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1 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Mobilité quotidienne, ancrage résidentiel, ségrégation, adolescent, zone urbaine sensible' 




Les fonctions socialisantes de la mobilité pour les adolescents de zones urbaines sensibles : différentes manières d’habiter un quartier ségrégué / Nicolas Oppenchaim in Enfances, Familles, Générations, EFG : revue interdisciplinaire sur la famille contemporaine / Erudit.org, 19 (automne 2013)
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[article]
Titre : Les fonctions socialisantes de la mobilité pour les adolescents de zones urbaines sensibles : différentes manières d’habiter un quartier ségrégué Type de document : document électronique Auteurs : Nicolas Oppenchaim (1982-...) , Auteur
Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp. 1-18 [PDF 1,2 Mo] Note générale : Plan de l'article
1. Un cadre théorique et méthodologique pluriel
2. Un moindre potentiel de mobilité en ZUS, notamment pour les filles
2.1. Une moindre disponibilité des parents
2.2. Un effet particulier du cadre urbain sur les pratiques des filles
3. Différentes manières d’habiter un quartier ségrégué
3.1. Trois manières d’habiter typiques des garçons de ZUS
3.2. Quatre manières d’habiter typiques des filles de ZUS
3.2.1. Les « filles de bonne famille » et les « guerrières »
3.2.2. Les « flâneuses exclusives » et les « encadrées à faible mobilité »
ConclusionLangues : Français (fre) Mots-clés : Mobilité quotidienne, ancrage résidentiel, ségrégation, adolescent, zone urbaine sensible Résumé : L’objectif de cet article est de mieux comprendre l’articulation entre l’ancrage résidentiel des adolescents habitant dans des quartiers ségrégués et leurs pratiques de mobilité dans la ville. Nous nous appuyons pour cela sur le cas des adolescents de catégories populaires et moyennes qui habitent dans des zones urbaines sensibles (ZUS) franciliennes. L’emploi de matériaux statistiques, ethnographiques et d’entretiens semi-directifs nous permet de montrer que les adolescents de ZUS ont un potentiel de mobilité inférieur à celui des autres adolescents, mais que vivre dans un quartier ségrégué ne signifie pas nécessairement une absence de fréquentation du reste de la ville. En ligne : http://www.erudit.org/revue/efg/2013/v/n19/1023767ar.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=123066
in Enfances, Familles, Générations, EFG : revue interdisciplinaire sur la famille contemporaine / Erudit.org > 19 (automne 2013) . - pp. 1-18 [PDF 1,2 Mo][article] Les fonctions socialisantes de la mobilité pour les adolescents de zones urbaines sensibles : différentes manières d’habiter un quartier ségrégué [document électronique] / Nicolas Oppenchaim (1982-...), Auteur . - 2013 . - pp. 1-18 [PDF 1,2 Mo].
Plan de l'article
1. Un cadre théorique et méthodologique pluriel
2. Un moindre potentiel de mobilité en ZUS, notamment pour les filles
2.1. Une moindre disponibilité des parents
2.2. Un effet particulier du cadre urbain sur les pratiques des filles
3. Différentes manières d’habiter un quartier ségrégué
3.1. Trois manières d’habiter typiques des garçons de ZUS
3.2. Quatre manières d’habiter typiques des filles de ZUS
3.2.1. Les « filles de bonne famille » et les « guerrières »
3.2.2. Les « flâneuses exclusives » et les « encadrées à faible mobilité »
Conclusion
Langues : Français (fre)
in Enfances, Familles, Générations, EFG : revue interdisciplinaire sur la famille contemporaine / Erudit.org > 19 (automne 2013) . - pp. 1-18 [PDF 1,2 Mo]
Mots-clés : Mobilité quotidienne, ancrage résidentiel, ségrégation, adolescent, zone urbaine sensible Résumé : L’objectif de cet article est de mieux comprendre l’articulation entre l’ancrage résidentiel des adolescents habitant dans des quartiers ségrégués et leurs pratiques de mobilité dans la ville. Nous nous appuyons pour cela sur le cas des adolescents de catégories populaires et moyennes qui habitent dans des zones urbaines sensibles (ZUS) franciliennes. L’emploi de matériaux statistiques, ethnographiques et d’entretiens semi-directifs nous permet de montrer que les adolescents de ZUS ont un potentiel de mobilité inférieur à celui des autres adolescents, mais que vivre dans un quartier ségrégué ne signifie pas nécessairement une absence de fréquentation du reste de la ville. En ligne : http://www.erudit.org/revue/efg/2013/v/n19/1023767ar.pdf Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=123066