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24 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'MOUVEMENT OUVRIER' 




Audiovisuel et mouvement ouvrier / Centre de création industrielle. Service pour l'innovation sociale (Paris)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2223 ARCH J-20 CEN Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Art / Culture Disponible Les Cahiers du GRMF, 3. L'action familiale ouvrière et la politique de Vichy : compte rendu [Journées d'études 28-29 nov. 1984, Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux] / GRMF
Titre de série : Les Cahiers du GRMF, 3 Titre : L'action familiale ouvrière et la politique de Vichy : compte rendu [Journées d'études 28-29 nov. 1984, Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux] Type de document : texte imprimé Auteurs : GRMF , Auteur
Editeur : Villeneuve d'Ascq (Nord) : Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux Année de publication : 1985 Collection : Les Cahiers du GRMF, ISSN 0758-0436 num. 3 Importance : 345 p. Format : 21 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-90419-02-4 Prix : 10,7 € Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : MOUVEMENT OUVRIER POLITIQUE ACTION SOCIALE histoire guerres et conflits Troisième République, 1870-1945 (Histoire du monde moderne - France et Monaco) Famille : France : 1939-1945 POLITIQUE DE LA FAMILLE TRAVAILLEUR SOCIAL SYNDICALISME MILITANTISME SOCIAL SOCIOLOGIE Index. décimale : F-10 Famille - Vie familiale Résumé : Résultat du travail de recherche consacré à l'action familiale ouvrière face à la politique de Vichy. Note de contenu : 4e de couv. : "1939 : le Code de la famille, 1945 : la naissance de l’Union nationale des associations familiales. L’histoire semble continuer comme si les années qui séparent les deux événements avaient été mises entre parenthèses. La volonté politique du législateur à la Libération est de faire table rase de la législation des gouvernements de Vichy. Elle renforce ainsi l’amnésie soudaine de tout un peuple. A la Libération s’affirme la volonté d’un monde nouveau et de l’effacement des années noires. S’intéresser à cette période des années 1939-1945 procède d’abord d’un principe de méthode : aucun moment de l’histoire ne peut à priori être négligé, même si cette attention risque de réveiller des souvenirs douloureux. L’intérêt pour Vichy, relativement récent, se justifie aussi par les suites, dont certaines sont encore actuelles, de l’œuvre entreprise à ce moment, dans les consciences bien entendu, mais aussi sur le plan des institutions. L’UNAF en est un exemple. Si les approches de cette période ont parfois l’allure de règlements de compte ou d’introspections douloureuses, c’est sans doute parce que ces analyses procèdent d’une vision manichéenne de l’histoire, comme si celle-ci se résumait à l’opposition entre collaborateurs et résistants. L’histoire de cette période est, il est vrai, encore un enjeu de l’histoire d’aujourd’hui, comme certaines affaires récentes l’ont montré. Mais comme le dit un militant du Mouvement populaire des familles d’alors : « On ne savait pas bien où on allait et on était capables de faire des bêtises. » Les mouvements familiaux vivent l’histoire de leur temps. Pour eux, comme pour d’autres organisations, les années 1939-1945 ont été une période de crise et de profonde transformation. Débarrassé des institutions démocratiques, Vichy a permis la traduction immédiate de certaines idées en institutions. Certains mouvements ont pu d’abord constater avec satisfaction que leurs souhaits étaient mis en application, telles certaines mesures en faveur des familles ou l’organisation de la représentation familiale, ou encore la mise en place des organisations corporatives. Mais avec Vichy, les repères vacillent, les malentendus se multiplient. Les organisations sont placées dans des positions contradictoires, à tout le moins incertaines. Ainsi certains syndicats sont séduits par l’application de leurs thèses corporatistes mais l’interdiction des confédérations les remet en cause trop fondamentalement et les éloigne du régime. Les mouvements familiaux, dont la plupart, tel le MPF, sont marqués, directement ou indirectement, par le catholicisme, ne seront pas insensibles à certaines initiatives de Vichy ; ils y seront parfois associés. Mais les tentatives de fusion dans une organisation unique suscitera leur réprobation. Durant ces années difficiles, les préoccupations du MPF se résument en quelques mots simples : survivre et défendre les intérêts de familles ouvrières. Comme d’autres, ses militants s’efforcent de répondre aux nécessités du moment : manger, se chauffer, assurer le bien-être des enfants, aider les familles dont le père est prisonnier ou qui sont sinistrées…Autant d’actions dans lesquelles sont souvent associés les mouvements ruraux. Pour défendre les familles, il faut aussi les représenter et se faire accepter à ce titre par les autorités légales. C’est le sens de la participation aux nouvelles instances suscitées ou créées par le régime : Centre de coordination des mouvements familiaux, Comité consultatif de la famille jusqu’à la loi Gounot sur la représentation familiale, autrement dit l’UNAF première manière. Les années 1939-1945 sont donc un moment clé dans l’histoire des mouvements familiaux et de la représentation familiale. Ceci justifie l’intérêt que leur ont porté les anciens militants et les chercheurs associés dans le GRMF." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=139 Les Cahiers du GRMF, 3. L'action familiale ouvrière et la politique de Vichy : compte rendu [Journées d'études 28-29 nov. 1984, Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux] [texte imprimé] / GRMF, Auteur . - Villeneuve d'Ascq (Nord) (4 all Ternois, 59650) : Groupement pour la recherche sur les mouvements familiaux, 1985 . - 345 p. ; 21 x 15 cm. - (Les Cahiers du GRMF, ISSN 0758-0436; 3) .
ISSN : 2-90419-02-4 : 10,7 €
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : MOUVEMENT OUVRIER POLITIQUE ACTION SOCIALE histoire guerres et conflits Troisième République, 1870-1945 (Histoire du monde moderne - France et Monaco) Famille : France : 1939-1945 POLITIQUE DE LA FAMILLE TRAVAILLEUR SOCIAL SYNDICALISME MILITANTISME SOCIAL SOCIOLOGIE Index. décimale : F-10 Famille - Vie familiale Résumé : Résultat du travail de recherche consacré à l'action familiale ouvrière face à la politique de Vichy. Note de contenu : 4e de couv. : "1939 : le Code de la famille, 1945 : la naissance de l’Union nationale des associations familiales. L’histoire semble continuer comme si les années qui séparent les deux événements avaient été mises entre parenthèses. La volonté politique du législateur à la Libération est de faire table rase de la législation des gouvernements de Vichy. Elle renforce ainsi l’amnésie soudaine de tout un peuple. A la Libération s’affirme la volonté d’un monde nouveau et de l’effacement des années noires. S’intéresser à cette période des années 1939-1945 procède d’abord d’un principe de méthode : aucun moment de l’histoire ne peut à priori être négligé, même si cette attention risque de réveiller des souvenirs douloureux. L’intérêt pour Vichy, relativement récent, se justifie aussi par les suites, dont certaines sont encore actuelles, de l’œuvre entreprise à ce moment, dans les consciences bien entendu, mais aussi sur le plan des institutions. L’UNAF en est un exemple. Si les approches de cette période ont parfois l’allure de règlements de compte ou d’introspections douloureuses, c’est sans doute parce que ces analyses procèdent d’une vision manichéenne de l’histoire, comme si celle-ci se résumait à l’opposition entre collaborateurs et résistants. L’histoire de cette période est, il est vrai, encore un enjeu de l’histoire d’aujourd’hui, comme certaines affaires récentes l’ont montré. Mais comme le dit un militant du Mouvement populaire des familles d’alors : « On ne savait pas bien où on allait et on était capables de faire des bêtises. » Les mouvements familiaux vivent l’histoire de leur temps. Pour eux, comme pour d’autres organisations, les années 1939-1945 ont été une période de crise et de profonde transformation. Débarrassé des institutions démocratiques, Vichy a permis la traduction immédiate de certaines idées en institutions. Certains mouvements ont pu d’abord constater avec satisfaction que leurs souhaits étaient mis en application, telles certaines mesures en faveur des familles ou l’organisation de la représentation familiale, ou encore la mise en place des organisations corporatives. Mais avec Vichy, les repères vacillent, les malentendus se multiplient. Les organisations sont placées dans des positions contradictoires, à tout le moins incertaines. Ainsi certains syndicats sont séduits par l’application de leurs thèses corporatistes mais l’interdiction des confédérations les remet en cause trop fondamentalement et les éloigne du régime. Les mouvements familiaux, dont la plupart, tel le MPF, sont marqués, directement ou indirectement, par le catholicisme, ne seront pas insensibles à certaines initiatives de Vichy ; ils y seront parfois associés. Mais les tentatives de fusion dans une organisation unique suscitera leur réprobation. Durant ces années difficiles, les préoccupations du MPF se résument en quelques mots simples : survivre et défendre les intérêts de familles ouvrières. Comme d’autres, ses militants s’efforcent de répondre aux nécessités du moment : manger, se chauffer, assurer le bien-être des enfants, aider les familles dont le père est prisonnier ou qui sont sinistrées…Autant d’actions dans lesquelles sont souvent associés les mouvements ruraux. Pour défendre les familles, il faut aussi les représenter et se faire accepter à ce titre par les autorités légales. C’est le sens de la participation aux nouvelles instances suscitées ou créées par le régime : Centre de coordination des mouvements familiaux, Comité consultatif de la famille jusqu’à la loi Gounot sur la représentation familiale, autrement dit l’UNAF première manière. Les années 1939-1945 sont donc un moment clé dans l’histoire des mouvements familiaux et de la représentation familiale. Ceci justifie l’intérêt que leur ont porté les anciens militants et les chercheurs associés dans le GRMF." Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=139 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 146 F-10 GRO Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Catégories sociales Disponible
Titre : La question du logement et le mouvement ouvrier français Type de document : texte imprimé Auteurs : Groupe ABAC, Collectivité éditrice Editeur : Paris : Éditions de la Villette Année de publication : 1981 Collection : Penser l'espace, ISSN 0753-8359 Importance : 245 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-903539-03-0 Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : LOGEMENT MOUVEMENT OUVRIER CONDITIONS DE VIE HISTOIRE Index. décimale : F-63 Habitat - sociologie de l'habitat Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=1593 La question du logement et le mouvement ouvrier français [texte imprimé] / Groupe ABAC, Collectivité éditrice . - Paris : Éditions de la Villette, 1981 . - 245 p.. - (Penser l'espace, ISSN 0753-8359) .
ISBN : 978-2-903539-03-0
Catégories : F POPULATIONS - ETUDES DE CAS Mots-clés : LOGEMENT MOUVEMENT OUVRIER CONDITIONS DE VIE HISTOIRE Index. décimale : F-63 Habitat - sociologie de l'habitat Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=1593 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1679 F-63 GRO Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Habiter, espaces vécus Disponible
Titre : Longwy : immigrés et prolétaires ; 1880-1980 Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Noiriel (1950-...) , Auteur ; Madeleine Rebérioux (1920-2005), Préfacier, etc.
Editeur : Paris : Presses universitaires de France, PUF Année de publication : 1984 Collection : Pratiques théoriques, ISSN 0753-6216 Importance : 396 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-13-038733-6 Prix : 25 € Note générale : Notes bibliogr. Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : LORRAINE XIXE XXE MUTATION INDUSTRIELLE SYNDICALISME MOUVEMENT OUVRIER HISTOIRE SOCIETE Luttes sociales Syndicalisme Fer -- Industrie et commerce -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Histoire
Métallurgistes -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Histoire
Classe ouvrière -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Relations professionnelles -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Mouvement ouvrier -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Conditions socialesIndex. décimale : A-44 France Résumé : « Au début des années 1950, quelque chose change à Longwy. Pour la première fois les divisions ethniques ne jouent pas. Français et Italiens luttent côte à côte. Par ces grèves, la deuxième génération italienne signe son entrée dans la “vie active”. Elle n’a pas oublié l’exploitation féroce qu’ont subie ses parents. Dès lors, il faut voir dans ces luttes comme une manière pour ces enfants devenus grands de réaliser ce qu’on avait toujours interdit à leurs parents : exprimer publiquement et collectivement leur haine pour un système qui les avait toujours niés en tant qu’individus, citoyens et producteurs. »
En retraçant un siècle d’histoire industrielle et sociale, dans le bassin sidérurgique lorrain où les maîtres de forges sont longtemps restés tout puissants, Gérard Noiriel éclaire de manière décisive la question des rapports entre classes sociales et immigration. Ici, l’inclusion des étrangers dans la nation est passée par l’identification à la classe ouvrière. Ce livre fondateur de la socio-histoire de l’immigration montre la lente construction — puis le rapide déclin — d’un groupe ouvrier fort et soudé autour de l’engagement communiste.Note de contenu : Voir aussi, en hyperlien, "En mémoire de la « République populaire de Longwy »" / par GN, Agone le jeudi 18 avril 2019 : "On commémore en ce moment dans le bassin de Longwy, le quarantième anniversaire du puissant mouvement social qui a transformé pendant plusieurs mois cette région en une « République populaire de Longwy » comme le signalait Le Monde du 23 mars 1979. Jeune enseignant dans un collège de cette ville, j’ai moi-même participé à cette lutte collective. À l’heure où les médias dominants ne cessent de dénoncer la « violence » des gilets jaunes, je voudrais rappeler ce qu’était la lutte des classes quand le mouvement ouvrier n’avait pas encore été démantelé par le capitalisme financier mondialisé." En ligne : http://blog.agone.org/post/2019/04/16/En-mémoire-de-la-«-République-populaire-de [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=474 Longwy : immigrés et prolétaires ; 1880-1980 [texte imprimé] / Gérard Noiriel (1950-...), Auteur ; Madeleine Rebérioux (1920-2005), Préfacier, etc. . - Paris : Presses universitaires de France, PUF, 1984 . - 396 p. ; 22 cm. - (Pratiques théoriques, ISSN 0753-6216) .
ISBN : 978-2-13-038733-6 : 25 €
Notes bibliogr.
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : LORRAINE XIXE XXE MUTATION INDUSTRIELLE SYNDICALISME MOUVEMENT OUVRIER HISTOIRE SOCIETE Luttes sociales Syndicalisme Fer -- Industrie et commerce -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Histoire
Métallurgistes -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Histoire
Classe ouvrière -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Relations professionnelles -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Mouvement ouvrier -- France -- Longwy (Meurthe-et-Moselle)
Longwy (Meurthe-et-Moselle) -- Conditions socialesIndex. décimale : A-44 France Résumé : « Au début des années 1950, quelque chose change à Longwy. Pour la première fois les divisions ethniques ne jouent pas. Français et Italiens luttent côte à côte. Par ces grèves, la deuxième génération italienne signe son entrée dans la “vie active”. Elle n’a pas oublié l’exploitation féroce qu’ont subie ses parents. Dès lors, il faut voir dans ces luttes comme une manière pour ces enfants devenus grands de réaliser ce qu’on avait toujours interdit à leurs parents : exprimer publiquement et collectivement leur haine pour un système qui les avait toujours niés en tant qu’individus, citoyens et producteurs. »
En retraçant un siècle d’histoire industrielle et sociale, dans le bassin sidérurgique lorrain où les maîtres de forges sont longtemps restés tout puissants, Gérard Noiriel éclaire de manière décisive la question des rapports entre classes sociales et immigration. Ici, l’inclusion des étrangers dans la nation est passée par l’identification à la classe ouvrière. Ce livre fondateur de la socio-histoire de l’immigration montre la lente construction — puis le rapide déclin — d’un groupe ouvrier fort et soudé autour de l’engagement communiste.Note de contenu : Voir aussi, en hyperlien, "En mémoire de la « République populaire de Longwy »" / par GN, Agone le jeudi 18 avril 2019 : "On commémore en ce moment dans le bassin de Longwy, le quarantième anniversaire du puissant mouvement social qui a transformé pendant plusieurs mois cette région en une « République populaire de Longwy » comme le signalait Le Monde du 23 mars 1979. Jeune enseignant dans un collège de cette ville, j’ai moi-même participé à cette lutte collective. À l’heure où les médias dominants ne cessent de dénoncer la « violence » des gilets jaunes, je voudrais rappeler ce qu’était la lutte des classes quand le mouvement ouvrier n’avait pas encore été démantelé par le capitalisme financier mondialisé." En ligne : http://blog.agone.org/post/2019/04/16/En-mémoire-de-la-«-République-populaire-de [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=474 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 510 ARCH A-44 "19-20" NOI Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Histoire Disponible Du paupérisme à la sécurité sociale : 1850-1940 : essai sur les origines de la sécurité sociale en France / Henri Hatzfeld
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Titre : Du paupérisme à la sécurité sociale : 1850-1940 : essai sur les origines de la sécurité sociale en France Type de document : texte imprimé Auteurs : Henri Hatzfeld, Auteur Editeur : Nancy : PUN, Presses Universitaires de Nancy - Éditions universitaires de Lorraine Année de publication : 1989 Collection : Espace social, ISSN 0991-5796 Importance : 344 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86480-331-7 Note générale : Bibliogr. p. [328]-344. Notes bibliogr. Catégories : H TRAVAIL SOCIAL - POLITIQUE SOCIALE Mots-clés : ECONOMIE SOCIALE SECURITE SOCIALE POLITIQUE SOCIALE XIXE XXE MOUVEMENT OUVRIER PATRONAT SOCIAL HISTOIRE Aide sociale -- France -- Histoire
Pauvreté
Sécurité sociale -- France -- Histoire
France -- Conditions sociales -- 19e siècle
France -- Conditions sociales -- 20e siècleIndex. décimale : H-20 Politique sociale Résumé : Un mauvais sort semble être attaché à la sécurité sociale. On ne parle d'elle que pour redire son déficit : en réalité, l'insuffisance des ressources qui lui sont allouées pour prendre en charge les dépenses qui lui sont imputées. Par contre on souligne peu les bienfaits accomplis par cette institution initialement conçue pour remédier à l'insécurité de la condition ouvriere. Mais comment est née la sécurité sociale, réponse organique au risque de paupérisation de la classe ouvrière ? Cette longue histoire couvre les dernières décennies du XIXe sicèle et les premières du XXe siècle. Ce livre constitue une introduction incontournable aux problématiques de la protection sociale aujourd'hui. Note de contenu : La Sécurité sociale s'est d'abord donné comme but de "débarrasser les travailleurs de l'incertitude du lendemain", insécurité qui dans leur cas constituait l'un des caractères les moins supportables de la condition prolétarienne. Ce livre s'interroge que les responsabilités du mouvement qui, depuis la fin du XIXe siècle, a progressivement mis en place les éléments constitutifs de notre Sécurité sociale. L'enquête monre que, en ce domaine comme en d'autres, la réalité est plus complexe que les théories. L'idée de la prévoyance obligatoire, imposée par la loi à tous les salariés et à tous les employeurs, suscite longtemps les résistances de divers milieux sociaux. En fait, les rôles joués par le patronat, par les syndicats ouvriers et par la mutualité sont loin d'être univoques et l'on peut voir que les pratiques dites "révolutionnaires" peuvent avoir comme conséquence de "bloquer le jeu", autant comme les pratiques les plus conservatrices. La Sécurité sociale n'est ni la suite des oeuvres sociales du grand patronat, ni la fille de la mutualité, ni le fruit des luttes ouvrières pour la justice sociale. S'impose aussi l'idée du rôle qu'ont joué dans cette affaire les "républicains de progrès" soucieux de rester dans la "vraie tradition du XVIIIe siècle et de la Révolution française". [4e de couv.] En ligne : http://www.reseau-salariat.info/4a35e189711d1a68591ed6f1109a7f54?lang=fr Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=3007 Du paupérisme à la sécurité sociale : 1850-1940 : essai sur les origines de la sécurité sociale en France [texte imprimé] / Henri Hatzfeld, Auteur . - Nancy (2, rue Baron Louis, BP 454, 54000) : PUN, Presses Universitaires de Nancy - Éditions universitaires de Lorraine, 1989 . - 344 p.. - (Espace social, ISSN 0991-5796) .
ISBN : 978-2-86480-331-7
Bibliogr. p. [328]-344. Notes bibliogr.
Catégories : H TRAVAIL SOCIAL - POLITIQUE SOCIALE Mots-clés : ECONOMIE SOCIALE SECURITE SOCIALE POLITIQUE SOCIALE XIXE XXE MOUVEMENT OUVRIER PATRONAT SOCIAL HISTOIRE Aide sociale -- France -- Histoire
Pauvreté
Sécurité sociale -- France -- Histoire
France -- Conditions sociales -- 19e siècle
France -- Conditions sociales -- 20e siècleIndex. décimale : H-20 Politique sociale Résumé : Un mauvais sort semble être attaché à la sécurité sociale. On ne parle d'elle que pour redire son déficit : en réalité, l'insuffisance des ressources qui lui sont allouées pour prendre en charge les dépenses qui lui sont imputées. Par contre on souligne peu les bienfaits accomplis par cette institution initialement conçue pour remédier à l'insécurité de la condition ouvriere. Mais comment est née la sécurité sociale, réponse organique au risque de paupérisation de la classe ouvrière ? Cette longue histoire couvre les dernières décennies du XIXe sicèle et les premières du XXe siècle. Ce livre constitue une introduction incontournable aux problématiques de la protection sociale aujourd'hui. Note de contenu : La Sécurité sociale s'est d'abord donné comme but de "débarrasser les travailleurs de l'incertitude du lendemain", insécurité qui dans leur cas constituait l'un des caractères les moins supportables de la condition prolétarienne. Ce livre s'interroge que les responsabilités du mouvement qui, depuis la fin du XIXe siècle, a progressivement mis en place les éléments constitutifs de notre Sécurité sociale. L'enquête monre que, en ce domaine comme en d'autres, la réalité est plus complexe que les théories. L'idée de la prévoyance obligatoire, imposée par la loi à tous les salariés et à tous les employeurs, suscite longtemps les résistances de divers milieux sociaux. En fait, les rôles joués par le patronat, par les syndicats ouvriers et par la mutualité sont loin d'être univoques et l'on peut voir que les pratiques dites "révolutionnaires" peuvent avoir comme conséquence de "bloquer le jeu", autant comme les pratiques les plus conservatrices. La Sécurité sociale n'est ni la suite des oeuvres sociales du grand patronat, ni la fille de la mutualité, ni le fruit des luttes ouvrières pour la justice sociale. S'impose aussi l'idée du rôle qu'ont joué dans cette affaire les "républicains de progrès" soucieux de rester dans la "vraie tradition du XVIIIe siècle et de la Révolution française". [4e de couv.] En ligne : http://www.reseau-salariat.info/4a35e189711d1a68591ed6f1109a7f54?lang=fr Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=3007 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3233 H-20 HAT Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Professions sociales Disponible PermalinkLes communistes au carrefour / THIBAUD Paul;WINOCK Michel;FEJTO François;MOTHE Daniel in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit,5,mai 1970,p.865-925 ([00/00/0000])
PermalinkLes femmes enfin sujets de l'histoire / Michelle Perrot in Cultures en mouvement [Archivé], Cultures en mouvement, n° 38, juin 2001, p. 13-17 (05/06/2001)
PermalinkPermalinkIl faut sauver les archives du Bund ! / COMBE Sonia in L'Histoire (Paris. 1978) / BU de l'IUT et Cairn.info, Histoire n° 319 avril 2007 p.23-24 (28/03/2007)
PermalinkImmigration et marché du travail : un siècle d'histoire / CHATRIOT Alain; JOIN-LAMBERT Louis; VIET Vincent; GUERRY Linda; BARROS Françoise de; PITTI Laure; PEREIRA Victor; VOLOVITCH-TAVARES Marie-Christine; CORDEIRO Albano; GALLISSOT René; AISSAOUI Rabah;SCIOLDO-ZÜRCHER Yann in Hommes & migrations : revue française de référence sur les dynamiques migratoires / Cité nationale de l'histoire de l'immigration, journals.openedition.org et Cairn.info, Hommes et migrations n° 1263 septembre-octobre 2006 p.2-122 (07/12/2006)
PermalinkLes maoïtes français et l'hypothèse terroriste / Michel Wieviorka in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit, n°10/11, oct.-nov. 1984, p. 133-145 ([00/00/0000])
PermalinkMeditation sur l'action politique / LAVAU Georges; DELANNOI Gil; THIBAUD Paul in Esprit : revue internationale / Cairn.info et Jstor, Esprit, 11, nov.1990, p.5-11 ([00/00/0000])
PermalinkMichèle Perrot : l'historienne de la cause des femmes / Antoine Spire in Le Monde de l'Education [archivé], Le monde de l'éducation n° 308 novembre 2002 p. 18-23 (06/11/2002)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkUne maison pour le peuple à Saint-Claude (Jura) : 1880-1940 : catalogue de l'exposition réalisée par L'Association La Fraternelle du 1er juillet au 30 septembre 1995 / Alain Mélo
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