), Préfacier, etc.
Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 1984 Collection : Pratiques théoriques, ISSN 0753-6216 Importance : 396 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-038733-6 Prix : 25 € Note générale : Notes bibliogr. Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : LORRAINE XIXE XXE MUTATION INDUSTRIELLE SYNDICALISME MOUVEMENT OUVRIER HISTOIRE SOCIETE Luttes sociales Syndicalisme Fer -- Industrie et commerce -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Histoire
Métallurgistes -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Histoire
Classe ouvrière -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Relations professionnelles -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Mouvement ouvrier -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Conditions socialesIndex. décimale : A-44 France Résumé : « Au début des années 1950, quelque chose change à Longwy. Pour la première fois les divisions ethniques ne jouent pas. Français et Italiens luttent côte à côte. Par ces grèves, la deuxième génération italienne signe son entrée dans la “vie active”. Elle n’a pas oublié l’exploitation féroce qu’ont subie ses parents. Dès lors, il faut voir dans ces luttes comme une manière pour ces enfants devenus grands de réaliser ce qu’on avait toujours interdit à leurs parents : exprimer publiquement et collectivement leur haine pour un système qui les avait toujours niés en tant qu’individus, citoyens et producteurs. »
En retraçant un siècle d’histoire industrielle et sociale, dans le bassin sidérurgique lorrain où les maîtres de forges sont longtemps restés tout puissants, Gérard Noiriel éclaire de manière décisive la question des rapports entre classes sociales et immigration. Ici, l’inclusion des étrangers dans la nation est passée par l’identification à la classe ouvrière. Ce livre fondateur de la socio-histoire de l’immigration montre la lente construction — puis le rapide déclin — d’un groupe ouvrier fort et soudé autour de l’engagement communiste.Note de contenu : Voir aussi, en hyperlien, "En mémoire de la « République populaire de Longwy »" / par GN, Agone le jeudi 18 avril 2019 : "On commémore en ce moment dans le bassin de Longwy, le quarantième anniversaire du puissant mouvement social qui a transformé pendant plusieurs mois cette région en une « République populaire de Longwy » comme le signalait Le Monde du 23 mars 1979. Jeune enseignant dans un collège de cette ville, j’ai moi-même participé à cette lutte collective. À l’heure où les médias dominants ne cessent de dénoncer la « violence » des gilets jaunes, je voudrais rappeler ce qu’était la lutte des classes quand le mouvement ouvrier n’avait pas encore été démantelé par le capitalisme financier mondialisé." En ligne : http://blog.agone.org/post/2019/04/16/En-mémoire-de-la-«-République-populaire-de [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=474 Longwy : immigrés et prolétaires ; 1880-1980 [texte imprimé] / Gérard Noiriel (1950-...), Auteur ; Madeleine Rebérioux (1920-2005), Préfacier, etc. . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, 1984 . - 396 p. ; 22 cm. - (Pratiques théoriques, ISSN 0753-6216) .
ISBN : 978-2-13-038733-6 : 25 €
Notes bibliogr.
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : LORRAINE XIXE XXE MUTATION INDUSTRIELLE SYNDICALISME MOUVEMENT OUVRIER HISTOIRE SOCIETE Luttes sociales Syndicalisme Fer -- Industrie et commerce -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Histoire
Métallurgistes -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Histoire
Classe ouvrière -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Relations professionnelles -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Mouvement ouvrier -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Conditions socialesIndex. décimale : A-44 France Résumé : « Au début des années 1950, quelque chose change à Longwy. Pour la première fois les divisions ethniques ne jouent pas. Français et Italiens luttent côte à côte. Par ces grèves, la deuxième génération italienne signe son entrée dans la “vie active”. Elle n’a pas oublié l’exploitation féroce qu’ont subie ses parents. Dès lors, il faut voir dans ces luttes comme une manière pour ces enfants devenus grands de réaliser ce qu’on avait toujours interdit à leurs parents : exprimer publiquement et collectivement leur haine pour un système qui les avait toujours niés en tant qu’individus, citoyens et producteurs. »
En retraçant un siècle d’histoire industrielle et sociale, dans le bassin sidérurgique lorrain où les maîtres de forges sont longtemps restés tout puissants, Gérard Noiriel éclaire de manière décisive la question des rapports entre classes sociales et immigration. Ici, l’inclusion des étrangers dans la nation est passée par l’identification à la classe ouvrière. Ce livre fondateur de la socio-histoire de l’immigration montre la lente construction — puis le rapide déclin — d’un groupe ouvrier fort et soudé autour de l’engagement communiste.Note de contenu : Voir aussi, en hyperlien, "En mémoire de la « République populaire de Longwy »" / par GN, Agone le jeudi 18 avril 2019 : "On commémore en ce moment dans le bassin de Longwy, le quarantième anniversaire du puissant mouvement social qui a transformé pendant plusieurs mois cette région en une « République populaire de Longwy » comme le signalait Le Monde du 23 mars 1979. Jeune enseignant dans un collège de cette ville, j’ai moi-même participé à cette lutte collective. À l’heure où les médias dominants ne cessent de dénoncer la « violence » des gilets jaunes, je voudrais rappeler ce qu’était la lutte des classes quand le mouvement ouvrier n’avait pas encore été démantelé par le capitalisme financier mondialisé." En ligne : http://blog.agone.org/post/2019/04/16/En-mémoire-de-la-«-République-populaire-de [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=474 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 510 ARCH A-44 "19-20" NOI Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Histoire Disponible Du paupérisme à la sécurité sociale : 1850-1940 : essai sur les origines de la sécurité sociale en France / Henri Hatzfeld
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PermalinkPermalinkLes communistes au carrefour / THIBAUD Paul;WINOCK Michel;FEJTO François;MOTHE Daniel in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit,5,mai 1970,p.865-925 ([00/00/0000])
PermalinkLes femmes enfin sujets de l'histoire / Michelle Perrot in Cultures en mouvement [Archivé], Cultures en mouvement, n° 38, juin 2001, p. 13-17 (05/06/2001)
PermalinkPermalinkIl faut sauver les archives du Bund ! / COMBE Sonia in L'Histoire (Paris. 1978) / BU de l'IUT et Cairn.info, Histoire n° 319 avril 2007 p.23-24 (28/03/2007)
PermalinkImmigration et marché du travail : un siècle d'histoire / CHATRIOT Alain; JOIN-LAMBERT Louis; VIET Vincent; GUERRY Linda; BARROS Françoise de; PITTI Laure; PEREIRA Victor; VOLOVITCH-TAVARES Marie-Christine; CORDEIRO Albano; GALLISSOT René; AISSAOUI Rabah;SCIOLDO-ZÜRCHER Yann in Hommes & migrations : revue française de référence sur les dynamiques migratoires / Cité nationale de l'histoire de l'immigration, journals.openedition.org et Cairn.info, Hommes et migrations n° 1263 septembre-octobre 2006 p.2-122 (07/12/2006)
PermalinkLes maoïtes français et l'hypothèse terroriste / Michel Wieviorka in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit, n°10/11, oct.-nov. 1984, p. 133-145 ([00/00/0000])
PermalinkMeditation sur l'action politique / LAVAU Georges; DELANNOI Gil; THIBAUD Paul in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit, 11, nov.1990, p.5-11 ([00/00/0000])
PermalinkMichèle Perrot : l'historienne de la cause des femmes / Antoine Spire in Le Monde de l'Education [archivé], Le monde de l'éducation n° 308 novembre 2002 p. 18-23 (06/11/2002)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkUne maison pour le peuple à Saint-Claude (Jura) : 1880-1940 : catalogue de l'exposition réalisée par L'Association La Fraternelle du 1er juillet au 30 septembre 1995 / Alain Mélo
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