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« Ni les Femmes ni la Terre ! » À la recherche de la convergence des luttes entre féminisme & écologie en Argentine et Bolivie / Marine Allard in Multitudes / Cairn, 67 (2017/2 - Été 2017)
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Titre : « Ni les Femmes ni la Terre ! » À la recherche de la convergence des luttes entre féminisme & écologie en Argentine et Bolivie Type de document : texte imprimé Auteurs : Marine Allard, Auteur ; Lucie Assemat, Auteur ; Coline Dhaussy, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 82-89 Note générale : Ni les femmes ni la terre" réalisé en 2018 par Marine Allard, Lucie Assemat & Coline Dhaussy est un documentaire tourné comme un voyage en itinérance autour des luttes ayant trait au corps et au territoire. En Argentine et Bolivie, le film suit au plus près celles qui luttent contre les violences faites aux femmes, le système Monsanto et la destruction de l’environnement par les entreprises extractivistes. Il met en évidence le parallèle entre les logiques d'appropriation capitaliste, coloniale et patriarcale de la terre et des corps des femmes, compris comme potentielles sources de profit. Dans les favelas, les périphéries urbaines, les campagnes isolées en Patagonie et l’altiplano bolivien, ces femmes combattent pour le droit à disposer de leurs corps, pour un changement de cap des modèles économiques, pour la reconnaissance de la légitimité et de la dignité de leurs "territoires-corps-terres". Elles dessinent des voies pour une révolution écoféministe globale, desde abajo a la izquierda, du sud au nord. Langues : Français (fre) Mots-clés : violence environnementale oppression minorités exploitation ressources femmes territoires Amérique latine Bolivie forêt amazonienne genre exclusion viol violences sexuelles citoyenneté conflits armés colonisation communautés indigènes violence sexuelle patriarcat colonial matriarcat Résumé : Ni les Femmes ni la Terre ! est un documentaire tourné en Argentine et Bolivie, au plus près des femmes qui luttent contre le système Monsanto, la destruction de l’environnement par les entreprises extractivistes, les féminicides (meurtres de femmes parce qu’elles sont des femmes). Elles combattent pour le droit à disposer de leur corps, pour un changement de cap des modèles économiques, pour la reconnaissance de leur légitimité et de leur dignité. Elles dessinent des voies pour une révolution écoféministe. Note de contenu : Plan :
Des filiations diverses
Les fils rouges du documentaire
Femmes des périphéries contre le monde de Monsanto
Les collectifs CASA et RENAMAT en lutte contre la violence environnementale faite aux femmes
La dimension économique
La dimension vitale
La dimension symbolique
L’irruption des femmes indigènes dans la définition des institutions démocratiques
La fin de l’exclusion des femmes hors de la citoyennetéEn ligne : https://www.multitudes.net/%e2%80%89ni-les-femmes-ni-la-terre%e2%80%89%e2%80%89- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=257985
in Multitudes / Cairn > 67 (2017/2 - Été 2017) . - pp. 82-89[article] « Ni les Femmes ni la Terre ! » À la recherche de la convergence des luttes entre féminisme & écologie en Argentine et Bolivie [texte imprimé] / Marine Allard, Auteur ; Lucie Assemat, Auteur ; Coline Dhaussy, Auteur . - 2017 . - pp. 82-89.
Ni les femmes ni la terre" réalisé en 2018 par Marine Allard, Lucie Assemat & Coline Dhaussy est un documentaire tourné comme un voyage en itinérance autour des luttes ayant trait au corps et au territoire. En Argentine et Bolivie, le film suit au plus près celles qui luttent contre les violences faites aux femmes, le système Monsanto et la destruction de l’environnement par les entreprises extractivistes. Il met en évidence le parallèle entre les logiques d'appropriation capitaliste, coloniale et patriarcale de la terre et des corps des femmes, compris comme potentielles sources de profit. Dans les favelas, les périphéries urbaines, les campagnes isolées en Patagonie et l’altiplano bolivien, ces femmes combattent pour le droit à disposer de leurs corps, pour un changement de cap des modèles économiques, pour la reconnaissance de la légitimité et de la dignité de leurs "territoires-corps-terres". Elles dessinent des voies pour une révolution écoféministe globale, desde abajo a la izquierda, du sud au nord.
Langues : Français (fre)
in Multitudes / Cairn > 67 (2017/2 - Été 2017) . - pp. 82-89
Mots-clés : violence environnementale oppression minorités exploitation ressources femmes territoires Amérique latine Bolivie forêt amazonienne genre exclusion viol violences sexuelles citoyenneté conflits armés colonisation communautés indigènes violence sexuelle patriarcat colonial matriarcat Résumé : Ni les Femmes ni la Terre ! est un documentaire tourné en Argentine et Bolivie, au plus près des femmes qui luttent contre le système Monsanto, la destruction de l’environnement par les entreprises extractivistes, les féminicides (meurtres de femmes parce qu’elles sont des femmes). Elles combattent pour le droit à disposer de leur corps, pour un changement de cap des modèles économiques, pour la reconnaissance de leur légitimité et de leur dignité. Elles dessinent des voies pour une révolution écoféministe. Note de contenu : Plan :
Des filiations diverses
Les fils rouges du documentaire
Femmes des périphéries contre le monde de Monsanto
Les collectifs CASA et RENAMAT en lutte contre la violence environnementale faite aux femmes
La dimension économique
La dimension vitale
La dimension symbolique
L’irruption des femmes indigènes dans la définition des institutions démocratiques
La fin de l’exclusion des femmes hors de la citoyennetéEn ligne : https://www.multitudes.net/%e2%80%89ni-les-femmes-ni-la-terre%e2%80%89%e2%80%89- [...] Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=257985 Documents numériques
Titre : La crise des dictatures : Portugal, Grèce, Espagne Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicos Poulantzas (1936-1979), Auteur Editeur : Paris : François Maspero Année de publication : 1975 Collection : Cahiers libres, ISSN 0526-8370 Importance : 144 p. Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : XXE GRECE ESPAGNE PORTUGAL FRANQUISME OPPRESSION DICTATURE HISTOIRE Fascisme Despotisme Index. décimale : A-40 Histoire politique, économique et sociale (subdiv. par pays et par siècles) Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=426 La crise des dictatures : Portugal, Grèce, Espagne [texte imprimé] / Nicos Poulantzas (1936-1979), Auteur . - Paris : François Maspero, 1975 . - 144 p.. - (Cahiers libres, ISSN 0526-8370) .
Catégories : A HISTOIRE - Pays et ensemble de pays Mots-clés : XXE GRECE ESPAGNE PORTUGAL FRANQUISME OPPRESSION DICTATURE HISTOIRE Fascisme Despotisme Index. décimale : A-40 Histoire politique, économique et sociale (subdiv. par pays et par siècles) Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=426 Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 461 A-40 "20" POU Livres Centre de Documentation Carrières Sociales Histoire Disponible Pompoko, une allégorie politique mythe local et urgence mondiale / Nathalie Dufayet in Raison publique : Arts, politique et société / SUDOC et Cairn, n°17 (2012/2)
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[article]
Titre : Pompoko, une allégorie politique mythe local et urgence mondiale Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Dufayet (1980-...) , Auteur
Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 77-91 Note générale : Pompoko est un bon résumé de cette triste réalité. Relevée au Japon pour la première fois il y a une cinquantaine d’années, la nécessité d’une régulation des effets de la civilisation moderne sur l’environnement est devenue le défi par excellence que tous les pays se doivent de relever au plus vite, les pauvres comme les riches. Dans ce contexte local et global, plusieurs catastrophes industrielles et écologiques ont une signification particulière pour la culture nippone et ne sont pas sans hanter le propos et le contexte diégétique du film animé de Takahata. L’une des pires fut la catastrophe de Minamata, qui traumatisa le Japon au moins autant que le firent les bombardements atomiques. Langues : Français (fre) Mots-clés : catastrophe industrielle et écologique symbole déclin faune sauvage folie hommes éco-terrorisme désobéissance naturelle désobéissance civile résistance oppression rituels forêt entitée sacrées forêts surnaturelles combat écologique écologie renaissance nature symbolique illusion illusions illusoire mentalités morale moralisateur mythe magie environnement naturel rêve déchets environnement urbain engagement politique Studio Ghibli Résumé : Pompoko est l’histoire d’une communauté tanuki vivant dans les années 1960. Cette décennie marque pour le Japon une croisée des chemins : entre la fin de la reconstruction générale suite au désastre de la Seconde Guerre mondiale et le début d’une croissance extrême, sans commune mesure dans l’Histoire nationale. Couvrant une trentaine d’années, le film suit l’histoire d’un projet de développement urbain réel, « la Nouvelle Tama », du nom des collines sur lesquelles ce projet eut lieu, dans la banlieue de Tokyo. Ce projet fut à l’origine d’une vaste déforestation et il détruisit de larges pans de la campagne alentour ainsi que de la biodiversité qui la caractérisait alors. Autrement dit, à une échelle non plus locale mais mondiale, cette histoire pourrait être celle de la rançon du progrès urbain et, par extension, de l’écocide dont notre civilisation industrialisée est en train de se rendre coupable depuis déjà plus de deux siècles à l’échelle planétaire. Note de contenu : Dans le film animé de Takahata les tanuki sont dans la même position et impasse que les poissons de Minamata ou que les diables de Tasmanie. Ils sont les symboles du déclin de la faune sauvage et de la folie des hommes. Mais au lieu de devoir lutter contre un empoisonnement au mercure ou contre des attaques aériennes au napalm, ils se battent contre la super-croissance de Tokyo, usant de la magie pour effrayer et décourager les humains et ainsi interrompre leurs chantiers de construction. À l’origine d’un éco-terrorisme d’un nouveau genre, les tanuki et leurs actions relèvent selon nous davantage d’une « désobéissance naturelle » similaire à ce que l’on nomme la désobéissance civile. [...] Dans cette histoire, personne ne meurt, personne n’est grièvement blessé mais tout le monde commence à avoir peur de ceux que l’on dit responsables des étranges événements survenus sur les chantiers. Cependant, à la longue, les gens sont amusés par ces faits divers qui les divertissent de la morosité du quotidien, d’autant plus que ces derniers se retrouvent bientôt à la une de nombreux programmes télévisés. En ligne : https://www.cairn.info/revue-raison-publique1-2012-2-page-77.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=270833
in Raison publique : Arts, politique et société / SUDOC et Cairn > n°17 (2012/2) . - pp. 77-91[article] Pompoko, une allégorie politique mythe local et urgence mondiale [texte imprimé] / Nathalie Dufayet (1980-...), Auteur . - 2012 . - pp. 77-91.
Pompoko est un bon résumé de cette triste réalité. Relevée au Japon pour la première fois il y a une cinquantaine d’années, la nécessité d’une régulation des effets de la civilisation moderne sur l’environnement est devenue le défi par excellence que tous les pays se doivent de relever au plus vite, les pauvres comme les riches. Dans ce contexte local et global, plusieurs catastrophes industrielles et écologiques ont une signification particulière pour la culture nippone et ne sont pas sans hanter le propos et le contexte diégétique du film animé de Takahata. L’une des pires fut la catastrophe de Minamata, qui traumatisa le Japon au moins autant que le firent les bombardements atomiques.
Langues : Français (fre)
in Raison publique : Arts, politique et société / SUDOC et Cairn > n°17 (2012/2) . - pp. 77-91
Mots-clés : catastrophe industrielle et écologique symbole déclin faune sauvage folie hommes éco-terrorisme désobéissance naturelle désobéissance civile résistance oppression rituels forêt entitée sacrées forêts surnaturelles combat écologique écologie renaissance nature symbolique illusion illusions illusoire mentalités morale moralisateur mythe magie environnement naturel rêve déchets environnement urbain engagement politique Studio Ghibli Résumé : Pompoko est l’histoire d’une communauté tanuki vivant dans les années 1960. Cette décennie marque pour le Japon une croisée des chemins : entre la fin de la reconstruction générale suite au désastre de la Seconde Guerre mondiale et le début d’une croissance extrême, sans commune mesure dans l’Histoire nationale. Couvrant une trentaine d’années, le film suit l’histoire d’un projet de développement urbain réel, « la Nouvelle Tama », du nom des collines sur lesquelles ce projet eut lieu, dans la banlieue de Tokyo. Ce projet fut à l’origine d’une vaste déforestation et il détruisit de larges pans de la campagne alentour ainsi que de la biodiversité qui la caractérisait alors. Autrement dit, à une échelle non plus locale mais mondiale, cette histoire pourrait être celle de la rançon du progrès urbain et, par extension, de l’écocide dont notre civilisation industrialisée est en train de se rendre coupable depuis déjà plus de deux siècles à l’échelle planétaire. Note de contenu : Dans le film animé de Takahata les tanuki sont dans la même position et impasse que les poissons de Minamata ou que les diables de Tasmanie. Ils sont les symboles du déclin de la faune sauvage et de la folie des hommes. Mais au lieu de devoir lutter contre un empoisonnement au mercure ou contre des attaques aériennes au napalm, ils se battent contre la super-croissance de Tokyo, usant de la magie pour effrayer et décourager les humains et ainsi interrompre leurs chantiers de construction. À l’origine d’un éco-terrorisme d’un nouveau genre, les tanuki et leurs actions relèvent selon nous davantage d’une « désobéissance naturelle » similaire à ce que l’on nomme la désobéissance civile. [...] Dans cette histoire, personne ne meurt, personne n’est grièvement blessé mais tout le monde commence à avoir peur de ceux que l’on dit responsables des étranges événements survenus sur les chantiers. Cependant, à la longue, les gens sont amusés par ces faits divers qui les divertissent de la morosité du quotidien, d’autant plus que ces derniers se retrouvent bientôt à la une de nombreux programmes télévisés. En ligne : https://www.cairn.info/revue-raison-publique1-2012-2-page-77.htm Permalink : https://cs.iut.univ-tours.fr/index.php?lvl=notice_display&id=270833