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Du milieu à l'environnement : pratiques et représentations du rapport homme nature depuis la Renaissance / ROBIC Marie-Claire;BESSE Jean-Marc;LUGINBUHL Yves;OZOUF-MARINIER Marie-Vic;TISSIER Jean-Louis
Titre : Du milieu à l'environnement : pratiques et représentations du rapport homme nature depuis la Renaissance Type de document : texte imprimé Auteurs : ROBIC Marie-Claire;BESSE Jean-Marc;LUGINBUHL Yves;OZOUF-MARINIER Marie-Vic;TISSIER Jean-Louis, Auteur Editeur : Paris : Economica Année de publication : 1992 Importance : 343 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7178-2324-0 Prix : 39 € Note générale : Sous la direction de Marie-Claire Robic ; co-auteurs : Jean-Marc Besse, Yves Luginbuhl, Marie-Vic Ozouf-Marignier et al. Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : PAYSAGE POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT XVE XVIE XVIIE XVIIIE XIXE XXE GEOGRAPHIE SCIENCES Paysage 1500-... Nature -- Effets de l'homme Histoire Homme Effets de l'environnement Géographie Écologie humaine Environnement Techniques Technique sanitaire techniques municipales Technique protection de l'environnement Idéologie
Écologie humaineIndex. décimale : S-10 Histoire des sciences et des techniques Résumé : Reconstitue l'histoire du rapport à la nature entretenu par la société depuis le XVe siècle, rapport qui a abouti aux notions de paysage, de milieu et d'aménagement de la nature; analyse les théories des géographes sur la "question du milieu" depuis l'institutionnalisation de la géographie dans la seconde moitié du XIXe siècle. Note de contenu : Bibliogr. p. 315-330. Index Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6165 Du milieu à l'environnement : pratiques et représentations du rapport homme nature depuis la Renaissance [texte imprimé] / ROBIC Marie-Claire;BESSE Jean-Marc;LUGINBUHL Yves;OZOUF-MARINIER Marie-Vic;TISSIER Jean-Louis, Auteur . - Paris : Economica, 1992 . - 343 p. : ill., couv. ill. ; 24 cm.
ISBN : 978-2-7178-2324-0 : 39 €
Sous la direction de Marie-Claire Robic ; co-auteurs : Jean-Marc Besse, Yves Luginbuhl, Marie-Vic Ozouf-Marignier et al.
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : PAYSAGE POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT XVE XVIE XVIIE XVIIIE XIXE XXE GEOGRAPHIE SCIENCES Paysage 1500-... Nature -- Effets de l'homme Histoire Homme Effets de l'environnement Géographie Écologie humaine Environnement Techniques Technique sanitaire techniques municipales Technique protection de l'environnement Idéologie
Écologie humaineIndex. décimale : S-10 Histoire des sciences et des techniques Résumé : Reconstitue l'histoire du rapport à la nature entretenu par la société depuis le XVe siècle, rapport qui a abouti aux notions de paysage, de milieu et d'aménagement de la nature; analyse les théories des géographes sur la "question du milieu" depuis l'institutionnalisation de la géographie dans la seconde moitié du XIXe siècle. Note de contenu : Bibliogr. p. 315-330. Index Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=6165 Réservation
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Titre : La nature à l'épreuve de l'homme Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Chansigaud (1961-...) , Auteur
Editeur : Paris : Delachaux et Niestlé Année de publication : 2015 Importance : 239 p. Présentation : ill. en noir et blanc, cartes, couv. ill. en coul. Format : 22 x 15 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-603-02083-8 Prix : 19 € Note générale : Voir aussi, en hyperlien, La Marche des sciences, 5.11.2015 (55') : L'homme, ce loup pour la nature ! avec Carmen Bernand et Valérie Chansigaud ; "Pollution, maladies, épidémies, risques sanitaires…, chaque jour, l’actualité du monde nous rappelle l’état de la crise environnementale que nous traversons à travers le prisme de ces sujets, souvent traités de façon isolée. Des salades imbibées de DDT à une surconsommation de viande présentée comme scientifiquement dangereuse pour la santé des hommes, les alertes sont souvent lancées...,sporadiquement,...encore faut-il en tirer des leçons plus globales pour demain. En effet, à y regarder de plus près, l’ensemble de ces événements constitue un riche tableau historique, un siècle de liens tissés entre santé et environnement qui nous raconte combien l’homme n’en est pas seulement un témoin, mais aussi et surtout un acteur de premier plan et une victime programmée. Docteur en sciences de l’environnement et historienne, auteur de nombreux livres dont L’homme et la nature : une histoire mouvementée (Delachaux et Niestlé, 2013) et tout récemment de La nature à l’épreuve de l’homme (Delachaux et Nietslé, 2015), Valérie Chansigaud retrace l’histoire de cette relation de l'homme à la nature, et nous montre que les hommes sont responsables de nombreuses maladies environnementales et de dysfonctionnement sociaux qui, faute de changement d’attitude, risquent de compromettre notre avenir." Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Environnement / L'environnement et l'activité humaine Écologie humaine Nature -- Effets de l'homme Homme -- Effets de l'environnement Écologie, gestion de l'environnement, protection de l'environnement Pollution -- Aspect social Écologie animale Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Histoire originale des liens qui unissent l'homme et la nature. Les liens entre santé et environnement montrent que l'homme n'est pas un élément extérieur à la nature et que de nombreuses maladies environnementales résultent de ses choix et ses activités. L'auteure invite à s'interroger sur la responsabilité humaine. Note de contenu : Bibliogr. p. 219-234. Index 4e de couv. : "Il ne se passe pas un jour sans que l'on soit informé d'une pollution, de l'apparition d'une maladie ou d'un nouveau risque sanitaire : ces événements sont traités comme des sujets d'actualité, isolés et sans passé, alors qu'ils forment un ensemble significatif. Nous n'en sommes pas seulement les témoins, mais également les acteurs et les victimes. Adaptation, frontières, inégalités, gestion, indicateur, indifférence, réitération et désordre, sont autant de mots clés qui décrivent la crise environnementale actuelle suivant des angles différents. Ils organisent les chapitres de ce livre qui propose une histoire originale de nos multiples liens à l'environnement : ce qui met à l'épreuve la faune et la flore sauvages affecte aussi nos animaux et nos plantes domestiques ainsi que nous-mêmes. En se fondant sur des exemples très récents, La Nature à l'épreuve de l'homme nous fait découvrir qu'il a fallu que des oiseaux deviennent incapables de se reproduire pour que l'on commence à s'inquiéter véritablement de l'impact des pesticides, que les arbres sont victimes d'épidémies tous les dix ans, que le nombre de pathogènes et de nuisibles croît de façon exponentielle, que l'augmentation de la consommation de viande menace l'alimentation des générations à venir, que de nouvelles maladies ravagent chauves-souris et batraciens, que le développement vertigineux du commerce et des voyages rend vulnérable l'ensemble du monde vivant, etc. Retracer l'histoire des liens entre santé et environnement permet de démontrer que l'homme n'est pas un élément extérieur à la nature et que bon nombre de maladies environnementales résultent en définitive de nos choix et de nos activités. L'histoire des maladies touchant la nature sauvage, de plus en plus nombreuses, est le signe d'un dysfonctionnement social profond dont l'homme est souvent la première victime. La Nature à l'épreuve de l'homme rend visible une histoire invisible et nous invite à nous interroger sur notre responsabilité." En ligne : http://www.franceculture.fr/emission-la-marche-des-sciences-l-homme-ce-loup-pour [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=140397 La nature à l'épreuve de l'homme [texte imprimé] / Valérie Chansigaud (1961-...), Auteur . - Paris : Delachaux et Niestlé, 2015 . - 239 p. : ill. en noir et blanc, cartes, couv. ill. en coul. ; 22 x 15 cm.
ISBN : 978-2-603-02083-8 : 19 €
Voir aussi, en hyperlien, La Marche des sciences, 5.11.2015 (55') : L'homme, ce loup pour la nature ! avec Carmen Bernand et Valérie Chansigaud ; "Pollution, maladies, épidémies, risques sanitaires…, chaque jour, l’actualité du monde nous rappelle l’état de la crise environnementale que nous traversons à travers le prisme de ces sujets, souvent traités de façon isolée. Des salades imbibées de DDT à une surconsommation de viande présentée comme scientifiquement dangereuse pour la santé des hommes, les alertes sont souvent lancées...,sporadiquement,...encore faut-il en tirer des leçons plus globales pour demain. En effet, à y regarder de plus près, l’ensemble de ces événements constitue un riche tableau historique, un siècle de liens tissés entre santé et environnement qui nous raconte combien l’homme n’en est pas seulement un témoin, mais aussi et surtout un acteur de premier plan et une victime programmée. Docteur en sciences de l’environnement et historienne, auteur de nombreux livres dont L’homme et la nature : une histoire mouvementée (Delachaux et Niestlé, 2013) et tout récemment de La nature à l’épreuve de l’homme (Delachaux et Nietslé, 2015), Valérie Chansigaud retrace l’histoire de cette relation de l'homme à la nature, et nous montre que les hommes sont responsables de nombreuses maladies environnementales et de dysfonctionnement sociaux qui, faute de changement d’attitude, risquent de compromettre notre avenir."
Catégories : S SCIENCES ET TECHNIQUES Mots-clés : Environnement / L'environnement et l'activité humaine Écologie humaine Nature -- Effets de l'homme Homme -- Effets de l'environnement Écologie, gestion de l'environnement, protection de l'environnement Pollution -- Aspect social Écologie animale Index. décimale : S-40 Ethique - Politique de la science Résumé : Histoire originale des liens qui unissent l'homme et la nature. Les liens entre santé et environnement montrent que l'homme n'est pas un élément extérieur à la nature et que de nombreuses maladies environnementales résultent de ses choix et ses activités. L'auteure invite à s'interroger sur la responsabilité humaine. Note de contenu : Bibliogr. p. 219-234. Index 4e de couv. : "Il ne se passe pas un jour sans que l'on soit informé d'une pollution, de l'apparition d'une maladie ou d'un nouveau risque sanitaire : ces événements sont traités comme des sujets d'actualité, isolés et sans passé, alors qu'ils forment un ensemble significatif. Nous n'en sommes pas seulement les témoins, mais également les acteurs et les victimes. Adaptation, frontières, inégalités, gestion, indicateur, indifférence, réitération et désordre, sont autant de mots clés qui décrivent la crise environnementale actuelle suivant des angles différents. Ils organisent les chapitres de ce livre qui propose une histoire originale de nos multiples liens à l'environnement : ce qui met à l'épreuve la faune et la flore sauvages affecte aussi nos animaux et nos plantes domestiques ainsi que nous-mêmes. En se fondant sur des exemples très récents, La Nature à l'épreuve de l'homme nous fait découvrir qu'il a fallu que des oiseaux deviennent incapables de se reproduire pour que l'on commence à s'inquiéter véritablement de l'impact des pesticides, que les arbres sont victimes d'épidémies tous les dix ans, que le nombre de pathogènes et de nuisibles croît de façon exponentielle, que l'augmentation de la consommation de viande menace l'alimentation des générations à venir, que de nouvelles maladies ravagent chauves-souris et batraciens, que le développement vertigineux du commerce et des voyages rend vulnérable l'ensemble du monde vivant, etc. Retracer l'histoire des liens entre santé et environnement permet de démontrer que l'homme n'est pas un élément extérieur à la nature et que bon nombre de maladies environnementales résultent en définitive de nos choix et de nos activités. L'histoire des maladies touchant la nature sauvage, de plus en plus nombreuses, est le signe d'un dysfonctionnement social profond dont l'homme est souvent la première victime. La Nature à l'épreuve de l'homme rend visible une histoire invisible et nous invite à nous interroger sur notre responsabilité." En ligne : http://www.franceculture.fr/emission-la-marche-des-sciences-l-homme-ce-loup-pour [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=140397 Réservation
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Avant que nature meure : pour une écologie politique ; Pour que nature vive / BU Sciences-Pharmacie / Jean Dorst
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Titre : Avant que nature meure : pour une écologie politique ; Pour que nature vive / BU Sciences-Pharmacie Type de document : document électronique Auteurs : Jean Dorst (1924-2001) , Auteur ; Robert Barbault (1943-2013), Auteur ; Roger Heim (1900-1979), Préfacier, etc. ; Yves Coppens (1934-...), Préfacier, etc.
Mention d'édition : Nouvelle édition Editeur : Paris : Editions du Muséum national d'histoire naturelle, MNHN Année de publication : 2012, cop. 1969 Autre Editeur : Paris : Delachaux et Niestlé Importance : 537 p. Présentation : ill. en noir et en coul., cartes, couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-603-01876-7 Note générale : Reprend le texte de la 6e édition de 1978 avec une nouvelle préface.- Avant que nature meure est un ouvrage de Jean Dorst publié en 1965. Il s'agit de l'un des premiers ouvrages francophones à traiter ouvertement de la menace que les activités humaines font peser sur la nature.- Ce livre se veut le témoignage engagé, publié en 1965, d'un ornithologue pour un pacte de réconciliation entre l'homme et la nature avant de s'affranchir des lois biologiques. Préserver un monde de ressources diverses hors prédation devient essentiel.- Contient :
Avant que nature meure. - pour une écologie politique
Pour que nature vive / Robert BarbaultLangues : Français (fre) Mots-clés : FAUNE FLORE BIODIVERSITE Nature -- Protection Écologie humaine Écologisme Nature -- Effets de l'homme Sujets-Lieux PROTECTION DE LA NATURE DEMOGRAPHIE AGRICULTURE
EROSION
POLLUANT
TOXICITE
DECHET
POLLUTION DE LA MER
MILIEU NATUREL
ESPECE MENACEE
ECOLOGIE POLITIQUERésumé : A travers le constat alarmant des dégradations des milieux naturels Jean Dorst, ornithologue et professeur au Museum National d'Histoire Naturelle de Paris, effectue dans cet ouvrage abondamment documenté une analyse, de la manière la plus objective possible, des événements, incidents, dommages, catastrophes dont l'homme est le témoin,et lance avec conviction un appel à la mobilisation et à l'action pour que l'homme se réconcilie avec cette nature à laquelle il appartient et dont il dépend.-
Beaucoup de choses se sont passées depuis que, en 1965, Jean Dorst a publié son fameux Avant que nature meure, analyse vivante et prémonitoire de la crise d'érosion de la biodiversité aujourd'hui avérée. Et appel à l'action : pour que l'homme se réconcilie avec la nature. Toutes donnent raison à cette analyse documentée et réfléchie. Toutes ont besoin de la profondeur de ce récit, de son ampleur tant naturaliste qu'historique et géographique, pour être pleinement comprises. Certes, des avancées réelles ont été obtenues sur le plan des connaissances, de la prise de conscience, de la mobilisation et de l'action. Mais la biodiversité continue de se déchirer. Pourquoi ? Que faire ?
D'abord, relire Avant que nature meure, qui a conservé toute son actualité, sa pertinence... et sa saveur. Ensuite, s'appuyer sur une synthèse de ce qui s'est passé depuis 1965, sur les développements en matière de connaissance et de protection de la biodiversité, et sur les obstacles qui persistent.
Avec Pour que nature vive, Robert Barbault prolonge ce récit écologique, avec des rappels fréquents sur les clairvoyances étonnantes d'actualité. Il confirme la réalité de la crise d'extinction de la biodiversité et en précise l'ampleur et les modalités, à la lumière des faits... et des analyses de Jean Dorst. Il s'attache ensuite à souligner l'ample mobilisation qui s'est déployée depuis les années 1970, et ouvre la perspective, encore utopique mais qui s'enracine, de cette réconciliation avec la nature, dans un esprit de solidarité écologique, sur la base d'une éthique de la biosphère.Note de contenu : Sommaire :
Avant que nature meure / Jean Dorst
Hier
1. L'homme préindustriel et son influence sur la nature
2. L'homme contre la nature
3. L'homme au secours de la nature
Aujourd'hui
4. L'explosion démographique du XXe siècle
5. Par le fer et par le feu : la destruction des terres par l'homme
6. Fléaux et remèdes pernicieux
7. Les déchets de la civilisation industrielle à l'assaut de la planète
8. L'homme, artisan de communautés biologiques artificielles
9. Pillage ou exploitation rationnelle des ressources de mer
10. L'homme dans la nature
Pour que nature vive / Robert Barbaut
1. Un tissu vivant qui se déchire
2. mobilisation pour la biodiversité
3. La biodiversité, c'est quoi ?
Bibliogr. p. 454-[467] et p. 536-[538]. Notes bibliogr.En ligne : https://www.franceinter.fr/emissions/la-bibliotheque-scientifique-ideale/la-bibl [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=278697 Avant que nature meure : pour une écologie politique ; Pour que nature vive / BU Sciences-Pharmacie [document électronique] / Jean Dorst (1924-2001), Auteur ; Robert Barbault (1943-2013), Auteur ; Roger Heim (1900-1979), Préfacier, etc. ; Yves Coppens (1934-...), Préfacier, etc. . - Nouvelle édition . - Paris : Editions du Muséum national d'histoire naturelle, MNHN : Paris : Delachaux et Niestlé, 2012, cop. 1969 . - 537 p. : ill. en noir et en coul., cartes, couv. ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-603-01876-7
Reprend le texte de la 6e édition de 1978 avec une nouvelle préface.- Avant que nature meure est un ouvrage de Jean Dorst publié en 1965. Il s'agit de l'un des premiers ouvrages francophones à traiter ouvertement de la menace que les activités humaines font peser sur la nature.- Ce livre se veut le témoignage engagé, publié en 1965, d'un ornithologue pour un pacte de réconciliation entre l'homme et la nature avant de s'affranchir des lois biologiques. Préserver un monde de ressources diverses hors prédation devient essentiel.- Contient :
Avant que nature meure. - pour une écologie politique
Pour que nature vive / Robert Barbault
Langues : Français (fre)
Mots-clés : FAUNE FLORE BIODIVERSITE Nature -- Protection Écologie humaine Écologisme Nature -- Effets de l'homme Sujets-Lieux PROTECTION DE LA NATURE DEMOGRAPHIE AGRICULTURE
EROSION
POLLUANT
TOXICITE
DECHET
POLLUTION DE LA MER
MILIEU NATUREL
ESPECE MENACEE
ECOLOGIE POLITIQUERésumé : A travers le constat alarmant des dégradations des milieux naturels Jean Dorst, ornithologue et professeur au Museum National d'Histoire Naturelle de Paris, effectue dans cet ouvrage abondamment documenté une analyse, de la manière la plus objective possible, des événements, incidents, dommages, catastrophes dont l'homme est le témoin,et lance avec conviction un appel à la mobilisation et à l'action pour que l'homme se réconcilie avec cette nature à laquelle il appartient et dont il dépend.-
Beaucoup de choses se sont passées depuis que, en 1965, Jean Dorst a publié son fameux Avant que nature meure, analyse vivante et prémonitoire de la crise d'érosion de la biodiversité aujourd'hui avérée. Et appel à l'action : pour que l'homme se réconcilie avec la nature. Toutes donnent raison à cette analyse documentée et réfléchie. Toutes ont besoin de la profondeur de ce récit, de son ampleur tant naturaliste qu'historique et géographique, pour être pleinement comprises. Certes, des avancées réelles ont été obtenues sur le plan des connaissances, de la prise de conscience, de la mobilisation et de l'action. Mais la biodiversité continue de se déchirer. Pourquoi ? Que faire ?
D'abord, relire Avant que nature meure, qui a conservé toute son actualité, sa pertinence... et sa saveur. Ensuite, s'appuyer sur une synthèse de ce qui s'est passé depuis 1965, sur les développements en matière de connaissance et de protection de la biodiversité, et sur les obstacles qui persistent.
Avec Pour que nature vive, Robert Barbault prolonge ce récit écologique, avec des rappels fréquents sur les clairvoyances étonnantes d'actualité. Il confirme la réalité de la crise d'extinction de la biodiversité et en précise l'ampleur et les modalités, à la lumière des faits... et des analyses de Jean Dorst. Il s'attache ensuite à souligner l'ample mobilisation qui s'est déployée depuis les années 1970, et ouvre la perspective, encore utopique mais qui s'enracine, de cette réconciliation avec la nature, dans un esprit de solidarité écologique, sur la base d'une éthique de la biosphère.Note de contenu : Sommaire :
Avant que nature meure / Jean Dorst
Hier
1. L'homme préindustriel et son influence sur la nature
2. L'homme contre la nature
3. L'homme au secours de la nature
Aujourd'hui
4. L'explosion démographique du XXe siècle
5. Par le fer et par le feu : la destruction des terres par l'homme
6. Fléaux et remèdes pernicieux
7. Les déchets de la civilisation industrielle à l'assaut de la planète
8. L'homme, artisan de communautés biologiques artificielles
9. Pillage ou exploitation rationnelle des ressources de mer
10. L'homme dans la nature
Pour que nature vive / Robert Barbaut
1. Un tissu vivant qui se déchire
2. mobilisation pour la biodiversité
3. La biodiversité, c'est quoi ?
Bibliogr. p. 454-[467] et p. 536-[538]. Notes bibliogr.En ligne : https://www.franceinter.fr/emissions/la-bibliotheque-scientifique-ideale/la-bibl [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=278697 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
Exemplaires
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Gresle François. Moscovici Serge, La société contre nature.. In: Revue française de sociologie, 1974, 15-1. pp. 127-133.URL![]()
Lautman Jacques. Serge Moscovici, La Société contre nature, 1972. In: Sociologie du travail, 16ᵉ année n°3, Juillet-septembre 1974. Mouvements sociaux d'aujourd'hui. pp. 330-331.URL![]()
Le problème des rapports de l’homme et de la société à la nature est en effet le plus souvent posé en affirmant, telle une opposition irréductible, l’universalité de la nature et la particularité de la société, celle-là servant de modèle de fonctionnementURL
Titre : Mutation : l'aventure humaine ne fait que commencer / SUDOC Type de document : document électronique Auteurs : Nathanaël Wallenhorst (1980-...) , Auteur
Editeur : Paris : Éditions le Pommier Année de publication : 2021 Importance : 269 p. Présentation : illustrations Format : 20 x 13 x 2 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7465-2355-5 Prix : 18 € Note générale : cf. hyperlien : " [...] On est à un moment crucial, à un carrefour où, de fait, la possibilité de disparaître est envisageable. Et ça veut dire quoi ? C'est, ni plus ni moins, la poursuite des logiques actuelles néolibérales dans lesquelles nous sommes. De fait, elles scient avec détermination la branche de laquelle nous recevons la vie.
Mais je pense qu'à ce carrefour, il y a une autre possibilité qui est précisément celle de muter, et qu'on entreprenne une forme d'immense mutation humaine, de mutation anthropologique, c'est-à-dire d'envisager une mutation humaine qui soit encastrée sur les savoirs géoscientifiques tels qu'il se dévoilent à nous, notamment dans l'ensemble des rapports du GIEC. [...@
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franceinfo
Thomas Snégaroff
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Mis à jour le 27/06/2021 | 15:57
publié le 27/06/2021 | 15:57
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Illustration de la couverture de l\'essai que vient de publier Nathanaël Wallenhorst : \"Mutation, L\'aventure humaine ne fait que commencer\". Illustration de la couverture de l'essai que vient de publier Nathanaël Wallenhorst : "Mutation, L'aventure humaine ne fait que commencer". (EDITIONS LE POMMIER)
Les recherches de Nathanaël Wallenhorst, docteur en sciences de l’environnement, en science politique et en sciences de l’éducation, portent sur les incidences éducatives et politiques de l’entrée dans l’Anthropocène. Auteur de plusieurs ouvrages, il est directeur de collections au Pommier. Il vient de publier Mutation, L'aventure humaine ne fait que commencer, aux éditions Le Pommier.
Thomas Snégaroff : Cette semaine des fuites d'un rapport du GIEC ont été rendues publiques, un rapport qui s'alarme d'une possible disparition de la vie humaine sur Terre. Vous, vous dites : "L'aventure humaine ne fait que commencer". Est-ce que ça veut dire que vous n'êtes pas d'accord avec l'idée que nous pourrions disparaître ?
Nathanaël Wallenhorst : Alors moi, je suis vraiment, vraiment d'accord avec les rapports du GIEC, mais la question ce n'est même pas de savoir si on est d'accord ou pas d'accord, on est face à un consensus scientifique qui est conséquent, considérable. Et ce qui est très important, c'est de nous mettre d'accord sur les faits, et l'ensemble des rapports du GIEC nous aident à nous mettre d'accord sur les faits.
On est à un moment crucial, à un carrefour où, de fait, la possibilité de disparaître est envisageable. Et ça veut dire quoi ? C'est, ni plus ni moins, la poursuite des logiques actuelles néolibérales dans lesquelles nous sommes. De fait, elles scient avec détermination la branche de laquelle nous recevons la vie.
Mais je pense qu'à ce carrefour, il y a une autre possibilité qui est précisément celle de muter, et qu'on entreprenne une forme d'immense mutation humaine, de mutation anthropologique, c'est-à-dire d'envisager une mutation humaine qui soit encastrée sur les savoirs géoscientifiques tels qu'il se dévoilent à nous, notamment dans l'ensemble des rapports du GIEC.
Mais quand vous dites "nous ne sommes pas séparés de la Terre, nous sommes la Terre", en fait, c'est peut-être ça le problème, c'est qu'on s'est souvent pensés sur la Terre uniquement, et pas faisant partie d'un même tout avec la Terre ?
On arrive aux limites de conception de l'humain, et de l'humain en société où, de fait, on a fait comme si on était comme extrait, en dehors, au-dessus de la Terre, de la biosphère, de la nature. Et il me semble au contraire, que nous ne faisons qu'un avec la biosphère.
Vous êtes à rebours de ceux qui pensent aussi une mutation, plus technologique, de l'homme augmenté, etc. Vous au contraire, c'est une reconnexion à la Terre, plutôt qu'une espèce de déconnexion d'un homme qui serait encore plus éloigné de notre système terre ?
Oui, le livre se veut une forme de réponse à un double débat qui a lieu aujourd'hui dans nos sociétés. L'un d'entre eux, c'est la mutation qui est esquissée par les transhumanistes qui envisagent une mutation qui est une mutation économique, qu'il s'agisse de devenir le plus gros possible - et on espère de cette façon repousser les limites de notre mort individuelle. Mais c'est strictement individuel. Il s'agit d'augmenter ma propre puissance, et ce que j'ai voulu dire à travers ce livre, c'est que les transhumanistes n'ont pas le monopole de la mutation.
Il faut au contraire, à 180 degrés de cette mutation économique, envisager une mutation proprement politique, c'est-à-dire refonder un nouveau "Nous", un autre "Nous". Mais à partir d'un centre de gravité qui est un espace vide, relationnel, qui est l'espace du politique, qui est l'émergence de ce miracle de l'action de concert, ensemble, où nous décidons de notre propre devenir.
Le deuxième débat par rapport auquel j'ai voulu me positionner, c'est le fait qu'il est inévitable et inexorable qu'un immense effondrement advienne. Je refuse de prendre acte du fait que le pire soit certain."Mots-clés : Nature -- Effets de l'homme Écologie humaine Activité humaine, Sociologie, Anthropologie Résumé : S'interrogeant sur les fantasmes transhumanistes d'un homme augmenté et immortel, l'auteur rappelle que la véritable mutation actuellement à l'oeuvre concerne la planète. Dénonçant la soif illimitée de l'homme pour la possession et la domination, il invite à un changement radical de paradigme afin de mettre en oeuvre une coexistence pacifique entre les humains ainsi qu'avec l'ensemble du vivant. ©Electre 2021 Note de contenu : Depuis quelques années, des groupuscules transhumanistes fantasment une mutation humaine. En nous « augmentant », nous pourrions vaincre la mort, et véritablement être « comme des dieux ». Mais opportunément, les mêmes, refusant tout déterminisme biologique, minimisent la véritable mutation en cours : celle de la planète. Or, si elle est bel et bien le défi du siècle, une mutation humaine doit nécessairement prendre acte des limites de la Terre. Elle procédera non d'une amélioration ou d'une augmentation de l'individu, mais d'un changement radical de la façon dont nous coexistons, entre humains, et entre humains et non-humains. Elle portera sur cet espace qui est « entre ». Bref, elle sera politique. Dans cet essai, Nathanaël Wallenhorst poursuit son travail d'analyse de l'Anthropocène en dénonçant cette soif qui nous pousse à la possession illimitée et à la domination. La mutation qu'il appelle de ses voeux ? Repenser l'humanité comme une aventure en conciliant biologie et politique, jaillissement de la vie et organisation de la pensée. Et cela ne va pas sans résistance ni critique du néolibéralisme... - Notes bibliographiques en fin d'ouvrage. Bibliographie p. [247]-262 En ligne : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/regard-sur-l-info/regard-sur-l-info-nat [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=271501 Mutation : l'aventure humaine ne fait que commencer / SUDOC [document électronique] / Nathanaël Wallenhorst (1980-...), Auteur . - Paris : Éditions le Pommier, 2021 . - 269 p. : illustrations ; 20 x 13 x 2 cm.
ISBN : 978-2-7465-2355-5 : 18 €
cf. hyperlien : " [...] On est à un moment crucial, à un carrefour où, de fait, la possibilité de disparaître est envisageable. Et ça veut dire quoi ? C'est, ni plus ni moins, la poursuite des logiques actuelles néolibérales dans lesquelles nous sommes. De fait, elles scient avec détermination la branche de laquelle nous recevons la vie.
Mais je pense qu'à ce carrefour, il y a une autre possibilité qui est précisément celle de muter, et qu'on entreprenne une forme d'immense mutation humaine, de mutation anthropologique, c'est-à-dire d'envisager une mutation humaine qui soit encastrée sur les savoirs géoscientifiques tels qu'il se dévoilent à nous, notamment dans l'ensemble des rapports du GIEC. [...@
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Thomas Snégaroff
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Mis à jour le 27/06/2021 | 15:57
publié le 27/06/2021 | 15:57
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Illustration de la couverture de l\'essai que vient de publier Nathanaël Wallenhorst : \"Mutation, L\'aventure humaine ne fait que commencer\". Illustration de la couverture de l'essai que vient de publier Nathanaël Wallenhorst : "Mutation, L'aventure humaine ne fait que commencer". (EDITIONS LE POMMIER)
Les recherches de Nathanaël Wallenhorst, docteur en sciences de l’environnement, en science politique et en sciences de l’éducation, portent sur les incidences éducatives et politiques de l’entrée dans l’Anthropocène. Auteur de plusieurs ouvrages, il est directeur de collections au Pommier. Il vient de publier Mutation, L'aventure humaine ne fait que commencer, aux éditions Le Pommier.
Thomas Snégaroff : Cette semaine des fuites d'un rapport du GIEC ont été rendues publiques, un rapport qui s'alarme d'une possible disparition de la vie humaine sur Terre. Vous, vous dites : "L'aventure humaine ne fait que commencer". Est-ce que ça veut dire que vous n'êtes pas d'accord avec l'idée que nous pourrions disparaître ?
Nathanaël Wallenhorst : Alors moi, je suis vraiment, vraiment d'accord avec les rapports du GIEC, mais la question ce n'est même pas de savoir si on est d'accord ou pas d'accord, on est face à un consensus scientifique qui est conséquent, considérable. Et ce qui est très important, c'est de nous mettre d'accord sur les faits, et l'ensemble des rapports du GIEC nous aident à nous mettre d'accord sur les faits.
On est à un moment crucial, à un carrefour où, de fait, la possibilité de disparaître est envisageable. Et ça veut dire quoi ? C'est, ni plus ni moins, la poursuite des logiques actuelles néolibérales dans lesquelles nous sommes. De fait, elles scient avec détermination la branche de laquelle nous recevons la vie.
Mais je pense qu'à ce carrefour, il y a une autre possibilité qui est précisément celle de muter, et qu'on entreprenne une forme d'immense mutation humaine, de mutation anthropologique, c'est-à-dire d'envisager une mutation humaine qui soit encastrée sur les savoirs géoscientifiques tels qu'il se dévoilent à nous, notamment dans l'ensemble des rapports du GIEC.
Mais quand vous dites "nous ne sommes pas séparés de la Terre, nous sommes la Terre", en fait, c'est peut-être ça le problème, c'est qu'on s'est souvent pensés sur la Terre uniquement, et pas faisant partie d'un même tout avec la Terre ?
On arrive aux limites de conception de l'humain, et de l'humain en société où, de fait, on a fait comme si on était comme extrait, en dehors, au-dessus de la Terre, de la biosphère, de la nature. Et il me semble au contraire, que nous ne faisons qu'un avec la biosphère.
Vous êtes à rebours de ceux qui pensent aussi une mutation, plus technologique, de l'homme augmenté, etc. Vous au contraire, c'est une reconnexion à la Terre, plutôt qu'une espèce de déconnexion d'un homme qui serait encore plus éloigné de notre système terre ?
Oui, le livre se veut une forme de réponse à un double débat qui a lieu aujourd'hui dans nos sociétés. L'un d'entre eux, c'est la mutation qui est esquissée par les transhumanistes qui envisagent une mutation qui est une mutation économique, qu'il s'agisse de devenir le plus gros possible - et on espère de cette façon repousser les limites de notre mort individuelle. Mais c'est strictement individuel. Il s'agit d'augmenter ma propre puissance, et ce que j'ai voulu dire à travers ce livre, c'est que les transhumanistes n'ont pas le monopole de la mutation.
Il faut au contraire, à 180 degrés de cette mutation économique, envisager une mutation proprement politique, c'est-à-dire refonder un nouveau "Nous", un autre "Nous". Mais à partir d'un centre de gravité qui est un espace vide, relationnel, qui est l'espace du politique, qui est l'émergence de ce miracle de l'action de concert, ensemble, où nous décidons de notre propre devenir.
Le deuxième débat par rapport auquel j'ai voulu me positionner, c'est le fait qu'il est inévitable et inexorable qu'un immense effondrement advienne. Je refuse de prendre acte du fait que le pire soit certain."
Mots-clés : Nature -- Effets de l'homme Écologie humaine Activité humaine, Sociologie, Anthropologie Résumé : S'interrogeant sur les fantasmes transhumanistes d'un homme augmenté et immortel, l'auteur rappelle que la véritable mutation actuellement à l'oeuvre concerne la planète. Dénonçant la soif illimitée de l'homme pour la possession et la domination, il invite à un changement radical de paradigme afin de mettre en oeuvre une coexistence pacifique entre les humains ainsi qu'avec l'ensemble du vivant. ©Electre 2021 Note de contenu : Depuis quelques années, des groupuscules transhumanistes fantasment une mutation humaine. En nous « augmentant », nous pourrions vaincre la mort, et véritablement être « comme des dieux ». Mais opportunément, les mêmes, refusant tout déterminisme biologique, minimisent la véritable mutation en cours : celle de la planète. Or, si elle est bel et bien le défi du siècle, une mutation humaine doit nécessairement prendre acte des limites de la Terre. Elle procédera non d'une amélioration ou d'une augmentation de l'individu, mais d'un changement radical de la façon dont nous coexistons, entre humains, et entre humains et non-humains. Elle portera sur cet espace qui est « entre ». Bref, elle sera politique. Dans cet essai, Nathanaël Wallenhorst poursuit son travail d'analyse de l'Anthropocène en dénonçant cette soif qui nous pousse à la possession illimitée et à la domination. La mutation qu'il appelle de ses voeux ? Repenser l'humanité comme une aventure en conciliant biologie et politique, jaillissement de la vie et organisation de la pensée. Et cela ne va pas sans résistance ni critique du néolibéralisme... - Notes bibliographiques en fin d'ouvrage. Bibliographie p. [247]-262 En ligne : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/regard-sur-l-info/regard-sur-l-info-nat [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=271501 Exemplaires
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